Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise

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s.n. 1914, 26 Juni. Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/2r3nv9b48p/
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26 juin 191< N 13. 35* ANNEE. 10 centimes le numéro. "^lOURNÂDnïOURNAL- NAl P"*! JOURNAL D'ANVERS ADMINISTRATION ET RÉDACTION: 35, ZIW, 35 = JLEfYE^S TÉLÉPHONE 0118 Les frianuscplts rje sont pas rerjdan . T ■WWY^TTT.-XTAT BWHT/^TTTTKY » T T ^ T m HT ANCIEN ORCHESTRE littéraire, théaïral àrIÎstique, mondain ; mBP^aT7=vttr^ \t i r P5"^ktr\t m\r »TW^9T7\ttr\ \r a t £.^®tattr* \t i'npiî'iti^tttrx AflOlPïEIttKKïTS: POUR LA BELGIQUE: CIÏ*Q F RANGS POUR L'ÉTRANGER: SEPT F'&.&IjCS L SERA RENDU COrtFTE DE TOUS LES OUVRAGES î"OHT JEUX EXEMPLAIRES ONT ÉTÉ ADRESSÉS A LA RÉDACTIOM Mœurs publiques La malignité publique a été déçue quand on a appris la remise de l'affaire Stroum-Wouters. Ah ! la belle occasion de rire qu'allaient nous fournir ces débats. Ce n'esl pas la première fois, cependant, que des conseillers communaux sont obligés de troquer les sièges rembourrés de la salie des séances de l'Hôtel de Ville, contre le bois inhospitalier des bancs de la correctionnelle. Notamment les bagarres qui ont suivi Ifs fameuses élections de juin 1912, nous ont fourni ce spectacle toujours piquant. Mais s'il est honorable, glorieux presque, pour un mandataire du peuple de descendre dans la rue quand gronde l'émeute et de prendre sa part des coups comme des jetons de présence, des banquets et du reste, il n'en est pas tout à fait de même lorsqu'il s'agit d'une de ces bagarres de cabaret mal fréquenté en quoi dégénèrenl aujourd'hui les discussions (?) de nos assemblées publiques. C'est moins honorable mais c'est à coup sûr plus divertissant. Car voilà : on ne se passionne plus pour des délibérations dont, cependant, dépend le sort du pays : On s'en amuse. Et on s'en amuse de la façon la plus basse, comme on s'amuse aux parades foraines ou aux cabrioles des singes, au Jaidin Zoologique. Il y a là plus qu'une nuance de mépris qui devrait rappeler ces messieurs députés ou conseiller sinon à leur dignité propre — il faudrait, pour cela qu'ils en aient un tout petit peu — tout au moins à la dignité de l'assemblée dont ils font partie. Mais nous voyons le contraire. Ils se sentent en représentation. Une âme de cabot, de très vulgaire nature les possède aussitôt. Et, ne sachant tous briller par le bon sens de leurs aperçus, l'éloquence ou le savoir, autant de qualités d'ailleurs dont les manifestations ne passent pas la rampe, ils se distinguent par la violence ou la grossièreté, sûr moyen de mériter les applaudissements du parterre. MM. Stroum et Wouters donc, sont prévenus d'avoir frappé M. Van den Bergh. Piévenu, certes, ne veut pas dire coupable. Aussi n'aurons nous garde d'anticiper sur le jugement. Une chose est certaine : c'est qu'il a eu une bagarre et que des coups ont été échangés. Comme il arrive généralement à l'issue de ces sortes de pugilats, tous ceux qui y furent mélés, et même les autres,s'en vont tout fiers en proclamant partout : J'y en ai, mis, hein ? » Le lendemain, dégrisés, ils sont moins fiers. Pour peu qu'ils aient de poursuites, ô ! alors, c'est une autre antienne. Ils n'ont rien fait, rien dit, bion au contraire ils ont tenté l'impossible pour amener le cilme, l'apaise, ment. Car la perspective d'une amende, même conditionnelle est toujours fâcheuse d'autant plus que Carpen lier lui-même, s'il s'était assis sur ce fameux petit banc dont nous parlions plus haut, n'aurait rien d'un héros. Et cette même galerie qui, naguère, les applaudissait, avec cette versatilité et cette ingratitude qui caractérisent les foules, est toute prête, maintenant, à se gaussser d'eux. Sic transit... Faut-il dire qu'au banquet de l'Hôtel de Ville, entre conseillers, on n'a parlé que de ça. Même à l'heure du café, on a assisté à une manière de reconstitution de la fameuse scpne. Nous devons à la vérité d'avouer qu'elle ne nous a donné aucune lumière nouvelle et que M. le Procureur du Roi lui même — on l'avait soigneusement évité — aurait été bien perplexe d'y démêler la vérité. Mais qu'ont dit nos invités, ou tout au moins ceux-là d'entre eux qui ont surpris cette conversation édifiante? Rien ou peu de chose. Car nous ne pouvons même pas nous vanter d'avoir la spécialité des séances à boucan, où l'insulte rem place la discussion et la bourrade l'argument. Voyez ce qui se passe partout ailleurs. « Au moins respectez le talent ! » disait M. Dechanel en adjurant les socialistes d'écouter en silence le discours de M. Ribot. Ils ont encore delà veine, à la Chambre Française d'avoir un talent à respecter ! C'est une denrée qui s'est faite rarissime chez nous. C'est en vain qu'on en rechercherait l'ombre de l'ombre sur les banos de notre Conseil Communal, ce qui, peut être lève les derniers scrupules de nos conseillers-boxeurs. Mais qui donc, ayant encore le respect de so', oserait s'y risquer? Il ne convient pas à tout le monde, ne pouvant élever le contradicteur à soi, de descendre à son niveau pour être compris. Comment lutter avec avantage contre des gaillards qui se sont exercés à dominer le tumulte des salles enfumées de meeting, à faire le coup de gueule et au besoin le coup de poing dans les Strijdersbonden, Jonge Wachten et autres clubs de la 5me ou de la 10me section? Voilà qui nous parait bien difficile. Et, ayant fait leur apprentissage ailleurs que dans les arrière-salles des cabarets delà Piace de l'Ant cien Canal ou de la rue du C>uvent, où se forment nos lutteurs et nos boxeurs de profession, ceut qi'on appelle les « gens convenables » préfèrènt renoncer. Notre avis ? Les gens convenables ont peut-être tort. On ne gagne rien à céder devant une brute. Ce qui fai ; la force des partis démagogiques, c'est précisément cett< grossièreté devant laquelle ont cédé les hommes bier élevés sans prendre garde qu'ils avaient ainsi l'air de ceder devant les idées mêmes de leurs adversaires i Parce qu'une bande de malappris s'est établie comme er pays conquis dans notre palais communal, ces gens croient que la ville leur appartient. Ils le croient ave< raison, puisque nous sommes bien obligés de subir leurs : fantaisies,jusqu'au jour où ils trouveront devant eux det i gens décidés à leur répondre du tac au tac, injure pour i injure et cent coups pour un. Hercule, pour nettoyer les i écuries d'Augias n'a pas eu peur de se salir. Mais voilà c'était Hercule.... Et il ne faudrait pas moins pour mot tre au pas les hercules de foire qui tiennent le haut de l'estrade dans la baraque de la Grand Place. — « Moi, aux prochaines élections, je vote pour Charles d'Anvers ! » — nous disait un ami en sortant d'une séance du conseil communal. Oui, et au lieu d'une sonnette et d'un règlement, armons le d'un solide balai. Le Journal d'Anvers. P. S. Le Nouveau Précurseur lorsqu'il dit une sottise croit que tout l'univers en est informé. Or, quelle veine est la sienne ! Son abonné étant en voyage tout le monde, maintenant, le prend pour un journal sérieux. M. Franck, absent. Un journal s'est étonné de l'absence de M. Franck à la séance du Conseil communal, lundi dernier. Nous disons simplement que M. Louis Franck avait été prié télégraphiquement par le Roi de venir s'entretenir avec lui de questions d'intérêt général. L'éminent député a passé toute l'après-midi au châlet royal à Oitende, où il a déjeûné avec le souverain. On peut évidemment regretter l'absence de M. Franck . fux parlotes de l'Hôtel de Ville que son intervention é'ève si souvent au dessus du niveau où elles se traînent misérablement. La note de notre confrère n'avait sans doute pas d'autre portée. La souscription Jan Van Rijswijck Une mise au Peint, Un groupe de lecteurs delà «NieuweGazet « envoie à M. le sénateur I van der Molen une façin de lettre ouverte où on lui reproche d'avoir 1 estimé à vingt