Journal du Katanga

1004 0
20 januari 1914
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1914, 20 Januari. Journal du Katanga. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/0k26971h0k/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

4me année 20 janvier 1914 N° 3 JOURNAL DU KATANGA PRIX DES ANNONCES : —■+ LA LIGNE Correspondance Fr. 5,oo Demandes d'emploi » 1,00 Offres diverses » 2,00 Reuille hebdomadain paraissant le mardi Le Numéro : 50 Centimes. ADMINISTRATION : Avenue du Sankuru, Élisabethville (Katanga) Congo Belge. PRIX DES ANNONCES: LA LIGNE; Faits divers (fin) Fr. 3,00. Faits divers (corps) » 5,oc Maisons à vendre ou à louer . . » 2,00 Pour les pays faisant partie de l'Union Postale ; UN AN FR. 25.00 SIX MOIS » 15.00 TROIS MOIS > 8.75 UN MOIS » 3.35 PRIX DE L'ABONNEMENT : Payable antici pat i vement Pour les pays ne faisant pas partie de l'Union Postale UN AN FR. 30.00 SIX MOIS » 17.50 TROIS MOIS » 10.00 UN MOIS : » 4.00 AVIS AUX ABONNÉS L'administration du Journal, en vue d'assurer la régularité du service des abonnements, mettra prochainement en recouvrement les quittances de réabonnement pour 1914. Elle prie instamment les intéressés de bien vouloir acquitter ces quittances à présentation. Toujours la question des trois francs Nous avons signalé ce que la mesure arrêtée par M. le Ministre des Colonies au sujet de la réduction de l'indemnité de cherté de vivres a causé d'émoi dans le personnel de la Colonie. Chacun, en ce qui regarde sa situation personnelle, a exhalé son lamento contre la mesure en question; chacun ayant des raisons particulières pour être touché par cette décision, et pour prouver qu'indubitablement, il serait lésé. Pour celui qui a foi dans la télépathie, il est incontestable qu'il doit se déclarer satisfait. Il est persuadé que M.le Ministre connaît les arguments multiples développés ici, le soir, après 17 heures, sur la véranda des maisons occupées par les fonctionnaires et agents, réunis pour siroter le whisky indispensable et avaler la quinine obligatoire. Mais pour les nombreux détracteurs de ) celle affection ou plutôt de cette sensation à distance, qui doute de l'efficacité de cetle concordance de sensation, et qui se contentent de formuler en paroles leur mécontentement au sujet de la diminution qui se chiffre par un peu plus de 91 fr. mensuellement, leur bouillante indignation, peut être comparée, comme le disait 1111 de nos plus fidèles abonnés, à une tempête dans un verre d'eau. Pour nous, qui sommes absolument en dehors de la question, qui ne sommes atteint, que d'une façon indirecte par cette décision, en signalant les sentiments exprimés autour de nous nous ne pouvons nous défendre de manifester une certaine pitié lorsque nous constatons qu'avec des arguments aussi nombreux et aussi convainquants les intéressés semblent désespérer de pouvoir convaincre M. le Ministre. Il s'agit évidemment pour ce dernier de trouver les moyens de combler dans une certaine mesure le déficit budgétaire, mais pourquoi diable le souci de faire des économies ou de diminuer d'une façon sensible le déficit doit il se manifester en supprimant une partie des ressources si nécessaires au modeste agent pour faire face au coût de l'existence au Katanga. Nous ne voulons pas exalter outre mesure le petit employé, mais il faut cependant avouer que sans sa collaboration, sans la tâche journalière de ce petit agent qui constitue un des infimes engrenages, il est vrai, de l'organisme gouvernemental, le Katanga existerait-il encore en tant que colonie belge ? N'est-ce pas par son labeur quotidien, qu'il permet la marche régulière et normale de l'administration et la décision prise n'aura-t-elle pas pour résultat de semer le découragement parmi les zélés, les bons agents ayant pris à cœur leur service, qui profondément dégoûtés accompliront celui-ci d'une façon toute machinale et qui sans leur attirer la désapprobation de leur chef, ne décidera certes pas le Gouvernement à les réengager. Nous savons que depuis que l'éminent sociologiste de Laveleye, a écrit dans son traité d'économie politique que la paresse des employés est proverbiale, que l'on ne cesse de le leur corner aux oreilles et que ceux qui n'osent pas le dire franchement, partagent l'avis de moins timorés. Nous savons aussi que nombreux sont ceux qui estiment que le gratte-papier est un être peu intéressant, mais-n'est-cè pas là 1111 préjugé de gens qui affirment l'excellence et' la supériorité de la mission de l'ouvrier et qui actuellement encore, férus d'idées égalitaires, mais ignorant la situation exacte des uns et des autres sont disposés favorablement vis-à-vis du prolétaire dont ont cherche par tous les moyens à améliorer les conditions d'existence. Mais l'employé est-il aussi bien partagé, n'est-il pas aussi digne d'intérêt que l'ouvrier et ne doit-on pas aussi tenir compte que comme l'ouvrier, il doit être mis à même de faire face aux nécessités de l'existence. Il est incontestable que partout et surtout dans la Colonie, sa situation est moins enviable que celle de l'ouvrier, dont le salaire journalier peut atteindre 30 francs. S'il jouitde certains avantagesspéciaux, tels que : logement, soins médicaux et médicaments, il est toutefois astreint aux mêmes dépenses quant à sa subsistance et la diminution de l'indemnité, à un moment où le coût de la vie est sensiblement le même qu'il y a deux ans, le met vis-à-vis de ses collègues fixés à Boma et dans le Bas-Congo, dans une situation bien moins enviable que celle de ces derniers, qui tout en se nourrissant à moins de frais peuvent réaliser quelques économies. Il est entendu que l'ère des économies est ouverte, qu'il y a lieu pour le Gouvernement de trouver l'argent nécessaire pour éviter que le déficit prévu pour 1914 ne s'augmente d'année en année, mais n'existe-t-ilpas un autre moyen de trouver cette somme de 200.000 francs qu'il réalisera en diminuant les ressources des fonctionnaires et agents ? Les moyens ne doivent pas manquer nous semblent-ils ; l'on pourrait obtenir le in 'me résultat soit en poursuivant la rentrée de l'impôt dû par l'indigène, soit en a jgmentant la base de celui-ci ? Infailliblement cette mesure qui ne peut être considérée comme excessive s'imposera, ne fut-ce que pour obliger un plus grand nombre de noirs a travailler, à apporter leur quote-part à la réalisation du programme ayant pour base la civilisation de nos frères noirs et leur faire partager ainsi les avantages qui en découlent. Tous, fonctionnaires et agents, connaissent les sentiments du Gouverneur sur la mesure arrêtée, ils savent qu'il a formulé ses appréciations et que la situation du personnel du Vice-Gouvernement Général est l'objet de ses. préoccupations, mais s'arrétera-t'on en Haut lieu aux bonnes raisons qu'il a fait valoir pour que la mesure en question soit rapportée? Nous le souhaitons bien vivement, mais l'échéance est proche. Fin de ce mois, si M. le Ministre n'a pas fait connaître sa décision, tous les fonctionnaires et agents toucheront la moitié de l'indemnité qui leur était précédemment allouée et beaucoup d'entre eux ayant déjà accompli 3 ans de service ou deux termes de deux ans toucheront moins actuellement qu'au moment de leur entrée au service de la Colonie. Comité Sportif de l'Exposition d'Élisabethville en 1913 Le Comité prie MM. Bataille, Chanal, Couse-ment, Engelo, Fallon, Gilbert, Godfroid, Haïmovitz, Itten, l'Ingénieur Janssens, Kauf-mann, Lewin, Lundie, Offergeldt, Sharp, Stewart et Ullmann de bien vouloir faire retirer au bureau du « Journal du Katanga » les breloques qui leur ont été attribuées. L'Apéritif parfait " Cl N 7 A N O " rien ^ du ™ux Muscat 1 i xl Éfes» m m 8 ^es herbes tonifiantes

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks Journal du Katanga behorende tot de categorie Koloniale pers. Uitgegeven in Elisabethville van 1911 tot 1930.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes