13STF0 Kc£AT IONS BELGES- :\f® €64. du 25 décembre 1917, ( X X ) Les o uvr i e r s a ng lais et . 1 a, ff e.j g ig ue - Les comités parlementaires du Congrès les Trd.de Unions et le Comité exécutif du Labour Pgfcvhvûiit jugé fésirable de formuler une déclaration précise des buts do gu ;r:ce et de la politique de paix qui exprimât 1 'opinion des travailleurs, I _s ont donc établi, pour les soumettre- le 28 décembre 1917, à une conférence nationale, des propositiona dent ce qui suit est extrait: " Le Bri.tjsh Labour. lavement insiste enphatiquement sur c que la première condition de la paix dort et^e la réparation, parle gouvernement allemand, sous la. direction d'une commission inte -nationale, de l'injustice indiscutée causée à la Belgique: paieme . i par le gouvernement, de tous les dommages résultant de cette injustice et restauration de la Belgique dans une souveraineté indépendante, complète et sans entravgfcj, laissant au peuple belge le soin de décider de sa future politique . tous les points de vue . " ( X X ) Importance de la résistance uu Général .Léman à Liège.f &. l'occasion de lfarrivée en Suisse du Général belge. Léman les journaux rappelimt les heureuses conséquences militaires de l'héroïque résistance de Liège, Ci après deux exemples: Dans son leader- le grand quo&i&ien anglais K The Daily Tei'egraph " du 17 décembre 1917 rémemere que " Le Général Léman résista à Liège, pendant, les onze jours qui donnèrent aux divisio -anglaises le temps de passer la Manche et d'aller à la rescousse des Français. " Le " Petit yournaj " du 22 décembre 1917, rapporte Kne interview de H, Léon Pasquai, député ou Nord, compagnon de captivité du Général Léman pendant quelque temps-" Hov évoquâmes - dit i. Pasqual - avec le Général Léman les heures tragiques du début de la guerre et je lui sx;o r rcei le salut des populations des régions du Ford, dont, par sa défense sublime de Liège, il avait retardé 1 ' invasion,,îf V ' X X ) La férocité allemande., - Martyre des femmes belges - C o nf 6 -r'e-nce do M. Gérard, "gx-ambassadeur des Seat s: ■ Un .is a Berlin, - Le 17 décembre T9Inn I.L Gérard, ex-amabassadeur des Etats-Unis à Berlin, a fait, au cluo des avocats de New- York, une conférence au cours de laquelle il parla? notamment, de la férocèt'; prussienne. Voici quelques unes de ses paroles, relatives à l'àtti tude des Allemands à 1'' égard des femmes de ]a Belgique occupées " Ils n'avaient pas plus de pitié "oour les femmes des contrées conquisesc «Te connais plusieurs cas où les soldants teutons chassèrent les femmes de Belgique dans ies champs et les envoyèrent vivre dans une ferme solitaire avec des 30Idats prussiens. Elles étaient contraintes a des travaux manuels des plus durs et des "brutalités pÉnia-saieirt toute hésitation,. "

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