ANVERS, Vendredi 15 Février 1915 mamaasiaMmiasxéiaetiraBfW <j. maana «auetn Le numéro 10 centimes iWt*n.1'«r,ÏT."i'«. rmOIWKCMB fOMSfgyregt.-ffW: IWIII I >■!■■■——g—BP——— Soixantième Année - N° 18.14 DIRECTION & REDACTION : 14 RUE VLEMINCKX, 14 ANVERS ABONNEMENTS : S'adresser au bureau du journal, ru< leminckx, 14, à Anvers. Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires (Annonces : 75 centimes la ligne fi 1,50 !a ligne sur double colonne L Service d'affichage : vitrines et galeries des bureau* fr. 1,50 par semaine et par 3 lignes | f Emissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au lignomètre.— Lei titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent • Toutes les heures renseignées dans notre journal sont indiquées d'après l'heure de la Tour. Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien rue Léopold, 51 Anvers 15 févr. 1918, 11 h du matin — Baromètre 776 -Thermomètre cent (maxj + 1 2 — Thermom. cent. (mini. 0. — Pluviomètre : — m/m — Vent: Est. — Prévision : Beau (froidj. Astronomie 16 février Communiqué par l'Obsarvatoire Royal de Belgique à Uccle lez-Bruxellesi Lever dusoleil 7 li. 55m. Prem.quart.le 18févr. 1 h.57m Coucher du soleil 18 , — .. Pleine lune le 25 févr. 22 . 35 , Lever de la lune .... 9 39 „ Dern. quart, le 6 mars 1.44. Coucher de la lune.. —' — « Nouv. lune le 12 mars 20 , 52 , Haute marée à Anvers matin Stlr 16 févr. 7 h 50 m. 16 févr. ... 20 h.Il ai. 17 „ .. 8.38 , 17 . ... 21 „ 5 . 18 „ .. 9 .21 . 18 „ ... 21 54 „ Hauteur du Rhin Cologne 10 févr 2.01 m. Strasbourg 10 févr. 1.92 m Huniogen • '.02 „ Lauterbourg . — . Kehl . 2.44 „ Maxau „ 4 58 „ Mannheim „ 2-54 « Germersheim „ 4.17 „ Caub 1 : „ 1.68 „ Mayence . 0.59 „ Rubrort „ 1.25 « Bingen „ 1.71 „ Duisbourg 10 « 0,87 „ Coblence „ 2.08 „ Waldshùt . 2.33 „ Dusseldorf „ 4 76 . Lobith „ 9.82 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort Î0 févr. 2,30 m. Heilbronn 10 févr. 0 30 m. Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 10 févr. 103m. Constance 11 févr. 2.72 m. Port d'Anvers ARRIVAGES DU 14 FEVRIER Steamer Histelhueber's 8, de Hoboken. » Wilforu 3, de Tamise. Jiateau-moteur Eclair 4, de Bruxelles. « Melanie, de Bruxelles. » Scheldewachï, de Gamd. Allège Stanislas, de Calloo. » Le Héron, de Hemixem. » Confidence, de Tamise. » Annie, de Baesrode. » Maria, de Boom. » Vrouw Joanna, de Ma-l'.iies. Océan, de Wiillebroeck. Hosa 42, de Louvain. » theisme, de Gaud. » Quenette, de Gaiul. » La Duchesse, de G and. » Robinson, de Gamd. » Jean Breydel, de Gaud. » Tartane, de Gaud. » Oser, de Gand. » Diamant, de Gand. » .Niger, de Gand. » Jeanne, de Gand. » germaine, de Gand'. # Thérèse, de Gand. » Bayern 35, de Gand. » Lotte, de Gand. » Mêlanie, de Gamd. » Bayern 3, de Gand. >. Escaut, de Gamd. Progrès, de Gand. » Bayern 07, de Gand. i » Ipréan, de Gand. Grâce de Dieu, de Gand. » Pécule, de Garni. » st-Antoine, de Garni. » Marie, de Gand. » Ika, de Gand. » Auguste, de Gand. » Union, de Gand. >. Balte, de Gand. » Eclipse, de Gand. » Liberté, de Gand. » Ange Conducteur, de Gand. » Leontine, de Gand. « Joseph, de Gaud. » Marguerite 6, de Gand. » Bon august, de Gand. » Fiéntje, de Bree. » Sangha, de Beersse. » De Vluchteling, de Beersse. » Henri, de Mail. » Emma, de Mali. » Zwerver, de Mol-1. » Tonkin, de Mail. Mogador, de Grotobendonck. « Marie, de Grobbendonok. » Vier gezusters, de Viersel. « Limburgia, de Liège. » Vilvorde, de la Hollande. » Franciscus a 28, de la Hollande. » Roger, de la Hollande. » Pharailda, de la Hollande. « Watervogel 2, de la -Hollande. » Twee gebroeders, de la Hollande. » Nihil sine Labore, de la Hollande. Linus, de l'Allemagne. » Anna, de l'Allemagne. Rhenania 25, de '.Allemagne. DEPARTS DU 14 FEVRIER Steamer Wilford 3, pour Tamise. » Souvenir d'un Ami, pour Massenlioven. » Union 10, pour Bruxelles. Remorqueur Succès, pour la Hollande. Bateau-moteur Emile, pour Lierre. >. Louis Ghemar, pour Bruxelles. /Vllège Emma, pour Burght. » Rolduc, pour Hoboken. » Jean Baptiste, pour Hoboken. » Hélène, pour Hoboken. „ » L'Alcyon 3, pour Hemixem. » Zwerver, pour Tamise. » Volharding, pour Tamise. » Emile, pour Baesrode. » Gerarda, pour Boom. » De Jonge Oscar, pour Lokeren. » Marie Virginie, pour Haerèn. »> Modeste, pour Vilvorde. » Eulalie, pour Vilvorde. » L'Avenir, pour Bruxelles. » Valentine, pour Bruxelles. » Jean Louis, pour Bruxelles. » Simone, pour Bruxelles. » Francisca, pour Bruxelles. » De Jonge Joseph, pour Moerzeke. » A Continuer, pour Jemeppe. » Narwel, pour Gand. » Augusta, pour Gand. » Franz Manhu, pour Gand. » Simone, pour Gand. » Jeranos, pour Gand. » Etoile de mer, pour Gand. » Le bien venu, pour Ganid. » Cosmopolite, pour Gand. » Agréable, pour Gand. » St-Jean, pour Gand. » Grand Monarque, pour