La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

2640 0
29 januari 1917
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1917, 29 Januari. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/h41jh3fh4t/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

PRIX DES ABONNEMENTS ADMINISTRATION ET RÉDACTION Petites annonces. • . . • • • la ligna. fr. 0.50 1 mois (février), fr. 8.55 - 2 mois (février-mars), fr. 5.10. 3±' Monta&ne-aux-Herï>es-Potacjères, BFtZJXELLES f S»clam. avant le» annoacca . . - 1.25 : BUREAUX ! DE 9 à 17 HEURES V Corps du journal _ 5.00 US DiaiANPES D'ASWNNEKENT SONT REÇUKS LES RBCLAMATrONS CONCERNANT LES ABON- DIRECTION ET A.UMIN ISTHATION Co ÎO ljlï à 12 1,2 et de 13 ljS à 17 heures. PRIX DES ANNONCES l Faits divers — 3.7S exclusivement FAK les kements doivent etre adressees I Nécrologie . — 2 50 bureaux et les facteuks des postes, exclusivement aux bureaux de poste. Jos. MORESSÉE, Directeur l Corn des Eleveurs - i!oo Lfi GUERRE 910* jour d© guerre Rien d important à signaldr. Le Président Wilsoi L» nouvelle manifestation de la pcraor nalité du prudent Wilson a fixé une fo de plus les jeux du monde entier su l'hôte émiuent de la Maison Blanche», qu apparemment desirait inaugurer la nouvel, olympiade dé sa présidence par un cou d'éclat. Dans sa communication au Congrès amé ricaiu, le cliel' d'Etat yankee s est évidem mont inspiré de la déclaration sensation néllo faite par son: concurrent au i'auteui parésiétatfcol, M. lifcigbes, au cours do 1: campagne étetttorale, disant que les Etais Unis devraient avoir vo«x au chapitre, lur, du rewttiiieaieju de la carte du msonde après 1a cessatnon des hostilités. Quoi qu'il en soit, cette personnalité d< M. WHscn est singulièrement mise en ro lief éteins une étude que lui consacre !< prince Alexandre de fiohenlohe, dervem journaliste, dans un des derniers nuanûro-do la „Neue Freio Presse'> de Vienne. EA1< nous montre un président Wilson in60U}> çoniué, qui, sans grand taj<ogo, s'est r> v l« un véritable dictateur, usant do tous IjO: pouvoirs que lui confère la Constitution, pour gouverner à sa» guise la grande République.Cette étude est à lire et à méditer; elî: a \ cliquera bien des faits qui nous paiaiô b-âont quelque peu étranges et présjrven oertuins «liplouiates de plus d'un mécompte Après a/voir esquissé l'urbanité de sor accueil èt 1a légendaire serviabilité de M. Wilson alors que simple (gouverneur d< Trenton, iL eo créait une populartS d* bon ai©i, l'auteur do l'étude signale la ivS. volution complète qui s est accomplie dans la vie et l'attitude du Président (tapai* qu'il occupe à Washington le poste suprême de la République. •— Depuis ce pur, dit le prince (te Jïo haclciie, une transformation) radicale s'est opérée en lui. Alors qu'il était l'homme le nîiatax accueillant du monde, jl devint dl i jour au lendemain le pdus exolusivisbe, lep'u-ren'fermé, le plus inabordable de tous lee jypésitLtats qui se sont succédé à la Maison Bloache. Et la raison de cette attitude n< doit pas <'tro cherchée dans le fait d'un t a-vail absorbant-, moins encore être consitl.r rAe oomma inspirée par des raisons de santé. Non», c'est de propos délibéré qu'il a provoqué la solitude autour de sa personne, qujil a adopté une autre méthode de travail. Sa longue carrière professorale lui avait appris a ordonner scientifiquement son existence et quand ses nouvelles fonctions lui imposèrent un nouveau genre de Vie, il y odbpta une nouvelle méthode de travail. Il s3 sépara do plus en plus d*u monde extérieur et. ne prit plus jamais conseil d'e ses amis. Sa porte fut impitoyablement oonj-dominée, et même les membres du Cabinet, qui, soit dit entre parenthèses, ne sont des ministras proprement dit mais pl .tôt des sortes do sous-secrétai^es des départ v meats, furent) parfois des semaines entières atma vair le chef executif de l'Etat et durent se contenter d'exécuter se? volonfc.'s , _____ sans a^res explications. L'accueil réfrigérant réservé aux rares vis teurs, aux conseilleurs et surtout auK magnats de Wall-Stredt, fit bientôt le vide auteur cto lui. M'%ie «es partisans les plra résolus, les défenseurs les plus ardents de sa politique parvinrent difficilement à trouver accès auprès de lui : la. cons équence en fut que M. Wilson ne prit bientôt conseil que de sa propre conscience. La fa^on dont il traite s«s collaborateurs du ministère ne trahit ni une grande confiance ni une grande attention à leur égard. Rarement il leur adresse la p«rol<\ m me h ceux qui sont ses collaborateurs les pics fidèles et le» plus cJévoués. Il semble qu'il n'attache aucun prix à leur collaboration.Même les diplomates étrangers accréditas à Washington ont toutes le» peine*? du monde à obtenir une audience du Président, comme si ce qu'ils ont à lui dire ne l'infiareasait guère. Jamais il n'a pris conseil même des plus hauts fonctionnaires de l'Etat, et les membres du Congrès ne «ont admis auprès do lui que dans ies grandes circonstances. Vis^à-vis de la presse, M. Wilson se tient également sur une réserve prudente. "Bref, le Président est un homme qui ne prend conseil que de lui-m%ne, convaincu qu'il ezt mionx qutj quiconque à môme d'être son propre couse lier. Ceci est tellement vrai, que lors de l'incident du ..Tvusitaina'* qui mit l'Amérique à deux doigta do la guerre, M. Wilson ne convoqua aucun conseil des ministres, ne s entretint do l'affaire avec aucun membre de son cabinet, n'échangea aucune cfeipèoe de ;note avec le3 départements compétents, même le secrétaire (FEtat fut tenu à l'écart! Quand il s'est agi d'envoyer la fameuse uo'e aux belligérants, M. Wilson s'en fut à la campagne, y réeida près d'un mois 'et pin** ses collaborateurs devant le fait aoc8m|)îî. A L ii seul il dirige toute la politique e^t^-r^ouro des Etarts-Unâa, dans ces temps critiques, ne prenant, conseil; pour ses décision* que de son intelligence et. de sa oo»-6cionco. Il s érige en autocrate au relit piM, peut-on dire, et agit en dictateur, searackjnt toutefois la Constitution qui on le sait,, lm confère des droits plus étendus que n en possède aucun; souverain oo»Ktv,nltioHnttl. Co mofa de gv>nvamem3nt a se? avants-pes, mais pr(«(-nte aussi des dangers. Et le (Lingoi' suiwtoe, «n l'eeptoe, u'est ii.u'œi homme comme M. Wilson consicière les pro lilùmeg à résoiidta ara point de vue w-ienti-niime, coinmo il a l'halàtude de le fnire. 8r. en j*»li(.irme, il y a la thiSorio et. la jura-tiquei, q.ui pa? fois présentent de g^andbs dtivel•-genees. CVites, il' faut dtu courage piour ado) ter Mie méthode de gouvernement commo ceillo q« a inaiiQrurée M. Wilson. Ses conci-toyen« adfmirenrt.son courage, c'est certain-mais noaalrstant il no parvient pos à conquérir la popularité et, quoi qu'il fasso, il ne pi cmeira que difficilement les omuis de^ Xankeeî, dl wt la oonqu^tio fut l'apaniage (tes gtacid^ présidents de la République." DANS LES BALKANI EN GRECE Paris, 2|6 janvier : y Sut la foi d'une information vena d'Athènes, le ,, Maria'* annonce quel le cr sail des ministres grec a décir^tîé, confc mément nu diésir du ministre (tfAngleter: la dissolution de3 ligues die réservistes. Londres, 27 janvier : n On mandjo d'Athènes au ,,Daily Chi nicle" : — Les armateurs grecs ont accepte >ri~ proposition dos Alliés pour l'affrètemc 5 8 ûers navires marclianxls gre^s. Uni acco lUI spcciiil sera conclu pour les navires aff: ^ tôs au service cransadanti'que.'' ^ EN ROUMANIE Sofia-, 26 janvier : l'_ La ,,Cambana" annonce qu'un «.chaiij ^ de dépêches très actif a lien entra le» go vernecninits français, et russe au sujet ( la sort futur de la Eoumanie. Les pourpa Ls_ 1ers ont été entamés par la F^rau'io à 1>s demande do la Roumanie, étant donn^ i,i :e lo gouvernement russe n'a plus la m en ' façon de voir au su/jt die| 1a. Rouman dans presque toutes les questions vital» ^ qui intéressent ce pays. ™ LA SUISSE FiNAÎCIÊREWl9l » Une des -pires iniquités (Je cette effroyi ble gueiTe, c'est que les Etats belligéran ne sont pas seuls à en eue victimes. CX ûs tains pays neutres s'en trouvent graveme éprouvés. De par sa situation géojgyaph ^ (iue, sans a«côs à la mer et ensyrive pi quatre grandes puissances en lutte, la n: tion suisse éLait fataleaneui destinée à sou frir plus que les autres. Toutefois, grâ< r3> à l'intelligence et à la clairvoyance Je sis c" dirigeants, la, crise a pu; être con^ui'ée du.1 >n une vastna mesure. J* L'interveiiHion énergique et éclairée c l'Etat a été salutaire. La Création de plu !c sieurs monopole-, notamment celui de l in porta tion des blés, le monoi>ole du euci !.9 et celui du riz, tout en réfrénant des sp< ,s culations honteuses sur les substances al 10 méntaires, a. évité à la ijopunlaition helv( tique une foule do privations. La situation financière de la Suisse e p compair^i vqaiem t< sM^^fiiisaaite|, fcujr'jout s l'on tient compte du fa t que le pays, juis 1 que fin 1016, a. dépensé, en fr.a s tixtrao] ^ dînaiç^s «1 un <leiui-mill ard de fran< ® pour le maintieai de sa neutralité :rm'v ,u L'équilibre budgétaire devait en être rompu lc mais des impôts de guerre et les ta&es su u les bétnéfiees ré<iiisés en raison de ceL'e-f Ç ont permis de parer au danger menaçani f\ Lo mouvenumt normal du commerce a tl bouleversé. L'importation des denrées al; b[ metntairez, ces mafiièiros pTCimjièi*e{S, du cotjo: surtout, a subi un recul considérainle. L ea n porta tion de nombre de produits de Tir s dustrie nationale, par contre, s est accru y dans de sérieuses proportions et l'absenc 2 de revenus provenant de ,,l'industrie de w étrangers^' y a trouvé une sérieuse com s pensauon. j. Quant à la Banque Nationale Suisse, Toi peut constater que sa situation s'est raffer s mie au courant de l'année dernière. Lej i banques de prêts (Darlehenkassen) de h v- Confédération helvétique ont, de leur côté s eu moins à intervenir. L. ♦ * * s En ce qui concerne la grosse industrie nous résumons quelques annotations pu 3 bliées par les grandes banques. L'industrie du fer et des machines a ét 0 largement favorisée d'ordres pendant touu 3 1 année 1910. L'approvisionnement en ma 3 itères premières, toutefois, forme un suje * de soucis constants. I^es pr'lx ont mont< dans de fortes prop(4Btions et l'augadu/ta tion très accentuée des salaires aildant* lc< prix do revient sont beauj^up plus élevé* qu'avant la guerre. L'industrie de l'vlectricité se réjouit di'ur mouvement d'affaires intense et de prii rémunérateurs : do ce coté, l'aveiaâr apt^ia raît souriant. < Les fiLilures ont eu: beaucoup à souffrii die la pénurie du coton; les tisSiges, pai contre?, ont été partâcul!ièremcnit occupés, surtout j;K>ur la production d'étoffes récla mées par les armées. A noter aussi la grande demande en soieries et La toadianc^ des prix à la iiausse. Les fabriques de broda-ics ont eu l'existence dure, toujours en raison du manque des matières pr!> mières. L'anméo 10l6 a été meilleure pour l'horlogerie suisse que sa devancière, eu poui l'industrie cBcs produits chimiques, elle u été tout simplement brillante, malgré l'avènement de plusieurs concurrents nouveoutx • I.'industrie du bâtiment, au contraire, ci toute la série d!es métiers qui s'y rattachent sont, condhtmnés à l'immoliilité. El cependant, dlaîia les gTîuids centres, il n'y a nuLîe abondance d'habitations. A signaler, une légère amélioration clans l'industrie des hôtels, une des sources vitales de la richesse suisse. Il convient dfe remarquer cependant que ce regain d'activité provient, non de l'affiux des étrangers. qui est descendu à zéro, mais des déplacements à l'intérieur du pays mtma qui ont acquis une fréquence tout à fait inaccoutumée.En résumé, l'industrie suisse, dians son ensemble, su montre vaillante et résistante au milieu de la 'tourmente de l'heure actuelle et aucun indice ne permet de prévoir une déchéance future. * * * En 1916, l'activité des banque; s'est développée parallèlement au travail l'industrie. La note ,,satisfaisant" est applicable à l'une comme & l'autre. Les émissions ont atteint- un/ momtant fort respectable en l'occurrence : 9o millions de valeurs inrhiR-tt-ielles auxquels il convient d'ajouter 200 millions d'emprunts d'Etat suisses. Les emprunts do ffuerro des belligérants n'ont eu qu'un succès très relatif, le publie s'étant conforme aux conseils émanés du gouver-uemiont.T^s différentes bourses de la Suisse ont, successivement repris lcuç activité normalO, oelle do Zurich la dernier^, en mai 1916. Les valeurs nationales se sont bien tenues, les valeurs étrangères, par contre, à l'ex^ ception do quelques spécialités genevoises, ont subi lo contre-coup de la guerre. Par 0 certain nombre de valcjurs de coinpagntt anglaises qui ont élu domicile en Suissi généralement à Genève, pour échapper 1 iin£iôt sur les valeurs de bourse, roc en menit voté eu Angleterre. lant — — m g dépêches diverses Paris, 27 janvier : La deuxième séance secrète t3n]ue par 1 iro" Chambre