La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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03 februari 1915
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s.n. 1915, 03 Februari. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/hq3rv0dz35/
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LA MÉTROPOLE D'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. 22me ANNÉE. MERCREDI 3 FEVRIER 1915. N°- 34 COMMUNIQUES OFFICIELS FRANÇAIS. SUCCES ANGLAIS A CU1NCHY SUCCES FRANÇAIS A LA BASSEE, PARIS. 2 février.—Communiqué officiel de le lieures :— Le 1er février a. été marqué par un accroire méat dans l'intensité de la lutte d artillerie de. ,ieUv côtés et par une série d'attaques allemande». ..ni cependant, furent d'importanoe secondaire et fuient toutes repoussées avec pertes serieusej pour nos adversaires eu proportion a la force des | I ' ^En^e^giquè. l'artillerie "lourde allemande £ , r particulièrement active sur le front tenu pai I ' ,ig troupes belges et particulièrement contre les I divers points d^appui capturés par ces derniers I .i y a quelque temps dans la région de lYser. I ' Autour drYpres, il y â eu çà et la de très vio I lentes canonnades. De la Lys à la Somme des sections a un régi ment allemand attaquèrent un poste anglais vers cini.n-e.hy. et le repoussa d'abord. Après une série .le contre-attaques, les troupes britanniques re ■'arriérent le terrain perdu et firent ensuite des progrès au delà de ce terrain, capturant quelques-unes des tranchées ennemies. L'action signalée dans le bulletin d lwer soir, 11ixi eut lieu le long de la route de Bethune a La Bassée. a été une affaire particulièrement brillante pour notre infanterie. L'effectif employe par les Allemands paraît avoir été d'au moins un bataillon. _ . , . . Les deux premières attaques furent brisee-par notre feu. La troisième réussit à se torcer une entrée dans une de nos tranchées, mais une i ontre-attaque immédiate à la bayonnette nous init à même de jeter la confusion dans les raDgs ennemis. , , Quelques Allemands seulement, réussirent a regagner leurs propres tranchées. Tous les autres furent tués ou capturés. Entre la Somme et l'Oise, et 1© long dm iront de l'Aisne, il n'y a aucun événement important ,i signaler, sauf l'attaque» allemande sur Beau-înont-Haxuel. qui ne fut pas renouvelée. Notre artillerie de gros calibre bombarda la station de chemin de fer de Noyon. où l'ennemi effectuait des opérations de réapprovisionnement «•;, provoqua deux explosions,' dont la fumée dura <leux heures et- demie. Dans la région de l'ertlxes. nos progrès mefcho; diques se poursuivirent. Nous avons occupé un autre petit bois au nord-ouest, de ce village. Dans la Woevre, l'ennemi tenta une attaque .soi- la corne nord-ouest du bois de Le Bouchot, au nord-ouest de Troyon, mais il fut immédiatement arrêté. ... Sur le front de Lorraine et des Vosges, il n'y a rien à signaler. NEIGE DANS LES VOSGES. - PARIS, Tter février.—Communiqué Officiel minuit:-— La nuit du 31 janvier au 1er février a été très «aime. . Le 1er février; dans la matinée, l'ennemi a violemment attaqué nos tranchées au1 nord de la joute Bé'thnhe-La Bassée. Il a été repoussé et a laissé de nombreux morts sur le terrain. A Beaumont Hainel, au nord d'Albert, l'infanterie allemande a tenté une surprise sur une (io nos tranchées; elle a été contrainte de s'enfuir <mi .ibati donnant sur place les explosifs dont elle r 1,1 il, munie. En Argoune. grande activité dans la Tégion do Fontaine-Madame et du Bois de la Grurie. Une attaque allemande a été repoussée vers Bagatelle. Une de nos tranchées bouleversée par deux fourneaux de mines a'été évacuée sans jjeries. Dans les Vosges et en Alsace, -aucune action n'eat signalée. Chutes de neige très abondantes. LA GUERRE AERIENNE. BOMBES SUR NANCY. PARIS, let février.—-Des aviateurs allemands ont de nouveau rendu visite «à Nancy et lancé des bombes et des fléchettes sur la ville. Plusieurs tombèrent près de la gare à marchandises sans faire grands dégâts. Cependant- une fléchette tomba dans l'a cour d'une école et blessa un en-fani. L'aéroplane fut pourchassé par un aviateur 1 français. Pont-à-Mousson reçut également la visite d'un aéroplane allemand. Un vieillard fut tué. A Lunéville deux aviateurs lancèrent des bombes, et l'un d'eux fut obligé d'atterrir à Vathimenel; I il avait eu son réservoir d'essence percé par une balle. L'autre s'échappa vers l'Alsace. 1 Vendredi après-midi un aéroplane survola Remiremont. Une bombe tomba sur une école, ruais heureusement il n'y eut- pas de victimes.— lteuter. REICHWEILER BOMBARDE. AMSTERDAM. 2 février.—Le 29 janvier, dans l'après-midi un aviateur français a survolé Reicli-weiler près de Mulhouse. Il a lancé cinq bombes oui ont occasionné quelques dégâts. Un aviateur allemand se mit à sa poursuite, mais l'aviateur français disparut sans être inquiété.;—Central-News.VON KLUCK JUNIOR TUE. AMSTERDAM, 2 février.—Le fils aillé du général von Kluck a été tué le 28 janvier pendant un duel, d'artillerie près de Middelkerque.—Central News. QUATRE MILLE MUTINS ALLEMANDS. AMSTERDAM. 2 février.—Le correspondant • lu Telegraaf " à Lommel déclare qu'un camp allemaud a. été établi au sud de Voorst (Vorst?) et 'le Tessenderloo. Il est défendu par du barbelé ft. contient plus de quatre mille soldats allemands désarmés, qui ont été condamnés pour avoir refusé de se battre, ou du chef d'actes de mutinerie. 1-e camp est fortement gardé, et la population n'est pas autorisée à en approcher.—Reuter. N'ote.—On sait que les soldats allemands sont Actuellement envoyés au front sans armes. Leur fusil et leur bayonnette ne leur sont remis qu'au moment où ils partent pour les tranchées. En t as d'attaque, on les dépouille de leur casque et de leur capote, parce qu'on sait que. les pertes sont énormes et que l'armée allemande est à court d'uniformes. LEADERS SOCIALISTES A LA GUERRE. COPENHAGUE, 1er février.—Un message privé de Berlin annonce que MM. Liebkneclit et 'ioehre, leaders socialistes démocratiques, ont été appelés sous les drapeaux. M. Liebkneclit est considéré c'omme le plus fort adversaire de la guerre en Allemagne. A plusieurs reprises, il a parlé-c6ntre la guerre, il a vote contre le crédit au Reichstag, et il a refusé de s'associer aux applaudissements en l'honneur du Kaiser. Il est âgé de quarante-trois ans, et n a été appelé à servir dans la Landsturm. Goer ire, qui est âgé de cinquante-et-un ans, S'Hait présenté volontairement au début de la ampagne. Il ,-ivait été refusé alors, mais il d'être appelé.—Central News. V L'ALLEMAGNE CONDAMNEE PAR L'ALLEMAGNE UN ARTICLE DE LA "KŒLNISCHE." "Un poète a dit un jour qu'il y a des paroles que les dieux eux-mêmes ne supprimeraient pas une fois qu'elles ont été prononcées. M. de Betbmanii-PIollweg en fait aujourd'hui l'expérience. Quel que puisse être en effet le 1 jugement des nations sur les causes réelles de la guerre mondiale, il est une tache doint tous les arguments du monde ne laveront pas 1 l'Allemagne impérialé. Sa lâche agression contre la Belgique, sa guerre vindicative et punitive qu'elle a entreprise contre une faible nation, le mépris des traités et des obligations du Droit des peuples qu'elle a affichés dans cette circonstance, ne peuveait être excusés. Et il ne peuvent trouver de justification parce que le chancelier impérial les a déclarés lui-même inexcusables, d'abord en qualifiant de " chiffon de papier" le traité garaintissant la neutralité de la. Belgique, ensuite en déclarant que la violation de ladite nationalité était un attentat au droit des gens imposé a l'Allemagne par des nécessités militaires. Oh ! nous le savons, M. de Bethm«unn, rendu plus circonspect après coup par la très mauvaise impression que ses premiers aveux (auxquels nous reconnaissons du moins le mérite de la franchise) avaient produite sur les neutres, a essayé de retirer ces imprudentes paroles. On connaît déjà la réponse péremp-toire que Sir Edward Grey lui a faite. Mais il y a mieux. Les excuses tardives- du ciîaneelier-impérial étaient bien inutiles et si elles ont pu exercer le moindre effet sur les neutres, cet effet sera promptement. détruit. Le même jour où M. de Bethmann-HoLhveg, faisait, a l'usage des Américains ses déclarations hypocrites, son organe favori, la " Deutsche Tageszeitung." grâce auquel les idées du -chancelier de l'Empire sont le plus souvent servies aux dociles lecteurs allemands, publiait, dans un éditorial qui*»a eu, paraît-il. quelque retentissement en Allemagne des affirmations qui sont exactement le contre-pied des pacifiques doléances d.e l'homme du chiffon de papier ! Sans en faire autrement mystère, la " Tageszeitung" admet en effet très franchement et très clairement, non seulement que la Belgique a été depuis longtemps l'objectif de l'Allemagne, mais encore que rien ne lui fera abandonner cette belle prise! La possession de la Belgique, déclare sur un ton doctoral l'organe berlinois, est essentielle à. l'exis-t.ènce de l'empire allemand. L'avenir de la Belgique (sous la botte allemande) est une question de vie ou de mort pour la Confédération. * L'Allemagne, et avec elle tout le peuple allemand, est unanime (?) dans l'opinion que jamais (sic) et dans aucune circonstance, elle ne permettra que les influences des puissances occidentales soient prépondérantes en Belgique, ni directement. ni indirectement, ni du côté de la terre, ni du côté de la mer. Pour s'en assurer, l'Allemagne doit avoir des garanties, et .ces garanties, elle ne peut les créer que par sa puissance militaire et économique, et par la réalisation d'une volonté politique correspondante.Que vent dire ce charabia? Tout simplement ceci. Que de tout temps, l'Allemagne a eu des visées sur la Belgique qui constitue pour elle un débouché excellent sur la mer du Nord et que la guerre européenne n'a été pour elle qu'un prétexte pour réaliser son rêve pangermaniste. En d'autres termes, même s'il n'avait "existé pour elle aucune nécessité militaire d'envaihir notre^p-âys—et nous croyons que cette nécessité n'a jamais existé—l'annexion de la Belgique était préméditée. Ces visées étaient connues en Belgique; il en existait en effet des indices matériels certains, notamment les chemins dé fer stratégiques sur notre frontière orientale. Et si les craintes que de semblables préparatifs faisaient naître chez les patriotes éclairés n'ont pas été exprimées publiquement avec plus de force, c'est précisément parce que la Belgique et les Belges avaient des devoirs que leur imposaient M neutralité une conception très haute, et. très pure. Il n'en reste pas moins acquis que l'Allemagne et surtout la Prusse préparaient depuis longtemps, l'annexion d'un petit pays où tant de leurs nationaux trouvaient un accueil empressé et la source de plantureux revenais. Or, vent-on savoir maintenant comment la " perspective " seulement d'un tel acte a été appreciée en Prusse il y a moins d'un demi-siècle? Voici. On se rapelle qu'en 1870. Bismarck étonna Je monde en publiant un document écrit par Benedetti, l'ambassadeur de Napoléon III, à Berlin, et qui était, disait l'homme de la dépêche d'Ems, un projet de traité par lequel, dans certaines conditions, la Belgique devait être céd^e à la France. On sut plus tard par les aveux de JÇenedetti, ((lie ce fameux projet avait été dicté par... Bismarck lui-même. Au moment de sa publication, il n'en fit pas moins un bruit énorme. Or, que pensait-on a ce moment en Allemagne, de cette prétendue violation projetée de la neutralité belge? Il suffit, pour répondre à cette question, d'ouvrir la collection pour 1870 de la " Kôlnische Zeitung " pour y Ihe l'article suivant:— Le traité présenté à la Prusse (le projet Bene* detti) place Napoléon au ban de toute l'Europe. . Si les états chrétiens de l'Europe sont encore unis par un lien commun, s'il existe encore un .Droit des nations, si les traités conclus au nom de la Sainte-Trinité ont encore quelque valeur et méritent quelque considération, l'homme qui foule si brutalement aux pieds toutes les lois divines et humaines, comme le fait ce Louis-Napoléon, doit être banni de leur société. Lorsque, sans cause ou raison, il prémédite de se saisir de la Belgique, dont la neutralité est reconnue et garantie par tous les gouvernements européens, il se rend coupable de rien moins que de haute trahison envers les Puissances. Il les provoque chacune et toutes, et elles seraient bien lâches si elles devaient laiser ce défi sans réponse. (Combien de temps encore l'Europe se laissera-t.-elle menacer et abuser par un aventurier sans droit à la couronne? Jusqu'à quand les monarques européens souffriront-ils parmi eux la présence d'un homme qui, comme un bandit de grand chemin* dirige son pistolet .sur ses voisins COMMUNIQUES OFFICIEL RUSSES. LA BATAILLE DE BORJIMOW UN SUCCES QUI COUTE CHEI RETROGRADE, 1 février.—Communiqué oj ciel du grand quartier-général:— Sur la rive droite de la basse Vistule, not cavalerie a fait hier un raid heureux et a réus à pénétrer dans les lignes allemandes. Sur front de Bejoun au lac Orezelewo, à quin verstes au nord de Serpetz, elle a capturé pl sieurs officiers et soldats. Les Allemands, appuyés par de l'artillerie, o essayé le 30 de prendre l'offensive dans la dir< tion de Lipno et de Dobrzin, sur la rive gauc de la Vistule, mais ils furent repoussés au lo: du front des villages Makow-Dyblin. L'ennei fut rejeté sur la ligne Weleze-Nasignewo, ; nord-est de Wloclawsk, et évacua dans sa retrai le village de Makow, abandonnant de nombrei morts. Pendant la nuit du 30 au 31, nos unités coi mencèrent une attaque dans la région de Bor mow, et délogèrent les Allemands, et de la té de notre sape, et des tranchées de communit tion adjacentes. Tous les Allemands qui s'y tra vaient lurent tués à coups de bayonnette et no capturâmes deux mitrailleuses. Hier, l'ennemi, après avoir concentré grandes forces d'artillerie dans la région de Se haczev/ et de Bol'imow, ainsi qu'au sud de cel dernière localité, développèrent des opératio actives contre notre position avec des effect très importants. L'offensive allemande fut caractérisée par u très grande ténacité, et fut conduite en formati serrée, fortement appuyée par l'arrière. Des détails au sujet des combats d'hier da la région de Borjimow montrent qu'après ave concentré depuis l'o matin un l'eu violent s cette région, les Allemands, par leur impétueu offensive, forcèrent nos unités à se retirer s leur seconde ligne de tranchées. Cependant, une contre-attaque des positio voisines expulsa l'ennemi de toutes les tranché occupées par lui, en lui causait des pertes colc sales. Simultanément avec l'attaque sur Borjimo les Allemands effectuèrent, une série d'attaqu répétées et obstinées sur le front s'étendant ent le village de Goumine et le hameau de Moghe attaques appuyées par un feu très violent. Jusqu'au 31 janvier, à midi, nous Tepoussâm toutes ces attaques, en partie par notre feu, < partie à la bayonnette. Entre midi et deux heur les Allemands, grâce à l'énergique activité de le artillerie contre nos tranchées, réussirent à < occuper une? partie, mais à deux heures no commençâmes une contre-attaque générale, do le résultat fut que, vers le soir du 31 janvw l'ennemi ne conservait plus qu'une faible pari de nos tranchées avancées, et un château. Le succès allemand du 3.1. janvier dans le d trict de Borjimow l'ut donc insignifiant en coi paraison des pertes que l'ennemi .éprouva ce joi là par notre feu et par nos attaques à la. bayo nette. D'après le commandant militaire, notre art lerie infligea d'immenses dégâts aux Allemanc dispersant des rassemblements denses de l'enr mi et réduisant au silence une série de batteri allemandes, dont le résultat fut que nous fûm à même de résister au feu foudroyant de l'e nemi. Dans les Carpatlies, les combats continuer Malgré la participation de forces autricliienn fraîches- qui n'avaient apparu que tout récei ment sur notre front, nous repoussâmes avec , si: cès toutes îep tentatives de l'ennemi pour coi mencer un mouvement offensif dans la directû des passes de Beskid et de Vyshkoff, et no avons continué d'avancer avec succès sur le fro Nijniaia-Polianka-Ludowiska. Après la bataille sur le front Lipno-Dobrzi les blessés de l'ennemi furent évacués dans soi ante voitures. Des prisonniers allemands" capturés dans la i gion de Borjimow disent que les attaques al mandes sur ce front, long d'un kilomètre et den leur ont coûté, entre le *23 et le 30, plus de U0( morts, outre de nombreux blessés. Dans les Carpathes, entre le 26 et le 29, sur i front réduit à Nijniaia, Polianka et Wvslok, no capturâmes 78 officiers, 4065 hommes, -1 cano et 10 mitrailleuses. DANS LA MER D'IRLANDE, A la suite de la présence d'un sous-marin da la mer d'Irlande, les départs suivants ont é annulés jusqu'à nouvel ordre :— Dublin à Glasgow et Heysham par la Lai Line; Dublin à Glasgow par la Burns Steamship C Dublin à LiVerpool par les Tadcastle, McCc mick steamers; Dublin à Holyhead par les London and Nort Western steamers. On raoontait lundi à Liverpool que penda lo week-end, 1$ sous-marin allemand " U2] avait obtenu une provision d'huile d'un navi battant pavillon danois et se trouvant au lar de la côte nord du pays de Galles, sans qu'< pût dire si l'approvisionnement avait été for ou volontaire. Le capitaine du " Toko-Maru," coulé au lar du Havre sans aucun avertissement, a exprin sa conviction profonde que son navire, chargé i vêtements et de vivres ]>our les réfugiés belg< offerts par de généreux Néo-Zélandais, avait é frappé par une torpille et non par une mil flottante. La Ligue navale britannique a félicité le go vernement français de sa protestation si oppe tune :— " Les nations neutres doivent être convaincu maintenant, télégraphie-t-elle, que la tactiqi allemande professe la plus complète indifféren à l'égard du respect de la vie humaine et est co traire à toutes les conventions internationales. et leur demande, menaçant: "La bourse ou vie ! " S'il y a un tribunal des nations, voilà cert un cas qui tombe sous sa juridiction ! Remplacez dans ces imprécations " Loui Napoléon " par "Guillaume II" et voi pourrez les 'appliquer très exactement à Prusse de 1914. Oui, Guillaume II est un bazndit de grar chemin qui, en dirigeant son browning si la faible Belgique, lui a dit: " L'honneur ou vie!"; oui, la violation de la neutralité < notre pays .a placé le Kaiser au ban ( l'Europe; oui, s'il existe encore un droit cl-nations, si les 'traités sont autre chose qu'i "chiffon de papier," les peuples du mont entier doivent se sentir insultés, provoqués doivent se lever pour châtier un semblab crime de haute trahison internationale. Ce rf'est pas nous qui le disons. C'est " Kôhiische Zeitung " de 1870, qui condami sans erreur possible l'Allemagne irppériale < 19141 Si ENCORE LE LIEUTENANT VO MALLINCKRODT. UN BEAU PROCES. T. . AMSTERDAM, 1 février.—Le directeur t 'Telegraaf," M. J. C. Schrôder, vient d'intent ^ une action en 10,000 florins de dommages et i * térêts au lieutenant J. von Mallinckrodt, attacl au camp d'internement des soldats belges Zeist. I>e lieutenant von Mallinckrodt aurait décla publiquement dans un café d'Amsterdam que 16 " Telegraaf " était subsidié par le gouverneme S1 anglais pour créer une opinion favorable ai le Alliés. zc Note.—La Métropole a parlé des étranges agiss u~ ments du lieutenant von Mallinckrodt, neveu ■ M. von Mallinckrodt, d'Anvers, dans son numé Qt du 30 janvier. c. Le procès que lui intente avec une bel . crâuerie notre excellent confrère hollandais se une intéressante réplique à celui de M. Vf '= Rossum. ni » LE CANAL DE SUEZ EST 0UVER1 il UN DEMENTI. LONDRES, 2 février.—Le Press Bureau publ ' le communiqué suivant du secrétaire de l'An us rauté : Au sujet des bruits qui ont circulé dans le presse continentale suivant lesquels le canal ■ k- Suez aurait été fermé, la Société du Canal de Su te a publié une déclaration qui dément ce bru is disant que le canal est ouvert au trafic comn fs d'habitude, réserve faite des précautions pris pour assurer la sauvegarde des navires en trans le m 3S LA TURQUIE EN AURAIT ASSEZ iir il INTERVENTION PERSANE : iir l'A RIS, 1er février.—Une dépêche de Brind: publiée par la "'France de Demain" dit qu es d'après les déclarations d'un officier au servi rs- d'un état neutre, qui vient d'arriver de Consta tinople, on apprend, de bonne source que ,v, Turquie essaie en ce moment de se séparer i es l'Allemagne. r0 Pour le Sultan, dit l'informateur, la questi< |j, de sauver son trône est en jeu. La marche vers le canal de Suez n'est qu'ui es simple démonstration destinée à donner satisfa ?u tion à l'opinion publique de la capitale et d'il es pressdonner le peuple ottoman. ir On tient soigneusement secrète la déclarati( în de guerre de la Perse à la Turquie. ,s L'ancien antagonisme entre les deux sect nt mahométanes, les Sunnite's et les Chïites, qui c •r, passé à l'état aigu, a rendu impossible une guer je sainte.—Central News. ;;; LA TAXE SUR LES ABSENTS. n- ! — ii- - UNE PROTESTATION DU c'- GOUVERNEMENT. ^ LONDRES, 2 février.—La Press Associatit q. communique la dépêche suivante :—» La légation belge à Londres a reçu la procl tt. mat ion suivante publiée parle gouverneur-génér es do Belgique le 16 janviçr dernier (voir le tex u- do ladite proclamation publiée dans la Mctro-pt c- du 28 janvier).:— n- Plusieurs réfugiés belges influents ;i Londr >n disent qu'à leur avis la proclamation a été édict is pour couvrir l'aciion allemande dans le passé < at sujet du pillage des maisons particulières de ta de résidents belges. n, Le fait qu'ils, ne seraient pas revenus le 1 -V mars conformément à là proclamation, disent l réfugiés, permettra aux Allemands de saisir 1 e- propriétés pour le non-paiement des taxes. Ç- Cette action, disent les Belges, est en violati< ii. du Droit international, et le gouvernement bel K) 1 ui-même proteste contre elle en ce qu'elle co stitûe un acte illégal, in 13 LES BELGES EN ANGLETERR: M. Renkin, ministre des Colonies de Belgiqu a reçu le révérend Forfeitt (le missionnaire vé! ranl. de la Baptist Missionary Society, que co naissent tous les anciens Congolais. M. Forf2 a exprimé au nom du comité de la Bapîist M le sionary Society son admiration pour le roi Alix et son année et ses sympathies pour le peUp :d belge. IV'hôpital de la mission * ;ï Bolobo, superbe station principale de la société, a re< : plusieurs soldats blessés dans les en gage mon r au Kamerun. De plus, le colonel Sir Alfr-Pearce Gould, trésorier de la société ù Lond« h. dirige un des hôpitaux militaires où les officie et soldats de l'armée belge reçoivent des soi al dévoués. M. lè Ministre des Colonies a exprin " ses biens vifs remerciements et a assuré le ré^ re rend Forfeitt de tout l'appui du Gouverneme *e au Congo où la situation, étant tout à fait, ne m maie, il compte que la mission continuera s< :-é œuvre civilisatrice. re La Société du progrès de la coiffure, composée d ie principaux maîtres coiffeurs à'Londres, organi le ixmr le jeudi, 11 février prochain, en la gram salle des fêtes du Café Monico, Piccadillv-circi: te w., une grande fête belge (concert, etc.). au pro le de la Belgian Red Cross Society, sous le ha patronage de Son Excellence le comte de Lalain u- ministre plénipotentiaire de -Belgique, 1 r- Madame la comtesse de Lalaing et de l'Angl Belgian Committee of tlie Belgian Red Cross, av es Je gracieux concours de-Mlle Délisia du Théât ie des Ambassadeurs à Londres, de M. Chaudoir c Conservatoire de Bruxelles, de Mlle Diane Fab u- d'Anvers, de M. et Mme Dôlâroche. Mlle A dichka (danseuse), le Warwick Repertory Clu — etc. Les prix des places sont fixés à :10s., 5s. la 2s. 6d.; on trouve des billets chez }l. Gast< Boudou. 24, Conduit-street, W.. et M. Arth 2S Van Humbeeck, 90, Great Russell-street, W.C. g_ Voici le superbe programme du conc€ organisé pour demain jeudi, à S heures du so; dans la salle du Queen's Hall, par le cerc la " Esperanza." On y entendra le célèbre orcliest du Kursaal d'Ostende, sous la direction c maître Rinskoff :— u. (1) " La Mer," poème symplionique po 1 orchestre. Paul Gilson. (2) "Variations syi I phoniques," pour piano et orchestre, Cés ,e Franck ; pianiste. Arthur De Greef. (3) " Air < le la Fauvette." de l'opéra "Zémir et Azor," Grétr; îs cantatrice, Flora-Woodman. (4) " Noëls liégeois n pour orchestre, Joseph Jongen. (5) " Fanitais . sur de vieilles chansons populaires flamandes ® pour piano et orchestre, Arthur De Gree -t pianiste, Arthur De Greef. (6) " La Procession le César Franck: cantatrice. Flora Woodman. ( ''Airs Wallons," pour orchestre, Théo Ysayë. la Lescartesde 10sh6, 7sh6. ôsh, 2sh 6, et 1: 1P peuvent être prises au local de l'Esperanz • King-streot, 9-10, Gheapsj.de, E.C., tél. 2020 Ci 1 (près de la Banque), ou chez Daniel Mayer, Ch{ ham Ho use, Georg>e-street, Hanover-<sq uare, W, H| LA DEFENSE D'ANVERS. LES FORTS ET LES ALLEMANDS. [u ROTTERDAM. 1er février.—'• La Belgique er publie l'intéressante information suivant:— a. Les Allemands qui travaillent depuis troi - mois à remettre en état les forts d'Anvei semblent avoir terminé leur tâche Ils annoi a cent par la voie des journaux qui leur sont chei que le réduit national belge est devenu en-tz cé leurs mains un point d'appui terrible, et au'il |e ont muni tous les forts de première ligne d'un . artillerie moderne amenée à grands frais. Bre le bluff continue. IX Nous serions heureux de savoir eependan s'ils sont parvenus à rétablir les coupoles d e- Waelhem, de Liezele, de Wavre Ste C'atherin le et de Breendonck? Leur communiqué ne para lo pas l'affirmer. Vers le nord par exemple, entre les forts ci le Oappellen et de Stabroeck, ils se. sont ingéniés ra établir des défenses de tout genre. Et la que a tion se pose une fois encore de savoir contre qi ces préparatifs sont tournés. Enfin ils ont pourvu les forts de l'Escaut d'un artillerie nouvelle, récemment amenée, car il leu "* importe énormément de dominer tous le méandres du fleuve. Pourquoi? Bien malin qui démêlera parmi ces informî fions la part de vérité et la part de démonstratio tendancieuse. Nous ne nous en chargerons pas ie GERMANO . . . FOLIE. la AMSTERDAM, 30 -janvier.—On lit dans ^ "Echo Belge":— jè Les journaux allemands publient de temps 2S autre une petite poésie ou une chanson frai t. çaise destinée à montrer à leurs lecteurs qu'e France tout le monde n'a pas la même opinio et qu'il y a certains esprits qui critiquent sévèn * ment les chefs du gouvernement et les ministre ; des pays alliés. La "Frankfurter Zeitung " se distingue toi particulièrement dans ce genre de sport. Ma heureusement, elle a la main maladroite. Chaqv fois, c'est comme un fait exprès, elle tombe si si des morceaux tellement indigestes qu'on eer e, à une lieue qu'ils doivent être "made in Ge îe many." n- Cette l'ois encore le même accident lui arriv la Nous mettons, comme nous l'avons déjà fa le précédemment, sous le» yeux de nos lecteui l'objet du délit. Lo voici, ci-dessous, ils peuver >n juger ainsi à quel niveau ce ci-devant pran journal est actuellement tombé, puisqu'il n ie craint pas de publier de pareilles pauvretés, c- C'est intitulé "Chanson des Patriotes":— n~ Pourquoi donc cette guerre. Grande semeuse de misères i >n Pourquoi tant de victimes Qui privent tant de minimes ? (sic.) s't Pourtant c'est bien f acile à qui veut le comprendi re De trouver l'auteur à qui cette faute incombe. C'est Poincaré Qui le voulait ! Car, voyez-vous cet arriviste Qui punit les anarchistes Cet homme est un coquin Car" pour lui cela n'est rien. Ah! Qu'on lui coupe donc les oreilles Les p— et les orteils, (sic) lot qu'on jette aux animaux m . La viande de co chameau ! En avant, en avant, en avant! a. Mais marchons chez les Allemands! al N'est-ce pas que c'est beau et de bon goût te N'est-ce pas qu'on y retrouve cette élégance, cet1 1 le finesse et cette clarté bien françaises ! Le moi sieur qui fait rimer "Poincaré" avec "voulait es et "comprendre" avec "incombé," est éviden ie ment de la Butte î iu Et veut-on savoir comment cette exquise, cet' it fine littérature est tombée entre des mains ail mandes? Tout simplement de la façon suivant er (nous traduisons fidelemçnt):— 3S "Dans une lettre de soldat (" Feldpostbrief ' es venue du front occidental et que reproduit ! ' B. Z. am Mittag ' (journal berlinois) le sign; ,n taire raconte un incident peu ordinair-?e Dimanche dernier, pendant l'après-midi, un avi; teur français vient subitement survoler noti lieu de cantonnement assez bas, et tenez ! o voit dans l'air voleter de droite et de gaucl un tas de papiers blancs dont quelques-ur E tombent dans le jardin do notre àmbulanc Qu'est-ce'! Une poésie (?) satirique contre... î Poincaré, découpée d'un journal français." e, Comme tout cela est bien, et beau, et vra é- semblable. Vous voyez cela d'ici, un aviatei n- français qui s'en va survoler le® lignes allemand* tt assez bas, au risque de se faire mitrailler, poi s- distribuer aux soldats ennemis une chanson ant r*, poincariste! et oette chanson est'découpée d'u le journal français, mais on a bien soin de ne p. la nous dire lequel. •u Ah ! faut-il tout de même qu'ils soient jobard ts les lecteurs du " B. Z. am Mittag" et de l ni " Frankfurter Zeitung," pour avaler de pareille s, bourdes ! rs Et, qui sait? les rédacteurs eux-mêmes de ce is deux quotidiens le sont peut-être aussi. U ié mauvais plaisant se sera gentiment pavé lei é- tête, et eux. aussi bêtes que méchants, ils auror it donné dans le panneau. r- ►n UN TREMBLEMENT DE TERRI DANS LE YORKSHIRE. 