La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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07 januari 1917
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s.n. 1917, 07 Januari. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/416sx65h5s/
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Dimanche 7 Janvier 1917 -fc— il ... - . -I I. f JOTTRNATj " QTTOTTDTET<r — 7,e FTumero • 15 Centimes 4-* Annësr M* PRIX DES ABONNEMENTS ' ADMINISTRATION ET RÉDACTION retites énonces. la iï^b, h. o.so 1 mois (janvier), fr. 2.55 | 2 mois (janvier-février), fr. 5.10 31, I&Olltligne-siuz-c-ITer'bes-lPota.gèTes, 13Fi VJXELLES f Réclame avant lee atmonccs . a —. 1,25 3 mois (janvier-février-mars), fr. 7.65 BUREAUX : DE 8 à 17 HEURES \ Corpe du journal ...... « 5.00 . . — ; T. . , DIRECTION HT ADMINISTRATION •• L» 10 118 à 18 118 et d» 1S i-'8 à 17 heures. PRIX DES ANNONCES { Faits divers >— 3.7S Les demandes d'abonnement «ont reçues Les réclamations concernant les abonna- ' ' 1 i exclusivement ments doivent être adress&es ' f Nécrologie • •••■■. » . I <—* 7.50 par les bureaux et les facteurs des postes exclusivement aux bureaux da posta. JoS. IVÏORESSÉE, DIRECTEUR l Coin de» Eleveurs .... a . v-> 1.00 Aujourd'hui . 'DOUZE pages LA GUERRE 888' Jour cîe euerri i Les belligérants, restés airs prises \ dant toute la semaine sur la. Seretùij eout Ixit't'US avec un acharnement extrê® Au début, l'énergique intervention renforts amenas par les Russes et les con attaques nombreuses qu'i.s orn pronon» smr de nomlyreux secteur® dtu front réustsi à lirait* r strictement les nouve jpro^irèG réalisé par les armées von M ke.Avi : mémo ils poraissaieut en bu votie d' en endiguer entia r avance- Toutef en dépit de H téuacité et de l'énergie Russes, les Centraux ont fini par s attrit quand nutme de nouveaux et sericuat a\ tages. C'est ainsi que d'ans le nord'-ouest de Dobrourfeclia, où leui-s adversaires» se e défendus à outrance, ils ont réussi à oaper la téte de pont de Macin. Il® se s en même temps déployés vers le n >rd, ils se soist emparé » de Jigila; enfin, ont chassé les arrière-gardes russes dû languette de tfrre avancée vers Galataj, elles avaient tenu pendant deux jours, paj- là. même ils menacent Bra.'la dui c do l'cot/. D'autre part l'armée du Damu qu'une conIre-attaque rjusse appuyée par amtiauiobdlea anglaises avait) tout d abord ! légèrement reculer, est revenue à la cliac et a percé les positions qui, à l'est cours in férié, il de la Buzeu, côuvrai Braïla vers l'ouest. La position dies Rus est par suite devenue intenable dans oe e teur, et il leur a fallu en fin de com abandonner aux Germano-Bulgares lecen commercial important de Braïla, dont , population- n'atteint pas moins de 65,000 1 bâtants. Cette occupation de Braïla ne permet p piiur.^ de douîer que les Russes vont c obligés de repasser la section de la fer-comprise entre la Buzeju et le Danuibe. ce o5ti donc, il fatit s'attendre <1 voir d£s mais le secteur de Galatz directement téressô ]>ar la lutte* Située près dHi conflu< de la Seretli et d'il Danube,, la place Gai;:ta est sérieusement protégée par c deuac cours d' eau. Mais les Centraux éta' depuis qu'ils occupent en entier le ter toiie de la Doliroudscha, les maîtres inc. tesBés >t: la nnx igaiiou. sur le Danube jt que cb.ns le secteur de Gala■/, ii est pi baWe que l'importante flottille cfcs monitf autrioLioas, dioue d'une artillerie puissan ne se dé^iubéressera pas d'une attaque 6v( tusille de la place, dont son iaterventii •rendra la défense plus malaisée. Tandis que l'armée du Danube et relie la Dotaroudscha prenaient sur l'c&trâne a fauche de» Russes ces notivaauix a vantai la situation ne s'est que peu modâfiée cru la 'B-ay.eu et la voie ferrée de Focsanli-Ro: ni eu. Appuyés sur la place forte do Foc.-a fct de Namolo?a-, les Russes ont réussi contenir, par de vigoureuses contrenttaqm les troupes de la IXe armée austro-al maa.de qui s'avançaient verR la Sereth. Ai xlem'ières nouvelles toutefois, ces trour.j ont repris leur marche on avant, l.cs Bi ^ecs d'ailleurs ont plus de difficulté et moi l dl'inWKt à s'y op-j oser, depuis qu'il*» ont ( Mf:ut» dans le secteur de lirai la et que < nou'roaux contingents de la IXe arm e an ;tro-ailomandG ont réussi à (Vborder la pla de l">e<5aini vers le nor^-or est en f ranci lissa /le Milcow en amont d'Odobesci. Au nor j ouest de cette localité le5* Atùstro-A lleaiaui fviœjneat de 6 emparer do hauteurs strat ^giquas importun tes : leur présence y m en mauvaise posture les lîiusses qui cor ■ battan t dans le val de Pu ma contre 1 .premières troupes do l'arcuidue Joseph. Dans œ vai de Putna, ainsi que dar .la vallée de la Sucbitaa et sur La rou d'0iu)2, l'aile droite des a.rm'cs d» l'a clii>Kic Joseph progresse d'ailleurs auss "d'une fa^on lente mais continue, en d^r de l'effort déployé par le> Russo-Roumair pour lui barrer le chemin. Or, ainsi qi nous l'avons exposé dimanche dernier, cet . attaque (te fl .ne n'est pas la moins âaa gereuse do celles iictuelleraent dirigées oomt' '1 eriatambBe (ic positions russes qui couvrei ; l'accès de La i'.effsarabie. i Bref, en cféjût d^- snceès locaux que 1< «Russes se soir attribués dans les Oarnath( 'dto Tran^y 1 van;o entre le secteur de Dornî , Vato-a et la vallée de Ta Bi^taâtzJni, lu -n 'nfl^o qui pèse sur le front russe à so extaémité méridionale s'esi encore précis» et accentiue. Il est) toutefois Iri^n entend qu'il ne pourrait encore fttre question de du 1 que la partie est pordaie pour les arm/r du l'sar, dont la résistance s'affirme malgr tout extracrdinairement tenace. • * • I Sur les autres grands théâtres de 1 'jgnerre, aucune opération militaire àmpoi .tante ne f r«t encore dessinée depuis 1 début de 1917. i.- inclémence do la saison;, et sans dont ►ans* h népcssit^ démontrée d'une prépara tion plus minutieuse rue jamais, n'a ' r>a /permis aux Alliés d'entrepmndre les gran des offensives de diversion réclamées pa (les Russes. Quant aux Centraux, ils v> I ni oignent il est vrai d'une activité îisse: /Suivie Kur leui\s d'iflVTcnts fronts; mais il« ■n-'v rediercheut toutefois pas autie chosi que des^ euccfe locaux au moyeu ci'o[)^i-a tioiûs d; importa.uice très limitée. Quoiqpu ©nicieufies, e: taines indications parlant d, volbit/'H offensives* des trouves Germano «n res on Maoedoine méritent ce;nendia. i1 de retenir l'avî^întiion, en ce moment sur ton' où les rapports entTo l'Entente et la Grècr •ont tenais à l'extrême. 'PERSPECTIVES SI l'on faisait la paix? — L'Allomagne mai-tresse du continent. — L'Europe Centrale. — Commentaires. Tn reA 'i-e hebdomndiiie anglaise „New Sfatefimar," donne un aperçu intéressant de« oawequwiees ' u'une paix conclue en ce moment aurait pour l'Purope. Ia gutane, dit-elle, a mis ai lumière _ certains faits qu^ intéressent l'équilibre d( ^ j puishances européennes. Eu voici les prij cipaux : 1° La guerre dans l'Ouest a fait clair ment apparaître que la possession dr'ur armée prête à l'offensive et composée de fectifs énormes est l unique forme die pr paration lUiliUirre qui ait do la valeur. L i nation qui se trouve eu mesure de mob iiser l'armée la plus forte dau* le di Lii plus bref po^ible après la déclaration c guerre, ou mieux encore avant ccltc di clar. 5 y tion, n'a simplement qu'à envahir le torr e. toire ennemi, à y pénétrer aussi loin qu'el le peut et à S''y terrer diajis dos trancliéei re- Ceci fait, le pays envahi n'a d autre alte: ïes native que de Taire une guerre di'épuis< Hit aient d une durée, vraisem!>lable de pli ux j .sieurs a*mees ou do s'avouer vaincu et c faire la paix sur la base des conditions in "6 postes par l'assaillant. is, 2° La guerre ckuis l'Est a di'motntré p^ tûs remproireanent que la Russie, bien que toi ier jours invincible, ne serait pas une puu -n- sajjce mOiLiire de premier rang si cl! n'était appuyée pir dies alliés, et qu'ell la no pourra devenir une paiissiince militaii ut) do premier rang avant doux générations a x> mo>ns. Par suite, 1 Allennigne ne peut plu nt i être tourmeu-tiée davanu:0e par la craint >n djes bordes russes. ils 3<> Ea guoi-re dans le Sud-Est a d''montr la que la France et TAngletene' ne peuvei: >ù 1 rivaliser avec l'Allemagne dans les Ba.] et kans et qu'elles n'y 1 vu vent intervenir effi tj oiicemeut pitr une action rlii-ecto, l'AUeimagn e, tirant un avantage natuiel do se» bonne e^ coiiirnuiiicatioiis par terre entre «Berlin et 1 lit Bosphore. p- 4° La guerre a cîémontré que l'Allema^n 'll est un Etat militaire beaucoup plus foi !ltl qu'on ne l'avait soupçonné et que l'Aile ^ mag-ne ellle-m'trae peut-ôtro ne l'avait cru °- Elle a d montré qu'en général 0U0 peui e sur le champ de bataille, faire fond) sur le pcupliis qui sont ses vassiux, que les' régi 'a J-ments Lovés par ces peuples n'oiit. p<is L J valeur cfes r<igiments allemands, nuiis qu'il se battent d) une manière excellente sous l !S ooramandeaient des chefs allemanô®. ro 5° Il y a lieu de constateT1 que 1 ■M foi en la pui*s'a.n<e militaire de l'AUemagn >c s^est extrciord'inairiment renforcée dans tou r ! lo Sud-Est de ■ 'Europe. Ce fait dominer; '• la situation de l'Europe aussi longjtemp l-t j que la force militaire de 1JAllemagne m le - -ora pas brisée, et c'est cela que les AUîéi s - nvisagxîaiect lors^ju' ils déclara i eut ne p i } combattra pour de» bats de guerre, maii l' pour la victoire. ' Reoherchotu? l'exacte signification die ces ~ 4'ivers1 fÇxta. A du'on s .jue 1 "slLma^rn 1 soit disposée à évacuer immédiatement 1 lYance et la Belgique, à payer une indem-'' I iiitô à ces doux pays, à évacuer la Pologn< L~ russe, les provinces baltiques et la Serrie ! .(imoUons encore que l'Autriche -îllongriv accepte de céder le frentin à l'Italie; atl ^ j mettons enfin que l'Allemagne consulte i ,n m partage die l'AIr-aace-Lorraine a-v»*3 lr ' I France, à la cession de Tricste à l'Italie e: I i Snonfle à la rétrocession de que&ques-uj.e-de ses colonies. u Ces conditi<\ns dépassent naturel!amerat dte J loin ce que l'Allemagne songe à offrir. Mais même si elle les accept.'iit, l'AÏLemagne, _ I sans auCian doute, serait victoiw.ise, cvumt ^ denné qu'elle serait en réalité maiitresse du continent européen sans que la possibilité s existât de lui en dîs{*utesr la maîtrise. Etant ^ affranchie de la crainte des millions de sol-dats russes et protégée à sa frontière occidentale par un puissant «yystèmo de tran-e chées, elle dicterait la loi depuis la mer do t Nord jusqu'à la mer Noire. Une Europe I centrale pourrait être constituée aussi sàre-, ment et aussi facilement que fut constitué i i Etnpire allemaud après la guerre do 1870, t et rien n'en pourrait empêcher l'extension j à travers ies BïUkans vers El Arisch et . Bagdad : les petits Etats balkanique© savent. i>arfaitemont qu'il no faut pas résis-. ter à Berlin et que ceux qui prétendent lui I résister ne sont pu© secondés; quant, à la ^ Turquie, elle ne peut assurer son oxistence sans " ta bienveillance de l'Allemagne. A la tfte d'une k pareille situation stratégique et de pareilles i ressources, l'Allemagne sera à mt-me, pen-, dant les dix ann«ées à venir, db faire la loi , sinon au monde, d'il moins à l'Europe. La ! Grande-Bretagne garderait une indépendance , et une garantie suffisantes, les frontières de ' I l'Egypte maintenant ouvertes pouvant être . fortifiées. Mais lo re<to de l'Europe serait , j livré au caprice de l'Allemagne. Quel serait ! alors le sort des petits Etats et combien de temps faudrait-il ensuite à l'Allomagne pour décider d'occuper ces petits pays qu'elle considère comme ses frontières naturelles V En terminant, le „New Stâteunan'' affirme ^qu'il ne so passerait pas un long i temps avant que l'ALemagne s'em|>are des bouches du Rhin. • * Apros avoir r«nmiiuit cet article, la „Ga-zntto lie FSrancfort" en fait le comaientairo J suivant : '— Ce fableau de l'avenir n'a visiible-I m'Uirt; dl autre but que de dlwnontrer dli cLeus I ch«><>s l'une : ou bien qu'il est impossible i l'Entente de conclure ia paLx en co moment, ou bien que l'Allemagne pourrait 8e contenter des conditions très modérées plus modérées même que le „New States-maifc" ne 6e.mbîie l'admettre — qu'elle croirait nécessaires pour garantir sa s'euritô et n'en pas moins rester la maîtresse de l'Europe. Dans le premier cas, il faudrait en inférer que le „N©w Stntesman" veut «à son tour préconiser la politique de l'écrasement. Dœ précédents articlos publiés par la même revue avaient d'ailleurs d^jà éjiuméré oxig;cïice5 déraisonnables, telles que la cession <îo touie notre artillerie, le c^sarmo--nT«nt de notre armée, etc. Si le „.Stitcsu man", revue s<^i-disanti pacifisttxKmocrate, y persiste, il est bien dans la note du gou-vern«m<«nt de MM. Lloyd' George, Carson I «-t Bonar Lavr. Mais il est possible aussi qu'il ait des idées plus réfléchies qu'il ne veut le laisser paraître, et qu'il veuille, par la su£-<estion die 4a formidable puissance qu'il lui attribue, influencjer les cenditions die paix dîe l'Allemagne flans le sens de la modération. Dans ce cas, le journal serait malgré tout favorable à la paix. Ses efforts toutefois .sont inutiles et vains. L'Allemagne ne • herche à dominer ni le monde, ni" l'Europe, mais elle entend qu'on lui laisse 00-| cuper la position à laque!.0 elle a droit des parmi les peuples du monde. Ses exigences pin- seront