La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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09 februari 1915
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s.n. 1915, 09 Februari. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/7s7hq3t932/
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_Marai 9 Février, lùio N* 95 ]\4 A rri 1 vï Fpvripr 1Q1F LA BELGIQUE ADMINISTRATION ET RÉDACTION B. Rue Slonlugne-de^iion, S. IIKUXBLLES Bureauw : de 10 à 12 et de 15 à 11 heures m. i • JOURNAL QUOTSDIEPJ LE NUMÉRO s lO CENTIMES iLa petite ligne . î 0.4Ô Réclame avant les annonces ..... 1.00 Corps du journal 4.00 Faits divers S.OO Nécrologie 2.00 LA GUERRE 190"" jour d« guerre Les derniers communiqués de Paris et de Ber! soulignent le fait que c'est l'artillerie seule des a co^es belligérantes qui a été vraiment active à la £ de la semaine dernière. Leur infanterie n'a guère < k intervenir, et en tout cas son intervention, qui modestement abouti çà et là à la prise d'une tra: ebée, n'a pas eu suffisamment de relief pour qu' «oit besoin de la commenter. La dépêche de Vienne, la seuile que nous ayoi tort d'abord reçue relativement à la guerre dai rEst, oonstate d'une part le statu quo en Pologr et dans l'ouest de la Galicie, et signale de l'autre 1 violence des combats engagés sur le front dans I< Carpathes : notre carte ci-dessous représente ux vection des plus intéressantes de ce front, celle qu «voisine les défilés de la montagne aux environs d ^Tuch-olka. La même dépêche ajoute que les propre «es troupes autrichiennes s'accentuent en Bucovme et qu'à la suite de l'évacuation de Kimpolung par le Russes qui battent en retraite, cette place a été réoc cupée par elles. Le communiqué de Pétrograd du 6, qui nous es parvenu ensuite, ne dit rien de la marche des événe ments en Bucovine. Pour ce qui est des Carpathes il confirme les indications russes précédentes con cernant la tournure qu'ont prise les hostilités au suc du col de Dukla, sur la ligne Zboro-Sztropko-Mesi Laborcz ainsi que la résistance opposée à l'offensivt austro-allemande dans les cols des monts Besyiden depuis la région à l'est du col d'Uszok jusqu'à Wyzskow. La même dépêche signale en outre des combats mais de moindre importance, dans le sud de la Po logne, ainsi que l'opiniâtreté des combats engagés en Prusse orienta-Ie, dans la valJés de l'Inster et de la Scheschuppe. La Scheschuppe est un affluent de la Mcmel, qui venu d'au delà de la frontière russe, coule de l'est à l'ouest parallèlement à la Memel en Prusse orientale sur un parcours d'une trentaine de kilomètres, tandis que l'Inster, venant du nord, se jette à peu près perpendiculairement dans la Pregel à [nster-surg. C'est dire que les combats en Prusse orientale; ionf le théâtre est tout à fait en dehors de la région dangereuse des lacs Masures, se poursuivent à"unc juarantaine de kilomètres à l'est de la ligne Inster-ourg-Tilsit.« * # De la guerre austro-serbe il n'est plus question depuis longtemps déjà. On n'entend plus guère parler non plus de la guerre russo-turque, à l'égard de laquelle le silence tend à se faire aussi bien sur les opérations dans la vallée de la Tscharuch, au sud-est de Batoum, que sur celles dans le Karaourgan entre Kars et Erzeroum, et que sur celles dans le nord de la Perse, où la réoccupation de Tâbris par les Russes n'a pas été contestée. Par contre, une dépêche de Constantinople reparle de 1 expédition turque dirigée contre le canal de Suez, en avant duquel ses avants-postes sont arrivés et ont livré combat près d'El-Kantara et d'Is-maïlia. Il s'agit sons doute des premières rencontres récemment signalées par l'Agence Reuter, dont l'une notamment à Tossum, non loin d'Israaïlia. Les avis diffèrent sur le point de savoir si le gros de l'armée turque, avec tout son matériel, suit de près l'avant-garde : dans 1 affirmative, la preuve serait faite que les grandes difficultés rencontrées pour assurer sa longue marche à travers le