Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1916, 27 Juin. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/q52f76774c/
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ANVERS, Mardi 27 Juin 1916 Le numéro 10 centimes Cinquante-neuvième Année - No 17.651 DIRECTION & REDACTION : 14, RUE VLEMINCKX, 14 ANVERS Téléphone 3761 LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligne 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au lignomètre.— Les (llvnr en nii/inf A ' n nvrtp l'nonopn nii'flo npntnûn f AVIS Toutes tes heures renseignées dans notre journal «ont indiquées d'après l'heure de la Tour. . Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien, rue Léopold, 51. T7 inin 1916 11 h- du matin. — Baioinèlre 757. — Anve.s 27 ,u.n Wlb, H _ cen, (lniu., + t4._ Thermomètre Çentlmax^ S,.0. -Prévision : Pluie. Pluviometre: -,1 m/m.— veni. ^ Astronomie 28 juin , 5 h 31m. I Nouv. lune le 30 juin 10 h.23 m Lever du solei... • ■ • |b ^ra' prem.quart.le8 ju.1. 13 „ 55 .. Çoutherdu olel.."22" .. pkine lune leiSjmll. 6 .. 40 I De,^.^2mi. 1.33.. 1 Haute marée à Anvers Matin Soir 28 juin ... 3h.50 m. I 28 juin ... 16 h. 15 m % : ::: S:2:lS : Hauteur du Rbin Colonne 24 juin 3.39 m. Strasbourg 26 juin -m liuuinffen 26 3 03 Lau.erbourg . - . lielil . 3-76 " ïlaxau . ■ " Mannheim 4. . —,m - gïïî-r. 2 : | : Binfn , 276.. Débours 26 2.12.. .. 3.10 „ W.ldsbût .. - - Dusseldorf „ 3.- .. Lobitn ii 12.15 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 26 |uin 2.28 m. Heilbronn 26 juin 0 74 m. Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodeusee Trêves 26 juin 0.62 m Constance 25 juin 4,84 m. PLUS GRANDES MAREES DE L'ANNEE 1916 Cœtiicient Fort de hauteur Philippe Anvers de la marée Hauteur Hauteur 0 juillet # 0.71 1.78 1,79 n u l; 0 0,99 -2.48 2,49 1 août * 0,7b 1,96 1,97 t°û, o'.»7 2.69 -7<) 30 août ' 0,88 2,21 2.22 13 septembre o 1,08 2,71 2,72 29 septembre : ■ * 0,94 2,36 2,37 13 octobre Ou,99 2,48 2,4J 28 octobre ' 0,94 2,36 2.37 11 novembre 0 0,85 2,13 2,14 27 novembre # 0,92 2,31 2,32 11 décembre o0,76 1,91 1,92 | 26 décembre # 0,94 2,36 2,37 * Nouvelle lune. o Pleine lune. Port d'Anvers ARRIVAGES DU 26 JUIN [ Steamer Wilford 111, de Tamise. TtiLEGRAAF 111, de la Hollande. [ Bateauinoieui' Marie, de Lierre. r Allège Emma, de lloboken. » Gstave, de lloboken. I.aure, de Beirendrecht. Lk Vélo, de WiLlebroeck . chercheur, de Louvain. » Capital, de Gand. « Palefroi, de Gand. » Progress II, do G and. » Congrès, de Gand. » Siuonie, de Gand. Hansa II, de Gand. » Justitia V, de Gand. » Rosalie, de Merxem. » .Iohanna, de Moll. .1osephine-Eul\lie, de Bae-lenwezel. » Julia, de Angleur. » Res Nova, de Condé (France). » François, de Lille (France). » Or gods vertrounven, de la Hollande. DEPARTS DU 26 JUIN \ Steamer Wilford III, pour Tamise. » Eugénie, pour la Hollande. » Telegraaf II, pour la Hollande. Remorqueur Hansa 2, pour Gand. Remorqueur Justicia 5, pour Gand. Bateau-moteur Koophaîjdkl 3, pour Louvain. » Zoesie Markie, pour la Hollande. Allège WiLHELMINA, pour' Cal'lOO. » Ostara, pour lloboken. » Coletta, pour Boom. » Eniamreg, pour Gand. » Montcalm, pour Gand. » Utile, pour Gand. » Steenhandel, pour Gand. » Virginie 3, pour Gand. » Rien sans sous, pour Ryckevorsel. » Juliaan De Vriendt, pour Liège. » Emile, pour Liège. » Jeanne, pour Liège. » Ne me méprisez pas, pour Mariemont. » Laborieux, pour Au,vêlais. » Récompense, pour Auvelais. » Quo Vadis, pour la Fra.nce. » Jeune ALtda, pour la France. » Vaarwel, pour la Hollande. » Jouanna, pour la Hollande. Vereimgung 49, pour l'Allemagne." » Caecilia 2, pour l'Allemagne. >. Bayern 30, pour l'Allemagne. » Rhenania 21, pour l'Allemagne. CHRONIQUE* JUDICIAIRE LES FRAUDES AU PREJUDICE DU COMITE NATIONAL Vingt-cinq prévenus ont comparu la semaine der-I nière devant la 4e cliambre correctionnelle pour f s'être rendus coupables de fraudes en matière d'ali-[ mentation. I Les faits sont les suivants : t Plusieurs personnes, munies de la carte délivrée t par le Comité, sont venus acheter des denrées qu'ils ■ étaient obligés, aux termes de l'engagement contracté par eux en signant la carte dont il s'agit, de ré server à leur propre usage ; elles les vendaient par l'intermédiaire d'une femme marchande de moules, K — à deux boutiquiers, moyennant un pourboire ; — et alors ces derniers, les accapareurs qui édifient des fortunes sur nos ruines, vendent ces marchandises, [ qui n'étaient pas destinées au marché, à des prix j ■ usuriers. Joute la bande a été pincée par les soins du Co-I mité et de la police. I Le tribunal a consacré deux audiences plénières à ■ 1 examen de cette affaire, qui avait attiré beaucoup ■ de monde