La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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01 januari 1916
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s.n. 1916, 01 Januari. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/rf5k932r1j/
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Kamedi 1ep Janvier 1 'M im r TArrniVTST ATTAfTlTnTmT T 7V7V-» wi A ma ■ ■/ H Mt-i m r\ LA BELGIQUE PRIX DES ABONNEMENTS Î | Trois mois (janvier, février, mars) . . . . fr. 0.00 Lob demandes d'abonnement sont reçues EXCLUSIVEMENT ça*#***"*'***** £>■>* «ninhftK dos bureaux da~-36aïa. ADMINISTRATION ET RÉDACTION Moniag'aa-a.ux-IIerbes-JPotag-^res, .HRUSjïïLiI BUREAUX : DE 9 è 17 HEURES -,i—g- -iv , •Jos. lfài:ORESSÉE, Directeur f Petite annonces . i ... . la ligue, fr. 0.40 ! Réclame avant les annonces . — 1.00 Corps du journal ... — 4,00 Faits divers . — 3.00 Nécrologie — s.oo -4-— =^^ns^' * T. A J32SZ/&IQ I7J3 souhaite à ses lecteurs une meilleure année Nos ateiiers o11.ut fermes à !'occa£s< esr.fêtes du Nouvel An, le journal no p nître pas dimnnch© matin. A-Ujourcl'liui : HUIT pages. U GUERRE 5163 Jour d© guerrs Ntaus publions aujourd'hui une carte Cil. ope oiiv: laquelle fcc fcrouiye indiqué 1'emgl ament (l'es fronts que défendent les arrap ont clepapib quatorze mois nous avons fitfl suivi les opérations'. Sauf à l'extrémité méridionale du f^)i ans l'Est, où les Busses viennent eFen|r rendro une offensive sérieuse sur le co|< aqypn eii inférieur de la Strypa et coi|n a frontière de la- Bessarabie, les lioslil^ ra^er,c<"!ib uue période de stagnation. U d] Lée ['1915, au cours de laquelle les belili^j •an# se sont livré tant d'effrayantes il aillés, senibl!c| donc devoir fiiiir dans aime... Màis il faut logiquement s'attendre à- vo ouA-in se rompre cette trêve relative ai 'uniT ou l'autre des nombreux fronts ongt desquels d'immenses armées se défiei autuclliVnent! en Europe. D'autre part, la tournure prise par les év letuients dans las iBalkans fait envisager 1 jossjbilité d'une nouvelle extension, du coi lit. Enfin, on sait que la guerre risque c /aggraver encore pendant l'année qui cexn nonce, à raison du développement des op< aîions militaires en Asie et en Afrique. Bref, ce n'est point un rameau ei'olivie Rapporte au monde, à l'iieure où elle fa on entrée, Tannée 1016. Pourtant, no dé.; : aérons pis d'elle ci souhaitons-flui. ,pub uo aussi bi 11 c'est aujourd'hui le joua" de oSÉLails, do rîjja,]j rJ-i fiji de cette lujtt ; iga'^^fTÎQ cl^nt T a\^n^°^t^feQurope es ICHANGE OË NOTES s ENTRÉ les Etats-Unis et l'Autriche-Hongrie Deuxième noie des Etais-Unis Voici" lé~té>rtc" —: toi' qltè" l'agence "Bente 'aicommuniqué — de la deuxième not in,'lieaine adressée au ministre des affaire jtrangères austro-hongrois au sujet du toi pillage de 1',, Ancona'7 : — Le gouvernemeut des Etats-Unis a reç1 .a note remisé le 15 décembre à Vienne pa Votre Excellence et transmise immédiate lient à Washington, note qui a trait ai torpillage de 1',, Ancona". IÎ y a consacr Soifto son attention. I/1 15 décembre, M. Zwiedjnck, cliarg1 l'affairés austro-hongrois^ à Washington, i iéposé au département des affaires étrangè *es un rapport do l'Amirauté austro-bon jroi e sur le torpillage do Ancona" ; c-i -apport reconnaît que lo navire a été tor pillé lorsque ses machines avaient été ar -étés o)u que êtes" passagers étaient encore i x>rd. T n iyTOJ\Piffffjjjrai0*' ce ..fait.est suf is^it^. d'après le gouvernement des Etats Uni--; pour endQS.scr au commandant di jous-ina^tn la responsabilité d'une violatioi îon/K-jpyt.Q du droit des gens et d'une mé connaissance complète des principes d'hu nanité que tout belligérant doit observei lans la guerre maritime. 4 KEn présence de cet avgu, le gouverne nent; des Etate-Unis 'œfTàaïtorisé à mairate îir que, dans la question du torpillage d< MAnÇdna", ce no sont nullement ni l'im K)rtance et la nature des t-lmoignages dé aillés confirmant le rapport de l'Amirauté, îi lo nombre des sujets américains tués ou ilessés qui constituent les uoints. essentiels I débatte. La culpabilité du commandant ist otablio noU^nent fô't ilic^h'tcsfablc [îîé des citoycnF^dcs Etats-Unis ontt ét( ués, blessée "ou " mis eh péril par son__aç.tc ■Kpjil. Les principes du droit clcs gens eî & règles de l'humanM, violés par le commandant du sous-iiiarin, sont reconnus depuis si longtemps et de façon si unanime, ïl sont si incontestablement établis au point ïe vue du droit et de la justice, que le gouvernement des Etats-Unis n'admet pas qu'ils puissent être mis par lui en discussion et ne comprend pas que 1e gouverneront austro-hongrois les mette on doute ou les discute. Dans ces conditions, le gouvernement des Etats-Unis no peut que ~ rendro le gouvernement autrichien respnsafeT^^ô l'acte" ÏÏn j^mnàrioan^ du sous-rilarm et doit réitérer fernu n\:"'nf, M,lis re-pretueusomont, les exigences contenues dans sa note du 6 courant. II osj>evo si-neèfenïéiit que le développement iîo ce point de vue amènera lo gouvernement^ austro-hongrois à reconnaître le bieu-rondo de ces exigences et dry donner satis-;action dans le môme esprit de franchise et àvec la même préoccupation do maintenir les bonnes relations existant actuellement ïntre les Etats-Unis et l'Autriche-Hongrie. Ce sont ces mémos sentiments qui incitent les Etats-Unis à formuler cer exigences." Réponse de T Autriche-Hongrie Le gouvernement impérial eT roynï" est absolument d^accordi avec le Cai.,met do Washington pour dire que l'on do^t tenir dompte des lois sacrées do l'humanité,mémo tendant la guerre. Jusqu'à présent, il n'a yiniais donné lieu à personne de douter du respect qu'il professe pour cette loi. Pendant toute la durée do cette guerre, qui offre le tableau déprimant de tant de principes moraux confondus, il a donné die nombreuses preuves de «es sentiments humanitaires1 aussi -| bien aux ennemis qu'aux neutre?, et , i n'est pas de sa faute s'il n'est pas toml d'accord depuis longtemps avec le Cabin de Washington dans une question qui e considérée par lui comme par toute l'oj: nion publique en Autriche-Hongrie, ccann une question d'humanité. Le gouvernement impérial et royal pe également approuver lo principe, cyprin | dans la note aiméricaino, suivant lequel dj s navires privés ennemis, pour autant qu'i p ne s'enfuient ou qu'ils ne résistent pas, j în doivent point être détruits av.ant que h £j„ personnes se trouvant à bord aient été, î préalable, mises en sûreté. Le gouvernement impérial et royal e > très sensible à l'assurance que le gouvein ' ment fédéral attacho une grande importan« S au maintien des bonnes relations qui exi t>eait heureusement entre l'Autricfie-Hongr et les Etats-Unis. Il réciproque très cordi: lement et continuera à s'efforcer h rend'] ce? relations, pour autant qu'il est en se pouvoir, pl uS' cordiales encore. Animé c môme esprit de sincérité que le gouvern mont de l'Union, le gouvernement impéri; et royal, bien qu'il no trouve pas dans note réponse à toutes les questions soûl vées par lui, est disposé à lui commun l" quer lo résultat de l'enquête qui, sur la ba'> x~ des prescriptions existantes, a été immédn f* teinent ouverte après l'arrivée du rapporte la fjotte au suje?. du torpillage de l',,Ai cona" et a été clôturée tout récemment. I résultat de cette enquête peut se résum.: comme suit : ,e Lo 7 novembre 1915, à 11 heures 40 d ;b matin, le commandant du sous-marin s'e ^ apea-ç-u, par im temps couvert, vers '38°4 nord et 10°S' est, qu'à une distance de 3,0( . mètres en1 chiffre rond, la silhouette d'u [e grand va.peur italien se détacliait soudai l du brouillard. Croyant- d'abord à la pr k, pence d'un vapeur do transport, il a stop}; r et a tiré un coup de canon d'avertissemei e à longue distance. Le vapeur n'a pas stoj ^ pé, mais a, au- contraire, dévié et tenté c s'échapper. Lo commandant du sous-mari g. s'est alors arrêté quelques minutes pou a lui laisser preudre de la distance oraignai L_ que le vapeur eût à bord un canon. Lors k qu'il se trouva à une distance de 4,500 m< {. très, il lui donna la chasse à toute vapeu t, et tira, gagnant sur lui de vitesse, 18 gr( | nades de son canon d'avant, dont 3 toi ir chèrent, comme on a pu l'observer. Per [t dant la poursuite, le vapeur naviguait e zigzaguant et. ne stoppa qu'après avoir ét rt touché ;x»ur la troisième fois. A ce me ment-, le commandant du BOus-rnaviiL cess le t'en. Déjà pendant qu'il prenait l'a fuite, et e: pleine marche, le vapeur avait mis à 1. mer