désert ont été vaincues. Le pays à travers lequel elle s'est avancée est tout diftérent de ce qu'on s'imagine généralement Au nord, entre Port-Saïd et El-Arisch, s'étendent des plam-es sablonneuses, mais au centre et au sud de La péninsule du Sina'j le terrain est non seulement accidente mais montagneux. La configuration de cette région ressemble beaucoup à la frontière nord-ouest de l'Inde. Sur une distance de près de 240 kilomètres, l'armée turque doit s'avancer à travers un terrain coupé d'arêtes et de collines. Elle a été obligée d'-assiurer le transport de ses vivres, de son eau et de ses munitions au moyen de bêtes de somme sur un très long parcours. Pour se. procurer de 1 eau, il a fallu forer des puits et en! assurer le transport ; on se rend compte aisément que ■ ces diverses opérations ont exigé beaucoup de temps. C est donc aux événements à démontrer maintenant s'il est vrai que, malgré toutes les entraves, le gjros des forces ottomanes ait déjà réussi à approcher suffisamment de son but pour tenter une action séneuse sur les quatre ou cinq points où il est pos-yble d'attaquer utilement le Cariai. On sait en effet^ qu à raison de l'inondation d'un vaste territoire à l'est, et à raison aussi de l'existence des lacs qui en constituent sur divers points la défense naturelle, te Canal n a besoin d'être protégé que sur la moitié de sa longueur. Cette cireonstanoe facilite la tâche aes corps mis en ligne par les Anglais, qui auront du reste pris des précautions pour défendre l'ouvrage grandiose dont le contrôle représente un des principaux éléments de sp -1 -^-^r^iale. LES FAITS DU JOUR % — Ditws journaux — qmj «'éditent, «d province- m» -1"3 cemaore <!f k-w ville — ont. j - ou<é le résumé •suiv««t& d'usée & — Dans fa maison oommimale. d'une petite localité ci tn ^ landrt», le roi Albert a cioané aucfcieja.ee à un corn r. pondant do J' c A«*ociafccd Prean > des» Etats-Un «ît-i-e-tenu de l'état de son a m ; r humble ooramune où f entrevu® a eu. lieu est une d rares qui aieut échappé aux mondationrs de l'Yser. l^e Roi, quo portait t'uniforme de général d'artiller 1- était seul, lorsqu'il reçut le correspondant. Une mode il t<e lampe à fbuii-e éclairait la. petite pièce ûombre cF< ^ deS Bel^ l'es opérations die ses troupe Albert 1er loua beaucoup le courage de ses soldats. < « sais, dit-i] que mon armée est brave, mais mon pe jj pie est trop démocratique pour être bien discipliné ; v< e la pourquoi mon armée n'a pas la même discipline qi a les autres armées. Quant à !a bravoure des Réigws, vo; •5 pouvez l'apprécier quand) vous voyez icd les paj'sans en e' VCT pai&iblenuent leurs champs, malgré te danger qu'i courent à chaque instant et qiroiqu'à tout moment ïe-u || fQ^Lsa^ puifisent être rasées pair le feu de l'artillerie. Le Roi continua en racontant quel nsauvais effet | perte de leur patrie auivut fait sua- Les soldats belge? oet effet ne fut un pe-u atténué que lorsqu'à l"*Yser i reçurent ordre de farre volte»-face- pour défendre Calais mais quelles p-e<rte© énormes ne coûta pas cette dépens de J Yse>r, sua^tout après que Fosn, eut rampai les diguiec Lorsque le oorresponilant eut exprimé au Foi ho d^~ de voir La batailil«e utôme, kj Roi le prévint du dangn qu ii courrait et déclara que Mme A^quith, qui ava voulu satisfaire pareille curiosâté qiîfàqu-es jours aup, ravant, passa des moments terribles et-* faillit être tu-f par Les obus. Le Roi lui-même se trouve toc.i-jorars (Lane la zone dai gueuse, car diane toute l'ébend-ue du ebarnp de b:».te.iV il y a peu de teimin que les canons allesnancbi ne riei nent pas sous leur feu. Le Roi ne voulut par parber de la perte de son trôr e<t., sua* jy remarque du journaliste quo l'on orovait qc dans trois mois jl serai r- de nouveau à Bruxelles, il ponoït : « si vite, mais j'opère qu'un }oiir vif'axîir; où je pourrai entrer oans ma capitale à la ttte des troi pe8 qui rue sont restées. » Non loin du quartier-géTiériU se trouve, en dehors c! la zone dangere-use, la re-iu© Elisabeth, qui est. à la tâ' c une ambulance et fart tout son possible pour soulagî les peines et tes soujf ntncçis. i \T0îi:t de publier, en la disant émanée d?u.ne tre hflgtejjscg^nnalité, la lettre suiivante, dsans laquelle 1 " oomroandaiiwie la ror&rre-sse de Glatz,le baron Gnegon 3 / ^ P bou.rgmestre de Bruxei'I-es, M. Ado , ipe Max, ^rensergrrc-rn.en ts ies pluG i^ntéres-sants : ? ^e bourgmect^e, Max a été ewoyé aux arrêts de foi . .feeresse à Gîafcz cù k>s officie-rs prufr:i;ens, eux aussi, pui Sent leur peine de forteresse. Tandis q-ue ces officiel ne (.asposeut que d"u2ie seule pièce ineiiblée très son: matreraent, on a astsigné à/M. Max çlîpiux pièces (un chambre à coucher et un aalon^q-ui ont été rfiviî.bk' pour lui. Sa nourrl'bure et aes boisson?, il tes fait veni - pu mess dey officiers, et on do lui a rrnpcaé aucune i-ct [ gnct.ion à œ peui.t die vue. Fi a pu s'abc«nne®ià un jouims I wuisse, le « Journal d!e (.ïenève » et i*cçtyht eu outre de ; îor.L^rhau'X belges qu'on lui envoie. Un ordonnance a ét :'commaiirîé pour -son service prirsonmel. Do huit heure du matin à 5 heures de l'après-midi, il peut se proinc neir au grand air. Com.me le bâtiment, dans leq>uei] M Max. cet interné, Go trouve dans la forteresse même, j ; lui ai permis de 8e promener non seulement dans la coin irais aussi sur le- chemin dx_" ix>ndt3 des bastions, de façoa :a jouir lie la belle vue qu'on y a sur le paysage de mon > tagne^£çndant sa réeréa^.aon, ij peut s'entretenir ave « m S,iq-ui S'y e-ax aussi. On a offert ; iiax de faire des excursions dans ïa ville eit les en I jurons,naturellement en compa-gnie d"un offoefeer : il a re è fuse en déclarant que ce serait «en dessous, de ea digivi:. é I de ne sortir qu'accompagné. Pour le- même motif, il nU y .Jt ^ u;ne de la permission d'assister au seir <M"vin. Gomme je s-uis responsable de sa pea-soniu d-crvamt le ministre de la guerre, je ne puis pss l'autoffî r sfer a se pmmener en ville et dans les environs auss longtemps qu'il refase de se faire accompagner par iw ofnci-jr. L état do ea santé cet excellent, suivant les dé clar&tions du médiecin de la garnison, qui lui rend visite de temps en temps. M. Max a affirmé à l'officier d'or . nnance du comm.'uidant, qui vient le voir nres-qui journellement, q_u'il se porte très bien et qu'il u'â^^-ui niotii ae se planjdre. » On pourrait croire que.l'es émotions de la guerre nui sent, aux travaux de® savants. Il n'en est rû^n : les jour naux français annonccpt entre autres que M. Stan.ifJaj ivlminier vient do terrniriier « une ti'ès remarquabLe étud«-snr i explication géologique de la géographie de k iune! 5 La lune, disaiton, e«t un astre mort et la terre esf un^afître qui moun-a. Et cependant on n'avait pas. ius-qu ici. retrouvé dans les traits du « cadavre cosmique a qui nous acco.n i pagne si fidelement des preuves évidentes que son état actoeil nous soit réservé à nous-mêmes cans un avenir* plus ou moins lointain. Or, la théorie des phénomènes volcaniques a conduit necessanenient M. Stanislas Meunier à com^ater le «pas-sago j> qui noue manquait. Sa démonstration, dJune ri-guieair scientifique absolue, aboutit à la conclusion que la condition lunaire -est réservée à no<tre planète mais — tranquillisez-vous — plus tard, beaucoup plus tard. et nous apprend d'autre part que la lune a joui dans le par*é de la même constitution et du même mode d'actif Vàté que la terre, dont elle ne diffère que par son voit# me plus petit. Que sont nos cataclysmes an regard pareils événl ments cosmiques 1 A la Chambre dos communes, M. Ascjuiti demandj .1:1 Chambre de oonsacra*.tout son tehips.