Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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25 augustus 1918
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s.n. 1918, 25 Augustus. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Geraadpleegd op 18 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/7d2q52gz9b/
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L'addition s. v. pl. [ Veilà p'us Je quatre an» déjà que Im accordeurs di 1 wujert européen nous ««ourdissent le tymp*H aïe leur luoubre musique. Encore si quelqu'un était «»p»U ■'entrevoir I» in du morceau. Mais noi. Tels des miei ■ lii>s appelant, du haut de leur minaret, les idMe» f, 1; ■ prière, les grands qui dirigent les destinées de l'Rurop I uoatinuent imperturbablement, du haut, de leur tou ■J'ivoire, à faire risette au dieu Mais. Un bas, dans I ■fr,'»», les croyants se frappent dévotement la poitrine HL s enfretuent. Mis est un dieu intraitable. Il lui fan Be la chair ot du sang, des larmes et des éo.s. O'ett ■d ■ Bière passion, il la tient peut-être de sa mère. Junon I laquelle piésidait aux noces, aux accouchements et à ii I matai*- Depuis quat-e ans, ses fantaisies ont coû • !. . jolie somme d • Soi) milliards 4.' franos. Et dire que ce); H n'effraye p >s encore ses disciples. La pais ! Ah ! oui, 1< ■nais ■ ils la désirent tous, disent-ils. Mais personne m ■veut'commencer C'est 1 p tit jeu de Fontenoy : «Mes P sieurs les gardes-françaises tirez les premiers». — «Par don ! Après vous, Messieurs les Anglais ». ^ t 85') milliards de francs, mettez-vous cela dans la cabo Khe ■ 850.000.003.000 fr. dépensés directement en vuf ■de tuer son s mblable. Car, remarquez-le bien, ce ch ffrf ■formidable ne tient compfe d'aucune perte directe c u ■sc . par 1. guerre. Il n'attache pas i » moindre impor HLnce ni aux destructions de propriétés ou de relation: ^Economiques, ni aux pensions qu'il s agita de payer plu; Mfard aux malheureuses victimes, ni au secours don ■ béu ri jie ,t, les veuves et les orphelins, ni à u import ■quelle dép 'use accessoire. Ces 850 milliards con : i uen ■uniquement lo total de.^ frais directs occasionnés par 1 Kguerre à l'ensemble des belligérants ju. qtre fia juille R1918. Quel ogre, qu'une armée! J-* ne puis mieux un m l'imaginer que comme un Pantagruel incommensurable I douô^ic millions de mâchoires, de millions d'estomacs e' I d'un ventre de dix mille lieues de tour. Ce Pantagrue ■fabuleux avale non seulement des mets entassés en mon {tagues plus haut-s que l'Himalaya, mais d^s miues d< | f :\>de cuivre, des chantiers navals, des navires gigan Rtesqn-'s disparaissent comme par r-nchantemeut dans les | protondeuis insondees de ses infatigables entrailles. I HeiHoutit toujours tout, ce que les.vermisseaux humain; ■lui apportent.Carnégii', le fameux milliardaire américain ïqui se connaît en matière de finance, avait cent milli I fois raison le jour où il disait aux étudiants d'Harvard ■ « Mes amis, u'oubiiez-pas q/il est infiniment plus diffi k cilede bien dép: user son argent que de le gagner ». K Heureux les peuples qui n'ont pas d'histoire. Qui ■ devraient alors être ceux qui n'ont pas de dettes' m850 milliards I Quel poi's à supporter par les epaule! • débiles des contribuables d'Europe, d'Amérique e I d'Australie! Est-ce donc un besoin de la nature humaine Que de toujours plier, le dos? K 850 milliards pour quatre ans, c'est à peu près 18 mil K liards par mois, c'est tiOO millions par jour, 25 million? 1 par heure, 400.0U0 francs par minute, 7000 francs pa: I seconde. Il y a beaucoup de professeurs, d'artistes, d( K savants qui ne gagnent pas 7000 francs par an ? I 850 milliards de francs en pièces d'or de vingt francs 1 eela ferait 12 1/2 milliards de fouis, soit un poids de ■ plus de "250 millions de kg. En or absolument pur. il 3 | g 11 aurait pour 225 millions de kg., ce qui représente ur [ rolume de 11.500 mètres cubes. L'or englouti par h juorre replanterait dès à present une colonue cylindrique de 12 mètres de diamètre, et aussi haute que 1< Beffroi ! Heureusement, le papier est moins rare, et 1; ; presse à imprimer est une machine discrète et bienveil , I&nte, 850 milliards ! Anrès 1870 les trois-quarts du mondf i jetèrent les bras au ciel en apprenant que la Franc» l avait à payer une indemnité de 5 milliards. Une paille K quoi. La guerre de 1870 dura 245 jours, et coûta, de par K #t d'autre — Abstraction faiLe, évidemment, de 1 indem m aitô imposée à la France — 1 1/2 milliard de francs I soit au total 3 milliards. Cette somme infime suffit ac f ! tellement pour faire cinq jours de tranchées. L'afFair< L du lltansvaal, qui#e poursuivit, du. 11 octobre. 