Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire

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s.n. 1914, 07 April. Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/sj19k46z61/
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Mardi 7 Avril 1914 UN NUMERO CINQ CENTIMES Franco en Belgique Un an ; 15 T. t, .» 6 mois i S fr. » » 3 mois : 4 fr.. Franco en Hollande Un an ; 22 ?r-> Union postait' » 32 fr. On s'abonne au bureau du journal et dans tous les bureaux de poste ADMINISTRATION TÉLÉPHONE 35V JOURNAL DE LIÉGE Annonces.. . , îa Signe, 2© cant Réclames. <. . ", 0 » 40 sent Faits divers. » ■ « „ » 1 franc Séparations judiciaires s 3 francs -informations financières » 3 francs à vis de sociétés u p^ait ug» 30 cent émissions, 1 Iran® BÉBAOTIQK TÉLÉPHONE 9!? mat POLITIQUE, LITTERAIRE ET CÛiiEllCiALL - FONDEE Èff 064 RÉDACTION ET ABMIftISTRA.TÎOS s BOULEVARD DE LA SAUVEMÈRE. 2® *s-j3a<6se4;®esss<^62^^2ïï2!.2î saile du Journal de Liëg;e EXPOSITION D'ART Gravures Meubles et r&bleaux (ancien, moderne, reconstitution) OEUVRES EXPOSEES : rruvURES ■:Originaux : de Minière, Gi ST nicSi Coppens, Baertsoen, Jourdan soûl, >-"«« ' Simon, Robbe, cl S'tompw d'après Dcmarteau, Huet, Juhie èarSlo^i, UU«J^ A' drai,, Dcsplaces, S ah atoi i.osa. ut |t.[ î'S • Bois naturel : Epoque Lou XV 9.<r"»s ■ Stylos Louis XIV, Louis. X\ Louis XVI. Lustres bois sculptes, etc. TABLEAUX ANCIENS ET REPrtODlX TIONS : de Laivesse et autres. EXPOSITÏON DE Copies Artistiques de Toiiss ds ^aîtis anci.ms et modernes obtenues à 1 aide d procédé l>KEL!OPE!NTURE 1 principaux artistes figurant à cette Exposition I ANCIENS. — Boilly, Fragonard, Gréœi jorUatus, Lawrence, Léoiçié, Léonard a ! Vir.oi, Rembrandt, Hey-nolds, Ruysdac, t ïitien, Vestie;', Watteau. MODERNES. — ISougcereau, Caianii Ghabas Détaillé, Belaroche, Lenipoel, Ver 60,nier, MunUcelli. Muanier, P.egnault, Ru: del, Roitelet, Troyoh. L'Exposition sera onrerle tous les joui de 10 heures à 1 heure et de 2 heures 0 heures du soir. ENTREE LIBRE "fiTRANOiR Fil AS CF. L'instruction juuiciaïre dit «'sLr-fairo caîiiau Paris, G. — Le Ternpô dit que M. Boi card, juge d'instruction, a entendu M. La zarus, rédacteur au i i'j 'ro, qui lui a îa le récit du drame. M Latzarus a déej&ie que les deux cie niers coups de feu avu-ieiir été* tirés avt une cadence plus lente. M. Laizarih, estime que Mme (.aiLai. n'a pas eu le temps de parler à M >.a Kietie avant de faire feu sur lui. Latzarus parle des campagnes uu t gara dont U*. Cainiette lav.iit entretenu, dit que M. Câlmette lui rit paii de ueinai ches pressantes cie iiauts îtuanci-is pou qu'il cessât de parier des pressions de .V Caillaux sur les établissements de créa Ipuis, raconte -Ni. Latzarus, il. Cahneit me précisa le rôle de M. Caillaux dan l'affaire d'Agadir et me montra deux de ciiments d'ordre diplomatique tellement gn ygs, si formels et si écrasants, qiue le;: PUUlîoatipp eut aussitôt précipité Al. Cai laiiV; du pouvoir, sans espoir de retour Càlmette, ajoute M. Latzarus, me declai il qu'il ne pouvait les publier dans la erami de provoquer* an incident extérieur et qu' n'en donnerait, même pas un résumé. A pronos du rapport Fabre, M. Latzar'». dit que'M, Càlmette, qui avait publié u résumé du rapport, répondant à une que tion, lui dit que peut-être si M. Caillai; démentait, on 1*autoriserait à le oublie: M. «Latzarus ajoute qu'auivs la publicauo de la lettre signée » Ton Jo », M. Calmeti déclara à plusieurs rédacteurs qu'il n ; vait plus que le rapport Fabre. Si, d'aï leurs, ajoute M. Latzarus, M. Calmen avait eu d'autres lettres, on les eût r< trouvées après sa mort dans son porti feuille où l'on a retrouvé les docurnen: d'Agadir et le, document Fabre. La £ ,a retraite Ici vi procureur Fxbr Paris, 6. — lin raison de l'absence c plusieurs ministres, le Conseil qui deva avoir lieu aujourd'hui, et au cours d\ quel on devait statuer sur le cas du pr< cureur Fabre, a été renvoyé à une da' an ultérieure. Toutefois, dit le temps, il e: ai], présent, certain crue M. Fabre sei rynpiact:. Certains ministres sont d'av qu'aucune faute nrofessionnelle ne pouvai lui être reprochée, il convenait de lui doi H . ner un poste à la Cour de Cassation mai dit le Temps, la majorité des ministres s rait popr l'admise, à la retraite de M. F; bre, qui "a" aujourd'hui plus de 60 ans. Gu OS;t Rociïottc- ? Paris, 6. -Le correspondant clu Tcm) 1à Londres dit crue les reporters qui se soi rendus à Maidenhead où l'on disait qi Rochelle était réfugié, déclarent que tout ïeutë l'eciierches ont été infmctueuses. ALLEMAGNE Lg p.ocès des « Pandours „ cîo Savorsi Strasbourg, C. — Demain devait être pic dé à Saverne le procès des Pandours. v \]n apprend que ce procès sera a.jou né àj,tendu que sur les 27 piiéiyenius, 23 o accepte un arrangement proposé par l'a torité mfjiiaire qui leur accorde 50 ma de dédoiiunugemeut et prpjid à SA-les frais de procédure. Les 4 autres ont refusé jusqu'à prése tout arrangement. ANGLETEÏLilE JVS. A'jquith rogra^ne Londres — Le premier ministre, c cohipagn«' 'lime et de Mlle Asquith, c parti ce sôir 'de ' r.upar en Ecosse, po rentrer à Londres", pa' il arrivera ^enia matin, à 7 heure::. Au moment de partir. 