^nrTrfà»is-sior. a os propositions du gouvernement, J?fexclus'on de celles émanant de l'initiative privée d-*J aimôtSS de lai L h ambre. — Ma domando est sans précédent, dit M. Asquith-mais toutes nos énergies doivent, ajoutc-t-il eon-cratrer sur la guerre, à laquelle tous tes autres intérêts doivent être subordonnés. Le gouvernement sait qu'en agissant ainsi il prive tous les membres de la Chambre d une part de leur initiative, mais il est loisible à char qu-e membre, en retour, de demander au gouvernement qu il limite ses propositions aux mesures législatives nécessaires a la. ©ontmuation de la guerre. M. j^nrgj^w prend la parole et répond : — La^T^nan^e dlu ^uvernc.n^^di^iKeot raisc^nable, Ln temps normal, 1 opposition hésiterait certainement .a donner o.e toxs pouyoi-na, mais eilîo comprend que le ca-^binet a 1 intention d'agir oomme le gouvernement français. c'est-à-dire do considérer ootte session comme une a'.ssion de guerre, et que, aussi longtemps que la guerre ?• >25a' gouvernement n'introduira pas'de propositions, pouvant amener une controverse. Le groupe socialiste des Chambres fédérales suisses, réuni a Giten, a pris position dans la question des impots fédéraux en se déclarant favorable au principe de I impôt de guerre. Quelques observation» inrtéreosantes du collaborateur dm <c Times » qui traite dans ce journal les questions de .inarine î — Braucoup de ch<Ke^.^^^SSSfeS-; ont été éontes flju sirç«t de 1 frfhploi du pavillon tteutire par l«s naviires marchands. L'Amirauté n'a pas de rtxw.ifs dp doinmex die® oitirpe à oe Buj«t «t je ne peœ» jia« qu'eLle l'air, fait. I«reqr» la si(m.->.fjon est dotwo.1». les bàtimente'' die commeîrice n'ont pas lie droit de fle seirvir du i>avillo^ l KO.US7-B, niait les usages de mer et die nombreux pré «nfemsuit l'emploi du parillon neutsx- |>tr ■ »vre quia cherche à échapper i l'ennemi. Il n'ewt I jj. " n(" nation pœsfKiainit une flotte oommeaxvia/le de- qwle :i_ i:;jpoi"t>;mce qui no trouve de parenlc exemples dans s tnatoire. Il y a peii «farinées, aîars qu'elle était iwmt.re. r/ ,_t. S gietterro avait recommi ce droit et (kmné à ses repr&>: ,s_ i-Lnis à l'étrangar des instructions en oe. senc. Si r Ls, ,lilvir.'« de nommeroe arborent le pavillon naistre pc IK- .'-ous.tii-aLi-.ç aux at.taq.ueis dV eous-maiin eimemi, es auirout la loi eaix. e. Nou» a-vkyis^ fait allusion à une information p-ub'-i e. les jj^îr'îiaax anglais pi-étendan^t que. le sous-mai Xlleiaa.ncy_lj-gx, lors de son r:ùd dans la mer d'Irlanc s.y avwnt-feé rav-itaillo en huile par un navire battant pav 1*4 lon gouvea-nènicnt angiais-'ritaït de d^clor u- f" pouv(Vfn-e.rncnt danois que rien d'officiel n'a pu ê-t »i-ï. ™"aW^«;niceirnanit pareil fait. 104 ^s&tprèa ime infonnatteH d'un journaJ -rafîSSTtii Rt 1- aua-aoït acbaté aux Etats-Unis admiliiocs de livr -^iV'1"0 expédiés par Vladivostok. j En Angleterre, les propriétaires de càarboïknageB ta . nvpagnies de chenvins de fer sont en grave diseï . sion sui- les motifs de la hausse du chair bon. ls 6 C-^'î'pagnies démen-teait qu'elles aient élevé leai tarifs de transports et décla3*»nft qu'elSes ne sont p ;s suite aucunement responeablics de la hausse du co? , j biistible. Les propfnétaiii-es- dJ© charbonmages maintie n,",nt que :a hausse est bien d:ne aux Compagnies 01 >T fauffe d'une lx>nne organisation de lec.irs ftf^rvi-oe^^ n'ar it P^e ^ transporter les gros stocks de charhon exi > teivts- Compagnies ripostent en d-it-ant qu'elles d< e V!r-n® avant tout assurer le ti-ane-port des 'Soldats et < matêTiel de- gueri^ ob que dès lors... )- La discussion peoit durer... e - ' >■- lia semaine dernière, les-dépêches franvais^»?1 y??»^ qu# !'es Al]eiTr.«jids avaient iancéxfTnbrulot^si .t et elles faisjikint- J y -i t>Y*<3 : jdurs d" une nouvj lie ten tative de cette <?<ïp&c fur um,aujure rivière, l'Ancre. ls | engins seajib'lables.: ont été utilisés d.pns les gue l" Ff8 i pa^e et deç>iws bon nombre, de slèclrs. C'est ai: if5 ^ l"am.ra.