La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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07 oktober 1917
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s.n. 1917, 07 Oktober. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/t43hx17b2d/
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Dimanche 7 Octobre (91T JOIJRîÎAf ÔtfotïDÎÏSS ~ La Numéro : 13 Csntimea — n- ti$m ^TliX D£S ABONNEP.lENTS mois (octob.» noTemvn»., d.îee<nb.), tr. 11.40; 2 mois (octv ii'jv.), ir. 7.60; 1 mois (oïl.), tr. 3.S0. Le* icmandat £ abonnement sont reçue* exclusif Renient par ict bureaux et lea facusurt de* pco{<?». "•* J£*fi réclamations concernant le»QOoMtetnetitt doivent tire stIrsssét* exclusivement aux bureaux de poste* ftPSlMSTRÂÎIQN ET RtQ&CTlCB : ©t. wonljgnc-aox-sici*b83-polagèrs»t qroxehcs. LA BELGIQUE PRIX DES ANWOÎHJCES Petit** annonces, la ligna, tr. 0.7S, — Ri!cïam& avant les annonces, la ligne, tr. 6.70.— Corp,< jeurnal, la ligna, ;r. 7,53. — Faits divers, la bgsife Ir. ô.û'S. — Nécrologie, la li;;net ir. îz.ifcG. — Gaws Elevews, la ligne, lr» 1 »£»&. Bureaux de 9 à 1? fious^s, Blrssîisa ei Adala!stra!!î3 : & J? VI m *¥/ "™r"* J03. ÎWGRS3SSE, DIRECTEUR Aujourd'hui : HUI1 PaSes- LA GUERRE 1,T6ia jour ûe> gusn"9 Au pjix de combats terribles qui on* •uivi un feai d-aruderie formidable et oui duivâ touîlû ia jouriicti du *1 octob*®^ l^3 lAnglais sont parvenus a faire prendra à leua-s ligues une nouvelle avance de 1 à 1 Yt ki ton* sue à l est d; ïpres. Leur ediort Jk incitai s est porte des deux côte9 du cne_ *nin da for d Ipros à ltoulars. Au nord, ils ont livré bau.iiie aux abords de Pas-BciiesHfa(j.ie; au «ad, ils se sont établis au nord-est et A l eat de Zonneboae sur le* hauteurs qui avoi«inent Broodseinde» Plus ftu etul encore, ils oat poussé jusqu'à Be^e-laere. En revanene, leur aile droite a été -contenue dans ies secteurs de Ghclavelt, qui toujooi»* au pouvoir des Allemands, et ûe Zandvoordo, où las belligérants sont testas sur leurs positions. A leur aile gauche, leur attaque à l'est de Langemaicti a été enrayée dans lo village o® Poeloa-peile. ^ ^ ] Leur nouveau front entre les chemins de ; fer yprcs-Siaden et Ypies-Oomines part donc actuellement da ja lisière sud du bois Û'Lloutnulst, traverse Poeicapelle, de là a© ùir'-ge à l'ouest de PasscheuUaeie poiu- passer la voie faiXce Ypres-Iioulers entre Pae-eobentkiele et BrootUseinde, descend c^suiie de BrooUseiu?iû à l'ouest do lieeelaere et s'incurve euiiii vers l'ouest pour at-te^-rc »ucee»ivement Gheluvelt et le secteur de Zandvoorde. Il résulte de ce tracé que l'of-feusive qu'ils ont eouuneiacôe 1© 31 juil^ en Flandre a valu aux. Anglais, ^ur une largeur totale (Tune douzaine de ki!onu> 1res, uuo avance de 5 à 6 kilomètres e ^cq le bois d iioutaulst e? l est ue Zoimo-e. e: cette avance se rédtut à 4 et à '6 kilomètres entre Zonnfâbekc et le 6ecte:ir de Zand-YOorvie.JL'e.ïpérience nous ayant appri3 que seules ont atteint leur but, depuis 1e début de la guerre, î^s graudas offouSxves dont les opération* initiales avaient «ils couronnées d un euccj3 immédiat, les lent» x»ro^iès rialis^ par les Anglais sur ce iront relativement étroit tic paraissent ^uère capables d e traîner d=3i consaquencefi stratégiques in^ix>r- | tautes. Il fau'i donc que leur haut commandement, pour psr-sister sans égard aux sit-orifices qu elle en-tcaîne dan» la tactique que le ,, i'imes" appelait il y a deux ans le ,,grignotage" du front allemand, ail d_B raisons majeures. Veut-il peui-éfcre, anii>i que la donnent à penser les principaux écnivaiiia militaires de la presse anglaise, ©afoncer dans tes position» allcman-uea à l'est d'Ypree un com assez serre pour iair par ies rompre, faire céder l'adversaire dans eo secteur et l'obliger à évacuer du mémo coup le littoral belge et leî sec^ur ue Lille ï Assurimant un tel r^uitafe, qui eu-lrainera.it prévue automatiquement 1 évacuation d'une grande partie du torriDoii^ belge, justifierait non geuloment les eft'royaujéî» BacriiiieeS jusqu'ici consentis par les Anglais en Ji'kuidre, mais encore ceax quo le niaxv-Onat Haig paraît décidé à vouloir teur imposer ojicore : ri est hors de conteste eû (klet qu'il aurait un effet moral énorme et que les conséquences pratique» en seraient décisives. « * 6 'L'opinion publique en Allemagne ne me-oonna.L pas riniportanpe de Tenjeu de ia bataille engagée eu Flandre. Les critique» militaires lui montrent les Anglais, quo talonne la guerre des sous-marins, décidés à tout pour forcer une décision : certaine mC-ma signalen-t^ outre le-a (n-c^ar&tifs gigantesques lies Anglais dans la zono de com bat à i esî d Ypre», ceux que le» Franyaot, e; les Anglais org&uisent euseinble, en appelant à la rv^cousae leurs forces mariuimesô combmées, dans le seoietu- de fueupon* JST tanmoiu3t la ton de leurs comuieuuure^ témoigne d une ooiiXiance irop proionde ei ferop gciu-ralo pour être aiîectée : on sent, à