L'écho: journal régional hebdomadaire

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s.n. 1917, 18 Mars. L'écho: journal régional hebdomadaire. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/3n20c4v52c/
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SEPTIÈME ANNÉE. — N° 11. Le Numéro : DIX CENTIMES DIMANCHE 18 MARS 1917. L'ECHO Journal régional, hebdomadaire flUDE.RGHEM = BOlTSFORT = E.TTE RBEEK = I XE.LLE S = WATERMflEL = WOUUWE Administration, Rédaction, Publicité : 106b, Rue de l'Arbre-Bénit, 106b, Ixelles L'ECHO est en vente partout le Samedi. ABONNEMENTS : jà partir de 10 heures ;dujmatin Trois mois fr. 1.25 — Six mois 2.50 Chaque semaine, de 4 à 8 pages Un an 5.00 DIRECTION g. ghislain INSERTIONS < En deuxième page la ligne, fr. 0.50 Troisième page ordinaire ... 1a ligne, fr. 0.40 Modes, Sports, Spectacles, etc 1.00 Petites annonces (1 à 3 lignes) 0.50 Nécrologies i.oo La grande ligne n 30 Ventes, avis de sociétés 0.50 La petite ligne 0.20 ON TRAITE A FORFAIT ON ARRETE LES VOLEURS DE PAINS ! Plusieurs Boulangers sur: le banc de l'iniamie. • - Des Milliers de Pains vendus quatre ou cinq irancs. - - Un Falsiiicateur qui ne manque pas de toupet. - - Vols à l'Alimentation. Boulangeries clandestines. - - Condamnations. AVIS Les bureaux du journal «ont transférés 106b, rue de l'Arbre-Bénit, à Ixelles. Prière d'y adresser toutes les communications, à M. Ghislain, directeur responsable. —lia Haut les Cœurs!! Sus aux chacals affameurs Depuis que L'Echo a commencé sa aattue contre les accapareurs, journellement, sa boîte aux lettres s'est emplie de missives que l'on pouvait partager en trois catégories. 1° Félicitations, congratulations, etc. ; 2° Dénonciations, mise au jour de nouveaux méfaits des chacals accapareurs; 3° Menaces, injure rte derniers laturellement et toujours anonymes. La première catégorie de lettres est certes flatteuse, mais nous lui préférons la seconde. Ce qu'il faut, c'est de l'action ! Chacun de nous, amis lecteurs, con-lait son quartier, dans sa maison parois un de ces êtres aux moyens de subsistances hypothétiques, ancien cocher, ;atetier, tripier quelconque et actuellement boursicotier, détenteur de stocks de marchandises de première nécessité accaparées et soustraites à toutes les vues Jepuis des mois en attendant la hausse, tiausse qui elle-même est provoquée par a disparition de ces marchandises du marché. Tous les articles sont aptes à la vile ;xploitation de ces requins égoïstes et fainéants, dont la « journée de travail » se passe à jouer l'argent « gagné » à taire crever leurs semblables de faim. La hausse travaille po..r eux, ces messieurs en sont les entretenus chéris. CesLttres, nous indiquant leurs repaires ïmi lecteur, ne nous arrivent pas encore en nombre suffisant. Tu as peur, tu crains d'agir en mouchard ! Combien ici ce terme est impropre, c'est en justicier que tu t'ériges en défendant ta peau et celle de tes semblables! Songe que si toi, tu ne souffres pas encore de la pénurie des comestibles, parce que tes moyens financiers te permettent encore de résister, d'autres que la misère n'a pas épargnés, leurs femmes efflanquées et leurs enfants rachitisés se roulent dans les affres d'une faim perpétuelle. Songe (Songez-y aussi, MM. les bourgmestres et commissaires de police) que l'indignation légitime de ces malheureux peut en taire des voleurs, des assassins qui, aujourd'hui peut-être, sacrifieront ton être égoïste pour s'emparer de la pitance nécessaire à la subsistance des leurs en affirmant courageusement ainsi leur « droit à la vie ». Comme la faim fait sortir le loup du bois, chez les hommes, elle arme la main du désespéré. Songe, bourgeois aisé et insouciant qu'il fut un temps pendant la guerre où le prolétaire put manger à sa faim! Ce temps a fui, et maintenant, c'est toi la proie convoitée; tu noues encore les deux bouts aujourd'hui, mais demain, peut-être, la misère entrera à ton foyer. La hausse, l'impitoyable hausse continue son œuvre de hyène abjecte, et eux, les accapareurs, ils rient, en se nourrissant des entrailles évidées de leurs victimes inconscientes ! Lecteur, chaque fois que tu nous signale un de ces individus et sa tanière, tu nous permets