Antwerpen's havenblad

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s.n. 1914, 11 Juli. Antwerpen's havenblad. Geraadpleegd op 24 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/gb1xd0rp3t/
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1e ANNE] JAAR N? 15 SAMEDI <f<| JUILLET 4Q1A ZATF.RDAG ■■ .IULI ■ W ■ "» LE NUMERO 4Af. HFT NTTMMFR IV «■>! ABONNEMENTS: ABONNEMENTEN: Belgique: un an j„ _ België : per jaar (lia. a. Pays-Bas: un an I, „ Nederland: per jaar !"'■ ".OU Etranger : un an f _ Buitenland : per jaar /.ou Organe hebdomadaire paraissant tous les samedis. Weekblad verschijnende elken Zaterdag Administration et Rédaction : Rue Rouge, 44. Beheer en Opstelraad : Roodestraat, 44. TELEPHONE 1990. ANVERS — ANTWERPEN TELEFOON I990. LONDON : Fleet Street. HAMBURG : Wilhelmstrasse. ROTTERDAM : Wijnliaven, 18. POUR LA PUBLICITE : S'adresser au bureau du Journal. Les articles signés engagent leurs auteurs. Les manuscrits ne sont pas rendus. VOOR AANKONDIGINGEN : Zicli wenden tôt het bureel van het blad. De schrijvers blijven verantwoordelijk voor hunne 1^,,., ;;i„„ H..r.,ici.,.;f+o,, ,i„.„ Le Moteur Parsons Un moteur Parsons de 60 h.p. (alésage 165x 203) au pétrole lampant, faisant 500 tours à la minute. Nous avons annoncé dernièrement que la grande marque de moteurs Parsons de Southampton venait de confier son agence générale pour la Belgique et la Hollande à la Marine Motoring, 15, longue rue de l'Hôpital, à Anvers.Eu égard aux bonnes qualités du moteur ainsi que pour permettre aux intéressés d'apprécier à leur juste "valeur les différents avantages que le moteur « Parsons » fournit, nous en donnons ci-après une description détaillée, illustrée de diffé- Le graissage est sous pression munie d'une pompe rotative, qui puise l'huile filtrée élu fond du carter, la renvoie aux paliers en la faisant passer par la circulation d'eau. Grâce à ce procédé on obtient le grand avantage ele n'envoyer an moteur que ele l'huile parfaitement froi-ele. n vaut toutes ses qualités lubrifiantes, Ce carter est en fonte de fer renforcée par des nervures. Il est divisé en deux parties. La partie inférieure est munie d'une cuvette à huile et d'un indicateur La consommation est excessivement réduite. Tout moteur se fait en deux types: l'un fonctionne à l'essence, l'autre au pétrole. La mise en marche se fait fort aisément par manivelle, excepté pour les moteurs à très grande ™iissanc&, sont munis d'une mise en marche par pression el'air. Nous n'avons donné ici que les points essentiels qui différencient les Moteurs Système de chauffage pour départ au pétrole. Graissage forcé. rents clichés, afin de permettre au lecteur de se faire une idée plus exacte du fonctionnement du « Parsons ». Ce n'est point l'application ele découvertes sensationnelles qui distingue le Moteur « Parsons » de ses concurrents. Entièrement construit selon les règles Vue générale des engrenages. du Lloyd et du Board of Trade, il se distingue surtout par sa robustesse, son endurance, son fini, sa simplicité, l'accessibilité de ses organes et le choix judicieux de ses matières premières. Le connaisseur est frappé à première vue par les soins méticuleux qu'a mis le constructeur à perfectionner les moindres elétails. Le Moteur Parsons est élu type classique des moteurs à quatre temps à soupapes commandées. L'allumage se fait par magnéto à haute tension (certains types ont le double allumage indépendant). Le carburateur ou vaporisateur selon le cas est à niveau constant. mensions, permettent de vérifier l'état eles paliers ainsi que ele retirer les pistons et les bielles sans qu'il y ait nécessité de démonter le moteur ni même de toucher aux cylindres. Les cylindres tous séparés sont d'une seule coulée avec sièges et guides ele soupapes. La chemise à eau ele grande capacité assure un refroidissement parfait.Le vilebrequin est soutenu à chaque coude par un palier de chaque côté. Les paliers sont à chapes séparées. Les pistons sont munis de 5 segments, quatre en haut et un en bas assurant une compression parfaite. Les soupapes d'admission et d'échappement, ele grand diamètre et de longue course, sont complètement séparées. Le tuyau d'échappement est muni d'une chemise à eau afin ele rendre l'explosion moins cassante et d'éviter la trop grande chaleur. Un régulateur règle la marche parfaite élu moteur. Tous les autres organes tels que bielles, pignons ele commandes, cames, axes, soupapes, etc., sont