3e ______ le s Une forte émotion a été causée dans les di tricts de Conisborough, Denabv et Higli Meltoi jt, nuit, de lundi à mardi, par des secousse: „ semblables à celles provenant d'un tremblemei ^ de terre. 0_ A la suite de ces secousses, un puits charboi 3C nier appartenant à la. Denaby and Cadeby Co re liery clïôme, par suite des chutes nombreuse l„ Un homme fut tué et d'autres s'échappèrent re grand'peine. Mme Lindley-Wood-, de Meltor lj. fut renversée dans son fauteuil par la force c ^ la secousse et un domestique fut jeté hors de so ol lit.—" Evening Standard." ►n 11■ BOMBARDEMENT DES DARDANELLES PETROGRADE, 1er février.- Decs voyagent revenant de Turquie signalent que la flotte angl< ri française a bombardé les Dardannclles, démoli, r, sant quatre forts. L'alarme est grande à Coi le stantinople et le ministère, ainsi que le quartie re général, ont été transférés sur la côte d Asie.- [u Central News. 3r —Notre correspondant commercial de Pop n. ringhe nous communique, et ceci n'est pas sac lr intérêt, le prix actuel des houblons en Belgiqui lc Le commerce des houblons, dit-il, est calme < 7; les prix qu'on y paye varient de 30 à 40 francs. —Des Belges arrivés de Charleroi à Fie; ie singue déclarent que la situation y est terribh 1x2s prix des denrées ont augmenté de façon coi f: sidérable: un sac de farine coûte maintenant 12 franco. Les habitants vivent de pain seul. ~) — Selon des renseignements puisés à 1 meilleure source, la Grèce viendra avec toute ih ses forces militaires en aide à la Serbie, dans 1 a, cas d'une nouvelle invasion du territoire sert i-y par les armées austro-hongroises. ,t- Une très grande activité règne actuellemei dans les milieoix militaires. MONITEUR BELGE DU 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, ET 28 JANVIER. (Suite.) " ARMEE. NOMINATIONS. s Lfcuis I» c»v*leiui.—Cu/pitalnite commaudAntt.: le.-, coiontart-dants en second Degroodl. L.-J., du 4e lanciere ; barou d* Viron. du 5e; Bertouillc, du 1er; Van Loo, du 4e; cheralief " do Ncto do Roden, du 2e guides; Van Waclelsljem, du 1er chasseurs; Coupez, L.-G.-G.-J.. ét.-m. 1er D.; comte dé ® Liedokerko Beaulort, du 2o guides; Rothermel, du 2o chu*-s oeure; Poteau, adjoint à ét.-ra. 2c B. caralerie. ^ Capitaines enjpecond: lea lieutenants Mortier, du 4e la.rv-5 ciers; Mc*selman du Chenoy, car. dir. 3e D. ; Lebrun, du 5e lanciers; Ripel, du 2o guides; Sillye, du 1er; Jacminot, du ;, 1er lanciers; Du Bue, du 2e guides; Scheid, adj. ét.-m. lr» e B. C. ; da Pierpont, du 3e lanciers; Lancksweert, du 2c gnidee; e do Rcul, du 2e lanciers; chevalier de Donnea. du 1er guides, t Dans l'artillerie.—Capitaines en second: ies lieutenants Tiberghien, du 5e; Gendarme, du 1er gr. d'ob. lourds; SimoD, 0 F.-H., du 4e r.; Perier, de l'art. Ire diT. caralcric; Van x Orerstraeten, du 2e r.; Renard, du 3e r.; Lofèvrc, duo 5c r.; llambrcshi, artillerie JGo B. M. >; Dans le génie.—Capitaino en second: le lieutenant Nclis, [1 da la compagnie d'ariateure. Dans le corps des transporte.—Capitaines commanda nts r lea ct-pilaihes en second Aurerputte, oo D. A.; François, 3é . e D. A. r Dans l'infanterie.—Capitaines en second do reserro: Icv g lieutenants do réserre de Poucques, du 2c carabinier.'; Spilliacrt. du 3c de ligne; Willeme, du 3c; Pairoux, du 2o carabiniers; f^ouchc, 1er carabiniers; Pierard, du 6c do ligne. L- laoutenauUi de réecrr<>: les sous-lieutenants do réferre Q Gellcnc, des grenadiers; M ah y, du 5e de ligne; GoorLs du D'\ Dans la caralei-ie.—OapiUino en second do réwrrrc: l*-lieutenant de réserve Tjteca, du" 2e chasseurs. Lieutenants de réeerre: le^ sous-lieutenants do réserre Van Innis. dn 2c guides; Rabau. car. dir. 3c D. A.; Gouzée, du 2e lanciers; de Maere, du 3e lanciers. Dans l'artillerie.—Capitaines eu second de réserre: les lieutenants de réserro Fauquel, dti 6c r.; Marchand, du 5t r Dubar. du 3e. Dens le génie.—Capitaine commandant do réserve: le c. L en scef do réserve Bette, du génie, 2o D. A. Capitaines en second de ré.-erre: les !ieutenants de ré-serre Lhargeois, du géuie, 6e D. A.; De Biuts, du génie 6c>" à ■ Dans le corps des t.i-an6portf..—Lieutenants de rcSerre: les sous-lieutenanU de raserre: baron de Garoia de la Vega, 5e . n D. A.; SterbeDc. 5c D. A.; do Ncto de Roden. M.. 5c D. Il j » capitaine on second de réserre Afiselman, II.-A., , des transports, 5e I)., est nomme cap. coin. Cap. com. ; le cap. en sec. Royaux, JOo ligne. S uièïf31 en secontl: lieutenant Arnold, 1er chasseurs j. , Lieutenant: sous-lieutenant Styczynskï. grenadiers. Sous-lieutenant d'infanterie: off. aux. d'inf Strivet. C'.-G. |- r •'a^: leutenant paveur: off. pay. aux. Mcl'sen, G.-J. e c ' F*cl .'a!re <1,intendance SoTens est nomme tous-licul. hont commis.s;onnés: T En qn»lité d'officier auxiliaire d'infanterie: Brifaut, eèrcént ïïrP'iC,C,'n . \,A ;,<:!,un.'wrl' 1er sergent-major, cent." " !'- if lr® 1 A -: > ersluys, I .. 1er --e.-g. major lro D. A ; seff«-major. Ire D. A.î Dllens de .Sehootcn. P . sergent Ire D. A.: I-alise. C., sergent, 2e D. A.; Sover. sergont 2e D. A.; De Caesmaeker. sergeut, 3c I). A.: Collait. ;t sergent-major. 4e D. A.; Biinduin. Jer juar. lof;!--, de gciid . ,s 4e U. A.; Mattern, H. H.. D. A.: Pire, L.-A.-A.. 1er mai. ^OK'6 gond. 4e D. A.; baron do Terwagne. eerg "îo D A., î Reetere G.. 1er s.-maj„ 5e D. A.; Merfns, ,i.. s.-major.-5-ri D A.; Daenen. I., s.-major. 60 1). A. ; Charliei. A, s.-major. e be D. A.; Rowes, .T., s.-major, 6e D. A.; Lefevre, F,., 1t sergent. 6e D. A.; Putquin. A., servent, 6e D. A.; Cliarlie, K. lfT s.-major, 6e D. A. . Pire. A.-L.-A., s.-major. 6c D ^ Van Espen. R 1er s.-Tmajor, 6e D. A.: Van Iloerke.' K.. r» - x0. înw- u i C-;E:,*dj-, e".D- A-: Cox- y- s.-major. 6e • ». a.. 1 niebaut. s.-major des ancicns militaire.-: ■ Urompuaut, I., s.-maior des anciens militaires. De Block. J.-J., serg. major, comp. mitrailleurs de la 2o brigade mixte. Daner. P.-J.. aud. 9e ligne; Frers, F.-J.. adl. 9e ligne-Denain, 1er s.-major, 9e; Princen, ,J.. s.-major, 9o; Renkin. P.-.T-L.. s.-raaj., 9e; Van Eer.khoudt, s.-maj., 9e- Kutn P. G., 1er s.-mâjor. Ile; Donders. 1er s.-maj., 1 lô; Pot! .J -L., 1er s.-niajor, 14e; Sibine, F-J„ s.-major, l<Je; Fum»!. ! T.-.J1er s.-major, 14e: Délrce. F., 1er s.. ]4e: .Serrais. A. I 14-: Mai-otte, A. J., s.-maior. 14e; Hnmbler, F.-L.. s J.-J.- 1er s..-14e; Simons, J. II.. t.-major, 4 Van Hool. A., s.-major. 4e. Officier payeur auxiliaire: Pirlot, adjudant, lrc D. A. 1 T.e «-rayiit. en sec. Graff, E.-G., du lie de ligne, est nomme" , adjudant-major. MUTATIONS. Cap. en second de place do réserro Asselman nasse dani 1 le corns des transports. 1^> cap. en second de réserro Royaux, du lOo do ligue, pa^wo dans l»s ordres actifs. Lo n'eut- de réserve Arnold, R.-G., du 1er chasseurs à pied, est réintégré dans les cadres actifs en qualitié do lieutenant, ; d infanterie. I/O <ap. commandant de réserre Van Dionant, F.-J.. du 1er carabiniers, cesse faire partio cadre réserve. f Lo capitaino en second Rolliu, du 3c do ligne, est nomnv capitaine-commandant. C # DEMISSION. 1 La démÏ56ion Offerte par le can. commandant Mignot, II , » ' au traitement de réforme, c6t acceptée. LE LIVRE D'ADRESSES DES EXILÉS. ^ 9 pence la ligne.—Joindre le montant aux ordres, s.t.jj. e "C^AMILCE DIAMANT, Ôlanricarde-gardens, 22, i- Ilyde Parle, Ix>ndon, W. 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MARY-AXE, LONDRES, B.C., jusqu'au L 10 février. La Compagnie Belge Maritime du Congo. COUTURE.—Mme SUZANNE, 31, Baker-st7 W., informe les dam«B belges et françaises qu'ello vient d'engager dans ses salons. MADAME IR5IA, I) ex-vendeuse de la liaison lllrech et Cie., do Bruxellee. qui so 5 tient à leur disposition tous les jours do 10 à G heures. Pi'ix j. t rrô modestes. Phone, May lai r J960. Km mm INGSWAY THEATRE] Tel., Ger. 4032. Le soir â 8.30. Aujourd'hui, jeudi et. samedi à 2b. 30. 1 Représentations spéciales D'ARTISTES BELGES. J" CARLO LITKN dans LE CLOITRE, d'Emile Verhacren. à T IEGE.—Tout habitant de cette ville cmplo: e i, JLi dans x L'INDUSTRIE DU CA OUTCHO U C est instamment prie do 6'adrcsser aux bureaux de •!* n VICTOR TYRE CO., Ltd., 15, Cartorctr&trocl, Weatminstei. ON Demande jeune lille. pour aider dans pel ii meuage Belge. Vie de famille. Se présenter.—Mm1'. >. Roelens, 36. l-'airlawn-mansions, New Cross, London, S.E. 5 ÏVÔIJVÉLLES CONDITIONS. —-COURRIER 1- VERMOTE informe militaires porte gratuitement leurs 5- lettres toute la Belgique et rapporte réponse aussi gratuitement. Poui civils, 2sh payables lors remise lettre et 2eb. lors remise réponse. Aucun détail guerre. Départ tous dix jours. Envoyez ras lettres pour Belgique, A. Priory-garden;, - Folkeetone. DECES. s IVfR. J- B. VEREECKEN et famille d'Ajaveii, '• lvX ont la profonde douleur de faire part du déete de dariu :t Mclanie Pauwols, leur épouse, mère, belleé-mèro et grand'mcre bien aimée. Née à Waelhem, le5 sept._ 1829 ot pieusement, déccdéo a Eastbourne, Lismore-road 7 le 30 janvier 1915. I.o service luuebro suiri de l'enterrement aura lieu le jeudi [l oouraat à 11 heures en l'église Ste Agnes. 3 T A METROPOLE paraît chaque matin, sam lo XJ dimanche, dans le " Standard," rendu chez tous les marchands de journaux au prix d'un penny. Nous conseil-Ions rirement â nos amis de s'abonner au prix do 3sh. 3 par S mois pour le Royaume-Uni et 4sh. 4 pour l'étranger, < t -!•; e noua adresser le prix do l'abonnement en tiri mandat. Le tarif des annonces est de 9d. la ligne pour le " e d'adresv^s des exilés." payable ri'a.vaneo, ot ])oiir toute autn» publicité, le tarif du "Standard." Nous aTons oyvci t. ,in f bureau dans l'immeuble du "Standard," Fleet-btrcei 13^ 4 TiK-., <iuvert de 2 4 fi heures. En cas d# d«'raand" p^r «erit. Joindxo jckrai timbres d'un pennj.

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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