conformes à cette volonté. Elles 11e contiendront ni plus ni moins que les conr ire- ditaons nécessaires po'ar assurer sa Situa- une tion, sa sécurité, celle de ses alliés et ga- i ef- rantir une paix durable. _>ré>- Faiie de la fantasmagorie pour inspire-! La aux neutres la crainte de l'ALema-gne est le >bi- procédé de prédilection de la politique au- le glaise : il n'a pas empêché le^ neutres de ds^ îH-fiéeliir que les agissemei.ts de l'Angleterre, ira- q<ù de sang-froid1 reîuse do s arrêter à au- rri- cune considération, font que vis-à-vis d oile elle la cniinte et la prudeuce sont de mise. Au ées. surplus, si la puissance de l'Allemagne est ter- telle que l'expose le ,,Novv Statosmau", il ise- serait préférable de faire la paix aujour- îlu- d'"hui que demain. D'une telle puissance, en de effet, l'Entente ne peut pJus avoir raison : im- dès lors, il est clair que lorsqu'on reparlera de paix plus tardi, les conditions de p;>. r Allemagne ne seront pas iheilleiues pouir ou"- ''Entérite qu-'aujourrel'hui, où il efit é|é i»o.v ii8- sible de se metti-e librement d'accorl sur lv11o un compromis, pour le bien de l'Humanité îlle qui aspire à la paix. liie au ^ DANS LES BALKANS itr<i EN GRÈCE ent Londres, 5 janvier : .al- Le coi répondant à Athènes du ,,Daily ffi- Telegraph" « crit : ;ne — Depuis 1 envoi db la note de l'Entente :io^ au gouvernement grec, les relations dâpio- le matiques entre la (îrôce et les Al i's s>nt en réalité rompues, situation qui ne doit, rne bien enterKiuir ;[ras nécessairement ainenei' la ort gtaerre. Toutes les légations des Etats d- Llo- l'Entente, même celles de Roumanie et de ru. Serbie, à l'exception de 'la légatijn d'ItaiiC, ut, sont feimcts; les mi listres se sonti rendr.13 les ave° ^eui* l'"-rS0lIin0l et les sujets da leurs gi- Etats à borti des navires $e guerre, f-e.il, La 'e ministre d'Italie e-t encore en relations ils avec le gouvernement grec. le Al- Gouuaris a assuré ^ie la Gr^ce se soumettra a,ux exigences de l'En cnte, élan, la donné qu'elle ne saurait faire autrement; jne elle tentera seulement d'arriver à faire mo- >ut difier ces exigences, qui sont ekagéro^- ira D'autro part, on prétend que, si le gouver- , ips n cm ont grec demande que les vérûkZéiisbes ne dont, les Alliés demandent la mise en liber t': iêg quittent le pays, l'Entente y consentira. >:\s Lundi, les vénizélistes ont occupé l'île XiS d'Hydra« Londres, 5 janvier : ^ L'Agence Reuitcr apprend d'Athè-nes, en 110 daôo du 3 janvier : 'b —' Les anciens présidents ou ctos.'. no av<° lesquels le Roi a délibéré, c. t déolar unianimement qu il était imç»ossill > dw » ». rio Sl>UIUettI,e aux exijgenceg de l'Iuntenta ^ leur foi-ane actuelle, car s'y soumettre é-;ui-vaudtrait à 'l'aveu que l'on fait r-'eUccnevt 1 '° Projet d'atta^/uer les tarrièlrw-f^a.rt^ç dhi \ g^iëral Sarniil. Ixï gouvernemen!, a. cVcd,; de rejeter, d'acxyrd aveo La Couivmcie, <er taines parties de la note des Alliés; |*.r 1 con/tre, il est disposé à négoc'ec au sujet db des autres. lis 10, Londres, G janvier : injt L'Agence Iiiïuler apprend d'Athènes en lu date du 3 janvier : 'té — A l'occasion de son refus d'ace j teint la note cla l'Entente, le gouverr.euant #.,rec )U ne déclare pas la guerr3 à l'Enteate. Il su -i- soumettra aux mesures ooercilives, ayant la n- conviction que les l'uissanecfi rooonnaiïtrom du inaleraept que >e blocus est un châtiment pe immérité. Les événements du 1er décembre o- sont l'effot d'un malentendu, étant dtmne ' ié que, sans se soucier de la décision du gon- . [>, vemement, l'armée avait (îoeidé do s oppo->n ser à livrer lo matériel de guerre- En, ce et qui concerne lo maintien des vénizé.is es en a- état d^arrestation, le Roi est à la vérity s- disposé à e» gracier quelques-uns, mais la ^ ui Constitution lui interdit d: in ter venir dans ; la la procédure judiciaire avant le prononcé as des jugements. no A s'esn rapporter à 1'atlitr.de dos dirlo-•s mates de l'Entente, la situation n'est pais n- rassurante. D'autro part, le ton de la pre-^e '! oi d Athènes es't. très monté et l infîuance ciu .a blocus se fait de plus en plus sentir. La 'c répartition du pain, fait d'un mélange tk ll ie Moment et d'orge, so fait sous contrô'e. ' ^ l^as jr x des i«-odaits alimentair s 60: t ex-it iraord'inairement élevés, de sor.te que les élises pauvres ne peuvent guère 1^ !e acho.e^. ir ie T/ondlr'îS', 5 janvier : 1-e ^Morning I'ost" annonce qiue, d'ajrès f- les nouvelles venant d'Athènes, la situation g en Grèce, serait très s rieuse, le blocus de^ ^ Alliés commençant à faire sentir s * effets sur l'approvisionnement en pain. Tous 1 s jours, des bagarres se produisent devant le > 'r u lboulangeries. Les stocks de blé et de farina H .