1VI. Asquiin a mrihle à partir avec deux suffragettes n litantes arrivées dans la gare un insta avant lui. Ces deux dames ayant été sign lees au chef de gare, celui-ci les pria I • vouloir bic-n se retirer, mais elles sautère sur la voie pour gagner le quai opposé. Les policcnien de service se précipitère a lôuj! poursuite et les rejoignirent è l'ir tant, môme où le premier ministre fais; son apparition. Les agent» de police 1 te^out^lidMjent DSI- les Ibras, irais le lai.gue était libre et elles s'empressère de s en servir pour apostropher M Asquil an'lvie du train mit fin à l'incident. "" Le retour de M. Asquith semble indiqu< 53 qu'il n'aura pas de concurrent dans so ® élection. Le colonel Sprot, unioniste, qi lui disputa son siège dans les élections ai térieures, a déclaré aujourd'hui qu'il r considérait pas comme une provocation ! discours prononcé hier par le premier m nistre à Lady-bank, et l'on croit génér; lement dans la circonscription que M. A quitli n'aura, en effet, nas de concurrei cette fois. C'est aujourd'hui que les chefs unioniste prendront une décision à ce sujet. Explosion d'une borribe > da«s une égiie •Londres, 5. — Ce soir, à dix heures, un ' explosion s'est produite dans l'église Sain ' Martin-des-Champs, à Trafalgar square c'est-à-dire en plein centre de Londres. s Les dégâts consistent en la destructio* do deux bancs, l'enlèvement d'une petit fraction du toit et le bris de deux vitrau: L explosion a été provoquée à l'aide d'un !- boîte en fer-blanc remplie de poudre, laquelle on a mis le feu avec une .bougie. On attribue l'attentat aux suffragettes m litantes. La s;»'ëve du Yorkshire Londres, G. — La grève des charbonnc ges du Yorkshire continue. La commisjio mixte de conciliation se réunira mercrec orochain. Ce jour-l'a également les délégué de la fédération britannique des mineui se réuniront à Londres pour étudier le moyens de venir en aide aux 'grévistes. ] parait certain que la Fédération ne pre conisera pas une grève générale des m: neurs. Des -centaines de travailleurs apparfe '' nant aux industries du fer et de l'acie û sont, par suite de la grève, réduits à l'inac e tiôn, ce qui porte le nombre des grévistes o r chômeurs forcés à 220.000. ;; ITALIE Les oâbuts du ministère Rome, o. — Autant avait été rapide e s bref le discours programme de M. Salar ^ dra, autant a été longue aujourd'hui s, réplique aux discours prononcés à 1; Ciiambre. Après avoir insisté à nouveau sur la me destie et la sincérité de ses 'projets, M. Sa '' landra a expliqué comment et pourquoi il ; a voulu constituer un ministère de concén tratiun libérale. — 11 y a, ajoutait-il, à mes côtés, de hommes qui ne pensent pas comme moi par exemple sur la question du divorce Eh bien, quand le divorce viendra devan la Chambre, M. Martini votera dans ui sens, et M. Dari dans an autre. A cette occasion, M. Salandra déclar ^ qu'il maintiendra io projet de .loi sur h préséance du mariage civil, et qu'il le com t" plétera par un projet de loi sur la recher ^ ciie de la paternité. M Salandra explique ensuite que Tar mée pourra être renforcée de i3-:;.tiOO bem c me:;, moyennant i? millions par an, ei attendant le retrait, des troupes de la Li x kye. I_ Répondant d une façon plus detaillee au: quesiions posées par les employés des che i_ mins de fer, il déclara que l'Etat dispo l sera en leur faveur de 15 millions à pie lever sur le- budget même des chemins d' fer. Finalement, l'ordre du jour de confiant [ au ministère a été accepté par 303 voi: ^ contre i'^2 et 9 abstentions, soit une ma s jnrité de 172 voix. „ La Cham'.re se séparé ensuite jusqu'ai L. 6 m;-.i prudnain. i- llïJSisIE • - j, Loi aviateurs ail mantls e arrêteo et.pîc»nac;s'< il St-'Pélersiuuig, b. — La Iilctch déclar aujouiu'hui qu en réponse à une démar s che de 1 ambassadeur d'Allemagne relativ n aux t.uis aviateurs allemands arrêtés e] janvier à l'eniij le gouvernement riui-wi x aurait déclaré que l'alï.ûr.e était enûre le m.ains de la justice et que ces jours ci uj n saurait si ' accusation d espionnage don e ils sont l'objet devait être maintenue aprê l- que ic nnnis'.re: .te la juoiice aurait pri 1- connais-, ance de i'aifaire. e La Rie te h ajoute que les aviateurs aile niands étaier.t porteurs, lors de leur arres tu tion, d'un grand nomOre de docurnen. s plioi..graphiques compronut-ants et' de na turc à constituer une i.ase d'accusation sé rieuse. L'épi demi;; d'enspoisjrdjiement clans ies u^ihc; Sl-Pétorsbourg, o. — Jusqu'à aujourd'hui les usines où des co.nmenueuien/.s d'empo: sonneuient se sont produits sont au non; bre de neuf. Tous ces empoisonnements avaient ui caractère bénin ; seulement comme, beat coup plus que les médecins et la justice les partis politiques et les députés de 1 Douma se chargent d'expliquer les mobile des auteurs de ces empoisonnements et re jettent, Suivant leurs opinions politiques lfcs responsabilités tantôt sur les fabricants tantôt sur les ouvriers, le malheureux pi )S blic n'y comprend plus rieri du tout. it, lii^èvo à R'ga ie Biga, 6. -- Le;> ouvriers ont cesse' ie tre îs vail ce matin dans plusieurs grandes I. briques et dans beaucoup de petites. Le nombre des grévistes est de 30.000. AUTitiOHÎS O ïrahiaon dipiomdtique Un journal