plusieurs canots où avaient ©mbarqu des passagers. Ces canots ont) immédiate ment chaviré. Après avoir stoppé, il , continué à mettre les canot© à la mer. j une distance d'environ 2,000 mètres, le corn mandant du sous-marin a vu six. canot remplis de passagers s'éloigner rapidemen du vapeur. Un autre canot, qui avait cha viré, s'en allait à la dérive- Les passager L* se cramponnaient aux cordages et au cane ^ chaviré. S'approehant do plus près, le com 3 mandant du sous-marin a vu qu'une grand, panique régnait à bord et qu'il avait aflairi au paquebot „Ancona", do Gênes. Cetti 1 constatation l'a décidé à laisser aux occu ^ pants du vapeur plus que le temps néoes " sa ire pour quitter le navire à bord des ca 1 uois do sauvetage : à bord se trouvai en ■* encore au moins 10 canots qui étaient plu; que suffisants pour les sauver. Un de ce: J canots était bondé et pendait à mirhauteu L des daviers. Toutefois, aucune autre mesure n'étan ^ prise pour descendre les canots, le com 'i mandant du sous-marin, après un Laps cl< '! 45 minutes, décida do torpiller le navire "f mais de manière à lui 'permettre de reste l I assez longtemps sur F eau pour hâter h "ftdesCente des canots et sauver les homme '| pui" se trouvaient eucore à bord. £ejLajj.règ. ■| )ii aperçut un vapeur faisant force vi-peui | jui s'avançait vers l'„Ancona" et avai '^jfs'ins doute été appelé par celui-ci par ra afdiotélégram'nie. J I.c commandant du sous-marin devait te * uir compta d'une attaque éventuelle de • ce vapeur, qu'il soupçonnait être un croiseui ennemi : il ^lon^tti donc, après avoir, i I 12 h. oo de l'après-midi, lancé, à 800 rué 3 très, une torpille dans les cales d'avant d< r L',,A^ona''. A ce moment, celui-ci s'incline î d'environ 10° par tribord. On y teata alors de descendre complètement le canot de sauvetage qui avait été à moitié descendu, mais ' ce canot se détacha et tomba à la mer : i flottait la quille en bas et les passagers st tenaient au bordage. Aucun des autres ca ~ nots no l'ut plus descendu, bien qu'on apei\ ç.ût encore des personnes à bord. La vapeur s'est- peu à peu redressé la quille en l'air et est descendu si lentement que 1< commandant du sous-marin douta d'abord de le voir couler; ce n'est qu'à 1 h. 2<] qu'il a sombré en avant-, la proue d'abord, après des longues! plongées parallèles. Pendant ces nouvelles 45 minutes, toutes les personnes se trouvant encore à bord auraieri pu sans peine être sauvées à l'aide B^ca^ Inots existants. Le fait que ce sauvetage n'a pas été opéré, à" rencontre do toute attente donné à croire au commandant du bous-ba-rhi" que l'équipage do l'„Aneona", contrairement à tous les usages, a assuré son propre sauvetage 6ur les premiers canote en abandonnant à leur sort les passagers qui s'étaient mis sous sa protection. Au moment où le fait s'est produit, le temps était -S»2au et la mer calme, do sorte que les canots de sauvetage auraient pu atteindre sans danger la côte la plus proche. Au surplus, les canots de sauvetage n'ont subi de dommage que du fait qu'ils ont été mis à la mer d'une manière inusitée et nullement après avoir touché l'eau. La perte de vies humaines n'est pas due en première ligne au naufrage , du navire, mais bien, selon toute vraisemblance et dans une mesure beaucoup plus grande, a-u fait qu'on a descendu les premiers canots alors que le navire était en pleine marche, comme aussi au fait que l'équipage, ne pensant qu'à lui-même, n'a pas sauvé les passagers des canota chavirés, et peut-être, enfin, aux projectiles qui ont atteint le navire alors qu'il fuyait. Mais c'est surtout à l'attitude de l'équipage que la mort des personnes qui ont péri avec le vapeur doit être attribuée. ce* exposé défi faite, la très ho- f—irn ■ miihi«hibi% un ia ni—— je norée note du 0 courant des Etats-Unis pa Dé d'hypothèses inexactes sur plusieurs point et Inexacte est "Tinformation parvenue au go 3t verrrcîno^it de l'Union disant qu'un coui> ( i- feu a été immédiatement tiré contre le v iq peur; inexact le fait que le sous-marin a raifc dépassé Te vapeur au cours de la pou it suite; inexact qu'on n'ait pas donné assv ié de temps à l'équipage pour descendre 1 >3 passagers dans les canots. Au co^kaire, c [s a laissé à l'„Anconà" un temps e^raord ie nairement long pour débarquer ses pass ?s gers». Il est inexact enfin que plu si eu > ta coups de feu aient ' encore été tirés sur vapeur après qu'il eut stoppé. L'expo. 3t fait connaître au surplus que le coînmaj 3. dant du sous-marin a laissé 4v5 minute rc pleines, c'est-à-dire un temps plus que su fisant pour fournir aux personnes se troi iG vant à bord l'occasion d'êtro descendue élans les canots. 11 en a- ensuite effeetné ■e ; torpillage, alors que les personnes n'étaiei n j 'toujours pas, en s ffipité. de telle manièi u • que le navire pût rester lo plus longtem^. y possible à flot et ce dans l'intention de rei il dco possible la mise à la mer des» canot a encore à bord. Etant elonné que le vapei est resté encore 45 minutes au-dessus c l'eau, ce but aurait été atteint, si_l'équ )C liage de l',,Ancona" n-avait pas aTiandoîni: u les passagers d'une manière contraire à so iQ devoir. "TTouc en appréciant les: mesures' prise e par le commandant du sous-marin en vr eu sauvetage de l'équipage et dess passt ger§, les autorités mariti'mes impériales < royales sontr cepeîuc&fiib arrivées' à peiis)" '• e^ue, h^gli^éant- de te-njir un compte siafi Va i^nf1 de la pa-niqui^ qui' S'éthit jpnodïidl f parmi le« passagers et- rendait diffieiRc 1 7 liescehté'des canots, il jivait fjnjji à l'e J1 prit de la prescrip tdoiT^^Tf^Rl1 iNÎft; aux o P ficiei-s de marine impériaux et royaux el '2 refuser en ea.s de danger 1e secours ,qu ^ÉjConquo," "}>as même à l'ennemi.* C'est pou if 1 u(of'l'cfncier a été puni dans la metsun' des prescriptions en vigueur à ce suj< ^ pour avoir ses i^strucUons. r fuso dans cette affaire, .on ce qui conceîrn » l'indeimiijination dos citoyens ameclica-insi ai '-■teRîK iii j rte "dSl'„Ancona", d'accej tua* les conséquences que comporte la situ^ r t/ion. Toutefois, à ce point de vue, il doi faire remarquer" que l'enquête n'a pu foui "Jâîir au>eun point de repère capable d'é'tabij pasqu'à qu<5l ,point le étroit à une indemfiit JCdoit eti'Q reconnu à dos citoyens américain* ™ Le gouvernement impérial et royal, et <<e*. - est sans doute aussi l'-av>^ (ïu Ca' 'net d * \Washington, ne ^ut être rendu ]rcsjpiO>ns:.M de,-J d'égale causés par le boml^ardemenr, in i eÎLL'bîtab'îemc at justifié, d'u navira qui fuyait i II no doit pas non plus supporter les (Corn »mages"'"r^siLires/' avant le torpilhige, de 1 «lanière .-ifaulive dont les canots ont été des céndus oui par leur naufrage. ^ Le gouvernement impérial et royal pens _ - -quo le Cabinet de Washington est en me 3 sure et a l'intention de lui faire parveni t toutes les informations nécessaires à ce poiu . de vue. Il s'agit là drinformations essen ; tielles. Toutefois, si, à défaut de preuve ,t suffisante??, les feifconstances" ipècMles *qu - ont1 occasionné aux citoj^ens américains de 3 dommages n'étaient pas parvenues à 1 î connaissance dm gouvernement de l'Union 3 le £ouvornement impérial et royal, en con . s idéralî oîï dë cet incident profondément re . grettable, et animé du désir de témoigne . de nouveau au gouvernement de l'TJnioi t ses sentiments amicaux, est disra^ à ^as ». ^ea- oiitre à cette lacune et 'a~^tcaidre les iu ï«®émnWs même aux dommages dont la ca-us< i|»mm<Sî*iTrtO iié 'peuf "être établie. L3 gouvernement impérial et royal, con-Ij sidérant l'affaire de 1',, Ancona" comme liquï j" dée par lès explications ' ci-dessus, se résetrvi 9àç"'efecuter à une date ultérieure les dliffî ciles questions de droit international qui sont en connexion avec là. guerre de-3 so]p marins. "> Athènes, 30 décembre : j Lo gouvernement français a occupé mili ' taireimentj d! adiminisire l'île de Kastallo ; ; rizo1, située à la cote sud-ouest de; l'Asie Mineure. 