La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

3007 0
06 februari 1916
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1916, 06 Februari. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/ht2g738k7x/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Dimanche 6 Février 1916 JOURNAL QUOTIDIEN. — JL.3 Numéro : ÎO Centimes I.. I ... I il I Hllllll ■! llllUMIIlal lui il M 2"" Année. — N" 445 LA BELGIQUE PRIX DES ABONNEMENTS : Oétix TDOls (février, mars), fr. 4.60 | Un mois (février), fr. 2.30 Le* demandes d'abonnement sont reçuos EXCLUSIVEMENT eux guichets des bureaux de poste. \ ADMINISTRATION ET RÉDACTION Sis, Montagne-auic-ïïerbes-F'otacrèi'es, SHUiXELZiEB BUREAUX : DE 9 à 17 HEURES A Jos. MORESSÉE, Directeur ' Petites annonces . . * . i'i la ligne, fr. 0.40 Réclame avant les annonces — 100 PRIX DES ANNONCES Corps du journal . . . , .' - 4.00 i Faits divers — 3.00 l Nécrologie — 2.00 Aujourd'hui : HUIT pages. LA GUERRE 552° jour de guerre Les dépôches s© répètent. Dans l'Otuest, ailes continuent à relever l'activité die l'artillerie et la fréquence des combats à coups de grenades et de mines. Smo.* le front djans l'Est, quelques escarmouches entre patrouilles de reconnais samee, d)es bombardements locaupc eb cite exploits <Faviateurs sont les seuls1 faits si gnalés dtepuis que l'offensive des llioiéset dans l est de la Galicio a pris fin. Np étaient des manifestations' d'actàvit assez fréquentes1 de l'artillerie, le calme se raie complet la long1 (tu front austa'O^ita dieu. Les opérations, y restent languissante: tant à cause d» la mauvaise saison que cfl la lassitude provoquée par les dernière grandi batailles sur l'Isonao. Les Autrichiens continuent à s'avance sur Duraz&o aans rencontrer jusqu'ici d) résistance. ^ Ils ont occupé Kruja, dont noui avons précisé hier la sittuation-, et lt^ur; avant-gardies sont apj>arues s'oit le fteuiv< Isini. Ajuj s'jd du, secteur de Kruja, Msm coule parallèlement et à. 10 kilomètres d* la route de Tirana à Durazzo. C'est dir< que des- combats sont bien près de s'engugefl autour <fe 00 port albanais tant coiuvoité On peut regretter, en revanche, l'absence d^indUcaCioiis susceptîGles d© révéler lem in« tentions des puissances centrales et dos JBud gares à l'égard de Valana, dont la signi fication stratégique est encore plus notable Les dépêches restent mu,ettes o.ussi' ep c< qui cooïceiTie Salonique. * ♦ * Depuis le» récents progrès qui ont porto les lotisses dans la. région do Tortuim et i l'est d* Eîrzerroum, les opérations dJans 1< Caucase ont repris l'allure do gtaerrej dv tranchées qu'elles avaient invariablement oon-servée depuis un an. En Mésopotamie, le généra} Torçvnsfântl est toujours1 enfermé à Kut-el-Amara. Les troupes envoyées à son secours, après avoil livré de sanglants combats, restent immobilisées en présence de forces ottomanes importantes à 40 kilomètres à l'est da Eut. On atfwnd sans doute de part et c^auitre, pour re^e-iidre la lutte, de nouveaux renforts et une amélioration: des conditàomfil cil-matériques.Pour finir, disons un mot de Suez. On ferrait Denté de croire que jamais led Tlirros n'ont sérieusement songé à menacer le Canal, si d'une part les vastes préparatifs d'une attaque de cette route maritime e dPauftro part les grondes précautions mise? «n cauivre pour la défendre ne faisaient, ai contraire, admettre que tôt ou tard s'enga gérant ea Egypte des opérations militaire» térieuses ayant le Canal pour principal ob OMS LES BALKAM3 X&tlonique, S février : Les autorités françaises ont fait miettix lês scellés ,sur l'Aohilléon, 'le parais d< l empereur d' Allemagne à Oorfou. Ils our décidé dfétablir l'ambulance serbe da,n,sf les annexes. Vieiane, 4 février : ; On mandé d'Athènes au „Neues Wienec Abandhlatt" que le gouvernement grec î demande au gouvernement italien de rap peler rm médiateanent la commission) îta Lienue qui avait été chargée de réorganise ta gendarmerie grecque. On déclare à Athènes que cette commis lion se livrait} à l'espionnage. Salonique, 3 février ; I Le général Sarrail a fait arrêter m frand nombre