Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise

1950 0
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1914, 03 Juli. Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise. Geraadpleegd op 16 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/t72794226r/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

3 juillet 1914. N 14. 35* ANNEE. 10 centimes 19 numéro. JOURNAL D'ANVERS ADMINISTRATION ET REDACTION: 35, ZI35 == ABfVB^S TÉLÉPHONE 3118 Ues mat)Usci<lba; t)« sotjb pas perjalu.* JOUR N AL^lJOUR NALf-^'-JOUR NALf^JOUR I iiiAMuuuea <à,,' AMVffRQa ân'iMVRRSlL ik'AOT ANCIEN ORCHESTRE littéraire, théaIral arctique, mondain N AlJHIj <J U R-NALÎf^JOUR NAL^fjOUR NAIJ;"%"JOUR N ALf rRRSL Jn'ANVERSl Jn'ANVF.Rfil Jîn'ANVRRS-x A'A^iVRRS'v . POUR LA BELGIQUE : CIï*Q POUR L'ÉTRANGER : SE»T F^AI^CS . • -'A"1 v IL SERA RENDU COMPTE DE TOUS LES OUVRAGES POHT DEUX EXEMPLAIRES ONT ÉTÉ ADRESSÉS A LA RÉDACTJOM IJOUR N ALjpfJOUR N ALF^JOUR N ALf~fJOUR N Al^f n'ANVF.B.si in'ANVRWSl Jn'ÀNVRRSi. X'AMVKSSL i Réponse Où il convient de rectifier une erreur généralement répandue Il y a au Nouveau Précurseur un paladin doublé d'un Mentor, ou, si vous le préférez, un Mentor doublé d'un psladin. Mentor, il donne des conseils, ce qui lui permet évidemment son grsnd âge, mais il les donne sur un ton agressif parfaitement désagréable. Il tranche de tout, blâme, morigène, et naturellement il crie d'autant plus fort qu'on l'écoute moins. Innocente manie, parfois agaçante, et dont on se venge en allant irrévérencieusement t'rer la barbe au monsieur. Nous disions qu'il jouait aussi au paladin. Noble ambi-t'on.un peu déplacée, bêlas! dans un monde où le chapeau de feutre a remplacé le cbapeau de fer, et où l'utile est devenu la seule mesure des actions, bonnes et mauvaises. Les paladins, d'ailleurs, s'i's revenaient sur la terre, seraient débordés. Il s'y commet trop de canailleries, grandes et petites, et notre ordre social est ainsi établi qu'elles sont devenues une condition de son existence. Aussi a-t-on bien fait de reléguer les paladins où ils sont : dans les contes d'enfants et l'imagination de ces autres enfants que sont les poètes, et ne pouvait-il venir à l'idée que d'une gazette qui a l'âge de notre très vénérable confrère, de ressusciter un personnage à ce point démodé. Mais quelle est donc la belle persécutée, accablée de tourments et d'outrages, l'Eisa calomniée pour l'amour de qui ce confrère a ceint son grand sabre et chevauche son destrier de bataille ? C'est M. Jean De Vos, l'honorable bourgmestre, dont tous ceux qui le connaissent avoueront avec nous qu'il ne correspond qu'assez imparfaitement au signalement que nous venons de donner. Il a des moustaches et d'autres attributs qui le distinguent complètement. Même, dans les grandes circonstances, il porte aux côtés une épée qui, pour être purement honorifique n'en porte pas moins en son milieu une rigole deslinée à laisser écouler le sang, ce qui fait supposer qu'elle est capable d'en verser. Et M. De Vos n'a certainement pas besoin pour se défendre du grand sabre qu'est allé décrocher dans le magasin aux accessoires, où cet ustensile était la proie de l'humidité et de la rouille, le paladin du Précurseur qui s'obstine à s'appeler Nouveau. « Hé bien, nous voulons parler avec modération à cet homme. Nous voudrions lui dire à peu près ceci: Preux Olivier, souvenez-vous qu'un autre Olivier fut surnommé le Daim, preux Olivier, raccrochez ça, mon ami. Cette grande machine, que les petits hommes d'aujourd'hui sont malhabiles à porter, va vous faire mal. Il ne faut pas jouer avec les armes, même quand elles ne sont pas à feu. Là, comme ça, et maintenant voulez-vous, causons. Vous n'êtes pas le seul à prétendre que nous en voulons tout particulièrement à M. De Vos, que nous avons juré la perte de ce brave homme, et que, ne pouvant avoir sa peau qui lui tient décidément trop bien au corps, nous crevons de mâle rage. Laissez nous rire. M. De Vos a des qualités et nous sommes les tout premiers à leur rendre hommage. M. D3 Vos a dû accepter les lourdes fonctions dont il est revêtu dans un moment particulièrement