Informations belges

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s.n. 1918, 21 Maart. Informations belges. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/rr1pg1jm1w/
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N° 640 21 Mars 1918 INFORMATIONS BELGES Observation Importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des .nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer dè l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belçe. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de mervioe : 29, rue Jacques-Louer, LE HAVRE (Seine-Inférieure) franc* Les attaques allemandes au front belge. — En marge du communiqué. — (Front belge, 20 mars 1918 : d'un témoin oculaire). — Le 18 au matin, après une violente préparation d'artillerie accompagnée d'obus asphyxiants déversés par centaines sur tout le front belge, les Allemands ont lancé contre nos lignes quatre attaques puissantes menées par leurs « Stosstruppen ». La première eut lieu dans la région de Merckem. Mais, sous l'intensité de notre l'eu de barrage, du flottement et de l'hésitation se manifestèrent dans les rangs ennemis qui furent rapidement repoussés à coups de grenades Contre nos positions de Dixmude, l'assaut fut mené par des Bavarois divisés en trois groupes, qui débouchèrent, du Haut-Pont de la Minoterie et du canal de Handzaeme,sur trois passerelles et dans plusieurs canots blindés. Un bombardement intense d'obus torpilles avait labouré tout le terrain, y creusant d'immenses entonnoirs, profonds de quatre mètres; des obus asphyxiantsavaient chargé l'atmosphère de gaz empoisonnés ; les lance-flammes vus en action avaient littéralement carbonisé un certain nombre de nos héros. Réfugiés dans leurs abris, nos hommes cependant se défendirent avec un courage admirable, tandis que se déclenchait notre contre attaque, menée par trois détachements conduits respectivement par l'adjudant Barette à gauche, le lieutenant Lefèvre au centre et le lieutenant Gallichet à droite. Les tranchées momentanément occupées par les Bavarois furent complètement nettoyées ; la plupart des assaillants furent tués sur place : d'autres tentèrent d'échapper en se jetant dans l'Yser pour regagner leurs positions situées à vingt mètres seulement des nôtres Six Bavarois qui s'étaient réfugiés dans une barque furent abattus par un groupe d'hommes que le lieutenant Richard avait amenés à la rescousse. Près du Haut-Pont, le3 tranchées allemandes nivelées par notre tir de barrage, n'offraient plus aucune protection aux Bavarois dont une vingtaine furent abattus par nos tireurs pendant leur retraite. La passerelle allemande lancée sur le canal de Hand-zaeme avait été démolie par nos obus. Un détachement ennemi chargé de recueillir les assaillants fut aperçu par un aviateur belge qui, malgré les shrap-nells et le feu nourri des mitrailleuses, survolait le lieu du combat à moins de 600 mètres de hauteur ; pris sous notre feu, ce détachement subit des pertes considérables. L'attaque allemande avait débuté à 6 h. 20 ; dès 8 h. 30 notre situation était complètement rétablie. Une mitrailleuse ennemie restait entre nos mains. La troisième attaque fut déclenchée à 4 h, 30. Une véritable trombe d'obus brisants et de projectiles asphyxiants s'abattit sur nos grand'gardes de Stuy-vekenskerke et du Reigersvliet. Protégé par l'épais brouillard, l'ennemi surgit brusquement à deux mètres à peine devant nos postes d'écoute et réussit à prendre pied dans certains éléments de notre position avancée, mais la garnison, sous les ordres du commandant Perrin, lui opposa une résistance acharnée. Puis, en plein jour, nos contre-attaques s'élancèrent. Après un combat très dur, notre ligne était entièrement rétablie à 16 h. 20. Nous avions capturé 4 prisonniers et 2 mitrailleuses. La quatrième attaque, enfin, fut dirigée contre une partie de nos lignes devant Nieuport. Recourant toujours aux mêmes procédés et aux mêmes moyens puissants, l'ennemi put occuper quelques éléments avancés. Mais, ici aussi, son succès fut tout temporaire, et l'adversaire ne tarda pas à être chassé des points où il avait pénétré, y abandonnant de nombreux cadavres. Sur la totalité du front belge, les Allemands continuent à se montrer particulièrement actifs. Leur artillerie bombarde constamment nos voies de communication et nos cantonnements, de même que Furnes, bien que la ville soit neutralisée et absolument vide de troupes. Ajoutons qu'un biplan allemand a été obligé d'atterrir, hier, aux environs de La Panne. L'officier et le sous officier qui le montaient ont été fait prisonniers.Les officiers de la marine marchande danoise contre les Allemands. — Au cours de la réunion annuelle de l'Association des officiers de la marine marchande danoise, tenue à Copenhague le 17 février 1918, le président a fait la déclaration suivante : « Il va sans dire que la nation allemande qui a pu approuver et prendre part à des procédés aussi barbares que ceux mis en œuvre dans de nombreux cas contre des navires appartenant à des nations neutres, doit s'attendre à rester sans relations avec celles-ci longtemps encore après la guerre. Tous rapports ou travail en commun avec des marins allemands doivent être exclus pour longtemps ». A la demande du président, l'assemblée, qui comptait plus de cent officiers de marine, approuva cette déclaration à l'unanimité.

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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