'Celte île était administrée depuis trois ans par la Grèce. Lo gouvernement grec, a imméJiatemen 1 protesté énergiq^uiement à Paris. Dans se note, il déolare que l'eiccupation de Ivastel-loiizo par la France est iui acte de vio-■ vlonce exécuté avec préméditation. Le gou-tvernement grec dénonce au monde civilisé l |ou'b entiea* l'attentat commis par la France g outre l'indépendance et la sou-verainetc B'un pays avec lequel la France n'est pas guerre. f Milan, 30 décembre : i â Qn Jmandb de Sale^nique au ,,Corrieire Jella Sera" que, selon toute vraisemblance, |e combat à la frontière macédonienne ne l'engagera pas de sitôt. Les Bulgares cons-femiteent do solieles retranchements^ ils élèvent de grands ouvrages de défense et or-; ganisent leurs positions. j | Les débarquements de troupes à Saleé pique, qui avaient été interrompus peaidai^ iinq jours, ont recommencé lo 28 décembri èiais dans ele moinelres proportions toa-lefois.I * Jassy, 30 décembre : 3 Le grand-duc russe Boris vient d'arriveî. îl se rend à Bucarest. c Sofia, 30 décembre : I | L'exploitation des chemins «de fer serl ^ à été confiée aux autorités allemandes. Seulf la ligne Nisch-Tsaribrod est exploitée pal ss Bulgares. ^ Athènes, 30 décembre : ■g Ln réforme électorale sera portée à |'or- |ro'diu. jour de la nouvelle Chambré. ii Paris, 30 décembre : iÊ On mande de Scu'ari au „Temps" ,q-«% J état de santé du vo'ivode serlie Putinik, lui gnpose un repos pendant lequel il sera Remplacé par lo général Michitsch à la t.'ae âe l'armée1. ** ' Milan, 30 décembre : • Les journaux de Milan" annoncent que la , Serbie» et le Monténégro n'ont pas Vinten-tion d'adhérer au Traité de Londres relatif j Ù WQ j?ais sé^réo» rt Chiasso, 31 décembre : s. Hier est arrivé à Chiasso M. Lejhancr i- consul austro-lionjgrois à Durazzo, avete 1 le wnsonnel ele la légation et du consulat x- tinsi que la colonie austro-hongroise, so: i- 3 pe>r: )nnes au total. r- Le chargé d'affaires assure provisoire îz ment la défense des intérêts austro-hongroi 'S e|i Albanie. n j. I-iO chargé d'affaires bulgare, M. G^eôr i- ^ow, est arrivé égakane'nt à Chiasso. | .Brcslau1, 3(> d^cemljro : i |I-« premier train Berlin-Constantinople n \ coulera pas encore le 1er janvier. 1a 5 djto du premier voyage sera incessammen ^ aanoncée. [_ 'SoiXa, 30 décetubre : i. >Les iiourparlcrs du maréchal von Mac ,s (eoôisen ave<o le commandement! supérieu; e Ijtilgare ont eu/ pour i\Ssuftat d'amenêi* iw ît ' complet au sujet des futures opéra c tîoi£s militaires. I \ surIIER' r T^irin, 30 décembi*o : Les officiers qui ont survécu à la cata [' strophe do l',,U>nbei1o", vapeur qui trans porfeit des troupes italiennes, disent que II pou 'après 10 heures du soir, la navire i touefté une mine ; une formidable explosioa ^ s'est;- produite. Le contres-torpilleur cintre 0 pidor c-Jb allé à son secours, mais il i ' êgalémeat touché une mine. ^ Le^ surviviants disent qu'un régiment en .r tier î>e trouvait à bord du „Umberto". o Londres, 30 décembre : a • I Lor vapeur suédois „Neriusi'' a été couh s- ie 26'_ décembre. L'équipage a été sauvé. c Anjfcterd'am, 30 décembre : L- ,,ll indo'sblad" annonce que, sudvan fti raej otélégramme, lo vapeur néerlandait 0 i m -^^r°°^'sclv'k'' a touché une mine près di ^ "haro iîo Gallopor. L'équipage a été sauvé Rotterdam, 31 décembre : Lo vapeur ,^Batavia III" a débarepié i ù a'ottejiYilaim les matelot» du vapeur britian-•- fliiquo „Cambrion King", qui a été coulé. il DlPÊCHES EIVEBSES \ S Rotterdam, 30 décembre : f On ;nine> du lîavre au „Nieiuwe Botter-: damsche Courant" que le ministère belge 3 eisann ieja, dans le ce>airant de la. preimiiere 3 sema.'6 de „ uu r i ioppbrtnnibô de nomjnei _ le comte Gobiet d^AIvaella, M. Paul Hy-t> mans :efc M. Emile Vandbrvelde minis'a-es . sans portefeuille. Ces nominations sonlt piro 1 jposées par M. de Broqueville, qui est d^ae-_ jfeorti avec 5io Boi à ce sujet. Le Conseil des min-istires a déjà examiné 3 la question à deuix reprises, et elle n'a pag - été résolue par suite de l'opposition dj'un ,« de ses- membres. Cette fois, il est plus que t probable que la mesure préconisée par le . chef eiii «Cabinet sera adoptée. * 3 i5> i ïxmdlres, 30 décembre : . La „Wesminster Gazette" amionce quril t est invraisemblable que M. Henderson donne sa dé-iaiission. D'autres' ministres1 pieut-t'bre ' se retireront. On annonce que M. Balfour s'est rallid . au serviiee obligatoire. * 1 * * Paris, 29 décembre : i Le Sénat a adopté le projet d<3 loi qui 3 fui a ét-é renvoyé par la Chamlyre et qui fixe les crédits provisoires pour le premier trimestre de ,1916. * * * , Pans, 30 décembre : . Le-' général Galliéni a décidé de créer ■ ."une commission attachée au ministère die la $ guerre. Elle aura pour mission d'examiner les