Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

683 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1915, 28 Avril. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Accès à 23 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/jm23b5x783/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

•f^'^VERS, Mercredi 28 Avril 1915 '"r"— Cinquante-huitième Année - No 17.294 DlRKnON, & RÉDACTION : ^^vhP^vleminckx, 14 ^ " ANVERS Téléphone 3761 LLOYD ANVERSOIS Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligne 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au li^nomètre. — Lei titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien, rue Léopld, 49. Anvers, 28 avril 1915, 10 h. du matin. — Baromètre 769. — Thermomètre cent (max) + 20. — Thermom cent, (min.) t 95 Pluviomètre — m/m—Vent E. - Prévision : Beau. Astronomie 29 Avril Lever du soleil \ h. 22 m. matin = ( 4.22) Coucher du soleil 6 .. 58 „ soir - .8 58 Lever de la lu-e \ - 36 „ so.r = 19 36 Coucher Je la lune . . . . 3 „ 41 „ matin - 3.41 Pleine lune le 29 avr.l ... 2 . 19 . soir = 14.19 Dernier quartier le 6 mai . . 5 23 „ matin — [ o.ii) Nouvelle lune le 14 mai . . . 3 „ 34 „ matin =- ( 3.34' Premier quartier le 22 mai . . 4 „ 50 „ matin — ( 4.~0) Haute marée à Anvers Matin Soir 29 avril 3 h. — m. = ( 3 h.—) 3 h. 25 m. 15 h. 25) 30 avril 3 h. 47 m. = ' 3 h. 47) 4 h. 10 m. —-'16 h. 10) 1 mai 4 h. 34 m. = ( 4 h. 34) 4 h. 56 m. = (16 h. 56) (Heure belge). Hauteur du Rhin Cologne 27 avril 3.25 m Strasbourg 26 avril — m Huningen 26 „ — >. Lauterbourg „ Kehl .. — « Maxau « - « Manntieim .. 4.60 „ Oermersheim „ ■- .. Caub 27 .. 3.08 „ Mayence „ l.bS „ Kuhrort „ 2,42 „ Bingen „ 2.68 .. Duisbourg 26 „ 2.28 Coblence .. J-U' „ Waldshut .. — Dusseldorf „ .. Lobith „ 11.87 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 26 avril 2.24 m. Heilbronn 26 avril 1.37 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee trêves 20 avril 0.97 m. Constance 26 avril —m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 27 AVRIL Steamer Wilford 4, de Tamise. tournai II, de Tournai. „ Zuin Beveland, de la Hollande. » Amstel 4, de la Hollande. » Kromhout 15, de la Hollande. Bateau-moteiîç Or* Gods Genade, de Baesrode. Ringrose 3, de Bruxelles. » Eclair 3, de Bruxelles. » Factor 2, de la Hollande. Allège Rupel, de Calloo. » Henri, de Calloo. • » John, de Burght. » Adeline, de Hemixem. » N° l, de Ôe&eghem. » Louis-Clément, de Moll. » Julia, de Turnhout. » Rosalie II, de Malines. >. Bon Augure, de Bruxelles. » Charlotte, de Bruxelles. » Vereinigung 61,. de Bruxelles. » Vischhandel, de la Hollande. DEPARTS DU 27 AVRIL Steamer Telegraaf 2, pour la Hollande. Bateau-moteur Artois 1, pour Louvain. Allège Maria, pour Lillo. » angelique, pour Burght. » Roze Kate, pour Boom. . » 2 Gebroeders, pour St. Léonard. » Julia, pour Bruxelles. » Meuse, pour Jemeppe s/M. » Fox, pour Liège. » Louis, pour Liège. ». Sucre, pour St. Ghislain. • »' L'Espérance, pour Mous. » g Frères, pour Mons. » Eugénie, pour la Hollande. charbonnière h, pour l'Allemagne. » Charbonnière 111, pour l'Allemagne. v Deutsche Dampîschiiïîahrts-Gesellschaît HANSA- BRÈME AVIS MM. les Chargeurs par steamer WARTBURG, pour Montevideo, Buenos- Ayres, Ro3c.no ; steamer HUBERFELS, pour Karachi, Bombay, Co- chin, Calicot, etc. ; steamer SCHIlJDTURM, pour Rangoon ; sont informés de ce que la Compagnie a H an sa » a décidé le déchargement des susdits vapeurs à partir du 3 mai. Les ayants droit sont priés de remplir les conditions prescrites par.l'armement, conformément à la circulaire spéciale de la Compagnie « Hansa » datée du 8 avril, afin de pouvoir prendre réception de leurs marcnandises au moment du déchargement, laute de quoi celles-ci seraient mises à l'entrepôt ou en magasin à leurs frais, risques et périls. Pour tous renseignements supplémentaires s'adresser à : Bureau Maritime J. H. Wackerbarth Société anonyme. VILLE DANVERS Le Conseil communal s'est réuni lundi dernier, 26 courant, pour s'occuper de plusieurs objets d'ordre administratif et voter le budget de 1915. L'ordre du jour en était particulièrement important ; ,nous donnons ci-après un résumé des principaux objets traités dans cette séance : Adresse de remercîments à la Hollande Mr le bourgmestre, devant toute l'assemblée debout, rend un hommage de profonde gratitude à la nation néerlandaise, qui a tant fait pour soulager le sort de nos malheureux concitoyens. 