au Palais. i Arpès que l'on eut procédé à l'interrogatoire de f plusieurs témoins, Mr Ryckmans, avocat de In par-I tie civile qui a été constituée par le Comité, a ré-| «lamé un châtiment exemplaire, surtout contre les I iïv\ïr, i!f!Lq.Ul °nt instie,u'' de pauvres diables à I Rpi^if.i.p ' nr tUl!s rîïlailXs les denrées apportées en I * «Commission for Relief». P m!! mie r e" r"les , ner-if[ues ces pratiques abo i "oiés i!u"ig:,ier,ustere ,,uwi- ->* ™ ««• I .J;6t,avocaVî des I>r,év6™IS s<> sont attachés à éta [ 1 'f'",6/1" f'"e cT,,a,mi!l >'es que puissent, être nu I Sî'îlî6 vue,moîa).Mlf®ement« en Question, il I » f,y 'encontre pas les rlrments ,le l'escroquerie ou I . ,rîe confiance mis a charge des inculpés. I ll.s soutiennent que du reste, rien n'établit iiip te« I f-S8 •sa,ls'?s P^vrennent du Comité national; I,, I rraudie, a la frontière hollandaise, malgré toutes les I Sfnl'f ,priSfS' 0St trf'S .ac,ivc' « f''e5t de là'que I Sî'liants ' 868 am e" gran<le quanti*.'- aux XXX ■ r.e jugement dont il est question ci-dessus vient ■ filtre rendu. ■ J! "ost pas motivé, bien que la défense ait déposé ■ IPS conclusions eu droit. Il se borne à déclarer les ■ prévenus coupables d'escroquerie. I suivantes ont été prononcées dans la ■ «il? ! e (,es deux causes, celle où il y avait vinet- ■ cinq inculpés. I ^ïnarchand principalement compromis, une an- ■ ee a emprisonnement et 26 fr. d'amende. I La personne qui s'est faite l'intermédiaire entre les accapareurs et les pauvres gens qui ont acheté dans les magasins du Comité les marchandises qu'ils leur devaient livrer, 7 mois de prison et 26 fr. d'amende. Cinq autres prévenus, respectivement 5 mois de prison et 26 fr. d'amende ; 4 mois et 26 fr. ; 3 mois et 26 fr. ; 2 mois et 26 fr. ; 26 fr. d'amende, condi-tionnellement.Tous les autres à 8 jours de prison conditionselle-ment.Dans la seconde affaire, les trois prévenus sont condamnés respectivement à 7 mois de prison et 26 fr. d'amende, à 5 mois et 26 fr. ; à 3 mois et 26 fr. Statuant sur les conclusions de la partie civile, le tribunal accorde à celle-ci le franc qu'elle a réclamé à titre de réparation. Service postal et télégraphique A partir de ce jour les villes de Bruxelles,-Liège, Verviers, y compris les faubourgs et les communes environnantes, ainsi qu'Anvers et llasselt- sont admis à l'échange de télégrammes privés avec l'Au-triche-Hongrie.D'autre part on an-nonce que pour 1.1 correspondance postale du Gouvernement général avec l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie, en dehors des langues française,flamande et allemande, la langue magyare est autorisée. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Adalands. — Londres, 23 juin. - Le capitaine du steamer norvégien Roland, arrivé à Newport, rapporte avoir recueilli, le 20 crt à environ 25 milles de Bishop's Rock, un canot de sauvetage du steamer norvégien Adalands. (Le steamer Adalands était parti le 15 juin de Port Talbot pour St-Nazaire). Dirphys. — Rosario, 23 juin. — Le vapeur grec Dirphys s'est échoué près de Tonelero. Un remorqueur prête assistance. EXTERIEUR GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG Pénurie cîs pommes de terre Une pénurie de pommes de terré commence à se faire sentir dans les localités les plus importantes du Grand-Duché, le gouvernement a, fait un pressant appel aux marchands afin qu'ils mettent leurs pommes de terre en vente au prix légalerhent. fixé. ALLEMAGNE Les semelles de carton Le Conseil fédéral vient d'interdire la fabrication de chaussures à semelles renfermant du carton ou autres matières sans résistance. ANGLETERRE L'alimentation En réponse à une demande de M. G. Thorne, délégué ouvrier, le ministre Harcourt a déclaré que le « Board of Trad-e » ne voyait pas l'utilité d'introduire en Angleterre le .système des cartes de ménage, ni celui des prix maxima pour la viande. ETATS-UNIS La construction des navires On évalue le total de la construction des navires, dans les ports américains, à 1.300.000 tonnes. Dans ce chiffre, sont compris trois grands navires de guerre. L'industrie l.o journal, spécial « lron Age» annonce que le marché de l'acier subit en ce moment aux Etats-Unis un temps d'arrêt, mais que ce fait n'a aucune influence sur -les prix. Les commandes continuent à affiner et la. situation peut être envisagée comme très favorable pour l'avenir. Les principales fabriques ont à faire face à des commandes qui leur assurent une situation favorable pour plusieurs mois. L'assurance à travers les siècles Le principe de l'assurance remonte à la plus haute antiquité. En effet, les Hébreux faisaient déjà, de l'assurance leur pain moral, quotidien. C'est