viennois a révélé ces jours-i r- un scandale dont les milieux politiques « it le public sont vivements émus. Le raippo: u- leur des questions serbes au ministère de •k affaires étrangères, sôunçonné d'avoir trj ;o ni au proiit de la Serbie les secrets du Bal platz, a été. -après enquête, renvoyé du m ut ni:;tèile en janvier dernier. Le comte Berchtold a renoncé à des pou suites pour éviter de nouvelles attaque de presse contre le ministère déjà si viv mont critiqué. L'opinion autrichienne n'en est pas moii c- très émue de voir, dans- le temps même c st le colonel Hedl, chef d'état-major d'u ax corps d'armée, livrait les plans militain in de la monarchie ;i une grande puissani voisine, un fonctionnaire du Ballplatz coi: ;u muniquer les secrets dé sa diplomatie ii- un gouvernement étranger. L'attentat do Dobrecrin le Biïàapesth, 6. — Gatar .u, l'auteur pi rit sumé de l'attentat commis à Debreczin c moyen d'u;ie bombe a été arrêté dans 1 nt environs d'UskuC:». Le consulot d'Aaitrioh s- Hongrie s'est entretenu avec la légatie lit cie Belgrade au sujet des démarches rcl es tives à l'extradition. On a été mis sur 1 ur traces de Catarou par une lettre qu'il nt adressée à ses parents et dans Iqauelle h disait qu'il séjournaitl à Uskub et qu irait plus tard en Suisse. * BULGARIE Eieet'ccris contestées !_ Sofia, 6. — A la s»uite des derhières é e tions, il y a eu une vingtaine de dépt e élus dany i)lus^urs circonscriplions, p qui, après leur option, devaient être re placés dans les sièges restés vacants par 5. candidats venant après eux sur leur li; Les députés appartenant pour la piupai l'opposition, celle-ci se trouve nuonérig s ment affaiblie, ce qui donne au gou\e: ment une majorité plus foite. Aussi i' position réclame-t-elle qu'on lègle sans tard la situation des députés restés h 2 du Parlement. Le gouvernement s'y e iuse préférant ajourner cette question ap ;- la vériiioution des mandats dans le b i» dit-on, d'invalider quelques élections où, effet, des irrégularités ont été commis a Les deux partis s'appuient sur des tex e de lois électorales qu'ils prétendent très :. tégoriques. e Une délégation des représentants de te i les partis de l'opposition s'est rendue matin chez M. Radoslavoff. En cas d'écl ■- des pourparlers, ce qui est d'ailleurs p bable, l'affaire sera portée devant le i branie où l'on prévoit une séance orageu ô ALBANIE i L'attitude de la s Athènes, 5. Les dépêches qui pur\i< ^ lient ici signaient que, depuis deux jou ^ des îe-iicont: es coiiiinuelies se pioduise sur toute la ligne l'ronâère entre les U des albanaises qui s'efforcent d'envai l'Epire e: les bataillons sacrés. Ces incidents mettent ie gouverneme ^ hellénique d.ans une situation difflei étant donné que des détaclienienis de 1\ mée régulière grecque se trouvent encc 1 dans les districts d'Argyrocastro et de D vino'; Un viif combat a eu lieu hier à Veglianij cxuelques heures de Korylza, entre Epiroi et gendarme® albanais. Ces derniers dure se retirer en désordre. t L r comm. ndant.du détachement albana ayant sa retraite coupée, dut se réfugi i avec tous ses hommes en territoire gn i Les Albanais y furent accueillis a-v égards,, et les autorités helléniques le - déclarèrent qu'elles étaient prêtes à fcici - ter leur retour gn Albanie par une aul i voie. L'orgânisaiioii de- tenitoires repris p les Epirotes sur les Albanais continue a\ i méthode. Le lieutenant cv lorel d'crii'lei , Aihanase Botzaris, Epirote d'origire, oui . ai'.icndonné l armée pour se mettre à la d t position de M. Zc;>i\, hos et du gouveiï i ment de l'Epire autorauie. a été no u gouverneur civil et militaire de la régi ï de Premeti. i D'autre part. M. Hadji, directeur du jr;i liai Epirps, a. été nommé secrétaire du co se:J des ministres du gouvernement air nome. La mcbîEcQation Durazzo, G. — La mobilisation eontiu;: i Les réservistes de 21) à 39 ans ont été ra pelés sous les drapeaux. Vienne, G. — Une dépêche de Durazzo avril donne les rense gnements suivants " En raison de la situation anarciiique < Sud -de l'Albanie, le gouvernement alfc * nais a fait dresser des listes du maiér: d:.-p.tïiibie dans ie cas où une milice ; ) rait créée. : Les anciens r,kl ifs de 29 à 39 ans ont d ' invités dans tout 1e pavs à se présent aujourd'ùiui et demain devant des coa missions de contrôle. 1 D'après un renseignement puisé à u: source autorisée, les bruits relatifs à u: mobilisation partielle sont prématurés. NORVEGE L'exposition nationale de Christian! ChrisLianià, 5. — L'expositic-n nation; de 'CJhristiania sera soiennellemenf ina gui".'e par le rai, le 15 lîi'aa prochain. Trois mille invitations à la céréinor d'ouverture de La matinée et 1.500 pour l:-ar.quet et ie festival de îa soirée ont c lancées aujo u rd'bui. Les travaux sont, déjà tr.