(» ''u. suffiront tout au plus peadont une quinzaine de jours. I.es réservistes son! l s '' maîtres de la situation. > x Londres, G janvier : e On mande du Pirôe au,,Daily Telegraph" ►- que, 10 21 décembre, le^ boulangeries y ont 1 e é(é pillées. A Athènes, il y a eu des trou- ,r - lues provoqués par la question du pain. !' - Oc grandes quantités de farine ont été t mises en ôépftt. pour l'armée, mais le gou-1 vernemont entend ne pas céder ces stock::-. Londres, G janvier : 1 Le „Daily Telegraph" apprend dn Sviv\ ' que les réservistes ont fait sauter le pont, e 3 du cliomin do fer au sud de Syra pour em-l pt'icher die nouveaiut mouvements (Î3 troupes . vers le Pélaponteo. î>e même jo ;mal au- « _ nonce la saisie do la frniiune du général u-. Dan'/lis, qui était déposée à la Banqi e \Ta- ' ' ( tion.-de, et de quelques peti es somme.-d ar-1 crent appartenant à M. Véniz%>s. Les arrcK- 8 L talions de véni^îlistcis continuait. Le transBert des troupes vers le Pélon©- ^ [ nèso continue lentement. Jusqu'à présent, . 7,0fjo hommes et trente canons Se ilomc t v ont été transférés. 1 it EN ROUMANIE (. Paris, 5 janvier : • L 1 Le correspondant du ,,Temfis" à Pétro-^Tiad mande que l'armée roumaine vient i d'etro retirée du front et sera, par ordlre du Roi, réortranis^e sous les ordres du chef ''I de l'état-major roumain, le général Con- lu i s tan tin Presau. <ie Paris, 5 janvier : l o ,,Temps" ajypremd de Jassy que L Chanbre roumaiue a voté une propositioi de loi, dépos-'e par le gouvernciuent. e ornant mie commission 6peciale chargée d ta!;e les recherches les plus prèeises am su .jet de la capturo ou de la reddition de toui les officiers roumains dejpuis le oommence ment de la guerre. Chaque cas 6era evamiji et jugé iudiv iduelleraent. La commission es tenue d'avertir le conseiil de guerre de tou l<s cas douteux, des sanctions devant alor intervenir. Berne, 4 janvier : A la demande du gouvernement austtro long'roi's; la Suisse s'est cliargée de la dé û use des intérêts des Autrichiens et de 1 rongTois dans les j»arties non occupéesi di L Roumanie- EN BULGARIE Sofia, 4 janvier : La SoLraniC s'est ajournée au 12 février. »_ SUR MER Berlin, 5 janvier : Un sous-marin qui vient de rentrer à soi • ort d'attache a couié 11 navires en onz< ! >»irs. Dans le nomlrre, il y avait câni|. va- surs avec u-ne cargaison de 15,(XX) tonne* • o charbon pour l'Italie et la France. Oologtnc, 5 janvier : La ,,Ga7oTte de Cologne" an-nonce que h aipoivr grec ,,Tsjiropi)nas'", jaugeant 3/}lî t mues, et le vapeur norvégien ,,Holg»* : ingeant 1,806 tonnes, ont été coulés. \a ; orie c,e ce dernier navire n'est t^iutefoif as encore cojifiimée. Paris, 5 janvier : On mande du Toulon au ,,Temps" qut o vapeur anglais ,,0ccano", jaugeant 4,651 | tonnes, s'en écuoué devant ^aini-TropCz; i j n'y a pas eu do victimes. Chris'ianiia., 6 janvier : Lo consul de Norvège à Falràouth a in t ormé le gouvernement que le vapeur „Bcs • k'', de Christiania, qui faisait route d: Cardiff à Alg<_r, chargé de charbon, a ât( •oulé jeudi soir, à 40 milles mar'nsàl'esl '0 Bishop Rock, par les Allemands. L'équi pagç a ét'j sauvé et débarqué à Falmouth I-ondrei^, 6 janvier : Ll :yJs wmoaoe que le vapeur ,,Muiex", do J -ondireSs jaugeant 3,ôG4- tonnes, a été t'qrjm 1 ' le 2.1 d'p'.miire par un sous-marin oui. Un trou d, 20 iia^s etrrés b'ait .•ans sa paroi latérale. Le vapear esc [K'rduj t'-ne personne a été tuée. Copenhague, 0 janvier : Lft navigvati(vn (Tans la mer du Nord devenant trop dangereuse et lee navires ét -nt, : a surplus», forcés de charger de la contre. Laadle de giierre p(.ur l'Angleterre, un :Tand nombre de voil:ors danois ont ce^l ' • v-s voyage^ vers la Grande-Prestagne. % FUesaingue, 4 janvier : l'endant l'année 1916, le» malles-posbe de Compagnie Zeèiaud oiito tra^i8[X>rté ^0,15o 'rsonnes oontie 102,150 en 1915. DÉPÊCHESJMYERSES Paris, 5 janvier : L'„Eoho de Paris" prétend que le pro-iiaiii conseil de guerre des Ailiég qui se tiendra à Rom a a surtout pour but elé chercher à convaincre le gouvernement italien ue la nf?cessité d'envoyer une partie do ses troupes de réserve en- France. » Rome, 5 janvier : Les ministres de l'Entente