de juifs, ce qui a amené des protesta fiions du grand-rabbin. D'autre part le directeur du journal ,.jNea-Alithea", ains. quo toute la r&taction et le personnel des du journal „Elcsteia", ont été fai| prisonniers. Sof'ija, 3 février : . ^^ow, au cours d'un' entretier «ccord'é à un journaliste, a déclaré que la Rituamon était favorable en (Bulgarie ei que les relations de la Bulgarie et de ^ Roumanie ne se sont pas modifiées. Paris, 4 février : ' D'après cfca nomellcs d'Athènes, la vilfc Ourazzo a été fortement endbmmagéc par les bombes qu'ont jotées les aviite»K autrichiens. L>mio d'elte a fait (Kplosion dajiô urne maison où se trouvaient des o?fi ciers serbes. Vin-gt ont été tués. Le prince héritier Ales/indre était, dans la ville pendant le bombardement. Athènes, 4 févrior : Jeudi, le Parlement grec a repris travarax. Un gToujje de députés a proposa cTc^ivoyer aux parlements de l'Entente e a.ux parlements des pays neutres une pro testation contre les violiirions permaneuxteî do la neutralité grecque. On dit) que le commandant du fort di KaranBurau, près do Salonique, comparai Ira devant un conseil de guerre pour n< |)h9 s'ôtre opposé au débarquement d<^ troupes françaises. Bucarest, 5 février : j On mande de Tucea à l„Universul" ;< 1 ' — Dans l'après-midi du 1er février, le vapeur „Trajan" et le navire „Ghairghe"1 battant pavillon grec, qui venaient de Ga. latz, ont été arrêtés dans le Danube», près de Reni, par une canonnière russe. Celle-ci ;a invité les deux navires à se rendre à Boni pour être visités. Les deux navires «e sont enfuis alors vers la rive roumaine du fleuve et. la canonnière russe les a poursuivis dans les eaux roumaines eb a ®xigé leur retour à Reni. Enfin, la canon--nière a emmeu-é de force l'équipage du ,,Gheorgher" et n'a remis les hommes en tibia-té qu'après une enquête qui a duré plusieurs heures. Les navires ont eneuiie continué leur route. Vienne, 5 février : faumkuox aptprennetxt de gouroe bien Jnrocosée que les négociations (Je paix avesc le Monténégro, où d'ailleurs le calme es-absoiu et où la population se montre po-dj venante enivers les troupes austro-tu^ groisesi, n'ont pas encore commenoé et nj pourront être entamées que lorsque les personnalités intéressées seront à même d< justifier des pouvoirs nécessaires. En ce moment, ni le prince Mirko, ni les trois ministnes restés au Monténégro avec lesquels le commandement supérûeua autrichien- entreront d'ailleurs de bonnet rétamons, ne sont investis de pareils pout voirs ; il ne peut être question de négocia i tion de paix maintenant. Paris, 5 février : ^ jf On mande de Salonique que tes Allies ' ^>nt commencé à occuper l'île d!e Crèteu De« détachements' dk3 la marine ont) déjà. ést< ' ij^barqués sur plusieurs points. SUR f¥SER MeBtîângue, 3 février, : Le paquebot ,,M.eeklenbourg'' a ramené er Hokanxie quarante! - sept hommes de l' équi page de la „Princesse Juiiana", qui a tout chë une mine récemment. Le capitaine, lei officiels, le premier machiniste et qjojaUiiiiei matelots son«fc restés piès du naviire, quu l'eau, envahit de plus en plus1. Londjos, 3 février » A Plymouth sont arrivés le capitaine e vingt-cinq hommes d'équipage dui vapeui anglais' ,,>Woodftetid", qui a été atttaquîéj, 1 3 novembre, à 40 milles de Gibraltar, pu un sousi-marin allemand. Après un comba qui a dhitré deux heures et) au cours dîuquie les chauffeurs arabes dîu- „Woodfieljdi" on refusé de continuer leur travail, l'équipagi est descendu dans les canots de sauvetage Le vapeur a été alors torpillé. /UonJrea, 3 février : / Le chalutier „King Stephen", qui est ar 1 rivé à •Grïwsby, rapporte qu'fl a rencontre 1 mercredi matin, dans la mer duj Nordi, 1 | zepjxeiiu: „Lr*l'J" flottant sur l'eau et ayan : sa nacdlle d» une partie de son euveiopp immergés.. L'équipage, qui se composait.,d dix-sept à vingt personnes, a demandé ; ôtre recueilli. Comme les hommes dkii zejp ! pelin étaient pîius nombreux que ceus. qu &e trouivaielutt à bord dtu chalutier, le ca pitaine /de ce dernier a refusé des fair ch'oit à la demande des naufragés1 et es retourné immédiatement à Grimsby potua j^^e^ rapport aux autorités de la maime. /Londres, 4 février : Le „Daily Mail" raconte que le chalutier anglais a rencontré le „L»19" i 120 milles de Spiuriihead, à l'ouest d'Ame land. Les Allemands ont offert cite Large»! , i an chaisier pour qu'il les sauve; mais comme il y avait vingt-deux hommes sur 1< dirigeable et que des coups do marteau ré vêlaient la présence d'autres personnes en uore à 1 intérieur, le chalutier, qui n'avai .