Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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20 november 1914
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s.n. 1914, 20 November. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Geraadpleegd op 24 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/br8mc8sv1g/
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eVendrecfi 20 novembre 1914 10 centimes le numéro 58me année — N° 324 JOURNAL DE GAND Y ABONNEMENTS : I gaOKjDl : t» taM f*r u ; 7-50 fr*a« fmr *■* »ota ; M* I P*mr tHrmmgmr, k port en tu RÉDACTION & ADMINISTRATION : a RUB DE FLANDRE, a GAND YftL&PHOHB «66 ANNONCES « ▼olr le tarif «n ba» Ae te dernttr» paga Ai JounA LA GUERRE Les bienfaits de la R. P En avait-on assez médit dan certains milieux, de cette pauvr Représentation proportionnelle a sein des collèges exécutifs, jus qu'au jour où il fallut bien passe outre à son application, plus pe force que par amour?.... Elle allait rendre impossible l'a< ministration des villes, comprc mettre la bonne marche des afta es publiques, jeter l'anarchie dar ïgestion des administrationsch; ritables; en un mot appliquer cet' ■éforme au sein du collège échev mI, c'était l'abomination de 1 iésolation, la fin de tout... et ne tamment de ce qu'on désira: :onserver pour soi seul. Ce n'est pas le moment deressu: :iter d'anciennes querelles ou d jeter la pierre à qui que ce soit -et telle n'est pas notre intention. Mais il nous sera bien permis ci constater les faits acquis, et d'e prendre acte à la lumière précis* mentdes événements qui sedéroi ient sous nos yeux; nous ne vou Ions parler que du temps présen Quel était l'argument primoi ial invoqué treize ans durant p£ îos amis du groupe radico-socic iste à l'Hôtel de ville pour fait ittribuer à leurs élus au sei iu Collège échevinal, la part c eprésentation à laquelle ils prétei laient avoir droit ? Ils disaient aux partisans c il'homogène » : « Nous représer i tons ici des classes de citoyer idont les intérêts et les besoir isont tout aussi respectables qu ceux des électeurs qui vous oi envoyés au Conseil; ces intérê et ces besoins nous les connais isons mieux que vous, parce qu ice sont les nôtres, et nous vol lions sauvegarder les uns et sut i venir aûx autres en donnant [l'administration de la ville et d( «organismes de bienfaisance un « orientation normale plus gérn « reuse, plus démocratique, et pa « tant plus en rapport avec le t aspirations de notre populatio i travailleuse — ouvriers et petii [bourgeois —, qui est de loin 1 i plus nombreuse en notre ville > Durant treize ans, nos amis s uttèrent à un refus aussi obstir |ue peu justifié. Enfin la situation changea. Et aujourd'hui que voyon nous, en ces moments difficile: ■ ptts heures troublées, où il n'e: ■ jas inutile de faire appel au cor ■purs de toutes les bonnes volon de toutes les intelligences < î tous les dévouements? C'est que, grâce à leur énergie leur activité, à leurs talents, :ur force de volonté et de travai •s élus des radico-socialistes a •ollège, Anseele, Heynderyckx ■ampens, non seulement ont s fendre largement leur part d •Sponsabilité et de labeur parfoi ifficile et ngrat, mais ils ont, pa ur perspicacité et leur connais '"ce parfaite des situations et de 'Soins, pu porter secours au 'fortunes, soulager les misère e cette partie de la populatio ■ Ul. est plus particulièremen tteinte par les événements ac > le,'s- ''•xtension de l'organisme ; ,J'e du fonds de chômage; œu [ssde soupes communales; dis 'butions de pain ; secours au: i l'ugiés, aux blessés et aux mala |es; mise en activité de travau: destinés à donner du travail et un salaire aux chômeurs forcés; interventions multiples dans tous les domaines de la bienfaisance. L'heure