î anglais Ixj-rd Hov/,ird envoi - eiruit brûlots contre FA.rmada espiagnola, qui frai.t i • itioiuillage près de Or-avelines, l'obligeant à couper » r ancres et à pendre la mer ffOur se soaûsiirarre aux b t^-^s-ux meend,'aires. On rapporte que 1rs Grecs s'étaica jdejà «sm de brûlots analogues en 1204 pour la défem s a>e Constantinople. e ; En !5«> b An versons, assiégés par le prince de Pa ' : envoyv.ronit des bi*ûl<jits fnsr l'Escaut contre un poi L" Ç®e *>°ts qmo î'^sdégeanit avait cons.tru.it au-dessus c neuve. Ils aménagèrent même deux bateaux spécian charges d explosifs qmi d.e\Taiont détonner sous iJaotic 0. un mécamsm-e d'horlogerie. I^e proverbe déoidémei a rajeon quand il dit qu'il n'y a rien de nouveau sous ~ soleil. 0 - o •m,rE^ro de janvier du :• Tbe Tiinea Enginee-ric oupplement » vient de paraître eur 36 pagf® et e« j presque entièrement consacré à la publication de 2ï rapports de sociétés industrielles de toute» branelK ® «tfiants tout le Royame-LJni. ■■ tLnvisageaat les résultats atteints par les gramkfo ■' fflanudactuaes anglaise ranuée dernière et leurs pn visions pour cette année, l'ensemble de ces rapporl constitue un document authentique qui met en plein ! lu Riîè-re la situation présen te des in,dustriea anglaise» , Oe document offre aujourd'hui un intérêt tout part j ciller, surtout en ce qui concerne les relations de 1 guerre et de l'activité du pays. ï 11 en résulte qu'un nombre considérable d'usines tn 1 ^ailienit avec une intensité extrême. Joseph Madarsz, un député hongrois qui, représeï tant la même circonscription depuis 18-Î3, vient idfe moi i ^ & 101 a eu, en rendant l'âme, un mot nitt-c resque : * — J'ai raté ma vie! L'Eternel aurait pu m'accorde quelques mois encore. Avoir vu t,-->.nt de choses rt n . pas assister à la fin de ce grand1 drame ! C'est la pr< | mièro fois que j adresse un reproche à mon père 1 j ^ jrillc't, le Métropolitain a remplacé aux portillons sur les quais, les hommes par dp s fen . m-es- Ces damer, font strictement leur service. Dès qu i r tram fnfcre en gare, elks ferment la porte et son m^orn.b,«s, malgré les prières des tard-venus. TiS un station que nouts ne désignions point, la gardienne qui n a p^s dû, comme on dit, p^inor en nourrice, rs énorme. A»*?.] ne coTvdamnè-t-eJle jamais le pnssa.g-qu on y insérant ©on imposante pp^nne. Cela suffît Or. deux zouave, p rossé s, ayant descendu l'eecalie en courant et étant venue briser leur élan sur l'obsta cle, voyaient là, à deux pas, la rame à p-^ine arrêtée Contrariés, iîs fon,.. un g/^ste que su.rprend l'employée du coin de l'œil, et l'un d'eux, en riant : — En] e von s la posi tion !... Maifi l'autre : — Trop difficile, mon vieux. T'en viendrais pas ; bout!... La grosse dame éclate de rire, s'efface et : — Passez donc, lies farceurs ! I/es ?,o-n.ives sautent da.nrs le train et, par la portiè-n entr ouverte, en e'en allant, envoient ides baisers à L « position ». .1-», In. guerre ^'aviateurs bcilgea, sou: oapitaine commandareÇ M^^u, n'ont, ces sé Jk/aire leur devoir avee le plus grand esprit d'abré i?a.T;ien. Pa^ un instant ils n'ont, reculé dp-vart la plui( ou Ja tempêto devant les ballies ou les shra.pnells. x our lois quatre {"Krcmrers mois de la guerre, les per tes de notre corps d'aviateurs ont été de 1 tué 2 bles Iséâ, 2 disparus et 2 prisonniers. En ce- ^ôrnert-^ncore il nie ce paies© pas de jour sarr: que nos aviateurs ne fassent d'utiles, mais dangereuse! reoonna.issanccs. L^^peur anglais WTiitb.y Abb^' f^Qt d'arriver ^ 'éctïa.p'pë à un sous:marin allemand. Lorsqu'i jperçuit le sous-marin, 'ê eàp'a'taine fit forcer la vapeua #t le navire fila à une vitesse de 14 miles, supérieur© à belle dtu soujs-marin. qiii ne put le rejoindie. * .. — " > Samedi matin les d'irecteiurs d:es principales compagnies de navigation hollandaise ont eu une conférence avee le ministre de la marinent i né la si'.na tion crue pot^^ei^.aux neiges holland^la leC^nte décjaa^t^TâerAHeimàg'nè: Au cours'dê^tte confércn-oe a ë ti5'Wfl«y«W11S"twÈ«îBîlité de faire convoyer les batunents de commerce par des navires de On a vu que les socialistes du Parlement français ont, demanclé au ministre des Affaires étrangères, ' M. Dejea-ssé, o intervenir auprès du gouvernement russe en faveur de Eurtsew. Qui e&h BurU>jw 1 C'est le nom — il s'écrit aussi Houi-tseff, à iâ française — d'un écrivain russe que la cour de justice de Pétrograd a condamné à la déportation en Sibérie pour crime ide lèse-majesté, en raison de la publication à Paris, dans le journal ]' » Avenir », de certains articles éerits par lui en langue"ruese. Druis un près d'Arras, des Roldats. ^lemands viennent-«B mettre à, table. L'un d'eux constate un oubli : ZEb ! la patronne, des serviettes I D U't en a plus. Alors, j Allemand, qui fut commis-voyageur : — Quoi1? Et oelles que vous ai venduosj'an dernier 1 Elles sont déià. iwÂpjiI COMMUNIQUÉS OFFICIELS on Conisiuni^ués aiieraarsds n-n-os Berlin, 7 février (Officiel de ce matin) : Au sud-est d'Ypres, nous avons conquis une tra ^ rhée française et pris deux mitrailleuses anglaise Au sud du canal de La Bassée, Tennemi est ent <ians une de nos tranchées ; le combat y continue e in core. Par ailleurs, mis à part les combats d'artill te, rie, aucun événement essentiel ne s'est produit sur i; théâtre de la guerre. er re * » Berlin, 8 février (Offcid de ce midi) : -- Théâtre de la guerre à l'Ouest. — Le combat per es /notre position au sud du canal au sud-ouest de I J Bassée continue. / ^Une partie de la courte tranchée prise par l'enn et mi a été reconquise. Dans l'Argonne nous avons a 6~ raché à l'ennemi des parties de ses retranchement m Pour le reste, rien d'essentiel ne s'est passé. ar Théâtre de la perre à l'Est. — A la frontière c Q_ la Prusse orientale, au sud-est du plateau des lac n— ^ Pologne a droite de la Vistule, il y a eu que if 'l^es petites rencontres d'importance locale, doi "i- 1 issue a été avantageuse pour nous. Pour le rest s- il n'y a rien à signaler dans l'Est. !tu * * * Constantinople, 7 février (Officiel du grand êta major général) : a,. , ^°s ava*rt~postes sont arrivés clans la Tégion lT ' ^t du canal de Suez et ont refoulé les avant-pcst< ku anglais contre le canal. A cette occasion, il y a c e, des combats dans les environs de Ismaïlia et d'E K an tara. > •a Vienne, 7 février (Officiel de ce midi) : w ^ La situation en Pologne russe et à l'ouest de 1 ^ Gai icie est inchangée. l" Sur le front des Carpathes, de violents combat ^ continuent. Au sud de la Bucovme, nos troupes continuent r. avancer avec succès. Les Russes y sont en pleine r< Lt, traite et nous avons fait hier 1,200 prisonniers. Beai m coup de matériel de guerre a été pris. Dans l'aprè x midi nos troupes sont entrées à Kimpolung fort< n ment acclamées par la population. 1' Aucun changement sur le théâtre de la guerre a ® Sud. s Dans la mer Adriatique, une attaque de nos avi: s teurs contre les transports français a eu du succè; it Plusieurs bombes ont touché leur but. <0 :s —— ,a Communiqués des sraéss s!l!ées s e Paris, 6 février (Officiel de 15 heures) : On ne signale pas de combat d'infanterie pend an a la journée d'hier. Entre Arras et Reims, il y a eu des combats d'aï [r. til lerie. Dans la région de Perthes et de Massiges, la s: ^ tuation ne s'est point modifiée. i_ Canonnade dans l'Argonne et dans la Woëvre Notre artillerie a dispersé des transports et a incer un train. I Rien à signaler du reste du front. f » * * Paris 6 février (Officiel de 23 heures) : Les deux seuls événements importants qui ont ét - signalés sont un feu efficace de notre' artilleri ^ en Belgique et dans la vallée de l'Aisne, et une lé e avance de nos troupes en Champagne au nor< de Massiges. t Pétrograd, 6 février (Communiqué officiel d; r grand état-major général) : Dans la^ Prusse orientale, les combats dans h vallée de I Inster et de la Scheschuppe prennent ui ' caractère de particulière intensité. Sur la rive gauche de la Vistule, il y a eu un vio lent duel d'artillerie sur le front de bataille. i Malgré les contre-attaques allemandes, nos trou pes se sont maintenues non seulement sur la riv< gauche de la Bzura, près de son confluent, mais elle; » ont encore entrepris plus tard une attaque et se son: i emparé? d'un point d'appui de l'ennemi, au norc du village de Witkowidz. X Les attaques de l'ennemi dans la région située 1 %itre Malogestsch et Chenzini, ainsi que dans la ré ; ;|ion de la Vistule supérieure près de Çhvàli-Bogo-. v|tze, ont été repoussées. / I i)ans les Carpathes, de violents cqKifrats ont ét< Hvrés au nord de la ligne Zboro->Strotko-Meso La- > Dans le secteur des cols des Bcskiden, l'offensive ennemie a été entravée. 