les Jire, qu'ils ont la conviction tormc-l.e que leurs cneis nuiiKures ont pris toutes ke mesure» qui s'imposaient pour metire leur aile droite dan» r Ouest à Yalœi d'un revers impjcvu. Cette confiance, née du prestige quô le grand état-major allemand s'esa tissure paj-sa compétence niooinesteo et 1 esprit de voja.oce dont il a fourni d innombrables preuves au cours- de trois ans (le guerre, iô renioree encore, dans in c-à& présent, de la miture spécmle des conditions, dans lesquelles se poursiat la lutxe sur lo soi belge, où la ténacité des Anglais est soumise à une terrible épreuve. Leur champ d'action, en effet, y est très désavantageasé=ment liaiité. D'une part, les lignes des Allemands sont protégées efficacement, entre le IHtoral et le secteur de Dixinude, par les inondations qui les ont immobilisés sur l'Yser il y a tr is ans. De l'autre, ils s'appuieut sur'Je semeur fortifie de Liile, dont ils ont fait un centre d'opération qui paraît inexpugnable : non seulement les efforts dirigés depuis trois ans par les Alliés contre ce secteur ont radicalement échoué, mais en outre les masses d'artillerie qui y sont mises en batterie ont jusqu'ici, par leur action de flanc, empêché les Anglais d exploiter leurs premiers snc-eès dans la région frontière au noid do la place forte. Entre la mer et Lombartzydc, lea An-g-lai.s se sont- très inopportunément laissé refouler sur la rive gaucho de l'Yscr peu avant le début de leur grande offoosive. De ce côté, il ne leur est plus guère possible ' ^'attaquer les Allemands:» que sur un ou deux kilomètres. Au sud de Dixmude, où cassant les inondations, la région est très marécageuse et se prête mal aux opérations inilitaii-es jusque dans les environs de boia fl'llouîî'-ulst. Or, ics Allemands sont établis si so'iceuient dans co bois que les Français n7ont pu qu'a grand'peine en. approcher la lisière méridionale. Il ne reste donc aux Anglais, pour percer le Icont de 1 ennemi ou le forcer à un ample, repui, qu'un rayon diction de 12 ou 14 kj. lomùtros compris entre le bois d'Ploir&ulst et, le secteur de ZandYOo*de : au delà en. effet, il loiir faut compter aveo riater'vcn-tion des moyens d'action extr&nement puis-sauts t assemblas par les Allemands dans la zone foriifiîe de Lille. * * * Qui ne voit, car elle éclate aux yens, la difficulté de mener à bien une grande opération offensive syr un terrain aussi limité fet flanqué de position» d'où il est quasi impossible de déloger l'adversaire t C'est cette d;fficultô qui autorise la,,Gazette d-s ÏYanCiort" à écrire : ] — Dans l'hypotfaèse d'une pérore du front * allemand à l'est d'Ypres, la sur.)ériorité, fti elle esis'e vraiment, cle l'artillerie et t mo^as techniques de l'adversaire^ disparai- i trait automatiquement et au môme moment commenceraient la guerre de manœuvres- Or, les Anglais ne connaissant rien à cette guerre, tandis que les Allemands y ©ont e passés maltic»..." 1 r La conclusion do cet article de la ,,Gazette de Francfort" est à reproduire poux ce qu'elle intéressa particulièrement nodte pajs : — U Entente, une fois d« plus ea proie à son idée fixe, e'imagine avoir p<ns^ le problèane, &e cr^t de tailifi à le résoudre et reprend sa vieille chanson : denburg devra évacuer la Belgique Puissance» occidenfîaiea s'empâteront ùa gag® qui ieiu- est nécessaire pour discuter la paix dans de bonnes condition» V Fort tiers.. Mais oa gage — il faut le damer aseea haut et assez souvent pour quo toi» lo& Anglais jusqu'au dernier le comprennent — appartient encore aujourd'hui auix Allemands. Il restera, il faut qu il resta dan» leurs mains jusqu'à ce qu'une enteate honorable soit définitivement conclue : aucune inté* vante;on soiï diplomatique, so«;t milifcair<, ne pourra changer tin iota à oetîa déa-sion."La voie qui doit nous mener à 1a paix est encore hérissée de bien dos <liî£ioultc«... La gusrs*© sous=marirte Londres, 6 octobre : Lu ^Manchester Guardian;' j — Lans les milieux mariiime» anglais^ on estime quo le tonnage des navires coûte# en septembre ne se^a que légèremeot inîo-l'Aricur au résultat obtenu par lwi Sous-mA-rins eu août. La seule consolation qiw | Los te à l'Angleterre, c'est que les arm^-! tours les plus éprouves ne seront pQ4i le& propriétaires cto navires anglais. o m Paris, 6 octobre : Lôi deux quatre-mâts „Made1c"iiy5 II" (2,7(>9 tonnes brut) et ,,Marine'' (3,110 ton-nés brut), qui ont quitta un porl français le 20 juillet, ont été coulea par un soua-marin allemand. © u • Ix>ndres, 6 octobre : On mande de Washington à l'Agence iîeutc-r : — Un télégramme de ' Tutuila — locals^fe s- tttéô dans les îles banios — adressé an nu_ nistàre de la. marine annonce qu'un canos transportant le capitaine du schooner anu.v ricain ,,0. SLade'' vient d'arriver. J e ca^>L taine a déclaré que le croiseur-auxii.ia.ire allemand ,j6ees-Adier"' s'est échoué le 12 aoui près de Mopeii, dans iaie de Lonihowa, et a UA abanttonné par son équipage. Plua. tard, le (X)mmandant et les hommoa (la „bees-Adler ' se sont emparés d'un# chaloupe à moteur et du schooner français „Lutcee'' j ils ont équij>é les deux embarcations et sout partis Je 21 août ei k 5 septembre à la conquête de nouveau bu.. ! tin. Avant d'échouer, le „Bee-Adler" » I coulé les echooners américains ,,C. Slade' , j „A.