î que neuf hommes dJéquipage, n-'a pas os< bouger. Il a vu le dirigeable mercredi ma tin eu a^Jait son rapport Jeu,di aprèa-mii,dft. Tokio, 4 février : Dans l'océan Indien, trois vapeursi japo nais et dieux vapeurs d'une autre matdona lité ont disparu. , Tokio, 4 février r j Le journal „Asahî" affirme que le „Kok< ; Maru" a été atfcaqujé par un1 vape^ur « i proximité de Natal. Amsterdam, 4 février : Les journaux américains qui viennen . d'arriver annoiicent que le vapeur „Iluro l n-ian", de la ligne de Leyland, a ébô tdr-. pillé, le 29 décembre, près de la côte îi'îan-. (iaise. Fortement avarié, il a été remorqw ' dans un port. i Londres, 4 février : jf Le gouvernemei-it britannique a charg< a 6on ambassaileur à Washington d^oeuvrai une enquête sur la provenance du navkt î&llemand Mgwe et de son équipage. , fr'mvTpprt-News, 4 février : | ; Tous les Anglais ont quitté l'^Appam*' | hier soir. Il ne reste plus que des Aile E mands à bord. Old Point Comfort (Virginie), 3 février : Neuf passagers de nationalicé anglaise qui étaient à bord de l'„Appam." viennieti de débarquer. Ils ont déclaré que le „Mowe' était non seulement aimé de canons, mai encore de deux tabès lance-torpiUes. Tous reconnaissait avoir été biien traités. Ils on un peu souffert du manque de vivres, muii l'équipage de prise en a souffert cotami eux, et cette pénurie ne s'est vraiment faà sentir que pendant les deux derniers jours L'affaire du „Mowe" reste toujours un< énigme. D'aucuns pensent qu'il sf'agit d'im naviro marchand déguisé; d'autre» dfiseni quel c'est un nouveau bâtiment. Il avai quatre canons à l'avant ec deux à l'arrière cachés dejipère des plaques mobiles Ci ' acier. Touj? le» passagers qui ont été autorisé | à débarquer sont remplis1 d'enthousiasme i ; propos du vaillant combat livré au „Môwe' ' par le steamer ,t'Clan Mactavish" au moyea de son unique canon ,-j quinze hommes d^ I son équTpogYj ont été tués et de nombrew* autres cait été blessés. Après deux explo sions violentes qui se sont produites à î'in tenejir da steamer, le „Clan Mactavish^' i | coule. Le comlxit avait duré ^us d'un1 demi-lia: ire, et les Allemands y ont misi fi: en lançant dSeusx torpilles, qui toutes cSsaia ont tonché. Le „CUm Mactavish" a donn^ alors die la bande et a disparu quelques mi nutes après au sein des tyots. Londres, 5 février : Une^ dépêche Lloyds annonce que tout une série de vapeurs sont en retard, quel quesHins depuis plus de quinze jours. O craint qu'iiLs n'aient été victimes de sous marins allemands ou du mystérieux croi seur auxiliaire. Il s'agit des vapeurs an glais : ,,Glenariff" (49o tonnes), ,,Mirmmei sea" (539 tonnes), „Initiative" (2,058 tor née), „Benliure" (2J528 tonnes), ,,Satrap: (2,2îM tonnes) et ,,Tynemouth" (2,222 toi: nés). Hon^-Konîg, 5 février : Mercredi, dans la nuit, une collision »'et> prod^uite, à 80 milles de Swatao, entrfl le vapeurs „Lèn>y' et „Daïjin Maru-". O «ferwier a sombré. Vingt et une personnes n ont été sauM&os; cent soixante ont péri. 'j Xtondres, B février : / On annonce Officiellement que lord! Cur-l zon et le général sir Douglas Iiaig ont envoyés en^ mission spéetiale auprès' du^ i toi des "Belges." ♦1 ï" ^ Paris, 4 février 1 Le déraillement du rapide de Calais dans la gare de Saint-Denis a coûté la vie a ■ quatorze voyageurs; vingt autres ont été blessés. ^ ^ ) Luixembouig, 4 février : A façtir du 12 février, l'exportation de s «hevaux est intei'dite. Paris, 4 février î L'agence lia vas annonce que l'interpellation du député Constant a été ajournée „sine die ', après un discours d© M.'Briand. Viennes, 4 février * L Procliainement