1899 ai SI mai 1902, eut une diiVée de 96.'* jours, et coûta à l'An f gleterre 5 1/2 milliard^. C'est à peine si l'on pourrait st I battre actuellement, avec ce petit fonds de caisse, peu-I danthuit jours et cinq neures. Lorsque le Mikado s'ei: [ alla-t-en guerre contre le T-~ar de toutes les Russies: K il ne prévoyait point que ses soldats auraient eu à se i lattre penda11 550 jours Après un an, ses conseillers lu: 1 firent remarquer que Port-Arthur devenait une localité I excessivement chère, et qu'il fallait en finir le plus tôt ■ possible, car autrement, di iaient-ils, le pays des mous-I més se serait ruiné. Or, que coûta en fait la guerre russe-tj&poaai-e? A p -u près 3 milliards et demi de part <1 I d'autre. On gâche aujourd'hui ce modeste magot eu I »nze à douze jours. i Le dix-huitième siècle a été appelé le siècle de la Ivapeur, le dix-neuvième celui de l'électricité. Nous I avons fait n^tre entiée dans celui du milliard. Le res-ipect pou • le* chiffres imposants appar ient à l'histoire, fils n'impressionnent plus, dirait-on. On dépense, 011 Idépense, et personne ne paraît songer au quart d'heure [ de Rabelais. Pourtant, il doit arriver fatalement un jour, f ce quai t d'heure. De n'importe quel côté qu'on se tourne, v 011 vous dit que c'est évidemment désagr'éable, tout cet ■argent gaspillé, mais qu'il faut s'y résigner humblement, Ipuisqu" c'est pour le bonheur de ^humanité. Pauvre I humanité ! Son bonheur gagne-t il vraiment à être | assaisonné de misère to comme les haricots verts d'un S filet de vinaigre ? Mais de cela les grands chefs semblent n'avoir cure Les ministres des finances continuent I à vider les coffres-forts nabion ux avec plus de désin-[ voiture que le trésorier d'une « chocheté » de. vogelpik t lorsqu il doit puiser dans la caisse pour acheter du i papier à lettres. | 850 milliards! Je comprendrais, à la rigueur, qu'un nouveau riche reste calm-) à la vue de ce nombre. Mais vous, comme moi, qu'en dites-vous? Cela ne vous fait-| il pas se dresser les cheveux sur la tête ? Et ce n'est [pas fini; c'est comme le nègre : ça continue. Où allons-nous, mes frères ; je vous le demande, où allons-nous? Raoul Gustave. Les Expositions Nous avons dit déjà quel vif intérêt offre la nouvelle « Salle d'Art » ouverte à l'angle de la rue des Maguet-1 tes et de la rue Basse des Champs. Les esthètes qui, oes jours-ci, franchissent, par dilettantisme, les tran-[chées et barricades, dont l'administration des tramways [défend les abords de ce salonnet, seront récompensés Ida leur vaillance par le régal que leur offrent lessculp-Ltures de M. Louis Dubar et les pefntures de Mlle Ga-iWielle Swarts. Les œuyres des deux artistes s'apparen-Itent par des mérités égaux, de spontauéité, de probité et de savoir faire. Mlle Swarts est, dans toute la force du terni0, un peintro de plein air. Chacun de ses tableaux est comme tune fenêtre ouverte sur la nature, — nature vibrante, iradieuse, luxuriante. Son art ne relève directement [ d aucun maître; il est l'émanation sincère d'un tampé-! rament de coloriste, et aussi de cette race à laquelle [uousde7ons les Haertsoen, les Claus et leurs émules, race de peintres éprise de vérité, de lumière et de vie. U n y a, chez cette artiste, nul parti pris de procédé •u d école, la couleur et le dessin semblent, dans ses •uvies, jail is ensemble, sans tât.orn»ment et sans effort. dans la fraîcheur de la sensation, la décision du coup d œil et de la main. Ses fleurs, — qu'elle peint •ans recherche d'accessoires ou d'arrangement, les copiant de préférence à même la plante ou l'arbre, -•nt une vigueur et un éclat incomparables, — tel ce « Parterre fleuri » tout rayonnant, de clartés, tout imprègne de parfums. Les moindres paysages de Mlle bwarts sont des poèmes rustiques, construits avec une science très sûre et enlevés avec lyrisme, tels « La au* chauds reflets, € L'arc en ciel > aux cha- Dimanche 25 août Km K-KfcVi —if 19 cas-,limes la numéro 62* année — Nos 232-23Ê Journal de Grand JBSOHIO PES FLANDRES Rédaction et