-B. Johnson" et „Manilia ". Lsj îtcie6-i Adler" a laissé 47 prisonniers dan® les îlesj iis sont dans un état pitoyable. » * e Bergen, 6 octobre : Un navire à mOieiu Diesel Cfe 6,GOO tca-I nos, q«i transporkait, du matériel d» guerre d'Angleterre à Arkangel, s est échoué dan& ies eavirons de iiodoe, kindis qu'il tentas i d'échapper à un sous-marin allomanâ. Le. navire a été forteme.it avarie. 8a cargaison a ffcé mise à icrre. » 0 • Stockholm, 5 octobre : La légation de Suède à Paris ayant avi»é le président du Conseil que La gouverne ment français avait réquisitionné, en as basant sur le Ju& Am^ar^ae, huit vapema suédois, le ministre de &uéde à Pari» a rej^u l'ordre de protester et dsS faire obier ver que d après la plupart de* ouvra#**-qui font autorité, le Jus AmgaiLb, iovoqu^ ou 1 espèce, est suranné, à ' tout is mo4w dans l'interprétation qjyi loi donne 1® goxt-vememeut français. De son coté, lo ministre de Suède à Ixoidro» a reçai l ordre d j protester contre La réquisition de* vapeur-suédois „SourgharG" et ,,Annie". M'I'j Jk'MIilJrtlQ.TJldj Londres, 5 octobre : On mande de Washington au 9)Daily Te-legi-aph" : — Le bruit court, que des pourparlers g®. raiflut engages entre le Japon &. les Ltet®-Uni» au sujat de la question de» relations internationales. Il s'agirait surtout du protectorat japonais en Chine et dos mouvements de la flotte japonaise dan» l'océe*» Pacifique. * s* * Amsterdam, 5 octobre i On mande de Londres au ,,HandeLshIadf' : — Les Etats-Unis ont pris une nouvelle 1 mesure pour empêcher le ravitaillement es • l'Al emagne. Tout naviie £S rendant dan& ' un papra neutre situe hors de l'Europe « qui fart escaiQ dans un port américain poar embarquer du char'ooii de soute n en obtiendra que s il s'engage à revenir aux Etai»-Unis pour faire examina sa ç,!r£U'i*oii ou. sii foui>nit la preuve que c^lla-ei n est pas 1 destmoû à un pays neutre limitrophe Q ua l Etat en guerre avec le» Etats-Unis. s n : * <• 1 Londres, 5 octobre : ] On manda de Washington aux „ Central i News" que de* incidents regrettables sont survenus jeudi à la (Jhambrej deux dépu» i r s en sont venus aux mains. Les ,,Central News'' ne donnent pas le motif qui a amené aes incidents. « * 4> KeAV-York, 5 octobre : M. Mac Addo, seerctaire du Trésor, a dé, îlaré, dans un discours prononcé h Madi-ion, que les Etats-Unis, outre le» impôts, îevront trouver pour 1 exercice en 0!>ur» i 13 à M milliards de dollars pour dépenses I le guerre en émettant des obligations. i * i t & * "Washington, 5 octobre ; Le^ Sénat a voté des projeta de loi desg-nés à couvrir le déliait et accordant d'importants crédits pour l'armée et la flotta. c <r v Cologne, 5 octobre :* > On mande de Copenhague' à la „Gaeefee a le Cologne'' : j — D'aprjs le journal finlandais ,,Tys&-mis", 4,000 Finlandais ont été arrêtés aux Etats-Unis parce qu'ils ont î-elnsé d'entrer ians l'armée américains, étant donné qu'ils s ia sont- pas astreints dans leur pays au 'j service militaire. Ils sont passibles d'un an r le prison et pourront être incorporas après £ tvoir subi cette peine. Le ^Tysemis" erdge r lue \e Sénat finlandais fasse de» démarches [■ ' "Washington pour obtenir la libération da c ies compatriotes. D * c * :Jt t Copenhague, 5 octobre : v Le ^ouvoi-rioment américain manifestant 'intention d'enrôler deg sujet# des pay« d »candinaves dans l'armée des Etats-Unis, bj d Danemark, la, SuèdG ot la, Norvège ont l'io, d ention d'adresser une note de protostaiion p k WashingUan. ^ * New-York, D octotfra : Aii com3 des derniers combals qui o»t li c. lica dans le snd du Maxiqua, la gt\&é- a, al Diaz a étâ ta<5. y' Les événements ès Russie Londres, 5 octobre ; On mande d'Odessa au .jT'imea" : ~ D'après un tolégriuiune dé Jasay, les? puissances do l'EnieaiJô, vouioir slm miscer dans le» ali'aii-e» de la ï^assie, ons fait des d.marcnûs éiu.ergiqioa& [>our connaître les intentions du gouvernement provisoire et dea Comité révolutionnaires d-a Pètrtx grad. Elle» d-«iram se rendre compte ©xac tement <ia l'attitude i>*ulie de la linssie vjfi-à-vis dea Alii-a et dos mesures projetés jx>aa combattre la dissolution dont esi menace l'armée russe- L& Alliés sont dispose® à faire encore de gros sacrifices pour la réorganisation de l armée russe ®t pour compléter son équipement;j mais à condition qn tuw comx>lète unité d'action existe désormais en. tre la Russie eè loe puissances àa f Entaitis « * Paris, 5 octotue : D'après le ,,Petit Jouriiaî", le couple impérial, qui a efiê déporté à Tobcrlak, em inîuade; l'état da santé de l'ex-tsarine inspire de vive3 