La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique

747 0
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1915, 01 Mei. La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/707wm14q6g/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

NUMÉRO 20 PRIX DU NUMERO — Élastique, de zéro à l'infini (prière aux revendeurs de ne pas dépasser cette limite) MAI 1915 LA LIBRE BELGIQUE Acceptons provisoirement les sacrifices qui nous sont imposés..., et attendons patiemment l'heure de la réparation. Le Bourgmestre, Adolphe MAX. Envers les personnes qui ^dominent par la force militaire notre pays, ayons les égards que commande l'intérêt général. Respectons les règlements qu'elles nous imposent, aussi longtemps qu'ils ne portent atteinte ni à la liberté de nos consciences chrétiennes ni à notre DIGNITÉ PATRIOTIQUE. Mgr MERCIER. BULLETIN DE PROPAGANDE PATRIOTIQUE — RÉGULIÈREMENT IRRÉGULIER NE SE SOUMETTANT A AUCUNE CENSURE ADRESSE TÉLÉGRAPHIQUE KOMMANDANTUR -- BRUXELLES BUREAUX ET ADMINISTRATION ne pouvant être un emplacement de tout repos, ils sont installés dans une cave automobile ANNONCES : Les affaires étant nulles sous la domination allemande, nous avons supprimé la page d'annonces et conseillons à nos clients de réserver leur argent pour des temps meilleurs. LA SITUATION. Il semble que depuis le 25 avril dernier, nous assistons aux efforts suprêmes que l'Empire allemand fait en France et en Flandre pour obtenir sinon la victoire, au moins les apparences d'une quelconque supériorité sur les Alliés. L'Allemagne avait prémédité son attentat au moins depuis deux ans. Cela est démontré par les déclarations de MM. Giolitti et Sallandra à la Chambre italienne. L'attaque a été prorogée d'un an par suite du refus de l'Italie d'y coopérer. Mais les préparatifs en ont encore été perfectionnés de 1913 à 1914 jusqu'au moment où le crime de Sarajevo est venu fournir aux empires austro-allemands le prétexte cherché pour attaquer la France et la Russie et, par la même occasion, s'emparer de la Belgique. Nos lecteurs connaissent la suite des événements qui se sont passés depuis le 2 août 1914, l'entrée en scène de l'Angleterre, l'invasion préconçue depuis un an de la Belgique, et les faits odieux et lamentables qui l'ont accompagnée. Mais ce qui ne pourra jamais être mis trop en relief, c'est que la réussite du complot organisé par les deux empires austro-allemands contre l'indépendance de l'Europe a été compromise dès la fin d'août. L'intervention de l'Angleterre a été le premier coup droit porté aux plans allemands : les hommes d'Etat de l'Allemagne n'ont pas même su dissimuler leur déception profonde à cet égard : « C'est la ruine de toute ma politique » a dit le Chancelier prussien; et le Ministre d'Allemagne à Londres a émis le même avis. Le langage de ces diplomates et celui du Ministre allemand à Bruxelles n'a pas été moins catégorique lorsqu'il s'est agi du passage des forces allemandes par la Belgique en violation des traités internationaux. « C'est une question de vie ou de mort pour nous que la rapidité », ont-ils dit tous les trois, quasi simultanément à Londres, à Bruxelles çt à Berlin. Le deuxième coup mortel aux plans allemands a été, par conséquent, la résistance de la Belgique, résistance certainement non prévue dans les plans impériaux allemands et qui a donné aux Alliés anglo-français un répit de vingt jours. Le troisième a été la rapidité imprévue de la mobilisation russe qui a achevé de culbuter de fond en comble les plans du kaiser Wilhelm II et de son allié, plans dont la base était l'écrasement rapide de la France avant que la Russie eût pu déployer ses inépuisables ressources en hommes. Le quatrième a été la tactique de Joffre, sa retraite sur la Marne suivie de l'offensive sur l'Aisne, la Somme et la Meuse. Depuis lors, on a pu dire que la partie était virtuellement perdue pour l'Empire allemand et son plus ou moins libre complice, le malheureux François-Joseph. Le crime tenté contre la civilisation du monde par le pangermanisme guerrier à échoué. Son échec date, en réalité, du mois de septembre 1914. Les efforts du monstre pangermain peuvent encore durer, ses suprêmes convulsions coûteront encore fort cher à l'Europe et plus encore aux enfants de l'Allemagne, complices volontaires ou involontaires, MAIS SA FIN EST CERTAINE. Des succès apparents et momentanés ont pu donner le change au monde anxieux et lassé par la durée et l'intensité du fléau sans précédent dans l'histoire; pendant cette dernière semaine, où l'interruption des communications entre l'Angleterre et la Hollande a privé les Belges de toute nouvelle du dehors, les pessimistes à la solde de l'Allemagne (comme ceux qui le sont par tempérament, tout en étant bons patriotes), se sont donné libre carrière. Se figurait-on que les Alliés ne devraient jamais plus subir d'attaque violente? L'ennemi est vivant encore, mais où sont ses victoires réelles? Depuis qu'il a devant lui d'autres forces que notre petite armée impuissante devant une telle avalanche et une armée n'ayant pas eu le temps d'achever sa mobilisation, depuis lors, malgré les attaques violentes et répétées, il n'a plus avancé alors que les Alliés ont conquis à Neuve-Chapelle, aux Eparges, et à l'HartmannswilIer Uopf des positions importantes et qu'ils viennent d'avancer en Lorraine sur 25 kilomètres de front et 4 kilomètres de profondeur. Son effort en Flandre avait certes un autre but que celui de gagner quelques centaines de mètres de terrain et ce n'est pas pour cette légère avance qu'il fait tant de sacrifices. Cette formidable attaque a donc, en réalité, échoué. Les pessimistes s'effrayent aussi en entendant parler de paix. Elle ne pourrait être que désastreuse pour nous maintenant, disent-ils. Mais qui parle de paix? Les neutres et les journaux allemands. Aucun des Alliés ne montre le moindre signe de lassitude. Tous sont résolus et si même nous n'avions pas les solennelles promesses d; l'Angleterre et de la France, nous savons que l'intérêt et l'honneur sont d'accord pour obliger les Alliés à exiger comme première condition de paix, l'indépendance de notre patrie. Ne soyons pas impatients. La tâche n'est pas achevée. Les autorités, les classes dirigeantes rivalisent d'efforts pour adoucir le sort de ceux qui souffrent le plus de la pénible situation qui nous est faite. Ils y ont réussi jusqu'ici. Aidons-les de tout notre pouvoir. Ayons confiance en l'avenir. Ayons foi aussi en nos soldats, en nos Alliés, en ceux qui les commandent. La victoire du droit et de la liberté sur la barbarie est certaine. ENCORE UNE ÉDIFIANTE COMPARAISON DE TEXTES. Le Moniteur belge, du 6 novembre 1910, a publié, in extenso, le texte de la Convention de La Haye (18 octobre 1907). Des Prière de faire circuler ce bulletin.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique behorende tot de categorie Clandestiene pers. Uitgegeven in S.l. van 1915 tot 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Periodes