Informations belges

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16 januari 1917
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s.n. 1917, 16 Januari. Informations belges. Geraadpleegd op 20 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/xp6tx38p0z/
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N« 218 16 Janvier 1917 Informations Belges Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de servioe : 53, rue des Gobelias, JCE H WIllï (Seine-Inférieure) France. Le député belge Pol Boël en Allemagne.— Le grand industriel belge M. Pol Boël, de La Louvière (Hainaut), membre de la Chambre des représentants pour l'arrondissement de Soignies, ayant été jugé suspect de patriotisme belge fut déporté en Allemagne il y a quelque temps. On vient d apprendre que le député belge vient d'être transféré au camp des officiers prisonniers de Petersloh. (xx) Plusieurs déportés belges succombent aux souffrances qui leur sont infligées. — Le Courrier de la Meuse, de Maestricht (5 janvier 1917) reçoit de la frontière belge des renseignements dramatiques au sujet des déportations. « Dans une commune du Luxembourg belge, dit le correspondant du Courrier, de nombreuses déportations avaient eu lieu Avec 1 arbitraire qui leur est propre, les Allemands avaient emmené des gens dont ils ne pouvaient tirer aucun travail. Comme cela arrive fréquemment en l'occurence, ils renvoyèrent une partie des déportés dans leurs foyers. Or, au cours du trajet de retour, dix sept civils belges de différents âges sont morts dans les wagons. N'ayant rien reçu à manger à l'aller ni au retour ni pendant leur court séjour en Allemagne, ces infortunés on péri d'inanition. « A Binche, un fait à peu près analogue s'est produit La majorité des civils déportés n'étaient nullement des chômeurs. Parmi eux setrouvaientde nombreux étudiants. On les mit au travail dans des tunnels et dans des mines. Revenant du chantier tout couverts de sueur, ces malheureux étaient parqués dans des locaux humides et infects. Plusieurs d'entre eux contractèrent assez vite de graves maladies et trois de ces malheureux, rapatriés avec d'autres, ne tardèrent pas à expirer des suites du mal contracté. > (xx). — La préparation des Enlèvements dans le pays de Liega. — Le courage des cheminots belges. — Un correspondant qui parait exactement renseigné, écrit aux Nouvelles, de Maestricht (janvier 1917), au sujet de la préparation des enlèvements de chômeurs dans la province de Liège : « Des affiches placardées partout ces jours-ci ont averti la population mâle de 17 à 55 ans, dans les arrondissements de Liège, Yerviers, Huy et Wa-remme, qu'elle avait à se présenter, dès le second jour de janvier, aux « Meldeamte » cantonaux respectifs, pour la désignation des chômeurs. Pour Liège, Herstal et les communes environnantes, la présentation doit se faire au « Meldeamt » de la rue du Pot-d'Or, 55, à Liège, où le contrôle a commencé le mardi 2 janvier. Les professions libérales sont exemptées ; les autres personnes qui estiment avoir un droit d'exemption ont à se présenter d'abord dans les bureaux allemands de la rue du Vertbois, où les motifs invoqués sont examinés. Sont admis à l'exemption, notamment ceux qui paient une certaine somme de contribution et qui possèdent leur quittance de paiement, ceux qui vivent de leur travail ou de leurs revenus, pour autantqu'ils puissent en donner la preuve, etc. « Les Allemands recherchent surtout les ouvriers de métier : armuriers, mécaniciens, ajusteurs, tourneurs, etc. De ceux-là, ils n en ont jamais assez. Ils poursuivent beaucoup aussi, comme nous l'avons si souvent signalé, les agents du chemin de fer auxquels ils vont jusqu'à offrir par contrat des salaires de 10 à 15 marks par jour et même plus. Mais nos cheminots sont têtus : ils refusent tous avec une fermeté et une simplicité admirables. — « Il y a un règlement belge qui punit de six semaines à un an de prison les agents du chemin de fer qui refusent le travail, disait un officier recruteur allemand à un machiniste de l'Etat belge. Si vous ne voulez pas accepter de reprendre du service, c'est un an de prison que nous vous appliquerons. » — « C'est possible, répondit l'ouvrier, mais il y a aussi un règlement belge qui nons défend de travailler pour 1 ennemi. J'aime mieux faire un an de prison pour vous, maintenant que d'avoir à subir cette peine quand «mon» gouvernement rentrera au pays « après la victoire». Vous pouvez faire de moi ce que vous voudrez. Je ne travaillerai pas.» « Et 52 cheminots sur lequel l'officier allemand tenta la même contrainte, ce jour-là, lui firent, tous sans exception, la même réponse. Le dernier ajouta, non sans malice, que puisque les Allemands étaient victorieux et offraient la paix au monde, ils ne feraient peut-être pas mal de prouver leurs bons sentiments en laissant la paix aux paisibles ouvriers belges. »

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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