1 S: Dans les positions 5»f'le col de Wyschkow et sut ' routes vcrs^laëifcrna, nous avons repoussé les attaques ennemies'^ Dépêches dlvarsss i: . ^ "Lonidres, 7 février : \ .D'après i'_« Evening Standard », les prix du froment seront portés la semaine prochaine à 60 shilling !e 0ua.rteT qui coûtait 35 sh. ava-nt la puerre. Le prix ohi |>u.in s éàèvo à 8 pence pour quatre livres, celui'dû'lâîï f 4 l/a-peneer-le-qoarter.'BlneeltiiTie la houille 34 shilling Jk tonne. - «*« ...-^ Paris, C février : L'aueiein gouverneur militaire de Paris, le générai d'e divîsion Michel, a été nommé oommamlamt de la zmu nord d'u camp fortifié de P-ario en remplâcenienft du général Mercier. Celui-oi a été mis en disponibilité sur sa demandjo. Le général die division Ijamaze a été nommé commandant de la zone sud du camp retranché de Paris. * " • New-York, 6 février : Le bateau-citeffne Ch-ester, de la Standard Oil Oam-pauy, qui faisait route de New-York vora Rotterdam, «i • fait naflifrago l© 23 janvi.ea* den-uiea*. L'équipage a éie sauvé" p»#4ô~vape«ux Philad (ilphia. * * » New-York, 5 février : I^e projet de.loi sur l'immigration a été définitivement reîeté. * Paris, 7 février : s. ! Le ministre russe des finances, M. Bark, et le cliaa-■ ctUer du Trésor anglais, M. Lloyd GeôrgtT, sont partà / pour Londres. —imur ^ r, * ' n . * * s jflome-, 8 février : ré Kier matin ont eu lieu, à la basilique de Saint-Pierre ^ les solennités et les prières pour la paix ordonnées par ; le 1 ape. L après-midi Bemoît XV s'est rendu à l'église, ou plus oe 30,000 invités, ^jl'i'PRrs d'une carte spéciale^ c avaient pris place. I^es ambassadeurs d'Autriche-Hon- *s gne, d Espagne, de Prusse, de Bavière, de Russie, de Belgique, d Angleterre, de la République Argentine, du I Hrosii, du Chili, de Colombie et du Pérou étaient pré- > \ tw"3* -k0 ?'?pe ^ r€6té à genoux pendant La cérémonie, i ir -t ; était visiblement ému, lorsque Mgr Sasoni a donné g *ecture de la prière pour la paix. Lorsqu'on a lu le pa&- \ sage dans lequel on prie Dieu d'inspirer de la modéra- 1 tion aux gouvernements dee peuples,le Pape a él«8vé 3<s \ ^ inalrîs sigPe de conjuration. C'est le patriarche ' r_J do-^^ssfesîtfinople Mgr Cappelli qui a donné la triplai ttênéuictaon qui clôturait la solennité. <- \ # * * - |€ Paris, 6 février r à, pC5 voyageurs arrivés vendredi après-midi annoncent {_ q-u un Taube a survolé le matin à 10 heures Villers-Cot- . terets. Accueilli par le feu des mitrailleuses, il s'est enr IL fui Galveston, 2 février : L'ancien vapeur-citerne transformé Gudflight est part> f pour Brème avec 10,914 balles de coton. *** Copenhague, 5 février : On mande de Pétrograd que des aviateurs français et *nglMs ont survolé Ie« forts des D<'mLaneî]es et de D'aîli u poii et qu'ils y ont jeté des bombes. Ils ont pu rentrer 1- sains et saufs dans leurs lignes auprès des flottes alliées. * * * Berlin, 7 février : Le prince de Wied, roi d'Albanie, a été adjoint an corps d officiers allemands de l'armée opérant dans lea a Carpathes. # * # s Vienne, 8 février : i La retraite du ministre.des Finances commun BilLns-ki, déjà annoncée officieusement, est devenue définitive. C est 1 ancien président du Conseil von Korber qui a été désigné poui* prendre sa succession. ~ * * * Berne, 8 février : En vue de couvrir une partie des frais de mobilisation pendant la guerre, le Conseil Fédéral a proposé l'ad-^ jonction au texte de la Constitution d'un nouved article, autorisant la Confédération à prélever un imjDÔt de guerre direct unique sur les fortunes et les revenus. Les