sont arrivés lo matin à Renne; ils ont été revus par M. lioselii, président d|u Conseil, et par M. Sonaiino, ministre des affaires étrangères. Rome, 5 janvier : L'Agence Stefani annoure que, élans la matinée du 5. lo ministre d'Angl^etr© à Athènes, M. Elliot, est arrivé dans la oa. : itale italienne venant de (^rèce; il éta t accompagné du gén'ral Milner et de l'atta-îiti nniiuiire, le capitaine l'a^holm. Çeî'e visite semble justifier l'opinion que eçpéditi^n d'Orient cous'dyaera 1 obj:t i>rin-:pal des discussions du conseil de guerre -s puissances alliées. A son tour, le cor-e^fondant à Rome do la ,,'-t.unpo." con-mno que le coTiStil de guerre décidera si aim'e d'Orient sera retirée, ou contiuucra es opérations. • * * Lugano, 5 janvier : Ij\- presse italienne qualifie d'historique e prochain conseil de guerre ele l'Entente tant donné qu'il précédera des (Opérations militaires immédiate** et déeisives. Jxs Al-.'s ayant décidé de réunir ce conseil à tome, on en conclut qu'il examinera 6ur-jut le problème de l'Orient. Txîs journaux insinuent qu'il décidera di? -'irt de l'cxpétlition de S. 1 Ionique et d termi-erai l'endroit où la prochaine attaque sera »rononcée. Ce ne sera pas sur 1© front à 'Ouest, ajoutent les journaux. * * * Londres, 6 janvier : On annonce officiellement que M. Lloyd reorge et lord Aliluer sont arrivas à Rome our assister à la conférence des Alliés où ùrp, discutée la situaiion généi-ale. * * * vienne, .r> janvier : M. Penfield, ambassadlerar des Étals-Unis Vienne, a transmis après-midi au mi-ist re des affaires étrangères la réponse de En'o ito à l'offre de pnit (le la Quadruiplhe iite le 12 d/oeanbre dernier. Danvs son en-euilxle, le texte la noie est. conforme à elni publ'é le 30 d.'cembie par. l'Agence Lavas. » * ♦ Innsliruck, 6 janvier : A. Gossensoss, à la passe de Bicainctr, ne avalanche a tué dix porsewnesi qui aient occupes à déblavér la route. Dix- oit autres ont été grièvemeut blessée®. * • * Cotnstauknople, 5 janvier : l>e président ot le vice-présileni de la hambre se i-endront piecha moment h B<V-u pour assister à la réunion des bureaux iS j)ailemeuts des puiseanes coalisées. I COMMUNIQUÉS OFFICIELS ,r Ccniraimiqués des Puiusances Centrales â8 Berlin, 6 janvier. — Officiel do ce midi 0- Me • Théâtre de la guerre à T Ouest, si Dans la soirée, violent duel d'artilleri us dans la boucla d'ï'pres', sur les1 deux rive ra dej la Somme et dans certains secteurs d front e&i Champagne et du front de 1 Meuse. Près de Serre, au nord de l'Ancre, ai cours d'une attaque nocturne, quelques An g lais ont pénétré dans notre tranchée L ^ plus- avancée. Dans la région de Massiges et} eur 1 front au -nord' de Verdun, nos troupe® di première ligne ont ramené des prisonnier hors des lignes françaises. Théâtre do la guerre à l'Est. Front du fcldmar'chal prince JLéopold; d, Ba\ieie : Leurs attaques prononcées hier matii ayant échoué, les Russes les ont renouve lées, entre la côte et la rouie Mitau-Riga avec des forces fraîches et après 1111e vio >T* lente préparation' d artillerie. A l'est d l'Aa, traversant un marécage recouvert d glace, l'ennemi a pénétré eians nor.re posi ' non sur la largeur d un l>aiaillon. Sur tou les autres points, il a été repoussé. Ai cours de contieattaques, 000 hommes e ]6 plusieurs mitrailleuses sont restés entre no, 15 mains. î>es attaques dirigées par de petits effec >a tifs russes sir de nombreux points di is front de la Dvvina et au nord du lac d< Miadz'ol n'ont pas eu 1e moindre succès. Front du général-colonel archiduc Joseph je Dans la partie méridionale des forets de* >7 Car p. thés, violent duel d'artillerie, il Au nord-est do Kirlibaba, des troupe austro-hongroises ont repoussé de»s batail Ions russes. Au sud da la vallée de Trotosul, eles ré. u- gimcnits bavarois et austro-hongrois on-pris d'assaut des ouvr . es de défense de grandb extension établis par l'ennemi en-te ire Cotumba et le mon: Faltucanu.. Auî st for.es pertes sanglant s de l'ennemi s'a 1- joute celle de plus de 300 prisjnniers. En-tre Mgr. Casinuli et la vallée de Suslta, plusieurs points d'appui ennemis ont ét<! , conclu is. ^ ' Après avoir nettoyé les positions éta-n blies par rennerrii sur les hauteurs qui l' s élève: l'î. au sud-est de Soveja, ie6 col on nef allemandes marchent de l'avant vers le ' nord-est le long des vallées. Fixint du feldmaréchal von Maokenser* : Après une violen.e préparation d'artillo-ne, les vli visions du général - lijtru4en an t lleari Schmidt von Kuobelsdoil'f «t celles ï- d;. généi-a.L von Oetin^er, commandées par " Je giînOral^lieutenant K.uline, out pr.s d a a. saut la position russe fortement retranchée, défeuîdtue par dc<s obstacles en fil de fer barbelé et par dos ouvrages de flanc, com-^ irise entre Tartaru et Kimniceni. Elleg se n ?- : » : : t ompîirévs de ces deux localit's es se sont avancées, en traversant le secteur ma-j-'ca^eux de la rivière, vers la SereUi.L'en-neau y ocaape encore quelques villages d'où il a entrepris de vaines contre-attaques.Au cours de ces combat», le régiment d'infanterie de réserve n8 26 de Ma^^de-bourg s"est distingué. Pkus au sud-esf, le corps de cavalerio e ren^irc.': dm gén <' ral-lieu tenant comte von Schmettow s'est emparé d'Ohlneasca, de Gu-1 lianca et de Maxineui; ses avaat-gardes ont at:^int la Seret'a. Devant l'arm;'e du général d'infanterie von Kosch, jieadant la iwiit du. 4 aa^ 5, le^ Ruisses ont cc-sô loar résistance au sud de la Scio'-h et, sacrifiant de foites arri-re-' gaivîc/s, ils «o eon't retirés sur la rive septentrionale de la rivière. Des cavaliers allemands et lidlgare^ ont pénétré df.jiS la ville de Braïla par l'ouest, et desi troupes d'infanterie, allemande et 1 bulgare, franchissant le Danube, .y sont ^ entrées par l'est. La plus impor;an':e ville • comaierciale dio la Iioumanùe se trouve 1 ainsi eiKre les mains des puissances coa- * lises. Dtans la Dobroudscha, la IIIo arm^ebul-' gare, dont font partie 'les troupe^ allemande.-, bulgares et ottomane'?, commandées i. P'"r le général Nerezcff, a rapi^jemeat et définitivement rempli sa tâjehe. Il n'y a plus un seul soldat russe ou roumain dans 1 'e pays. k Les nouve'los opérations projetées ont commence. Galatz se trouve sous notro feu. Front macédonien. Dans La boucle de la Czerna, canonnades. Sur la Strouraa, escarmouches entre patrouillas.L.s villes oùtières grecques situées entre les eml»oua>.ures de la Strouma et do la Me-La sont bombardées, du côté de la mer, par des navires de l'Entente. * Berlin, 5 janvier. — Officiel : A Mon armée et à Ma marine ! D'accorb avec les Souverains Mes alliés, j'avais proposé à N os ennemis d'entamer, sans délai, des pourparlers pour la j>aix. Les ennemis ont décliné Ma proposition. Leur soif de domination ne saurait so con-tenber que de l'anéantissement do l'Alle-m.'î.ijfiao.1-a guerre reprendra dk.mc son cours. C'est sur les gouvernements ennemis seuls que, devant Diou et devant l'Humanité, retombe la lourde responsabdlité do touts los horribles holocaustes que Ma volonté tenait à vous épargner. Dans la juste indignation dont vous remplira la criminel.0 arrogance des ennemis, dans la volontté de défendre nos biens le6 plus sacrés e?t d'assurer un avenir heureux à la Patrie, vous vous raidiirce comme l'acier. Nos ennenis n?ont pas voulu do l'entente par Moi offerte. Avec l'aide de Dieu, nos armées la leur im;►oseront ! Grand quartier général, le 5 janvier 1917. WIU1ELM I. R. * • • Berlin, G janvier. — Officiel d'hier soir : Dans la Gra-nd<vValacMe, 'Braïla. le grand centre du commerce rownnàjn. vient d ûtie prise par des troupes oliemaudes et 55. bulgares. La Dobroudscha tout entière est délivrée de 1 occupuuun ennemie- - i ; mu Berlin, 6 janvier. — Officiel : Un de nos sous-mari ue a t pillé e4 rie coulé, le 23 décembre, dans 1a M ' t rrvuiés k7es orientale, un va|>eur de transptoii" etu^eaui du armé de plus de 5,0<JO tonnes, qui étaâH la convoyé par des navires de guerre. * * * au Vienne, 6 janvier. — Officiel d'hier midi; Théâtre de la guerre à l'Est. Dans la Dobroudscha los Alliés sonfl eca marche sur Bi vila ot Galatz. Au sud et au (je Sjud-oue^t de Latimul, sur lo Bouzcu'l, ejes Ts ire»u,|es austro-hongroises et allemandes onfl rompu les lignes ennemies. A cette occasion, rions avems fait 1,400 prisonniers. Près do Rommcani, des régime its allô-de mands ont pris d'assaut plusieurs Localité©. Dans les montagnes au nord-ouevu d'Odo-tin bcsci, l'ennemi a été délogé ae fjielques ve- hauteurs fortifiées. A l'est de Ncgri e^oi, 5a, Près de Soveja et du côté do Harjai, l ofionr io- sive des Alliés a également progressé. En-de 're Dorna-Vatra et Czokanesci, les po-de tnonilles russes se montrent très actives, ►si- I-os détachements ennemis ont été repoussé® >us partout. Plus au nord, sur le front, des Au troupes austro-hongroises, rien d important. ct Fronts italien et du bud-Est. 108 Aucun changemeint. * T" So"ia, 5 janvier. — Officiel du grandi y etat-uiajor : Front macédonien. Dans certains secteurs du front, faiblei I : canon il a de ennemie. les Dans la boucle do la Czema, le lieutenant-aviateur Brandek a descendu son deu->es xième ballon capt . ennemi, qui est tombé lil- en f.ammes près de Ntgetschaui. ^ Front roumain. Dans la Doliroudscha, les Russes, re-poussés près de Macin et de Jijila, se sont retirés vers Brada. Les troupes bulgares II " et allemandes les ont poursuivis jas<]ue sur Lls la rive droite du Danube et ont occupé le u village de Cecet, situé en face do Bra la. ,n" L'aiie gauche de l'ennemi a ton é' de <e ;a; maintenir, dans l'angle nord-oue-O ele la :l6 Dolnoudscha, près do Vacaroni et do 1» hauuur 162. Toutefois l'ennemi a aussi a7 été repoussé à cet endroit sur l'étroite U1 bande do terrain qui mène à Galatz, giûc^ à urïe iiTésistible poussée de nos vaillants i'- régiments d'infanterie 11. 35 et SO efficacement appuyés par l'ar jlletrie. Le nombre 1 : prisonniers fait à cet endroit s'élovfl .e- à 1,.'*X). ht Près dTsaccea, canonnade réciproque. cg Des monitor3 ennemis ont bombaidî^ ar Tulcea. a- • " * e. Constantmople, 5 jriDvier. — Officiel du er grand quartier générai : n- Sur lo front du Tigre, penda it la nujit se du 'S janvier, une attaque, dirigée, par six se bataillons ennemis contre no3 positions éta. a- blies près d'Imam iN^omamel, a été re>- n- poussée. L'ennemi a subi de fortes pertes es et s'est réfugié dans ses tranchées. t- Sur le front persan, le 2 janvier au matin, plusieurs bataillons d'infanterie ot cben-r nt escadrons de cavalerie ennemie 01 attaqué e- nos positions établies à l'est dv:iamadan. Ils ont été nettement réponses et on! ie laisisé une centaine de morts sur le terrain, ►n Noun avons constaté que l'ennemi a tirons* 1- norlé de nombrerx blessés sur es lignas ot de retraite. En dehors d'un grau ! nombe-e de prisionniecs, l'ennemi a perdu pdus ie d'une ce, i ta me de morts. Nos perdes, ^ir- 5" contre, ont cté peu importantes. lAatfcaqua le que l'infanterie et la cavalerie ennemies o&t a- dirigée contre nos troupes do garde can» 1- tonnées à Sakiz a été repousséo avec da fortes pertes pour l'ennemi. it Sur lo front du Caucase, trois oompa*. ît. gnies ennemies ont tenté une attaque contre ït Riotie position éuibbe au nord-ouest f'e ît Iviglii ; ils ont été repoussé» et ont subi le des pertes importantes. 0 + u Communiqués des armées alliées J" Paris, 5 janvier. — Officiel de 3 heures : ^ Au cours de la nuit, assez grande acti-vite des deux artilleries dans b« socteu s a de Douaumont et de Vaux. Nuit calme partout ailleurs1. s Aviation : Dans la nuit du 4 u 6 jan-. vier, vingt de nos avions ont effectué di-L vers bombardements des terrains d'aviation onnem-s de Matigny, Haucourt, Ile? et Bernes. Iea gares de Rouilly, Athios et Vilie-5. court, les cantonnements do Roye ont re;a ^ do nombreux projectiles. • •_ e Paris, 5 janvier. — Officiel dtî 11 Jieferes : % En Champagne, rer'ontre de patrouilles , en divers points. Sur la rive gaucho de la M1 ise, nous avons repoussé aisément une att pie oontre un de noa petits postes à l'est ce la oôtfl 214. Assoz grande activité des deux artilleries » sur le front "de la Woevre. '1 Journée calme sur le reste du front. <■ î . * * Londres, 5 janvier. — Officiel du soir f Aupetit jour, un détachement nnemi a " réussi à pénétrer dans notre ligne âmbliu au aud do Loos. Après un violent combat, il en a été reieté et a abandonné un ceo* 3 tain nombre de morts sur le terrain. Au nord do Givenchy, nous avons faiî 3 sau'er une mine. Nous avons e'ficaeement bom" ardâ do» tranchées/ ennemies établies dans les eaiv -- rons de Les boeuf s et de Gueudecourt, ainsr • qu'à l'ouest de Gommecourt, près de 3a 5 coll'ne 60. : Les aviateurs ont été très actifs, î • m Rome, 5 janvier. — Officiel do grand ' quartier général : 1 Dans la région située entre l'Adige et lS lac de Garde, au cours de la nuit der» ' > nière^ un détaohement ennemi a dirigé uno att taquo furieuse contre notre ligne la jtiuS avancée. Reçu par un violent feu do mitrailleuses et par nos fusillades, il s'est ne* tiré en désordre et a subi des pertes son* sibles. Pendant la nume nuil, une rcxjn-, naissance entreprise par l'ennemi »ous la fltBt, UNIV. j GENT I

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Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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