Administration : 3, RUS DE FLANDRE, 3, GAND Abonnements : UN P ANC VINGT CIWQ PAR TRIMtBSTRlS toyantes harmonies, o ; ce « Printemps » si émouvant et si vrai. M. Dubar a. un métier ferme et franc, qui n'exclut ni l'élégance ni le sentiment. « I >a Femme au K imono ». « Rêverie », « F- mine au chien », « Jeune Fill ». sont des créations charmantes, d'un joli mouvement, d'une i grande distinction de style. Le petit groupe « Mère et enfant » est très touchant dans sa simplicité, et'les deux . nus feminins sont d'une ligne gracieuse et d'un souple j modelé. Chacune de ces petites figures est étudiée et • fouillée dans ses moindres détails, et peut fournir, à qui , fa contemple, de longues heures de délectation. #•*# M. Alb rt De Vos. de son côté, nous apporte, à la Salle l'aets, un contingent de beauté et de joie, avec 3 ses marin.es si puissamment evoccitiices. Cette Mer du \ Noid, dont beaucoup' parmi nous <>nt la nostalgie, ii nous la rend, avec ses vipeurs irisées, ses embruns, ses ? vagues déferlantes, ses plages dorées, t-jute sa poésie et • toute sa grandeur. La place nous manque pour analyser aujourd'hui en \ détail l'œuvre de M. De v'os. Nous y reviendrons, ainsi l qu'aux productions de sculpture qui voisinent avec elle, jj et que l'on doit à l'habile ciseau de M. Geo De Vr<endt. O. V. ÉCHOS D'A HT Au Théâtre Pat hé Cercle Artistique symphoaique Gantoi* | Le programme du dimanche 11 août débuta pir l'ou-I verture de Jèssonda de Spohr. bien composée selon les règles sacro-saintes d'antan, mais passablement sèche. Quel charme rare se dégage de cette musique poudrée et capiteuse de Lulli ! Ce B illet-Suite est un vé-ritable joyau i VIntiïùjfiuction dont les pizzicati soulignent la légèreté, là Nocturne, où les violoncelle? | renforcent lé ca actère ensorceleur,- le Menue', d'une discrétion toute patricienne, le PrSlude d'Alceste si gentiment sentimental, avec la brillante Marche de' Thésée et . la description bien esquissée des Vtnts ravissent et euchantent. C'e.-t un siècle de délicatesse i « i vole, opposé à notre siècle de fer. Une observation cependant s'impose. C'est par F. Mottl, le grand dirigeant, homme de première compétence orchestrale, que cette partition de Lulli tut revue, je dirais modernisée. Comment comprendre à cette époque une partie de violoncelles divisee et. ce qui plus est, l'emploi de cors bouchés dans la 2e partie ? Je ne nierai que l'effet en soit remarquable; mais il faut convenir cependant que cet anachronisme musical, voulu pr bablement. ne peut que nuire à l'archaïsme XVIIe siècle de cette œuvre. Quel contraste avec la Symphonie n. 1 de Borodine ! Quel jet de richesse mélod que, qu^ls heureux accouplements d'instiument.* quel merveilleux effet, de cor an-j glais daus VAndante ! Dès le commencement le Finale, agité, presque chaotique, maintient jusqu'à la fin ce ca-•actèi e ab upt et sauvage. A peine clarinettes ou cordes ! percent d'une éclaircie ce ciel tourmenté, que déjà, à nouveau, l'orage gronde ! Le n. 5 du p ogramme comportait deuv œuvres de notre concitoyen J. Van der Meulen, disons deux œuvres de qualité. La première Légende d'une Rise, pourquin-; tette à archets, est exprè^sive et simp'e, d'une ligne musica'e ininterrompue, qui dép'ore la fragilité.de tout ici-bas, même de la rose < cette fleur comme nulle aul-tre exquise * L'Adieu — même caractère romantique — est p'us nnvrant encore. Le choix du cor comme instrument solo me paraît des plus justifiés. Non seulement il l'emporte comme moëlleux sur ses congénères, mais il prend. m> nié par un instrumentiste do é, comme M. Maur. Van Hockstaele des intonat ons qui font rêver et résonner en nous une corde sub'remeut attend issante Oh ! la douleur de cet adieu, de ce départ par lequel tout se tait et meurt... « Partir, c'est mourir un peu » !.. Ces deux morceaux récoltèrent un succès bien mérité. > os félicitations à l'auteur. jVjmo Ra,.h Caluwaert, soprano, prêtait son concours à ce concert, de choix. Elle nous régala d'abord de l'Air des Clochettes de La tué. Si je dis tt régaler « c'est que d'une voix clai e, elle nous a détaill- le-ciselures de ce morceau avec uu fini et une musicalité qui n'est plus déjà celle de l'amateur. Au surplus non îeulement le côté technique est impeccable, mais ce n'est pas au détriment des passages de narration sentimentale, trop souvent