commenceront, an> ministère . des fiinances, les négociations au sujet, des . propositions faites par la Commission delà i .Bourse au sujet de la réouverture do cejllerci. j - Luxmlîourg^ 4 février : M. Vànnerus, ancien président du Conseil di'Etatr, n'a pu réussir à constituer lq nouveau ministère, par suite des exigences de la droite. La situation devient dquo dû plus r en plus inextricable. i . . ii mamwgagà00g0fFT^^^^ 17 Paris, 4 février : b Le correspondant du „Petit Journal1', à J Madrid s'e^t entret u avec le comte Roina-nones,, président du Conseil des ministres, • qui lui a déclaré qi. • l'Espagne était neu- • tre et qu'elle veut re ')er neutre : tel est lo désir unanime du paye*. ^ ♦ Londre», 4 février : | Le correspondant à Madrid du „Dai]y -Te-\ legraph" a demandé au président du Con-t écil des ministres espagnols s'il était exact 3 qu'un Congrès des Etats neutres 60 réuni- 5 fait prochainement à Madrid. Le comUf Ko-l inanones lui a déclaré qu'il n'en était lien. . Le gouvernement espagnol désira smcère-i. ment la paix, mais il ne croit pas que le . moment soit déjà veau d'intervenir amicale- 3 'menti. ^ • Tokio, 4 février : Toute la presse japonaise commenta avœ irritation les nouveiles mesures prisnis par le gouvernememti américain pour mrayôr • l'immigration japonaise. Elle domaaido au 1 gouvernement de ropondre énergiqu-ment et par des représailles sévères à ce qu'elle ap. 6 pelle une provocation des JEtats-Ulnis. i * f* a Ottawa, 4 février : Iiier soir, un incendie a éclaté dîins la ; salle de lecture du Parlement; les d^psntés | Ço sont sauvés avec beaucoup de difàeultés. 1 -On a réussi à localiser le sinistre. Les dégâts sont évalués à 5 millions de dollarsi. * ♦ * Christiania, 4 février : Le gouvernement norvégien a proposé au . Storting d'abolir provisoirement, peniant U durée de l'exercice actuel, les drojiis de douane sur les' céréales, les farines fâti 1er? pommes de terre. I>a (linrânuVion de re > celtes de ce chef est évaluée à 2 million» < de couronnes. Paris, 4 févrior : * On m-anii!e de Pétrograd au „Temps1" : f ' — La situation en Chine devient de jiur ' ^n jour plus inquiétante. Les consuls ;tapo-na.is ont demandé l'envoi d'une canonnière j au Yangtsekiang, la sécurité djes> étranges étant menacée. Les troupes républicaines avancent de l'ouest de Tsetchnen et da sud dui Yun-! Oan. Elles sont commani'lées par le générai • ^en, chef très populaire, qui a fait sies îjfétudr» miîitaii>es au Japon. U se confirme que les Mongole ont fran-ohi la .Grande-Muraille eb marchent sur Pékin. * ♦ * Pétrograd, 3 février : La ,,Novoïe Vrémia" apprend, de source autorisée que la Douma se réduira le , 18 février. **« Londres, 4 février : On monde do "Pékin au „Daily Tele-t gTaph" : — Tves communications télégra]-hiqueis avec i le sud-ouest de la CÎiine semblent être in-. terrompues-; en tout cas, il est très difficile i «tel recevoir des nouvelles' sur la FiluaCioii ; réelle de cette région. j L'endroit le plus menacé semble être l Tsohungking, où de nombreuses troupes du ; nord de la Chine se concentrent. . , Berne, 4 fevner : l Le „Rund" annonce quel le Cons»2dl fédéral sidsse déenîtera prochainement le mono- > l>ole des sucres, qui entrerait immédiate-l ment en vig^ieur. La taxation de nouveaux prix maxima : sera taite en même temps que le nouveau ï 'pionopole commencera à fonctionner. - ; f Romei, 8 février :* * ■ - ' Un décrei rqval rappelle sous les' dra-i peaux, pour le 7 février prochain, les hom-ï mes envoyés en congé illimité dis la pro-i pi ère etîj d,e la deuxième catégorie d«aâ clas-: èes suivantes : j j Années 1891, oava.lterie; aunées1 1892 à ■ 18S4, génie et pontonniers; années 18S2{ à 1S85, troupes du génie an courant dws tra-: vaux dans les lagunes. Enfin, les hommefl de la troisième catégorie de,l'année l88l, ^ compris les: troupes de la marine; pour ci dernxèrcK, la. dato de îmtrée n'esti pas en 1 core fixée. , • * ♦ jf Rome, 5 février : L'agence Stefan i annonce que( le m on tan " total des? SDiiscriplSons à l'^ouprunt» dei gv&iT< , atteint actuellement 2 milliards 