francs les services que Jan Van Rij-wijck a rendus à son parti et à la ville d'Anvers. Nous même, oa s'en souviendra, nous n'avons pas caché notre étonne-ment à ce sujet et la publication de la lis'e de souscription pour un monument à élever à Jan VanRij wijck, dans les colonnes de la « Nieuwe Gazet » nous avait inspiré des réflexions plu'ôtmélancoliques, Ces réflexions, nous les avons retrouvées dans le «Handelsblad.» Pu exemple le grand journal conservateur n'y mettait aucune malice, bien ; au contraire, et il repoussait avec indignation l'idée qu'on put croire que des catholiques flamingants pussent se réjouir de l'échec de cette souscription. Il regrettait pour sa part que les promoteurs en eussent fait un instrument politique. Jan VanRij wij k est unefigare assez belle, assez noble, pour que tous les anversois pussent la revendiquer comme ur e gloire sans distinction de parti. Mais il est certaines précisions qu'il importe d'apporter ici. Et puisque nous avons mis en cause l'honorable M. van der Molen. il est juste de dissiper une équivoque dont nous avons nous même été la victime. C'est vrai que le nom du riche sénateur figure dans la liste en regard d'une somme de vingt francs. La raison bien simple en est que les promoteurs l'ont inscrit d'office ainsi que d'autres mandataires du parti libéral, pour cette somme. Une maladresse de plus à imputer à ces singuliers exploiteurs de fantômes ! Pour le reste, ily avait à la mort de Jan Van Rikw+jck des dispositions plus urgentes à prendre, que de lui élever urré statue. On oublie un peu vite qu'il se trouva à ce moment Quelques amis dévoués qui, sans recourir à une publicité tapageuse, rassemblèrent les fonds nécessaires pour acheter une maison à sa veuve. Et M. van der Molen, pour sa part, souscrivit mille francs. Ce petit détail a sa valeur; nous ne faisons aucune difficulté à le reconnaître et tout le monde, même les anonymes qui s'intitulent un « groupe de lecteurs de la «Nieuwj Gazet », le reconnaîtront avec nous. C'est là un petit point d'histoire assez ignoré mais qui méritait d'être remis en lumière. Il honore une fois de plus la mémoire de Jan Van Rijswijck, qui présida le conseil communal au momentoù se discutèrent d'importantes questions de concessions à de puissantes compagnies, et qui mourut pauvre. x as à ia s a sssa sa Thêâtra Royal. M. Corin est rentré de Paris samedi dernier, aprè3 avoir « emmanché » plusieurs affaires qui, si elles aboutissent, réservent d'agréables surprises aux fidèles du Royal. On travailla ferme à la salle du Royal. Les travaux sont activement poussés; tout sera prêt dès septembre. Mme Lina Dilson passera tout l'été à Anvers. La charmante artisteétudie le répertoire que M. Corin, reprend à son intention la saison prochaine. M Corin père se repose à Bruxelles. Mlle Parys vient de chanter, avec succès, affirme Comœ-dia, La Traviala au Cristal Palace de Calais. t Théâtre des Variétés. ; Ma Tante d'Honfleur t Comédie bouffe en 3 actes de M. Paul Gavault. ! Devant une salle comble, la tournée Brasseur, de joyeuse mémoire, nous revint lundi soir, nous apportant 1 le dernier succès du Théâtre des Variétés de Paris, « Ma 5 Tante d Hmfleur » 3 actes gais, signés Gavault. Quoi qu'ayant obtenu à Paris, un véritable triomphe — ' on réalisa un million de recettes dans les cent premières ' représentations — on ne saurait ranger « Ma Tante d'HoDflfiur » parmi les meilleures oeuvres de Gavault. ; «Mlle Josette ma femme», «La Petite Chocolatière», pour ne citer que ces deux oeuvres très connues à Anvers, sont infiniment plus fines, plus légères, mieux écrites aussi. 