négligée. Le public s'est montré enchanté, à bon escient d'ailleurs, tout comme après l'air de Mme> But erfly, qui a prouvé l'etendue et la puissance de l'organe de la cantatrice. Il m'est d'avis tout de même que c'est le premier genre, celui de sop ano à roulades et vocalises, plutôt que c^lui de soprano dramatique qui convient au caractère de sa voix. B. , * * * i Conoert du 18 août Ce concert fut ehauss^ par le concours que lui prêta gracieusement la pianiste favorablement connue Mme Van Wilden-Hoël. Si, à certains moments, on eût souhaité à l'instrumentiste un peu plus de poignet, ce qui, par conséquent, eut donné plus de couleur au jeu, on ^ doit lui reconnaître indubitablement beaucoup de technique et de grâce feminine. Le Concerto en mi b de Mozart, très connu par tous les pianistes de concours, j semble un peu long introduit dans un concert. Les 1 œuvres de Loockx également'—à part la Tarentelle peut-être — doivent également être considérés comme j des morceaux dans le même genre. Cela peut contribuer ( à répandre une certaine lassitude et nombre d'auditeurs ( eussent préféré, avec moi, quelques éclaircies de mélodie et de sentiment. Outre l'incomparable Ouverture de Fidelio, nous -entendîmes les Préludes, poème symphonique n* 3. qui, £ composé en 1854, ne porte, en général, pas son âge et surtout le déroutant Capricio Espagnol de Rimsky- ( Korsakow. Cette œuvre étrange et audacieuse au plus ( haut degré empoigne l'auditeur par sa sauvagerie et , étonne p*r l'assemblage inaccoutumé et imprévu des instruments qui lui donnent, un coloris caractéristique, I russo-espagnol. MM. De Muynck, violon solo, et Ser- \ y gyssels, clarinettiste, s'y distinguèrent particulière- S r ment. jb. jj c ( x { Un Festival Herberigs à Rotterdam. Noua appre- ( nons qu'en mai dernier un festival R. Herberigs eut lieu • à Rotterdam. Notre ex-lauréat du concours dit.de Rome ;> y a donné uu* audition d'œuvres composées depuis 1914. ' Le public s'est disputé les places et le succès futsans jj précédent. La recette, somme tiès considérable, a été 1 abaudoaaéô au profit de prûxmniers de guerre, b. I ï Ohpanïque Sanlnin MUSIQUES. — P. st A. Beyer, éditeurs de musique, P. Struyf, successeur. Grand choix de musiques belges et étrangères. Lutherie artistique. Cordes garanties justes sonores. Accessoires divers. BUREAU de change Jules Dossche, 27, dig. de Brabant. VIVRES. — Couiité national de Secours d'Alimentation. — Rationnement provisoire du 25 août au 7 septembre : Saindoux, 660 gr. fr. 3,30, e réaline, 320 gr. fr. 0,32; allumettes, 2 i oî'.es fr, 0,10 la boîte; farine brune, 250 gr. I fr., sel, 400 gr. pour les non^assistés, fr. 0,12, 200 gr. pour les assistés, fr. 0,06. Farineux pour enfants de 10 à 15 ans : 500 gr. de riz, 0.75 fr. La farine brune convient principalement pour la préparation des crêpes. On prend p. ex. 100 gr. de farine avec 1/4 pinte d'eau-et 5 gr. de sucre, bien mélanger et bien travailler de façon à obtenir une belle pâte fine. JEAN JOSKl, rue du Poivre, 14-16, Fournitures générales pour Eau, Gaz, Electricité. MAISON B. Van Hyfte, rue basse des Champs, 32.Vente et location de pianos par mois, pour soirées et concerts. GUÉRISSEZ rhumatisme, goutte par tisane, elixir et liniment Heyndrickx. Pharmacien Heyndrickx, chaussée de Bruxelles, 2, Ledeberg-Gand. DISTRIBUTION GRATUITE. — La distribution gratuite pour les assistés des soupes populaires comprendra la ration de farine brune et d'allumettes. L'ONGUENT Pédiphile guérit pour toujours cors aux pieds, œils de perdrix, durillons. Une seule application sufiit. Se conserve des années sans perdre de sa valeur. Gacons, pharmacien, rue de l'Egiise, 34, Ledeberg. ALPH. DE TAEYE, r. de Courtrai, 6, Meubles. Literies. VAN DEN BOGAERT, m. au Beurre, 10, ag. de change, SERVICE DE LA VIANDE. — P. B. C. — A partir du lundi 26' août, le public devra se présenter avec la nouvelle :arte P. B. C. dans les boucheries de Gand dépendant de la P. B. C. Jusqu'à nouvel ordre, les cartes du magasin communal restent valables à Ledeberg et Mont-St-Amand. \ Gendbrugge ou exigera la carte du service du beurre et à carte du Comité National. Nous donnons ci-dessous la liste des boucheries avec les numéros des cartes qui seront servis par chacune d'elles. Le public est prié de consulter les tableaux affichés dans les locaux et indiquant les jours st heures de vente. Local n. 1, rue du Vieux Marché *u Lin, 9, n. 1 à 3800. Local n. 2, rue du Poivre, 18, n. 3801 à 9100. Local n. 3, place de l'Ecluse, 1, n. 9101 à 15500. Local n. 4, rue Charles V, 79, n. 15501 à 20600. Local n. 5, rue des Baguettes, 36, n. 20601 à 24800. Local n. 6, Allée-Verte, 147, n. 24801 à 32000. Local n. 7, rue de l'Abbaye, 9, 1. 