litiges qui surviennent avec les administrations de chemins de fer. à projpojsl du transporc ele troupes. ♦ * # Paris, 39 décembre : La ,,Libre Parole" croit savoir que M. Gustave Hervé, directeur ele la „Guerre sociale", qui devient, à partir du 1er janvier, la „ Victoire", a été exclu, du parti socialiste-. * Londres, 30 décembre : A la suite de la jperte dui „Yasaka Maru", la Compagnie de navigation Nippon Yusen-Rabusjiki-Kaisja a décidé que ses navires pa:-seraient par le cap aui lieu de travei ser lo canal de Suez. * Tokio, 30 ^ décembrel : Lo Parlement japonais s'est ajourné au 20 janvier. » * Pékin, 29 décembre : Le général Tsao-Kim marche, à la tête de hommes, contre* les1, rebelles du LISEZ LES COMMUNIQUÉS! ' Malgré toute notre Ixnine volonté, nous éprouvons quelque difficulté à prononcer les npts serbes et croates que noue servent élans leurs dépêches les agences Beu-ter, lia va a et Wolff. Que serait-ce si nous nous voyions obligés de les prononcer à la lettre ? Les langues serbe et croate ne diffèrent guère, mais les Serbes se servent de l'écriture russo-grecque, tandis que les Cioatejs ont aelopté l'écriture latSne. <Ce-pendant-, les Croates et les Tchèques ont à leur disposition des caractères d'imprimerie qui nous font défaut ,peyur indiquer la façon dont les mots doivent être prononcés. Il en est ainsi du C, qui en : serbe, en croate et en tchèque porte un Ï accent circonflexe renversé qui accompagne la plupart des C esmployés dans les mots propres. Ce 0 avec accent se prononce alors co^e ^cii. C'est ain/d que his localités "Cacak, U'zice, Zajecar, lvruse-vac sô prononce Tsclitseliak, Oezi'^che, î Sagetschar, Kroezeiwatch. Il en est de mémo : ele Z et) S. Z sans accent se prononce " comme S; avec accent comme Sch. Les r Croates ne possèdent qu'un seul S, mais, el-'après l'accent qui l'accompagne, il sa prononce de cinq façons différente. De tout quoi il résulte qu'un Serbe ou un Croate authentique aurait grand peine à sortir de nos communiqués pour la façon dont y sont écrits les noms des localités cfo leur - ï»ays. COMMUNIQUÉS OFFICIELS f Communiqués alîemartds , Berlin, 31 décembre. — Officiel de m iui Théâtre de la guerre à l'Ouest. Après avoir fait sauter avec succès1 r fon.rncau de mine, nous avons enlevé ai Anglais une tranchée avancée au nOr j oua>t d'ilulluch ; nous nous y sommes eii: t parés de deux mitrailleuses et avons fa [. quelques prisonniers. Des aviateurs ennemis ont attaqué O 1 tende et y ont causé d'importants dégâts le " couvent du Sae-ré-Oœur a surtout- sou " fort du bombaixfement. Dix-neuf habitan ■ ele natipivilitô , belge ont été blessés, un L été tué. Les? eîégâts n'ont aucune impo ' gance" Kgtttaire1. Théâtres de la guerre à l'Est et dans les Balkans. Bien ele bien important. * '* * . . Vienne^, 31 eîéeembre. — Officiel d'hier Front russi». t Dans l'est de la Galicie, les combats o] 1 gagné d'importance et de violence ù L fois. Hier, l'ennemi a dirigé ses attaques ne b soulejnent) contra le front de Bessa-rabi mais au'jsi contre nos positions à l'est < - la utrypa inférieuna et moyenne'. Presqi partout, ses poussées se sqnt écroulées elé, sous to feu de nos batteries. Là où ■ réussit à s'approcher davantage, ses c tonnes d'assaut ont été écrasées par l'a t'ion combinée de notre infanterie et- de ne mitrailleuses. b Devanti la tête ele pont de Burkanov ; tout à fait au notfi du terrain de ses att l ques d'hier, l'adversaire a laissé 9pJ) tiu< . et grièvement blessés. En cet endroit, tro enseigne!* et 870 soldats ont rendu h armes. b La nombre' total des prisonniers amené hier, dans la Galicie orientale dépas: 1,200. Bar les bords do l'Ikwa et do la Put lovka-, il y a On des canonnades local sées. Sur la petite rivière du Kormyn ain que sur le Styr, des troupes austro-ho] groises et allemandes' ont repoussé pli sieurs attaques russes. Front italien. Sur le front du T'yrol, les tentatives d'à taqu'es dirigées par l'ennemi contre le To bole et lo monte Carbonile ont été arretà par notre feu. Sur le versant nord du d filé élu Tonale, les Italiens ont tenté e travailler à l'achèvement de leur ligne d'ol stades en fil de fer barbelé, en so proî.< géant, jar abus, du drapeau dla Genèv Nous avons tiré sur eux. , Sur lo plabaau do Doberdo, on s'est a: dominent battu à l'aide de lancc-bonte cotte lutte s'est continuée jusque élans 1 nuit. , Front du. Sud-Est. i Bien do nouveau. Sur mer. Lo 29 décembre au matin, i?rse flottille o 5 coniire-tJorpilieurs et) le croiseur „\Hieilg< lanel" ont détruit- le sous'-marin françai „Monge", dont lo second et 15 hommes1 oi étié faits prisonniers. Ebsuite, nos navires ont coulé à couj do canon un vapeur et un voilier dans ] port de Durazzo et ont réduit au sitenc plusieurs batteries <Ju rivage. Au cours ci cette action, deux contre-torpilleurs ont toi ohé des mines. La „Lina" a coulé, 1 „Triglav" a été sérieusement endommage La majeure partie de l'équipage a été sai vée. Lo „Triglav" fut pris à la remorque mais dut être ensuite coulé, plusieurs cro: seurs lieux armés et des contro-torpilleui de l'ennemi menaçant la retraite de tout la flottille. Celle-ci est rentrée dans so port d'attache. Parmi les navires ennemis,, nous avon pu reconnaître avec certitude des cro sours anglais du type d,u ,,'Bristol" et d „Falmouth" et des/ contra-»torpilleurs frar çais du type du „Bouclier". * * * Constantinople, 29 décembre. — Officie du grand quartier général : Sur le front de l'Irak, la bataille conti nue près de Kut el Amara avec de long intervalles. Lors de la prise de Scheeh-Saic nous nous sommes emparés de 450 cruche do pétrole et de banq ue appartenant au: Anglais. Sur le front du Caucase, rien ne s'e? passé en dehors des engagements entre pa trouilles. Pendant la nuit du 2-7 au 28 dée>embre notre artillerie, répondant au feu d'un croi seur et d'un torpilleur anglais, a réduit ai silence les canons do ces navires, qu avaient dirigé un feu inefficace contre Ana forta et Ari-'Burnu, et les a forcés à s retirer. Près de Sedxl-ivI-CBahr, il y a eu, peaidan la nuit du 27 au 28 et durant la journé du 28 décembre, un violent combat de bom bes et do torpilles aériennes sur l'aile droit ot sur l'aile gaucho. Au centre, il y a ei des duels d'artillerie. Dans l'après-mîeli doux croiseurs ont bombardé, pondant ui court laps elo temps, notre aile droite; mais par suiie de l'action de notre artillerie, il: ont cessé leur feu et se sont éloignés. TJtr des croiseurs a été touché par un projectile Dans la matinée, notre artillerie a eles condu un biplan qui survolait Yenischehii ot Kum-Kaleh. L'appareil est tombé dans 1; mer à hauteur do Tekkeh-flBurnu et a ét remorqué vers ImbTos. Nos batteries de la côte anatolienne on bombardé efficacement los embarcadères d< i'Çckkeh-Burnu et de Sedd-ul-Bahr, et le1 •environs. Le 27 déceimbre, un de nos liydroplanes £ .entrepris des vols de reconnaiseanco au-de>s ■sus de T.emnos et elo Mawro et a jeté ave? RucciSs eles bombes sur les dépôts du por .'de Mudros, où un incendie a éclaté. ; Pour le reste, il n'y a rien de noitveai là signaler. # * * Constantinople, 30i décembre. — Officié du grand quartier général : Au cours du combat do Matruh, les S© roussis ont fait 134 Anglais prisonnière-. ur nvELL^ »Sur le front des Dardanelles, le 29 dé cambre, un croiseur-cuirassé et un torpii leur cnncfmis ont jeté quelques bombes s tu Anaforta et so sont retirés. Notre artillerie a- mis en fuite un torpil n leur ej.ui tentait de s'approcher d'Ari x Burn/i. I- Près ele Se;ld-ul-Bahr, pendant la nuit di 2' -8 elé<.'P.nïIjrô- et durant la joui-aée du 20 dé ^ cembrq, il y a eu des jeL.s de bombes tirés \ actifs sur l'aile droite et sur l'aile gauche 3_ i Vers midi, deux navires ennemis ont bom j «bardé pendant quelque temps notre positior L" jdu centre, après le vol d'un de leurs avioni lS «au-dessus de celle-ci. L'ennemi a fait sa.u, a/ter ensuite trois mines; l'une d'elles n'a pa y causé do dégâts chez nous, mais en a occa-f sionné chez l'enn-ani. Les daux auttreo mi nés ont détruit une partie de tranchées d' dix mètres de largeur; les décombres son restés* ©qjre les mains de nos adversaires Lo 28 décembre, le cuirassé français : >:Suffre&", qui était à l'ancre à l'ouest ele ïcrTraïïiehir, a ouvert le feu sur une de nos l.vatteries ('uTjÎh sur la cot- an-.«toîi?nne it du Détroit. Nos *battgj,'j)^,sL out rép.ondln d a iW.nx grenades ont toiu-ho i«- ; : i • '• fr.iii gais, qui s'est, éloigné entouré elo" fi e-.