625 tn^lious u de lire. Dans cetfee somme sont ooînarisg les souscriptions directes faitjes à la !B<anc< d'Italia et qui s'élèvent à plus de 800 mi lions de lire. f ï Paris, 3 février : 3 Lo oolonel Uousel a été rcJm aujourd'hui i par M. Briand, président du Consail^ et s'est longuement entretenu avec lui1. ygsK3He»iMi ■■■ 'iWji LE BRAS DEjGABlfe '— f La présentation du bras de Carnes au dernier Congrès intornational de chiirnirgie, à Washington, a fait sensation. Cest un bras artificiel qui permet à son propriétaire dé^saïsir iït do tenir dans n'importe quetje position les objets lcjj plus divers. Tanœs qu'auparavant on ne pouvait exécuter ^ue tes mouvements simples faits pan la nfciiu naturelle, et cela d'une façon plus aff^stio que p-atique, il s'agit à présent, dans* le bras œ Carnes, d'un ensemble de} îno^e-mentls transmis avec une force très seauigie de l'épaule à la main. Quand le porieA* de la prothèse a acquis un peu d'habileté, le mouvement de l'épaule est à peine visible.'Le biiBletin do la „ Croix-Bouge" consacre à cette mervoiUe d'ingéniosité un artach que liront tous ceux qu'in ter esse le sort de* mutilés; : — Lo bras do Carnes a éveillé uni intére tout spécial dans les milieux înédiconK et techniques, surtout maintenant qu'il est si important de remplacer, le plus avantageusement possible, les membres qu'ont perdu les soldats afin de remettre ces derniers à même do participer à l'activité de lu société et à lui redevenir -utile. L'inventeur du bras en question est le mécanicien américain Carnes q.ui a perdu, il y il "TfÔRi# ans, le bi«s droit " jnr?lu'au coude. Il essaya de se procurer un bras, ar-i tâficiel, mais il ne parvint pas à trouver ce qu'il désirait. C'est ainsi qu'fl! ctevint inventeur, ses études et ses travaux furent couronnés de succès, succès qui résident dans la création du bras qui porte son nom. Il se forma aussitôt une société pour l'exploitation de l'invention. Elle était composée, en grande partie, do personnes n'ayant qu'une main ou n'en ayant pas» Le point essentiel de la construction-,c'est qu'au repos les doigts sont joints, Omdis qu'ils s'écartent dès qu'on lève le bras. La main a un aspect plutôt artistique; les doigts ne s'écartent pas régulièrement, mais on aperçoit entre eux l'espace que nous voyons entre les doigts de la main naturelle. Lo pouce est organisé de tefle fapon qu'il peut se mettre en contact avec le bou' de l'index. Quand on laisse le bras levé, les doigts se rejoignent- d'eux^m^mes, tëi l'an veut les rapprocher dans une autre) position on y parvient par un mouvement rétrograde de l'éj>a»ule.Il est possible de prendre un porto-plume avec les doigts artificiels et d'écrire de 1» main gauche, dane lé cas où l'on s'y serait etxercé au préalable Les intervalles entre les di«i#ts peuvent servir à différents usages : c'est ainsi qu'on peut frotter une allumette sur sa boîte prendre son portefeuille dans sa poche* ramasser de menus objets et se laver la mair aveo une brosse. Carnes a encore augmenté l'utilité pratique de la main. Fji ©us d^ flexions et extensions du poignet, ne permettant quo -des mouvements rudimentairefe». il a disposé la prothèse de manière à fr qukiUe paisse exécuter un mouvement! tournant de l'avant-bras, ce qui permet la ^<5 nation et la supina<tion, ceci esU d'uni grande importance si l'on veut portier U main au visage ou mettre queflquie chosie etf bomiche. Le bras peut encore rendae d^ Sfrands services en ce qu'il permet dfet porter des objets pesants, laissant ainsi' le bras valide libre. Plus la charge est) lourde», jfiuq la. main se fe»me. Le bras de Carne> a un H va-leur inappréciable pour les sans-ma.ins, il leur permet, non seulement de remplir lt% fonctions quotidiennes de la vie, mais ij lfe& rend aptes au travail. En Allemagne, il ify a actuelentent en usage qu'un bras ootnme celui que nous venons de décrire). Il est porté par un médecin auquel on a dû amputer lo bras gauche pendant la guerre. Oij souhaite que cet appareil se répanâto depbis en plus, lorsqu'on voit comment le propriétaire de ce bras peut