inquiétudes. Du consentement du gouvernement provisoire, usa lettre aa-torgraphe do r ex-tsar a été remise à l'ambassadeur britanitayue à Pôtrograd pour êtrf, envoytio au roi George. # * • Stockholm, 5 octobre : On mande da Pétro^rad que le général-major Mourajewski a été nommé oh^f du grand état-major gênés al russe. H • pép'ograd, 5 octobre : La baron Maklak.oî a été nomm5 fur^as-sadear do Russie à Paris, >3 « Pétrogradfc, 5 octobre : D'après le „lîietoh'', le prin^s Tronbecz-kai, chef de la a'aancellerte diplomatique a« grand quartier-généi-aî ruaaft fti ancien aan-bassadeur de Russie a Belgra^s, a ér&é note»-mé ambassadeur à Londica. Xj® princa s réserve sa décision. * « * Stocltholm, 6 octobre : M. Nekludoî, qui vie t d'être nommé xni nistro de Eussie à fct.fckiiolm, & adi-essô è M.. Kerenski la lettre suivant : — Les événements survenu^ Cvsa deraiar^ temps ont d-montré qne 1» com^>osit.ion a©-tuella du gouvernemet provisoire n t»i pru», légale et qu'elle ne répond pes aiKs. nCc*s^-siiéa de l'heais présent®. La Douma d« l'Empire a H'- altolio ea lait et n a ét* remplacés par aucun autre organiœna légai-Cet éfca* ds choses a eu pour Conséqueno..-ia fuite des troupes russaa devant 1<«^ neim, l'impunité comjilôto dea crimes !&$ plus grands, uua propa^and% ou varie h la trahison est bien d auues choses encore. Ia ruine menace le pays et lo gouvernem^jM provisoire esi< incapablo du le s^tuv&r- Dans c~i condiiiona, M- Ke^ludof renoue à servie l'Etat aussi longtemps <rue la légalité eo l'orure ne seront p^a rétablis, le Soviet dissous, la Douma de l'Empire coî»-voquée et la gouvernemeni compose légnler-ment. M. Nekludof envimg« visiblement lavènc-ment d'une monarchie constitutios>-nelio..» 4 « Pôtrograd, 6 octoore i Les joui^iau-x d hua1 soir estimant que 1® Parlement avant la lettre, doni la consfeifei-tion a été deoiiiés * au conta d'une séancu? da nu.it du Congrès démocraliqne, sera pas un organisme légasiunf,, mais sim-piemeat un organisme cousjclra«;;. U pourra éventuellement examiner des questions politique étrangère et comptera 2ài menv-bres; le gouvernement provisoire davra lui donner tous le» réalignements concernant ia sitiuatton du •p s « Pétrograd, 6 octobre •. Le Congr<& dum^oratique a dtOidé, pa«f &31 voix contre 241, d^ nommer 900 meaa- broa du Parlement avant la lci-Jrt. » « « Stockholm, 6 octobre : l_fCs socialiste» rus^os résidant en oo any manv à btoclilioxm ont déclaré au Correspondant du ,,1'csâ Na};io',> que Js, question le la retraite de M. Korensfei e^t è l ordre tu jour. 11 esi impôts;;>lft qu'il continue à ravaiiler avtx: les. boiscbe\i^ies-8éparatiste<-5 la majorité d©» mensoheyistas est favo-■ab.e à une Civaiitiou a va; les bolschevisies*. M. Kereussi doit se retirer j sa retraite as-:ach»rait du resta la révoiûtion du point nort où elle tient. L/e& sociadistecs efeûme^it qn'après la re-r-aite de M. Ko^aki, ua accord pourrai» i© faire aveo Ita bolse-bavistes : la Russie yQ tiendrait sur la d-i'ensive tout en etxe--•ant une pression sur les Alli a, en faveur /une paix gén raie. •> e • l'étrc^rad, 6 octobre ? Etant donné la lenteur avre laquelle le çouverneniont traire la question des auguien-ations de salaire, 1« président du Comité le grève des cheminots a donné hier télé_ jra,pb,iquauv3nt l'ordre au personnel dç outes les ligne» da chemins de fer d'arré-er le t tafia le 7 octobre à minuit, sauf jour les train» militaire» ei ies trains da q imitions. Hier soir, M. Kerenski a adressé un ap >oî à tous les cheminots pour leur demain 1er db n» pas ajouter au malheur dé la _>atria par des acte» irréfléchis, I/s préai-îent du Conseil les invite à paiVmtér quel-[ues jour», la question des salaire* devant tore résolus à brtf délai. • G U Copenhague, 5 ociobi-o : M. Nékrassof, le nouveau gouverneur gé. teral do la Finlande, dément quo, Oonuue 'a affirmé M. Kerenski, une escadre alio-aands soit entrée dans le golf© de Fisi^ ande. «• • n ^ " Holsmgîora, 5 océobre : Les élections pour la Diète de Finlande «at donné 30,703 voix au bloc des partie, ourgeoi», 30,100 voix aux socialistes, 6,3t^ 'oix au pa,rtâ populaire suédois, 2,621 voix ■u parti des agrioulteura et 1,501 voix au >arti socialista chrétien. » * « Copenhague, 5 octobre : On mûnd® de Pétrograd que les prcgrouLi ^vissent contre les juifs à Ekaterinoslaî, à 'ambof et à Orel. M. Nikitiae, la nouveau linistro d-3 rin lériettr, a été avisé que les annisonfl de divezses villes ont réussi a , éprimer les progroms à main armée. A L.arkhof, Lîs ouvr ers des fabriques da lo-omotives se 6ont mis en grèves, mais le linisfcre dea travaux x>ablics a p-solu le coa- j i,fc an faisant droit aux exigences dss ou-riers.D'aïilres dépaohes da Russie disent que ans diverses parties da l'Empire da» bancs da voleurs armés «t de condamné de roife commua répandent la terreur parmi la ] opulation. fr " <i Tasolikeut, 5 octobre : Après la calme relatif qui a'etait rétabli , ier malin, la situation s'est bruflq-uememt . î^ravée, AtiUe de protestation contre l'ens-d'une expédition feiite pour châtier les j rebelles, le Conseil d-1» ouvriers et dea aoî-dat» a proclamé la grève générale. Lczi tramways électriques et le» imprimerie» oa3 cessé leur exploitation. Le gouvernement a déorété l'état de siège. « 0 « Kowno, 5 octobre : X^e nouveau journal lettoia „Rig» I^ai. weestliu Avrise" a paru pour la premi/aw fois le 4 octobre. A nartir du 8 octobre paraîtra à Riga, soua le titre de Deutsche Zeitung" un autre journal zèâyfr cai langue ailemandô. ■ o— —- DÉPÊCHES DIVERSES Paris, 5 octobre : M. Malvy (1) dit que co sont les fautca mises au ministère de la guerre qu'on onoc-che à lui endosser, mais qu il ne le permettra pas. 11 fait uu expose de &a vie litique depuis juillet 1Ù14. La noa* cia Jaurès était cité, au cours dt'una terruption, M. Viviani ce lève da «o-a banc et déclara au mbiau de i;appro5ja>io» générale quo Jaurès, lui rendant visita «a soir du mois de juillet, lui a dit qufa ostîo iicuTe tragique il ne pouvait sa Créu*er ua abLim© entre la France du gouverneiLôu.4 «i ia France des ouvrier®. M. Malvy expo^ ensuite le rôle qu'il a joué pendans les j^r^. v es du mois de mai; il af'.irme ca tôrmx. uaut qu'il a la coiisc.enco d avoir fait krie son devoir e; qu il continuera à remplir «a tâche aux cotes de se* adversaires. Parlant da oalommea injur-eue-ea de H. DauUet, il y voii un® vengeance ; i». a ifia* er. eifet interdar» par k, censure ci-ruwa» commantaiiea d'un artiola dans leiuei 5>L i>audet proclamait la nécessité de renoue une arnne solide pour renverser ia licp»-blique et rétablir la monarchie. 11 ne a mettie en doute le pairaotisme d auous Franyaas, mais on na peuâ omettre 1© fia(| que, oans un« mmioa p«vee? Al. Lauiç^ s. prône le retour de son Roi, seui bie^ d après lui, de sauver 1» patrie. M. -Painievû regrette les indriscrétaoïia 6m journaux, cto»4 ies oolonnes son a pié£a«te et histoires scandaleuses ramassées dam couloir» des cabinets de» a-ug«a d uisSino-tiôa : il faudra qu ils riirèneLt leurs bavardages s ils ne veulent pas risquer d'^r«à sais^. 11 loue par contra 1 attituda des C4i-vrier», dont depuis la d^bât de la Uea milDons ont tait grève qu'un teul acia de sabotage se sou produit et ssaia qu« l'ordre iu& t-té troublé clans lc^ a^lioc^ il fail a^pet an pairiotiaœe do la popui*v tion, donî p intérêt de ia àifease nattonat-a dOxi dominer lea mwrtts particuiaca'H. ii rappelle que si cour» qu® non encora m passe ministériel, il & pa, ea mai et dénouer à force d'énCrgiti ei de toyauja crise qui menaçait; l auu>r».tè & 1$. plme, et daclar» que o &à pj«r les niiagi ixio^ en» que le gouvorneineas s efîoro&ra Soiv jour» d'êira digne de la oontlanca du M. Panivelé conjura 1s Chambre de ïnoia-tentr l'union sac^a que ia France a cosmu» déplut» juiU« 1914. I>a séance est suspendu© à. 6 heur» da soir. A la reprise, M. Poneeï, socialiste, jat>-Uivé son jntarpellaiion sur 1 affaire Boîo demandes an gouvernement de sovir contre iô3 journaux subsidi^s par Bolo» Il exprima son étonnemeait de la légèreté ave© laquelle on a donné à Bolo ses pa.sseports pour bi» .suisse et de la piirtiaiité du gouvememesit qui, après avoir ret'usé des passeport aux socialistes qui en demandiiient * pour aller ^ Berne, en a délivré à des eCcl-j3iasaHU»s notamment à Algr Baudridard, qui ési allé en Espagne assister à un congru înienèa-tional.M. lîibot fait valo'r los services reaa&i» pas Bolo à la cause française et M. bat l'approuve. M. Painievé répond à «i.. Ponpeï ca et qui concerne la cont'éraoca de Berne, qu« la seule présence des socialiste» tcan^àis y aurait le cas-aotère d'une négation de l'organisation socialiste interadliés et que c'eai pt^ur cotte raason qu'il ne peut consentir a ieur accorder de» passejxirts pour lieru©. M. Pcret, ministre de la justice, e^pos*: le côté juridique de l'affaire Malvy-D.a^dsA et dit que la gouvernement exa/nunera .e» mesures à prendre pour mettre fin à eafca campagne da calomnies. Finalement, M. Paiclevê déclara qui » dans lea quarante-huié heures, M- I>aud^ n'a pas fait la preuve da ses accusai ux» contie M. Malvy, ii sera sévèrement pua» et quô le gouvernement déposera un projsi de loi c-antre les caiomni at^ui"s • La Chambre vota un oi-dre du jk>uy d) confiance, par 350 vo_x contre 3, & lu, séance est lev^. Paris, 5 ootobre : La Chambre et le Sénat ont votS projet de loi autorisant la Banque da France à porter da 12 à 15 milliards de frames sqs avanças à l'Etat. a « s Paris, 5 octobre : Au cours de son premier interrogatoire, Bolo Pacha a nié qu'il eut re^u d^ l angent do provenance allemande et |>réfe$nda que ceilui qui lui a envoyé lsv banque \lor-gan avau éfc'j déposé chcV. elle à Notv-ïork iKi-r lui-méine qui l'avait touché i l» Banque Royale Canadienne à. la suisa d'heureuses opérations financières. * Paris, 5 'iCVabre . L',,Œuvre" vient d ytro suspendu pc-nr liuit jours. D'autre part, le dernier nu- oiéro de „ L'Action Fian-^uisaf' a été saisi. * û * Berlin, 5 octobre : Lundi ou mai'di, la R/sachat-ag c};sr.'