au sujot de la question gTearçue tté levée vendredi à 6 h. % ; elle sera coi ia tinuée ce matin. lent * ord Paris, 26 janvier* l~c" Hier, au Sénat, MM. Poirier et ttraufi ont demande à inteapolter le gouvoTff'jmet; au suyet du manque» de charbon, qui fort même les usines travaillant pour la guen à chômer. âge ^ « 0lN Paris, 25 janvier * A la Chambre, plusieurs députés ont àî pose une motion demandant que tous le a hommes non appetûs sons les arm^s de ;lli0 classes de 1918, de 1919 et do 0.920 sjion my mis au service de la d fease nationale dan les ^ frurcauK> les magasins ejt les ateliers. . ♦ * * Paris-, 26 janvier : La Commission do l'armée cb la Cliam j 0 bre, aj i'és avoir entendu le minisire die 1; guci re et M. I>esnui\l, souiS-S€C*j*aiie dJ'Ktal ya- a décidé de modifier la loi relative au« suim veaux conseils de révision^ en ce sens qi :^r_ seuls les hommes déclarés inaijrtes au s-i ent vic,à avant la guerre seront eaa**n^s. L hi. loi ne s'apptiquerait ainsi qu/à liom 3;ir mes seinlemerat, au lieu d'e s'a.ppiiriuer i na- 900,000 hommes comme le prévoyait le gé uf- m'iral Roques. ^ce m* 0 ses Paris, 27 janvier : ins Le manqiue die charbon ài Paris influenc aussi le trafic des tramways. Le couran de faisant d'faut, plusieurs lignes ont dû sue lu- pendre leur service pendant do longues heu ira- res ou rédtuire leur exploitation, ire , * » \*S- Paris, 26 janvier : ili- Ivo train express Montluçon-'BouTges es entré en ooljlision, 2 heures d^u matioi pa^js de Château-neuf, avec un train de mar est chandîses. La locomotive et. dftx waglons d; si Uain express ont déraillé. Dix personne; us- ont été tuées et quarante blessées. . us Rome, 27 janvier : '•e. Un consortium do banques italienne^ )u; diri'gé par la -Banque dfItalie, a avano ur 250 millions de lire à la R*>si\ Ccf< -pi somme, garantie par des Bons dit Trés»o; at. russe remboursables à courte échéance, scr i'ti vira à régler les commandes faites en Ita "i- lie par la liussie. 011 *** Berlin, 27 janvier : in>- Le prmoe-héritier allemand a été promt no général d'infanterie, ice * Les Pétrogra*}, 27 janvier : Le „Russko';e Slovo" dit avoir appris cîv source autorisée que M. Protop«fpoff, mi-°n nistre de 1 intérieut', étudie en co inwmeni îr_ un vaste projet qui a pour buit de <x*icen-^ trer toutes les forces nationales. Si ce pro-i;* jet s'ox,écutait, il aurait pour cons.'^ence l'établissement d'une diatature en Russie et M. Protopo.pofr serait vraisemVioWemc^t nommé dictateur. Les milieux politiques d« c' Pé-trogradl considèrent cotte nouvelle comme u~ étant un ballon d'ossai. , J/L * * Pétrogirad, 27 ;anvier ;c iyAgewce Télégraphique d'e Pétro^rà l an-a" TiCBico oificieIler»e;n la nomimalion de M. Sa-e, sonoff en qualité d'ambassac'eur de Russie Londres. { a- , s * * Pétrograd, 27 janvier : I^e ,,Rietsch" prétend avoir apipris que des modifications sont imminentes dans l'adl-ln iniinistration du gouvemejment du Caucase ^ ot que le grand-duc Nicolas va se rawfîre à Pétro.^rad jour assumer les foowîtions flo . dictateur que le Tsar lui a confises. Ceiti r nouvelle provoque une très grande sensation 11 dans toute la Russie. 3i * T_ * * , Pans, 27 janvier : ,a T^i „Journal'' annonce l'ai res>. ti >n, ^ Pél rogtradl, de M. Miljukovvs, député da l'ofP-^ position. SUR° MER ir Ciir stiania, 26 janvier : u I.o vapeur norvégien- ,,Anna';, jaugeant 1,237 trmjnes, construit en 1900, et tui fai-■ . sait route d'Almenia à Glasgow, a été Bt coulé. Huit hommies, soit la moitié de l'é-v qudpage, ont été recueillis par un vapeur lt Patrouille anglais. y Paris, 2G janvier : Le ,^Iatin ' apprQnV3 de Bordeaux que le '•s paquelx>t ,,Québtc", qui avait toucii' une i- mine, est considéré commis p-rdu. Q,u tre h hoonmes de l'équipage ont été tués <j: s,ix V- blessés. i- y. ftDlam, 27 janvier : ^ l-es journaux annoncent que le va.etir italien ,,Taormiua", jaugeant 1,536 tomes, a été coulé. n Londres,27 janvier : -e Lloyds annonce quel le vapeur ,,Dabra- don'' a été coulé, _ r _ Paris, 27 janvier : On mande do Madrid1 au .,Temjs ' «juo > la vapeur norvégien» ^Hang-land'*, jaugoaut u 5,000 tonnes, a coulé au large des côtes t_ espagnoles. 8 Copenliague, 27 janvier : 11 Lo ministère- des affaires étrangère; o -.m-munique ce qui su'it : — Le 22 décembre dernier, lors il ni tnn-pillage du vapeur danois „Eroptat{yr'?, lc 'J capitaine et un matelot ont pCri à la suite de la collision du squs-marm avec I3 nn»-virc et un canot. Le mirris re dl'Allemapna Copenliague a exprimé au ministère des '' affaires étrangères les reigreïR sincères du gouvernement allemarud au sujet de ce'tiisto accident, qui a coûté la vie à. dfeux bravee 1 marins. 1- , Copenhague, 27 janvier : r Une note de 1'An.gletei-re annonce 3e bîov. a eus do la haie nii*>Tmn.ïiP l. IMII LJ.II smt s Nr rd, y compris un secteur naval attenant ', m Danemark et à la Hollande. La note n a été connue à Copenhague aujourd'hui daas - l'a près-mica seulement; elle n'a été transmise au ministre du Danemark à Londj«s qu'avant-hier soir, alors qu'elle avait ce-♦peudant déjà été envoyée au gouvernement norvégien et publiée jiar celui-ci diis jenii. Le „Dag;blatl" écrit qua cette mpsirro, qui entravera la navigation, étend ses el'fete jus qu'au liirga do Ringkobing; 'Esbjerg- est 1 dono située dans la zone dangereuse. Il est - à renLirquor que la Hollande sera touc'aée bien plus sérieusement que le Danemark. On péris® que les Anglais ont Surtout l'intention ùd placer des mines po-ur tenter (VempêcliOr les sous-marins de quitter est ' de rentrer dans leurs ports d'attache. h î Ymniden, 26 janvier : 3 Le vapeur danois „Hans Maersck'% qui vient dl'entrer Ymuiden, a débarqué en Angleterre quatre marins de la barque fran-ça.:sw „Brenn-", de Nantes. Ces hommes - avaient êt»é remis au navire (Hanoie jtar un - sas-marin allemand qui a coulé 1« ,,Brejnn'' au large du c&p Pinisterre. On ignore ce i que sont dlevenus les vingt-six autres ma-? telots de la barque française. Londres1, 26 janvier : Près de Fleetwood, au largo des cjles angilaises> trois chalutiers à vapeur bxiiau-^ ni*ues ont étj coulés1. Les équipages ont 1 été. sauvés. ftioMle-Janeiro, 27 janvier : » Neuf hommes de l'équipage dut voilior français ,,Asînères'' et 25 matel as du - trvis-:n»lts frîvnçais ,,Nantes'' sont arrivas à H(io à bord du vapeur portugais ,,Cer-raax>"i Avant de passer sur le ,„Cerraro", les marins avaient été recueillis par le nouveau „Mowo", où se trouvaient un grand nowbie de prisonniers appartenant aux navires coulés. , Les entreprises belges en Russie Sous ce titre, 1'^Indépendance (Belge" du 2() décembre a publié un article qui faav ressortir l'iittportance des services rendue f3j- les inéusfcrub belges à la Russie. Ce! arùiclo constate ma!heureusement aussi q'ie n»- comprv(»«c*tG5 sont loin d ôtre traités, dans l'empire du Tzar, comme l'exige, nous ne (liions pasi la. reconnaissance, mais le plus simple souci de l'écjuité : - Nous avons fait ressortir jnaintes fois l'imp!»rtrvnoe dos créations îndusti-iettles Vel-gQL en Russie et les grands services qu'elles ont rendus au pays avant la guerre et sui'Jout depuis la guerre. iwes entreprises métalLurgiques créé<^ par nos compa4tio<es en Russie on»;, produit environ la moitié du métal nécessaire pour 1 exécution- des commandes militaires. Pour l'industrie charbormière et la fabrication du coke, il en est «De morne. La presque totalité des fours à coke construits en Itussie l out été par des firmes bel-es. En ce qui concerne la. récupération des sous-produiis ce la fa'»rication du coke et les produite chimiques, les créations belges produisons aiapi la plus forte (part'e des articles né-cesL^ires.No» compatrioteg, par milliers, directeurs, i*. (le service, contrcttnaKres. ouvriers, no sont pas seuiemern occupés dians les entreprises belges, mais aussi clans de* sociétés russes et franco-russes. Dans qui'Agues villes et locai dtts, on cjrmpto une fort1! p^.ida'ion belge. Dans l'une d élies, iwivpléo de 30,«#0 habitants, où se trouvent trots fortes entreprises belges très .prospère*, le nonÉbro des Belges est évalué à *00, y compris femmes et enfants. Dans d'autres localités industrielles, le ntvutore. Me n<» com ^triotes est de 200, 800 ou ifo." L'„Indépendance Belge'' iriv^is.e »ur l«u services que les Belges ont directement et m<îire«tement rendus à La cause des Afci^s, ot constate ensuite que ,,les rapports officiels de gouvernement à gouvernement sont excellents et même cordiaux. — Nous snvons de source certaine, dit-ello, que l'effort méritoire de nos compatriotes est fort apprécié en naut lieu. Malheureusement, nous ne pouvons en dire autant die quelques entreprises bolgo-russts, <»ù. pour des raisons d'i\erse>5, par suite de l'absence, de l'éloignement des administra- l teurs, de leur ignorance du pays ou d« leur { notichalance, ou de leur faiblesse de carac- s tèro, ou par suite du déplacement de la mar [ jorité des actions, la direction a été confiée a à des étrangers, des soi-disant amis des a Belges. Diverses entre-prises belges sont déjà -pas- t séesi- aux mains de groupes étrangers, alors ' ; si elles avaient été soutenues pir um« '' banque belgo-rus.se — encore à créer, h W<! ^ malgré tous nos efforts — ou si ©lies a avaient été bien gérées, elles auraient cerUs •' prospéré tôt ou tard et, en tout cas, peu- n dans la période actuelle, où l'on cherche à n n;--mentor partout La production des usines et des mines. Des exploitations do tram- s w-ays ont été reprises par des munioipali- P :''s, profitant de diverses clinuscs de con- c-rnts et surtout de l'absence et de 1 éloigne- 1( •nent d;' adrni nis'.ratours, de directeurs et s m Ame c'a consuls belges, dont l'intervention CJ mirait pu êtrjg effioace 6i el'lo »'était x,r°-7 ni te en temps opportun. Dans des entretprises belges, des directeurs étrangers, qui y ont lait de belle* fortunes, semblent vouloir écarter lentement, p niais système tellement, les Cléments bel- te g?s. Noua ne prétendrons pas que les Bel- aJ ^es venus en Russie sont tous dé9 dirco- lî 'errs, 'ingéiieurs et agents de tout premier ordre, niais nous pouvons affirmer que, en ai général, nos compatriotes sont très o^pqiré- 0 ôs partant et qu'ils sont aussi compétents, îravaillours, dévoués et probes que les au- ^ 1 res et que, en tout cas, ils oaiit fait leur Q| preavo en Russie, comme etn divers autres 1 pays : Fra^'.ce, Angle'/?ri*-', Italie, Esjjagtno, n, Egypte, Congo. Argentine, Chinfc, etc. ]f On ne comprend r-as que, dans d!es entreprises belges créées, outillées, mises en mmeho et (érigées par des compatriotes ou autres, les Belles y soient considérés comme des intrus, qu'on élimine peu à peu, alors quel, dans les oonseils d'administration, des g1 administrateurs Itelges sont encore en majorité ou en minorité respectable- si Nous tenons à signaler ces fap.ts jmca que nous estimons qu'il est de l'intérêt gé-n ml de notre pay» de cliei'cher a y re- g- ! COMMUNIQUÉS OFFICIELS 1 ■ Communiques des Fuissancss Centrales. (Berlin, 28 janvier. — Officiel de ce midi : ! Théâtre de la guerre à l'Ouest. Armées (iu feldmaréohal princa liériticr linpi^wcnt de .Bavière : A]^rès une forte canonnade, les troupes aM^laiies ont réussi à so lucher dans 1*1 « pewto [KMme dla notre ligne la plus avancée au SotLo uCit de Le Transioy, au nord do la Pomme. Auffirès des autres armées, le calma a prévalu, en dehors dF une augmentation ca l'iutiejiaitô du feu de l'artillerie dans certains secteurs lî'mitps et (Tonga^eme*ts isolés entre ie3 avant-postes. théâtre de la guerre à l'Est. Front du feldmaréehal prince Léopoldde Bavière : Sur l'Aa, le duel d'artillerie a été violent. Des atlaques prononcées par les Russes des deux côtés de la rivière ont échoué et leur ont coûté de fortes pertes. Front du général-colonel archiduc Joseph : Dans le secteur de Mcstecanesci, gjr la Bistritza dorée, no3 lignes de défense ont dû être rapprochées de la rive orientale do la rivière sous la pression supérieure de l'ennemi. Armées du fe.dmar' clial von Mackcalsen : Pas d'événements importants à signaler. Front macédonien. Dans l'affaissement de la Strouma, les Bulgares ont obtenu des avantages nul cours do combats livrés entre détachements de( reconnaissance.* * it Berlin; 28 janvier. — Officiel d'hier soir: Entre Ancre et Somme, do même que sur les deux rivos de 1 Aa, l'artillerie s'est montrée très active par intermittences. ¥ * * Berlin, 27 janvier. — Oticied -t l'audace des informations mensongères anglaises a toujours été proportionnée à l'iiaportanco des dLf^iteb subies par la Grande-lirJ i;ne. Comme ils ont tonté de lo faire après la bataille navale do Ska~ gorrakj les Angilais essaient aujourd'hui de transformer, aux yeux des neuir*s et die leurs alûc's, au moyen de mensonges impudents, en un succè s l'échec que leur a valu- la combat na.val livré oans les Hoof-den. Les fantaisies des correspondants vi-sib'emont inspires jxir 1 