-s avancés et to sera prêt pou; le jour de l'ouverture. ETATS- U 1S 3 Le dra?iie de ta banquise Saint-Jean-de-Terre-Néuve, 5. — La Bel ^^ciiture ■ est arrivée hier à Saint-Jean-c Terre-Neuve, avec 6£T morts et 50 suivants de l'équipage du Xau-foi ndland. Tout l intérêt se norte sur le sort du Se > tjicru-Croj's. On craint presque unanin } mer.t qu'il n'ait sombré pendant la toi ' meute de mardi dernier. Le Soutlicm-Cross. avait environ (170.iho: nies à bord. S'il est perdu, sa perte coi ! tituera avec celle du ÏXew-i oundland un ' rita.de désastre pour la colonie. , L'alcsoi interdit à !a marine i V.'aslungton, G. — On annonce que le : s crétaire de la marine a prohibé les liquei i- spiritueuses sur les navires de guerre , diims les chantiers navals ainsi que da i, les stations navales. Le vin est même e fendu à la table des officiers. MEXIQUE Las cocisiquoiîces de Sa prii.e cie Torrei Washington, 5. — La victoire du géi ral ViUa à Torreon est pleinement coni mée. Les "çonstitutionnalistes sont niait; de la ville. Ce qui reste des fédéraux bat retraite, sous ies ordres du général 1 lasco, vraisemblablement sur Saltillo, ies constitulionnaiistes qui les poursuive ;t les serrent de près.; D'après l'agent consulaire américain e ,g se trouve avec le général Vida, les coni L_ tutionnalistes ont perdu 1.200 hommes 1_ les fédéraux ix;at-être le double, p Le général Yelasco espère opérer sa jo: lion avec d'autres troupes fédérales à S r_ tiiio ou à Montorey. Dans ce cas, le !S néral Villa, qui paraît fort mécontent ce que les fédéraux aient pu ée'happer, j rait d livrer une autre bataille. ls La" prise de Torreon n'a pas une grai ù importance au point de vue stratégiq n Quand bien même Monterey, Saltillo ,s Tampico subiraient le même sort, les co •q titutionnalistes ne seraient pas beaucc i_ plus près de Mexico ; mais au point de 1 à moral, si le général Velasco ne prend ] sa revanche, cette défaite peut avoir i importance capitale. Elle a déjà gran mont abaissé lê prestige du président Hu év ta en tant que "stratégie. u pes télégrammes de Mexico annonc jg qu'un profond pessimisme règne parmi e_ colonie étrangère. On craint que l'in ,n vention des Etats-Unis ne soit hâtée ; :l_ chaque revers des armées fédérales. 3S cen espagnols a oxpwSses de Torre il New-York, 5. — Un télégramme de 'i il reon annonce crue le général Villa a puisé G00 Espagnols de cette ville. La sécurité de tous les autres étranj .est garantie. Les biens des Espagnols seront proba lec- ment confisqués. .tes une nouvelle version du meurtre de M. Bem New-York, G. — Suivant une dépêche ° Juarez au New-York World, la comi ;c; sion organisée par le général Carranza ^ sujet de l'afïaire Benton, a .fourni son i ~ port. Elle déclare que le maire de Chili hua, M. .Rudoss y Fiero, attaché à l'é °p~ major du général Villa, a tué M. Ben dans un train dans lequel M. Benton al au pénitentier de Chihuahua. On an le train et le moribond fut éloigné. Or ujs tiré ensuite sui* le corps qui a été ente 111| à Samala y Can dans une fosse peu p en fonde. ^ CHINE Un nouvel emprunt Lvter^alion us Pékin, 5. — Le ministre des finance: ce engagé vendredi des négociations avec lec groupe des cinq puissances pour un c ro- pour.; dont le montant sera, croit-on, jo- OUô millions de francs. 5e. Les principaux- représentants du groi en Europe n'étaient par. d'avis de donj leur assentiment à cet empreint, en ran de l'état du oiarché monétaire et de 1 ' certitude de la situation politique en C ne ; mais ils ont cédé aux reorésentatie urgentes des banquiers de Pékin. '"b Le but de l'emprunt projeté est de p . " mettre au gouvernement chinois de re 111 bourser ses emprunts à court terme et d' der le gouvemoment de Yuan Chi Kaï là s ;'L tir des embarras financiers dans lesquelf ise débat. :r" En échange de l'emprunt consenti, ie groupe insistera pour que l'administrati 21" de la gabelle soit réorganisée de façon rieuse, et il demandera que les réforn a monétaires soient soumises à une surv; es lance étrangère qui en assure le bon IU sultat. is Z~ — Paris, G. — Rien de nouveau ne résu r des nouvelles déposition^ des rédactei ^ du l'rjaro devant le 'u£c d'instructie sinon que Caillaux aurait d 'claié un m . - avant !e meurtre que si ;d. • Caîmette J cessait pas sa campagne, il le tuerait l;:; duel, car il était très a droit et s'exerç tous les jours. 'n L'Intransigeant enregistre so réseï le bruit qu'une personne hô.'diie à la v t-irue dj. drame du t'iga-ro a dispar :. Au cours de là déposition qu'il fit hi 'J" M. Poincaré aurait déclaré qu'il uv lit < gagé Ml Caillaux 4 voir M/ Maurice ,B : ard, :;'ui connaissait M." L-:,iu 'Ytn, et < e. pouv as: .V.-r-ronvn- aopr-'e • de lui q..- aacu p- lettre ne serait publiée et dm besoin e rait l'autorité nécessaire pour en epipêcï: fj la r indication. ; M. Caillaux ré;>ondit qu'étant présent lu Sénat l'aqjj-ès-ûn.idi, il ne pourrait voir . Bernard. Celui-ci vint au début de l'apr. ca n.idi voir ie Président de la Républiqi c. qui lui fit part des craintes de M. Cailla et l'engagea à voir M. Caillaux et au 1 ^ soin M. Caimette. r» Me Bernard vit effectivement M. Cailla n- à la lin de l'après-midi mais il était tr tard. ie * ie Londres, G. — La Chambre doit termir ce soir, en seconde lecture, la discussi du bil! élu heme rule. M. John Jîedmond, chef du parti nat naiistc irlandais,-ouvre la discussion. Il i qu'il-ne fera rien qui soit de nature à fa: a obstruction l\ un règlement honorable le équitable de la question irlandaise. Te u- ce qui reste à faire à la Chambre da les circonstances présentes, c'est d'adopi ie le projet du gouvernement sans y rien n le difiêr. té Sir Carson déclare que si le gouven nient no retire pas sa proposition de lir ut ter à une période de six ans l'exclusion l'Ulster à l'application du home rule. il i lui-même soumettre la question du hoi rule à la population de l'Ulster. Pour Sir Carson, la seule solution < l\exclusijon de l'Ulster tant que l'Ulsl c" n'aura pas donné au home rule son asse ■e:~ liment voic-ntaire. ■1_ Sir John Simon, attorney général, da un discours des plus conciliant, annor " que M. Asquith est disposé à attendre plus longtemps possible qu'on adopte proposition au sujet de l'Ulster. Cette p: n_ position n'est pas retirée o" 'T Tokio, 6. — L'état de santé de l'impé; c" trice douairière a gravement empiré p suite d'un retour aigu de l'affection rém dont elle souffre depuis longtemps, se- L'amiral Kato a refusé le ministère de rs marine. i,';" bGRiment los G!éî iusux écrivent l'Hisfoi Nous recevons la lettre suivante, < peut se passer de commentaire : ii'y Liège, le 5 avril ïDl-4 Monsieur le Rédacteur, ™ L'article de la Pairie de Bruges, <5 ,€" vu us reproduisez ce matin, est un invr Cl seniiblaiiie... comte uu Pape, forgé de t. >nt tes pièces. Je vous adresse à ce sujet quelques marques personnelles, dont vous ferez ;l1" qu'il vous plaira. et A) Fi'ère-Orban, qui avait des sou d'une plus haute importance^ ne 6'oc pait aucunement do la politique du vil!; Jf" dont dépend le château de Ste-Ode ; il mettait jamais les oieds à ce village (i vaci.erie; situé à 3 kilomètres de là. IU" li) Frère-Orban n'avait pas coutume parler de politique à table. Lûe C) L'cût-il fait que le « héros de l'I je; toire », jeune alors, relégué de par ; 01 âge loin des anciens de la tablée, n'aui lls" pas pu saisir ses propos. UP D) Ce « héros » ne peut être que l'act ministre des affaires étrangères, le coi )as du S t-Empire Davignon, dont le beau-p; l"e clérical convaincu (1) était allié à la ae" mille Orban. Franchement, imaginez-v er" que Frère-Orban se fût permis de te des propos pouvant froisser les sentime 3^1 religieux, ou même politiques, d'un de la proches parents ! er- ?ar (1) Ce beau-père, député clérical et be frère du ministre libéral, donna sa dér sion de représentant, pour ne pas se ti en ver sans cesse en opposition avec le c or- du libéralisme parlementaire. Ce gai ex- lhomme n'eût certes pas approuvé 1'; prêté si légèrement à M. Davignon. Sers E) Au fond, comme on dit au Palais, doute fort que M. le comte — que la tare ble- tule politique n'avait pas encore piqué ait distrait de son patrimoine une somi de 10.000 francs pour un petit patelin d'.-OM derme. J'ajoute qu'avec 10.000 francs, dans ois- Pays & cc^ époque, on eût pu coï au truire ^ écoles ! Mais... F) Mais — et ce:i est péremptoire — * foliis vous certifier que toutes les localit ia+ voisines. de Ste-Ode (Lavacherie, Ambc ton loup' ^rtheuville> Tenneville, Laneuvili lait Kctunont), n'ont jamais possédé que d êta éc°les communales, dirigées par des k ques. Le Luxembourg compte du reste 1 rré lativement peu d'écoles libres. Pour cet ro- raison, sans doute, la proportion* d'ille très y est moindre qrue partout ailleurs e Belgique. Ma conclusion : L'histoire-de la Pair est un bateau destiné ù passer sous pont Davignon. ; a Vous terminez en disant : Que dirait < le héros si l'un des sie^.ns favorisait un joi m_ une^ œuvre ajiticléricale ? de O'ejst arrivé, mon cher Monsieur. I beau-frère de M. Davignon, le fils de l'ai qie Pen député catholique, mène à la Pann ier le bon combat anticlérical. Aux dernière oh "élections communales, il a échoué à 1 in- smte d une ihanœuvre gouvernemental! ai- approuvée sans doute par son ' beau-frèi m s 1°. ministre Davignon. Le gouvernement lait voter quelques millions -pour la cré< er. Cîo:; d un port électoral. m- Veuillez agréer, etc... ai- Un habitué de Ste-Ode. jr- i ! —— je Les Âddiîioimsls esmiimuau: ;11- ...L.e -vTrnistre de l'Intérieur, resté en assc ré- lâcheuse pVtsture oans la polémique soi levée par i'étourderie de ta Gazette u «. Liège au sujet des additionnels provii ciaux à la taxe sur Jes bénéfices, viev —' cl accoucher dune nouvelle'circulaire ir . terpretative visant nniefuement (pourquoi' les aodiiienùels communaux. Voici le début, en apparence satisfaisan > de cette circulaire, datée du 23 mars 1914 Monsieur le Gouverneur, lté « Les communes doivent s'abstenir, e 1rs principe de -mettre à profit la conversio m, 11 se aie que leur impose la loi du 1er ser J-'s tembre 1W3 pour imposer aux redevable ne du nouvel impôt de 1 atat une aggravatio des charges "'.justifiée. En d'autres terme; 111 elles no peuvent, en l'absence de nécessité '•\(£rÇlcre? dûment établies, fixer leurs ac ve qicronnels au principal de la taxe sur le ic- je venus et profits réels de telle sorte qu'c" -es M.-rent amenées à percevoir dorénavan; j r, a fM?u-ge ck-s redevables de l'impôt susvisc 'o- u .c recette supérieure à U somme global . *-'i0 '.>es '"odevables acquittèrent,- oo'ùt 191: ui, («u chef de leurs coi bâtions aux* rôles de ne . U'.varsbs taxes spéciales. u- » Les décisions prises en violation de ce er piincipcs sont d'autant jilus injustifiable 111 2nfi'APiïrnSU,te. des diffé;"°»ces qui existen io rîc-o® +' ?