ce qui prouve une fois de plus, qu'il n'existe absolument rien de nouveau sous la calotte des cieux. Détail à signaler en passant — dans cette primitive pratique de la prévoyance — c'était le maître Baudet qui la personnifiait ! Oui, un âne, car, lorsqu'un membre-faisant partie d'une caravane venait à perdre un de ses pensionnaires, on remplaçait, aux frais de la masse commune, le cher disparu par un quadrupède de même espèce. Chose bizarre et qui démontre que les anciens avaient déjà de l'assurance une notion exacte, c'est-à-dire la notion de l'assurance limitée à la simple réparation du dommage causé, c'est que la couverture du sinistre — en l'espèce la perte de l'âne — devait se faire en nature. D'autre part, les anciens pratiquaient sans nul doute, par intuition, la mise en commun des risques à charge de la collectivité. Nous ne parlerons pas des Grecs et des Romains, chez qui l'on retrouve deô vestiges de l'assurance et de la constitution des rentes viagères. En avançant dans l'histoire, nous rencontrons les corporations du Bas-Empire qui se constituaient en sociétés de Secours mutuels. A cette époque, fonctionnaient les caisses dites « Funératiennes », dans lesquelles on versait des cotisations qui servaient lors du .décès de l'associé à pourvoir aux frais de sépulture et aux cérémonies religieuses qui la suivaient.Au moyen-âge, les membres des Gildes recevaient des soins en cas de maladie, des secours en cas de vieillesse, die perte d'un membre, de perte cl'une bête de valeur, en cas de pillage, d'incendie, de perte de la fortune dans un naufrage. C'était là sans doute l'embryon de l'assurance contre l'incendie et les accidents. Au moyen-âge, fonctionnaient aussi des organismes qui, moyennant versement d'une cotisation, payaient lors du décès les frais de sépulture et ceux des messes, dont le public était fort friand. Quant aux origines de l'assurance maritime, voici quelques détails intéressants. Dins l'assurance maritime primitive, on stipulait que, pour le prix du risque, une prime dite prime de grosse serait engagée, mais que cette prime serait rendue, ainsi que le capital prêté, en cas de bonne arrivée du navire. Les risques étaient à la chargé du prêteur, mais l'emprunteur devait payer un intérêt élevé en même temps qu'il pouvait être contraint à rembourser, selon les cas, le capital engagé. Il est à rema-rquier, que dans l'assurance maritime actuelle, l'assureur, lui, reçoit d'avance une prime représentant le coût du risque, et s'engage, à payer la somme assurée en cas de naufrage. Les premières traces d'assurances-vie remontent à l'année 1533. C'est au cours de cette année, que l'on découvre la plus ancienne police d'assurance sur la vie. Voici, quelques détails sur cet important document.Le montant du capital était de fr. 10.582,90; il devait être payé à un sieur Richard Martin, dans le cas où le nommé William Gibbons viendrait à mourir dans les douze mois. Cette police était souscrite par treize personnes qui avaient pris des engagements vaViant entre 625 francs et 1280. Le taux de la prime était de 8 %. William Gibbons mourut, mais les assureurs refusèrent de payer sous prétexte que Lami William avait survécu quelques heures au terme de douze mois assignés par la police d'assurance... Les experts nommés — il y en avait déjà — pour examiner le fond de la question se prononcèrent contre la prétention des assureurs. Ceux-ci, pour allonger les débats — ce ne serait plus le cas de nos jours peut-être I — frappèrent d'appel la première décision. L'affaire fut donc portée devant les magistrats de la Cour de l'Amirauté, compétente en ces matières. En 1587, la Cour rendit son arrêt. Malheureusement, pour les assureurs, cet arrêt confirma le premier jugement et les assureurs bon gré mal gré durent passer à Ja caisse? Ainsi se terminèrent les incidents judiciaires auxquels donna lieu la première et la plus ancienne de nos polices d'assurances sur la vie. Depuis lors, les conditions des polices se sont profondément modifiées, et après diverses phases et transformations, la police d'assurance sur la vie est devenue cet extraordinaire instrument de crédit dont la disparition causerait des troubles graves dans notre vie économique ; elle pénètre dans tous les milieux. Bref, l'assurance est aujourd'hui un des facteurs les plus importants du travail, puisqu'elle garantit le capital producteur par excellence : le capital humain. INFORMATIONS FINANCIERES BOURSE OfFICIEUSE D'ANVERS j Séance du 26 juin. -- La réunion de ce jour fait preuve d'une activité soutenue pour les valeurs courantes, celles-ci maintiennent en conséquence les meilleurs cours enregistrés déjà