tous usinés avec soin et ele la qualité qui a toujours distingué les Moteurs Parsons. de niveau, ainsi que ele quatre œillets permettant ele soulever le moteur, facilitant les placements et les emplacements. La partie supérieure a ele chaque côté autant d'ouvertures qu'il y a ri ne r»x/1îiir1 rnc Ppll^c.r'i rln crrnnrlpç fli- Parsons des moteurs, élu même type.Toutefois les connaisseurs auront certes été frappés par les quelques particularités que nous avons relevées, mais encore une fois ce sont bien plus ses -jualilés de matière et son fini qui le distinguent le plus. Piston dans l'ouverture du carter. Partie inférieure du carter et le vilebrequin. On comprend par ce qui précède que le Moteur Parsons n'est point fait pour la clientèle recherchant avant :.vi«.t le bon marché, mais pour celle ji;i ct.m-prenel qu'en achetant du très bon n fait une vraie économie et que partant on s'évite beaucoup d'ennuis. ■UWUWVM La Belgique en 1913 L'année 1913 s'étant signalée comme une année d'intense crise économique et ayant, de plus, pour la Belgique, été marquée par une grève générale qui ne dura effectivement qu'une vingtaine de jours, mais troubla tout le travail des mois d'avril et mai, on s'attendait à un regrettable bilan pour l'exercice entier ; le Tableau général du Commerce extérieur pendant l'année 1913, que le ministère des Finances vient de faire p: raître — avec une régularité louable — prouve que nos craintes, étaient, pour le moins, fort exagérées. Même si l'on considère les chiffres dans leur ensemble, 011 coustate que le total général marque uu nouveau progrès des échanges ; seulement, à l'analyse, on ne peut trop se réjouir, l'augmentation étant due exclusivement aux importations qui doivent même compenser le fléchissement .-.-élevé aux exportations. i Hâtons-nous d'ajouter, continue « Le .'l'tflïi ut-*Tiidn clUiv_[Vt*_l IÎV/V13 "CTIÎ- pruntons cette étude, que nous n'attachons pas, pour la Belgique, une grande portée à la balance élu commerce. Dans tout pays libre-échangiste, les importations comprennent une bonne part de transit et nous n'en voulons d'autre preuve que les consielérables exportations belges élu commerce spécial en produits coloniaux et céréales; d'autre part, les statistiques eles bureaux ele la frontière traitent assez légèrement les sorties, car elles ne donnent lieu à aucune perception ; c'est ainsi que, el'après la statistique française, les exportations belges en France perdent annuellement plus ele 200.000 tonnes. Nous ajouterons que le chiffre eles importations n'est, lui-même, pas commercialement exact, puisqu'il comporte 413 millions de francs en valeurs monnayées — soit une augmentation ele 122 millions comparativement à l'exercice précédent — c'est-à-dire en rapatriement des écus de cinq francs nécessité par le trafic eles drai-neurs. Au surplus, voici les chiffres : Pour le commerce spécial d'importation, on constate, en 1913, un mouvement de 32,659,283 tonnes représentant une valeur de 5,049,859,000 francs; ce mouvement était, pour 1912, de 31 millions 282,537 tonnes, d'une valeur ele 4,958,009,000 francs, soit, pour 1913, une augmentation de poiels ele 1 million 373,746 tonnes ou 4,4 p. c. et une augmentation de valeur de 91,850,000 francs ou 1,9 p. c. Le commerce spécial d'exportation accuse pour 1913 un poiels de 20,885,182 tonnes évalué à 3,715,814,000 francs, contre, en 1912, 20,866,835 tonnes et 3,951,479,000 francs. L'exercice 1912 présente donc sur 1912 une augmentation ele poiels de 18,347 tonnes ou 0,1 pour cent et une diminution ele valeui de 235,665,000 francs ou 6 p. c. Aux importations, il y a diminution sur les animaux vivants, sur les boissons et objets d'alimentation, augmentation sur les matières brutes ou simplemenl préparées, sur les produits fabriqués ei sur les métaux précieux ouvrés ou non . aux exportations, il y a diminution sui les boissons et objets fabriqués, augmen tation sur les animaux vivants (che vaux) et sur les métaux précieux. Les chiffres détaillés font constate] que la Belgique industrielle trouve d< moins en moins, dans le pays, le com bustible qui lui est nécessaire ; si le: charbons ont pu encore, en 1913, expor ter 4,981,480 tonnes, l'industrie a eli elemander à l'étranger 8,856,153 tonnes soit donc un déficit de 4 millions eh tonnes. Il paraît urgent que les char bonnages ele la Campine viennent à 1; rescousse. La Belgique eloit à son heureuse situa tion géographique, à ses voies nombreu ses ele pénétration et à son port d'An vers un trafic de transit considérable en 1913, il atteignit 7 millions 803,73^ tonnes et 2,459,925,000 francs, contre en 1912, 6,591,988 tonnes et 2,437 mil lions 295,000 francs; le progrès est pei sensible, mais il y a progrès néanmoins ce qui, dans les conditions économique de l'année dernière, doit être considér» comme très satisfaisant. Sans la crise ele transports due au désarroi du chemii de fer, qui marque la fin de l'année, 1 résultat eût sans doute été plus satis-taisant encore. Il est intéressant de signaler que le transit belge est tonné de deux courants bien distincts; à l'entrée, il est pour la plus grosse part assuré par les voies de terre (4,3/8,728 tonnes), et par canaux et rivières (2,838,534 tonnes), soit 7 millions 217,000 tonnes sur un total de 7,803,734 tonnes; il reste donc un tonnage insignifiant pour l'entrée par mer; à la sortie, au contraire, c'est la voie ele mer qui l'emporte de tort loin (4 millions 374,265 tonnes, sur le même total naturellement). Ceci indique que le port d'Anvers est beaucoup plus un grand port régional qu'un grand port international. il trouve sa clientèle dans les régions très industrielles élu grand-duclié ele Luxembourg, ele l'Kst et élu Nord ele la France, eles provinces rhénanes et 'le la Westphalie qui ne pratiquent guère ;ue l'exportation. Quant à l'importation européenne de produits d'outre-Océan, elle se partage entre tous les ports de l'Ouest et élu Nord; à Lonelres, JDunker-que et Gênes, la situation est entièrement elilférente ; les sorties par mer y sont très faibles par comparaison aux entrées ; à Marseille, Rotterdam et Hambourg les deux courants s'équilibrent à peu près. Depuis l'an dernier, le Tableau général élu Commerce extérieur belge est divisé en trois fascicules à pagination Continua; il n'y m lirait1 po ç . tçvn n ri mo'. c'ili: paraissaient en nic-me temps ou si les renseignements généraux continuaient à figurer soit en premières pages, soit en annexe à la première partie; il n'en est malheureusement pas ainsi; pour une analyse à la fois succiute et complète, il faut aujourd'hui compulser les trois fascicules ayant chacun les renseignements généraux relatifs à la matière qu'il traite ; la première partie, seule parue à l'heure où nous écrivons ceci, ne donne, d'indications que pour la nature du trafic, c'est-à-dire pour les marchandises échangées; la deuxième donnera le trafic par pays et les résumés pour les pays aux échanges importants et réguliers; la troisième nous renseignera sur les fluctuations du trafic maritime. Force nous est donc d'attendre pour partager le commerce belge suivant les frontières d'échange et, notamment, pour analyser le commerce franco-belge. X. Les Rapports entre patrons et ouvriers au Danemanc M. J. de Geynst publie, daus l'« Action Economique », une série de notes économiques sur le Danemark. Nous en détachons le passage suivant qui expli- I que la rareté des grèves daus ce pays : Il n'est peut-être pas de pays au monde où les rapports entre patrons et ouvriers aient trouvé des formules plus concrètes d'entente et de soutien mutuels. Certes, le Danemark, comme les autres pays, n'ignore pas les conflits qui mettent aux prises le Capital et le Travail. Il en est de ces conflits comme de certains phénomènes atmosphériques : ils sont inévitables. Peut-être nos hommes politiques feraient-ils chose sage en orientant parfois leur attention vers les pays du Nord ! Le gouvernement danois a tenu à apporter une aide conciliatrice à ceux qui cherchent à atténuer les antagonismes sociaux. Il a créé, voici quelques années déjà, une Cour d'arbitrage dont la mission est de juger toutes les violations du droit : il a institué aussi une Chambre : de conciliation dont la tâche consiste à apaiser les conflits de grève ou de lock-> out. L'Etat n'a pas eu peur d'innover; il 1 a été attaqué à la fois par les organis-■ mes ouvriers et par la Confédération da-: noise des patrons — confédération qui semblé être la plus puissante du monde,. 1 car elle groupe les patrons de tous les métiers. Mais, à présent, d'après le témoignage même de ceux qui n'avaient pas foi en ces institutions de conciliation et d'arbitrage, l'œuvre rend des services ; et écarte des conflits latents. 1 Chez nous, de plus en plus, les con-, flits qui surgissent entre patrons et ouvriers sont transportés au Parlement, i Et celui-ci, imprégné de politique et , d'influence de parti, ne peut, en fait, être considéré comme un organisme impartial. Chaque groupe envisage les questions sous un angle spécial et sou-î vent l'électoralisme tombe de tout son ; poids dans la balance. Mais — me disait une personnalité danoise — il y a, à la base de l'édifice social danois, l'iustruction qui, de jour en jour, se développe et confère à chacun la notion de sa responsabilité et de sa valeur vis-à-vis de la Collectivité. L'enseignement technique, les écoles professionnelles, l'école des études supérieures de Copenhague, accroissent les aptitudes de chacun, sans les enfermer trop à l'étroit dans des spécialisations. l<e conseil de l'industrie — organisme relativement récent — groupe la plupart des industries et s'occupe en réalité des rapports à établir entre l'industrie nationale et la politique industrielle générale.La Situation industrielle L'« Action Economique » observe que la crise actuelle semble régie par cette loi des courants électriques qui veut que l'intensité soit en raison directe de la tension et en raison inverse de la résistance des causes qui l'ont -provoquée. Aussi longtemps que les marchés resteront sous « tension », c'est-à-dire n'offriront aucune prise à un progrès certain et spontané, il y a peu d'espoir de voir se réduire l'intensité de la dépression qui pèse sur la situation industrielle et se manifeste encore dans tous les COiirpttrtifiiciita. Dans l'industrie cliarbonière, c'est la réduction presque générale des salaires de 10 p. c., eu présence de la baisse des combustibles, et malgré une évidente pénurie de main-d'œuvre. En métallurgie, c'est le retour des prix des barres à 4-1-0 livres sterling, dans l'attente de l'assainissement de la situation économique générale et de la réussite des négociations syndicales en Allemagne. Dans l'industrie verrière, la production reste très réduite : c'est à peine si 50 p. c. des moyens de production sont actuellement mis en œuvre. Eu glacerie, l'aggravation de la situation a déterminé le syndicat international à réduire le nombre de jours de chômage à 40 pendant le troisième trimestre.Dans l'industrie des ciments, la consommation intérieure donne quelque peu pour le moment, mais eu présence de la rareté de la demande pour l'exportation, les usines sont obligées d'abaisser leurs prix jusqu'à l'extrême limite. La construction de matériel roulant a bénéficié, quant à elle, de quelques commandes dont nous avons parlé dernièrement. La situation s'est donc améliorée de ce côté, surtout en locomotives, mais les prix restent bas. L'industrie textile traverse également une <i passe » difficile à franchir. Les chômages y sont importants et la production ne s'écoule qu'avec difficulté. Comme on le voit, les causes de « résistance » ne manquent pas, et plus elles iront en diminuant, plus il y aura de chances de voir s'accuser l'intensité de la situation générale. La crise dans l'industrie textile Continuant son enquête sur la crise économique, l'« Action Economique » s'occupe dans son dernier numéro de l'industrie textile et publie les renseignements suivants qui lui ont été fournis par la Société de Loth : En dehors du marasme des affaires en général, l'ouvrier travaillant moins, dépensant l'argent qu'il gagne à ses besoins d'alimentation et ses plaisirs, le vêtement venant en dernier lieu, une autre cause a déterminé la crise de l'industrie lainière : c'est la mode. Nous voulons parler de la robe étroite qui est portée aujourd'hui par toutes les femmes indistinctement. Jadis pour confectionner une robe, un métrage de 7 mètres était nécessaire ; aujourd'hui, 3m50 suffisent. Par ce fait, le métier à tisser se trouve donc fortement atteint, mais il l'est encore une fois de plus parce que le tissu pour cette mode demande à être plus lourd, fait d'un fil plus gros et nécessitant un duitage moins serré, de façon que précédemment on faisait du tissu à 50 duites par centimètre, alors qu'aujourd'hui avec un fil beaucoup plus gros on fait du tissu à raison de 25 duites au centimètre. La mode n'a donc pas seulement atteint 50 p. c. des métiers tissant le tissu pour robe, mais encore a diminué la pro-

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Dit item is een uitgave in de reeks Antwerpen's havenblad behorende tot de categorie Financieel-economische pers. Uitgegeven in Antwerpen .

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