ôe. 03 'mPots cie l'Etat abolis c .le 1 assiette de la nouvelle taxe v substituée le" dai!s '» P'up;ïit dos cas, toir !ix Malles B UU P Petit nombrc d i": ie- » Or, il n'est ni équitable ni strictomen ... dS ÎSC- a">: rèfflcs d'uno bonne fiscalii à» d^as-'.^itfL ,nlp'JS"- à -J" "°mbre restrein 'P d assujettis j.:ne charge qui incombait iadi à une catégorie lisiblement plus nom mc- -e de contribuât » « les décisions prises en violation de ce i°-l Si lpes *°ut >nJu»ti!iabie» quand il «'V lit de0 communes, elles cessent lie l'être quan ™ pous ^s rriHceî, wa a lui-S nt F» V0le ûù '•«wagimtlw <! ut }a h, ahti am„i que nous l'avons déinor h • empressé de ratifier les CO cc-i ,er tunos additionnels votés par la province d tatae du Ministre des finances, au minri it mî'S^ v°S 1,:'Qu'il impose lui-mi V: ; ® ,a'ix communes dans i„ dispositii su de vant de sa nouvelle circulaire : 110 mînw1? ^cessîté d'apporter certains r mai .cments aux instructions oui ort fa !st 19rï ,%■>?% cir' ;;lalro du 18 septenb, er iJlo ù 1 effet d adapter plus étroitement ci ;n" œirteUntn?S- "ux contingence» qu'une r> ce.iie expérience a révélées. ns ? Cet 0ldrc d'idées> une double nn ce sui e s impose aux conseils communaux eu le euitenrlent. snlMoiter iaut;risation de nero sa v»nv- et ad'l;1:on,îels à la taxe sur les r, ■q. Vvniïo et pi alita réels : 1 1 ' Limitation du terme de pcrcentio des additionnels à 1013 et 1914. Cette m, •a- -'.."e permettra aux communes de faire l'e ar Perience du nouveau régime fiscal e♦ d: Ue apporter, le cas «HoanC les, correctifs , ''S,;E -'"'Pitions uont une première appl la catinn aura démontre' la nécessité ; ro" 1 ls rtglemaat relatif ™ ^ additionnel;, dune disposition Dortai nïo-f I p"'jd;lu- ,de ladite imposition d diîflJS, sl-Jbale prélevée à chars ta 'eoeuJJes clu nouvel impôt, du clï nwJe}<M9 t" ,'rr!0ns analogues aux rùU poui i ; i - (additionnels oommunaux établ au principal du droit de patente propo [tu tionnr-i et de ja redevance j>ro,poitionncl sur les mines ainsi que du chef de leur ir position pov.r le même exercice aux rôli uos taxe . spéciales sur la surface de ehau na i ' u ?Ice niot,;i.co-' ie Personnel ouvrie ue le® bénéfices réalisés, l'extraction des m noo eu carrn-res, etc.) l'excédent de recett. sera ristourné aux assujettis au prora dit montant respectif de leur imposition. » Au cas où, par suite de r.ouvea'ux i) soins (budgétaires, il serait nécessaire e demander, pour 1913 et 1914, aux redev Ides de la taxe sur les revenus et profi j™ roeîr une eontrfiîmtion légèrement sup rieure là la recette prélevée pour 1912, d"3 suffira au conseil communal de complél la réserve susmentionnée nar l'ajoute si va nie : « déduction faite au nréalable d'ui somme de... francs ». Mais il doit, être bh en tondu q-ue ce prélèvement supplémentai •nn ï!ô P°urra .<;tre autorisé s'il n'est pas appu; 'ait ^'uri0 justification budgétaire péremptoii » Des instructions, comrdémentaires, q , vous seront transmises ultérieurement, i nfp gleront la procédure à suivre pour les pi ^ positions fiscales se rapportant aux exer. )e> ces 1915, 1916 et 1917. »> fa- 3us .Pourquoi, encore une fois, impose-t-' nir aux communes une ristourne dont la pi nts vinec de Liège a été dispensée, tandis q ses celle du Wainaut l'avait spontanément p: vue dans sa délibération. Ce n'est, jias, on le sait, la province q au- est appelée à profiter de cette plus-val ûs- (( injustifiable », c'est l'Etat, par suite ou- îa .répercussion indirecte de la taxati hef des automobiles sur la taxation des béi ant fices des sociétés. icte De plus, M. Berryer tranche, dans sens favorable à la fiscalité un point i jq I portant et controversé de la loi taxant 1 uv bénéfices. — Cette loi permet aux provinces et ai ne communes de percevoir, pendant la périoe Lj> transitoire, des additionnels suffisants poi assurer le même rendement que ceux pe ce çus en 1912 sous l'ancien régime et basi is- sur les bénéfices de 1911. La circulaire ministérielle substitue là e je texte légal la recette des rôles de 1912, c es es â-dire des patentes perçues en 1913 et qi r- ont été sensiblement supérieures À celle e, des années. précédentes. es Gela constitue, pour la période trans .ï- toire, une sensible aggravation alors qu e. l'intention du législateur était de respecte te le slatu quo, sans plus. I En Belgique , —«**-<3^-0»»- Au Se/>at Trente-cinq orateurs sont déjà inscrit e dans la discussion générale de la loi Pou! let au Sénat. D'autres ont l'intention d'; participer. Le déuat promet donc de se dé 's velopper clans toute son ampleur. a Dès maintenant l'on sait que le gouver nement et la droite sont hostiles au renvo 'q du projet à,la Chamffrc a La Chambre Haute n'a plus c^u'une mis t_ siori,1'entériner, enregistrer ce <}ue l'autri a décidé. Et le droit d'amendement ? L« majorité l'écarté. Quelles que soient les im perfections ou les illégalités signalées, elb ' est fei'mement résolue à ne pas en teni; compte. . <( Dans ces conditions, comme l'écrit s * bien Y Indépendance, répondant au senti L ment public, les gauches peuvent consi dérer que la machine parlementaire es faussée et elles ont le droit de tirer du rè z gloment tout le parti possible pour faire échec .au projet, pour en empêcher le vote e définitif. Si