1 L'intrigue n'est guère neuve : imaginez-vous une certaine Mme Raymond, très riche, qui se paie le luxe de gâter follement son neveu Charles, qui vit à Paris, où il fait, depuis douze ans, des études de droit. De temps à autre, la tante d'Honfleur débarque à l'improviste chez son coquin de neveu. Au ltr acte, nous assistons à son arrivée au milieu de la nuit, alors que Charles vient de rentrer avec une petite bonne amie. La nuit d'amour ne se dessine point : après la tante arrive l'ami de Charles, Adolphe Dorlange, qui, après une dispute avec sa maîtresse Albertine, vient demander l'hospitalité. Surgit ensuite la maîtresse évincée, et l'ami n'échappe aux scènes que pour s'enfuir. Il prend le train pour Brives-la-Gaillarde, où ses parents mijotent à son intention un bon petit mariage. Albertine supplie Charles d'aller rechercher son amant ; à son tour le bon Charles s'embarque pour Brives et Albertine trouvant qu'il y reste trop longtemps, y arrive à son tour et se fait passer, aux yeux de M. et Mme Dorlange pour Mme Charles Berthier. Vous pensez bien que l'acte ne s'achève pas sans que n'apparaisse la tante d'Honfleur. M. Gavault manoeuvre avec habilité tous les fils de cette intrigue, et tout s'achève comme dans la plus honnête comédie: par un double mariage; Charles Berthier se marre avec la jolie veuve que devait épouser Adolphe Dorlange et celui-ci épousera la gentille modiste Albertine. On a beaucoup ri, et c'est l'essentiel. L'interprétation était vraiment bonne ; M. Brasseur demeure lui-mêaie ; c'est-à-dire un acteur au talent personnel, dont la mimique, les tics, le3 intonations font la joie des auditeurs. Mme Marquet donna une allure de belle et bonne humeur au rôle de la tante, et Mlle Fusier incarna trè3 bien Albertine ; M. Numès est un comédien remarquable dont on apprécia les qualités de rondeur et de naturel. Et Mmes Laurence Musset, Dereval.Balza, MM.Coquillon, Paul Robert, etc. partagèrent le succès général. La tournée Brasseur peut nous revenir... N. COULISSES * La tournée Brasseur, qui promène en ce moment « La Tante d'Honfleur » à travers la Belgique, la France et la Suisse, n'a pas empêché l'amusante comédie de Gavault de continuer sa fructueuse carrière du Théâtre des Variétés de Paris, C'est M. Dupuis qui a repris le rôle de Charles Berthier, créé par Brasseur. m Concours littéraire. Notre numéro de la semaine dernière annonçait qu'en souvenir de l'Exposition de la Femme Contemporaine, un groupe de dames organisait un concours littéraire, réservé exclusivement aux dames et jeunes filles. Les organisatrices de ce concours nous prient de dire que plusieurs participantes ayant exprimé le désir, en raison de la saison estivale, de voir reculer la date du concours, celui-ci est remis à une date ultérieure. Sauvons la Bruyère. Je vous présente une jolie femme: visage de toute beauté, d'une gravité un peu triste, avec dans ses yeux gris-verts, du mystère et une nuance d'effarouchement. Lèvres entr-ouvertes en un sourire accueillant, longs cheveux dénoués qui roulent sur les épaules rondes et le cou trèi blanc. Quelque chose d'indicible, d'infiniment sympathique qui retient le regard. On se sent parfois si petit devant de beaux yeux ! Et l'amour se glisse au cœur, furtif et grave, sans qu'on s'en douïe. I n?ginez qu'une blessure puisse couper en deux les joues délicatement rosées de cette charmante personne, laissant une cicatrice ineffaçable. Et réfléchissez un instant aux conséquences d'un aussi pénible accident. Cette jolie fem-ne, belle, tri .te, étrange, pcétique, accueillante, mélancolique: c'est la brcyè'e dî Calmp'hiul que rien ne vient limier, au^i loin que le regard puisse porter. C'est l'immensité, c'est le désert de sable avec des multitudes d'oasis, un dé'er' qui se fleurit l'été de' clochettes mauves des bruyères. II n'est pas un amateur d'agreste b:auté qui n'ait admiré ce? dànssd'or éclatan1, coupées par la nuance sombre des arbustes et qui n'en ait gardé un durable souvenir Mais à l'inôtar de la jolie femme dont je vous par-

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Dit item is een uitgave in de reeks Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise behorende tot de categorie Culturele bladen. Uitgegeven in - van 1903 tot 1958.

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