Informations belges

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s.n. 1917, 06 Juli. Informations belges. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/vt1gh9fs7n/
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Informations Belges Otoservation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles le presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en ertains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première le publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. adresser les communications de servioe : 53, rue des Gobelius, LE UjVVRE (Seine-Inférieure) France. (xx). — Jugement du publiciste hollandais \lbert Verwey, sur les déportations de civils >elges par les Allemands. — Le publiciste hol-amlais Albert Verwey publie, dans la revue De Be-oeginy (n° de juin 1917). dont il est un des co-di-•ecteurs, un article intitulé De Belgische déporla-ies en de vrede (les déportations belges et la paix), >ù, à propos d'un livre récent (Fernand Passeleeq) : Les déportations belges à la lumière des docu-nents allemands » ( Berger-Le vrault, éditeur), il pro-îonce un jugement sévère sur l'attitude des autori-és allemandes à l'égard de la population civile >elge. 11 s'astreint à n'appuyer ce jugement, indepen-lamment du texte, que sur les nombreux fae-simi-és d'ordonnances et documents allemands repro-luits dans l'ouvrage ; ceux-ci, à sou avis, consti-uent à eux seuls une charge écrasante pour l'Alle-nagne et procureront à la conscience universelle, [ui en éprouvait le besoin pour prononcer son verdict, un faisceau de preuves tel que l'accusée )lle-même devra en reconnaître l'évidence. « Les déportations, ajoute Albert Verwey, ainsi nises en lumière dans leur origine et développement, ionstituent non seulement à l'égard de la Belgique m la personne de ses déportés, mais en outre à 'adresse de tous les peuples qui ont grandi dans la iberté, un outrage si sanglant et une lâcheté si avi-issante qu'ils justifient pleinement la prétention des illiés lorsqu'ils déclarent que le conflit actuel n'est )as une lutte entre deux groupes de nations, mais a mise à exécution, par une armée de police mon-liale.d'un verdict rendu par l'humanité entière con-re un gouvernement réfractaire. Les déportations, lit-il encore, sont l'acte d'un gouvernement tel qu'il l'en existe pas d'autre au monde, l'acte d'une caste •égnante avec laquelle l'auteur se refuse à croire [ue nulle nation put encore se solidariser. « Aussi, écrit A. Verwey, est-ce vraiment en Alle-nagne, plus que nulle part ailleurs, que ces documents devraient être lus, car si les Allemands douent encore de l'étendue du désastre que leur gouvernement a déchaîné, ce livre leur apporterait la conviction que ce désastre est immense, et, par la ;eule connaissance des faits, ils concevraient aisé-nent la haine et le mépris que les Belges nourriront lésormais à" l'égard de ce gouvernement. « 11 conclut en disant que les déportations appar-iennent, de même que la guerre sous-marine à mtrance, à ces actes de désespoir auxquels recourt in pouvoir despotique lorsqu'il se sent à la veille de la ruine. » (xx).— Le pillage de la Belgique.— Les réquisitions à Verviers.— Verviers, centre industriel, a payé un lourd tribut aux envahisseurs ainsi qu'on pourra en juger par les détails ci-après, rapportés par un journal belge paraissant à Maestricht (n° du 16 juin 1917) : « Les réquisitions ont sévi terriblement dans le pays. Citons parmi les dernières : Chez M. J. Han-soulle, qui possède une maison à Bruxelles, on a enlevé pour 15,000 francs de tissus; chez Steade et Collignon, maison de Bruxelles, pour 10,000 id.; chez Bohn, à Verviers, pour 7,000 francs id.; chez J.-A. Drèze, à Dison, pour 43,000 francs id.; chez A.-C. Leclercq, à Dison, 1,300 kilog. de produits à effilocher; chez Delisisar et Robert, 1,200 kilog. id. « A la brasserie Mouget et Mangombroux tout le cuivre a été enlevé. Chez Garot, au pont Léopold, on a pris pour 23,000 francs de cuivre et plomb. Chez Hannotte Dewez, du cuivre a été pris en quantité. Chez Solperie, à Xhendelesse, aux installations de lavoirs, carbonisages, teintureries, lavages à neuf, etc., partout le matériel cuivre a été enlevé. » C'est ce que les Allemands appellent, tantôt «prendre en main les intérêts belges », tantôt « rendre la vie économique » à la Belgique. (xx).— La crise alimentaire en Belgique occupée.—Ce que mangent les Bruxellois.— La « Libre Belgique » échappe aux recherches. — On écrit de la frontière à la date du 18 juiivl917, au Telegraaf d'Amsterdam, (n° du 21 juin 1917) ce qui suit : « Hier, j'ai reçu d'une façon secrète une lettre ve-nantde Belgique. Cette lettre donne une idée de la misère qui règne là-bas à Bruxelles et dans d'autres villes de la Belgique occupée. En Belgique, on se rend de plus eu plus compte que la sympathie de la Hollande n'est pas pour l'Allemagne et que les actes des Allemands,qui sont en contradiction si flagrante avec les droits des gens, ont été réprouvés en Hollande.« A Bruxelles on n'a pas eu de pommes de terre depuis six mois ; « on » signifie, naturellement, la classe moyenne et la classe ouvrière ; dans la plupart des cas, la nourriture principale se compose de « Kriegsbrot » qui fait honte au nom de pain. Il est tout noir, dur comme un caillou et rempli de paillettes» Le boulanger ne peut le vendre que vingt-quatre heures après la sortie du four, sinon il est nuisible à la santé. Un kilo de beurre, pour autant qu'on puisse se le procurer, coûte 20 francs et il n'y a que quelques gens qui parviennent à l'obtenir des N° 387 6 Juillet 1917

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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