la gauche ne s'appliquait pas, pai ^ tous les moyens, à faire échouer un proje L_ i'ndonstitutionnel o\>nmie celui-ci, elle se » rendrait complice, par sa déplorable com plaisance, du mauvais coup que médite lr droite. » C'est l'avis de tous les libéraux, mais ils sont cPaccord aussi pour approuver les pré paratifs de lutte de cette vaillante opposi II tion, pour mettre en elle toute leur con !l fiance et lui dire que. les deux tiers de pays seront avec elle, pendant qu'elle dé s fendra l'école neutre contre l'attentat voulu 1 par un parti, qui en toute sagesse devrail '> se contenter de la loi .Schedlacrt votée er ^ 1S95, loi répondant aux vœux de îa ma- - jorité des catholiques. s Les; libéraux ou Lm-ïbourg; ., A leur quatrième congrès provincial, les , libéraux liuiboùrgeois, sous la présidence e de M. Neven, ont ; envisagé le moyen de constituer des œuvres nouvelles dans tou-s tes les commun,^ importantes, de façon è créer un vaste réseau de sociétés de se s cours mutuels, de caisses de réassurance, s etc... i Au point de vue de la situation politique: t des décisions ont été prises. , Les dé'égués ont été d'accord pour dire que la situation est excellente dans les campagnes, que lê gouvernement clérica s'y est rendu fort impopulaire et que le t peuple y éprouve une véritable soif de to 1 lénance et de liberté. t Drof. nos amis ont retrouvé toute leui s confiance et so rendront aux urnes, le 2-mai. remplis d'espoir. lTn grand banquet» a réuni de nombreu? libéraux au Casino de Tongres. Au dessert M. Paul Hymàns a prononcé un discours s sur la future campagne électorale. Les li t béraux du Limbcurg se préparent à rem ;1 plir leur devoir pour reconquérir le ter 2 rain perdu le 2 juin 1912. Les assurances sociales On distribue un tract de propagande ~ cléricale où l'auteur déclare que « la Ion gueur des débats scolaires a seule empê o cné » que rûnportante réforme que com i. pjrte le projet sur les assurances socialei <>blj/gau)ii'es (maladie, invalidité, vieil lessej, « pût être tranchée plus tôt par le Parlement ». i- C'est faux ! t Le projet a été déposé par le gouverne e ment le 12 novembre 1912 s Le rapporteur de la commission spéciab >. chargée de l'examiner à la Chambre, M Veistcylc.ii, n'a déposé son rapport que b ;- li janvier 1914 — donc après quatorzi ii mois, il faut moins de temps à une ànessi ». pour avoir des petits 1 Et samedi dernier seulement, le gouver nement a fait distribuer la dernière par u lie du rapport, c'est à dire le tableau éta blissant la concordance entre le projet e les amendements présentés. y Voil'i la vérité. Los candidatures walîcnnes à Hu; La nouvelle des candidatures wallonne ^ de MM. le baron Joseph de Crawliez e ^ Georges Braconier-de llemricourt, annor • " cée par le Journal de Liège, a été accueil :e lie -à Tfuy avec un doute nue justifiait l'épc ;,f que du 1er avril. Un journal local l'a mêm ;s. considérée comme un poisson tardif. Ell L' est cependant absolument exacte, à preuv que 1 organe des revendications vv ail ormes Ie Le Droit des Wallonst a déjà été adress a une partie des électeurs. Ce journal p-rt " tend qu'un parti nouveau s'impose : le pari wallon. La démonstration électorale qu nous allons faire sera, dit-il, concluante .' elle prouvera que les électeurs sont fat: " gués d'être éternellement ibernés par cie a rna:; data ires dont la seule préoccupation es de se cramponner à leur mandat, que qu'en soit le moyen. Au point de vue wa l~ Ion, chercher l'alliance dans les trois parti est chose impossible. La fin justifie le n a yens. Lutter contre l'envahissement flr mii-gant, toujours plus accentuée, défendi "il les intérêts de notre contrée avant les n ^ térèts politiques particuliers à une seeti ".l tel est le programme des candidats wa iê lons- ;n Le chalutier (( Jacc|ue!ino re à Banan ^é Le chalutier Jacqueline, q-ui avait quit e: Ostende le o mars dernier, en vue d'à 41 1er entreprendre une campagne de pêche a é- large des côtes du Congo, vient d'arriva f!" à Banaua après une heureuse traversée. -1* On sait que son équipage est coinpo: uniquement de pêcheurs ostendais. in La commission financière o. du Cong ne M. Renkin ministre des Colonies, a in •é- tollé hier eprès-midi, clans la. salle d< séancos du Conseil colonial, la commissic ui qui sera chargée, sous la présidence de ^ ue Bark, d'élaborer le plan financier de l'a de ministration coloniale. jn La séance a été très courte. lé- Le ministre a prononcé un discours dai lequel il a exposé quel est le 'but et m mission de la commission. ai- La séance a été levée ensuite. r gsil IliiilliL IE LîéSE ma Cl. r- Le Conseil a approuvé des i)lans amé-:s lioranl la sortie de Liège vers Kinkempois. Il u voté un règlement sur la mise en e disponibilité des employés communaux. ^ Séance du lundi 6 avril 1914. a Présidence de M. Gustave Kleyer, bourgmestre.i- La séance est ouverte â 5 h. 50 m. J TRAMWAY AU THIER-A-LIEGE M. GALOPIN. La question Tramway au T hier-à-Liége ne figure pas ù l'ordre du jour. Il faudrait savoir nour quelle raison. M. TOMBlEUR. La commission des ser-k vices industriels a émis un avis favorable < ta l'adoption d'un projet mais elle a chargé le collège de négociations. Nous avons reçu seulement aujourd'hui la réponse à notre olïre. La question viendra à la prochaine 3 séance. VIADUCS ^ :Mi. GALOPIN. 