l'enlever et le remettre en une minuta, quelle habileté il dî^oie apris si peu d'exercice, eai un mot, l'usage qu'il fa.it, de sa main a.rîfetickilo comme si elle était naturelle sians qu'on putsse s'apercevoir des mouvements de l'épaule. Les Faits du Jour Depuis peu, les Allemands ont organisé des bibliolîièques de guerre ambulantes poui répandre le plus possiole les bienfaits d'une bonne lecture parmi les troupes. L'humour des soldats a baptisé ces bioliotlièques du nom de „canons éducateurs''. Actueilement, il y en a cinq et l'on a l'intention déporter leur nombre à cent. Des voitures do la cour, servant antérieurement à la chasse, ont été pourvues intérieurement de planches pour placer les livres. Chaque voiture contient do l,00l9 à 1,500 livres et uoit pourvoir à la lecture de 20,000 soldats. Il y a aussi une petite cotisation à payer : elle est rembours.-o aux soldats, mais les offi ciers doivent payer 5 pf. par jour et pai volume. a ï X j Extrait d'une correspondance de Londres (signée Armand Josse et adressée à un jour-pn&l beloQ publié en Hollande : —r*Les Belges qui occupaient une situa tion dans ,-lc uiortdè intelh^tuol sont plus ù j plaindre que le3 commerçants ; ils trouvenl difficilement à s'employer. Les Anglais, qui sont pratiques avanl tout, n'ont pîi^ goûté, l'empressement de? amateurs bureaucrates, et- ce sont finalemen les professionnels de carrière qui onttriom phe. Les usines de munirions constituent k dernière ressource de ceux qui ne trouvon rien à faire ailleurs. L'hospitalité de l'Angleterre a des limites les abus aidant, les Comités dont le nom ' bro était considérable liquident et renoncen les uns après les autres à hospitaliser ceuj qui sont capaWes de gagner leur vie pûi . le travail. Petit à pefit on njaidera plui que les vieillards, les femmes et leâonfani incapables de pourvoir à leur existence Après tant de mois de guerre, les fonds di ; PhoOpâbalSté oc-irrfmeaicxyit1 à dVnlhnuef" ; di • plus, sans cesse de nouvelles^ ccoivivs ror jgissêntJ réclamant des scFnscriptions." COMMUNIQUÉS OFFICIELS Communiqués allemands Berlin, 5 février. — Officiel de ce midi : Théâtre do la guerre à l'Ouest. Une attaque de peu d^nporiance, esquissée par les Anglais au sud du canal de La Bass«ée, a été repoussée. Au sud de la Sommai, une attaque à la grenade que les Français avaient préparéo à coups de lance-bombes- s'est écroulée sous le feu de notre artillerie. En Champagne, do môme que contre une ! ; partie de notre ligne de front en Argonne-, - r artillerie ennemie a, hier après-midi, entre-• tenu un feu violent. ' ? Des explosions de mines provoquées par > fles Français sur lo plateau de Vauquois (à * Tl'est de l'Argonne), ont légèrement eadom-, 'magé nos sapes. il î^otre artilleiie a copieusement bombardé ï les portions onnetnios du front des Vosges, ç entre Diodolshausen ot Sulzern. Théâtre de la guerre à l'Est. I Sur le front, aucune action particulière. S a^,a(lllQ 1® fortih- / ^îfîons1 do ï5'unaboû'rgt~ Dans les Balkans. ^1 Rien de nouveau. m* * Vienne, & février. — Officiel d'hier *\ •Front russe. Une escadrille d'avions austro-hongrois a lancé des bombes sur Szumsk, éta^ie russe çituéo à l'est de Kremieniec; le feu a envahi de nombreux bâtiments. / Bien d'autre à signaler; Front itîilien. Sur le front du territoire du littoral, les luttes d'artillerie ont été encore assez vives, \ se propageant à plusieurs endroits de la région! frontière de la Carinthie et du Tyrol. Le château de Duino, atteint en plein par plusieurs coups de l'artillerie eaneuiie, a été , en partie détruit. Devant la tête de pont de Tolmein, la récente entreprise de nos troupes a décidé j i les Italiens à se repîtier sur les versants à l'ouest de la route de Ciginj à Solo. Front du Sud-OEst. Des troupes austro-hongroises opérant: dans le nord de l'Albanie, ont occupé Kru-ja; leurs avant-gardes 6ont arrivées sur les bords do l'Ischmi. Dans le Monténégro, la situation reste calme. En mer. Dans la matinée du 3 février, une escadrille de jçroiseujrs, . . opérant sur la cote çrienfale de l'Italie, a canonné et gravement- endommagé les gares d'Orlona et do San Vitoy plusieurs déj^rôts et une usmcf situés aux environs de ces deux localités,i; ainsi qu'une grue flottante; le pont du chemin de fer, qui franchit l'Ariello, au nor^' d'Ortona, a été démoli. A la suite du bombardement de Pan V ito| on a pu oUsorver des incendies. L'esOriflriUo de croiseurs est rentrée sans avoir été inquiétée.