La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1915, 07 Mei. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/c824b2z43m/
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LA MÉTROPOLE D'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. 22*® .ANNÉE. VENDREDI 7 MAI 1915. No. 127,.'; LA GRANDE GUERRE. a COLLINE 60 J—DANS LA VALLEE D! LA FECHT. — PAS '.DE VICTOIR | ALLEMANDE EN GAT-ICIE.—BERLt EST TRISTE.—DEFAITE TURQUE E! j 1 CAUCASIE.—LES OPERATIONS DE DARDANELLES—L'ITALIE NEGOCI toujours. jki le. théâtre occidental,.l'effort- désespéi wilIecD^ads paraît s'être concentre oes de Sî jours sur la colline 60, située près e ^utelen, -au ; ud-est, d'Yprès, et que le I jjjMjis leur avaient si brillamment enlevée [ 2 dernier. Cette position est important* 1 v- qu'elle constitue la seule élévation m de- cette région du front et que sa po; l ■ ion permet donc de battre ay?ec avanta« v,'points stratégiques voisins. Ye communiqué français d'hier après-mi c :iîrtncô que la. dernière attaque des All< Sds contre les tranchées anglaises sur 1 •n-êuse colline, et qui a probablement eu lie ijiicredi. fut très violente et acoompagnee, à r'^veau. de l'emploi de gaz asphyxiant î r^joemi se rendit d'abord maître de la. pos grâce à cet odieux stratagème, mais ne ! pillants Alliés anglais contre-attaquèrer •Àk -rigueur et réussirent à reprendre ux ! -gV.'ie <des tranchées perdues H faut espère [ ^jk auront définitivement raison des AU | rjicds tîir ce'ipoint, en dépit des grandes diâ H; qu^ls rencontrent apparemment pour s I aiffiteriir sur ce point chaudement contes! , $ proche, d^s lignes ennemies. 'ï>j côté dv canal de l'Yser, la situation e; oeu confuse. Le communiqué frai P de mercredi soir disait que des progrè 'Ait été faits entre Liserne et Het Sas < <jfi ce dernier village avait été repris, ma: j.y avait* neut être là une erreur de Lradu->c. -'3j ]k?.oommimiquë d'hier après-midi d teks Fra%ais ont .repoussé facilement ur Jûqne d£;\&èifc débouchant de Steenstrael (k seul poi&v que les Allemands possèdent es i dedans cette région sur la rive gauche d tiaJ), apparemment dans la direction c cfemf :j! y a. eu beaucoup d'activité dans l'Entr fesp-et-Moselle., où la menace française coi Saint-Mihiel, aux Eparges et, au Bo : i'.Villy, continue toujours,: semble-t-il, à pri Vxuper vivement l'ennemi. Mais tous s< îjforts pour regagner les avantages perdus soi 1 vjijûs. Aux Eparges et à la- tranchée de C; tonne, malgré un vif bombardement, les Ail ; tands ont été arrêtés devant les première ainchées françaises. Au Bois d'Ailly tro •r.ments se lancèrent contre la. pente su< ijuësft et réussirent, sur certains points, wcadre pied dans les tranchées de premiêi p.nt, mais ils en sont, expulsés progressive Œent psi des contre-attaques bien dirigées. D'autre part-, au Bois de Mortmàre, 1' Français enlevèrent près de la route Flire; Esisy deux lignes de tranchées, repoussai a-suite des contre-attaques et faisant des pr aâniers ■ ' En Alsace, sur la rive septentrionale de J Pêcht, nouveaux progrès. Mercredi matii Français réussirent à l'établir sur 1 petite colline 830 à Test du Sillakerwaseï nais ils la. reperdirent pendant la nuit, ma k-consolidèrent hier leur avance vers Steii j.uck. à moins d'un kilomètre de Metzeral • En Russie, tout va bien. Tout ce que le Russes concèdent de la prétendue victoû allemande en Galicie occidentale c'est le rcci ' quelques urjités de la première à la second ligne de fortifications après avoir infligé de nertes énormes aux Allemands attacpiant e iorraation serrée avec l'appui d'une nombrejiï «tillerde. , D'autre part, l'ambassade russe à Paris d< lient catégoriquement les faits annoncés pï ■es1 communiqués allemands et autrichiens !