32301 à 37300. Local n. S, .ch. de Meulestede, 82, n. 37533 à4390Ô. Local n. 9, rue de l'Ecole Normale, 12, n. 43901 à 50000. Local n. 10. boulevard de l'Industrie, 176, n. 50001 à 56300. Local n. 11, rue du Spiegelhof, 2, n. 56301 à 59300. Local n. 12, ch d'Hundelgem, 49, Ledeberg. n. 59501 à 63911 et suivants. Local n. 13, rue de la Paix, 15, Gendbrugge (village), n. 1001 et 9027. Local n. 13bîs, ch. d'Hundel^em, 34, Gendbrugge (Arsenal), n. 1001 à 9021. Local n. 14, avenue des Béguines, 9, Mont-St-Amand, n. 68501 à 73821 et suivants. PAPIERS et sachets, Van den Breen,bdde l'Abattoir, 17. LAIT. — f. B. C. — De nouvelles cartes de lait ont été remises dans le courant de cette semaine et seront v: lable* à partir du 26 août Les personnes qui n'ont pas encore retiré leurs nouvelle» cartes sont priées rie le faire sans retard. Afin d'assurer une répartition équitable du lait et du lait battu, le public sera servi par numéros à partir du 2 septembre. Les numéros k servir seront affichés huit jours à 'avance aux locaux de vente. Les numéros appelés sont le la carte dé lait (numéro de la liste des clients). Les re-ardaires ne seront pas servis. PRÊTS.Achat, yente propriétés. Minnaert, bdBéguin.21. BRIQUETTES. — P. B. C. — Les bons seront remis rue de Bruges 26. aux jours indiqués ci-dessous de 9 à II 1/2 h. et de 2 à 4 1/2 h. Lundi 26 août, n. 48326 à 48750 ; mardi 27, n. 48751 à 49175 , mercredi 28, n. 19176 à 49600 ; jeudi 29, n. 49601 à 50000 ; vendredi 30, i. 56301 à 56675 ; samedi 31, n. 56676 à 57050. FONDS publics. — Gillet, sue longue des Violettes, 37. MAGASIN COMMUNAL n. 1. — Les articles seront fendus dans l'ordre suivant : 23e série le 26 août ; 24e le 11; 25e le 28; 26e le 29; 27e le 30; 28e le 31. G. WTTERWULGHE. Ag. de change, agréé, 59, Cou-îure, r. g..Nég. fonds publics, coup.-chèq., monn. étrang. LAINE. — Le paiement de la laine livrée en mai 1918 ;e fera à l'Hôtel de Ville (Salle de l'Arsenal) aux jours ndiqués ci-dessous, de 9 à 12 h. L'indemnité suivante est iccordée ? le qualité, 4 M. 50; 2e, 3 M.; 3e, 1 M. 50. 7e section, mardi 27 août, de A à M; mercredi 28, de à Z. 8e section, jeudi 29. 9e section, vendredi 30, de A à D; samedi 31, de E à P; undi 2 septembre de Q à Z. 10e section, mardi 3. Ile section, mercredi 4, de A à M; jeudi 5, de N à Z. On est prié de se présenter personnellement et d'appor-er le certificat de livraison. FLOR. DE PAEPE, agent de change à Gand informe le mblic que ses bureaux sont transférés rue du Hainaut, 5 coin rue de la Croix, anciennement 15, rue basse des champs). Même maison Grammont, 16, rue du Pont. COKES. — 3 fr. 50 par ration de 50 kg. Lundi 26, de 1/2 à 11 h., de 62301 à 64000 ; de 2 à 5 h., de 64001 à 5100 ; mardi 27, de 7 1/2 à 11 h., de 65101 à 66300; de à 5 h., de 66301 à 68400; mercredi 28, de 7 1/2 à 11 h., le 47401 à 68900 ; de 2 à 5 h., de 68901 à 70100; jeudi 29, e 7 1/2 à 11 h., de 70101 à 71300 ; dé 2 à 5 h., de 71301 ,73000. PLUS DE CHARBONS à trouver en ce moment. Faites os approvisionnements de bois à brûler pour l'hiver dès laintenant et avant la hausse ; c'est un bon placement 'argent : îhênes (en petit» blocs) à fr. 13,50 les 100 k°* j livré# »apin » à fr. 12,— » } à Canada » à fr. 10,50 » ) domicile Poids garanti. Pue d'Egmont, 19 (Parc). CONFISERIE chocol. Ed. De Vynck, r. St-Georges,22. ECOLE normale communale. — Les jeunes filles dont es noms suivent sont autorisées à suivre les cours de * à l'6c*ic ftoïiuate tittamuaaie : Billie* Jenoy, Van Haudenhuyze Angeline, Bruyneel Florence, Baudon \ Paula, De Bruycker Augusta, Van der Sluys Suzanne, ; Dutilleul Suzanne, Step Jeanne, De Wispelaere Rosa, i Ver auwen Amanda, Codde Jeanne, Delvaux Marie, Jacobs j Estelle, Plehiers Jeanne, Maes Hilda, Everaert Margue- j ; rite, De Buck Estelle, Verbaere Philomène, Hynderickx i : Simonne, Caus Irène, Van Campen Simonne, Van der j . Straeten Irène, Vermeere Jeanne, Mortier Jeanne, Sestig I | Charlotte. SONNERIES ÉLECTRIQUES. Geniets, 14, r. Brabant. ! Cacao