11 est question de créer un viaduc au Thier-à-Liége. L'administration supérieure a proposé des modifica-. tions aux plans et à la convention laite av ec la ville, qui est chargée de l'achat des terrains. j La ville demande aussi des modifications ' que l'Etat veut accueillir >à condition que la ville supporte îles frais.supplémentaires. ] M. FKAlCv.\E!,X i,a. ville a écrit à M. ; le Gouverneur de da province au sujet des modifications.demandées par le Gouvernement.L Nous sommes étonnés que M. le Ministre ait pu répondre qu'il n'a. pas connaissance de cette lettre, dont nous avons d'ailleurs envoyé copie au département. Nous avons un accusé de réception clu • Gouvernement pro.vineia3 et avis de la : transmission a,u Ministère des travaux publics.' Le 19 décembre, nous avons écrit et le - 29 le dossier a été transmis à M. le Ministre.On ne peut adresser de reproche à l'administration communale. CAMILLE LEMONNIER M. 170,... EPFE. Il y .a quelques mois, on a aécidé de perpétuer la mémoire de Camille Lemonnier. Ne pourrions-nous élever dans une cle nos promenades un monument rappelant 1 œuvre de l'artiste. Je demande i étude de cette proposition. M. rnOQLET. Que l'on renvoie la de-mande à la commission des Beaux-Arts. (Assentiments); M. KLEYER. Je voudrais ajouter une proposition 11 manque uns œuvre de Constantin Meunier. Nous n'avons rien de lui dans no- parcs. M,rDIGNEFFE. J'ai décimé'^ro-;ets cie Meunier il y a quelques années. \ Si le Comeii Veut iveCèh!f ' ïT"'ccTle~Tcrée" je serai très heureux. TRAMWAYS M. BORNY appuie la pûlition de créer une voie de la place du Théâtre vers les Guillemms par la rue Bassenge. En allant vers la rue des Wallons, on pourrait desservir le Haut Laveu et le Bas 1 Laveu. Mi en Ai !AY. On pourrait relier aux Guil-lemms par la rue Ambiorix, le v:,adirc llemricourt, la rue du Plan Incline." ' ECLAIRAGE Ml DELAI TE appuie également la motion Galopin II est nécessaire de relever les déclarations cle M. le Ministre. Je demande une extension d'éclai.raœ quai de la Batte et quai de Maestricht. -,e signale aussi l'obscurité qui rèû'rie rue des Vignes. M. LAMBRICHiTS. Des haoitants liéceois de la rue En-Glain ont demandé l'eclai-rage électrique en leur permettant de se raccorder au réseau desservant la commune de Glain, à douze mètres de leurs maisons. | Ils renonceraient à leur abonnement à Glain lorsque la ville aura étendu son réseau.Ce cas soulève la question de l'eiolai-rage de la périphérie. Il y a deux raisons, cl.abord l'avantage dont profitent les habi-, tants des communes et dont ceuxi de Lié?e - sont privés et ensuite l'avantage et la né-^ cessite qu il y a d'étendre notre réseau de 5 distribution. > KLEYER. La question viendra en Commission. Il y a des choses délicates à examiner. On refuse à la Ville le droit do s étendre sur le territoire des communes voisines et on permettrait l'extension sur \ notre territc-ire. C'est à examiner. M. TROCLET. La question a préoccupé déjà la Commission. Elle est très délicate à traiter. 11 y a un intérêt supérieur pour r la vilUe à garantir ses services publics. On 5 peut dire aux habitants qu'on s'efforcera t de leur donner satisfaction. M. LEBLANC, il faudrait aussi penser au quartier de l'Est quand on pensera aux extensions d'éclairage électrique. 2 KLEYER. J'ai fait renforcer l'éclai-2 rage place de Bavière. AFFAIRES DIVERSES § M. le bourgmestre procède à la remise - du prix 'Marie, qui est attribué à l'orphelin i le plus méritant sortant cette année des d hospices. Le bénéficiaire reçoit ce prix, 200 ; francs, au milieu des applaudissements. Sont successivement approuvées des dé-s libérations contenant : t donation Van den Steen de Jehay, à l'é-1 glioo St-François de Salles ; vente de terres par les> Hospices ; s décision de passer outre aux observa-s tions présentées au cours de l'enquêie pu- - bliqtue ouverte sur la taxe d'ouverture de e rues et de pavage ; i- M. SEELIGEiK. La délibération du 10 :, mars a été soumise à l'enquête. Il n'y a [- qu'un réclamant demandant le bénéfice de ' exonération pour d'autres immeubles. Le collège a voulu éviter toute idée de spé-cu.lation.On voudrait aussi la reconnaissance de •e droits acquis par des gens ayant déjà bâti, j- Cela n'est pas possible, ces gens ayant cléj-à u créé une situation défavorable. ir On critique le prix de 10 francs par mè-tre carré du prix de pavage. Ce prix est„ ^ en effet, un pr,ix moyen. Il n'est pas exagéré.Je propose donc de passer outre aux oit-o servations. — Adopté. s- Le Conseil approuve ensuite des délibé->s rations contenant : n Adoption d'un plan pour ouverture d'une I. rue entre les rues Ste-Walburge et Vieille-i- Voie de Tongres ; Approbation du rôle pour la répartition des frais die curage du ruisseau la Légia is en 1914 ; [a Propositions de construire en 1914 des frottoirs par zones. Accueil d'une demande de la Société

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Dit item is een uitgave in de reeks Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Anvers van 1832 tot 1940.

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