Gand. Dancarville, pour Gand. ZambÈzb, pour Merxem. » Ida, pour Merxem. » St-Antoine, pour Merxem. » Niger, pour Beersse. » Jeanne, pour Beersse. » Mutatio, pour la Hollande. » Wanderer, pour la Hollande » André, pour la Hollande. » Sibilla, pour la Hollande. Escaut, pour la Hollande. » Brugge, pour la Hollande. » Rubens, pour la Hollande. » Twee gebroeders, pour la Hollande » Weser, pour la France. ARRÊTÉ concernant l'interdiction d'effectuer des paiements en faveur du Brésil et de disposer des biens des ressortissants brésiliens Art. l<\ _ Les prescriptions de l'arrêté du 3 novembre 1914, concernant l'interdiction d'effectuer des paiements destinés à l'Angleterre et à la France, modifiées par les arrêtés du 12 août 1915 et du '6 août 191? (Bulletin officiel des [.ois et Arrêtés I l'°ur le territoire belge occupé, pages 28, 907. 4485) I sont, par voie de rétorsion, déclarées applicables a" Brésil. L'application comporte les restrictions suivantes: Pour savoir si l'interdiction de payer et le sursis sont ou non opposables au cessionnaire (article 2, 2e alinéa de l'arrêté), on devra, sans tenir compt du domicilie ou de la résidence du cessionnaire,con stater si la cession a eu lieu soit après soit avant 1 26 octobre 1917. 2) Pour autant que, dans l'arrêté du 3 noveiribr 1914. il est question de la date de l'entrée en vigueu rludit arrêté, cette date est remplacée par la dat< de l'entrée en vigueur du présent arrêté. Art. 2. — Quant à l'application de l'arrêté du mai 1916, concernant les biens des ressortissant de pays ennemis (Bulletin officiel des Lois et Arrê tés pour le territoire belge occupé, p. 2133) le Bre s'il est considéré également comme pays ennemi toutefois en tenant compte de ce que la date du octobre 1915 mentionnée dans l'article lr dudit ar rêté est remplacée par la date du 26 octobre 1917. Bruxelles, le 31 janvier 1918. Der Generalgouverneur in Belgien in Vertretung : \ von zwehl, General der Infanterie. % BELGIQUE Au Comité National Nous apprenons qu'un nouveau système de répar tition du pain pour les personnes aillant en voyagi sera mis en vigueur bientôt. Désormais, 11 ser; remis à toute personne devant quitter pendant ui certain temps sa commune de résidence habituelle des bons spéciaux lui permettant de s'approvision ner en pain dans la localité où elle se rend. La navigation sur le Rhin Rotterdam, 13 février. -- Vers le Haut- et le Bas Rhin, le niveau d'eau était décroissant. Il n'y avai ipas de demande ni d'arrivages et peu de tonnage disponible. La tendance était très faible. Le tau> de remorquage était calisulé suivant le tarif d'en viron 50 cents + 60 cents. LE PROBLEME ALIMENTAIRE " LE COPRAH " De tous les problèmes angoissants dont la guern a fait rechercher- la solution, le problème alinieu taire a été dans tous les pays le plus urgent et h plus difficile à résoudre. Il a été démontré que les pays industriels, doir la population est la plus dense, ne peuvent être ali meutés que par l'étranger pour les denrées de pre mièTe qualité. — En Belgique, notamment, le soi ne peut produire ce qui est nécessaire à notre alimentation, et à celle du bétail. Aussi .l'insuffisance des graisses alimentaires a-t-elle été l'une des pre ri lier es à constater. Il est résulté cet amaigrisse ment continu des populations qui ne laisse pas d'inquiéter fortement jeux qui ont le. souci et la charge de l'hygiène publique. Les graisses animales et végétales font égalemen défaut, le défaut de l'une étant la conséquence- de l'autre. Le bétail moins nourri en matières gras ses végétales, tourteaux et résidus alimentaires de toutes espèces, produit moins de graisse animale et devient aussi insuffisant pour l'alimentation de l'homme. Dans notre pays, que l'on dit tempéré, mais qui est en réalité un pays humide et relative ment froid, il faut que -l'homme absorbe une quan tité de graisse suffisante pour développer les cale ries nécessaires à sa subsistance. Faut-il ajouter que 'la graisse fait également défaut dans l'industrie qui en consomme en a bon dance ? Faut-il parler de la question du saVon ■savon de ménage ou de toilette, lesquels doiveni contenir une partie importante de graisse animale ou végétale pour être utilisables ? ~On a assez crie contre les fabricants de savon clandestins qui ache talent la graisse à des cours inattendus et retiraieni ainsi à l'alimentation ce prodjuit de tonte première nécessité. Après la guerre île problème se posera de la même façon et avec la même importance. Qui pourra procurer, à l'alimentation et à l'industrie les1 graisses dont elle aura un si urgent et si important besoin ? Quelques personnes irréfléchies se figurent que de l'autre côté des tranchées se trouve en abondance tout ce dont nous sommes actuellement