n'est évidemment pas aux congratulations et aux compliments, et il n'entre pas dans s nos intentions de faire valoir les e mérites particuliers des uns, sans u tenir compte de ce que les autres ~ ont pu faire avec zèle et désinté-:r ressement dans la sphère de leurs •r attributions respectives. Mais il nous plaît de signaler dès ores que les intérêts de la dé-!" mocratie ont été défendus et sau-l" vegardés dans la plus large mesure lS possible, avec la conviction que nos édiles continueront à faire tout :e leur devoir vis-à-vis de toutes les l" classes de la population, et sur-a tout des plus malheureux et des plus pauvres, et que ce résultat est 1 dû pour une grande part à la R. P. qui a permis l'accession au pou-ï_ voir d hommes que tout désignait e pour occuper les postes d'honneur ~ et de travail, dont on les tenait systématiquement écartés. e Si l'on pouvait douter encore, n qu'on aille voir ailleurs — là où la R.P. n'est pas appliquée — et que l'on nous dise si là aussi les diri-- géants ont su mériter comme à t Gand la reconnaissance, l'estime, ~ l'approbation et les louanges de ■r la population toute entière, sans distinction de parti ou de classe. e n ! , La Guerre Sur le front occidental lS Bulletin allemand affiché à Ganc jt Le 17novembre, 7 heures. — Ai ;s sud de Verdun et au nord-oues de Cirey les attaques française e ont été repoussées 1- Communiqué officiel allemand. 1- Berlin, 17 novembre (Wolff à (Communiqué officiel d'hier m£ :s tin). — Sur le théâtre de la guerr e occidental l'activité des deux cô i- tés a été minime à cause de 1 r- tempête et de la neige. :s Dans les Flandres nos attaque n progressent lentement. s Dans la forêt de l'Argonne nou a avons obtenu quelques succè: >. imnnrtanfç Communiqué officiel francais. Paris (communiqué officiel di 17/11, à 11 h. du soir) (Vas{ Dias] 3. — Selon les dernières nouvelle ; qui nous sont parvenues du front l'ennemi a renouvelé ses attaque !_ à l'Ouest et au Sud d'Ypres Cel. _ n'a amené aucun changemen dans la situation. L'impression est satisfaisante . Au cours des deux derniers jour à nous avons tait des progrès su tous les points où nous avon J attaqué; c'est-à-dire sur l'Yser entre Armentières et Arras, et le ^ environs de Vailly dans l'Ar gonne, ainsi que sur les colline, . de la Meuse. Un rapos des soldats belges Amsterdam, 16 nov. (d'après 1; s Kôlnische Zeitung). — On com-x munique de la frontière hollando s belge que grâce aux renforts ob-n tenus sur 1 Yser, il a été possible t de retirer les troupes belges di - front afin de leur accorder ur repos. A cause des batailles conti-■i nuelles les Belges étaient absolu--, ment épuisés Un régiment d'infanterie belge i , avait pris part en une seule nuii -1 à sept combats à la baïonnette c. entre Ypres et Dixmude. Les soldats belges légèremer blessés sont restés en France ceux gravement blessés ont él envoyés en Angleterre. La cathédrale de Reims. d-icu uaoucui aie uc xxoiixia. Berlin, 17 nov. — L'archi-prêti vicaire général de la cathédrale d Reims,Landrieux, écrit au Figar ce qui suit : Au nom de son Eminence 1 cardinal de Reims ainsiqu'enmo nom personnel, je témoigne ps la présente que jamais nulle bai terie n'a été placée sur la plac devant la cathédrale et qu'aucu poste d'observation n'a été install sur la tour ni dans le voisinag direct de la cathédrale. 