11 annonce qu'à l'occasion de l'anniversaire de la princesse Ju-liana, le collège des bourgmestre et échevins a résolu d'envoyer une adresse de remerciements à Mr Cort van der Lmden, au nom de l'administration communale et de toute la population anversoise. Daiïs cette adresse le collège rappelle les événements du mois d'octobre, l'exode de la population et l'accueil cordial et généreux réservé aux réfugiés. La plupart de nos concitoyens sont aujourd'hui rentrés dans leurs foyers, mais ils n'oublieront jamais Le devoir de reconnaissance qu'ils ont contracté envers la nation et le gouvernement néerlandais. L'envoi de l'adresse est approuvé par acclamation. EMISSION DE 5 MILLIONS DE FRANCS DE BONS DE CAISSE Par suite de la stagnation du port et des affaires en général, la ville n'a pas encore été à même de procéder au payement du coupon des titres de l'emprunt de 1887, à l'échéance du 1er janvier 1915. Aussi l'administration communale a-t-elle jugé que des mesures devaient être prises au plus tôt, tant pour la sauvegarde du bon renom de la ville que pour dissiper le malaise que cette situation devait inévitablement créer parmi les détenteurs des lots. En conséquence la ville s'est mise en rapport avec une banque de la place en vue de conclure une convention pour l'émission de 4 millions de francs de bons de caisse aux conditions suivantes : 4.000 bons de 1.000 francs chacun, 4 %, jouissance du 1er mai prochain et à l'échéance du 1er novembre 1916, sont pris ferme au pair moins un et demi pour cent pour commission, soit à 98 1/2 % net ; Ils seront munis de 3 coupons semestriels de fr. 20 chacun, aux échéances respectives des 1er novembre 1915, 1er mai et 1er novembre 1916. Le résultat financier de l'opération se résume comme suit : 3 coupons semestriels à . 2 % 3 amortissements pour constituer la différence de fr. 1,50 (fr. 100—98,50) .... 0,490131 % 2 %, amortissement de 1 franc, annuité payable fin terme, fr. 0,326754. 0,326754 x 1,50 = fr. 0,490131 2,490131 % Cela fait par an : Le coupon du 1er semestre et l'amortissement augmenté d'une demi-année d'intérêt 4 % : 2,490131 x 1,02 = fr. 2,5399336 Le coupon fin d'année avec l'amortissement ■ 2,490131 fr. 5,0300646 pour un capital reçu de fr. 98,50, ce qui revient en pour cent net : 5,0300646 : 0,985 = 5,107 %. En présence des nécessités actuelles et tout en regrettant que le délai de remboursement n'ait pu être porté à deux ans, ainsi que la demande en avait été formulée, la ville a estimé que les conditions proposées par la banque peuvent être acceptées. Le payement des coupons 1887 se fera à partir du 1er mai prochain. En vue d'assurer le service journalier de la Caisse communale! la ville a également été amenée à conclure une convention avec un bailleur de fonds qui a consenti à prendre 1 million de francs de bons de caisse datés du 1er mars 1915 et échéant le 1er mai 1916, au taux de 5 % payable par semestre échu. La proposition du collège est adoptée à l'unanimité.L'affiliation de la Ville à l'Association mutuelle contre les risques de guerre La commission des finances a examiné l'opportunité de l'affiliation de la Ville à l'association mutuelle contre les risques de guerre. Moyennant un versement immédiat de 1 p. m. de la valeur bâtie et 1 1/2 p. m. de la valeur mobilière, avec engagement total jusqu'à 2 p. c. sur le bâti et 3 p. c. sur le mobilier, la Ville se garantirait des dommages résultant des faits de la guerre (.et ce sur la base de l'art. 11 des statuts, qui détermine les engagements des sociétaires). L'affiliation de la Ville apporterait un puissant appui moral à la ^nouvelle société mutuelle et assurerait, du même coup, à celle-ci les concours encore hésitants ; par la confiance ainsi inspirée, les propriétaires d'immeubles démolis ou endommagés se trouveraient dès maintenant incités à faire reconstruire ou restaurer leurs immeubles. Cependant, la Ville qui se trouve assurée contre l'incendie pour un capital de 70.000.000 francs, peut difficilement s'intéresser pour l'entièreté de cette somme, et il parait désirable de limiter la valeur à assurer contre les risques de guerre à la moitié du dit capital, soit à 35.000.000 francs environ. L'ordre du jour suivant, proposé par le collège, est approuvé par la Ville : « La commission des finances sur l'invitation du conseil, examine l'opportunité de l'affiliation de la Ville à la nouvelle société d'assurances contre les risques de guerre ; » considère que cette affiliation présente non seulement des avantages directs pour la Ville, qui, moyennant une prime relativement minime, assurerait ses propriétés contre les dangers résultant des événements de la guerre, mais aurait également d'importantes conséquences indirectes : confiance inspirée aux autres propriétaires et incitation à la reconstruction et à la restauration des immeubles démolis et endommagés ; » décide de proposer au conseil de faire assurer la Ville à la dite société, pour un capital d'environ 35.000.000 francs, représenté par la valeur des propriétés qui sont d'utilité publique et dont la reconstruction immédiate s'imposerait, et en laissant de côté les constructions somptuaires, suivant ventila tion à faire par le service des propriétés communa Les, sur état à approuver par le .collège.» L'« Assistance agricole » Mr Cools, écheviri, donne des explications au sujel de la société coopérative «L'Assistance agricole» qui a pour but de mettre la population rurale en état d'acheter de la nourriture pour le bétail, des pommes