fortûiSëfê^&i'férieuires à 10,000 francs et les revenus jusqu'à 2,500 seraient exeemptés de cet impôt. La résolution au Conseil fédéral sera soumise au référendum du peu-pie et au vote des Etats. * * * Rome, 6 février : Le vieux général Riccioti Gari&alda, tilont deux fils sont morte sur le front, es-L pointa pour Londres 6e reaidant à Paris. - 4? « t T-, i. / . # » Rome, 6 fevner : D'après les statistiques officielles, 29,500 parsemas» ont perdu la vie dans le tremblement de tejre du 11 janvier à Avezzaao. Les dommages eirbie par dee parti-;- culieris atteignent au moins S0 millions de lirte. Dane ces chiffres ne sont oompris les victimes ni les dégâts des provinces <Ja Casarla,,et <lu IV.jne, * * * ^ Le Havrei, 8 février : ' s/ A,U: "°°ramns mini3faB..dfEtat beJge; e<st parti po-.inA f aiaona. Il est chargé de remercier le gouvernemeofc f espagnol des services qu'il a rendais aux intérêts belges. ïtome, 6 février : ' On mande de Durazsw que ïa situation dane oetfe© s ville et les envii-onc continue à être assez précaire. L?s insurgée, bien que paraifisant déciid&j à ne riea l entreprendre contre la ville, occupons toujours ka hauteurs environnantes. . Londres, 6 fé^ier : i Ve yiee-amiral sir Doveton Stirrdlee, qui commao \ «ait l'eJscadrè" na^IaDse'^a Li ba-tetHe des îles Faikj^ad ! et avait son pavillon sur le croiseur de ba.t^:t3Te ' / L cible, çst arrivé à Londres où il doit rendre compte / t à l'A mirant é de sa brillante opération-. Il a été reçu ea-medi par le Roi. .Z *** i Arfiisterdam, *6 février : JOn annonce de Rocterdlam que le premier ministre I ■ /es • Pàgs-B*16' l^s commandants de f armée et d!e Ja J /narine et le bourgmestro de la ville ont tenu une con- I <?OUJ"8 laquelle ils se eont dt'tfnandé si / ' 1 de sdep ne devait pas être déclaré à H>otterdam. / On ignore si une décision/ a été prise, m.ais lé, qulesfenon / 'àe placer le port de Rotterdam sous la Loi martiale / a fait l'objet d'un très long débat. ^ ^ * - * # Buencs-Ayres, 6 février : Le gouvernement argentin ayant décidé de faire transporter à Buenos-Ayres le© dépôts d'or qui ©c*at actuellement dans les légations d»5* la République A r-gt-ntine en Europe et aux Etiato-Unis, il enveara pou/r cet objet, dans les portr, européens, la frégate « Prrsi-d uite-barmiento ». Les sommes on or déposées dlans les légations argentines atteignent plusieura dizaine» ds millions de piastres. # * * Paris, 6 février : \ Le « Journal » de Paris signale un record d'un nieras \ vecifti genre, O'esfc celui dJim régimen^ frpu j çaise qui est resté .^ans désemparer 43 jours et 43 nuits 1 dans une tranchée de première ligne. -- / —-IMI.iiihi „wiJH'tinfiirT^—*" ' Tp"11 * W La Haye, 8 février : Le ministre hollandais des affaires étrangères a eu so^e% attention attirée surL^fftXîrt^ue, dans certaines commu- \ nes| les officiers cKTétat cr^l refusaient de procéder î au ûianage de ''é^ugiés be.l^s,\R.')Us prétexte que ceaix-ei J n'^t t^TÏr dr.T5M ri j ( il] 1 ' i; i J . •_ J ,e ministre a 'i fa3t savoir aux auto n tes communales qu'elles doivejit ? y^€tre très larges et faciliter aux intéressés l'établissement do leur domicile en Hollande. * * •» Londres, 6 février î Le eon-espondant du « Daily TeJiegmpîi > à Las FaS-rnais écrit qu'à, raison des dangers que court la navigation s-ur les côtes anglaises et les oô-tes du Nord de La Franee, l'exportation des fini^ des îles Canaries vers le nord de l'Europc;.e«t -ppe^quo complè-tement euepeiir due Si cette sïi uaEïon devait 'perdurer, ce serait la n&ir sère générale, pour Las Paknas. * • I>s> Havre, 6 février : Le ministre d'^s Scienens et diw A^fcs de Belgique m diécidé, ftur la proposition de^a rminnoi^alité du Havr^ cf tWKaniser uru> expotsityn/a-ee convres tfajt saaivée» ré<^eminent dains la région «e 1 'Y^ C'^t-p expœition s'où v7TT^r^'pjT>T^^iih^m'e<rit a/u musée de peininre du Havre. Une taxe eera perçue au profit A<xa n^-riû<a Vvolmrwj

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