Informations belges

425 0
22 januari 1918
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1918, 22 Januari. Informations belges. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/qb9v11zz84/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

N° 582 22 Janvier 1918 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle# de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source premièra de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de servioe : 29, rue Jacques-Louer, Ï-.E HAVRE (Seine-inférieure) Franco. Sympathies Uruguayennes. — Paroles prononcées devant Sa Majesté le Roi des Belges par Son Excellence M. Guani à l'occasion de la rupture des relations diplomatiques et commerciales entre l'Uruguay et VAllemagne, le 15 décembre 1917. Sire, La bienveillance de Sa Majesté a bien voulu m'ac-corder l'honneur deporter personnellementà sa connaissance un fait que j'ai déjà annoncé à son Gouvernement : la rupture des relations diplomatiques et commerciales de mon pays avec l'Allemagne j faible contingence, sans doute,au milieu des masses gigantesques qui sont, à l'heure actuelle, en lutte dans le monde, mais nouveau signe moral de la protestation universelle contre l'esprit de révqlte qui prétend faire régner sur la terre l'injustice appuyée sur la force, l'arbitraire imposé par la violence. Quand l'Allemagne, passant outre à ses engagements d'honneur, violait la neutralité belge, elle a pu prétendre également que nécessité faisant loi, l'accomplissement d'un tel attentat à la foi jurée serait insignifiant en face de ses vastes ambitions dominatrices ; mais cet événement, Sire, a été plus décisif que la puissance de toutes ses armées, soulevant contre elle la conscience du monde entier et prouvant ainsi que dans les grandes crises de l'Univers il y a d'autres éléments plus forts encore que le fer et la violence, et qui se dénomment : la Justice, le Droit, la Liberté. Veuillez croire, Sire, que dans cette Ligue d'hon- -neur des peuples libres dressés contre les idées d'oppression et de servitude, mon pays a pris parti -pour le vôtre avec toute la sincérité et tout l'élan dont est capable une démocratie nouvelle et désintéressée, et il a jugé — alors que sur le continent sud-américain il comporte, comme la Belgique en Europe, une extension géographique qui est bien loin d^tre imposante — il a jugé que la valeur des nationalités ne se mesure pas seulement à la superficie de leurs territoires, mais à la droiture de leurs concitoyens, à l'héroïsme de leurs actions et à la loyauté de leurs gestes. Le gouvernement et le peuple de l'Uruguay ont compris que dans l'histoire sanglante et terrible de cette époque, Votre Majesté symbolise la Droiture, l'Héroïsme, la Loyauté. Voilà pourquoi ils ont suivi la cause de la Belgique et de ses Alliés. Je prie Votre Majesté d'accepter, avec le témoignage de toute mon admiration et sympathie, celui du président de la République, du gouvernement et du peuple de l'Uruguay. Au Front belge. — Une mauvaise journée pour l'aviation allemande. — Trois appareils abattus par l'artillerie belge. — Deux aviateurs sont tués, quatre faits prisonniers. — (D'un témoin oculaire : 21 janvier 1918). — Sur le front belge, la journée de samedi a été particulièrement mauvaise pour l'aviation allemande. Trois appareils — deux de chasse et un de bombardement — ont été abattus ; deux aviateurs ont été tués et quatre ont été faits prisonniers dans les lignes belges. L'après-midi, d'abord, des avions ennemis croisaient au-dessus de nos tranchées avancées et du « No man's land ». Notre artillerie spéciale les salua de volées ajustées de shrapnells. A 13 heures 15, un projectilè atteignit en plein un appareil, lui arrachant une aile. Cela se passait au-dessus de la route de Woumen à Steenstraat. On vit l'avion s'abattre dans une chute vertigineuse et s'écraser sur le sol où il fut réduit en miettes. Projeté hors de la nacelle, le corps du pilote vint tomber dans nos fils barbelés d'où son cadavre fut retiré dans la soirée. Vingt minutes plus tard, à 13 h. 35 exactement, un deuxième avion de chasse fut descendu dans la même région et vint se fracasser sur le sol, à Clercken. C'est vers le soir que nos canonniers émérites abattirent le troisième appareil. A la tombée de la nuit, comme de coutume, de grands avions ennemis de bombardement avaient quitté un aérodrome allemand dans les Flandres pour aller jeter leurs bombes sur des localités françaises et belges de la côte. Dès que leur arrivée eut été signalée au-dessus de nos lignes, un violent tir de barrage fut déclenché par notre artillerie spéciale. Un des appareils, atteint dans ses deux moteurs, s'empressa de lancer ses bombes au hasard, espérant peut-être pouvoir nous échapper. Mais touché dans ses œuvres vives, il vint atterrir plus rapidement qu'il ne l'aurait voulu, dans les lignes belges, aux environs de Wulverin-ghem où nos soldats firent prisonniers l'officier et les trois sous-officiers qui constituaient l'équipage de l'énorme machine. Il était 19 h. 50. Nos artilleurs on le voit, ont effectué, samedi, du beau travail.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes