L'écho de Belgique

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s.n. 1916, 20 Juli. L'écho de Belgique. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/c53dz04q92/
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Tôiéphono: Mueeum 267. L'Echo de Belgique Bureau: 21, Russell Square, W.C Abonnement : ls. 6d, pour trois mois. Subscription : is, 6d, for three months. lre Année.—No. 24. JEUDI, JUILLET 20, 1916. Pour ta France : 2 fr. Pour les Pays-Bas : 1 fl. Prix ld. L'OFFENSIVE CONTINUE. AVANCE ANGLAISE. Au moment où nous mettons sous presse, la Fête nationale belge se célèbre à Londres au milieu de l'enthousiasme général. Il nous est malheureusementt impossible de retarder notre publication, pour offrir à nos lecteurs le compte rendu de cette magnifique solennité. Nous y reviendrons dans notre prochain numéro. O Les rapports économiques entre la France et la Belgique. Monsieur Georges Blondel, l'éminent professeur de l'école des Hautes études de Paris, et le grand ami la Belgique où il est bien connu et apprécié est venu la semaine dernière conférencier à Londres. La conférence impossible à résumer, car elle était pleine d« faits, et d'appréciations originales a été un très gros succès. Elle a pourtant soulevé une assez vive critique sous la forme d'une lettre adressée à l'Indépendance par Monsieur Henri Lambert : nos lecteurs connaissent les idées de M. Lambert, et ils savent ce qui nous sépare de lui. Monsieur Lambert appartient a cette école de philosophes économistes qui croient que la liberté des échanges suffit a engendrer le bonheur la moralité et la justice. Mercier de la Rivière au début de son livre sur la Phy-siocratrie annonçait qu'il avait trouvé le moyen de rendre tous les hommes heureux. Mirabeau (l'ami des hommes) demandait qu'au lieu de l'Evangile on, lut, tous les dimanches, au prône, le résumé de la doctrine économique. A l'extreme opposé, s'appuyant sur une philosophie analogue, le Socialiste Robert Owen croyait avoir trouvé le moyen de rétablir le paradis terrestre. Philosophiquement parlant M. Lambert est de la même école et il a le même zèle très honorable de prosélytisme. Nous ne pouvons le suivre sur ce terrain. Pour nous, la faillite de l'économique est certaine et nous appelons de tous nos vœux le régne de la morale. À part cette divergence qui est énorme, nous trouvons dans les objections que l'auteur propose à M. Blondel, matière à très serieuses réflexions. Elles visent la future politique économique de la Belgique. Ce que des journalistes qui porteront dans l'avenir une bien lourde reponsabilité appellent, d'un cœur léger, la guerre économique. Je cède la parole à M. Henri Lambert non sans regretter le ton vraiment un peu rude qu'il a cru devoir prendre. M. Georges Blondel n'est pas seulement le plus savant des hommes c'est encore le plus aimable, le plus séduisant des Français. Quelle raison avons-nous de l'induire à penser que nous sommes insensibles aux qualités délicates qui font le charme de son peuple? On peut penser fortement, sans parler rudement. X. * * * Echange d'avantages. Le commerce est un échange d'avantages pour les deux échangeurs, pour celui qui achète comme pour celui qui vend. Refuser d'acheter c'est certes faire tort au vendeur, mais c'est aussi, "et exactement dans la même mesure," se faire tort à soi-même. Refuser d'importer d'un pays, c'est s'interdire d'exporter dans ce pays ; c'est évidemment faire tort à celui dont on refuse d'importer les marchandises, mais c'est se faire le même tort "exactement." Cela étant établi, je constate que vous êtes venu nous conseiller de renoncer au commerce avec l'Allemagne. Ayant combattu l'entreprise de subjugation de l'Europe par ce peuple, " ayant mêlé leur sang à celui des Alliés et fécondé ainsi les champs de bataille de la liberté," les Belges, nous avez-vous dit, ne peuvent plus désormais entretenir de rapports économiques avec ceux qui les ont fait tant souffrir. Vous êtes d'avis que les frontières économiques entre les pays alliés et les empires centraux doivent à l'avenir se confondre avec les tranchées que le hasard des combats et la valeur des combatants auront laissé subsister lorsque le moment sera venu de conclure la paix. Deux questions. Je voudrais, Monsieur, vous poser deux questions nettes et précises, l'une principale, l'autre subsidiaire : (i) "Y aura-t-il encore, après la guerre, des frontières économiques entre la Franci et la Belgique?" Puisque nous avons mêl< notre sang au vôtre sur les champs de batailli de la liberté," les Belges, nous avez-vou: à mêler nos produits aux vôtres sur le: "champs de bataille" de la liberté écono mique? Pour la Belgique ce sera là un< autre "question vitale" lorsque la paix sen rétablie : petite par le territoire, grande pa: , les activités industrielles et commerciales, "e nécessairement très