d'en saisir le parquet, tu débarrasses la société d'un être malfaisant et dangereux et tu mets dans la circulation un nouveau stock de produits de nécessité, d'où baisse de prix sur ce produit ! Chaque fois que tu nous permets par tes renseignements de faire une nouvelle polémique dans notre feuille de combat, notre plume jette l'effroi dans des âmes de canailles et bien souvent tu les fais fléchir et rendre gorge avant qu'ils ne se sentent personnellement découverts. Les résultats de nos campagnes précédentes ont pu t'ouvrir les yeux à ce sujet. C'est une tâche d'épuration, d'humanité et de justice que nous nous sommes imposée et qu'il est de ton evoir de nous aider à remplir jusqu'au bout ! Haut les cœurs, donc et n'hésitez plus ! Ménagères, qu'on attend aux magasins communaux pour vous racheter les marchandises qui vous sont destinées; gens du peuple, employés, bourgeois qui jusqu'à présent avez hésité à nous désigner vos exploiteurs, sortez tous de votre tor. peur coupable, écrivez-nous, levez le glaive et guidé par nos mains, la justice l'abattra sur la tête de ces chacals insa- tiahlPS pondant cjrf'iî aci AtlPACa.1 î Richard Laqarde. Vols de Farine 1000, 2000, 3000 pains vendus à 2.50, 3.50 et 5 francs journellement Le mal empire, chaque jour les marchands de pains se font plus nombreux sur la route de Bruxelles à Charleroi. Dans tous les villages des environs il y a des complices qui font le trafic. Nous avons acheté un pain de 800 grammes pour 2.50 francs et un autre de 1.200 grammes pour 3.50 francs. Vendredi dernier des malheureux qui avaient faim ont donné 5 francs pour un pain. La vente se fait au bord de la route, au plus offrant. Les trafiquants n'ont plus besoin de se déranger, les pauvres hères qui ont faim viennent d'une heure et même plus loin au devant d'eux. Comment ces milliers de kilogs de farine peuvent-ils être fraudés chaque jour sans que le Comité National s'en aperçoive. Comment ces milliers de pains peuvent-ils passer les postes de police sans être inquiétés? Quelles sont les boulangeries qui fournissent ces pains? Il y en a plusieurs parce que les pains sont différents. Les polices rurales n'osent intervenir : que mangerons-nous leur disent les gens des endroits où se vendent ces pains ? Pouvons-nous nous nourrir avec la ration que nous donne maintenant le Comité National ? Non n'est-ce pas ? Laissez-nous donner 5 francs pour un pain sinon nous mourrons de faim ! N'est-ce pas le Comité National qui est un peu la faute de ce trafic du pain ? Comment, que voulez-vous dire? Mais oui, était-ce le moment de diminuer nos rations de pain quand nous étions sans pommes de terre? Plus le pain sera rare, plus cher les trafiquants nous ferons payer les pains fraudés. Il en est ainsi avec le beurre, les pommes de terre, etc. Puisque les Bourgmestres des communes ou se fait cet honteux trafic ne veulent pas sévir, le parquet ne pourrait-il intervenir. Et le Comité National, veut-il nous permettre un conseil ? Surveiller les garçons-livreurs des grandes boulangeries; parmi eux sont les coupables, nous en avons eu les preuves sous nos yeux. Mais où donc tous ces garçons-livreurs vont-ils livrer les pains qu'ils orit eu en trop? Voilà ce qu'il serait intéressant de savoir et voilà ce qui ne serait pas difficile de découvrir. On nous donne à ce propos le nom d'un boulanger d'Etterbeek (nous tenons ce nom à la disposition de la police) qui se livre au trafic du pain et qui procède en ce moment de la façon suivante : Les charrettes partent remplies de pains de Bruxelles et reviennent remplie de charbon. Double trafic, comme vous voyez, trafic du pain et du charbon. C'est le truc que nous dévoilons; ce sont ces charrettes « à charbon » qu'il faut visiter.. Mais où donc ce boulanger va-t-il chercher la farine pour faire ces pains??? Le Comité National devrait orienter ses recherches de ce côté. Il y a une bande bien organisée qui fait le trafic du pain sur une vaste échelle. Et si on n'y met bon ordre, le scandale continuera. Boulangeries Clandestines ! On nous apprend que les farines fraudées par la généralité des boulangers sont, comme les pains concentrées, en un endroit connu des fraudeurs ! Et, ensuite, transportées dans une boulangerie clandestine où sont *abrt - venuuo j, t ci a naucs uont nous parlons dans l'article précédent. Nous avions les distilleries clandestines, nous avons maintenant les boulangeries clandestines; ça va de mieux en mieux; n'est-ce pas qu'il faut qu'on trouve un remède à cette honteuse situation. La police va-t-elle se mettre en mouvement. Le parquet va-t-il donner des ordres ? Les autorités enfin, toutes les autorités, vont-elles protéger les pauvres gens contre les grands voleurs ? Il est plus que temps, sinon l'émeute est proche. Un gros procès Plusieurs boulangers compromis La 9me Chambre correctionnelle juge en ce moment une affaire scandaleuse. Voici les faits : Gustave Vanderstappen boulanger, 33, rue de l'Escalier, qui fait défaut à l'audience, avait loué un four chez un nommé Philippe Lefèbre, 44, rue d'Or, pour fabriquer des pistolets, des biscottes et des biscuits clandestinement. Pour se procurer la farine nécessaire à sa fabrication cet individu s'adressa à plusieurs boulangers qui lui revendèrent de la farine du Comité National et qu'ils fraudaient ne donnant donc pas à leurs clients la ration réglementaire et cela au détriment de la santé de ces malheureux. Ces boulangers qui sont poursuivis sont : Emile Smets, 86, rue du Taciturne; Gustave Strubbe, 20, rue Marq; De Decker André, 59, rue de la Croix de Fer et rue de Schaerbeek, 30; Pierre Alders, rue Gray, 18. Mais le commerce clandestin de Vanderstappen prospérait et exigeait plus de farine que ne pouvaient lui procurer les boulangers dont nous parlons plus haut et il s'aboucha avec des raccoleurs. C'est ainsi qu'un cabaretier de la chaussée de Haecht, 329, le nommé Henri Geraerts, acheta pour Vanderstappen plusieurs centaines de kilogs de farine avec laquelle on fit des biscuits. Toute cette bande comparait à l'audience du tribunal sauf Vanderstappen qu'on dit en fuite. Le substitut du Procureur du Roi, M. Orts, qualifie d'odieux les actes des ' prévenus. Je voudrais, dit-il, pouvoir demander le huis-clos, tellement il est honteux de voir des Belges ayant à répondre d'une pareille prévention. Emile Smets a déjà'été condamné trois fois pour vendre du pain n'ayant pas le poids légal. Il fallait lui fermer sa boutique, il n'aurait pas recommencé. André De Decker a été condamné une fois déjà pour le même motif. (Si on lui avait fermé sa boîte, à lui aussi, il n'aurait pu récidiver non plus). L'honorable organe de la loi demande pour tous ces boulangers coupables des peines sévères. Nous donnerons dimanche prochain le< jugement dans cette retentissante affaire. Les trafiquants du pain. Les arrestations à Saint-Gilles. En présence de l'odieux trafic du pain qui prend chaque jour plus d'extension, la police de Saint-Gilles décida d'établir cette semaine une surveillance spéciale. Les agents Berland, Van Hamme, Tan-son, Verbist et Vandenborre furent désignés pour pincer les ignobles individus qui nous volent chaque jour avec la complicité des garçons livreurs de grandes boulangeries et de ee tains boulangers, notre pain quotidien. En une seule journée ces agents ont arrêté les nommés Défalqué, Dury Octave (un récidiviste dangereux, pincé deux fois en la même journée), André Auguste, 1 Minne Auguste et Dubois Louis de Waterloo. Tous ces individus étaient porteurs de sacs contenant des pains. environs de la gare du Midi, II y avait 1 37 pains! Nous avons dit que ces pains 1 étaient payés fr. 1.50 aux garçons-livreurs des grandes boulangeries. Ces requins de 1 l'alimentation ont refusé de dénoncer leurs complices, mais ils ont compté sans les marques de fabrique qui se trouvent sur les pains et l'enquête établira bientôt quels 1 sont les garçons-livreurs et même les t petits bou'angers qui fournissent ces 1 pains aux trafiquants qu'on vient d'arrê- < ter. La police de Saint-Gilles mérite < encore tous les éloges pour ce beau coup | de filet. Oh ! si les bourgmestres des | autres communes et les commissaires 1 voulaient faire leur devoir comme celui-ci est compris à Saint-Gilles, nous aurions peut-être une ration de pain plus importante car il n'y a pas à dire, ce trafic se ! fait à notre détriment. Falsificateur et Mystificateur Le nommé Camille Louesse de Bruxelles fabriquait et vendait un produit qu'il ' appellait : Mayonnaise à base d'œufs. ' Sur l'étiquette figurait aussi cette inscription : Membre de la ligue contre la falsification. 1 Mais les inspecteurs des denrées ne se ! laissent pas facilement berner par les apparences et ils ont procédé à une analyse de la mayonnaise en question. Le rapport conclut à l'absence com- ( plète d'œufs dans cette sauce !! Traduit en justice, ce falsificateur vient de se voir condamner à un mois de prison, 200 francs d'amende et aux frais. C'est trop peu, pour avoir empoisonné les gens. Vraiment notre justice est trop clémente ! ETTERBEEK Le pain fraudé. — Une arrestation... Depuis quelques temps, on parlait à Etterbeek d'un sieur X..., habitant le quartier de la place Saint-Pierre qui faisait le trafic du pain fraudé. Ce triste sire, qui demandait fr. 2.50 pour un pain pesant environ un kilogr., a été arrêté mardi dernier, 13 mars courant, par l'agent spécial Decoster, alors qu'il était porteur d'une toile renfermant une dizaine de pains. Il a été amené au poste de police où procès-verbal fut dressé à sa charge. Le pain qu'il portait a été saisi. Espérons que cette affaire poursuivra son cours normal et que nulle entrave ne viendra retarder l'action de la justice. Nous félicitons l'agent spécial Decoster de l'initiative qu'il a déployée en cette occurrence. IXELLES Charbon menu à 1 fr» 25 le seau ! On nous signale qu'un marchand de charbon des environs de la chaussée de Boendael a vendu la semaine dernière du charbon menu à 1 fr. 25 le seau. Notre correspondant affirme que ce même charbon a été vendu la veille à 80 centimes le seau. 1 fr. 25 pour un seau de menu c'est de l'exploitation. Le charbon en ce moment est cher en raison des difficultés de transport, mais croire pour cela qu'il est permis de vendre un seau de menu 1 fr. 25, ce serait se laisser trop facilement plumer. Nous ne comprenons pas comment l'on ne réglemente pas la vente du charbon et surtout comment la police laisse arranger ainsi es malheureux sans combustibles. Qu'en pense M. Baes, l'honorable commissaire Je police de la chaussée de Boendael ? é la chose, 11 serait intervenu énergique-ment.La défense du petit personnel des magasins du Comité National. Notre dossier concernant cette affaire rient de s'enrichir de renseignements rès précieux. Nous en parlerons dans îotre prochain numéro. En attendant lisons déjà que nous sommes heureux l'avoir pris la défense des intérêts des jetits. Ils sont absolument dignes de la >lus grande attention. Nous leur promet -ons tout notre appui. ST Josse-Ten-Noode Un Accapareur de Beurre. Non loin de la gare de la chaussée de couvain, en pleine chaussée, les autori-és viennent de découvrir près de 100 kilogs de beurre accaparé. Le locataire de la maison où fut saisi ;e stock déclare que ce beurre a été ièposé chez lui par un marchand de beurre. Rien n'est moins exact car on cite volontiers dans le quartier les noms le plusieurs personnes qui ont acheté du t>eurre dans cette maison. Il ne saurait ître question non plus de la provision de beurre pour les gens de la maison. Au prix ou est le beurre, des petites gens ne se payent pas le luxe de faire une provision de 100 kilogs de beurre. Il s'agit bel 2t bien de la découverte d'un accapareur. Nous nous réjouissons de cette bonne prise et espérons, de plus, des poursuites contre ce peu intéressant personnage. MOLENBEEK Les vols & l'alimentation. Georges Van H... demeurant rue de l'Intendant, et employé au Comité d'Alimentation s'est rendu coupable de vol ie riz. Il a été poursuivi de ce chef et il a comparu la semaine dernière devant le tribunal correctionnel qui le condamne pour ces beaux faits à 15 jours de prison et tenant compte de ses bons antécédents lui accorde un sursis de 5 ans. Nous regrettons encore une fois le sursis dans cette affaire. Une condamnation à 15 jours était assez clémente.

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Cet article est une édition du titre L'écho: journal régional hebdomadaire appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à - du 1917 au indéterminé.

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