difficile, délicat. Il a rendu, ce faisant, un véritable service à son part'. Mon Dieu, depuis, il s'est aperçu que le sacrifice offrait bien quelques petites compensations. Un homme comme lui ne doit guère tenir aux décorations, plaques, commanderies, crachats, et, étant sobre de nature, peu lui ébaut d'aller présider des banquets chez tous les restaurateurs de la ville. A ce frotter à des ministres et à de hauts fonctionnaires, on a vite pris l'habitude et c'est plutôt une corvée qu'un honneur d'accompagner le roi des Bjlges, 'e roi de Danemark, deux reines, ua prince royal, sans compter les dignitaires, généraux, ambassadeurs et autres, sur une malle à travers les bassins Quant à présider les séances à boucan du conseil communal, tenir à la sonnette comme à la cravache les fauves qui s'y démènent, c'est de l'honneur! Mais enfin, ça fait toujours plaisir d'être le bourgmestre, c'est-à-dire le premier magistrat d'une grande ville comme Anvers, et à jeter un coup d'oeil sur le chemin parcouru, depuis ses origines modestes et ses débuts laborieux, M. De Vos doit éprouver un légitime sentiment de satisfaction, et, on peut le dire, d'orgueil. Il y a aussi le traitement, dira-t-on, ce traitement que M. De Vos a, fort sagement du reste, fait passer de vingt à vingt-cinq mille francs. Hé bieD, nous le demandons en toute franchise: qu'est ce que vingt-cinq mille francs d'appointements pour un bourgmestre d'Anvers? Ils sont légion les porteurs de procurations de nos grandes maisons de commerce, et même des petites qui gagnent deux et trois fois plus. Aussi l'on comprend que M. De Vos soit regardant, comme on dit, qu'il ne prodigue pas les dîners ni les réceptions, ayant rompu même avec la tradition de feu Mertoga qui recevait à sa table les conseillers communaux et les hauts fonctionnaires de l'administration. Et c'est ici qu'on peut rendra à M. De Vos le trè? rare et précieux hommage que l'on doit à l'honnête homme. M. De Vos, dans une époque de spéculation effrénée, où la politique est de moins en moins le marchepied des ambitieux,est devenue surtout le mir-chep:ed des assoiffés de l'or, a sû garder cette belle, foncière et scrupuleuse honnêteté, ce profond désintéressement qui a toujours été l'apanage de cette bourgeoisie laborieuse d'où il est parti. Ajoutez-y quec'est un homme de bon sens et de bon conseil, mais que sa bienveillance native porte un peu trop à écouter les conseils des autres. Et c'est pourquoi, tout pesé, nous comprenons fort bien le sentiment de ceux-là qui répondent aux détracteurs quand même de M. De Vos — dont nous ne sommes pas — «Trouvez m'en un autre!» On n'en trouvera pas d'autre, et, provisoirement il faut laisser M. De Vos où il est. Il n'y est pas si mal, tant à notre point de vue qu'au sien. Mais si nos pères en 18S0 et bien avant, se sont battus pour beaucoup de choses qu'ils ne savaient même pas et d'autres, ils se sont assurément battus pour que nous ayons le droi', aujourd'hui, de critiquer tous ceux qui se trouvent placés à un échelon quelconque de l'hiérarchie administrative. Et M. De Vos n'échappe pas à la critique, loin de là. N'en déplaise au Précurseur, Nouveau ou Ancien, M. De Vos n'est pas tabou. Très en vedette sur l'affiche de l'actualité anversoise il est naturel qu'on s'occupe de lui plus que d'aucun autre. Et comme le public prétend qu'il joue son rôle en conscience, chaque fois qu'il y manque, si légèrement que ce soit, on le lui fait impitoyablement observer. C'est ce qui fâche si fort notre confrère, qui est l'organe attitré de la troupe dont M. De Vos fait partie. Ce n'est pas encore lui qui trompera le public sur la valeur de cette troupe. Ses boniments n'empêcheront pas qu'elle soit médioire, médiocre au point que M. De Vos, comme nous venons de le dire, peut passer pour un des meilleurs et peut-être le plus sympathique. Pour finir, disons que le bruit a couru que M. De Vos ne se présenterait pas aux prochaines éleciions. Il aurait fait part à ses intimes d'une résolution qui ne sera point inébranlable, nous l'espérons bien. M. De Vos a invoqué son état de santé, qui ne laisse cependant rien à désirer, et son