antérieurement. La grande fermeté de l'Astra Roniana donne aux pétro-lifères une orientation favorable quoique les affaires dans ce groupe restent assez étroites. Les valeurs caoutchoutières supportent quelques réalisations qui ne s'exécutent pas sans entamer quelque peu leurs prix. En rentes belges les offres de la dernière séance ont été rapidement absorbées et la. fermeté s'accentue à nouveau notamment en Belge 3 % mai-novembre, les gros titres mêmes voient se réduire notablement l'écart qui les séparait des coupures courantes 71-72, le Belge 3 % émission anglaise se paye 78,75-79,75, le Bon du Trésor 4 % 1917 100,50-101,25, Annuités 3 % 77,25-78,25, Vicinaux 3 % 74-75. Parmi les lots de ville l'Anvers 1903 est seul en perte de quelques décimes, les autres lots conservent leurs prix et parfois se paient plus cher. Anvers 1887, 81,75--S2,75 ; Anvers 1903, 71-72 ; Bruxelles 1905, 68,50-69,50 ; Gand 1S96, 63-64; Liège 1897, 62,50-63,50; Liège 1905, 64,50-65,50 ; lot du Congo, 74-75. Le groupe des valeurs internationales jouit toujours d'une faveur qui ne se dément pas. Une réaction de cours se présente--bien rarement, par contre il se présente de nombreux cours argent auxquels il n'est opposé aucune offre qui puisse être prise en considération vu le manque de titres. Les Sud-Américains recueillent leur bonne part des transactions. La Cédule nouvelle profite des bonnes dispositions pour progresser entre 103,50 et 104,50, la Cédille L ne suit que de plus loin à 107,25-108,25. On offre 110-111 en Cédules il et 91,50-92,50 en Cédules K, la série or trouverait preneur à 105,50-106,50. Eu emprunts fédéraux nous notons 97-98 en Argentin 4 1/2 Intérieur et 96,25-98 -suivant coupures en Extérieur 4 1/2; le 4 1/2 1911 e£t l'objet de négociations plus suivies à 92,25-93,25, le Buenos-Ayres ville \ 1/2 1888 cote 95-96. si les dettes brésiliennes n'ont pas d'échanges particulièrement nombreux ce n'est pas faute d'amateurs. On négocie toutefois le -Brésil fun-ding entre 95 et 96 et le 4 % entre 68,25 et 69,25, le ; 1/2 1883 et 1888 trouveraient acheteur à 72^0-73,50. Rien en Uruguay aujourd'hui, le 3 1/2 vaudrait 73,50-74,50, le 5 % 1914 est offert à 88, demandé à 87,50. Cédules uruguayennes. 97-93. On traite le Chili 5 % 1911 à 95-96 et le 5 % 18% à 92,25-93,25. les dettes chinoises et japonaises ne manquent pas d'amateurs. Japon Railways 102,50-103,50, le 4 1/2 1905 n'est plus obt.enable même entre 97 et 98, le 4 % 1905 est tout aussi rare entre 90 et 91. Le Chinois i 1/2 1898 obtient 85,75-86,75. Notons encore quelques bons cours en Russe 1880 à 79,25-sO,25 et en Russe Nicolas à 82,75-83,75, le 5 % 1906 fluctue assez largement entre 91,25 et 93. Le 4 % Roumain 1894 s'établit à 84,75-85,75, le 4 1/2 1913 à 88-89 et le 5 % 1903 à 97,25-98,25. Le .lassy se présente à 87,25-88,25 et le Bucha-reste 4 1/2 à 89-90. Aux rubriques diverses on demande l'action Banque d'Anvers sans cependant qu'une affaire conclue en fixe le prix qui dépasserait probablement 1400. La jouissance Crédit Foncier Sud-Américain n'a qu'un prix nominal de 1675 environ. La privilégiée Crédit National Industriel cote 265-271 et l'ordi naire 260-265. Banque • Centrale Anversoise 445 A., t-50 P. Dividende Banque Belge de Prêts Fonciers 460-470. Privilégiée Crédit Mobilier Sud-Américain 1030-1040, obligation Zoologie 410-420, capital Tramways de Saratow 92,50-97,50, capital Tramways de Kiew 95 acheteur, capital Tramways de Rotterdam 95 A., 100 P. Dans le groupe des pétrolifères l'Astra Romana recueille de nouveaux succès, le cours de 1700 -est franchi et s'établit entre 1700 et 1780. Grosnyi est l'objet de quelques bons échanges, l'ordinaire fait 2615-2665 et la privilégiée 2760-28.10, capital Boryslaw 45 A. 48 P. On nous informe que le dividende de l'Astra Romana se payera à partir du 29 courant par Lei 125 contre le coupon N° 6, la distribution en titres se fera à partir de septembre prochain sur présentation du coupon N" 7, huit coupons N° 7 donnent droit à une action nouvelle. Les valeurs caoutchoutières comme nous le disions au début sont lourdes. La Federated a été traitée entre 565 et 590, la Kuala Lumpur entre 124 et 128,50, la Sennali entre 44 et 46,25. Les plus bas cours rencontrent toutefois plus de résistance. Action Taiiganyika 73-76, obligation 189-193. BOURSE OFFICIEUSE DE BRUXELLES Séance du 26 juin. — La séance s'ouvre au milieu d'une certaine animation, qui fait esDérer un instant de bons résultats au point de vue des cours. Tout bien examiné, le nombre d'affaires traitées a été plutôt restreint et les cotations n'ont pas donné ce qu'elles laissaient espérer. Le fond du marché est toutefois