privés. Il n'en est rien. S'il est moins impérieux, le besoin de graisse se fait également sentir et, en tous cas les approvisionnements et les réserves n'existent pas. Il suffit, pour cela, ele remarquer le cours des denrées et les invitations eles gouvernements à l'économie pour démontrer que, moin-s angoissant peut-être mais tout aussi grave,- le problème ele l'alimentation est universel. Après la guerre le bétail, dans notre pays et dans les pays belligérants, aura diminué dans de notables proportions. Il sera, à coup sûr, insuffisant pendant de nombreuses années pour fournir notre alimentation en graisse. Le lait et :1e beurre deviendront complètement insuffisants pour nos besoins domestiques. C'est ici que nous devrons avoir recours à d'autres produits offrant les mêmes avantages à bien peu de chose près et que d'autres pays produisent en abondance. En tout état de chose pour remplacer les graisses animales, i>l faudra recourir aux graisses végétales que l'on peut produire plus rapidement et avec plus d'abondance. Parmi toutes les graisses végétales, les plus nutritives et les plus agréables au goût, celle qui se rapproche le pins du beurre est certainement le beurre de Coco produit par le Coprah ! Qu'est-ce donc que le Coprah ? C'est l'amande scellée de la noix de coco. Dans les Indes Orientales, dans les îles nombreuses dont, les unes ont une superficie plus grande que celle de la France, croit en abondance un arbre dont les produits servent à l'alimentation d'une population très dense : Le Cocotier ! Cet arbre, qui pousse avec rapidité et forme de vastes forêts, produit en abondance des fruits en ferme de grosses noix. Le noyau ou l'amande de ces fruits est formé d'une pulpe blanchâtre, au goût très agréable et contenant en forte proportion (68 %) une huile alimentaire qui, raffinée, produit une graisse appelée beurre de coco, Coco line ou autres dénominations du même genre. Ce noyau ou amande rançit très rapidement et, pour le conserver, les indigènes ele la Malaisie et des, Indes Néerlandaises le font sécher au soleil. Ce procédé, tout primitif, était insuffisant. Par -les temps de pluie le séchage durait trop longtemps et le produit en conservait un goût de fermenté et de moisi des plus désagréables. Parfois aussi le séchage se faisait devant des grands fours et le produit en acquérait un goût de créosote très accentué. Quoiqu'il en soit, le produit ainsi obtenu par le séchage constitue le « Coprah ». Il a retenu l'attention de ceux qui en ont Constaté les avantages : qualité du produit, importance de la fabrication, bon marché. Des procédés de séchage industriels et scientifiques ont permis de conserver à la noix de coco séchée son bon goût primitif ainsi que toutes ses qualités et de lui donner une conservation indéfinie.Transporté en Europe le «Coprah» est transformé .en huile ou eu graisse alimentaire, Il entre pour un notable proportion dans la fabrication des bonnes margarines (Era, Axa, etc.) sous - le nom de « Buk ». il sert, à la fabrication des savons ele toilette et chacun se rappelle le succès de ce produit inconnu de la plupart, dont le prix avait atteint air début de la fabrication des savons dé guerre, un taux si considérable. Ce produit colonial a immédiatement retenu I ntention, toujours en éveil, des industriels, des importateurs anglais. L'un des plus importants Sir William Lever, dans la préface de son livre intitulé « Coco Nuts, Tire Consols of tlie East » Les Noix ele Ce>co. les Consolidés de l'Est) s'exprimait ainsi « Je ne connais pas de domaine d'agriculture tro-» picale qui promette autant, en ce moment-ci, ejue » la plantation de noLx de coco et je ne pense pas » que dans le monde entier il y ait des perspeeti-» ves aussi lucratives pour un investissement de » temps et d'argent- que dans cette industrie. Le » monde commence seulement à se douter de la » valeur de l'huile de noix de coco dans la fabri » cation du beurre artificiel, de sa qualité la plus » haute et des sous-produits, des tourteaux de » Coprah comme nourriture pour le bétail ». La consommation du Coprah a fait, en trois ans. une augmentation de 230 %. Les transactions rela t.ives à ce produit dans les principaux ports du monde s'élèvent à 1.500.000.000 francs!!! Celles du caoutchouc sont de 1 .TOO.o^/.OOO francs seulement. Aucun produit colonial ne peut être plus exactement comparé au Coprah que le caoutchouc ! C'est, comme lui, un produit végétal qui, à l'origine, était recueilli en forêt par les indigènes, préparé par i eux selon les méthodes les plus primitives et les plus imparfaites. Cependant-, tandis que les peuplades sauvages et après elles, les explorateurs, devaient tirer le caout choux .de la vie même de l'arbre, hévéa ou liane par des coupes ou des saignées souvent trop abon ; elantes et compromettaient ainsi l'existence même de l'arbre producteur, pour le Coprah le fruit an > nuel seul est l'objet de leurs recherches. L'arbre > peut indéfiniment se reproduire et quels que Soieni les besoins des consommateurs, l'âpreté au gain du récolteur de Coprah, la production n'est pas arnoin drie par la récolte et augmente d'année en année ) On peut dire qu'au fur et à mesure que le Coprah, plus connu, sera consommé davantage, la récolte en deviendra plus abondante. Au point de vue industriel donc, la récolte et la fabrication du Coprah doivent devenir une des branches les plus importantes de l'industrie mondiale. Au point de vue plus restreint de l'industrie et du commerce de notre pays, la transformation industrielle du Coprah en huiles et graisses alimentaires, deviendra bientôt l'une des plus importantes industries de la Belgique. Nous irons plus loin ; Au point de vue puremenl national, le problème alimentaire se pose ave. - ine . teille insistance que tout ce qui tendra à le résoudre constituera une œuvre nationale et patriotique. En i procurant à nos populations industrielles et à nos populations des villes, les plus denses du monde en-! tierf4'alimentation .nécessaire et surtout cette partie indispensable à la santé publique, des graisses alimentaires, -nous lui permettrons de contini 1er ses ru des travaux sans que ses forces physiques s'en ressentent mais encore nous retiendrons dans leurs foyers nos ouvriers qui seraient forcés, bientôt, de chercher dans d'autres pays l'alimentation abon-: dante et peu coûteuse qui leur est nécessaire, Tout pays dont l'ailimentation est insuffisante doit, nécessairement, se dépeupler rapidement. Enfin, au point de vue purement financier, les exploitations de Coprah constitueront bientôt les meilleures affaires coloniales, Nous avons comparé le Coprah au i-aoutehjQUc et nous avons démontré epae la consommation du Coprah était, au moins, aussi importante que celle du caoutchouc. En Angleterre, où l'industrie du Coprah s'est déjà développée, voici les chiffres intéressants que nous avons recueillis : « L'importation du Coprah des principaux pays » producteurs (Java, Makassar, Menada, Sangir, » Padang, Straits, Ceylan, Manila, qui, en 1896 at-» teignait 116.00U tonnes, passe brusquement, en » 1905 à 286.000 tonnes et en 1910 à 427.000 tonnes. » Malgré cette formidable augmentation, le Coprah » a vu son prix augmenter de façon régulière: en » 1895 il c tait 300 francs la tonne, en i900, fr. 360 ; » on en demandait 700 en 1912, 800 en 1914 et, ac-» tueliemént son prix atteint fr. 1050 ». Si nous nous rapportons aux sociétés coloniales çaoutchoutières, nous voyons quels profits énormes en ont retiré les capitalistes avisés qui se sont intéressés à ces affaires. Quelques ' chiffres sont suggestifs : Arrglo Ma-lay-Rubber Co Ltd. donna, eu 1907 20 % ele elivielende, en 1908 30 %, en 1909 80 %, en 1910 100%, en 1911 70%, et en 1912 45 %. Bukit Lintang Rubber Estate Ltd. donna, en 1907 30 % de dividende,- en 1908 55 %, en 1909 150 %, c.i :r:o no %, en ion 1:0 % et en 1912 50 % Castlefielel (Klang) Rubber Estate C" Ltd. donna, en 1907 42,5 % de dividende, en 1908 55%, en 1909 110 %, en 1910 205-%-,-en 1911 180 % et en 1912 77,5 %. Liinggi Plantations Estâtes Ltd., donna en 190? 20% de divirlende, en 1908 60 %, en 1909 165 vu 1910 237,5 % en 1911 193 3/4 % et en 1912 100 % Pataliug Rubber Estate Syndicale Ltd., donna, eu 1905 20 %, en 1906 40 %, en 1907 35 %, en 1908 45 %, en 1909 125 %, en 1910 325 %, en 1911 240 % et en 1912 175 %. Selangor Rubber C° IM (Ne pas confondre avec la valeur belge du même nom), donna, en 1904 20 % de dividende, en 1905 20 %, en 1906 40 %, en 1907 41 %, en LW8 75 %, en 1909 287,5 %, en 1910 375 %, en 1911 275 % et en 1912 187 %. Vallambrosa Rubber C° Ltd. donna, en 1906/1907 55 % de dividende, en 1908 80 %, en 1909 250 %', en 1910 175 %, en 1911 130 % et en 1912 37,5 %. Nous pouvons prédire aux sociétés de Coprah une prospérité encore bien plus grande, La préparation du CopraJi exige peu de main-d'œuvre et des installations des plus simples, l ue usine de séchage à proximité de moyens de transport : tout est là. Quant a la matière première, c'est à «la compétence de ses explorateurs de découvrir des forêts de cocotiers en plein rapport dans les grandes îles de la Malaisie, de conclure avec les chefs de tribus des contrats par lesquels ils doivent fournir journellement certaines quantités de noix de coco à un prix toujours très minime. Aussitôt, que les conventions sont passées l'établissement de l'jisine sur le point le "plus facilement accessible n'est plus qu'un jeu. On "le choisira, ele préférence, à proximté d'un chemin ele fer, d'une voie navigable, d'un port. La main-d'œuvre sera assurée par les indigènes. Les fours de séchage fonctionnant continuellement pourront arriver à traiter 32.000 noix, soit 8 tonnes par jour. La Standard Coprah Maatschappij est une société pour recueillir et traiter les noix de coco par un nouveau procédé de séchage industriel, la stérilisation. Des fours spéciaux, pour ce procédé, ont été expérimentés aux Tudes "Anglaises et donnent d'excellents résultats. Elle s'est déjà assuré, directement ou indirectement, des conventions avec les indigènes de l'Ile de Java. Des traités lui assurent la fourniture minimum et régulière ele 32.000 noix ele coco par jour. L'emplacement de sa première usine est déjà déterminé et la construction devra être achevée dans le délai de neuf mois. La fabrication suivra saris discontinuer. La seule exploitation de cette usine sera rémunératrice étant donné le cours élevé du Coprah et 'e besoin urgent des huiles végétales, besoin dont nous avons démontré l'importance et qui se fera sentir encore pendant de nombreuses années. D'autres usines seront construites dans divers endroits dont' on aura reconnu les facilités d'accès pour les transports et la fertilité pour la fourniture des noix. Cette société, la seule constituée actuellement en Belgique, offre donc des chances de réussite, et. dans un temps très rapproché, prendra une place importante parmi les meilleures affaires coloniales. (A SUIVRE). Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers il résulte d'un acte sous seing privé en date du 30 janvier 1918, que depuis le 19 mars 1915, par suite du retrait de sa commandite, Mme Marie Tinchaut n'est plus intéressée dans la société en nom collectif « José Tin chant, y Gonzalès & C" », à Anvers. Démission. - M. Alfred Mendel a donné Sa démission' d'administrateur de la Société anonyme " Anvers-Eden », * à Anvers. Réélection. — Société anonyme -< Industria Qui mica Argentin a », à Anvers. M. Kurt Rabbo\v est rééli i a d m in istrateur. — Société anonyme « Fabrica Riograndense de Aelubos e Productos Chimicos », à Anvers. M. Kurt Raibbow, est réélu administrateur. Bilan. — Société anonyme « Leipziger Wollkàm merci », établie à Leipzig, (succursale de Hoboken-lez-Anvers). — Bilan au 30 septembre 1917 de la succursale ele Hoboken lez-Anvers. Les membres du conseil d'administration actuellement en fonctions sont : MM. Hugo Relier, directeur de banque ; Dr ; jur. Ern-st Scliôn, directeur de banque ; Félix sic- j gel, directeur, et Alfred Focke. négociant, à Leipzig.CHRONIQÏ JF*.ÏÏ JDÏCIAÎR F TRIBUNAL DE lr" INSTANCE D'ANVERS Hier, le tribunal n'est entré en audience que pour renvoyer à date indéterminée toutes les affaires du rôle, parmi lesquelles figurait une importante affaire du Coaiiité de secours et d'alimentation. INFORMATIONS FINANCIÈRES BOURSE OFFICIEUSE D'ANVERS skam;k du 14 février. — Le inalaise en Bourse auquel nous faisions allusion hier reprend le dessus et paralyse les quelques tentatives de fermeté qui essayaient de s'affirmer encore. Les achats spéculatifs qui avaient été opérés à la suite de la signature de la paix avec roekraine ne se sont plus renouvelés, les tentatives de dégagement ne trouvent même pas de contre partie suffisante et on reperd les en Russes et en Roumains l'avance trop rapidement acquise. Les mêmes dispositions faibles se reinar-et, quent dans le seul groupe où se déploie encore ut- quelque activité : celui des pétroilifères. Après une ne, vague résistance opposée au début du marché les on- cours eles valeurs dirigeantes déclinent rapidement me pour clôturer sans reprise. tu- Le département des rentes nationales et commune nales ainsi que des lots de villes est absolument ent inchangé. Belge 3 % mai 70 3/4-71 5/8, Emission An-ci u glaise 85 1/2 P., Bon du Trésor 4 % 1917 102 3/3-in- 103 3/8, Annuités 3 % 81-81 1/2, Anvers 5 % 1917 ée. 102 1/4-102 5/8, Anvers 1887 85 1/2-86 3/4, Anvers 1903 ^o- 71-72, Bruxelles 1905 74-75,40, Gand 1896 71 A., Liège In 1897 71 A.. Liège 1905 70 1/2-72,"Dstende 1898 57,60-58,75,. Schaerbeek 61 1/2 A., lot du Congo 97 1/4-la 98 1/2. les Le département des fonds d'Etats internationaux m- n'-éveilJe d'intérêt qu'en ce qui concerne la tenue :r'e eles dettes continentales, nous venons .de dire que !0T1 cette tenue est peu favorable ; parmi les exotiques lli" ne se distingue aucun mouvement importent. or" Cédules Nouvelles 110-111,25, les L 103 P., les K 99-100 les or 5 % 105 A. Argentin 4 1/2 Intérieur et 311 "• Extérieur marchent de front à 98-90, Bahia Blanca 'ne 462 465, Par imentation ancien 89-75-90,75, le Nouveau lr<? 