sucre « MARGOT », Café mélange «LEXTRA», jj .. Amidon composé « LE LIS », Butter-Cream. Vente en i ; gros, LÉON ROTSAERT, 7, rue de la Poudrière, (près ' 5 Boulev. St-Liévin). A GENDBRUGGE. — L'administration communale ; .5 songe à installer une buanderie populaire. L'idée nous l paraît excellente et répond d'ailleurs à un véritable besoin , pour la population. Quelques ménagères nous écrivent à ce sujet et font des vœux pour que le projet soit bientôt mis • à exécution. Espérons qu'on leur donnera bientôt satis- ! I faction. \ ij L. BALLIU, rue de la Bienfaisance, 48. Gazogènes. ; ECONOMISEZ vos CHAUSSURES par l'emploi des ^ Protecteurs « DUC » pour chaussures d'homnjes, dames > et enfants. Légers - Solides - Pratiques - Elégants. Maison ? Dutry-Colson, rue des Champs, 12, GAND. : CHAUFFAGE AU BOIS : Foyers calorifère, rue des j Foulons, 36. Le LUNA PUDDING POWDER est moins cher que tout j autre pudrling Powder NON PAS PARCE QUE SA QUA-l LITÉ EST INFÉRIEURE , au contraire, mais parce que j jj l'emballage est moins luxueuse. A GENDBRUGGE. — Le Conseil communal vient de I nommer M. Henri Hubert Receveur communal par 9 voix | sur 12; nos sincères félicitations. BRASSERIE-Flandria. — Sous cette dénomination, il est constitué à Gand une société anonyme qui produira ; exclusivement de la bière à fermentation basse. Tous les renseignements désirables peuvent être obte-' nus tous les mardis, à 5 heures, dans la salle du lor étage » de la Taverne royale (Koninklijk Koffiehuis), près du Palais de Justice, à Gand. SEMELLES et TALONS de CHAUSSURES en «OMEGA ». Plus solides et meilleurs marché que le cuir. Maison Dutry-Colson, rue des Champs, 12, GAND. OUD-GEND. — Jusqu'au 29 courant : « La lutte des Titans », Drame nouveau. « Le Collier de la Duchesse » (série d'or 1917-1918). Vendredi prochain :«Le Renégat ou l'Evadé du Ghetto», nouveauté sensationnelle. s BANQUE l'Union du Crédit de Gand; Société Anonyme, l fondée en 1855. Capital 2.500.000 fr. Siège Social : i place Saint-Michel, 16. Bureaux auxiliaires : rue de Flan-I; dee. 32 et Avenue Elisabeth, 19, Gand. Toutes opérations 1 de Banque, Change, Dépôts de fonds. Encaissement de coupons, Ordres de Bourse, Vérification des tirages. ! Service financier pour compte de Sociétés. Location de » coffres-forts. — Dépôts : à découvert et cachetés etc. ) MINARD. — Dimanche 25, lundi 26, mardi 27 et jeudi > 29. La belle Polonaise, operette en 3 actes, de Gilbert, jj Jeudi 29 bénéfice de M* De Pauw-Van Trappen. jj LA MAISON Fernand Mestdagb, rue aux Vaches, 5, i ji informe son honorable clientèle que le magasin, ainsi que le salon de coiffure seront ouverts à partir de samedi. FOUR A PAIN « LE MERVEILLEUX ». Cuit le pain, la viande, la pâtisserie. Sèche les légumes, les fruits, sur feu à gaz et ordinaire. Maison Dutry-Colson, rue des Champs, 12, GAND. THÉÂTRE PATHÉ. — Maria Carmi dans « Sonia la Tzigane », 4 actes série d'or 1918. « Le Mariage de Lu ». Comédie en 4 actes. A partir du lr septembre nouveau tarif : Baignoires fr. 2,50, Loges 2 fr., Fauteuils A. fr. 1,50, Fauteuils B. fr. 1,25, Balcon fr. 0,85, Galerie fr. 0,50. ASSORTIMENT COMPLET d'OUTILS pour SABO TIERS. Qualité supérieure. Maison Dutry-Colson, rue des Champs, 12, GAND. LUSTRES en fer. — Liseuses. — L'Electricité M. C., rue du Hainaut, 8. MODERN PALACE. — Jusqu'au 29 août 1918. « La Rice des Ringwall. — Grand drame en 5 parties joué par Hcnny Porten. « Les Fiançailles de Lu ». — Comédie en 2 parties (Série Lu L'Aronge). Etc., etc., etc. UNION Pharmaceutique des Flandres. — Pharmaciens de service le dimanche après dîner,25 courant : pour Gand (Dock-Porte d'Anvers) et Mont-St-Amand, M. Sylva, chaussée d'Anvers, 56; pour Ledeberg et Gendbrugge, M. Hendrickx, chaussée de Bruxelles, 2, Ledeberg. ! Bulletin Financier Bourses officieuses de Gand ( du 19 au 23 août. Bourses très animées et cours fermement tenus; surtout la fermeture se distingue par une fermeté de bon aloi. Si la Banque de Flandre reste vers 1400, par contre la Banque de Gand de 860 hausse jusque 875; on remarque i depuis quelque temps des demandes suivies en titres libé- , rés de la série B. Ces titres dont le nombre est très res-tréint, participent dans les bénéfices de la Banque dans la j proportion de 2 1/2 pacts aux B contre 1 à l'action de la série A. L «Banque Belge du Travail se hisse jusque 