résistant. Les rentes et lots de villes se traitent couramment encore et dans des prix respectables. Voici les cours : Rente Belge 3 %, 70,75-72 ; Bons du Trésor 4 % 1917, 100,75-101 ; Congo lots, 75,25-75,50 ; Anvers 1903, 71,25-71,50; Anvers 1887, 82-82,25 ; Bruxelles 1905, 68,75-69 ; Bruxelles Maritime, 62,75-63 ; Gand 1S93, 63,25-63,50 ; Liège 1897, 62,75-63 ; Liège 1905, C6,75 ; Schaerbeek 1897, 59,50. Les obligations industrielles ont encore un marché étendu et bien disposé. La 5 p. c. Sucreries en Roumanie est ferme à 472,50, la Pampelnne spéciale est demandée à 372,50, la 5 % Sucrerie St-Jean se traite à 400, la 5 % Tramways Toscans se ramasse à 460, la 4 % Tramways de Livourne a des amateurs à 412,50, et la 5 % Tôleries de Konstantinowka se demande à 465. Au groupe des actions bancaires, on rencontre des acheteurs en Banque d'Anvers à 1400, en Banque Nationale de Belgique à 3350, en Société Générale à 5875, et vendeur en fond. Crédit National Industriel à 4400. Les tramways sont calmes au possible. La cap. Braïla est à 112,50, 115, et l'ord. à 210, 212, on fait 142,50 en Entre].l ise de Travaux, 45,75 en div. Espagne Electriques et 1145, 1150 en fond., et 405 en div. Mutuelle. Au groupe métallurgique, les affaires sont très restreintes également. En fond. Thiriau, il y a argent à 110, on cote 457,50, 460 en div. Estampage du Donetz, on reste à 980 en Ougrée, on fait 532,50, 5:'5, 540 en Providence Russe B, 217,50, 220, 222,50 en C. mais on finit avec 218,75 papier. Les titres charbonniers se montrent bien calmes également ; ils sont dignes pourtant d'un meilleur sort. Anderlues progresse toutefois à 925, Bonne-Fin est demandée à 915, et Espérance Bonne-Fortune à 505. Le Hainaut est recherché à 465, le Hasard cote 765, La Haye est en régression à 350, 355; la div. Laura est ferme à 577,50, et la cap. est recherchée à 1130. Peu de chose à dire des petites rubriques. On offre les Glaces du Midi de la Russie à 925, les Verreries du Donetz cap. cotent 292,50, et on reste argent à ce prix. On paierait 725 pour les deux catégories de titres Eclairage du Bassin Houiller de Mon s, on offre les Ciments Liégeois à 200 et on recherche la priv. Haren à 70 contre 60 la semaine dernière. Au compartiment colonial, les cotations sent plutôt discutées. Ainsi, l'ord. Katanga est lourde à 2300, la fond. Lacourt est offerte à 400, la cap. Union Minière est résistante à 1280, 1290, 1295, et la Tanganyi-ka se redresse à 75,25, 76,25. Au groupe des valeurs de plantations, les transactions sont absolument nulles, sauf pourtant en Se-langor, qui se tient dans les environs de 225. Rien de bien particulier à dire des diverses en dehors de l'avance acquise par l'Astra Romana à 1690. En Brasserie de l'Etoile, il y a acheteur entre 25 et 26 ; il y a preneur aussi en cap. Pétroles de Tustanowice à 40. La Sucrière Européenne est demandée à 38 en cap. et 31 en fond.; la Sucrerie St-Jean cap. fait 45 et reste demandée à ce prix la fond, est ferme à 47,50, 50, 52,50. Les quelques valeurs étrangères traitées font preuve d'une certaine fermeté. Les Nitrate Rails à :'»60 se redressent légèrement, la Dniéprovienne est demandée à 2925, la Kolomna progresse à 505, 510, 5I5 ; la Métallurgique Russo-Belge est mieux à 1830, 1835, mais la Taganrog est lourde à 360. COURS DU CHANGE Rotterdam, 26 juin. — Londres, 11. 11,49 1/2. Berlin, fi. 43,821/2. Paris, fi. 40,85. Amsterdam, 26 juin-.-— Londres, 11. 11,50. Berlin, fi. 44,05. Paris, 11. 40,92 1/2. Suisse, 11. 45,70. Vienne, fl. 36,50. Copenhague, 11. 69,55. Stockholm, 11. 69,65. Saint-Louis-San Francisco. — Une dépêche de New-York, datée du 20 courant, annonçait que les dernières particularités du plan de raffermissement sont définitivemëîît arrêtées. En même temps on apprenait à quel cours les nouvelles obligations seront émisés, ce qui a permis de calculer la valeur actuelle des anciens Bonds. Comme les porteurs de 1000 dollars 4 p. c. Refun-dings Bonds reçoivent, d'après le projet, 750 dollars, 6 p. c. des nouveaux Bonds cumulatifs et que les cours de ces deux valeurs sont repéetivement 70 3/4 et 83 1/2 p. c., les Refundings ont donc actuellement Une valeur d'émission de 74 p. c. Banque de Bruxelles-Banque Internationale. — Nous apprenons que les deux Comités constitués par les dites banques viennent de se mettre d'accord sur les conditions de fusion. Cet accord de principe sera examiné incessamment par les conseils d'administration en cause, pour être soumis ensuite aux actionnaires en assemblée extraordinaire. Caisse Générale de Reports et de Dépôts, à Bruxelles. — Naguère, dans une information relative à cet important établissement, nous mentionnions ici l'heureuse mesure arrêtée dans l'intérêt — et ce n'est pas une simple image — des porteurs de ses „obligations. La Caisse Générale de Reports prend à "sa charge, disions-nous, le nouvel impôt supplémentaire de 2 % édicté le 20 mai dernier. Aujourd'hui, il nous faut attirer l-'attention sur la circulaire ci-dessous, adressée par la banque a ses clients, circulaire que la Presse bruxelloise commente avec de très flatteuses appn ci lions. » Les envois de fonds présent i-.it actuellement certaines difficultés et- faisant courir des risques de pertes, nous croyons devoir rappeler votre attention sur les avantages qu'offrent les Chèques Barrés et les Mandats de Virement. » Les. Chèques Barrés doivent être encaissés par l'intermédiaire d'une banque; les risques de perte ou de vol spnt ainsi presque complètement supprimés.» Les Mandats de Virement ne peuvent être utilisés qu'au profit d'un tiers ayant un compte dans nos livres. Ils permettent les règlements sans dépècement de numéraire et sans perte d'intérêts. » Par suite de la sécurité qu'ils présentent, les Chèques Barrés et les Mandats de Virement peuvent être expédiés sans inconvénient dans des enveloppes ouvertes. » Nous vous rappelons également que les carnets de Chèques Barrés et de Mandats de Virement sont déliyréSv gratuitement à nos client et vous engageons à en faire un fréquent usage ». A notre tour, et nous souvenant de ce que fit la Caisse de Reports qui « démocratisa » l'usage du c'ièque barré et du mandat de virement, nous ne saurions assez recommander au public de profiter largement de ces précieux avantages. De tous nos établissements bancaires c'est, la Caisse Générale de Repolis qiii s'ingénie à donner à tous des preuves constantes de son profond souci des intérêts belges. Dette diplomatique du Venezuela, 3 p. c. 1905. — Le Council of foreigu Bondholders annonce la réception d'un- chèque de 17.563 liv. st. à valoir sur le solde du service pour la dette extérieure (premier semestre 1916). Hauts-fourneaux et mines de Musson. — Par suite des circonstances, toute l'activité de cette société s'est, bornée au cours de l'exercice écoulé à réaliser son stock de fonte et le bilan qui sera soumis aux actionnaires le 28 courant n'est qu'un bilan d'attente. L'exercice précédent avait permis le report d'un solde de fr. 69.275,47. Les diverses rentrées de l'exercice envisagé ont porté cette somme à fr. 109.302,39. Déduction faite de quelques minimes allocations, le solde favorable de fr. 105.226,35 est reporté à nouveau . Chemin de fer Métropolitain. — Recettes du 5 au Il juin 1916: 1.10!».479,55 fr., donnant depuis le 1er janvier 1916 25.982.378,15 fr., contre 20.452.344 fr. en 1915. Différence en faveur de 1916 : fr. 5.530.034,15. Tramways de Budapest. — L'examen du bilan de cette société, publié aux annexes du « Bulletin Officiel », fait ressortir pour l'exercice de 1915 un bénéfice de fr. 8.507.797,49, après allocations diverses aux postes suivants : redevances, fr. 2.255.012,92 ; secours et subsides, 175.449,75 ; impôts 1.029.971 ; intérêts obligataires et des emprunts 1.870.527. Il a été amorti en outre pour 596.000 fr. d'actions et pour 745.670 fr. d'obligations en 1915. Le bénéfice de fr. 8.507.797,49 signalé plus haut a donné lieu à la répartition sul-vanté: dividende de 32 kr. à 211.916 actions de capital, soit 6 millions 781.312 ; de 22 kr. à 21.663 actions de jouissance, soit- 463.386. Il a été réparti en tantièmes attribués au Conseil, au Comité spécial et au personnel, une Somme de fr. 770.84. Le reliquat, soit 492.955,49, a été reporté à nouveau. Electricité de Rosario. — Extrayons du rapport présenté à l'assemblée générale du 22 courant les quelques renseignements ci-après : Les recettes totales se sont élevées en 1914 à fr. 5.745.646 .et en 1915 à fr. 5.656.209. Le recul provient notamment de la réduction des tarifs. En effet, l'éclairage des maisons particulières fut en augmentation de 6 pour cent et le nombre de kilowatts-heure s'est, accru de 12 pour cent. Les maisons de commerce ont- produit une recette inférieure de 8 pour cent à celle de 1914. La réduction de dépense obtenue en 1914 et qui comparée à celle de 1913 atteignait 5 pour cent, n'a pu être maintenue par suite de l'élévation .des prix du charbon. Le prix moyen en était, en 1913, de 53 fr. en 1914 de 46 fr., en 1915 de 66 fr., et il atteint en avril 1916, 150 fr. la tonne anglaise. L'examen du compte de profits et pertes fait ressortir un bénéfice de fr. 923.739,46, qui a été réparti de la façon suivante : à la réserve légale, fr. 45.556,76 dividende de 5 pour cent à 175.000 actions de capital, soit 875.000 fr. ; solde à