Informations belges

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s.n. 1918, 14 Mei. Informations belges. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/js9h41kh36/
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INFORMATIONS Belges Otosorvation Importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirecte*, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (*) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belçe. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe Adresser les oommunioations de service : 29, rue Jacques-Louer, LE HAVRE (Seine-Inférieure) Kr»uc» Les Allemands continuent à détruire les voies ferrées en Belgique occupée. — Les rails de chemins de fer vicinaux sont enlevés systémati-quent dans tout le pays par les Allemands qui s'en servent pour les petits trains de ravitaillement à proximité du front. Les dernières lignes détruites sont les suivantes : de Cortessem à Oreye, de Hasselt à Deeringen, dans le Limbourg ; de Crim-berghem à Humbeek, de Nivelles à Mont-Saint-Jean, de Nivelles à Jodoigne et Braine-le-Comte, de Haecht à Bruxelles, de Rebecq-Rognon à Virginal, en Bra-bant ; de Namur à Hannut, dans la province de Namur. (xx) — Un journal allemand reconnaît la vaillance des troupes belges. — Parlant des événements militaires qui se déroulent dans le saillant d'Ypres et de la rectification du front anglais, opérée en avril 1918, les Dûsseldorfer Nachrichten (28 avril 1918, édition du matin), écrivent : « C'est un fait reconnu que les Belges, lors du retrait anglais du saillant d'Ypres, ont couvert le flanc britannique avec une grande vaillance. » La feuille allemande, s'il lui était permis d'être tout à fait sincère, aurait sans doute ajouté ; « et avec un plein succès ». (xx). — A propos des ports d'Ostende et de Zeebrugge.— Eloge anglais de la ténacité belge. — Dans un article relatif à l'embouteillage du port d'Ostende par la marine anglaise, M. Archibald Hurd écrit dans le Daily Telegraph (11 mai 1918) : « Le port d'Ostende, comme celui de Zeebrugge, est un ouvrage artificiel. Jamais la nature n'avait voulu qu'il y eut un port à cet endroit mais les Belges décidèrent qu'il y en aurait un et ils triomphèrent. » Ainsi du port de Zeebrugge, sur la création difficile duquel M. Jean Lecoq a donné d'intéressants détails dans le Petit Journal du 1er mai 1918. (xx). — L'oeuvre des Belges en Afrique appréciée par les Anglais. — A l'assemblée de la Société géographique royale de Londres, du 25 février 1918, le lieutenant comte Renaud de Briey a fait une conférence sur « La Belgique et l'Allemagne en Afrique ». Le conférencier a exposé à ses auditeurs les ressources et la situation économique de la partie de l'Afrique orientale que les troupes belges et anglaises ont conquise et qu'elles administrent. Le comte R. de Briey, qui revient d'une mission dans ce pays dont il avait été chargé par le gouverne ment belge, a pu donner des renseignements intéressants et vécus sur l'Afrique orientale. Le Geographical Journal, dans son numéro de mai, donne le texte de cette conférence, de même que d'un éloquent discours du baron Moncheur, ministre de Belgique à Londres, sur la question coloniale, et de l'appréciation suivante de l'œuvre des Belges en Afrique, émise à la même réunion par sir Alfred Sharpe, par le colonel sir Charles Close, et enlin par le président de la Société. Voici ces trois extraits : (Sir Alfred Scharpe) : « J'ai écouté, avec grand plaisir, l'intéressante lecture, parce que j'ai visité une bonne partie du pays décrit et parce que nous avons appris quelque chose sur la campagne belge dans le Congo et l'Est-Africain allemand. Il y a un point sur lequel je désire attirer 1 attention, un point très remarquable : lorsque l'Allemagne porta la guerre dans l'Afrique centrale, en bombardant un poste belge sur le lac Tanganika, le 22 août 1914, il s'imposa au gouvernement du Congo de placer à la frontière la plus grande force armée possible. Pour faire cela, il dut dégarnir de police militaire et civile tous les postes, peut-on dire, de la colonie. Malgré cela, malgré le fait que les natifs du Congo belge avaient pleine connaissance, à la fois par l'ordinaire filtration des nouvelles et par la propagande allemande, de l'invasion de la Belgique par l'Allemagne, depuis lors jusqu'à présent, pas une seule fois les natifs du Congo n'ont profilé de l'occasion pour manifester du mépris, ou faire opposition, à l'autorité belge de lacolonie. (Soulignée par I. B.). Je ne pense pas que nous puissions avoir une meilleure preuve de la justice du gouvernement du Congo aujourd'hui et qu'il est acceptable aux natifs. » (Colonel sir Charles Glose) : J'aimerais témoigner de ce qui, je crois, est le sentiment unanime. Nous avons entendu une très intéressante lecture, qui nous a fait percevoir un peu l'œuvre magniflque de l'armée belge en Afrique. En raison des préoccupations que nous donnent, à tous, à présent, le front Ouest, nous perdons assez facilement de vue ce qu'ont accompli les Belges et il est très salutaire pour nous qu'on nous fasse nous en rendre compte. L'occupation et la conquête d'un territoire de 200,000 kilomètres carrés est plutôt une grande chose, Je ne sais si quelqu'un, ici, apprécie ce que cela représente. Je dois dire que je ne l'imagine pas. » (Le président) : « A la fin de sa lecture, le comte de Briey a dit quelque chose qut m'a souvent frappé : 14 Mai 1918 N° 693

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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