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s.n. 1918, 29 Juni. L' illustration. Geraadpleegd op 19 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/br8mc8s32q/
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du droit, sa soif de liberté, la somme d'énergie qu'il peut mettre indéfiniment au service et au triomphe de son idéal. * ** Cette découverte totale de l'Amérique, sommes-nous seuls à la faire ? Non, et heureusement ! L'Allemagne, de son côté, d'une autre façon, avec d'autres yeux, et d'un autre cœur qui pal pite déjà de sentiments tout opposés, commence, elle aussi, à en subir l'intolérable obsession. Elle n'est pas au bout. De plus en plus elle apprendra ce que c 'est que les Etats-Unis « sans armée » qu'on peut braver impunément! Il lui coûtera cher d'avoir dérangé du business ce peuple qui ne pardonne pas qu'on lui fasse perdre une minute de son temps. Elle en pleurera, pendant plus d'un siècle peut-être, des larmes de sang et de feu. , Et puis, par réciprocité, l'Amérique, l'Angle-3 terre, et combien d'autres, parmi les nations 3 qui nous aiment — sans excepter celles qui nous s abhorrent et que nous combattons — décou-i vrent de leur côté, pour ses mérites, son hé-î roïsme, et ses éternelles vertus, honorées par-3 fois un peu tard, cet autre Nouveau Monde qu'on appelle la France! 3 Henri Lavedan. LES COLONIAUX ET LA DÉFENSE DE REIMS (MAI-JUIN 1918) Au cours de l'offensive déclanchée le 27 mai sur le Chemin des Dames, une des grosses déceptions des Allemands fut de ne pouvoir s'emparer de Reims. Cette ville, sur laquelle pendant près de quatre ans ils se sont acharnés de leurs obus incendiaires, c'est à leurs yeux l'un des symboles de la France immortelle: la France chrétienne avec saint Rémy, la France guerrière avec Jeanne d'Arc, la France laborieuse avec Colbert. C'est aussi pour c-ux la ville aux multiples richesses, la cité productrice de ce vin de Champagne cla'-, .ai et pétillant comme de l'esprit français, et ils la convoitent de toute la force de leurs appétits gTossiers. Dès le 29 mai, les Allemands espèrent voir tomber Eeims entre leurs mains, comme un fruit mûr, sous la pression de leurs troupes agissant par l'Ouest, le Nord et l'Est de la ville. Devant la résistance qu 'ils éprouvent, ils ne dissimulent pas leur désillusion: une note officieuse, parue dans la presse allemande, raille même cette « résistance à la manière de Don Quichotte » qu'osent leur opposer « des nègres du Sénégal et de Madagascar »! A la vérité, dans ces .-jours critiques, la ville et ses abords ne sont pas défendus uniquement par des troupes noires. Des unités de toutes armes coopèrent à cette œuvre magnifique, et il faut les réunir sans distinction dans le même hommage d'admiration. Néanmoins, puisque, de l'aveu même de nos ennemis, les troupes coloniales ont une part prépondérante dans la défense de Reims, il est juste que soient relatés les nouveaux exploits de ces unités d'élite. * ** Avant l'offensive du 27 mai, le front français couvre Reims suivant une ligne orientée du Sud-Est (Prunay) au Nord-Ouest (Berry-au-Bac). A partir de ce point, il s'infléchit franchement d'Est en Ouest, courant le long du Chemin des Dames, et cette longue arête aux flancs abrupts semble constituer pour la ville et la région de Reims une position de couverture inexpugnable contre une attaque venant du Nord. Mais le coup de bélier formidable lancé par les Allemands le 27 mai oblige à se replier vers le Sud les troupes françaises et britanniques qui tiennent le Chemin des Dames et les deux rives de l'Aisne aux abords de Berry-au-Bac. Dès le soir même, la ville de Reims n'est plus couverte face au Nord-Ouest que par le massif de Saint-Thierry.C 'est une de nos vaillantes divisions d'Algérie qui tient cette partie du front. Attaquée simultanément par l'Est, le Nord et l'Ouest, elle fait tête "vigoureusement à l'ennemi, tandis qu'à sa gauche les troupes britanniques, bousculées, se retirent sur la Vesle. Que le mont Saint-Thierry tombe, et les Allemands, en quelques heures, sont aux portes de Reims! L'énergique résistance de nos zouaves, de nos tirailleurs algériens, de nos Le front de la défense française de Reims « joyeux », au cours des journées du 27 et du 28 mai, va donner au commandement français le temps nécessaire pour barrer à l'adversaire la vallée de la Vesle et organiser la défense de Reims et de la montagne de Reims, face au Nord-Ouest et à l'Ouest. C'est au général M... qu'incombe cette rude tâche. Issu des troupes coloniales, il en a partagé tous les périls et toutes les gloires dans la campagne actuelle comme au cours d'une longue carrière aux colonies: il peut tout demander à ses hommes qui savent combien il est ménager de leurs fatigues et de leur sang. Mais il faut à tout prix boucher la trouée qui s'ouvre à l'Ouest de la ville. Ne laissant face à l'Est, entre Reims et Prunay, où une attaque en force ne paraît pas encore imminente, qu'un minimum de troupes absolument indispensable, le général M... dirige à marches forcées, vers l'Ouest, tous les bataillons de marsouins et de Sénégalais rendus ainsi disponibles. Organisés hâtivement en unités de marche, c'est-à-dire réunis sous un commandement improvisé, privés de leurs moyens habituels de liaison et de ravitaillement, ces bataillons sont jetés dans la mêlée, au plus fort de la bataille, dans des conditions assurément défectueuses. Qu 'importe ! L'ardeur des chefs et l'enthousiasme des hommes sont tels qu'aux premiers jours de 1914, et tous sont animés du plus bel esprit de sacrifice. Les voisins se replient: il ne faut cependant pas que le Boche passe, que la trouée s'élargisse. Chaque bataillon étend alors son propre front au maximum, et « chaque bataillon », cela veut dire « chaque compagnie », « chaque escouade », cela signifie que chaque homme dans le rang se multiplie, fait face à droite, à gauche, parfois en arrière, et est bien souvent entouré de tous côtés par des adversaires opiniâtres dont il ne se débarrasse que par une lutte corps à corps. Dans ces combats acharnés, les unités se mélangent très vite; des groupements s'improvisent, sous les ordres du chef ou parfois du soldat le plus énergique. Et ce n'est certes pas une des choses des moins curieuses de la guerre (ni des moins touchantes). que de voir accolés sur le champ de bataille, combattant côte à côte et pêle-mêle, des Sénégalais, des territoriaux, des sapeurs-mineurs ayant troqué la pioche pour le fusil, des marsouins, des cavaliers pied à terre, des fantassins de nos régiments de ligne ou des bataillons d'infanterie légère d'Afrique, des tirailleurs algériens, des zouaves, — toutes les races, tous les âges, toutes les armes... toute la France! Mais la plupart de nos contre-attaques sont vaines ; l'ennemi amène sans cesse de nouvelles réser*'&s, qu'il pousse droit devant lui sans se soucier des pertes. Déjà, par la vallée de l'Ardre, il s'infiltre et menace à revers nos positions de la montagne de Reims. Tout en retraitant pied à pied, nos troupes sont contraintes d'abandonner du terrain pour éviter l'encerclement. Le 29 au soir, nous tenons encore Rosnay, Gueux, où dort de son dernier sommeil le général Baratier, l'un des héros de notre épopée africaine, Thillois, Champigny, la Neuvillette, ces riants villages de la banlieue rémoise. Le 30, après de durs combats et de violentes contre-attaques de notre part, toutes ces localités restent à l'ennemi. La situation devient critique. Et aucun renfort n'arrive. Il n'y faut pas compter. Chacun le sait, le comprend: si douloureuse à nos âmes que puisse être cette pensée, ce qu 'il importe de sauver avant tout, ce n 'est pas Reims, c'est Paris. La cathédrale du Sacre, déjà si meurtrie, sera peut-être l'otage qui épargnera la souillure du Barbare à Notre-Dame de Paris! Voici que les Allemands atteignent les faubourgs Ouest de la ville. Mais, dans la tristesse de nos cœurs, la grande voix du général en chef s'élève. Le 31 mai, il crie: « Halte-là! Reims sera défendu jusqu'au dernier homme. Il faut tenir. » Nos soldats décimés, épuisés par une lutte ininterrompue de quatre jours, répondent à cet appel. L 'ennemi n 'avance plus d'un pas. * ** Cependant, depuis le 29 au soir, les Allemands considèrent la chute de la ville comme imminente. Sur les différentes parties du front, ils multiplient leurs reconnaissances; l'une d'elles, aux abords du fort de la Pompelle, laisse 35 prisonniers entre nos mains. Dans la soirée du 31, une patrouille de chars d'assaut essaie de pénétrer dans nos tranchées à l'Ouest de Bétheny; assaillis à coups de canon et de fusil, un char reste désemparé sur le terrain, les autres regagnent précipitamment leur base de départ. L'ennemi décide alors de donner un assaut général, le 1er juin, par l'Est, l'Ouest et le Sud-Ouest de la ville, afin de couper les communications des défenseurs de la place, et de cueillir ainsi une garnison importante et un gros butin. La journée débute, dès 1 h. 30, par un bombardement d'une extrême violence, comportant une forte proportion d'obus toxiques, sur tout le front compris entre la lisière Sud-Est de la ville (parc Pommery) et les abords Nord-Est du village de Sillery, et englobant par conséquent le fort de la Pompelle. A 5 heures débouche sur ce front une attaque d'infanterie menée par huit ou neuf bataillons. D'après les ordres et croquis tombés entre nos mains, et les interrogatoires de prisonniers, l'objectif de cette attaque était de nous rejeter sur la rive Sud de la Vesle. Dans ce but, elle devait être appuyée de quinze chars d'assaut bavarois. Sous cette avalanche, nos premières lignes fléchissent en certains points; le fort de la Pompelle est entouré par l'ennemi. Mais la garnison, renouvelant un exploit déjà accompli le 1er mars dernier par une unité du même régiment colonial, s'enferme dans le réduit du fort, décidée à périr plutôt qu'à se rendre. Pendant ce temps, des contre-attaques s'organisent. Bousculant les assaillants, à qui leur mordant et leur ténacité en imposent, les coloniaux reprennent morceau par morceau les tranchées d'où ils ont été tout d'abord refoulés; la garnison du fort est délivrée. Les Allemands, disloqués, essaient de rejoindre leurs propres lignes: notre artillerie les prend à partie dans ce mouvement de repli et leur cause des pertes cuisantes. Un grand nombre préfèrent se rendre. Quant aux chars d'assaut — dont plusieurs sont d'anciens tanks anglais^ ou des copies fidèles — huit seulement sur quinze peuvent déboucher des tranchées allemandes. Leur insuccès est complet. Nos marsouins ne se laissent pas intimider par leur apparition. Un sergent s'écrie: « Voilà les Boches qui nous attaquent avec leurs roulantes! » On rit, et nos mitrailleuses, nos canons de 37, nos fusils mettent à mal ces monstres qui bientôt s'arrêtent, démolis par notre feu, ou essaient en vain de revenir en arrière. Aucun n'y parvient: tous restent sur le terrain, dont trois dans nos lignes. L'ennemi laisse de plus entre nos mains 230 prisonniers dont 7 officiers, une trentaine de mitrailleuses et du matériel de toutes ^ sortes.^ Conduite avec de gros effectifs et des moyens matériels puissants, 1 attaque aile mande échoue grâce à l'excellence de nos contre-préparations d'artillerie (car, dans tilrt — n 3930 l1llus.that1un 149 Jui*. ISJlf*

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