âge. Nous en connaissons beaucoup qui, à soixante douze ans, seraient heureux d'avoir sa verdeur et sa lucidité d'esprit. Il est d'une trempe excellente et ceci seul prouve qu'il vaut mieux que la réputation... qu'on nous reproche de lui faire. Nous formons le vœu que nous puissions le critiquer très longtemps encore. M. De Vos peut toujours être assuré d'une chose: c'est sans rancune. LE 40URNAL D'ANVERS. Théâtre Royal. M. Coryn montera au cours-de l'hiver prochain, une œuvre belge en un acte, déjà jouée, avec un très gros succès, au Théâtre du Gymnase de Liège. La pièce est intitulée « le Relai d'Amour » ; la musique est de M. Tart, notre second chef d'orchestre et le livret est dû à un journaliste liégeois. On dit « le Relai d'Amour » une œuvrette charmante. L'action se passe au XVIIIe siècle et est prétexte à une jolie mise en scène et à des costumes ravissants. « Roma » de Massenet fut créé l'an dernier pendant la saison estivale de Vichy, avec Mmè Mancini dans le beau rôle de Fausta qu'elle créera ici. L'œuvre obtint un tel succès qu'une reprise s'imposait cet été: c'est ce que la direction, bien a-usée, s'empressa de faire. C'est Mme Suzanne Cesbron qui y chante actuellement Fausta. M. Viroux vient de quitter Anvers pour aller passer deux gros mois de vacances à Ostende. M. Camby, l'excellent et talentueux violon solo de l'orchestre, a été nommé président du Syndicat des artistes-musiciens.Voilà certes un choix fort heureux. Les direateurs de théâ'res de province viennent d'instituer une caisse, constituant un fond social, afin de leur permettre d'acquérir des œuvres nouvelles. On espère acheter ainsi une œuvre inédite de Puecini. L'œuvre est entièrement terminée, prête à être éditée. Le sort en est jeté: on augmentera légèrement, dès la saison prochaine, certaines catégories de places. La commission théâtrale vient, à cet effet, de se mettre entièrement d'accord avec M. Coryn. Et ceci est une très légère compensation bien due à notre sympathique directeur, dont le budget s'est trouvé fortement augmenté, et m ewanT» , ————,, i i . ■—tj-n ■ MM— cela de façon fort imprévue 1°, par les prétentions des musiciens de l'orchestre et 2°, par la suppression de plusieurs loges, fauteuils, et parterres, sacrifiés en vue de faciliter les dégagements de notre Théâtre. Il est à espérer que le public ne fera pas grise mine à l'augmentation prévue, qui, répétons-le, sera minime. Un confrère annonce que Miss May Peterson, une artiste américaine, vient de débuter brillamment à l'Opéra-Comique de Paris, dans « Lakmé ». C'était, en effet, un début à Paris : mais l'artiste fait du théâtre depuis 10 ans et parut, toujours avec succès, sur diverses scènes américaiue3 et anglaises. Campajnola a reparu avec un succès énorme, à l'Opéra, dans Gennaro des « Joyaux de la Madone ». L'excellent ténor vient de triompher également au Kursaal d'Ostende. wseZira 352 SeZ sa sk Wa Sauvons la Bruyère. Une lettre de M. le Bourgmestre de Cilmpthout. Nous recevons de l'honorable bourgmestre de Calmpthout, M. Bareel, la lettre suivante que nous insérons avec plaisir : TerHeide, le 38 juin 1914. Heide par Anvers. Monsieur le Directeur du « JournaS d'Anvers », 35, rue Zirk, Anvers. Monsieur le Directeur, , Votre collaborateur René Chambry, publie dans voi colonnes, un fort spirituel article où, si j'ai bien compris, il traite les membres de l'Admi-nisyation communale de Calmpthout,de vandales.de visigoths, de suffragettes mâles, de proxénètes, et que sais-je encore l Il qualifie aussi d'impudique la chaussée projetée dans la bruyère. Tout cela n'est rien et je ne vous le rappelle nullement pour que vous vous en tourmentiez. Mais il y a dans ce même article une inexactitude que je vous prie de bien vouloir rectifier, en publiant la présente, a peu près en même place et sous la même rubrique. Je connais trop vos habitudes de parfaite loyauté pour songer à recourir aux réquisitions d'usage, et je ne doute pas qu'il me suffira d'y avoir fait appel. Du reste, rien dans ma réponse ne vous sera, j'espère, désagréable : simple question d'information plus exacte. Le passage auquel je fais allusion