reporter, fr. 3.182,70. Chemins de fer Namur-Liége. — Cette Société a décidé de surseoir au tirage des obligations. Bornéo Sumatra Handei Mij. — La direction pro posera de distribuer un dividende de 9 % comme en 1914. Finances et change mexicains l.es capitalistes lielges ont, an Mexique, des in-térêts relativement importants. Plusieurs emprunts de ce pays figuraient Yi la cote officielle de la Bourse d'Anvers, et diverses entreprises privées avaient été mises sur pied grâce à l'initiative et aux capitaux de nos compatriotes. Depuis le début de la guerre, les nouvelles se sont raréfiées, et celles qui nous parvenaient de loin en loin revêtaient un caractère inquiétant et vague, peu propre à rassurer les détenteurs de titres mexicains. Nous croyons donc intéressant de publier 'es considérations suivantes : « De tous les problèmes qui se posent en ce moment. au Mexique, le problème financier "ollicite en tout premier lieu l'attention. Le gouvernement mexicain a émis pour environ S 250.000.000 de bWlets^t les banques, de leur côté, ont mis en circulation un montant voisin de S 222.588.000. En tenant compte d'une perte de 30 p. c., au change, la circulation des banques est couverte à concurrence de 34 p. c Ep y ajoutant les 10 p.. c. de réserve de conversion, on atteint 44 p. c. D'autres postes de l'actif, à condition d'être réalisés prudemment au cours'des cinq années prévues par la loi, laisseraient vraisemblablement encore quelque 30 p. 3. En considération de cette situation et du fait que le service de la dette publique est actuellement en souffrance, le gouvernement a proposé l'établisse ment d'une banque centrale d'émission, dotée du monopole en cette matière. La souscription du capital de cette entreprise serait ouverte aux banques actuelles, et les particuliers qui le désireront seraient également admis à y participer. On y r-dop-terait le principe fondamental, régissant la Banque de France, de la couverture métallique des engagements, et l'on envisagera la création d'un système d'agences. Par arrêté du 29 septembre 1915, une commission d'enquête sur la situation des banques au Mexique fut instituée. Dès la réception des réponses à un questionnaire adressé par cette commission aux établissements intéressés, il fut constaté que sur seize banques, il n'y en avait pas moins de treize qui avaient outrepassé les privilèges que des lois leur avaient octroyés. La commission ne leur accorda qu'un mois de délai pour mettre leurs affaires en concordance avec les lois en question, uans ie cas où la situation ne serait pas régularisée endéans ce délai, la liquidation serait prononcée. L'article 16 de la loi avait surtout été généralement enfreint. Cet article stipule non seulement que la circulation fiduciaire ne peut excéder le triple du capital de la banque émettrice, mais que cette circulation, en y ajoutant le montant des dépôts exigibles à court terme, ne peut dépasser le double de l'encaisse réelle de la banque, argent en barres y compris. La commission s'appuya d'ailleurs encore sur une loi complémentaire qui excluait l'argent en barres de cette faculté d'être ajoutée à l'encaisse, pour la raison bien simple que le métal conservé sous cette forme ne pouvait servir à rembourser aux déposants le montant de leur avoir en compte. Les banques cependant n'admirent point ces modifications à la loi primitive, et nièrent donc toute obligation de ce dernier chef. Le capital étranger possédant un certain intérêt-dans ces banques, la question donna lieu, de la part de l'Angleterre, à certaines représentations diplomatiques. L'attitude du gouvernement fut alors modifiée, et, pour donner aux banques un gage de sa confiance, il proposa de participer, lui aussi, au capital de la banque centrale projetée. J-es pourparlers continuent sur cette base. Il est à remarquer que le système moderne des banques mexicaines, créé par .>osé Limantour et ses amis, fut assis sur des fondements si solides qu'il résista à une révolution qui eût infailliblement, renversé nombre de banques en d'autres pays. Les banques en question disposent actuellement d'une encaisse de -S 83.000.000 contre une circulation fiduciaire de S 222.588.000. Si l'on tient compte d'une dépréciation de 12 p. c. de l'argent-métal, de 60 p. c. pour les billets de banque émis par Huer ta et de 88 p. c. pour le papier de Carranza que les banques ont en portefeuille, on arrive à une valeur équivalente à 37,6 cents en argent pour chaque dollar en circulation. Les banques possèdent en plus certaines réserves atteignant $ 44.379.000 et un actif réalisable assez aisément d'environ 46.194.000 dollars. La période critique pour le système