11 n'y jamais eu des troupes ou des pos tes installés dans ces endroits. Le bureau Wolff est charg d'opposer le démenti le plus for met au susdit témoignage et d déclarer que de l'artillerie a él installée dans le voisinage immé diat de la cathédrale et qu'u poste d'observation a été remar qué plusieurs fois dans la tour. Une appréciation ^ . Milan, 16 nov. — D'après u télégramme à la Kôlnische Zei tung,, un critique militaire fran çais aurait exprimé l'opinion sui vante dans le «• Corriere del Sera -; La situation des alliés près d Nieuport-Dixmude-Ypres rappell celle des Autrichiens près de Ma genta. Les Français tentèrent d passer Raviglio, mais les Autri chiens les en empêchèrent. C'es alors que Mac Mahon, près di Magenta, aida les Français ei retraite, par une attaque de flam qui amena le triomphe. Les écrivains militaires se trom pent cependant en pensant qu> sur le canal de l'Yser une attaqu-de flanc n'est pas à craindre. / ce sujet le Corriere de la Sera fai remarquer que pareille opinioi est trop optimiste,cardeLaBassé un enveloppement de flanc men; çant a été fait. 11 n'est pas impos sible que les Français défenseur du canal de l'Yser éprouvent ui sort pareil â celui du défenseur d Raviglio Grande. Sur l'Yser. s Un officier de cavalerie allemand raconte dans le « Berliner Lokal An^eiger» quelques faits deguerr qui donnent une idée de la lutt . terrible qui a eu lieu : ,' « Nous croyions voir l'ennem t battre en retraite. Etait-ce l'extrê ^ me aile gauche qui opérait celle ' ci ? Dans ce cas, nous avion réussi à forcer une décision, qu devait se répercuter sur tout 1 front. Nous nous étions réjouis troj tôt ! Quelques heures plus tari nous sûmes que nous étions atta qués par des forces considérable; ^ supérieures 1) s'agissait pour L ; moment de défendre notre posi-~ tion au besoin jusqu'au demie homme, afin d'éviter une catas trophe. Les commandements furen a lancés partout : d'abord bombar- - der les colonnes, puis attaquer R 1- La compagnie fut menée ver; - l'orée de la forêt et dut avancer er e tirailleurs par prairies, champs j fossés et broussailles. C'était ur i terrain qui nous protégeait suffi- - samment et en même temps - extrêmement désavantageux pour l'ennemi. Nous réussissions è s avancer. L'une compagnie suivait t l'autre. Les réserves restaient réu-î nies dans la forêt. Les pertes devinrent plus sensibles. A tout in- it stant on voyait passer des groupe; ; de blessés portés ou soutenus pai :é des camarades, laissant une large traînée de sang. Le camp de h Croix Rouge derrière nos ligne; se remplissait rapidement. e Tout-à-coup le feu semble plus e intense et paraît se rapprocher. 0 L'ennemi, supérieur en nombre, fait une sortie violente de R. Se e première ligne nous rejoint pres-n que Nous restions à notre poste. r ayant renvoyé nos chevaux. Le - général attendait avec calme les e derniers bataillons c|ui avaienl reçu ordre d'avancer. Car nous ne é pouvions soutenir, sans renforts. e une seconde attaque. Une nou-a velle forced'infanterie esteonduite - au feu. Suit une accalmie, mais nous é désirons mieux. Nous voulons ~ avancer, d'autant plus que nous s savons que la division sœur a é déjà pris C. L'ordre retentit de _ nouveau En avant! » Nous espé-n rons avancer, par la poussée des - nouveaux bataillons. Maislasupé-riorité numérique est trop grande. Nous sentons que les nôtres ne q pourront se maintenir qu'au prix _ de sacrifices considérables. Je rap-_ porte l'état du combat à l'état-_ major de la division qui est en ar-a rière. Je cours vers la hauteur le e plus vite que je le puis. On parle e là-bas de notre colonne de droite, _ notre autre brigade. Automobilis-e tes, cyclistes, officier d'ordonnance . partent à sa recherche. Elle doil t attaquer à son tour du côté sud-; Ouest. Un vélo délaissé me recon-} duit vers la ligne de feu, pres-: que parmi les ennemis. Car dévalant de la hauteur il n'y a plus _ moyen d'arrêter. Je me laisse tom-; ber et rampe vers l'orée de la forêt. ; Ici je rencontre le général. Je lui L annonce que deux bataillons d'in-t fanterie active sont mis à notre -, disposition. Anxieusement nous ; attendons leur arrivée. Je grimpe . sur la hauteur, près de la route, en _ reconnaissance. Je sais d'avance s qu'ils ne peuvent pas encoreyêtre, 1 et. malgré tout, j'espère. s Sur la route, en haut, c'est un spectacle terrible. Tous les chevaux de l'artillerie, morts, jonchent le sol. Une autre scène s'est passée ici. 1 Un de nos vaillants chef d'escadron s'était avancé pour recon-e naître le terrain. Un coup de feu e dans le bras l'a couché par terre. . Notre médecin était de suite à son 1 poste; mais, il fut terrassé à son tour. Un autre officier s'était avancé vers cet endroit dangereux pour ? sauver ses deux amis. Mais un 1 coup mortel à la tête l'abattit 3 également, Tout celà doit s'être passé il y a quelques minutes à J peine. * A un coude de la route l'infan-~ terie apparaît. Je vais à sa rencon-5 tre et raconte brièvement aux ; majors ce que le général désire " d'eux. Les compagnies sont rapi-r demem conduites au feu. On attend d'elles qu'elles prendront R. Elles entraîneront les autres trou-1 pes. Elles s'avancent vigoureusement. A chaqueavance cependant ■ le feu ennemi devient plus violent ' Malgré les pertes considérables 1 nos hommes atteignent nos premières positions, quelques centaines de mètres à peine du mur du cirnetière de R, ' Chaque tentative d'avance est accueillie par l'ennemi retranché et invisible par un feu d'infanterie etdemiirailleuse, tellementviolent, qu'aller plus loin est un sacrifice inutile de nilliers d'hommes, ré- ; servistes, qui ont là-bas femme et ' enfants. Un dernier essai doit ce-: pendant être tenté. Envoyer la dernière réserve est l'ordre nou-; veau. Nous avions en effet encore trois compagnies de pionniers, notre suprême réserve. Ils font leur besogne d'infanterie, comme s'ils en avaient toujours fait ainsi. Un ■ court moment, ils sontsous le feu. Maintenant les bayonnettes sont plantées sur les canons. Et en avant, marche! Tout ce qui a encore des membres et un coeur qui ■ bat, saute sur pieds. Immédiatement il pleut des balles du côté du cimetière. Criant, tant que nous le pouvons : et par des signaux nous tenons la ligne en marche. Mais tout celà ; ; ne réusssit pas. Nous compre- > nons que les pertes vont être ter- • > ribles. Donc, plus en avant. Notre dernière position retran- 1 ; chée est rejointe et nous y tiendrons jusqu'à notre dernier ' - homme. Il est cinq heures de l'après-midi. Nous nous rendrons compte 1 que sans le bombardement du cimetière par notre artillerie et > sans renforts, rien n'est à faire. Le < soir tombe : il sera notre plus sûr 1 allié. < L'officier narre ensuite com- I ment le lendemain l'attaque 1 réussit. Sur le front oriental. Bulletin allemand affiché à Gand 17 novembre. 7 heures. — Les opé rations sur le théâtre de la guerr oriental ont continué favora blement, Communiqué officiel allemand. I Berlin, 17 novembre (Wolff).-Les combats vers l'est continuent Dans laPrusse-Orientale, nos trou pes ont repoussé les troupes en nemies au sud de Stalluponen. En Prusse-Occidentale elles on arrêté la marche des Russes prè: de Soldau. Près de Liene nos troupes on repoussé sur Plock de fortes trou pes russes qui avançaient sur 1; rive droite de la Vistule. Dans ce: combats 5000 prisonniers ont ét< faits jusqu'hier. Dans le combat près de Wloda wo qui dure depuis quelquesjour; il y a eu résultat : plusieurs corp: d'armée russes qui s'étaient intro duits chez nous ont été repoussé: jusqu'au-dessus de Kutno. D'aprè: le relevé connu jusqu'à présent il: ont eu 23000 prisonniers, et on perdu au moins 70 mitrailleuses et des pièces d'artillerie dont 1< nombre n'est pas encore fixé jus au'à Drésent. Commumiqué officiel autri chien Vienne, 17 nov. (Wolff). — Au nord du théâtre de la guerre ont commencé à se