spécialisée dans le: fonctions économiques," la nation belge : besoin "comme du pain" des débouchés ex y térieurs, de marchés ouverts. (2) S'il ne vous était pas possible de vou> prononcer sur la politique économique futurt La prophétie de St. Odile. T.a "Croix" publie une prophétie relative à la guerre attribuée à St. Odile, patronne de l'Alsace. Si cette prophétie est authentique elle est pour le moins singulière, dans son exacte application aux événements l actuels. Mais est elle authentique? Nous n'en savons rien. Nous la publions donc à t titre de curiosité, mettant nos lecteurs en i garde contre les tentations d'une crédulité 1 superstitieuse qui se développe trop facilement dans les temps de calamité. Ecoute, écoute, ô mon frère ; car j'ai vu la 1 terreur des forêts et des montagnes... ; L'épouvante a glacé les peuples... Il est A Bientôt ! Enfants respectueux, à chaque anniversaire Nous venions déposer à tes pieds en ce jour Nos vœux et notre hommage et te redire, O Mère, Toute la loyauté de notre ardent amour. Puis te couvrant de fleurs, cortège de lumières Eclairant l'Avenir, tes enfants défilaient, Et toute notre joie et toutes nos bannières Symboles du Passé, sous ton regard, flottaient.... Tes enfants sont partis emportant les bannières, Tous les chants se sont tus, tous les flambeaux éteints La cendre a remplacé les fleurs sur les chemins ! Mère, sèche tes pleurs-: l'encens de nos prières Du fond de notre exil monte vers le Très-Haut, Et de tout notre coeur nous crions : A bientôt ! 21 juillet 1916. Jean Marijnen. de votre pays à l'égard du nôtre, je vous de manderais de faire connaître votre opinioi personnelle au sujet de 1' "opportunité.' " Etes-vous d'avis que la France doit ouvri ses frontières douanières à la Belgique, afii de la compenser d'une renonciation éven tuelle, que vous lui conseillez, à son im portant marché allemand?" Conclusion. "Je veux au surplus dire, Monsieur leCom mandant et honoré collègue, que mon avi quant aux vrais intérêts de mon pays est ei formelle opposition avec le vôtre. Li problème de l'avenir économique de la Bel gique ne peut être séparé de celui de se: destinées politiques. Il se confond, plus peut être que tout autre, parmi les grand: problèmes à l'ordre du jour des préoccupa tions européennes, avec celui du rétablisse ment et de la conservation ultérieure de 1< paix entre les nations d'Europe : 1: prospérité, la sécurité, l'existence de la Bel gique dépendront des progrès des rapport" internationaux européens. Il n'est pas néces saire de s'étendre en considérations sur cettf proposition, qui ne peut laisser de doute qu'c ceux qui nourissent l'illusion (presque folle que l'Allemagne pourra être réduite à merc et anéantie ' définitivement ' comme Puissanci européenne." O— L'appel des hommes. LES DÉCISIONS DU CONSEIL DE CABINET. Les membres du Cabinet, auxquels s'étaien joints les ministres d'Etat, ont tenu plus sieurs séances à l'Hôtellerie de Sainte Adresse, sous la présidence du baron d< Broqueville, ministre de la Guerre. L'élaboration de l'arrêté-loi décrétant l'ap pel des hommes jusqu'à quarante ans, a fai le principal objet des délibérations du con seil. Le projet qui va être soumis au Roi : subi quelques modifications qui visent sur tout à assurer à l'armée le concours de; forces vives de la nation dians le délai le plu: rapproché. C'est ainsi, notamment, que tou sursis sera refusé aux célibataires de 25 i 30 ans. venu le temps où la Germanie sera appelée i la nation la plus belliqueuse de la terre... ' Elle est arrivée l'époque où surgira de son c sein le guerrier terrible qui entreprendra la 1 guerre du monde et que les peuples en armes appelleront l'Antéchrist, celui qui sera maudit par les mères pleurant, comme Rachel, leurs enfants, et ne voulant pas être consolées. Vingt peuples divers combattront dans cette guerre. Le conquérant partira des rives du Danube... La guerre qu'il entreprendra sera la plus effroyable que les humains auront jamais subie... Ses armes seront flamboyantes et les casques de ses soldats seront hérissés de pointes qui lanceront des éclairs, pendant que leurs mains brandiront des torches en-l flammées... Il remportera des victoires sur terre, sur mer, et jusque dans les airs ; car on verra . ses guerriers, ailés, dans des chevauchées inimaginables, s'élever jusque dans le fir-. marnent pour y saisir les étoiles, afin de les p projeter sur les villes et y allumer de grands 1 incendies... Les nations seront dans l'étonnement et s'écrieront : D'où vient sa force? La terre sera bouleversée par le choc des combats ; les fleuves seront rougis de sang, et les monstres marins eux-mêmes s'enfuiront épouvantés jusqu'au plus profond des océans... Les générations futures s'étonneront que ses adversaires n'aient pu entraver la marche de ses victoires... t Des torrents de sang humain couleront