de terre, des légumes, etc. Il propose que la Ville s'inscrive pour une somme de 100.000 francs, dont 10.000 francs a payer immédiatement. — Adopté. Le budget de 1915 Après lecture des entêtes de chapitres du projet de budget par Le secrétaire communal, le budget es! approuvé à l'unanimité par le conseil. Il s'élève en recettes à 26.252.262, Vî en dépenses à 44.368.112,31 soit un déficit de £rs 18.115.849,8-! Le service des mandats-postes Connue suite à notre articulet d'hier, au sujet du service des mandats-poste entre la Belgique et le Grand-Duché de Luxembourg, nous donnons les renseignements complémentaires suivants : Dans les deux directions, les mandats-poste doivent être libellés en monnaie allemande. Leur maximum s'élève à 800 mark et la taxe à fr. 0,25 par 40 mark ou par fraction de 40 mark. L'expéditeur ne peut faire aucune communication sur le talon du mandat. Le service express, ni l'expédition télégraphique, pas plus qu'un avis de payement ne sont autorisés. •* Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Il résulte d'un acte sous seing privé en date du 7 avril 1915, que la procuration collective donnée le 4 août 1914, par la Société^ en commandite simple « W. Herbig & Co », à Anvers, à MM. Fr. Van de Putte et Fr. Verbert, a cessé ses effets. Il résulte d'un acte sous seing privé en date du 10 avril 1913; que la procuration donnée au mois d'août 1914 par la société en nom collectif « Totte, Milch & C° », à Anvers, à MM. Fr. Fontyn, Louis Snepvangers, R. W. N. Oxley et Liévin Hillen, a été retirée le 22 octobre dernier. Nominations. Réélections. — Bilans. — « Société anonyme des Mines de Manganèse d'Ouro-Preto », à Anvers. Sont réélus : MM. John C. Van der Taelen et Georges Systermans, administrateurs ; Nicolas Cito, commissaire. Bilan au 31 octobre 1914. — Société anonyme « Compagnie auxiliaire des Transports Internationaux », à Anvers. Mr Léon Thierry est nommé administrateur en remplacement de M'- Reiss, décédé. Bilan au 31 décembre 1914. — Société anonyme « Manufacture Belge d'Amiante et de Caoutchouc, à Deurne lez-Anvers. Mr Georges Stappers est réélu administrateur. Mr Charles Stap-pers est nommé commissaire en remplacement de Mr Jules Stappers, décédé.Bilan au 31 décembre 1914. — Société anonyme « Banque Hypothécaire et Immobilière d'Anvers », à Anvers. Sont réélus : MM. le comte van der Stegen de Schrieck et Léopold Vlyt-sam, administrateurs. Le nombre des commissaires est porté à quatre ; Mr Louis Willot est nommé en cette qualité. Bilan au 31 décembre 1914. — Société anonyme « Compagnie Nationale Belge de Transports Maritimes », à Anvers. Sont réélus : MM. Joseph Gerlinger, administrateur, et Maurice de CocU, commissaire. Bilan au 31 décembre 1914. — « Société Coloniale Anversoise », Société anonyme à Anvers. La nomination de Mr Bernard Pee-ters, directeur, à Calmpthout, comme administrateur, en remplacement, de Mr Hugo Michelis, dont la démission est acceptée, est confirmée. La démission de Mr C. Aldenhoven est également acceptée. Les mandats de MM. A. Thys et Ch. Baiser, décédés, et 1.) mandat de Mr Aldenhoven resteront provisoirement vacants. MM. Georges de Laveleye, Gaston Perier, administrateurs, et Georges de Bauer, commissaire, sont réélus. Bilan au 31 décembre 1914. — Société anonyme Anversoise des Moulins», à Merxem lez-Anvers. Bilan au 31 décembre 1914. — « Société anonyme des établissements industriels Louis Pitz », à Borgerhout. Sont réélus : MM. Louis Pitz père, administrateur, et Jean Papon, commissaire. Bilan au 31 décembre 1914. — « Société anonyme de Niel-on-Rupell, ancienne fabrique de ciment Portland Josson & C° », à Niel lez-Boom. Mr Ferd. Kufferath est nommé président du conseil d'administration. Mr Gustave Deroover est administrateur-gérant, et Mr Rodolphe Manger, agent comptable. Mr Georges Morel, administrateur, est désigné pour remplacer le président en cas d'empêchement. Mr Jules Van Aubel, directeur de la fabrique, pour remplacer l'administrateur-gérant en cas d'empêchement, et Mr Gérard Schools, correspondant-expéditeur, pour remplacer l'agent comptable en cas d'empêchement. Bilan au 30 septembre 1914. — Société anonyme « Banque de Crédit Commercial », à Anvers. Sont réélus : MM. Th. Brauss, administrateur, et Georges Block, commissaire. Bilan au 31 décembre 1914. — « Société anonyme pour la construction de maisons bourgeoises», à Anvers. La nomination de Mr le comte Emile Le Grelle comme administrateur, pour achever le mandat de Mr Frédéric Jacobs, décédé, est approuvée. Bilan au 31 décembre 1914. « Scierie à vapeur du Polder Ferdinand, ancienne firme Van Huffel & Smeur », société anonyme, à Anvers. Bilan au 31 décembre 1914. — Société anonyme « Caisse de liquidation des affaires en marchandises », à Anvers. Sont réélus : MM. Paul Kreglinger et Otto Andersen, administrateurs. Mr Thiel Brahm est nommé commissaire pour achever le mandat de Mr Jules Stappers, décédé. Mr Maurice Foulon a volontairement quitté