Amirauté britannique ne connaissent plus de bornes. Chaque jour, le nombre des torpiBeurs allemands prétendument coulés augmenta fcft au>-jourc*Iiui il s'élèvo dérjà à sopt. lùï réalité aucun torpilleur allemand n'a coulé ni pendant, ni après le combat et, à l'exception du ,,V. 69", entra à Ymiûden graw veinent avarie, et du torpilleur endommagé par l'ép ronnage anglais, aucun autre de nos navrires 11 a été a.var^é c'une manière quelconque. Par Contre, il est nettement oai.t>li que de.iii? conîr->torp*fl.ours anglnis ont péri : l'un d eux a été touché, dans la nuit du 22 au 2;î janvier, j>ar une torpille Lin-cée de très près par un torpilleur allemand er, comme l'affirme l'équipage allemand. il a été iinnio'Jiaoftment réduit on miettes; la second contre-torfjs'leiur a été iu-con tes u élément vu le leu^omam matin par un aMit.teur allemandj, alors que Sa proue avait disparu et que son équipage l'avait abandonné. Rien ne saurait remplir de plus de fierté et db plus de joie victorieuse la marina allemande que l'impression produite en An-glcsterre par las rencontres entre les navires' allemands, et briuinniques et la ma-niùce dlant les Anglais informent le public ; à co sujet. Nos marins voient dans ce fait combien il parait invraisemblable aux Anglais que la flotte allemande, de moitié moins puissante que la leur et entrée novice dans la guerre, puisse leur infliger céf ai te sur défaite. En prétendant que deux combats importants se sont livrés dans les <eu(x des lloofden, les Anglais montrent qu'ils appini-eient hautement la force do la marine allemande. 11 est donc établi qu'un senl tor- 1 pilleur allemand', qui avait perdu contact ' avec le gros de nos forces, a donné l'im- ' pression, aucc Anglais, par sa conduite I aussi vaillante qu'liabilft, qu'ils avaient ét-3 ' atUmiés par une flottille tout entière. D'autre part, il est conforme à la façon britannique d'informer que, à l'occasion de 1 la dernièiro attaque de nos forces navale» 1 légtères dirigée près de Southwoord contre 1 les navires anglais — soixante-douze haurea f après la prétendue victoire britannique dans les IlooWon •—■ les Anglais prétendent 1 n'avoir aperçu qu'un seul petit navire aile- \ m and. j Pour opprimer les neutres, l'Angleterre ' se sert en première ligne du prestige de sa 1 puissance navale. Jusqu'à présant), elle a conservé ce prestige; mais, comme les faits c le battent sans cesse en brèche, les mon- l 6onges doivent foreémont devenir de plus c en plus grands. * * * Vienne, 28 janvier.— Officiel d'iiio*"midi: Front de l'Est. Do leurs battues dans les vallées oie la Putna et du Casinu, les, ytfitrouïlies^ appartenant aux troupes au s t ro-h on^»»iseg et allemandes du feWwiar^chal-lieuftBfiftiU. von Ruiz ont amené une c«ntnine de prisonaieu*. Partout ailleurs, sur le front des troupes 1 austro-hongroises, rien d'important. Front italien. ( Dans lo po<ys de Gorz, l'activité do Parti 11 erie et, dos aviateurs a été plus çrandja que d'ordinaire. Aux environs du lao de Dobamdo, la ca>-nonnado a continué, sans perdre de sa via- ( lence, jusque vers minuit- Front du Sud-Est. d Rien de nouveau. x * % Constantifioplè, 25 janvier. — Officiel du 1 gt-ancl quartier général : Pas d'événements importants à signiilar sur les divers fronts. * * • . Cemotantinople, 2C janvier. — Officiel au gTand quartier général : L't LN,, au c.nrà J'un eonihat I aér:en acharné livré dans la région de Kuu-el-Ajnara, le sous-officier Jott a réussi, malgré la suipérioritié de l'ennemi, a ue*-cendre un avion ennemi et en a forcé un second à atterrir. Un troisième, vraisemblablement touché, a pu s'échapper. Pas d'événements importants à signaler sur les autres fronts. Dans les HckUotiaks, un certain nombre de rcbdllcs, qui avaient attaque celles de nos troupe à onvoyves pour les réduire, ont U,0 mis oa fuite et ont subi do fortes pertes. Communiqués des armées alîiées# Paris, 27. janvier. — Officiel de 3 ho ire&: Sur la ri\e gauche de la Meuse, noire artillerie a eayéeuté des tirs de dustruCiion sur les organisations ennemies du soc.eur de la côta 304. Aux ^ Eparges, lutt3 d'artillerie asse/. active. Cn coup de main ennemi dans Cette région a échoué sous nos feux. Une autre tentative sur un ce nos peins postes dans la région de Massiges (Champagne) a été aisément repoussée. Nuit calme partout ailleurs. * _ . ♦ * Paris, 27 janvier. — Officiel db 11 heures*. Actions d artillerie assez vives sur la rive gauche do la Meuse, dans la région Je la côte 304 (Mort-Homme) et sur latine droite, dans les secteurs de Louvemont et du bois des Caurrières. En Lorraine, nos batteries ont effectué des tirs de destruction sur les organisa lions ennemies de la for> t do Parroj. * Londres. 27 janvier- — Officiel du 6oir: Ce matin, grâce à une opération couron-U'-o de succès, nous nous somnies rendus maîtres, près de Le Transloy, de la jrfuue la plus importiinte de la pjosuiun ennemie et nous avons frit 360 prisonniers. Aujouird hj;i, nous avons repoussé de fortes contre-attaques ar.emanjtîas et avons in. fligé de grandes pertes à l'eamcmi. Nos partes sont légères. Deux attaques prononcées par nos troupes au nord-est de Neuvi'leHSaint-Vaast et de Vernie1 les ont aussi réussi. » „ * ♦ Rome, 27 janvier. — Officiel du grand quartier général : 'l'out le long du front, activité de l'ac-ti'l1 rie, plus violente certains endroits. Dans le secteur de Zugna (Vailnrsa), dans le Yanoi sujpérieur (Cisuion), dans la vallée de Travignolo (A visio) et sur le Karst, des aviateurs ennemis ont tenté de survoler nos positions; ils ont été mis en l'uite par le feu de nos canons de défense.* % • * Pétrograd1, 27 janvier. — Officiel c5u grand état-major général : Sur le front à l'Ouest, après avoir violemment bombardé nos tranchées établies à l'est de la route Kalnston-Schlook, à l'ouest do Riga, les Allemands ont attaqué nos troupes ; nous les avons repoussé et leur avons infligé de fortes pertes. Près de 1a route de Mitau, nous avona itrononcé une attaque au gaz, qui a jeté un grand désarroi dans les lignes allemandes.Sur le théâtre de la guerre en •Roumanie, la situation est, inchangée. Dépêches Diverses Londres, 27 janvier : Suivant les accords intervenus entre le gouvernement, les courtiers maritimes et les affréteurs de Londres au sujet- do l'affrvte-ment des navires étrangers, la firme Fur-uess, Witby et Co représentera les intérêts ue l'Etat, se mettra en rapport avec lea armateurs ot dirigera les pourparlers ave» ijs intéressés anglais. Il en sera de mécoç uans les autres ports britanniques. ^ ^ Londres, 27 janvier : Au cours d'un discours prononcé samedi à Birmingham, M. Nevillo Chamberlain, directeur-général du service national, a dfé-claré qu'il demandera prochainement des hommes pour remplacer, dans les usines privées, les ouvriers aptes au service mili. fcaire. Ce nouvaau projet de recrutement prévoit le service volonuaire des hommes e1 dea femme» âgés de 18 à 60 ans. Provisoirement, les femmes no Seront pas recrutée®, mais les autorités pourront les oonvoqner dans la suit». Les hommes qui a'enrôlent dans le nouveau corps du service national seront rnii à la disposition du gouvernât mont. Ils recevront les salaires normaux pay«''a par le usines qui les occuperont. Môme les hommes qui travaillent déjà poœ la df-feasî nationale seront priés de «e faim inscrire. Le service national sera toasé sur le principe du volontariat; mais s'il ne donnait pas da résultats suffisants, il dovàetyàrait obligatoire» » .* * Txindlrrs, 26 janvier : L'Agence Eenter annonce officiellement ^ — Le général Hopkis a été nommé a-mi-mandant en chef dans l'Est africain, ont remplacement du général Smuts. • * Ytn»iJden, 27 ianvier : Aurpourdi'hui /er.» l'eu, avec grandie aolenu nité, le tra*dfert en Allemagne dœ ro-v* mortels de deux officiers du „V-69*'. Wa lieutenant et le5* autres marina tués ont enterrés solennellement à Ymuiden. * * m I/ondrcs, 26 janvier : Les ,,Central Nevrs" apprennent die Ne«fW York que la commission du Con^rrès kustft» tuée en vue i'enquôtcr sur la divulgation prématurée de la note dé M. Wi 'son, a «ru efoiiné que 1,100 membres die la Bourse die® valeurs devront remettre, pendant d^inzs jours, leurs Mvrcs de ventes au trib^inal de la Bourse. Cette décision a causé une ^no- lion extraordinaire à Wallstreet. * * . * New^-York. 27 janvier : Suivant des informations re;uOs d"EJ Pa^d les troupes américaines so trouvant au Alcxiquo ont commencé à se retirer vers 1? Lundi 29 Janvier 1917 JOURNAL QUOTIDIEN — Le USTuméro t ~10 Centimes 4* Année. - NB 793

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Periodes