<■ * « ! Constantinoi>le, 5 février. — J^'agence; Milli annonce : î Sur le front de l'Irak, l'ennemi, débou-p oliant do Felahie, a tenté do ])ousser de l'avant avec une partie de ses forces. Dans une contre-attaque, nous l'avons rejeté et forcé 5. se replier sur ses anciennes positions. Sur le front du Caucase, il y a eu, dans différents secteurs, des rencontres entre postes avancés et des combats localisas oui continuent encore. Pas d'autres événements i notables. ,f> t Ccrp.m-Jini^uéâ ides armées alliées _ r Paris, 4 février.— Officiel do 15 heures : i Aucune action importante à signaler au cours do la nuit, si ce n'est dans les Vosges, où les deux artilleries se sont montrées asseiz actives au Braunkopf, dans la vallée do la Fechti Ct à l'Altmatt (nord-ouest de Metzeral). « 4 « Paris, 4 février.— Officiel do 23 heures : Journée relativement calme. Notre artillerie lourda a exécuté des tirs sur une colonne d'mfanûerie et sur des convois? ennemis qui entraient dans llove. Bombardement dos organisations ennemies en Champagne (région dd Tahure et) du mont Têtu), en Argonne (secteur de la Ila-raz^e) et, en Lorraine, sur lo front No-mony-Morvillc.Aucun événement important à signaler sur le reste du front. » * * Londres, 3 février. — Officiel du quartier général britannique : Nous avons efficacement répondu à un violent bombardement de nos positions de Loos et des environs de cette loo;*l,tS. ^ Quelques mines ont explosé, spécialement par nos soins, dans la région où se trouve la redoute Hohenzollern, et entre cette position et la route do La Bassée. * * * Romo, 3 février. — Officiel du grand ,j quartier général : Le 1er février, dans la vallée de Laga-\ rina, nos détachements de reconnaissance, 1 appuyés par le feu de notre artillerie, ont ■ attaqué et dispersé des groupes ennemis au ; ne rd-ouest do Mori. Dans le secteur qui s'étend entro Astico . et Torra, certains détachements autrichiens, , revêtus de manteaux blancs ct appuyés par des mitrailleuses, se sont avancés, dans la ; soirée du 1er. février, contre nos positions ! j du front Cima Norri-Mille-Grobé. Ils ont t î été repoussés par une contre-a!t).ique. Dans la vallée de tSugana, l'activité de notre infanterie a de nouveau amené, entre Roncigno et- Ronchi, des rencontres qui ç; nous ont été favoraMés. Sur l'Isonzo, duels d'artillerie intermit-i tents. Nous avons bombardé -ieis troupe» > ennemies au point do jonction des routes de - f Rusio, au nord-est de Gôrz. I Sur le Karst, dans le seoteur de San Mar- tino, un de nos détachements est entré par surprise dans une tranchée ennemie; il a fait quelques prisonniers et s'est emparé de de fusils et de grenades à main. • * * Pétrograd, 3 février. — Officiel du grand état-major général : Dans la région qui s'étend entre le lac de Babit et la route de Mitau, nos détachements ont franchi les réseaux do fils de fer de l'ennemi et ont tiré sur des groupes de soldats allemands travaillant aux retrait chements. Au sud-est de Riga, une do nos automobiles blindées s'est avancie devant nos travaux do défense et a dirigé son feu contre les troupes ennemies. Elle est rentrée indemne, sous les rafales de l'ar'<Llcr:e ennemie. En Galicie, au nord-est de la gare de Jezierna, sur la ligne Tarnopol-Leniber^, un de nos détachements a fait une attaqu?. f ^ c • tueuse à l'aide de grenades à main. Après avoir détruit le réseau de fils de fer, nos çoldJats se sont emparés d'une lunette; 'les occupants de cette position ont fui, poursuivis par les nôtres. Au sud do la gare do Jezierna-, pendant toute la journée, duels d'artillerie de £ros ot de petit calibre. I Sur le front de la St-rypa moyenne, notre artillerie a descendu un avion ennemi, qui est fombé dans les lignes de nos advcisai-i res \ux environs- de Nowa-Btawze. Si * le Dniester ct sur le front qui s'é'end entre le Dniester et le Pruth, l'ennemi a bombardé nos positions à l'aide de canons do 12- pouces. Sous la protection de c f/u, il a tenté à deux reprises d'avancer dans la région d'Uzcieczko; il a été repoussé cîaaque fois par notre feu. — €> Dépêches Biver3e3 Manchester, 4 février : D'après lo correspondant du .,Manchester Gua-rdian'1' à Londres, le War 0fr.ce n admet aucune limitation dans le recrutjmc.:t et a déjà envisagé 1*instauration du servire -obligatoire pour les hommes mari s e' l'élévation do l'âge militaire. Dans le Cabkiet, A'M. Mac Konna et Tiun-ciman sont les représentants déci'i's de la politique qui consiste à limi.er les efrorts .militaires sur la base des suce's économie ■ques. Aucune décision n'a encore été prise à cet égard. e « ♦ 'Benie, 4 février : D'après leî journaux suisses, lo vol effectué au-dessus de Lugano [Kir un avia'eur 'tal-ien était le premier voyage aérien d'un nouveau modèle de biplan d'une force de 150 chevaux, qui a été construit pour porter trois mitrailleuses. ; * * ♦ Glasgow, 5 février : La polkoo a fait une perqutVs'itiop au „Wonketr", organe de la Fédération ouvrière die la Cl.yde, et a saisi tous les numéros du journal. Les locaux ont été fermés et sont surveillés. Le „Worker" a remplacé le 'journal „For\vard"', qui a été également saisi pr6-cédemment.* * # **-- Washington, 5 février : Le comtq jBerngfe>&£f a transmis à M. I^ân-sing, 6<K<rétaire" cF Etat, la dernière nota afe l'Allomague au sujet du torpillage d'u ,,Lu-\. ^y^yja". # * « • Washington-, 5 février : Lo gouvernement des Etats-Unis a admis l'interprétation de l'Allemagne dans ia cas j de 1',",A|>j3am". ..et a fait, un coinsé>:|u^.ce?/' appli'qipcr le traité américano-prussim. doCails au sujet de l'interprétation dio ce traité doivent toutefois encoi-e ctro réglée. « * * Londres, 4. février : On annonce que, la semaine prochaine, il y aura à- Rome d'3s négoeiatiioas entre les membnes du Cabinet italien et. des représentants des autres gouvernements de l'Etàtbntie. Les rois de Serbie ef; du Monténégro assisteront à cey délibérations avec Lvs présidents de Conseil. On dit que la Fraaicé et l'Angleterre ont provoqué cette réunion. * # 4, Copenhague, 4 février : La. Fédération des patrons danois, réunie en assemblée générale, a décalé d ajourner toute décision au sujet du look-out jusqu'au moment où les négociations avec les aroi-tres nommés par le gouvernement seront achevées. Les oonflits qui avaient surgi parmi les ma/y'ons de la province et les ouvriers des chantiers maritimes ont été terminés grâce aux arbitres officiels. On attend avec impatience le résaltat des tentatives d'arbitrage dans l'industrie textile et dans l'industrie des chemins die fer. La tranquillité du marché du travail au Danemark dépend do la solution qui interviendra. * * * La Haye, 4 février : Il résulte d'une communication officielle que, dans les inondations qui ont dévasté la résidence do Somarang, 37 indigènes ont perdu la vie, tandis que 8 ont été grièvement blessas; 1,198 habitations smt entière-mont détruites ou gravement endommagées; 34,000 „bou\vs" de/ risières sont dévastés et 616 têtes de bétail se sont perdues. Des comités se sont constitués, tant à. Java q4ue dans la Métropole, afin de veni'r en aide aux populations sinistrées. « *. V.. Londres, 4 février : Le ,,Times" apprend de Washington que' M. Wi}s.Qn a. pTononcé les narôles suivante* dans un discours à Kansas-City : — Le mondé, a bepoin de blé du> Kiansa.^ , et) des autres grands districts producteurs \ de blé des Etats-Unis. I-es Am^ioains ont \ le droit d'envoyer des aliments aarx popula- J tions , pacifiques, quond et où l'é-tnt de / guen-ei le ^lermet, et; ce, d'après les s'ipula-^ " tions générales du Droit des gens. avons l« droit de les pourvoir de oofryn, pour qu'ils puissent se vôtir, et nous avons également le droit de leur f;ûre parvenir nos objets fabriqués.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Periodes