La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 01 Juni. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/m901z42x3w/
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LA MéTROPOLE OIME PENNY W0IT: CIHQ CENTIMES 'BLLAHDB: VIJF CENT a*Tia«ST: DIX CEHTIMKS PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. ABONRÏSBNT 1 a«ii 3 ah, ; S I «k 24me ANNEE VENDREDI 1 JUIN 1917 No. 152 LA GRANDE GUERRE ] Situation inchangée sur le front italien JCALME DANS L'OUEST Les agents allemands en Russie La situation militaire sur le front de i l'ouest est restée inchangée-depuis quelques jours, les opérations dans le secteur britannique se limitant à des raids aux environs de Fontaine-lez-Croisilles et à l'ouest de Lens. Au sud de Neuve-Chapelle une patrouille britannique entra dans les tranchées ennemies et massacra la grande partie des occupants. Dans le secteur français, il y a eu de violentes batailles d'artillerie au sud de Saint-Quentin. En Champagne, une attaque dirigée contre le mont Blond ne fut suivie d'aucun résultat ; une réplique énergique des batteries françaises mit fin à un bombardement assez violent des tranchées du mont Haut. | Sur le front italien, la bataille d'artillerie, sur le front du Trentin et dans le ! Carniol, a diminué d'intensité, 'alors que [sur le front Julien, en particulier dans le secteur du mont Cucco jusqu'au mont Vodice, à l'est de Gorizia, l'activité des batteries de tout calibre a plutôt augmenté en intensité. Sur le Carso les travaux de consolidation des positions capturées continue ; une attaque ennemie à l'est de Boscomalo fut repoussée par l'artillerie. Entre Jamino et la côte, l'occupation à l'ouest de Medrazzo fut poursuivie par des actions locales. Pour bien se rendre un compte exact de la situation sur le front italien, il est indispensable de consulter une carte topographique. C'est de cette façon seulement qu'on peut comprendre, pourquoi le massif montagneux d'altitude inférieure, qui se trouve à l'est de Gorizia, compris entre cette ville et le cours du Vippaco descendant du mont San Daniele, est pour le moment d'un intérêt secondaire, tandis que toute l'importance appartient aux deux massifs plus élevés du nord et du sud. Tous deux sont extrêmement forts, mais entamés déjà très largement et c'est de leur possession totale que dépend toute la suite de l'opération entreprise. Dans le massif du sud, c'est-à-dire sur le Carso, les Italiens sont, pour l'in-stant, arrêtés à Castagnevizza ; tandis que ce point est depuis longtemps dépassé au bord septentrional du plateau, au mont Faiti. Le front de contact, de Castagnevizza jusqu'à Jamiano, reste toujours orienté vers le sud-est, et les Autrichiens font les plus grands efforts pour l'empêcher de se redresser dans la direction nord-sud. L'avance de- Monfal-cone, au sud du ravin de Brestovica, et par conséquent l'attaque de l'Her-mada, le morceau compris entre ce ravin et la mer, est appelée à faciliter beaucoup tout le reste du mouvement en avant entre cette partie et le mont Faiti. Mais l'Hermada est un rude morceau à enlever. Les dernières informations nous disent que les Autrichiens en retirent leurs canons lourds. S'il en est réellement ainsi, on peut prévoir qu'ils l'abandonneront, forcés par les projectiles de l'armée italienne, tant celle de terre que celle de la flotte, peut-être même avant qu'un assaut très meurtrier soit donné .C'est évidemment la solution à souhaiter. Aujourd'hui, et sans préjuger de la ! suite, les deux localités qui doivent attirer notre attention, situées toutes deux sur le même méridien, sont Ternova et Comen. Quand nos amis en seront là, Gorizia se dégagera sans qu'on s'en occupe, et Trieste sera bien malade. Cette grande place si intéressante à tous égards sera presque perdue pour les Autrichiens, sans même avoir reçu un coup de canon, du jour où le chemin de fer de Fiume à Laibach sera sous le feu de 'artillerie italienne, et ce ne sera pas longtemps après la chute de Comen et de Ternova. Au sujet de la situation actuelle en Russie les correspondants à Pétrograde ides organes britanniques s'expriment avec un pessimisme qu'ils ne cherchent guère à déguiser. Depuis plus de deux mois, écrit j'un d'eux, nous avons prêté l'oreille à des millions de déclarations et la vérité nous force à reconnaître que le résultat net de ces déblatérations sur la vie publique est très insignifiant. L'éducation politique ne se fait que lentement et les effets ne se voient pas après - des mois ou des années, mais après des générations. La vie n'attend pas,surtout sous la pression de la guerre. En ce moment, il n'y a plus personne parmi ceux qui peuvent se former une opinion autorisée de la situation, pour douter que