Informations belges

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11 oktober 1917
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s.n. 1917, 11 Oktober. Informations belges. Geraadpleegd op 23 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/tb0xp6zh89/
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N° 482 11 Octobre 1917 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de servioe : 29, rue Jacques-Louer, ILE HA.VRE (Seine-Inf.) France (xxx). — Dans l'Est africain allemand. — Les Belges entrent à Mahenge. — (Communiqué du Ministère belge des Colonies du 10 octobre 1917.) — Dans l'Est africain, les troupes belges du groupement du major Bataille ont poursuivi activement leur offensive au Sud de la rivière Kilimbero. Le 7 octobre, elles abordaient les positions ennemies établies sur un front étendu, jalonné par une ligne de collines situées au Nord, à l'Est et à l'Ouest de Mahenge. Les forces allemandes, repoussées de cette première ligne de défense, se sont retirées, en combattant, vers une deuxième ligne de crêtes en avant de Mahenge et sur lesquelles des positions de repli avaient été préparées. Le 9 octobre, le major Muller, commandant les colonnes belges de droite, entrait dans Mahenge que ses troupes occupèrent. Les opérations de poursuite continuent dans la région montagneuse au Sud de Mahenge où l'ennemi s'est retiré et au delà de laquelle opèrent les colonnes britanniques de Songea et de Lupembre. Mahenge était le dernier chef-lieu de district qui restait aux mains des Allemands. Le travail forcé en Belgique occupée. — Les procédés de réquisition humaine à Bruges. — Renseignements complémentaires. — On sait qu'a Bruges, les hommes de toutes les classes de la société, mais surtout de la classe ouvrière, sont forcés, à présent, de travailler pour l'autorité allemande. Celle-ci procède de la manière suivante : Lorsque la-réquisition est faite, elle subdivise les hommes en trois catégories : 1» Ceux qui refusent de travailler ; 2" Ceux qui « acceptent » du travail ; 3° Ceux qui « acceptent les travaux militaires ». Les hommes de la première catégorie sont impitoyablement punis de prison, ne reçoivent en cellule qu'une nourriture insuffisante, puis, au bout de quelques jours, sont envoyés au front, si près des lignes que nombreux sont ceux d'entre eux qui ont été blessés ou tués. Il est facile de comprendre qu'effrayés de pareils exemples, minés par la faim, énervés par les lamentations de leurs familles, malades de privations, certains finissent par souscrire un engagement pré-tendûment volontaire. Alors, on les envoie au port où ils déchargent des bateaux et touchent 3 Mark par jour, ou bien, si on a réussi à leur arracher leur « consentement » aux travaux militaires, on les envoie au front, à une certaine distance des lignes. Là, ils creusent des tranchées, font des travaux de maçonnerie, etc., et touchent, outre une part de nourriture, de 6 à 10 Mark par jour. Les femmes, depuis peu, sont de gré ou de force obligées également de travailler pour les Allemands. Elles réparent les effets militaires et confectionnent des cartouches. (xx). — Le travail forcé en Belgique occupée. Les Gantois contraints de travailler pour l'armée. — Une correspondance privée de Gand, parvenue en France, dit que la vieille cité flamande regorge de troupes allemandes. 11 y a beaucoup de cavaliers. Tout ce monde loge dans des baraquements que l'on édifie à la hâte. Les déportations ont cessé pour l'instant, mais l'autorité militaire réquisitionne les civils et les oblige à construire les logements des soldats. Au port, de nombreux civils, embrigadés de force, travaillent sous la direction des Allemands qui généreusement leur octroient un salaire de 2 francs par jour. (xx). — Manoeuvres pacifistes. — Un pseudopatriote belge au service de l'Allemagne. — Un avocat anversois, M. Van Steeriberghe, qui se targue de son patriotisme belge, s'en fut, récemment, faire une série de conférences en Suisse, dans le but de prouver que l'intérêt de la Belgique était de s'entendre, sans délai, avec l'Allemagne et de conclure la paix à tout prix. M. Van Steenberghe espérait donner le change, aux Belges réfugiés en Helvétie, sur la qualité de son pseudo-patriotisme. Mais ses compatriotes ne furent pas dupes et le messager de M. von Falkenhausen eut lieu de s'en apercevoir, notamment lors de sa conférence de Genève. M. Van Steenberghe, cependant, continue à se dire patriote. Malheureusement pour cette audacieuse prétention, le dernier geste public de ce singulier belge lève tout doute à cet égard. En effet, c'est dans les colonnes d'un journal stipendié par la « Koin-mandantur » de Bruxelles, La Belgique (28 septembre 1917), qu'il éprouve le besoin d'épancher son cœur, de dire les cuisants souvenirs que lui laisse Genève et la douceur de l'accueil que lui réservèrent ses amis allemands de Berne. Cette fois, la cause est entendue.

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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