-uè^à la polidque extérieure. Le Chance^ da L'Empire prendra la parole. * « « Paria, 5 octobre : L'Agence Bavas apprend d'Athènes «pa M. Lambro» a refusô d!e ooinparaitr* èo-vaint la commission .^àriementairo. bon &£*• i-estation a été oiSoinuée. M. Skouloiwîiâ & été arrêté pour le même motif. « (Ci * Berne, 5 octobre : I-os journaux suisses publiant une information. parlementaire de r„Iiiea NàKioaâlV', l'après laquelle, outre M. Bosel^i. pr^ ic.it du Conseii, 'M. Sonnino, mintjtxa de® iffaires étrangères, traitera la question de a guerre et da la paix à la procnajne réance de la Chambra. Le journal prévois jour cette séance un changement dac/s l<ss ou&-secr3taiiv»5 d'Etat. 9 « ♦ Rome, 5 ootobre : Le décret contre la sabotage da gu-sr-ry a signé hier. Il prévoit^ à charge des c<6-inquan-s, des peines d'emprisonneusint pouvant aller jusqu'à cinq ans et des amendes )ouvant s'élever jusqu'à 5,000 lire* Ce^i ici n es pourront être portées au double daG3 les cas particulièrement grave». (1) 8nits ds la dqp2clis publié# Gn ti'fe DépCoh^s diverses > d« notre saum^b à'klc-r I COMMUNIQUES OFFICIELS CoLa^aiiicjaés des Poissaacss Ceotralss. Berlin, 6 octobre. — Officiel da eQ midU : Théâtre de la guerre à POu«at Arsncçg du fold-maréchal prince héritât: Rupprechè da Bavière : Dans le secteur de combat du froofc eu Blandre, la feu de diversion, qui a éoô violent tout ie long ds la journée, a est transformé le soir en vague» isopes de feu roulant en ira Poelcapeiie et Gheluvelt. Il n'y a pas eu d attaques anglaises. De» dîtacho-ments de reconnaissance ennemis, qui on* pria l'oCensive, oni éta rejetés. ' Arm*^4 du princa h ritier ailamaïKl i 1 Au nord-est de Soissons, l'aouvisà do l'artillerie est devenue plus grande ot plus systématique la soir. Au nord-est ds Reiuw, ' une atm/^ue franyaise a échoué. iSur le» deux rives da la Meu-^e, près d« Maloncours, de Bétiiincourt, d© Forgea, de tamogueatx. et de Uezonvuux, nos troupe^ d'assaut ont pénétré dans le® positions ennemies et ont fait dâa prisonruer» sur tous les pointa. le ven« soufflant eu tempêta, F activité a^ rianna a été lirai téa. î«jous avons deseandu cinq avions ennemis. La lieutenant Millier a i^empone sa vmg t-neuv ième vicioiie aérienne. , lliéâtra do la guerre à l'Est. • Pas d'opération d'envergure à signai^. Front macédonien. Sur plusieurs pouua, les duels d'artilles-j*. i ont éto plus violents que à habitude. A l'est du lac de Doiraji, des troupes de oou~ 1 verture buigaies oni repoussa l attaqua pro- 1 nonc-ts pas un bataillon anglais. 1 * ' • Berlin, 6 octobre. — officiel d'hier soir -. . lin Flandre, vils combats d aa-tiilcria easra ' i'isar Cv la Lj'S. Pets d'autres evénemeut» e»senyeis. « i Berlin, 6 octobre. — Officiel : ! Dana la zona iaierdit-a autour de P An- c gleierra, noa sous-marius oui, nouvellement 1 couie 17,000 toimes da jaugeage. Parmi ie>» navires détruits, il y avait trois vapeurs arinva dont deux da nationaaié angtaa-Hi, aarisi que le cotre de pécha „P. M. M iionald". 1 « * * Vienne, 5 octobre. — Officiai da mi& i 1 Paa d action de quelque importanca. Sofia, 5 octobre. — Officiel : Ea Macédoine, sur toui le froaji, faible ; activité d© 1 artillerie, un pou plu» violenta à l'est du Vacdar. Cou» ta ouragans d^ feu dans la boucla de L* Czerna. Daas vallée de ia fctrouma, activité des patrouiL i lea. À proximité de l'embouchure de ia ' fetrouma, un détachement de reconnaissance ' emiami a été mis en fuite ptiûr notre feu. Dans la vallée du Vardar et dans celle da de m Strouma, grande activité aérienne. 1 bur le froni en Roumanie, à proximité j ds Tuicea et d'isaecea, ainsi qu^à l es"- de 1 0-alatz, canonnade* Sut le front du Seresth, nos désachem^ats de reconnaissance ént pénétré dans ia posi- ( tion ennemie et ea ont ramené tka pri- ' soiiniec» el des mitrailleuses. « f Coustantinox>le* 4 octobre. — Officiel : -Sur tout le front du Sinaï, violent feu fc d'amlléiie. La 2 octobre, un détachement ennemi, comprenant trente escadrons da cavalerie. un bataillon d'infanterie ci deus batterie», a tenté d'attaquer notre ails gan- c che, mais il a dû^ se retirer le jour suivant, t .Rirai de particulier à signaler des autre» t fronts. d * te * ConKtantinopIe, 5 octobre. — Outcicl : f Sur le front du Sinaa, sur l'aile droite, le l'eu de F artillerie et des lances-mines est L devenu plus violent encore- La nuit du i> t au 4 octobre, l'ennemi, fort de deux coin- ,, pagaies, a tenté d'attaquer notre a.la droite. -■ Notre feu l'a forcé à sa ret rer preeip.tain- ^ m:-Dt et nos patrouilles l'ont poursuivi. Sur plusjouia autres pointa du front, de» par- r trouilles aaiglaises ont pris l'offensive;c-les oi.t aussi été repoussées par no;re fou. î Sur les autres fronts, pas d'événement particulier à signaler. c ^ Berlin, 4 octobre. — Officieux : 1.9 4 octobre sur 1* boni eu Flandre, ka An. a gLi- ont tciit- d aKric-'ter une décision demi la 0 biitiviilo qu'ils livrcci pviix la po-.-e-^sioa éo iw-tr® u ix^e ii$ EouS-iuariisà ; iixtUut ou li;aa« cnm^or-ïuiitcs forces et u3ant <îo tous i?5 uioycaô itoiu j. iia disposez^, lis ont engagé ces coruba-s c» grand et^le. Unsa grande partio de 1 firtu> e br~ v tannique a i'ti lauo « contre une fraction rouie- M îaecnt ds l'arxu^o aiioinaruie. Diepuid le lever 'i» jour jusque tard duz& la solide, la baraili© acliia.ivf '# a sévi. Si L°. préparation d'ari.ileri» 4j faite œa dernlars jours a d-pusa- tooit co que ^ 1 on a vu jusqu'ici Jê- CliarcliûSl & d-.-cla-r»-le il octobre que, pendant les dernlèr»s semaîusi 11 stroêescoui, les Anglais ont ©mploy** en Flandre é qu-ttra loin ama.ut <Ie gxccad.ea en a • <c V 1-ijiC ©a en. 1916 an cours» de la baîallls ib L Sor.aiiO — du»! d'artil.cria. qui a m^e con- G tinao alors que ia bataille tt'vissait, a anaai atteint une violene® tncunnuo jusqu à pr ient. A l'auto, I'cr..ri«n-t a laco^ d# forniitîabîes iras?*# d'infanterie, cchelonn)ê<« ou eoloiuiics profonde*, conue le eeclear co='n>prts entre le ohemiri c© t«c Bociàn$i;*-£t-id.ea et i« canul de Roiie'. eke. div is'r- ïii augbiisos australScrm©' n-:o-z, ia'»]aii>.^ ° et éoofiittiSf44 qui prenaient l'offensive, étaient s: u;;zai'<i>M'n.eM suTvleB «e forte* r-PcrvcS. Toi» 1m uio-yene a'ftîAaque inventi-'ô par la technique mUitairo iaodfrne on* été utilisé* pe-r béni e-ui pour soti assaut. Gr^oj. à no» contre-attaque-* inap t jflusp;= hri3bn>m«Tit «x'-oufi-'es, ie combat o acharné c?& doveno (Funo violsn.o extxCxie ; tout -> !o lonf d-j jour il a e ave^ '.2n® intensité égale j( b»ir t.r'is les pointe. Sans rclâche, 1 ennaioi & e>^ e vayô es sotiveain renfort* dans la bataille ci. ^•■ias se sejacio > do ois pertea. ii a tant d:' fcea- ^ dre le* succès qu'il a remportés au" début de son acîi'/u. Poeioappeiio, Zonneta^o ci Giieluveit ont ét.- bientôt ùw endroits les plus ebautie^ent C] disputés, 'lard dsne te. st%:e l'oî^sssi a tent- b. u|:;« fois encore détendre le terrain qu'A o.vr.k g ^ag'.ïé etsr noie profondeur d'environ 1 kilométra. A 0 heures du soir, il s lano; des iruisfces d'infanterie fr»ici:e^ à l'attaque contre le front d* dos champs d'entonnoirs eitw'a ù l'ouest die Pa^. schendaeje <t il« Etecelaero ; à 7 heures tVu Soir, ij une noinellj aitaqu«» oxécuté® par d'impcrir-intes forces fraîches, a ^'té d''clajïeh*'-e pnj les Anglai» ^ •J'jf donx eût-s de la route Yprc^-^'enin- Dis «iom- ' bat d'un acharue-nent fextKme s'eai da nouveau h1 engagé «î n a pas dona' k l'ennemi îo rDoiudrs r? nouvel avantage. Vera 10 heur en du eoir eeidc- fc n.eiit, la ba-taîile d'infanterie a dlaiiaué d'inie®-Bit'*. \jqs objectifs très vastes qus les Anglais s'.'talent assignés' Pont lodn d'avoir été atteints. Rica ne peut égjaler les ef'orts et l'héroïsme nos troupes qui, en Flandxo, se ôronvQ./t cîepuis (:ea BCSiirâaea uu milieu de batailles acharn'e3, eu Oî faeo d;'uca ennemi oui leur est de befiuccup su- gr p rieur en nombre et qui v*ut ou qui doit ofe- g-tenir c)-e d 'oision" avaat la fin do pann e etv core. En essayant de cacher leurs varies objee tifs qui devraient décider dxi sort d« la bataille lob Aiiglai3 nient l'évidence et no font que moP-trer prudents, Ce que leur implose du resta i'exp.'rience que lonr a valu leurs appr'-ci.itio: s ant '.rieujf.B sur les bataiHcs livr.'cs en II au ire. La cait 1'©ancrai a Oontinué à d'rigca- son feu P" destructeur oo-ntro nos lignes; celui-ci e.i devenu •'{ plus violant à ccrbai^a euùiroits jusqu'à l'aube du bl 5 octobre. fg Alors qne sur b> front d'Aj r-as et if'nis la ré- , > gion do SalutQûeatin, le, fg'j do ^ l'artil'cerie n'a ^ ('t'! violent de part et- d'a^'.tro qu'à ecutains en- X;, droits, sur la rlvo criontall ëe la iVua «u **■' répumile, aprs us>e fort® proparatiou 'ait^que fran .eJae qui savan^eat a ■ * d oU>c<<iiAt deuj côt-6 de is- hauteur S4t. four la ïicme foiti en trow jours, d'impor ante» ior«-û» laniea eo sont vainement inné ©s sur un frosèS l'em'iroin 2 kilonicl.es, consre' la position q^s? tous venons de cenqu rîr ; eiiai n'ont pas . gagner un pouxa m t-rraia. Lo nou>ei eclw# . de nouveau coét: aux rran^ais da tr^a formât >»rtes sanjiian'5» ei des priioiirûero» Communiqués des caTaésa alliée® Pans, 5 octobre. — Oiïiciel de 8 heures t L'ennemi a tenté sam* »uoces plaaicuis ioups de niain au cours de 1a nuit, uent en Champagne à 1 est dé la bufcija ûâ îouam et en Lance*-Alsace vers Miciitiioasà^ /lolentea actions d'aitaLerie sur la riv« hoite de la Meuse, dans la région de ionvaux et da la côte 344. »> Paris, 5 octobre. - c Li.iel de il heures « Sur le front ce 1 Aisne, nous avona /Otiasô deux coupa de main teutia par l'ea» tenu au .sud-Oit do Chevi^u^ ot à l'est dç Jeraj. En. Champagne, aoiivitè récrpioqua I1» Parailieria à 1 ouest de Ja feriiie JSava-m et uaiia la région dtjs Monts, dur ia îve droite de la ikeuse, notre artillerie e >r-*s sous son feu es dispersé des ras^cab» nemeJiLS enneiiais Bigiuil'a dans la regi>^a lu ooia usa C a lu es. Jo urin e ealnra i»ur te este du iront. f t it Londres, 4 octobre. — Officiel : L'attaque que noua avons prononcée ««a m front de b mille* a complètement r-iws^ l'ijus nos objectifs ont t^e atteinte; daaiA toua sommes emparés d'une position tçCJa inpc rfcante. L'un» de bj(X)U prisonniers iéjà entres dans les caanpià ds c-unceiii i ra lioa, -a crete principale des coJinea juaqu'i usqu'a 1,000 yards au nord de i>rootisciiulâ st entra nce mains. ^ous nous ôuiiifflei emparés du peut vi», âge d© Polderhoaii ; en outre, noua avoaa épuisa i ennemi de nombreuses formes si* mes au sud et à l'est du bois da Poi^ ;on, conquis Molenorelshoek et Oraveaat&r afon et atteint jc>s aboitiâ de Pœica^niL^ JSotre niarone en avant vers noua objes. if ûtiad a aussi éfcâ fructueii^e. A' oua ornmeâ emparée dea viiiagoe da Leuici voordwesdioch, aimsi que du platwtu Loniane Lc'eeJ.aQi-o ot Broodfiéiuoe, et noa« iccupona a pré sent de bonnes positions ttss a eréie des col.mes à les» d îpres. La plus granda partie tis Pœieapeiia «rsa atre nos marna. Avant raidi, ea viLcvg^ tnna que tous nos auiros objûat^a, étan^ n noire pouvoir. .Rome, 4 octobre. * - *0&iciel : Le^uaa le Z ootobre au soir jnscrua lum iprès-inidi, l^a opi'rauomt ont coniinué ea valsants occidentaux du monte tSau ;riele. Les attaques réitérées tant ea pmt ennemi, aveo i appui da nembrenses ^ roiuLtia et a&saut, s© sont écnouléts* ioire feu. Un -raid i'ruéiueux nous a j*»». aiA de faiie prisonnier», d oinciera et lommes qu' se tenaient dans une caverrai à an» le secteur de liaco^liano, noua ave*^ ait 27 pi-isouuiera au coaas d an heua^. oup de main. t>ur ie ris.6 duN front, ac^ •ne habituelle des deux at'til.eries. Un avion ennemi, attaque par no» avas» aurs au-dessus d; Au7.z,a7 a été forcâ h, ïrr»r dana nos lignes, l.sa aviateur» riehaena ont été faits prisonniers. Pétrograd, 4 octobre. — Officiai : Sur la front septentrional, dans la r%io« e -iaÀobs-tadt, faible activité dos ^ iMenes. bur le r^ca du froiit, fusilnide* <js pcrationa de détachement» ds reconnus. anc«. &ur la front à l'ouest et au Bnd-oisoa^ usiliades. ^ar ia front ea Roumanie, dans le» uns du village die i^oitana, à 10 kiloraé* ies au nord-ouest de No tin, 1 enneiai 3. bandonné ks letranciiemcnts où é0 tea^i^*» &s avant-postes et s'efti retiré iégèiHim*jug ur une position un peu pics avaniaxcuj^ l^r > resuj du front, pas cLts -wodiJicatâe®â iibla feu d'artillerie et fiasiliades. tour le front du Oaucase, rien da partais», itr à signaler. Dans ^ la Baltique, la nuit du 3 octets^ es hydroaviGiia ennemis ont exécuté à.3> os de reconnuassance prés cki Zerel cl) et près de liaina&ch, à 60 kiiomesvtis u sud de Pernau. A Zerex, l e^^iya, 'une bombe a tua 70 hommes e* ea» tesié 4-1. L»aus la mer Noire, dans la région èa ^osphoio, nos torpilleurs ont détaxai d^s* oiii^rs ennemis cnarg«*s de charDoa, airejâ u un. remorqueur i un autre voiiiar a eèft ip^uré. Une escadrille (F a viens ennémij» a s St;v ué la village de Km m. ^itue au suoou^ 3 ia in-tairie de 0amninucvo;yf eUï a mcé 8<) bombes. Trois soldats on* i quatre blessas: en out'-e, quelques aux ont péri. Dépêches Diverses jRoniQ, 5 octobre : U sa confirma que M. CaLn.epa> oornsfuCB-'.)SQ géjiéral ds l'alimantaciou, e3t Lonnaire. « SJilan, 6 octobre ? x.e bruit court quQ M. Ca*V5£>a, directe^sï ânéial de 1 alimentation, Sçra remplacé .. Giufi'rida, son prem ec adjcàn;. Quciiu^a lurnaux radicaux n'approuvent p;ia cc oi\og« i estiment que la bureaucratie i'èg.utç& vani comnie après sur les services d® entation. i:e correspondant à Eome dfl la ^Stampa'» •oit que M. Canena Contiiméra vrais^al^u Lement à faire partie du Cabinet; il jrait un autre dépavûenissit. » * * Paris, 6 octobre : On mande de Londres à l\,EcIio de Pô-s" ; — Le gouvernement a offert au Boj ansférer momentanément ia maison rovt^ >rs de la capitale. Le Roi a formel:ereaj»vî j'us/i cette offre, bien qu'il sa rende iiement compta du danger qu^a pri'sent®^ s attaques aériennes sur Londrc'. * Londres 5 octobre : Dix mille ouvrière eardeurs du bttati'oi^ irt demandé une nouvelle augmeuta-.ion te Jaîre et menacent de sa me&ire en ils ne reçoivent pas satisfaction. v Sfcookhohn, 5 octobre : De, r„Aftéînbladet" : — L'interdiction complète des exporta-i mis cFÀngïete- ra vers la Hollande et lys scandi-naves est certes un coup tr<> tr pour nou3. Heureiisemant, nous avons _ pef-sj.ective de pouvoir nous tirer d a& ire avec n*3 propres ressources au^aa-&s des artivagos du sud. Si la -Gcandr-ectagns vefut nous réduire à merci, elhs atteindra »v->.s son but.

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Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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