92 A. En On fait peu d'affaires en Brésiliens mais leurs l0lS prix se maintiennent. Funding 5% 1914 100,25-101,25, le 5% 1913 95,50-96,50, le 4 1/2 1883 91-91,75, le' 4 1/2 Ue 1888 90-91, le 4% Rescission 77,75 P. l1'- Chili 5% 1911 99-100, le 4 1/2 1889 95,50-96,50, Cuba 5 % 105,25 A., Uruguay 3 1/2 73,50-74,50, les Cédules 105,50-106,50, VénézuéJa 70,50 . . ',rs Les dettes asiatiques se maintiennent sans grandes ot' fluctuations. Chinois 4 1/2 1898 S8 3/8-89 3/8, le 5 % m' 98,25-99,50, Japon Raiilway 105,50-106,50, la 4 1/2 1905 115-116, le 4 % 1899 90,25-91,75. lte Les transactions en dettes continentales sont plutôt laborieuses, acheteurs et vendeurs restant sépa-es rés par de gros écarts de cours, en définitive les les concessions viennent des vendeurs. Les Métalliques recèdent à 63,50-65,25 et les Nationales sont offertes ,el à 64,50 P., Roumain 4 % 1890 82,50-85, le 4 % 1908/10 67-68, le 4 % 1894 67 P., le 4 1/2 1913 74,50-75,50, le 5 % J,l€ 1903 82,50-83,50, Bucharest 4 1/2 1898 78 A., Russe 3 % 1S59 4S.25-49,25, le 4 % 1880 51-53, le -4 % Nicolas 66,25-67,50, le 5 % 1906 68,50-70 3/8, Serbie 61,50-62,50. Iue En actions de Banques il ne parait de cours qu'en Banque Centrale An verso ise demandée à 447,50 et qui obtiendrait sans doute mieux, Banque lr' Auversoise de Fonds Publics 255-260, Crédit Natiu-at" nal Industriel privil. 282,50-287,50, l'ordinaire 275-eai 280, jouissance Crédit Foncier Sud Américain 1985-e^- 2005. al1 Les actions diverses sont encore plus maigrement «P représentées. Capital Electrique Auversoise 295 A.. 296 P., capital Escaut 128-132, Liebig 698-704, capital :l<> Tram, ele Rosario 82-85,75, capital Trahi. Rotterdam 92,50-97,50, capital Union Auversoise de Tram les ways 42,50 A. }es Les obligations et les actions privilégiées hypo-in" tlrécaires sont toujours également fermes. Obligations Banque Belge de Prêts Fonciers et Crédit 0 Foncier Sud-Américain obtiennent de 492,50 à 497,50 ° et les privilégiées ele ces'mêmes sociétés obtiennent de 1122,50 à 1135, privil. Crédit Général élu Canada 1050 P., Priv. S a usine ira 1055-1065. oblig. Tram. ®.n Anvers 466-474,75, Rosario 385 A., oblig. Nord-Ouest /o' élu Brésil 325 A., 330 P. Le groupe pétrolifère oppose au début un effort y1' de résistance qui permet el'inscrire des prix relati-,, veinent élevés, les offres cependant se succèdent les cours reculent à peu près jusqu'en clôture qui tou-' tefois ne se fait pas aux prix extrêmes, Otçsnyi Ui privil. 2340-2420, l'ordinaire fluctue de 2100 à 2200, Astra Roinaua oscille entre 1650 et 1725, capital 1:1 ; Boryslaw 72-76, dividende 290-295, Nafta capital 114-, 119,50, dividende 262,50 A.. 265 P., Roumanie capi et tal 172-176, dividende 161-166,50. Les valeurs caoutchoutières sont complètement né-gligées Federated S05 P., Kaliteugah 68-71, Kuala Lumpur- 167,50 A., lvuang 106-109,75, Nieuw Tjisaiak y capital 88-90, Sennah 67,50-70,25. Parts Co-nge) Belge 160-170, dividende MinerkaJ ^ 56-59, actions Tanganyika 127-131,50, oblig. 240-247. en BOURSE OFFICIEUSE DE BRUXELLES Séance du 14 février. — La dernière séance de la Bourse officieuse s'esr. tenue ce jour au local du Palais de Glace au milieu d'une indifférence gé-" né raie. On a fait quelques échanges en lots ele '' in les, rentes et dettes communales. Voici les cours >e" pratiqués ce jour : ,u- Rente Belge 3 % 70 1/8-71 1/4 ; Bons du Trésor 4 % ns 1917, 102 ; Bons du Trésor 4 % 1919, 104,25 P. : ec Congo lots, 97 3/4 ; Crédit Communal 3 %, 76 A. ; ils Crédit Communal 4 % 1916, 93,75 A., 94,25 P. ; Vici-és naux 21/2 % 1885 lots, 99 ; Vicinaux 3 % mai, 73,75 ; ie. Vicinaux 3 % janv.-juili., 73,75 ; Anderlecht 1914 is- 4 1/2, 103 ; Anderlecht 4 1/2 % 1918, 475 ; Anvers 1903, • it 71,50-71,75; Anvers 1887, 85,25-86; Brux. 1905, 75.1/4; Cle Brux. 1902, 87,50 ; Brux.-Marit. (ex-coup.), 66 ; Interne communale des Eaux, 460; Gand 1896 (ex-coupon), ra 71,25 ; Liège 1897, 70,75 ; Liège 1905, 69,50 ; Ostende, ge 1893, 57,25 ; Schaerbeek 1898, 61,50 ; St-GiUes 1917, à 101,75 ; Verviers 1873, 103,50. Aux obligations la 5 % Tramways et Electricité lté a été demandée à 475 et on note pour les autres- ti-m très Soc. Gén. à 1280, les Tramways d'Anvers 4 % à li- 470, Barcelone 4% à Î25, Aunie-tz 4 % à -MO, 4i5. nt Léonard-Giot à 450, Pieper à 370, 375, les Atel. ele nt Willebroeck à 375, la 41/2% .Nouvelle-Montagne à r- 497,50, la 5 % Conduites d'Eau à 506, la 3 % Eclair, es du Centre à 185, et la 4 % Abatt, d'Anderlecht à ut 417,50. 1X Les valeurs bancaires sont soutenues. Outremer re cap., 777,50,. Caisse de Reporls, 1400. Crédit Anvers.. 415, 420. Crédit Nat. Ind- fond. 4950. Crédit Liégeois. 510. Le compartiment des tramways et transports ^ est peu animé. La priv Athènes e\st à 22, 22,50, Ja cap. Bilbao à 127,25, la priv. et la div. Bruxellois respectivement à 502,50 et 800, 805, la cap. Electr. ,:t d'Espagne à 150, 151, la div. Intertram à 26 et 27 "n l'ord. Madrid-Espagne à 140, la cap. Murciè à «37, 38, la jouiss. Napolitains à 65 et 62.50, là priv. Tram-M; ways et. Electricité de 100 à 105, et la priv. Vérone à 165. 1 Comme eThabitude les cours sont rares en •. i leurs métallurgiques et sidérurgiques. Alliance, ;t 642,50. Armes ele guerre, 1630. Jambes fond., 70. ; Willebroeck priv., iOO, ord.. 76. Em. Gosselies a,) s 140 ; div., 66. Prov. Russe B. de 400 à 405. A la division coloniale les cours sont rares. La _ tendance cependant y est assez soutenue. On a traité des div. Belgo-Katanga à 104, 104,50, 105.50, des div. Cominière à 90, 92,50, des Géomines à 855, des ord. Katanga à 3400, 3425 et. des div. Prod. Végétaux à 25,25 et 26, des cap. et des div. Simkat ; u respectivement à 120 et 617,50; des div. Union Mi : tr nière à 1750, et eles Tanganyika à 129, 128.50. Les plantations caoutchoutières donnent lieu à ']} quelques échanges. Plant, ann., fond., 1125, lino. d Deli Moeda div., 90, 92,50. Hévéa, 210, 212,50. 215. Mopoli cap., 175; fond., 1200. -Bruxelles, lava eap !>- 230, 232,50, 235; fond.. 940. !-9s0 Seimah Ruiibn-, >e 69. Zuid-Prea.nger 212,50 à 216. Les pétrolifères restent soutenues, ainsi «;n eu témoignent les cours de 72, 73 en cap. Borysl iw, 125, 126, 127 en priv.. 75, 76,50 en ord., et 700, 660. 680 en fond, internationale de Pétroles, 2150 et 2160 e en ord. Grosnyi, 115.50, 116, 116,50 en càp., et 257,50 •t en div. Nafta, 330, 332,50, 335 en priv., et 105, 102,50, 107,50 en cap. Tustanowice. i- Les transactions sont peu importantes en sucriè-i- res et autres titres du groupe de valeurs diverses. Brass. l'Etoile, 114. 113, 112: Id. Haecht, 295. Flo-u ridienne cap., 435, 440, 445 ; fond.. 255, 260. Suer, s Europ. fond., 65, 66, 67. Id. de Bruxelles, priv.. 490. >r Aux charbonnières, les devises hoillandaises ne sont pas inscrites au ta-bleau et la cote pour les '• titanes belges est maigre. Bois d'Avroy, 830, 835, 840 ; Charb. Belges, cap. 557 1/2, 5-42 1/2 ; Cheval, à Pour, 1720, 1730, 1740 ; Couch. du FJénu. 57 1/2, 58 3/4 ; Gives, 262 1/2, 267 1/2 : Pays de Liège, cap. 650 : Trieu Kaisin, 1480, 1490 ; Hensies, cap. 625, 630, 635 ; Eelen-Ascii, cap. r 715, fond. 925. Les zincs et mines n'offrent rien de particulier à signaler. Nitrates, div. 39; Nouv. Montagne, priv. 440, 445 : Malogne, ord. 100 ; Productora A 130, 132 1/2. 135, B 130, 132 1/2, 131 1/4, 135 ; Cie Mines, priv. 15 1/2. La même situation se présente pour les groupes suivants : s Glaces et verreries : Belges, jouiss. 142 1/2, 115 ; i Bennert-Bivort, priv. 600, 590. Textiles: Laiïi. Barcelonaise A, 152; Loth, jouiss. 85, 86. Constructions : SeiMes, 385, 390. f Affaires très étroites en devises étrangères. Epin-1 gloiis l'obi. Kaïping à 525, 527,50, 528,75, l'obi. Nord- Ouest Brésil à 265, 270 , 272,50, le Nord Parama à 232,50, la Lujar à 700, la pampelune spéciale à 390, la Rajah à 770, Norfolk Western à 530, l'obi. Porto-Rico à 260, l'ord. Port de la Havane à 260, la priv. et l'ord. Port de Para à 105 et de 58,50 à 56,50. Tord. Dyle et Bacalan à 1020, la jouiss. Magyar Belga à 105, 110, la priv. Nord-Milan à 395, Savigliano à 1200, les Brass. de Diekirch à 467,50, le Gaz ele Porte» (Change) à 397,50, l'obi, or à 400, l'act. à 24, les Tabacs Portugais 4 1/2% 1891 à 450, la Dniéprovienue à 2145, Kolomna à 885, et les Tramways de Damas à 350 et 355. San Louis et San Francisco 5 % 82 à 83. Métropolitain, -485. COURS DU CHANGE Anvers, 15 février. — Cours du florin : 280 argent, 290 papier. Rotterdam, 13 février. — Londres, fi. 10,80. Berlin, fl. 43,80. Paris, fi. 39,80. Amsterdam, 13 février. — Londres, fi. 10,78. Berlin fl I/O Pî»,vic fl IQOn ^niccn fl O". Vienne, fl. 28,60. Copenhague, fl. 70.—. Stockholm, fl. 75,90. BOURSE DE LONDRES Londres 13 Févr. 13 Févr, Il Févr.: 13 Févr. ,11 Févr. Consols. , . 54 ',2 c4i« South. Rji'way. RépuDiiq Argevine - 671'4 Union A ... 4% Brésil . 56 7/8 h7 1/g Wab,, pr«t. . ■ — — — 4% Japon . 72 '.s 72 >/.i U. S. ù toi A. . 99 — 99 — Japon 1905. 1 ^'9 Vu 99 i £ Amalg. C. . —— Mexique inter. . — Great Cobar. . . — — Pérou, ord. ... 5 :U 5 "4 Columbia . . . — — Pérou, pré!. . . 27 5/8 27 5/8 Ver.. D'.p!. ... Portugal. . . . 57 — 39 V4 Vexic. pr. . . . — - Russie 1889 . . — - Rock Isl. ... Marc, cf * . .25 3,t 23 3/p Randmme ... — — — — Turquie Marine, or. — — Ji,S % Uruguay . — — Shell .... — — 5% Uruguay . . 77 V4 77 Rio finto ... - Ach;. lop . . . — — Anaconda ... - — Préf. d" i , , — — Schib.,' préf. . . - Denver.C Rio Grande — - Schib., orri. . . — — Erie, ord. . . . — — Kon. Pelr. . . Missouri . . — — Escompie . . 4 1'32 4 1/32 Ontario A. . . . — — - Argsn' . . . 