bancaire mexicain- s'écoula d'octobre 1913 à février 1915, et, grâce à une remarquable élasticité et une précieuse faculté de « récupération », la majorité de ces établissements jouit maintenant d'une situation sensiblement meilleure. Il s'ensuit que si la république mexicaine a eu besoin d'une révolution pour renverser son système politique, pareille intervention est absolument superflue en matière économique contre son organisation bancaire. Le gouvernement a mis en circulation, comme il est dit plus haut 8 250.000.000 de billets. Les banques ont émis de leur côté environ 8 82.000.000 de billets garantis par les 27.365.000 dollars Bons du Trésor 6 p. c. dont la souscription leur fut imposée. Le cours moyen de la circulation constitutionnelle varia de 4 cents en or par dollar papier à 10 cents environ (soit une dépréciation légèrement supérieure à 80 p. c.). Au même moment, le cours le plus bas de la circulation fiduciaire des banques, « couverte » par des billets Huerta, n'était que de 13 cents-or, le cours le plus élevé étant 25 cents, et la moyenne 19 cents. Ces deux émissions se composant de'papier-rnon-naie, elles devront être retirées de la circulation. Pour atteindre à ce résultat, il faudrait, en or américain, 8 17.500.000 pour le papier constitutionnel et 8 15.600.000 pour le papier des banques, — au total 8 33.100.000. Une émission de S 50.000.000 d'obligations-or 5 p. c .remboursables par séries, garantis par le gouvernement mexicain et par les banques, et /gagés par une hypothèque sur certains revenus intérieurs serait donc amplement suffisante pour retirer de la circulation la totalité des billets a caractère plus ou moins fictif ou irrégulier. Elle fournirait même un montant supplémentairement disponible, et susceptible de permettre tant au gouvernement qu'aux banques, de soutenir et d'améliorer efficacement le change extérieur. » La production du pétrole Oost-Borneo Maatschappij La production des terrains de la Oost-Borneo Mii;itsrhdippi, ;'i KoeiteJ, pendant le inois die. mars 191G, n été de 4770 tonnes. Ci-après tableau, comparatif : 1916 1915 1914 1913 (tonnes) Janvier 3.948 3.930 7.610 3.615 Mars ',.770 3.837 8.940 2.950 Février 4.401 4.900 8.700 3.035 Avril — 7.920 7.530 2.670 Mai — 8.084 7.180 4.030 Juin — 6.177 6.755 7.447 Juillet — 6.992 7.221 7.1S4 Août — 6.943 4.930 9.668 Septembre — 5.619 4.241 9.766 Octobre — 5.799 4.213 10.043 Novembre — 5.064 4.321 9.309 Décembre — 3.956 4.S86 9.160 Total — 68.226 75.977 78.877 AVIS Nous avons l'avantage d'informer les porteurs de titres des sociétés suivantes dont nous avons assumé le service financier en Belgique : Port of Havana Docks Cy, Municipality of Para Imp., San Antonio Land et Irrigat, Etat de Santa Catharina 1909, Ville de Pernambuco (Récife), Minas Geraes EL L. T. que nous nous tenons à leur entière disposition pour tous renseignements gratuits sur ces valeurs, comme sur toutes valeurs Brésiliennes et Canadiennes, pour lesquelles nous• représentons des intérêts importants. P. Kummer & Co, BANQUIERS 26, avenue des Arts, Bruxelles. Compagnie Rurale Anversoise SOCIETE ANONYME à ANVERS MM. les Actionnaires sont priés d'assister à l'assemblée générale ordinaire de notre société qui se tiendra le SAMEDI 15 JUILLET PROCHAIN, à onze heures du matin, au siège social, 23, place de Meir, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Exposé de la situation. Indication des causes qui empêchent le Conseil d'administration de présenter 1-e bilan et le compte de profits et pertes de l'exercice social clôturé le 29 février 1916. 2° Nominations statutaires. Poiir prendre part à l'assemblée MM. les Actionnaires, auront soin de se conformer à l'article 32 des statuts. Cuivres, Métaux et Produits Chimiques d'Hemixem SOCIETE ANONYME Siège social à Hemixem lez-Anvers Messieurs les porteurs d'obligations sont informés de ce que le coupon N" 8 de nos obligations sera payable par fr. 7,84 (déduction^faite des 2 % d'augmentation du taux de la taxe décrétée par l'arrêté du 16 mai dernier) à partir du lr juillet prochain à : la Banque d'Anvers, à Anvers ; la Banque de l'Union Aiiversoâse, à Anvers ; la Banque Belge pour l'étranger, à Bruxelles. La Direction. Transports pour toute la Belgique de marchandises par service accéléré et à prix réduits S'adresser : 65, RUE SANDERUS, ANVERS. La maison s'occupe des formalités de sortie.

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Cet article est une édition du titre Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires appartenant à la catégorie Financieel-economische pers, parue à Anvers du 1858 au 1979.

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