850. Quant à YUnion aucune transaction faute de titres. L'offre domine en Outremer à 852 1/2, En linières la Gantoise progresse à 1710 A. Si la Lys est off rie à 1900 et la Liève à 1350 par contre la Nouvelle linière du Canal est.traitée par postes à 127 12. On offre les Filatures et Tissages à 85 comme les Loth à 530. { Aux Indes, ne pouvant exporter le Jute on s'est mis immédiatement à la fabrication sur place. Les statistiques démontrent que les bénéfices nets, pour 42 fabriques, ont été en 1914 de liv. 823.000; puis se sont montés en 1915 à 4 651.000 liv., en 1916 à6.155.000 et pour 1917 à4 689.000 Iliv., ce qui fait varier les augmentations de 6 à 7 1/2 fois celles de 1914. La capital trams électriques de Gand } varie de 215 à 222 1/2. Les dividendes-jouissances cotant i = il y a une huitaine 125 à 130, se traitent couramment de 140 à 145; Bruxelles tache de reconquérir les titres qu'elle ■ avait dirigée sur Gand il y a un mois. On a coté en outre en cap. Bangkok 167 1/2 P, dividende 71 A. Rosario div. [ 41 F oomoie &.-Ajires 32 1^4 F. U£l&Ui icUé.4£ Rosasi» î i fait 65. On recherche les capital Clouterii des Plandrei à 850, les dividendes à 440 corama lei Colonial Rubbtr à 50 fr. A Bruxelles. Le» échos qui nous arrivent de BrureUea nous rapportent, qu'à la Bour«e, le jeu, le tripotags, y battent leur plein. La nouvelle clientèle, de» baren» 4e toutes espèces, a envahie la Bourae, et faute 4e tuyaux 4e petits chevaux, y jouent le * tuyau » de toute valeur in4it-tinctement, aussi bien véreuse que #érieu»e. Si cette coa»-tatation est écœurante, nous savons que ces *ia*®uvre» n'ont qu'une durée passagère, et pendant ce temps, le vrai spéculateur, attentif, éveillé, travaille à sa façon, sans bruit, lui qui ne connaît que les chiffres qui lui parlsit et son sain raisonnement. Comp. agricole et hypothécaire Argentine cap. eête 700, jouiss. 1675; cette société qui travaille en Argentine, Paraguay et Uruguay au capital de 15 millions, a gagné pour l'exercice 1916 935 670 fr. net (contre. 907,600) et distribue comme les trois exercices précédents 35 fr. aux capital et fr. 65,20 aux aci. de jouiss. Soc. hyp. Belge* Américaine capital 18 millions bénéf. 1.407.340 contre 2.050.007; même dividende de 22 1/2 p. c. soit 45 fr. aux actions et 75 fr. aux dividendes. Soc. hyp. du Canada capital 20 millions bénéf, 31 déc. 1916 1.175.209 contre 1.374.395; dividendes 60 fr. aux priv., 9 fr. aux capital contre 12, 30 fr. aux dividendes contre 32 fr. Le Tramways Piémontais cap. 210, ordin. 190 clôture son bilan au 31 déc. 1917 par un bénéfice à reporter de 25 581 fr.; comme il y avait 21.302 fr. reporté de 1916, le ?ain de 1917 n'a été en somme que de 4279 fr. Fer. Les prix officiels de l'acier en Amérique venant d'être fixé à 47.50 dollars on les compare avec 1916 qu'ils étaient 42 doll., 1915 20,50 doll., contre 1914 à 19,75 doll. Musson (Hauts fourn., fonderies et mines); le bilan au 31 nars 1918 reporte 70.815 fr.; en 1917* 99.122 fr. ayant été reporté il y a en réalité une perte de 28 306 fr. Charbonnage Espérance et Bonne fortune au 31 mai 1918, y compris le bénéfice reporté de 1916-17 soit de 250 000 fr., le boni s'élève à 1.108.463 fr.; de ce montant 500.000 fr. sont distribués par 25 fr. de dividende contre 0. Les Mines d'or Sud-Africaines ont produit en juillet dernier 736.199 onces d'or d'une valeur de liv. 3.13 mill. con-Ire 757.839 onces valant liv. 3.22 en juillet 1917. Valeurs d'Etats étrang-ers. Brésil. Un message du Président au Congrès annonce que tous les engagements financiers en retard de paiement en 1914, sont exécutés; ces retards s'élevèrent à 370.000 contos or et 312.000 contos papier. Bucarest les coupons arriérés de l'emprunt de 1888, sont également rendus payables aux sujets Allemands. Chine afin de faciliter les rapports internationaux, le président a autorisé l'émission de billets, payables en or. Espagne. Le bruit court que le trésor espagnol a présenté 400 millions d'Extérieur contre 410000 millions ^'obligations dette intérieure. II s'agirait ici de porteurs Espagnols. Honduras, dont les emprunts sont en souf-:rance depuis 1873 cherche à contracter un emprunt à Londres, sous la garantie de l'Amérique. Mexico. On continue à rechercher les Rentes Mexicaines. L'Amérique rient d'exporter vers ce pays un montant important d'or. Portugal. La Cie de la