42 °'4 42 7/8 ■snuin. racMn - — | i i i Banque de Hanovre, à Hanovre. — Dividende 8 % contre 71/2 en 1916. Compagnie Suédoise de navigation et d'importation, à Stockholm. — Cette société vient d'être fondée au capital de C. 15 millions. Tramways de La Haye. — Les recettes de janvier 1918 se sont élevées à 282.775 florins. Chemins de fer de Saragosse. — Les recettes se sont- élevées au cours de l'exercice écoulé à 165.16 millions de pesetas, contre 151.83 millions pour 1916. A. G. fur Maschinenbau vorm. Brand & Lhuillier, à Briinn. — Le capital est porté à 5 millions de couronnes.Norddeutsche Jutespinnerei und Weberei, à Ha m hurg. — Dividendes proposés : 10 % (contre 6 %) pour les actions ordinaires et 13 % (contre 9 %) pour les actions privilégiées. Caisse Générale de Reports et de Dépôts Société Anonyme Siège social : 11. rue des Colonies, à Bruxelles Constituée par acte authentique passé devant M° Yamdienlîouten, notaire à Bruxelles, le 24 octobre 1874. — Statuts modifiés par actes authentiques passés devant M® Ch. P. M. Van Haltereu, notaire à Bruxelles, les 19 décembre 1888, 14 mars 1895; devant M® Ed. Van Haltereu, les 28 mars 1899, 26 mars 1902; 9 décembre 1909 et devant M® Ernest Vuyl-steke, le 28 mars .1916. Le Conseil d'administration a l'honneur de convoquer MM. les actionnaires en assemblée générale ordinaire pour le mardi 5 mars 1918, à 1 heure de relevée, au siège social, rue des Colonies, 11, à Bruxelles. ORDRE DU JOUR : 1° Rapport du Conseil d'administration et du Collège des commissaires ; 2" Ratification de la souscription de 150.000 francs de la Caisse Générale de Reports et de Dépôts dans la Société Coopérative de Prêts Fonciers ; 3° Approbation du bilan et. du compte de profits et pertes ; 4° Décharge à donner aux administrateurs et aux commissaires ; 50 N 0 m ination s statu taire s. Dépôt des titres, au plus tard le 27 février 19J8, à Bruxelles, au siège social. BONS DE CAISSE 5 1/2 p. c. Nos 1 à 2.000 de la Banque Belge de Prêts Fonciers Société anonyme, 23, place de Meir, Anvers E11 attendant que paraisse la publication prescrite par l'article 82 de la iloi du 25 mai 1913 et dont le dépôt a été effectué le 5 février 1918, MM. les porteurs des Bons de Caisse susyisée qui arrivent à échéance et seront remboursés le 16 mars 1918, sont prévenus de ce qu'il leur sera réservé, à des conditions de faveur et en remplacement, de ces titres, des obligations 5 % de fr. 500 d'une nouveMe série K de la Banque Belge de Prêts Fonciers, à condition qu'ils adressent leurs demandes d'échangi? avec dépôt des Bons de Caisse à l'appui d'ici au 16 mars 1918 inclus, à la BANQUE D'ANVERS, à ANVERS, à la SOCIETE GENERALE DE BELGIQUE, a BRUXELLES, cm aux banques chargées de son service d'agence en Province, où tous renseignements seront donnés aux porteurs de Bons de C.îiifiSP sur l^nv rbiiTindo Anvers, le 15 février 1918. MEMENTO DE L'ACTIONNAIRE ASSEMBLEES ANNONCEES 16 février Compagnie Générale des Tramways à vapeur Pié-montais, société anonyme, à 3 heures de l'après-midi, rue du Nord. 80, à Bruxelles. 19 février "Le Cuivre», société anonyme en formation, à I0 heures du matin, au siège social, boulevard Bis-schoffsheim, 19, à Bruxelles. 23 février société anonyme Syndicat d'Entreprises Commerciales et Industrielles, à 16 heures, au siège de la société, 10, Longue rue Neuve, à Anvers. « Vooruitzicht », société anonyme, à 5 heures de relevée, au siège social, rue Gérard, 2, à Anvers. 25 février Banque d'Anvers, société anonyme, à 12 heures, au siège social, 24, Longue rue Neuve, à Anvers. 26 février Plantations Iiallet, société anonyme, à 11 heures du matin, au siège sociail, 59, rue de Namur, à Bruxelles.28 février Association. Commerciale et Financière, à 3 h. 1/4 de relevée, au siège social, rue Leys, 24, à Anvers. lr mars Société Anonyme pour le Peignage des Laines à Anvers,à 3 h. 1/2 de relevée, au siège social, Longue rue Neuve, n° 66, à Anvers. Hoboken • Centre, société anonyme, à 12 heures, avenue de l'Industrie, 76, à Anvers. 2 mars « /.urenborg-Extension », société anonyme, à 5 h. de relevée, au siège social, rue Gérard, 2, à Anvers. Brasserie « De Barreel », société anonyme à Wil-ry'.'k, à 4 heures de relevée, au siège social. Chantier Naval « De Toekomst », société anonyme, à à 3 heures de l'après-midi, a.11 siège social, à Boom. , 3 mars Chambre du Bâtiment et. de l'Industrie, société" anonyme, à midi, au local de la société, rue Brev-del, 12, à Anvers. 4 mars Société anonyme de Crédit « Eig>en Heerd », à 4 heures, au siège de la société, 33, Canal des Recollets, à Anvers. fin cherche à acheter des phonographes, rou-" leaux, harmonicas ele. In de Amerikaansche Vlan. 67, Longue rue Porte aux Vaches. — Réparations. — Echanges. — Occasions.

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