Informations belges

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24 december 1917
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s.n. 1917, 24 December. Informations belges. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/sj19k46t1c/
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N« B55 24 Décembre 1917 Informations Belges Ol38erT»tiou importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle» de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belsçe. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les oommunioations d« service : 29, rae Jacqaes-Louer, 5L.E3 HüVRË (Seine-Ioférîeare) Prance A l'occasion de la fête de Noël, les « Informations belges » ne paraîtront pas demain, 25 décembre 1917. Réunion du Conseil Économique — Le Conseil économique a tenu, le 21 décembre, à Paris, sa seconde réunion sous la présidence de M. Hymans, Ministre des Affaires Economiques. L'assemblée a discuté la question de la création d'un organisme d'achat, destiné à assurer le réoutillage et le réapprovisionnement en matières premières de l'industrie belge après la guerre. Elle a émis à l'unanimité des personnes présentes un vœu recommandant au gouvernement de réaliser à bref délai la combinaison proposée par un groupe nombreux d'industriels et de commerçants : Une société coopérative, le « Comptoir national ponr la reprise de l'activité économique en Belgique », serait constituée en vue de procéder à ces achats. Cette société recevrait le concours financier de l'Etat, toutefois sans monopole, et fonctionnerait sous le contrôle du gouvernement. 11 a ensuite été rendu compte au Conseil économique de l'activité des premières commission formées dans son sein, c'est-à-dire : la commission des dommages de guerre, la commission financière et la commission pour la reprise du travail. Cette dernière a été complétée, conformément à la déclaration antérieure de M. Hymans, par l'adjonction de délégués représentant spécialement les divers éléments du monde ouvrier : MM.Gaspar et Heyman. Nos hôtes américains et la Reine. — Kamarad !— Le Roi anvoie à sas frais des soldats en congé.— (D'un lémoin oculaire : Front belge, 21 décembre 1917). — M. John Van Schaick, délégué de la CroixRouge américaine pour la Belgique, qui fut notre hôte tout récemment, est revenu sur le front belge avec deux de ses compatriotes : le major Alexandre Lambert de New-York, chirurgien en chef de la Croix Rouge américaine, et le capitaine Ernest Corn de Crawfortevie, médecin-chef. Ces deux distingués praticiens ont visité les tranchées, des postes" de secours et des hôpitaux à Pervyse. Ce matin, comme ils revenaient des tranchée de la ligne de chemin de fer Nieuport-Dixmude, ils ont rencontré la Reine qui s'en allait, accompagnée du prince Leopold et escortée du major Doutrepont, distribuer du tabac et des douceurs aux soldats. Sa Majesté, à qui M. John Van Schaick avait été présente lors d'une récente visite au front, s'est arrêtée et s'est entretenue gracieusement avec nos hôtes américains. A l'Ouest de la forêt d'Houthulst, les travaux de défense offrent le tableau le plus imprévu, le plu» fantastique, dépassant de loin ce que peut offrir la plus fertile imagination. Contrairement à ce qua l'on peut voir d'ordinaire derrière l'Yser, où l'inondation et les abris forment une ligne de tranchées continue, dans le « no man's land » de la lisière de la forêt d'Houthulst, en avant des abris bétonnés, ce sont les trous d'obus même qui sont occupés et mis en état de défense Par les nuit d'à présent le paysage lunaire est criblé comme une passoire. Tel entonnoir est aux Belges, tel autre est aux Allemands. Bref, il n'y a pas de ligne nettement tracée, aucune démarcation — les patrouilles circulent constamment sur cette lisière hypothétique. Hier matin, le capitaine de Bray qui était en reconnaissance avec quelques hommes, vit deux Allemands, sortis de leur trou et qui examinaient les environs. Grâce au brouillard, il s'approcha d'eux, assez près.puis d'un geste les surprit. Les Allemand» levèrent vivement les bras en criant « Kamarad 1 » Ce sont deuxWurtembourgeois, fortement désabusés. Malgré les victoires en Russie et en Italie, claironnées par Hindenburg, ils n'ont rien de la « Hurrah Stimmung » qu'affectent les journaux allemand» au nom de l'armée impériale et de la population allemande. *** Voici un nouveau joli geste du Roi : Sa Majesté a décidé d'envoyer, chaque mois, en congé, à ses frais, trois cents militaires de l'armée de campagna pris parmi les caporaux, brigadiers ou soldats présents au front depuis le début de la guerre sans avoir pu'bénéficier d'un congé. Ils seront hébergés pendant dix jours à Paris au « Foyer du Soldat Belge », Porte Maillot. La première série de cent permissionnaire» porteurs des « bons de vacances » du Roi, arrivera à Paris le 31 décembre. L'anoien consul des Etats-Unis en Flandre visite une partie de son ancien distriot. — Ses impressions sur l'armée belge et sur la population civile en Belgique non occupée. — (Front belge, décembre 1914: d'un témoin oculaire). — M. John Ball Osborne, consul des Etats-Unis au Havre, vient de visiter le front belge. Je lui ai demandé de me communiquer ses impressions : « J'ai fort désiré visiter la partie libre de la Belgique et le front belge, me dit-il, et j'avais pour cela plusieurs raisons. Tout d'abord, il faut savoir que ma carrière officielle a été intimement liée à la Belgique. J'ai débuté comme consul à Gand, où j'ai été en fonctions de 1889 à 1894; mon district consulaire comprenait la Flandre orientale et la Flandre occidentale. La région que je viens de visiter à nou-

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