autour de la montagne : ce sera la dernière bataille "ultima pugna." Cependant le conquérant aura atteint l'apogée de ses triomphes vers le milieu du sixième mois de la deuxième année des hostilités : ce sera la fin de la première période, dite de victoire.» sanglantes, "cruentarum victoriarum." Il croira alors pouvoir dicter i ses conditions... La seconde partie de la guerre égalera en ; longueur la moitié de la première : elle sera > appelée "tempus deminutionis," la période ; de diminution.... Elle sera féconde en sur-. prises "rébus inopinatis " qui feront frémir le3 peuples... Vers le milieu de ce temps, les peuplades soumises au conquérant diront : La paix ! ]a paix ! Mais il n'y aura point de paix... Ce ne sera pas la fin, mais Je commencement de la fin, lorsque le combat se livrera dans la ville des villes. Le texte latin dit: "Non finis, sed equidem finis, quando in oppido oppidorum de manu certa-verint..." A ce moment beaucoup des siens voudront le lapider... Mais il se fera des choses prodigieuses en Orient... La troisième période sera de courte durée : on l'appellera la période d'invasion, car, par un juste retour des choses, le pays du conquérant sera envahi de toutes parts, "ex omnibus partibus." Ses armées seront décimées par un grand mal, et tous diront : Le doigt de Dieu est là ! Les peuples croiront que sa fin est prochaine ; le sceptre changera de main, et les miens se réjouiront. Tous les peuples spoliés recouvreront ce qu'ils auront perdu et quelque chose de plus... La région de Lutèce sera sauvée elle-même à cause de ses montagnes bénies et de ses femmes dévotes... Pourtant tous auront cru à sa perte... Mais les peuples se rendront sur la montagne et rendront grâces au Seigneur... Car les JiommeS auront vu de telles abominations dans cette guerre que leurs générations n'en voudront plus jamais... Malheur pourtant encore à ceux qui ne craindront pas l'Antéchrist ! Car il suscitera de nouveaux meurtres!... Mais l'ère de la paix sous le fer sera arrivée, et l'on verra les deux cornes de la lune se réunir à la croix, car en ces jours les hommes effrayés adoreront Dieu en vérité, et le soleil brillera d'un éclat inaccoutumé. n Nécessité de l'économie. Dimanche dernier, dans l'église catholique de C., on a prêché au peuple la nécessité de l'économie. Dans l'auditoire, les ravissantes toilettes claires des dames jetaient une note de somptueuse gaité. Des parfums subtils flottaient dans l'atmosphère lourde de l'église. Des filettes parées comme des madones esquissaient des gestes de coquetterie. Le. vicaire prêchait avec une magnifique conviction. Nous avons besoin de canons, de munitions, de fusils. Il nous faut beaucoup de monnaie, pour soutenir nos Alliés. Où le gouvernement ira-t-il la chercher sinon dans la bourse du peuple grossie par l'économie? Il nous faut exporter beaucoupy importer peu, restreindre nos dépenses de luxe. Les braves soldats qui s'exposent à la mort attendent de vous ce sacrifice. Prêtez votre argent au gouvernement ; c'est un placement de tout repos, et cela rapporte gros. Allons, un généreux effort ! Notre peuple catholique doit se montrer à la hauteur des circonstances ! Cela dura ainsi un gros quart d'heure, au milieu de l'inattention générale. Dans l'air de plus en plus lourd des parfums se mouraient, tués par l'âpre senteur de l'encens. Pauvre vicaire, pauvre public. Oui, nous avons besoin d'économie, maintenant, après la guerre, toujours. Ou plutôt nous avont besoin de réapprendre le bon usage des riches, ses. Les circonstances du moment nous y invitent avec une solennité particulière. Mais ce ne sont pas des sermons pareils qui feront entrer la conviction dans les esprits et qui allument dans les cœurs la flamme généreuse du sacrifice. Il nous faudrait de nouveau St. Vincent de Paul, ou à leur défaut de simples Bourda-loue s — C'est une illusion de croire, disait Bour-daloue, que dès qu'on est riche, l'on ait droit de vivre plus somptueusement, plus voluptueusement, plus grassement ; et que le luxe, la dépense, la bonne chère doivent croître à proportion des biens. La morale chrétienne nous apprend que plus un chrétien est riche, plus il doit être pénitent; c'est-à-dire plus il doit se retrancher les douceurs de la vie, et que ces grandes maximes, de renoncement, de dépouillement, de crucifiement, si nécessaires au salut, sont beaucoup plus pour lui que pour le pauvre. Parce qu'on a du bien, on en veut jouir sans restriction et dans toute l'étendue des désirs qu'un attachement infini à soi-même et à sa personne peut inspirer. On veut que le fruit des richesses soit tout ce qui peut con-

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Dit item is een uitgave in de reeks L'écho de Belgique behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres .

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