Régie du tabac, dans laquelle le pays a un intérêt direct, distribue un div. de 13 p. c. con-!re 12 p. c.; par suite du gain d'un procès elle a libéré-toutes les actions de 10 p. c. ce qui fait que les versements éventuels ne s'élèveront plus qu'à 40 au lieu de 50 p. c. Turquie. L'Administration de la dette publique a repris la publication des recettes mensuelles des Régies, :e qui avait été suspendu depuis Juillet 1915. R. D. J. FONDS publics, coupons, arbitrages. — RODOLPHE DE JONGHE, Vieux quai aux Oignons, 11. t m «-«&&.S4444 B IF o :r, T S NATATION A l'Overzet Courses du 15 août 1. Course de 1500 mètres : 1) Thienpont A. en 22 min. 56 sec. 3/5, 2) Mortier en 22 min. 49 sec. 3/5, 3) Boucqui sn 24 min. 45 sec., 4) Ficquère en 24 min. 57 sec. 2. Course pour vétérans (200 mètres ) : 1) Van Eichel-Doel en 5 min. 12 sec., 2) Bogaert en 5 min. 34 sec. 3. Course d'élimination (200mètres): 1) Bolleen 6 min. 25 sec., 2) Van Megrot en 6 min. 34 sec., 3) Van Damme ;n 6 min. 35 sec. 4. 50 mètres avec parapluie : 1) Van Thorenburg en l min. 7 sec., 2) Piens en 1 min. 13 sec., 3) Steivers en 1 min. 15 sec. 5. Course des écoles communales (200 mètres par équipe de 4 nageurs) : 1) Ecole rue de la chèvre en 4 min. 2 sec. l'équipe se composait de Den Tandl C., Schneider J., VermeireM. et De Cloedt G. 2) Ecole Spanoghe (Rue St-Liévin) en 4 min. 15 sec. 1/5. 3) Avenue du Grand Marais, 4) Rue de l'Acacia. 6. Course de 50 mètres avec obstacles : 1) Bolle, 2) Van Damme, 3) Goudenhoofd, 4) Van Rooy, 5) Van Thorenburg, 6) Van Haverbeke, 7) Piens, 8) Van Overschelde. 7. 50 mètres pour dariies : 1) Mlle Cleppe 1 min. 8sec., 2) M" Renard en 1 min. 8 sec. 1 5, 3) Mlle Kluyskens et M0 De Meyer en 1 min. lé sec. 4/5. 8. 100 mètres avec habits : 1) Van Thorenburg, 2) Goudenhoofd, 3) Van Damme, 4) Van de Waele et Bolle. 9. Course de 100 mètres, 2 nages (50 rrfètres sur le do» st 50 mètres brasse) : 1) Van Thorenburg, 2) Geeraerts, 3) Van de Waele^ 4) Van Damme, 5) De Smet. Au front Le 17 juillet dernier une équipe belge disputa contre une équipe anglaise un match de Water-polo qui fut gagné aar les petits belges. L'équipe militaire se composait de : capitaine Boin Wetor (actuellement adjudant-aviateur), les îergents Steffens et A. Durand, le caporal Joseph Cludts ît les soldats P. Delvin, Jules Wuyts, Marcel Saquin, Fleurix et Herz. Le résultat du match fut 5 contre 0. Les goals furent marqués par Cludts (2 goals), Boin, Fleurix et Delvin. FOOTBALL Dernièrement un match de football a été disputé entre ine équipe anglaise et une équipe belge. Celle-ci était composée de Van der Cloot (goal), Verbeek et Kinet |backs), Coppens, Van den Berghe, Seigoynne (half-3acks), Testart, Lowyck, De Koning, Bosmans et Deman iorwards). Le linesman belge était Paternoster. Pendant e premier temps, aucune des deux équjpes ne parvint à marquer; après le half-time chaque équipe marqua un ïoal. Pour décider de la victoire on accorda un temps iupplémentaire au cours duquel les belges parvinrent ;ncore à faire un goal. Le match se termine donc par la victoire des belges avec 2 contre 1. CYCLISME Les grandes courses sur routes La grande course Milan-Rome comportant 700 kilomè-res et étant pour ainsi dire la traversée de l'Italie du haut :n bas, sera disputée du 18 au 20 septembre prochain. .0.000 francs'de prix sont attribués à cette course qui fut fagnée en 1916 par Galetti. Course Milan-Pavie-Mllan Cette course comportant 250 kilomètres et à laquelle >ariicipèrent 30 coureurs fut disputée le 28 juillet dernier. parcours s'échelonnait sur Milan-Piocenza-Bobbio-i^arzo-Pavie-Milan.1) Belloni en 8 heures 39 min., 2) Gremo 12 minute» iprès, 3) Sivocci 24 minutes plus tard, 4) Toricelli, 5) Bor-lin, 6) Poid (amateur), 7) Ferrario, 8) Garino, etc. Tiraga des Emprunts CREDIT COMMUNAL DE BEL GIQUE Emprunt de 15,000,000 de francs (1868) 202e tirage au sort du 1er août 1918, des obligations ■emboursables le 1er octobre 1918. 139682, remboursable par fr. 10,000 U. 5125 id. 1,500 ^î. 29259, 45094, chacun 500 SI. 3838,42481,76862,89293,98398,107849 chac. 225 L-vt «titre» obligations seront remboursées au pair.

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Dit item is een uitgave in de reeks Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Gand van 1856 tot 1923.

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