la direction dans le courant de l'exercice ; il ne sera provisoirement pas remplacé. Bilan au 31 décembre 1914. | Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Akassa. — Londres, 24 avril. — Le vapeur anglais Akassa transportant courrier et marchandises de la côte occidentale d'Afrique à Liverpool, a dû entrei à Queenstown par suite de manque de charbon el avec la cargaison désarrimée. Ce vapeur a subi du mauvais temps en cours de route. Le courrier a été débarqué à Queenstown et expédié à Londres. Caprivi. — Le vapeur danois Caprivi, allant de Baltimore à Christiania, a heurté une mine au Nord-Est de l'île Tory et a coulé. L'équipage a été sauvé. City of Bombay. — Aden, 24 avril. — Le steamei anglais City of Bombay est entré ici ayant des avaries à l'appareil à gouverner. Polamhall. — Baltimore, 24 avril. — Le steamei Polamhall a été mis en état de navigabilité sans qu'il ait dû entrer en cale sèche. Il est parti ce jour. (Voir Lloyd Anversois du 26 courant). IRLANDE 1. La régénération de l'Ouest de l'Irlande L'Ouest de l'Irlande, à qui la nature a donné m sol pauvre et qui ne possède pas d'importante: ressources industrielles ne pouvait guère assurer î» vie d'une population très prospère, et son histoire politique n'a fait qu'aggraver son inévitable pan vreté. Pendant la période allant du règne du ro Philippe et de la reine Marie au Connnonwealth les terres d'Irlande furent'repoussés vers l'Ouest. I en fut particulièrement ainsi au temps du Coimnon wealth ; tous les propriétaires qui avaient combatti le Parlement, ainsi que leurs dépendants, reçuren l'ordre de se rendre dans la province de Connach où d'autres terres leur furent accordées. La loi près crivait. qu'à la mort de l'un des nouveaux occupant; les terres qui lui avaient été concédées seraient par tagée's par portions égales entre tous ses enfants de sorte que, avec le temps, ce système eut pour résul tat d'appauvrir de plus en plus le propriétaire auss bien que le tenancier. Plus tard, une scission se produisit entre proprié taires et tenanciers. Vers la fin du 18° siècle, les pro priétaires prirent l'habitude de vivre loin de leur: domaines,et comme leurs dépenses augmentaient, il: pressaient leurs agents pour que ceux-ci élevassen les fermages. A la. même époque, la population coin mença de s'accroître rapidement. D'un peu plus d< quatre millions, en 1792, la population totale d< l'Irlande s'éleva en l'espace d'un demi-siècle, à en viron 8 1/2 millions, et naturellement, ce fut l'Oues qui eut le plus à en souffrit. Plusieurs famines par 1 i el les se produisirent,et elles aboutirent à la grandi famine de 1845-48 par suite de laquelle la populatioi se trouve considérablement diminuée. L'émigratior encouragée par le Gouvernement et par les philan thropës, contribua à épuiser davantage encore le: habitants. Il en résultait aussi que physiquement lf population s'affaiblissait, car c'étaient les homme: jeunes et forts qui ém-lgraient en laissant derrién eux un nombre considérable de vieillards et d'indi vidus inhabiles au travail. La baisse (ies prix des produits agricoles affecte l'Ouest de l'Irlande comme les autres parties di pays et cette région fut également mêlée à la luth entre propriétaires et tenanciers qui eut pour eonsé quence le vote d'une longue série de lois agraire dont les premières avaient pour but de fixer di « justes fermages » et les suivantes de permettre au: tenanciers d'acheter les terres qu'ils cultivaient ; l'aide d'avances de fonds fournies par l'Etat. En 1890, au moment où la lutte était le plus in tense, Mr Arthur Balfour, qui était alors sécrétair< en chef pour l'Irlande, visita la. région occidentali pour se rendre compte des conditions de la popula tion. Les constatations faites au cours de cette visite eurent pour résultat la constitution du bureau de. districts surpeuplés, afin d'encourager le développe ment économique des districts désignés-Gomme ét.an surpeuplés. Ces districts ne sont pas surpeuplé: dans.le sens que la population y est dense, mais ei tant que les habitants en sont extrêmement pauvre: et éprouvent des difficultés ù se procurer leur sub sistance. Le numéro de février du Bulletin Mensuel des In sti tut ions Economiques et sociales publié par l'Insti tut International d'Agriculture contient un exposi de l'œuvre accomplie par le bureau des districts sur peuplés, dù à ia plume de Mr F. S. Sheridan, secré taire en chef du bureau. Le bureau se compose d< 14 membres. Les revenus qui étaient tout d'abord (h £ 41.250 par an, ont été portés à £ 250.000, et l'éten due des districts, établis comme «surpeuplés», a ét< elle aussi grandement augmentée ; leur superficie qui était en 1891 de 3.806.569 acres est maintenant d< 7.662.479 acres. La tâche la plus importante du bureau consiste i acheter des domaines qu'il revend aux tenancier: après que les fermes ont été réorganisées-et, si pos sible, agrandies. Jusqu'au 31 mars 1914, le bureat avait acheté des domaines représentant, au total une superficie de 2.581.157 acres, occupés par 68.2fr tenanciers et dont la valeur était estimée à £ 10 mil lions 64.205. La réorganisation et la revente des do maines n'ont pas été aussi rapides que l'achat, cai jusqu'à la même date 340.152 acres seulement avaien été revendus ; le nombre des tenanciers acquéreur: était de 12.868 et la valeur des terres vendues s'éle vait à £ 1.739.147. Désormais, toutefois, la revente sera plus rapide. En réorganisant les domaines, le bureau ne doi pas seulement s'efforcer d'agrandir les fermes afir qu'elles puissent assurer la subsistance du cultiva teur et de sa famille, mais dans beaucoup de cas il doit aussi procéder à une nouvelle distributior des terres. Par suite des partages répétés (les terre: constituant une tenure, il arrive fréquemment qu'ur fermier peut avoir 30 ou 40 pièces de terres, ne re présentant au total qu'une superficie de quelque: acres. En pareil cas, le bureau évalue tous les inté rêts impliqués dans l'affaire, et en procédant ai nouveau partage du domaine entier, il doit, autan que possible, former des fermes d'un seul tenant. Mais il ne suffit pas de faire une nouvelle réparti tion de la terre ; aussi le bureau accorde-t-il des prêts pour acheter du bétail et pour améliorer les habitations et les bâtiments ruraux. Le bureau a dé pensé £ 427.112 pour bâtir 1956 nouvelles maisons sui les grandes propriétés qu'il a achetées et en prête ou en avances de fonds à ses tenanciers pour leui permettre d'édifier 1523 nouvelles maisons et d'arné liorer 2880 maisons existant déjà. Les efforts faits pour améliorer les logements ne sont pas seulemeni en faveur de ses propres tenanciers. Il accorde des prêts, qui s'élèvent, maintenant à environ £ 20.00( par an, aux possesseurs de terres pour qu'ils con struisent ou améliorent leur habitations à condition que l'emprunteur dépense en outre une certaine somme ou exécute des travaux tels que la maison ou l'amélioration effectuée acquière une valeur er capital égale à trois ou quatre fois le montant du prêt. Grâce à cette méthode, 1116 maisons ont été bâties,et 27.151 améliorations ont été effectuées dans des maisons existant déjà. Le bureau a aussi accordé des prêts aux fermiers qui ont acheté leurs te-nures afin de leur permettre de construire 245 habitations nouvelles et d'effectuer 156 améliorations. Ce système a eu pour effet d'améliorer d'une façon très sensible les conditions des logements dans les districts surpeuplés. Le bureau des districts surpeuplés s'est aussi beaucoup occupé de l'amélioration du bétail dans les mêmes districts, mais cette tâche incombe maintenant au département de l'agriculture. Le bureau des districts surpeuplés a différentes autres branches d'activité. Il a fait exécuter des ouvrages d'art, comme la construction de jetées, de routes et de ponts. Depuis sa fondation, il a dépensé £ 99.596 en travaux maritimes et £ 76.994 en travaux terrestres variés. Les travaux effectués sur les côtes ont eu pour but. principal le développement de l'industrie de la pêche. Celle-ci a été aussi encouragée en améliorant les moyens de transport, en organisant la vente du poisson frais, en créant l'industrie de la salaison et deja conservation du poisson, en accordant des prêts aux pêcheurs pour leur permettre de se procurer des bateaux et des engins de pêche, et en donnant, une instruction technique pour la pêche et les industries connexes. On a aussi donné du travail aux femmes et aux jeunes filles, en instituant et en encourageant les industries domestiques comme le tissage, le tricot, la broderie c-t la dentelle ; enfin, des leçons pratiques d'instruction ménagère leur sont données par des professeurs ambulants. Par suite de l'activité du bureau, on ne saurait contester que les conditions économiques et sociales des districts surpeuplés ont été grandement améliorées et que l'abandon désespéré de jadis a fait place à un nouvel esprit d'entreprise. 2. — Les sources du crédit rural en Irlande. En janvier 1912, le vice-président du département de l'agriculture et de l'instruction technique pour l'Irlande (Department of Agriculture and i echnical instruction lor lreland) nomma une commission « pour enquêter sur les systèmes actuels de crédit en laveur des classes rurales». L.t fonctionnement eu Irlande pendant un certain temps u un complexe et lieureu.v système pour la transmission des terres aux exploitants de fonds renaît superflu i inclusion dans ies attributions de la commission ne i ciuue ue ia manche du crédit rural qui concerne ies avancés de l'Etat aux agriculteurs pour iaenat de leurs propriétés. A l'exception de cette question capitaie, îe rapport de ia commission, récemment puolie, constitue une etude minutieuse et approfondie des diverses sources de crédit rural- en Irlande. Un résumé du rapport a paru en février dans le Bulletin mensuel des institutions économiques et sociales publié par l'Institut international d'agriculture. Parmi les sources -de crédit considérées, les Banques par actions qui, en Irlande, ont atteint un développement considérable viennent -en premier lieu. Le nombre total des succursales, des succursales secondaires et des agences de ces banques passa de 479 en lt>60 à 853 en avril 1913. Un fait important qui se rattaone à l'organisation des banques par actions est constitué par l'augmentation rapide des dépôts et des comptes courants passifs : leur total s'élevait a £ 29.746.000 en 1880, et £ 62.li2.000 en 1913. Une bourré partie de cet argent est prêtée aux agriculteurs, mais les banques par actions ne semblent pas être en mesure ue pouvoir subvenir : aux besoins du petit cultivateur, ni même, en vérité, à ceux de l'industrie agricole en général. Ce système satisfait assez le grand cultivateur, mais le système actuel qui consiste à obtenir de petits crédits des banques par actions cM excessivement onéreux pour l'agriculteur petit et moyen. Les banques d'épargne «Trustee» (Trustee Savings Banks) et la Banque d'épargne postale (Post Office Savings Bank) ne constituent pas en Irlande, comme c'est le cas dans beaucoup de pays, une source de crédit. Toutefois, il est inu'res.i-.uit de remarquer que les dépôts dans la Banque d'épargne postale s'élevèrent, de £ 1.556.000 en iooU, à £ 13.167.0lX) en 1913. Une grande partie de cette somme provenant de districts ruraux, il est évident que si elle pouvait être utilisée comme il convient il n'y aurait pas pé-" uurie de capitaux. On a recueilli des preuves de nature à démon-j trer que le nombre des prêteurs d'argent par profession augmente et que les dispositions législatives promulguées dans le but d'empêcher l'usure, ' ont [ été inefficaces. La commission affirme qu'il serait opportun de prendre d'autres dispositions à cet égard, mais pour obtenir une diminution de l'usure, , elle a une plus grande confiance dans l'organisation plus rationnelle du crédit. En Irlande on a créé une forme de prêts en ar-; gent des plus nuisibles et qui se rattache aux ventes , du bétail aux enchères. Ce système de prêts prend ; diverses formes, dont la plus répandue est celle qui , consiste, quand le cultivateur a besoin d'argent, à mettre en vente une tête de bétail qui, par suite d'un accord préalable, est achetée par un ami. L'acqué-, reur donne un effet à trois, quatre ou six mois ! d'échéance au directeur de la vente, qui escompte l'effet dans une banque par actions et paie au vendeur la somme au comptant en retenant une com-; mission. La vache est ensuite tranquillement amenée dans la ferme d'où elle est venue. D'autres fois, | l'agriculteur a bien effectivement l'intention d'aclie-| ter une vache aux enchères, en donnant une traite en payement, pour revendre l'animal à une autre vente le jour suivant. Jadis, le crédit accordé aux agriculteurs par les négociants se faisait sur une si large échelle qu'il constituait un inconvénient, mais on l'a vu sensiblement diminuer dans ces dernières années. Le système de crédit appelé « système du Bureau de contrôle des fonds pour les prêts » (Loan Fund Board System) a donné de fort mauvais résultats. Les sociétés pour l'administration des fonds pour les prêts (loan fund societies). qui se formèrent à l'aide des fonds recueillis pour remédier à la misère en Irlande, ont fait l'objet de nombreuses dispositions législatives qui n'ont pas réussi, toutefois, à empêcher de graves abus. Parmi ceux-ci, il faut remarquer principalement le payement d'appointements excessifs par rapport à l'activité exercée, l'habitude de renouveler les prêts, habitude par laquelle la dette se prolonge longtemps encore après que le prêt obtenu a cessé d'être productif, et l'imposition d'amendes excessives pour retard dans le remboursement. Le nombre des loan fund societies atteignit son maximum (300) en 1842, mais le capital et la circulation des fonds atteignirent leur chiffre le i>1 us haut en 1845, bien que le nombre des socié-tés fût, alors, descendu à 245. Cette année-là le capi-i t;il était de £ 444.247 et on accorda 507.339 prêts pour ; un total de £ 1.857.457. En 1912,- le nombre des sociétés descendit à 51, et les prêts accordés cette même i année ne s'élevèrent qu'à £ 190.846. Bien que sur un capital de £ 79.579, il y eut £ 56.001 sur lesquelles I aucun intérêt n'était dû, les loan fund societies exigeaient sur les prêts accordés, un intérêt de 7 à 8 % et dans certains cas même de 10 et 13 %. Cela constitue un terme de comparaison défavorable vis-à-vis des sociétés coopératives de crédit qui, tout en em-= pruntant les sommes dont elles disposent à un taux qui varie de 3 1/2 à 5 %, ne demandent d'ordinaire à ■ leurs emprunteurs que 5 ou 6 % seulement- La commission, en reconnaissant les avantages-du système du crédit coopératif et l'heureuse activité qu'il permit de déployer en nombre de cas, a constaté plusieurs défauts cju'il serait bon d'éliminer. Après des recherches consciencieuses elle est venue a la conclusion que, tandis que le nombre des sociétés de crédit agricole était en 1911 de 308, il n'y en avait, effectivement en activité que 176 tout au plus. Les prêts, dans ces dernières années, atteignirent ; une moyenne de £ 55.000 par an. La Commission estime que la quantité des dépôts recueillis par les sociétés de crédit est décourageante. D'après des dernières données disponibles 98 sociétés seulement possédaient des dépôts pour un montant global de £ 27.290; sur cette somme, £ 14.154 soit plus de la moitié, étaient entre les mains de 14 sociétés. La Commission est d'avis qu'un système adéquat d'inspection et de contrôle gouvernemental est nécessaire pour obtenir la confiance des déposants. Elle ne recommande pas de constituer des instituts bancaires centraux pour obvier à la difficulté rencontrée par ces sociétés en voulant placer les dépôts dépassant leurs besoins. Elle considère que la conduite la plus rationnelle consisterait à n'accepter que les dépôts qui, en moynene, peuvent i être considérés comme suffisants pour faire face aux prêts demandés par les sociétaires, en se basant pour obtenir le surplus de capitaux nécessaires ou les moyens de faire face à des retraits de dépôts imprévus, sur la possibilité d'obtenir des banques par actions des versements supérieurs aux sommes déposées. La tendance du public à déposer des sommes trop considérables pourrait être combattue en abaissant le taux de l'intérêt payé sur ces dépôts. La Commission a constaté que beaucoup de sociétés ont pris l'habitude — qu'on ne saurait approuver — de renouveler les prêts, et elle affirme que l'espace d'un mois, au moins, devrait s'écouler entre le remboursement, d'un prêt et la concession d'un nouveau prêt. La Commission signale le grand nombre de sociétés enregistrées qui ne fournissent pas de rapports annuels au registraire, et elle remarque que dans beaucoup de districts ruraux il est difficile de pouvoir obtenir les services d'un secrétaire capable. Elle recommande de toujours rétribuer le secrétaire pour le travail qu'il fournit. La Commission, en examinant les résultats des avances faites aux sociétés de crédit par le « Bureau des districts surpeuplés », (Congés!ed Districts Board) et par le Département de l'Agriculture signale la difficulté rencontrée en beaucoup de cas, pour obtenir le remboursement de l'argent prêté, difficulté due en grande partie à l'idée assez répandue que ces prêts constituaient une concession définitive. Elle exprime l'avis que les inconvénients inhérents aux avances accordés par le gouvernement dépassent de beaucoup les avantages, et recommande que-T.es prêts non remboursés soient récupérés peu à peu. Le défaut principal constaté par la Commission dans le système actuel est l'absence de dispositions satisfaisantes pour l'inspection et le contrôle, et. elle recommande (à l'exception de trois de ses membres) que le Département de l'Agriculture se charge de l'inspection et de la surveillance des sociétés de crédit. La majorité do la Commission recommande aussi au Département de l'Agriculture de se charger d'organiser des sociétés coopératives de crédit et de constituer dans ledit Département, une section de crédit agricole chargée de diriger ce travail ainsi que la vas'.e série d'opérations de prêts effectuées par le Département conformément à ses divers projets de prêts agricoles. Passant aux prêts accordés pour des buts agrico- taux, le rapport décrit les prêts destines aux travaux de canalisation et d'amélioration des terres, concédés par le Bureau des Travaux Publics (Board of Works) ; les prêts pour l'achat de bétail et pour la construction ou l'amélioration de maisons d'habitation accordés par le Bureau des districts surpeuplés (Congested Districts Board) ; les prêts concédés par le Département de l'Agriculture pour l'achat de bétail et d'-outils agricoles, ainsi que pour d'autres buts ; et les prêts faits par les Commissaires des Domaines pour l'amélioration des fermes achetées par eux et revendues aux tenanciers. La somme globale ainsi prêtée par les différents Départements s'éleva en 1912-13 à £ 212.629 y compris £ 42.043 de concessions non remboursables. L'enquête sur le crédit hypothécaire en Irlande a rencontré de graves difficultés et n'a permis d'obtenir que des résultats approximatifs. On a évalué à £ 1.000.000 par an, l'accroissement net de -l'endettement hypothécaire grevant les terres agricoles irlandaises. La Commission a examiné l'opportunité de fonder eu Irlande des institutions de crédit foncier sur le modèle des Landschal'ten allemandes, mais elle ne recommande pas cette solution. Elle estime que le développement et l'amplification des projets de crédit agricole du Bureau des Travaux Publics, du Département de l'Agriculture et du Bureau des districts surpeuplés, joints à l'activité déployée par les sociétés coopératives de crédit, nécessaire pour les prêts à court terme, devraient suffire, dans la majorité des cas, à faire face aux besoins de crédit de l'agriculteur irlandais que ne satisfont pa& les banques par actions. service*postal Désignation des bureaux de poste qui acceptent la correspondance en Belgique. (Revu et complété) — C — Caggevinne-Assent .(Diest), Calloo (Anvers 1), Calmpthout (Anvers 1), Cambron-St.-Vincent (Lens, province Hainaut), Cambron-Casteau (Brugèlette), ••Campenhout (Vilvorde), Canne (Sichem-Surren & Bolré), Cappelle-au-Bois (Malines), CappeLlen Anvers 1), Carlsbourg (Bertrin), Cornières (La Louviè-re), Casteau (Mons 1), Casterlé (Turnhout), ••Castre (Lennick-St.-Quentin), Cerfontaine (Givet), ••Chai-neux (Verviers), Champion (Namur 1), Champion (Marche), Chapelle-à-Wattines (LeuzeJ, Chapelle-lez-Herlaimont (La Louvière), Chapon-Seraing (Huy 1), Charleroi 1 (bur. centr.), Cliarleroi 2 (gare princ.), Chassart (Charleroi l),Chastre-ViUeroux (Gembloux), Chatelet (Charleroi), Châtelineau (Charleroi l), ••Chaudfontaine (Liège 1), Chaumont-Gistoux (Wa-vre), Chaussée-N.-D.-Louvignies (Casteau), ••Chênée (Liège 1), Cherain (Bastogne), **Cherat.te (Wandre), Chevetogne (Ciney), Chièvres (Ath 1), Chimay, Ciney (Givet), Clabecq (Tubize), Clavier (Huy 1), Cognelée (Namur 1), **Cointe (Ougrée), •*Comblain-au-Pont (Liège 1), ••Comblain-da-Tour (Comblain-au-Pont), Contich (Anvers 1), Corbeek-Loo (Louvain 1), Cor-bion (Bouillon), Corroy-le-Château (Gembloux), Cor-roy-le-Grand (Ottignies), Cortenberg (Louvain 1), Cortessen (Hasselt), CouiLlet (Charleroi 1), Courcel-■les (Charleroi 2), Courrière (Assesse), Coursel (Hasselt), *Courtrai, Court-Saint-Etienne (Ottignies), Cou-thuin (Huy 1), Couvin (Mariembourg), Cronfestu (La Louvière), Cruybeke (Anvers 1), Cuesmes (Mons 1), Cugnon (Librarnont), Cul-des-Sarts (Couvin), Cul-des-Sarts (Mariembourg), Cumptich (Tirlemont 1), Cu-range (Hasselt), ••Cureghem (Bruxelles 1). • La correspondance s'effectue par les étapes allemandes. •• Correspondance privée avec l'Allemagne, Luxembourg, Pays-Bas et Autriche-Hongrie. (a) Viâ Herbesthal. b) Service de journaux permis avec l'Allemagne. c) La correspondance privée pour l'intérieur de la Belgique n'est pas encore permise. Société anonyme pour l'Importation des Huiles de graissage Siège social : 99, avenue des Arts, à Anvers Le Conseil d'administration a l'honneur d'annoncer à MM. les actionnaires que l'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE qui devrait se tenir au siège social le 30 avril 1915, aura lieu à une'date à fixer ultérieurement, le bilan au 31 décembre 1914 n'ayant pas encore pu être établi. Le Conseil d'administration. Société Anonyme d'Entreposage et de Transports 101, Avenue des Arts, à ANVERS ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE Messieurs les actionnaires sont informés que l'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE, qui a été remise à une date à fixer ultérieurement, aura lieu le 6 mai 1915, à trois heures de relevée, au siège social. ORDRE DU JOUR : 1° Lecture du rapport des administrateurs et du commissaire ; 2° Examen et approbation, s'il y a lieu, du bilan et du compte de profits et pertes arrêtés au 31 décembre 1914 ; 3° Décharge à donner aux administrateurs et au commissaire ; 4° Nominations statutaires. Pour assister à l'assemblée, Messieurs les actionnaires sont priés de se conformer à l'article 29 des statuts. Le président du Conseil d'administration, Fr. Speiii. European Naval Stores Company SOCIETE ANONYME, 101, avenue des Arts, ANVERS ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE Messieurs les actionnaires sont informés que l'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE, qui a été remise à une date à désigner ultérieurement, aura lieu le 6 mai 1915, à trois heures de relevée, au siège social. ORDRE DU JOUR : 1° Lecture du rapport des administrateurs et du commissaire ; 2° Examen et approbation, s'il y a lieu, du bilan et du compte de profits et pertes arrêtés au 31 décembre 1914 ; 3° Décharge à donner aux administrateurs et au commissaire ; 4° Nomination statutaire. Pour assister à l'assemblée, Messieurs les actionnaires sont priés de se conformer à l'article 23 des statuts. Le président du Conseil d'administration, Fr. Speth. L. DENS & Co Beurt ANVERS-GAND & viea-versa Le bateau moteur STAD R0ESSELAERE, en ckarge au No 7 des bassins. Le service se fera régulièrement le Samedi de chaque semaine. Pour frets et renseignements s'adresser à ANVERS : L. DENS & Co, Meir, 52. GAND : L. DENS & Co, Quai Ju Pont Neuf, 5 ROTTERDAMSCHE LLOYD Prochains départs de ROTTERDAM vers les ports habituels des INDES NÉERLANDAISES S-S. X. le 12 Mai (s.i ) S.S. " X. le 26 Mai (s.i.) (en droiture) Pour frets et tous autres renseignements, tels que eux concevant l'EXPÉDITION D'ANVERS, s'adresser aux Agents RUYS & Co„ 9, Quai Van Dyck, Anvers.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires appartenant à la catégorie Financieel-economische pers, parue à Anvers du 1858 au 1979.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Périodes