Informations belges

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s.n. 1918, 04 April. Informations belges. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/086348kn4h/
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N° 633 4 Avril 1918 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité. n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belçe. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adreaser les communication» de aerrioe : 29, rue Jacques-Louer, L.B HAVRE (Seine-Inférieure) franc» Télégrammes envoyés par le baron de Bro-queville, chef du Cabinet belge, â M. Clémen-ceau, président du Conseil français, et à M, Lloyd George, premier ministre anglais. — Le baron de Broqueville, chef du Cabinet belge, a envoyé les télégrammes suivants : « A Son Excellence Monsieur Clémenceau, président du Conseil, Paris. « L'armée française dépasse, en ces jours d'héroïsme surhumain, tout ce que ses plus ardents admirateurs attendaient d'elle. «Elle enseigne magnifiquement à tous le devoir qui s'inspire à chacun, quand sont en cause le salut de la Nation et l'indépendance des peuples. « Avec une émotion profonde, je vous présente l'hommage de notre admiration sans bornes. (s) Broqueville. * * « A Son Excellence M. Lloyd George, premier ministre, Londres. « L'armée britannique, engagée dans la plus formidable bataille que le monde ait connue, honore splendidement la traditionnelle bravoure de la Nation. Le triomphe du bon droit ne pourrait être confié à de plus vaillantes mains. « Toute parole est en dessous de l'admiration dont je vous adresse ici la chaleureuse expression. (s) Bro.queville. » (xx). — La légende des conventions anglo-belges — L'Allemagne a cherché de plusieurs façons àjustifier sa violation de la Belgique. Elle a notamment fait état des conversations — tranformées en « Convention » par la Norddeutsche Allgemeine Zeitung à la suite d'une .. « erreur de lecture » — tenues en 1906, entre deux officiers supérieurs anglais et belges, Barnardiston et Ducarne, pour essayer de représenter la Belgique conspirant contre la sécurité de l'Allemagne, allégation dont le gouvernement belge n'a pas eu de peine à mettre en lumière la fausseté. Voici qu'un organe allemand reparle, à propos des divulgations du prince Lichnowsky, ex-ambassadeur allemand à Londres, de ces « Conventions » anglo-belges, mais pour en nier l'existence. La Munchner -Post écrit, en effet : « C'est grâce à un mensonge que nous avons été amenés à approfondir le fossé qui nous séparait de l'Angleterre... Le Gouvernement allemand a toujours soutenu que la paix de demain devait empêcher à jamais la Belgique de redevenir une tête de pont de l'Angleterre contre nous. Or,nous apprenons maintenant que l'Angleterre n'a jamais formé de desseins belliqueux contre nous. Dès lors, toute cette légende anglo-belge s'effondre d'elle-même... » (xx). — Le Monument d'Edith Cavell. — Edith Cavell, l'héroïque nurse anglaise rusiliée sans pitié par les Allemands, à Bruxelles, en 1915, aura son monument à Londres. Le grand quotidien Daily Telegraph, qui ouvrit une souscription parmi ses lecteurs en vue de perpétuer le souvenir et les traits de la courageuse infirmière, donne à ce sujet les détails suivants : « Sir George Frampton, de l'Académie royale, s'offrit à faire la maquette en témoignage d'admiration. Nous pouvons, à présent, illustrer et décrire l'œuvre du sculpteur. Nous verrons une masse de granit gris, haute de quelque quarante pieds, simple de ligne et de couleur, forte, calme. Elle prend la forme d une croix, pour rappeler la foi qui soutint Edith Cavell. De celle-là s'élève une autre croix symbolique, la couronne, pour ainsi dire, de la composition. Elle est faite par une figure maternelle, l'Humanité, portant un enfant sur ses genoux. Dans l'esprit de l'artiste, l'enfant personnifie les petites nations. • « La main droite de l'Humanité est levée comme pour protéger l'enfant contre ceux qui voudraient le blesser. La main gauche repose sur la tête de l'enfant dans un tendre geste d'amour. Dans cette conception, on le sentira, l'artiste, avec une imagination émue, s'est servi de l'œuvre d'Edith Cavell afin de rendre plus profond l'appel de la cause pour laquelle elle mourut. Le bel entremêlement de ces deux thèmes se voit dans la décoration du buste de l'Humanité qui rappelle l'uniforme de l'infirmière, avec la Pitié et la Guérison dépliant leurs ailes au dessus du clair front. « Le monument porte une tablette ou sont inscrits la place et le temps de la mort d'Edith Cavell. Ailleurs, des mots gravés mettent en écrin ses idéals et ses qualités: « Humanité», < Courage », « Dévouement » et « Sacrifice ». Gravé également dans le granit— plus résistant que celui-ci— il y a le nom d'Edith Cavell. A.u dos du monument, sous le mot «Courage», se trouve le lion de Bretagne. Il écrase, avec une foree farouche et déchaînée, le serpent de l'Envie, Dépit, Malice et Trahison. »

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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