dit cçci : « La commission royale des monuments et des sites s'est élevée par la voix autorisée de M. Ch. Bernard, cditre l'impudique chaussée ». - J'estime qmil est nécessaire que les lecteurs du « Journal d'Anvers » sachent bien que la Commission royale des moau liants et des sites, n'a pas faitcel|.Il ne faut pas confondre la Commission royale avec un Comité provincial qui s'est constitué à Anvers. Celui-ci est, en effit, pai^aitement capable de s'élever contre une chaussée impudique; je ne lui ai pas vu faire; mÛ3 plusieurs dî mes amis en font partie, ils sont capable de tout et j'aim; à leur rendre justice. i Par contre, la Com nission royale des moautnînts et des siteï, onpj-sée de personnalités éminentes, dont la compétence et le ban sens sont indiscutables, n'a pa* cru devoir s'élever contre « l'impudique chaussée ». Elle a mène tenu à marquer clairement son désaccord avec le Comité ci dessus, et elle a confirmé une première décision suivant laq-e'le il n'a pas pu empêcher la commune de Cilmpthrut d; créîr une route à travers la bruyère. Tel avait toujours été mon humble avis et celuidî l'Ai niai itraUoa communale. Vous devinez, Monsieur le Directeur, que c'est surtout cette opinion autorisée de la vraie Commission royale des mDnun;nts et des sites, en opposition avec l'opinion à coup sûr mains raisoaaS: dj milliers dî pé.i-tionnaires surexcités, mais peu au courant, que je d:sire voir rappelée dans votre journal. J'ai été enchanté d'y découvrir comme une perle, le charmant article de Monsieur René Chambry et je suis vraiment heureux de pouvoir le compter parmi mes administrés. J'igaorais que nous eussions àrCalmp'hout le bonheur de posséder parmi nous un pareil talen\ Faites lui, je vous prie, mon complimenf, et veuillez agréer avec tous mes remerciements, l'assurance de ma considération distinguée. (Signé) L. BAREEL. ♦ * Voici la réponse que notre excellent collaborateur René Chambry nous fait parvenir : M. Bareel — que je ne connais pas, dont j'ignore la profession, l'âge, la couleur des cheveux et la tournure, et qui n'est pour moi que le promoteur d'un malheureux projet, — danse sur les mots avec la légèreté de Blondin. D'après sa missive, marquée ati coin du meilleur esprit, la Commission Royale des Monuments et des Sites lui aurait donné raison. Distinguons ! MM. Buis, Kaisin et Dumercy, peut-être ! Mais les membres de la section provinciale anversoise lui ont donné tort. Ils font eux aussi cependant partie de cette commission ! Ce sont là de ces subtilités, M. Bareel, qu'on n'emploie pas lor qu'on aie bon droit pour soi ! Car les membres de la section anversoise de la Commission Royale des Monuments et des Sites sont plus au courant des choses de la province d'Anvers qu'un bruxellois, par exemple, qui, de sa vie n'avait mis le pied à Calmpthout, avant que M. Bareel l'invita à donner son a vif, ce qu'il fit volontiers après avoir passé deux petites heures dans une bruyère de quinze cents hectares ! (n'est-ce pas M. Buis ?) Il convient de dire que l'honorable bourgmestre de Calmpthout fit venir certain j Dur q latre membres de la Commission Royale des Monuments (qui ne faisaient pas partie de la section anversoise, bien entendu) et leur exposa la question. MM. Buis, Kaisin et le spirituel avocat anversoi; Dumercy approuvèrent le projet. Mais M. Massart, professeur à l'Université de Bruxelles, — qui connait admirablement notre province, —s'éleva avec force contre la mutilation projetée. Quatre personnes, est-ce là M. Bareel, toufla commission Royale des Monuments et des Sites ? Je crois savoir q îe M.Bareel promit formellement qu'une réserve de 250 hectares serait respectée. Cette promesse enleva le suffrage de M. Bulf. Mais aujourd'hui que la comniune de Calmpthout n'a pas approuvé cette déclaration, M. Buis contimierait-il à penser de même? Il est difficile de concevoir que l'ancien bourgmestre de Bruxelles, qui tomb; ea syncope sitô que l'on ab it un :

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise behorende tot de categorie Culturele bladen. Uitgegeven in - van 1903 tot 1958.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes