L'écho: journal régional hebdomadaire

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s.n. 1917, 04 Maart. L'écho: journal régional hebdomadaire. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/v69862d74t/
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Septième année. — Ne 9 Le numéro : DIX CENTIMES Dimanche 4 mars 1917. L'CHO Journal régional hebdomadaire AUDERGHEM = B O I T S FORT = ETTE RBEEK = I XE.LLEL S ® WATERMAEL = WOLUWE ADMINISTRATION - REDACTION — PUBLICITE — 249b, CHAUSSÉE DE WAV RE - fXELLES TfcCHO EST VENDU TOUS LES DIMANCHES • ABONNEMENTS : DIRECTION : eN ^ mFOOWAT1^u usrie . . ,N S. m.uce o.4b a partir DE / HEURES 3 r,. t.20 ✓-» /-iniOT n 1 \T MODes.SPOHrs.sPecr'r.eto, ul m, t.00 I petites annonces (làStiaNts) . . n». 0,5 0 _____________™_„_™ 6mois n«. 2,00 C~1 • i 1 H J. I A I N NECROLOGIES, Ut ..... M , 1, 00 I LA GRANDE l18ne F» °"n~ . _ 1 an . fb. 3.50 v entes, avis dssocltrf» itt f», 0. 50 i la petite '«. o.so Chaque semaines^ 4à 8 pages On tra'ite à forfait On devrait les Pendre ! ! L'accapareur de farine d'Etterbeek ; pourquoi court-il ? — 30 000 kilogs de charbon caché. Les viandes accaparées. — Une affaire à Ixelles- — Les tribunaux se montrent sévères. Justice se mmaire. La piGraillé Pillpis L'accumulation hebdomadaire, dans nos colonnes, des empoisonnements, vols, recels, malversations, détournements et autres méfaits ayant pour champ d'action l'alimentation publique, produit une impression invinciblement douloureuse, I.a philosophie la plus sereine, I indulgence la plus large sont piises de court devant les initiatives des écumeurs de la misère, corbeaux des arrière-fronts dont les butins font songer aux fleurs des cimetières. C'est par un effort d'esprit seulement qu'on parviendra à s'expliquer ce qu'on pourrait appeler, en déformant fort peu une locu tion fameuse, la sélection de l'immondice : seize lustres de vie paisible, huit lustres de prospérité totale ont dirigé trop d'ambi tions non vers le perfectionnement moral mais vers le mercantilisme et la thésaurisation. Des habitudes de confort, de jouissances matérielles, de luxe même ont amolli les caractères mal trempés et rem placé tout noble idéal par le déplorable « Enrichissez-vous ! » de Guizot. Explication de pis aller, simplement. Et l'on comprend trop les inquiétudes de ceux qui craignent, pour plus tard, un abaissement général du niveau moral. C'est que, il faut bien le reconnaître, la fange qu'on s'est donné ici la misson presque surhumaine d'assainir, semble s'étendre chaque jour. Au début des événements, les boulangers furent anathématisés pour s'être hâtés de spéculer sur l'affolement des clientèles ; les bouchers les remplacèrent bientôt dans le mépris public ; les maraîchers, les « paysans », tous plus âpres que l'âpre Buteau, supplantèrent alors les bouchers; puis, en un défilé sans solution de continuité, tous les autres facteurs de ce que l'économiste appelle la subsistance, — charcutiers, épiciers, grainetiers, liquoristes, savonniers etc., — passèrent sous les crachats, s'essuyèrent en souriant et poursuivirent leur route dans une sonnaille d écus; en arrière garde s»mbre vinrent les charbonniers cherchant sur les pavés glacés les ronds de métal et les papiers illustrés non encore radiés par les autres tandis que, tourbillonnant autour du cortège, les courtiers marrons faisaient les poches des curieux. Au hasard des incidents quotidiens, le dcfllé repasse, soit que les boulangers aient incorporé de la sciure de bois dans leur mastic, soit que des bouchers aient demandé la suppression des pondératrices boucheries communales, soit encore que de nouvelles et somptueuses charcuteries flamboient dans tous les-quartiers du centre, soit enfin que des courtiers contagieux aient plus ou moins facilement corrompu de besogneux commis de l'alimentation Trop longtemps, les malfaiteurs ont joui de la tolérance ou de l'apathie des autorités politiques qui ne se sont, de çi de là, mises en- branle que sous l'aiguillon de l'indignation publique; encore se montrent-elles souvent pusillanimes et leur chàti ment sera, dans l'avenir, d'être soupçonnées toujours de n'avoir vu, dans les forbans, que des électeurs pluraux. Eh ! bipn, malgré l'apparent triomphe des écumeurs de la misère, malgré la déification du gain quel qu'en soit l'origine, nous ne croyons pas que les colères des exploités s'aggravent de jalousie et favorisent la contamination générale de la population ; nous ne croyons même pas à la contamination de toute la population trafiquante, Pour d'aucuns les inquiétudes, pour la plupart les engoisses que provoque le problème de l'alimentation, retient obstinément les attentions vers tous les faits, tous les épisodes, toutes les manœu vres qui en rendent la solution plus ardue chaque jour. Le sentiment public n'a plus d'émois que pour les défaillances. Pour tant, dans le sombre tableau que nous dressons chaque semaine des fruclueuses turpitudes environnantes, on aperçoit quelquefois un petit coin clair; il y est parlé d'un homme brave qui défie la coalition des cupidités déchaînées ou d'un brave homme qui fait sans emphase son devoir d'honnête commerçant ou de citoyen compatissant Et si ces petits coins clairs ne sont pas plus nombreux c'e^t que le désintéressement, la probité, la générosité, le dévouement fuient volontiers la publicité; la curiosité ou la gratitude populaire ne peut attenter à la modestie des hommes de cœur car elle n'est alimentée ni par les initiés qui redoutent des comparaisons pour eux désobligeantes, ni par les mandataires dont la discrétion est un devoir professionnel. Il ne faut pas qu'on l'oublie : au dessus des caractères qui su soul as lits rayonnent, en plus grandjnombre peut être, des caractères qui se sont ennoblis. Sans parler de ces légions d'organisateurs de fêtes ou concours dont un peu de notoriété éphémère rétribue l'activité d'ailleurs efficace, on pourrait rencontrer une multitude de citoyens qui pratiquent la solidarité comme un apostolat; mais il faudrait scruter l'anonymat des lettres de réponse aux appels d'QEuvres de détresse, percer le mystère des carions aux correspondances confidentielles, savoir lire entre les lignes des rubriques de charité dans les journaux. En attendant que les voiles puissent être levés — s'ils doivent l'êlre un jour — il serait salutaire que chacun réagit contre la nausée provoquée par les mercantis patentés ou équivoques en colportant le récit des belles actions qu'il viendrait à connaître; un peu d'indiscrétion même ne serait que faute vénielle'. Et nous regrettons ici de recevoir trop de matériaux pour l'érection hebdomadaire de notre pilori et pas assez, alors qu'ils existent, pour le faire surgir d'un parterre de palmes d'or. Les accapareurs de charbon ! Nous sommes étonnés que les autori tés n'aient pas encore fixé les prix de vente du charbon comme cela a été fait pour beaucoup de pronuits. Voilà un mois que des accapareurs de charbon exploitent le monde eties autorités laissent faire. En Bourse des courtiers marrons, les tristes intermédiaires entre les accapareurs et les ma heureux qui sont sans combustibles, rodent de tripot en tripot cfïrant du charbon... en échange de sucre, riz, etc. Voilà un mois que ces tristes personnages, devenus les hommes de paille des ' accapareurs de charbon offrent du charbon à 120 et i5o francs et même 200 fr., et la police laisse faire... On demande à cors et à cris la réquisition des stocks qui sont en mains d'accapareurs et personne ne b^uge. Si un miséreux est surpris offrant des pommes de terre à 70 centimes il est coffre ! Si un cultivateur vend son beurre à i5 francs il est coffré ! Pouiquoi ne pas coffrer sans pitié le marchand de charbon qui vend son charbon à 90, 100, 120 ou i5o fr., et plus ? Pourquoi ? et qu'attend on pour empêcher ces grands voleurs de continuer leur sale métier ? Les charbonniers honnêtes semblent d'accord pour vendre le charbon au prix maximum de 70 francs les 1000 kilogs. Que la police verbalise donc à charge de tous les autres* Trafiquants d'un nouveau genre. Nous signalons à la police les trucs de certains clients des marchands de charbon, Ils font la file et revendent leur charbon au double. On nous signale une famille composée de cin personnes qui a fait la file lors de la distribution chez un marchand de la rue Félix Bovie. Ils ont donc reçu c'nq seaux de 10 kilogs soit pour 3.75 francs. Ces cinq seaux ont été immédiatement versés dms un sac et revendus rue de l'Orge à 6.5o francs les 5o kilogs. On ferait bien d'étab'ir un contrôle sévère et si l'on parvient à pincer ces accapareurs d'un nouveau genre, espérons qu'on les puDira sévèrement La viande accaparée. On a pu lire ces jours derniers les avis des spéculât urs : faites vos provisions de viandes salées ! ! ! N'en faites rien, la viande fraîche ne manquera pas. La vérité c'est que grand nombre d'accapareurs, c!e spéculateurs ont fait saler des quantités de viande et qu'ils voudraient bien les écouler. Nous voyons là une manœuvre des accapareurs et ncus la dénonçons avec l'espoir que la police va fourrer son nez dans les réserves de viandes accaparées, Nous connaissons des endroits où des milliers de kilogs sont entassés attendant la pénurie de viande fraîche pour pouvoir alors nous voler à l'aise. Va-t-on laisser faire ? Va-t on attendre qu'il soit trop tard ? Ménagères ! N'achetez pas de viandes salées ou fumées, ne faites pas le jeu des affameurs du peuple. Stock de charbon caché. Nous signalons à la police d'Etterbeek qu'un grand stock de charbon a été remisé dans les environs de la place St-Pierre par un particulier d'Ixelles. Ce stock attend les offres de 100, i5o ou peut être bien 200 francs les 1000 kilogs. Si la police voulait nous demander des précisions nous pourrions lui en donner. Si une enquête est ordonnée et faite par un policier adroit, on ne saurait tarder à découvrir la cachette. A BRUXELLES Les accapareurs de la rue Pletinckx. Condamnations sévères. Un négociant de la rue Pletinckx, le sieur Léopold T..., sa maîiresse Flore D... et la sœur de celle ci Romanie D. . formaient un tii'oqui faisait le trafic du riz et des haricots. Les deux femmes faisaient pour le premier le raccolage des marchandises. L'une avoue, l'autre nie bien que l'instruction démontre sa culpabilité. Ces trois peu intéressant personnages ont comparu devant le tribunal correctionnel. M. le substitut Orts, requiert une condamnation exemplaire peur T... c'est un accapareur dangereux dit l'honorable organe de la loi et vous le condamnerez sévèrement. Le tribunal rend le jugement suivant : Léopold T... 1 an de prison avec arrestation immédiate. Flore D... 4 mois de prison. Romanie D,.. est ac.juitée. Bien jugé. A IXELLES Une grosse affaire Le Parquet s'o cupe en ce moment d'une grosse affaire d-accaparemeut qui aurait été découverte dans les environs ' de la rue Lesbroussart, Le principal cou-• pable un nommé M... est en fuite, son complice a été arrêté. Le signalement de M... a été transmis dans toutes les directions; il ne tardera pas à être arrêté; nous attendrons quelques jours pour donner sur cette nouvelle affaire des détails complets.Il s'agit, nous assure-t-on, d'un stock i considérable de marchandises accaparées.Correspondance. Monsieur le Directeur du journal L'Echo, E/V. L'on nous communique aujourd'hui votre journal du 18 de ce mois, Nous croyons être suffisamment visés par votre artic'e ayant pour titre : Un accapareur de charbon pour exiger un droit de réponse. Nous tenons donc à mettre les choses au point. Loin d'être des acca- [ pareurs nous nous sommes toujours j efforcés de vendre du très bon char- i bon au prix le plus réduit. Nous | avons toujours vendu le seau de 10 kilogs au prix de o,35, 0,40, o,5o, 0.60 et 0,75 centimes, ces augmentations successives justifiées par la hausse constante des charbons à la fosse et par l'augmentation des frais de camionnage. Nous tenons volontiers à votre disposition factures et documents nécessaiies. Il n'a jamais été question chez t ous de vendre du charbon j à 0,90, 1,10 et 1,20 fr. le seau. ( Une petite enquête dans nos environs ; pourrait vous édifier à ce sujet, Ceci établi voici en réalité comment ies clioces c se sont passées. Nous avions donc reçu { un wagon de xo 000 kilogs ce qui, entre c parenthèses, n'est pas un assez grand stock 1 comme vous le prétendez. Nous avions décidé d'en vendre les 3/4 c soit 7.500 kilogs au beau ce qui a été fait. Le reste soit 2.500 kilogs ou 5o sacs devait être livré à5o clients soit à chacun < un sac. Il est logique que le cnent d'une < maison habitant trop loin du magasin et < ne pouvant venir le chercher au seau reçoive également du charbon. A notre avis il est juste que si un client habitant en quartier ou en chambre reçoit un seau 1 le client habitant un grand immeuble en < reçoive au moins un sac. Apiès avoir ] débité 7.500 kilogs au seau nous avons prévenu la foule faisant la file que la distribution était terminée en leur faisant remarquer que ce qui restait était destiné à être tourni en sacs. Des mécontents (il y en a dans toute foule) se sont empressés d'avertir l'Autorité allemande. Cele-ci tout en reconnaissant notie façon loyale d'agir nous a cependant conse; lé gentiment de débiter le tout au seau ce que nous avons fait de bonne grâce. Il résulte donc de tout ceci qu'il est faux que nous ayons dit que les pauvres pouvaient geler dans leur mansarde, qu'il est faux que nous ayons voulu vendre du charbon à 0,90, 1,10, 1,20 fr. le seau. Comptant donc bien que vous rectifierez dans votre plus prochain numéro, recevez, Monsieur, nos salutations bien sincères. P. Camus et Cie, M. Camus. Nous avons bien voulu insérer la lettre de M M. Camus et C1® et ce bien que n'ayant pas cité cette firme dans notre journal. MM. Camus et Cie se croient visés et, en raison de leurs protestations qui seront bien accueillies par la population, nous nous faisons un plaisir de signaler au public que M. Camus et Cie ne sauraient être compris dans la sétie des accapar urs j A KOEKELBERG L'affaire de la chaussée de Jette. Le jugement. Depuis quelque temps le nommé Charles S.... de la chaussée de Jette achetait du riz provenant du Comité d'Alimentation. Cet individu avait annoncé dans des cabarets de son voisinage que les personnes désireuses de céder du riz pouvaient se rendre chez lui. Il est malheureux de constater que beaucoup de personnes vendèrent leurs rations de riz à cet individu à 1e solde i'un grand receleur. Le prix d'achat pariait suivant les exigences ou quantités ie 2.5o à 3.00 francs. La police eut vent de la chose et établit me surveillance et bientôt notre accapareur était pincé et arrêté. Au moment de son arrestation il fut :rouvé porteur d'une somme de 5.232 fr... L'instruction a été menée très rapide-Tient vico 1 Uv> c.uuxpcci<n re levant ses juges. 11 avoua son ignoble rafic et sur réquisition de l'honorable ;ubstitut du procureur du Roi, il a été ;ondamné à 1 an de prison avec arresta-ion immédiate. Bravo ! A ETTERBEEK L'accapareur de farine ! Pourquoi n'est-il pas arrêté ? Nous avons parié d'un particulier qui l été conduit au commissariat à la suite le la découverte dans son camion de -5o kilogs de farine. Il n'a plus été inquiété alors qu'il aurait lû être conduit au Palais de Justice pour ;tre mis à la disposition de M. le juge l'instruction Devos chargé de toutes les iffaires d'accaparement. Cet individu devrait être arrêté et con-luit en prison. Qu'en pense M. le Procureur du Roi ? Quant à nous nous enquêtons et nous •royons bien être à même de donner sur :ette affaire des détails extraordinaires lans quelques.jours. Un fait inouï ! Lundi dernier, à 9 heures du matin, >lace Jourdan, un particulier vendait du :harbon à i5 francs les 100 kilogs ! ! ! >lusieurs personnes indignées signalèrent :e vol odieux à l'agent de service qui épondit ne pouvoir intervenir ! ! Il faut iller au bureau dit-il 1 Mais pourquoi :st il donc là, Monsieur l'agent? Oui >ourquot est-il posté sur la voie publiée ? N'est-ce pas pour mettre la main ,u collet des ignobles acc.iparsurs ? Est-:e qu'il paye son charbon à i5 francs les 00 kilogs? Non «'est-ce pas! C'est ce [ue lui fit remarquer la fouie ameutée t enfin on vit le charbonnier accapareur, xploiteur, prendre le chemin du coin-nissariat, où M. le commissaire lui aura ans doute dressé procès-verbal tout en ui confisquant son charbon. S'il n'en l'a pas fait ainsi nous n'y comprenons ien. Mieux que cela, nous osons croire que et accapareur aui a été arrêté et conduit, aenottes aux poings, à la prison de St-ïilles ! Nous esperons que M. le commissaire voudra bien donner des instruc-10ns aux agents afin qu'ils sachent pour avenir qu'ils doivent réprimer l'accapa-ement avec toute l'énergie dont ils isposent. L'attitude de l'agent de servi-e lundi lorsque ces faits se sont passés, évoltent les consciences. ^ Un propriétaire inhumain. A propos de cette affaire, nous prions iOtre correspondant de nous donner plus * détails, çï de nous, iwiiqpss surtout. 1«,

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