- L^—2"S" vdécembrè, pendant la nuit) élu 2J le d'eembre, nos batteries ont bombarde avee ie succès, eîans le Détroit, l.'s envir.ons de U Sedd-uIiBahr, les embarcadères de Tcfikeh il Burnu, ainsi que les camps ennemis et la > hangars. 3- Le 29 décembre, un de nos hyidroplanef »s a jeté des bombes sur le camp nord de S ecld-uLB ah r, où il a déterminé un incendie r, Sur, les autres fronts, il n'y a pas de i- modification. ;s Le dénombrement du butin fait près Ls d* Ari'^Burnu et près d'Anaforta n'est paf :S| encore terminé. Communiqués des armées rJliées l" Paris, 30 décembre. — Officiel do 15 heures : 5Î A l'ouest de Péronne, l'ennemi a tenté de ^ s'emparer d'une do nos sapes devant Oom L. pierre. Il a été exjmplèiement repoussé. En Champagne, dans la région de 1ï ferme Navarin, nos tirs d'artillerio ont em pVbé l'ennemi de réparer les tranchées dé t- tnolies par nous dans la nuit du 28 au 29 -■ Bien à signaler sur le reste du front. i. » # Iq Paris, 3D décembre. — Officiel do 03 heures : J* En Artois, notre artillerie a fait sa-utet lui dépôt de munitions au sud de Beau rainé. Entre l'Avre et l'Oise, activité de nof canons db tranchées, qui.ont bombardé effi-J cacement les ouvrages ennemis et démoli ur a dépôt de munitions dans la région de [Beau-Vradgnes.1/ntro l'Oise et l'Aisne, nos batteries on détruit des abris de mitrailleuses vers :Bailly Au nord de Soissons, un tir de notre ^rtil le rie, dirigé par avions, a réduit au silence )m et endommagé une batterie ennemie. s Dans les Vosges, la canonnade a été très active au cours do la journée dans les régions de l'Hartmanneweilerkopf, ele Metze ral et du Linge. Un de nos obus a pro-voqué dans un bois au nord-ouest de Muehl-c bach, dans la vallée de la Fecht, cine] e foitas détonations successives. L_ Dans la région élu Behfe sen, une attaque ennemie à coups do grenades a été aisémenl repoussée. * * » Londres, 29 déoembro. — Offioiel du quar-ticr général britannique : 3 L'ennemi a entrepris line attaque infme- 0 tupuise contre un de nos camps d'aviation. 1 Des quatre avions envoyés, deux seulement ont atteint leur but sans être endommagés- ; 5 îls n'ont pas causé de dégâts. Un de nos l* avions a été descendu. 11 Pendant la nuit, nous avons' effectué une attaque fructueuse près d'Armentières. Nous avons pén:étré dans les trancliées eamemies et nous tuê avons bombardées. Après unie 1 dizaine de minutes de lutte, notre détacher ment s'est retiré. Aujourd'hui, à plusieurs! endroits, notre 5 artillerie a de nouveau canonné avec su;e-' cès les tranichées est. les abris ele l'onnemd 5 établis entre Mamet® et Monca-y. : Près do Givetnchy, l'ennemi a fait sauter deux; petites mmes, sans occasionner dé t pertes à nos troupes et sans endommager - ne>s tranchées. Au sud1 de la J3assée, la journée s'est ? écoulée calmement. Près d'Ypres, violent bombardement réoi- } proque. ' * * « 3 TRome, 29 décembre. — Officiel du granc^ quartier généi*al : t En Judicarie, notre artililorie a continué 2 à bombarder le fort- Por et a également dirigé son feu contre le village eÇi mêtoié nom, où des couonnes do troupes et elfapi-provtisionnements avaient été signalée»' ; oes colonnes ont été eîispereées. L'activité de nos petits détachements! triou<3. a jiei'mis do progresser légèrement dan® 1^ soeteur situé au confluent du Vallarsa et de l'Adige. Dans la vallée de Sugana, l'artillerie eau netmio a lancé qu^lqaes obus sur Borgo, sur Ca-stelnuovo et sur Sti'igno, sans causer dé dégâts. Sur les hauitieurs situées à l'ouest do Gorz et sur lo Karst, l'ennemi a tenté vainement d'entraver, par des jets die bombes, nos travaux elo défense, qui fjjâ^J?p.uîSuivent avec uèo cranele activité. * * * j Gxi i Pétrograd, 29 décembre. -** 1 Officiel-"dlr grand éta.t-ma-jor général : Sur la rive gauchi de l'An, il y a eu une reinconitre entre un détachement lithuanien ot un détacheîmeiit ennemi, qui a laissé des morts et des blessés sur le champ de bataille. I Sur le reste du fiont^ jusqu'au» Pripet, canonruafe et fusillades iutemiijtlemteB. Sut lo fremt situé au sud! du- Pripet et en . Gal»*s ka ©ombats .

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Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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