la révolution de Pétrograde ne soit, quant à sa conception, entièrement une œuyre allemande. Les agents allemands ont travaillé des deux côtés, coordonnant les résultats uniquement vers des fins allemandes. Leur succès — grâce à la collaboration fortuite des soldats — a dépassé leurs meilleures espérances.La révolte des ouvriers avait été soigneusement répétée à Pétrograde une semaine avant que la guerre n'éclatât. Après la disparition de Raspoutine les agents allemands virent leurs bases sapées et il fallut en trouver d'autres et de meilleurs moyens, pour immobiliser l'immense machine russe et faciliter la pression contre les fronts français et britannique. En ce moment les agents de l'Allemagne ont déplacé leurs activités vers une autre sphère, notamment l'intérieur du pays, où ils excitent les paysans contre les propriétaires terriens, leur font détruire les récoltes actuelles et empêchent la préparation des récoltes prochaines. La formule de " Liberté, Egalité, Fraternité " a été transformée avec cette perversité de l'esprit enfantin du moujik russe et elle est devenue la formule de la liberté pour toutes les opinions — surtout de fabrication allemande — l'égalité entre les nations et la fraternité avec l'ennemi. o—o La France et le Saint-Siège Après les articles de M. Lazare Weiller dans le Journal des Débats, on ne lira pas sans intérêt les déclarations faites par Benoît XV à un aumônier militaire français, le chanoine Desgranges, et que celui-ci a fait connaître à notre grand confrère Le Limousin de Paris : Le Pape m'a paru douloureusement impressionné et çomme accablé par les souffrances qui désolent un si grand nombre de ses enfants, rapporte le chanoine Desgranges. Au sujet de la France, il m'a dit à peu près en substance : " /'ai le plus grand désir de pratiquer à l'égard de votre pays une politique de conciliation. On a parlé de relations qui pourraient être reprises. Nous sommes prêts; nous ne sommes pas pressés. Je crois utile à la paix intérieure de la France que la personnalité juridique du Souverain Pontife ^t des évêques soit reconnue. Ainsi bien des conflits épuisants pourraient être évités. " Mais il en est pour cette question comme pour le rétablissement de la paix dans le monde. Il faut savoir attendre l'heure de la Providence. Pour ce qui nous concerne, nous désirons tenir notre bonne volonté toujours en éveil, afin de profiter de toutes les circonstances que nous permettraient de réaliser les desseins bienfaisants qui remniis-sent notre cœur. Observons que l'audience du chanoine Desgranges est de la fin d'avril, antérieure 1 par conséquent à la publication des deux lettres de M. Lazare Weiller. o—o Notre miss on en Amérique Nous avons publié la composition de la mission belge aux Etats-Unis. On nous assure aujourd'hui que M. Hector Carlier, conseiller financier du gouvernement, administrateur de la Banque Italo-Belge et fils du directeur de la succursale de la Banque Nationale, accompagnera ladite mission. • o—o Le 12 mai, le percepteur des postes et un facteur de Moll ont été déportés. Ils ont, paraît-il, montre un peu trop de patriotisme, délit qui ne pouvait être réprimé que " N'oubliez pas la Belgique !" dit le général Smuts à la Russie Dans un discours qu'il a prononcé mercredi à l'Exposition russe de Londres, le général Smuts a donné un avertissement sympathique aux révolutionnaires russes et a fait un vibrant éloge de la Belgique et des Belges (Times, 31 mai) : Tout en exprimant ma plus profonde sympathie pour nos camarades russes et pour le peuple russe, je voudrais leur dire : " N'oubliez pas les autres qui souffrent. N'oubliez pas la Belgique." La Belgique est aujourd'hui écrasée sous la botte allemande, mais ce n'est pas sa faute, ni son choix. Le chancelier de l'Empire lui-même a avoué que c'était un péché qui avait été commis et ils ne renonceront jamais aux fruits détestables de leur victoire à moins qu'ils n'y soient forcés. Je voudrais faire appel à nos frères russes pour qu'ils n'oublient pas la Belgique. J'ai eu l'occasion de constater dans d'autres parties du monde quels braves efforts la Belgique a faits. En Afrique orientale et en Afrique occidentale, j'ai vu des milliers de troupiers belges se battant pour ainsi dire à côté de moi, se battant bravement, bien, avec les meilleurs résultats. En ce qui concerne le peuple belge, non seulement la démocratie anglaise, mais toutes les autres démocraties du monde doivent se tenir à ses côtés jusqu'à la fin pour les services qu'il a rendus ; et je suis sur qu'il n'y a rien de plus éloigné de l'esprit de la démocratie russe que d'abandonner son allié belge dans les terreurs où il ss trouve maintenant. Je suis sûr qu'elle n'y pense, pas une minute, quelle que soit la formule qui puisse être pré-■sentée en ce moment en vue de trouver le chemin de la paix. ... Nous devons rester aux côtés de ces petits peuples martyrs qui ont défendu les grandes forces de l'humanité. Si les grandes démocraties du monde se fatiguent, si elles faiblissent ou s'arrêtent en chemin, si elles laissent ces petits dans le pétrin, elles l'expieront par des guerres plus horribles que l'esprit humain ne peut le prévoir. Je suis sûr que nous resterons aux côtés de ces petits. Ils ont sombré, mais nous n'avons pas sombré. L'Angleterre et l'Amérique, la France et la Russie, n'ont pas sombré et nous les. tirerons d'affaire. Et honte à nous si la moindre pensée entrait dans notre esprit que nous pourrions ne pas les sauver. (Applaudissements.) o—o Un démenti de M. Vandervelde M. Emile Vandervelde vient d'adresser au Havre, de Petrograde, le télégramme suivant : Les journaux français annoncent que j'aurais adhéré à la formule du gouvernement russe de la paix sans annexions ni contributions.Nous avons déclaré que les socialistes de tous les pays admettaient cette formule, en tant qu'excluant les annexions contre la volonté des populations et .les pénalités qui seraient imposées par le vainqueur au vaincu. Mais nous avons revendiqué hautement pour la Belgique la réparation intégrale des dommages causés. F.t proclamons que la libération des territoires comme le Trentin et l'Alsace-Lorraine ne sont pas des annexions, mais des désan-nexions. (S.) Vandervelde. o o Sortis de la géhenne MM. Arendt et Joset libérés Nous apprenons avec un vif plaisir que deux de nos compatriotes, le juge Arendt et notre excellent confrère Camille Joset, directeur de VAvenir du Luxembourg, qui depuis les premiers jours de la guerre avaient été' envoyés comme prisonniers en Allemagne, viennent d'être rendus à la liberté et sont rentrés à Arlon. Camille Joset, qui sut honorer de la façon la plus marquante la profession de journaliste, dont il se montrait justement fier, paya d'une dure captivité ses nobles sentiments de patriotisme. Après avoir été condamné à mort il vit sa peine commuée en celle des travaux forcés et fut incarcéré jusqu'au 24 février 1916 à la prison de Rheinbach, date à laquelle il fut interné à Strelitz. Les membres et la grande famille de la presse et en particulier ceux de l'Association de la Presse belge seront heureux de retrouver daus leurs rangs celui qui sut donner à tous le plus beau des exemples ! Le scandaleux privilege de la Produce and Warrants Co Qu'est-ce que ce groupement ? Pourquoi nos consuls le recommandent-ils ? Nous avons décidément été bien inspirés quand nous avons fait toutes nos réserves après la reproduction d'un article du XXe Siècle annonçant l'installation de la Produce and Warrants Co. aux côtés du Lloyd Royal Belge dans nos consulats du Brésil et de l'Argentine.Et si nous avons eu le flair, on peut nous croire, c'est parce que nous avons de très sérieuses raisons, nos amis le savent, pour nous méfier de très puissantes influences extra-gouvernementales, connues du reste d'un cercle de plus en plus étendu d'initiés. Ces influences sont si fortes qu'en dépit de protestations de personnalités -considérables de notre pays, elles continuent à s'exercer librement et à disposer de la Belgique comme de leur chose. Ce langage extrêmement grave, nous devons le tenir. Nous avons derrière nous, pour nous approuver et nous soutenir, à peu près tout ce qui compte comme patriotes et comme personnes influentes belges en Angleterre. Le scandale de la Produce and Warrants Co. est considérable du fait de l'installation officielle d'une société quelconque dans nos consulats, mais il devient significatif des tendances suspectes que nous dénonçons depuis des mois quand on connaît la composition de la société. La voici d'après l'acte constitutif paru au Moniteur le 2 janvier 1914 ACTE DE SOCIETE DEPOSE AU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE D'ANVERS. — Constitution : Soc. an. Produce and Warrants Company, à Anvers. — Objet : Traiter toutes opérations commerciales, financières, industrielles, immobilières, hypothécaires et autres; faire des avances sur titres, marchandises et warrants, etc. — Durée : 30 ans. — Capital social : 1 million de francs, représentés par 2.000 actions de 500 francs chacune. Sont nommés : Administrateurs": MM. Aast-]acobus de Lange, négociant; Maurice Gevers-Grisar; Edouard Karcher. Commissaires : MM. Max Hermann, agent commercial et courtier à Anvers; Pieter Joannes; Van Ommeren; Emile den Tex. Directeur : M. Wilhelm Bo.ck. Délégation de pouvoirs : Jacob Bies-heuvels et Andries Maandag. La Société est belge aux termes stu-pides de notre loi sur les sociétés. Voyons ce qu'elle est en fait, pour autant que les noms des administrateurs et commissaires,à défaut de la liste des actionnaires, puisse nous fournir une indication.M. Delange est un Hollandais, ancien directeur des usines néerlandaises pour la torréfaction des cafés Van Ysendyk. Le nouveau directeur de ces usines est M. Heinrich Schmidt, résidant à Anvers et nommé depuis la déclaration de guerre. M. Maurice Gevers-Grisar est décédé. M. Edouard Karcher est un Belge d'origine allemande. M. Max Hermann (?). M. P. Van Ommeren est direoteur de la Banque Marx et Co., de Rotterdam, et M. Emile den Tex, directeur de la Caisse de liquidation d'Amsterdam. Le directeur de la société, Herr Wilhelm Bock, est un Allemand expulsé d'Anvers en août 1914. Il a résidé longtemps en Hollande après cette expulsion, mais il est rentré à Anvers à la suite de difficultés avec la N.O.T., qui nous fournira sans doute des indications du plus haut intérêt. Les fondés de pouvoirs sont sans importance,• * * Voilà donc la société, belge, installée contre tous droits dans nos "consulats avec, apparemment,l'approbation de notre ministre des Affaires étrangères, M. Bevens. L'examen auquel nous venons de nous livrer ne dira rien aux profanes si ce n'est la couleur hollando-boche de cette société belge si favorisée. Il faut donc chercher ailleurs et c'est derrière ces noms que se trouve l'énigma-tique puissance qui régit notre sort.Tous les initiés mettront le doigt dessus, mais nous les mettons en garde. La clef de tout le mystère est à Anvers. C'est de là qu'on tire les ficelles. * * * Pour compléter notre documentation il nous faudrait connaître les noms et nationalité des consuls qui abritent la Produce and Warrants Co. ; pourquoi c'est au Brésil et en Argentine que s'exer ce plus spécialement l'action de la Produce and Warrants Co. Mais voici qui jette une lumière nouvelle sur la coopération de nos consuls aux affaires de cette société belgo-hol-lando-boche. C'est une lettre que nous adresse une personnalité commerciale anversoise considérable dont nous tairons le nom pour des raisons d'opportunité : Ma chère Métropole, Combien il était opportun, votre cri d'alarme à propos du privilège inconcevable accordé à la Produce and Warrants de s'établir dans nos consulats à l'étranger! Les conséquences de cette mesure n'ont par tardé à se manifester. En effet, une firme belge établie à Londres depuis la guerre et s'occupant des mêmes produits que la" Produce " s'était adressée au consul de Belgique à X..., lui demandant de la mettre en rapport avec une maison d'exportation de ladite place. La réponse qu'elle en reçut fut la suivante : " Adressez-vous au directeur de la " Produce " à Londres, — c'est-à-dire : Met-ter-vous en rapport avec votre concurrent ! Au fait, ce brave représentant de notre pays ne manque pas de logique. Il pense que le commerce national se trouve monopolisé dans la " Produce " et il croit de son devoir de favoriser oelle-ci. o—o Le Relief belge Argutfes allemandes L'officieuse Gazette générale de l'Allemagne du Nord publie le refus allemand à la requête de la Belgian Commission for Relief demandant que ceux de ses navires qui se trouvent en ce moment en Angleterre ne soient pas attaqués au cours de leur voyage de la Tamise à Rotterdam et retour. L'excuse allemande est que cette proposition impliquerait la suspension de la guerre sous-marine dans cette zone certains jours pendant lesquels " les Anglais pourraient recevoir sans danger des vivres de la Hollande ". o—o Les tracasseries allemandes contre le cardinal Mercier Un simple détail qui montre à quelles tracasseries les Allemands se livrent contre le cardinal Mercier. Tout le monde s'attendait à voir le primat de Belgique présider, le 1er mai, à la cérémonie du sacre de Mgr Se-ghers, le nouvel évêque de Gand. L'attente de la foule fut déçue : le prélat consécrateur était Mgr Waffelaert, évêque de Bruges, car les Allemands ont refusé au cardinal Mercier l'autorisation de se rendre à Gand. •—o L'affaire Navarre L'Inculpation de violences à agents, contre Marcel Maillet et Emile Gobron,. les deux compagnons civils de l'aviateur Navarre, au cours de leur équipée, n'ayant pas été suffisamment établie, M. le juge Drioux a clos son instruction par une ordonnance de non-lieu." Terrorall " Le Dr. De Waltoff, vice-président de la Ligue médico-pharmaceutique américaine, vient de découvrir un explosif auquel il a donné le nom de "Terrorall" et qui aurait une force dix mille fois supérieure à la dynamite. Le Dr. De Waltoff a offert son invention au département de la Guerre américain.

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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