développer des combats à partir du 16 novembre, sur plusieurs points. Concentration des troupes russes. D'après une dépêche de Bucha-rest en date du 16 novembre à la Kôlnische Zeitung, la concentration des troupes russes dans les gouvernements de Kischinew, Kiew, Bender et Odessa continue. Le long de la côte de la Mer Noire des mines russes ont été posées. En Serbie Belgrade. Berlin, 16 nov. — D'après li ; Voss. Ztg. on peut s'attendre sou peu à l'occupation de Belgrad par les Autrichiens. L'artiileri autrichienne domine toutes les voies de communication menant vers la ville. La Serbie demande aide å la Roumanie. D'après un télégramme en date du 16 novembre à la Kôlnische Zeitung, le prince Georges de Serbie aurait fait un appel pressant à la Roumanie pour obtenir de l'aide. D'après le prince, les Serbes, avec l'aide des Roumains, pourraient triompher des Austro-Hongrois. Sur le front turco-russe L'armée du Caucase se retire. Dans un télégramme adressé i la Kôlnische Zeitung, l'agence ;élégraphique de St-Pétersbourg ious informe que l'état-major de 'armée du Caucase communique :e qui suit : Après une succession de com-Dats dans ta contrée de Kôprikoï 10s troupes avancées ont pu déter-Tiiner le groupement des forces ;nnemies. Comme des renforts turcs sont irrivés ces derniers jours sur les :6tes près de Chny-Skala, Erse-■um et Trapezunt, nos troupes i'avant-garde se retirent en com-nattant vers des positions indiquées.Des tentatives turques en vue le nous reprendre la colline Kha-lessuk que nous occupons ont ;té repoussées. Les autres divtsions des troupes l'ont eu à soutenir aucun combat mportant. Notes de la journée Gand, le mercredi 17 aov. Après une éclipse d'environ cinq semaines, notre journal a fait sa réapparition.Par le temps qui court, tout le monde n'est-il pas avide de nouvelles et d'infor-5 mations, chacun ne désire-t-il savoir ce qui se passe, et de façon aussi exacte que * possible? A moins de s'en rapporter aux « on dit », aux renseignements approxi- 1 matifs, aux bruits colportés sous le man-? teau et qui, 90 fois sur 100, ne reposent * sur rien, et font naître toute espèce de commentaires et de légendes. Avez-vous remarqué, à cet égard, com 5 bien peu de gens, non seulement ignoreni 3 la géographie — ce en quoi ils sont excusables — mais omettent généralement 5 ; de consulter une carte, dont il exisU 5 j cependant des exemplaires à toutes les 5 vitrines? C'est élémentaire cependant si ^ l'on veut se rendre plus ou moins exacte-' ment compte des opérations sur le thé-- âtre de la guerre, pour après, faire — sans trop grossièrement se tromper — de la stratégie en chambre. Sinon, ce que l'on risque de colporter de bourdes, de situer des rencontres., à i quelque 150 kilomètres du front des ; ! armées, de faire faire aux troupes des , ' bonds de quelque 20 lieues, de forger de . ; toutes pièces des investissements de places ifortes, d'inventer des batailles... en l'air, quoique non d'aéroplanes, est inimaginable.Avant donc que de parler, consulte* la carte !... » * * Le temps continue à être affreux, et le baromètre descend touj ours lamentalement. Ce ne sont partout que tempêtes, pluies violentes, giboulées, rafales, brouillards, chutes de neige même! Les communiqués officiels eux-mêmes en font mention au même titre que les bulletins des observatoires. Et avec cela, il fait rudement malpropre. A Gand nous sommes tout spécialement avantagés pour ce qui est du nettoyage de la voirie. En temps normal déjà, ce n'était pas brillant, il s'en faut

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Dit item is een uitgave in de reeks Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Gand van 1856 tot 1923.

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