Informations belges

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19 september 1917
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s.n. 1917, 19 September. Informations belges. Geraadpleegd op 20 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/x921c1z27g/
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Informations Belges Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur seurce première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 53, rue des Gobelins, LE HAVRE (Seine-Inférieure) France. (xx). — La langue flamande obligatoire en Belgique occupée. —Un arrêté du gouverneur général allemand. — Un arrêté du gouverneur général en Belgique occupée, von Falkenhausen, en date du 9 août 1917, poursuivant la politique de division de la Belgique, dispose que « le flamand est la langue officielle exclusive de toutes les autorités et de tous les fonctionnaires de l'Etat, des provinces et des communes ainsi que de leurs institutions et établissements, y compris les établissements d'instruction et le personnel enseignant », dans la région administrative flamande. Provisoirement, les lois belges resteront en vigueur pour ce qui concerne l'autorité judiciaire et l'enseignement. Les autorités administratives centrales de l'Etat sont autorisées à traiter en langue française les affaires se rapportant à la région administrative wallonne, mais les fonctionnaires flamands doivent se servir exclusivement du flamand dans leurs relations écrites ou verbales avec le public ou avec leurs collègues de Wallonnie. Il est fait exception, provisoirement, pour les communes bilingues de l'agglomération bruxelloise, en ce qui concerne les relations des autorités avec les personnes privées qui auront utilisé le français. Ces dispositions s'appliquent « au département de l'émission de la Société Générale de Belgique, à la Banque Nationale de Belgique, à la Caisse Générale d'Epargne et de Retraite, à la Société Nationale de distribution d'eau, aux sociétés de tramways et aux chemins de fer vicinaux, aux services publics d'éclairage et de force motrice, aux institutions de bienfaisance publiques et de bien public, ainsi qu'à tous les autres établissements, institutions, sociétés ou personnes assurant des services publics. » (xx) — Le menu d'une prison allemande en Belgique occupée. — D'Anvers, est parvenue, en Belgique libre, une lettre particulière dans laquelle se trouvent relatés des détails curieux sur le régime des détenus de la prison de la rue des Béguines. Arrêtée à l'entrée de la ville parce qu'elle était porteuse de quelques kilos de pommes de terre, achetées dans les campagnes, l'auteur de la missive fut incarcérée rue des Béguines où elle demeura de longs jours. Le menu de la maison est loin d'être alléchant. Quelques sèches tranches de pain de guerre accompagnées d'une imbuvable décoction de glands, constituent le déjeuner. A midi, il faut dîner d'une soupe épaisse et d'une tranche de pain noir. Le souper est des plus légers : il consiste en une pâtée de riz à l'eau, d'une écœurante fadeur. Ici, comme dans la vie civile, les favorisés de la fortune peuvent, dans une certaine mesure, échapper à la rigueur du sort. Par exemple, le détenu obtient 100 grammes de sucre s'il est en mesure de les payer 1 fr. 20 ! (xx) — Le port d'Anvers. — Vlierbe pousse sur les quais.— Les réquisitions allemandes ont interrompu les travaux d'agrandissement. — Un Belge, récemment échappé du territoire envahi, a exposé en ces termes l'état du port d'Anvers : « — Triste, très triste ! Les quais du fleuve sont gardés militairement ; ils sont défendus au public. Il n'y a rien à faire. Quant aux bassins, il n'y a que le bassin Bonaparte qui est ouvert. Passé cet endroit, l'herbe croît, touffue et atteint près d'un mètre de haut. C'est le silence de la mort. Ces bassins, si animés, si fébriles, sont mornes et déserts et quasi vides, car même les allèges ont disparu... « — Conlinue-t-on les divers travaux d'agrandissement ? « — Non. Les Allemands ont réquisitionné de force les machines, les wagons, les rails de Medaets et Le-clerq, Dumon, etc. La nouvelle cale sèche reste en suspens, les entrepreneurs allemands reconstruisant les forts. Toutes les usines du port ont été vidées, chevaux et véhicules réquisitionnés. » (xx) — La crise du transport en Belgique occupée. — Traction humaine pour les transports mortuaires. — Des informations parvenues de Belgique occupée signalaient, il y a peu de temps, (I. B. n» 454 du 13 septembre 1917) que la disparition presque complète des chevaux 'et même des bœufs de trait, réquisitionnés par les Allemands pour les besoins de leurs armées, obligeait les administrations locales à recourir à la traction humaine pour assurer l'enterrement de leurs administrés décédés. Un organe officieux de la « Komman-dantur » de Bruxelles apporte une confirmation circonstanciée de cette information. Voici, en effet, ce que l'on pouvait lire dans le n» des 12-13 septembre 1917, de la feuille teutonisée en question, dan» un écho d'Anderlecht-lez-Bruxelles : « L'administration communale afin de parer à la situation embarrassante, due à l'absence de chevaux fera procéder sous peu à la construction de légères voiturettes mortuaires qui pourront être conduites et tirées par des hommes, d'autres pourront être N° 460 19 Septembre 1917

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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