<s combats qui continuent toujours en Gai •• occidental, est-il déclaré, ne confirmer S «ment aucun succès—même partiel—c ennemi. Enfin, les journaux allemand wblient une communication de l'agence rej iano Wolff disant nettement que des pe snnes sans autorité se sont servies de so wm pour mettre en circulation des bruit l'ix iur la dernière victoire d'Hindenbui ^Gaiicie, et ajoutant. que le nombre de pr huniers indiqué par ces personnes est eii J>i£ plus grand que le nombre réel. En coi '■iqueDce. Berlin," qui a une immense soif c et, de victoire—F une est chère et l'auto aïê—est fort déprimé. Les auteurs du canare «ont, assure-trcn. poursuivis. Même s' % prouvé qu'il a pris son vol à la Wilheln :pâj£ie:j jÇe que indique d'ailleurs mieux que tout filtre chose que les Eusses résistent admirabl "isjat en Galicie et que leur. Iront n'a- null< [jsijt été percé, c'est, leur situation dans le -gpathes, où ils tiennent plus que jamai; ^-tfogxade mande en effet que, les Autrichier 'j&it réussi à recapturer dans la nuit du 1^3, une partie de leurs tranchées perdue |r ; le mpnt Makuvka. (secteur de Stryi), ï. o.'lurent délogés dès la nuit suivante, ave fcrte de pjus de 1200 prisonniers, dont 2 ^iiers! Après cela, on peut considérer ave laïque doute une dépêche de la " Gazetl Cologne " élisant que les Austro-Allemanc i; pris d'assaut et capturé Grorlice (Galieii ■-udentale) et que la troisième armée .rusa «iiimandée par le général Dimitrieff, est c :^:aite de Jaslo. Ly " Gazette T ferait mieux, en vérité; e donner son avis sur la déroute de l'arme r| Djevet Pach<?., dont les 30,000 hommes e ''.^jpes traiches avaient tenté d'envahir •;;ion de Delmenkhoy (Caucase). Ils furei 'faussés à la bayonnette par les Russes n Typiquement inférieurs, et s'enfuirent en d ^îirc, abandonnant de nombreux priso: ni^rs. i^ut-6tre la. "'Gazette1' daignera-t-elleauss n'1 j6 ses J0U-TS' tourner ses regards vers h 1 "flanelles, où les choses vont bien mal poi • polygames amis. M. Asquith a décla: jr' 4Ui Communes que, malgré de fort. , '^.Jes Allies vont de succès en ..succès. 3 •erril, 29,000 hommes furent débarqués • adroite différents et le C mai toutes leu étaient déjà, consolidées. Il -semb | ç' V- attaque se fasse à la fois de l'ouest^ pi METZ BOMBARDE. LE FRONT SUD DE LA s CITADELLE EST A1TAQUE, vj SI PAEIS, 4 mai.—On lit dans le "" Petit Jour S nal " :— Z Voici une nouvelle de nature à réjouir tou; les cœurs français; nos canons bombardent 1< front sud du £amp retranché de Metz. Ces 0 la première «atteinte pewtée à la formidabli armature qurtentourcf notre chère exjlée. c Le bombardement au front sud .de, Metz « 5 une grosse importance : il doit jéter le troubli chez l'ennemi en attendant mieux. Les Aile K mands ont su tirer de la situation exception 5- nejle de l'antique cité lorraine tous les avan e tàges qu'elle offrait. Dès qu'elle fut tombée en leur pouvoir ils en examinèrent les (forts -1 dont plusieurs n'étaient pas terminés en 1870 a comme celui de Plappeville, placé au-somme u du mont Saint-Quentin et qui, perfectionné e est devenu le fort ,c Pnnoe Frédéric-Charles,' flanqués des forts Alvensleben_.et Maûstein i- Ceci est au nord de 1a. ville, sur la rive gauchi s de la Moselle; du mém.e côté, se rapprochan it de la. frontière française, de puissante t.ravau: e de défense ont été. établis, tels le for r " Kaiserin " et, vers Gravelotte, le fort Lotb 3- ringen Sur la rive droite, dominant les ves i_ tiges d'un admirable aqueduc romain qu ,e aboutit au charmant village de Jouy-aux è Arches, se dresse le mont Saint-Biaise, que le: Allemands ont couronné, en 1901, d'un fort bap it tisé " ÏÏasseler "—lequel, vraisemblablement i- sert, à. l'heure actuelle, d 'objectif à nos canoru is qui, du nord de ..Pont-à-Mousson, n'en son >.t éloignés que d'une elizaine de kilomètres, s Plus de vingt forts permanents entouren > Metz. "Nous les avons presque tous vus. El Lt temps de paix, ils étaient déjà protégés pa e des réseaux de fils de fer barbelés soigneuse e ment entretenus, et de hautes grilles -am l- pointes acérées et tournées vers l'extérieu: u limitaient les glacis. Il ne fallait point le; e examiner de trop pires; le poste sortait aussi tôt, et l'arrestation était proche. î- Depuis la guerre., ces ouvrages ont dû s'aug i- menter de t ravaux avancés prévus depuis long s temps et à la construction desquels la garni j- son s'exerçait quotidiennement, même le: is jours de fêtes, comme nous avons, pu le con it stater le dimanche de Pâques 191-1—peu di l- mois avant le conflit. Metz avait toujours été destinée par 1( •s grand état-major allemand à servir de centrt s de ravitaillement en vivi'eç et dn munitioîii 1- aux armées qui envahiraient-la France. Or à peut donc aisément concevoir"TimpoTtancc di e bombardement qu'a engagé et^qtie pduîsUi > notre artillerie contre le front sud et, contix les voies ferrées de ce grand camp retranché. is : 1 POUR LES ANVERSOÏS. i- a CONTRE LES RISQUES DE GUERRE.' i, A l'exemple des associatioru:- similaire: s créées à. Bruxelles en vue de procurer au: i" propriétaires une garantie contre les risque; de guerre et plus spécialement aux- entre lb preneurs la sécurité permettant de continue: les travaux en cours et d'en entamer., de .nou 1 veaux, il a été fonde à Anvêrs-^comme nou; l'avons déjà annoncé du reste—une asso ciation mutuelle contre les risques de guerr< Q courus par les bâtiments en construction, le; e propriétés bâties et le mobilier, le matériel e ; les marchandises. L'association a pour but d'indemniser se; r membres de tout ou partie des dommage: matériels, causés à leurs propriétés et contenu résultant d'incendié et de destruction par fait: de guerre.- Elle est fondée^sar^s aucun espri G de lucre ni de bénéfice; elle ést'établie sur 1j s base de la mutualité avec responsabilit< !" limitée et sans solidarité entre les membres L" mandat des membres du comité général d> D l'association est entièrement gratuit. Le; s membres se soumettent aux conditions de: £ statuts arrêtés par le comité général L'engagement de chacun des membre?- es 1 limité a. '20 par cent sur la va-leur des bâti !~ ments et 30 par cent sur la valeur des mobi e lier, matériel et marchandises. La vingtième .e partie seulement de ce montant est à paye h lors de la souscription. En» cas de nécessité l'association pourra appeler tout ou partie di solde de rengagement. Cet appel de fond: éventuel ne pourra se faire qu'à, l'ouverture e de la liepiidation, soit six mois après la con ciusion de la paix. Le règlement des do m mages so fera conformé ment aux statuts. S 5 aucun dommage par faits de guerre ne so pro 5* duisait, les cotisations versées seraient rem f boursées sous déduction des frais encourus. ^ L'association a un délégué en Angleterre e 6 a établi un bureau, 20, High Holborn, Lon s dres, W.C. (Téléphone 5352 Holborn), où le; c intéressés peuvent obtenir gratuitement tou; ^ les renseignements concernant le fonctionne c ment de la société. e s »■ ■ ■ : e qui est au delà de l'étranglement do Kilie Bahr et du sud, par Seddul Bahr, contre le pi« n de l'Arbre que domine toute la pointe de h péninsule. D'après des avis non officiels, li [e position de Krithia, qui donne accès au pic :e serait sur le point d'être prise, et il est pos le sible d'autre part qu'avec l'aide de la flotte a l'isthme de Gaba Tepe soit promptement oc it cupé. Dans ce cas, la situation des Allié; j- serait inexpugnable et la réduction des fort é- eieviendrait simplement une question d' > temps. En attendant, les Turcs ne parlent plus d' i, victoires. " La situation défavorable de l'en ïs nemi dans les Dardanelles demeure in ir changée " dit le communiqué de Constanti •é nople. Cette phrase est, on l'avouera, ud che ïs d'oeuvre que Herr Wolff ne désavouerait pas ! je Rien de neuf ailleurs. Les sous-marin à allemands ont coulé au sud de l'Irlande m rs rchooner, et dans la mer du Nord quelque le chalutiers. L'Italie négocie toujours ave lt .l'Autriche, et les journaux allemande. leccm -rrai^nt^eru^J%-v-Ttua^ian-.-cs^œre:: guerre d'usure. Il y a des braves gens quo les récents corr bats autour d'Ypres et la "victoire" allé mande sur la Dunajetz n'ont guère enihoi . siasmés. Depuis l'automne dernier, ils s'a tendent, d'après des indices incertains et qi n'ont jamais été offieûellement confirmés, ' une avance générale des Alliés sur le théâtr 5 occidental de la guerre, qui, d'après la rumeu .. publique, devait avoir lieu en mai et dont 1 ; 'résultat devait être de provoquer la retrait générale des armées allemandes. Les modéré u indiquaient que cette retraite aurait libéré, .l,e Flandres et tout le territoire français et belg ' envahi jusqu'à la ligne Anvers-Namur-Givel lès enthousiastes la poussaient jusqu'à 1 - Meuse, et quelques-uns même la portaiemt a - Rhin. D'autré part, le récent ^ffort ruse j dans les Carpathes semblait préparer Finv; sion rapide de la Hongrie et la disloeîation d l'empire austro-hongrois. Au lieu de cela, que voient les braves gen : peu experts dans l'art de la guerre et qui n . considèrent les événements que de façon tout superficielle? Ils voient l'avance allemand dsns la région d'Yprès, obtenue pour une bonn î part grâce à l'emploi véritablement ignoble d i gaz toxiques; ils voient le raid allemand dar : les provinces baltiques, jusqu'aux portais d i- Libau et de Riga; ils voient la "victoire allemande en GaLicie occidentale, puis la re< ; tification des lignes anglaises par l'abandon d i Zonnebeke. Et ils se demandent ce que tôt cela veut dire et " ce que font les Alliés? " i Répondons leur donc un peu avec le langag - du calme et. froid bon 6ens et donnons leur 1 » clef de l'énigme. Êlle est très simple, comme o » va. le voir, et peut se résumer en une seul -• phrase, que voici: les Alliés, poursuivent ] but de la guerre, qui eêt l'écrasement complt 1 et définitif du militarisme prussien, et ils en 1 ploient à cet effet, non les movens que veuler bien leur proposer les cervelles bornées de ' • " braves■-gens," mais ceux qui sont.destinés ; conduire le plus rapidement, le plus complète * ment et le plus économiquement possible a ' résultat désiré. Les Alliés ont tous les atouts du succès e m^in. Ils ont le temps, l'argent, une réser* inépuisable—inépuisable, remarquez bien c mot!—d'hommes et de munitions; ils po; ' sèdent définitivement la maîtrise de la me 5 qui leur assure les ressources "du monde.ej [ tier," hormis les .empites de l'Europe cei ; traie. En outre, ils ont des généraux ém nents, la certitude de vaincre, des morts [ venger, et toute la forpe que confère la coi V science du Droit. . - • ...Au regard Uo_ cela,, {es ressources de ne ennemis sont strictement limitées en ton , points4 ils manquent déjà 4e pain, d'arger 'et de matières premières; ils sont coupés-cl reste du monde; demain ils seront à cou: de munitions, après-demain ils auront -touct le fond de leur réservoir d'hommes, et leui estomacs crieront impérieusement famine ! E outre, ils savent—leurs chefs savent—epr'L sont vaincus d'avance; que leur plan initi; d'agression a misérablement échoué; que 1 défaite leur imposera un fardeau immense < dont ils envisagent'le poidî avec 'une compn hensible terreur, bref qu'ils ne peuvent e tirer d'affaire qu'au prix de quelque succès Ds ne cherchent plus le triomphe, mais un paix honorable. Ayant fout contre eux, t surtout le temps, ils veulent faire vite e donner encore, pour autant que cela puist durer, l'illusion de la force.. Au regard de cela, qiie signifient - quelque petits suexîès partiels? » " Eye-Witness " va. pour le dire en • ee termes suivants :— En ce qui concerne les récents combats si notre gauche, il est. clcsira-ble que l'offensrv allemande soit considérée dans son exacte pe spective et qu'elle ne soit ni diminuée, ni ex; gérée. Effectuée en premier lieu par surpris ' sous une l'orme d'attaque nouvelle, elle a e 5 pour résultat pour l'ennemi un gain de terrai! [, considérable si on le mesure d'après les uniU t i de la guerre de. tranchées—et dont la plus grand ; partie a pu être madnstenue à l'aide de tels corj : de troupes fraîches qui se trouvaient dart» J voisinage. ï II n'y a .pas de raison pour que nous no Dot > attendiems pas. k■ des attaques similaires i l'avenir. Eliee ne signifient pa:) quo les Allie ont perdu l'initiative dajic; le théâtre, occidenta ni qu'iln la perdroni probablement. Elles tign ^ tient cependant—et 1© fait a été signalé - plusieurs reprises—que la défensive ennemie c. une défensive»active, que la. confiance de. l'ennen; 3 'est encore m ébranlée et qu,:il est toujours , même de frapper là. où il en voit l'occasion ou 1 . ' où,, il y a. un avantage local, a. acquérir. On ne peut se faire une.'idée exacte des opèr; i tions des Alliés qu'en se rafppelant que lev s objet primordial est do provoquer l'épuisemer 5 des ressources de l'ennemi en homme L'étendue de terrain couverte par une avance d l'un ou de l'autre côté, telle qu'on la' mesui r sur la carte, est habituellement une chose secot i daire, encore que la position de certains poim - ou zones puisse avoir, pour des raisons tactique . une importance militaire considérable. Le progrès doiventdonc être habituellement juge . nar .les saignées provoquées à 1 a force de l'ei 1 nemi et non par l'étendue du ierrain' perdu- c - gagné. s DAns "la "forme" que présente actuellement ceti i lutte—une guerre d'épmsement—les Allemand sont destines à perdre en fin de compte. I c'est la conscience qu'ils ont do ce fait qui ii spire leur politique actuelle, laquelle consiste obtenir aussitôt que possible quelque succcs c grandeur suffisante pour influencer les neutre ! pour décourager les Alliés, pour- les fatiguer c ï la lutte, et pour induire les personnes ignorante L des choses de la guerre à croire que les effori passés des Alliés ne leur ont servi de rien puisqt les Allemands n'ont pas encore été refoulé > Cette politique étant entreprise dans un bi - politique plutôt que militaire, elle est, à c , point de vue, militairement, un signé ci . faiblesse. ; On ne saurait, semblc-t-il, mieux dir< 5 Tout nouvel effort allemand, dès qu'il ne r< î ussit pas à percer la ligne des Alliés, et qu' est acheté au prix de beaucoup de sang, ci ; une défaîte pour l'ennemi et contribue à noti - victoire finale. Pensez que l'Allemagne aj - pelle, pour garder ses lignes de ex>mmunic< - tion, la Landsturm non exercée, c'est-à-dii f des hommes ayant jusqu'à soixante-neuf ar et qui n'ont jamais touché un fusil; songe s que nous avons capturé à Ypres, en premièi i ligne, des prisonniers qui avaient trois & s maines d'exercice ! 3 L'Allemagne bluffe, crest évident, et joue & ■ ultimes cartes. Que son dernier, ou l'un d kri -vaàfi^ la. pos CALOMNIES ALLEMANDES. AUTOUR DU 4 AOUT 1914. III. * * Comme on voit, l'auteur de cette déclara-f tion,' avec une entière bonne foi, limite la par- tie réelle des violences qui ont été oommiaef r il témoigne de la.correction, de la générosité e et de la bienveillance, dojit firent preuve la e généralité de la population aussi bien que les s autorités publiques, à l'égard des Allemands 8 obligés dc"quitter le pays. ^ . i Dé son côté,- le correspondant bruxellois-di. g' <l"Berlincr Tageblatt," M. Max Hochdort,-télé ^ graphiait à ce journal (numéro du 14 septem „ bre, édition du soir) :— e t- "Je puis assurer aux Allemands qui jus e qu'ici ont vécu en Belgique et qui sont inquiet* sur le sort de leurs propriétés, qu'ils peuvent ^ être tranquilles. En dehors de quelques café: q et quelques magasins qui ont été pillés au dé e but des difficultés internationales, toutes lef e habitations .privées, de même que leur con s tenu, ont éf c respectées ' ' e Le correspondant bruxellois du ".Berlinei s Lokal Anzeiger " confirmait tout récemmen" e encore cette information de fen -confrère.' I " écrivait en substance dans le numéro du 2Î ï- mars 1915, édition du soir, et «otis le titre de ç. . " Neues Leben in der Brusseler deutscher t Kolonie '.' "La plupart des Allemands prétendùmen e suppliciés et mis à mort, à Bruxelles ou à An a vers se sont, dans la suite, réinstallés sains e Q saufs et en excellente santé. Lee propriété: e allemandes, également, n'ont pas été détruite; e dans la mesure où les Allemands qui avaien fui, prenant leurs jambes à. leur cou; auraien l* pu le craindre. Les habitations privées, er ^ particulier, sont absolument intactes..." Enfin, témoignage dont assurément la pressf allemande-ne pourra, mettre en'doute la. pérti' Q nenese ni l'autorité, l'avocat Dr. Kraetzer.dam une réunion tenue récemment à Berlin, pa: eies Allemands qui ont du fuir de Belgique ai début de la guerre, a rendu compte d'un voyagi qu'il a fait avec un groupe d'intéressés, afii de vérifier l'état des biens allemands en Bel gique. Il y a publiquement déclaré que le; *' craintes de ceux epii pensaient ne plus-rien re ^ trou,ver ele leurs biens abandonnés lovs de leu-!" départ-ou do-né les rçtrou ver qu'en désordre ne se sont pas vérifiées. Presque sans cxcep a tion, les intéressés "ont retrouvé intact c< qu'ils possédaient. Les propriétaires d'im meubles (bailleurs) «c sont, pour la: plupart 5 montrée pleins de bonne volonté à l'égard d< f leurs locataires expulsés " (voir V Berline ^ Tageblatt" du 9 avril).. . 1' ' Ces témoignages -irrécusables font justice de c 'giiefe .articàâés' contre* la Belgiqii?. Et néan s moins, ce sont ces griefs, répandus sans con Q trole ni critique par la presse allemande, qu ^ contribuèrent à exciter les esprits de la ma nière que l'on sait, contre ce petit pays ; repri a. dans des actes officiels, ce font eux qui ser :fc virent de prétexte a des. mesures injuste: d'une gravité extrâordinair'e. le caractère crue e et implacable donné*"'pâr tès Allemands k'h ~ guerre en Belgique, et la création de juridic e tions d'exception, en violation des stipulation: formelles du droit des gens. ;.enfin, c'.est .sur ce, ■'j griefs-imaginaires qué l'Autriche a'.foûdé coi e droit de déclarer, la guerre à une petite natioi .qui ne lui.avait-fait aucun mal. - * * Voir la Métropole, des 4 et 5 mai 1915;> S" • • - LÉ SAUVETAGE DE NOS OEUVRES r D'ART, c ■ i. M. Carton de Wiart, ministre de la. justice e vient de recevoir un remarquable rapport d u M. l'abbé Hansseps, aumônier du géuie, à 1; Ire division d'armée belge, au sujet du sauve J. tage des œuvres-d'art fait p^r .-lui .dans, Je 3 églises de 1a. région de^l'Yser. o Au début de la bataille de l'Yser, M. Han« sens fut chargé, par le ministre de la justice ? de jfrendrè, de. conccîrt avec'Jes propriétaires t lés fabriques d'église' et les conseils commu naux, toutes les mesure utiles pour mettre i- l'abri les richesses artistiques menacées, a C'est grâce, à son dévouement que les église ^ de Perryse^OostK'erke^, ^Caeskerie, Oueleçapell c ri Dixmude (Sâini>Nicolas);, Lampernisse, .Saint a Jacques-Capelle, Pollinchove et Loo, retrou -vercmt après la guerre'lâ plus.grande partie d i- leurs trésors.. ... T Dans oetto tâche difficile et dangereuse ^ réalisée souvent sous le feu des canons en ^ nemis, M. Hanssens a été secondé par M o l'abbé Janneau, aumônier divisionnaire, et pa i- les solelats belges du parc du génie qui tou ® ont prêté leur concours le plus absolu et. 1 '' plus désintéressé. s Les œuvres les plus importantes ont été .en i. voyées au Havre. Parmi elles se trouvée u notamment Iç' CJhrist en ivoire* attribué à Du quesnoy, le collier et/les attributs de là Societ ® des Archers de. Saint-Sébastien de Lampei ^ nisse, qui ont été admirés à l'exposition d'ar î- ancien ouverte au musée du Havre. à !Çes autres ont été placées en lieu, sûr e e seront remises, après la guerre, aux fabriepie ^ d'église auxquelles elles appartiennent. s ^ Il n'y a rien de bien nouveau, à Bruxelles s. On vit tranepiille. On grogne bien de temp it en temps, mais pour éviter des mesures d< e représailles que les Boches ne demanderaien c qu'à exercer on se conforme, à contre cœur aux arrêtés de l'autorité.—" Écho Belge." il quelques villages, et retarde l'avance de it Alliés, cela peut-être regrettable au point d' c vue spécial des Belges, mais non à celui di >- but final de notre cause, qui est d'éeraser com l- plèteraent nos ennemis. Ce but, nous ; c arriverons quand, l'heure sera venue, on peu s s'en fier à ce sujet à nos généraux. z Les critiquer parco qu'ils poursuivent ci e Kut de la façon qui leur paraît la plus con > venable, douter de la victoire parce que l'en nemi récolte ses derniers succès apparents :B c'est confondre la tactique avec la politique t e c'est faire, très exactement, ce. que veulen Allemands-, à-çagoir^legr jeu.. _ _ ., ^. P0DR LES BELGES. UNE EXCELLENTE INITIATIVE. 11 items a été dortné eie constater plusieurs fois que de nombreuses aspirations patriotiques de Belges demeurent inutilisées. En marge des jeunes gens de 18 à 25 ans appelés sous les drapeaux pullulent des patriotes que le gouvernement se fait scîÇipule d'enrôler, soi^, à raisdn ' de leurs^ charges de peres de : fahnîjé,, soit à'raison de^qur/àge. - 'i \ iii yij' certain nombre/'édçn^f'eux, s'es limant aptes'au service actif do première ligne, s'engagent volontairement, beaucoup d'autres qui s'en abstiennent, faute de suffisante vigueur corporelle, se sentent néanmoins encore de ; taille à rendre des services d'arrière qui libé-, reraient pour le front des hommes plus jeunes , et plus robustes. Et ceux-là se disent que leur intervention ; préparée dès aujourd'hui par un entraînement, sera particulièrement opportune dès que: . se dessinera \â. .retraite des Allemands, car il . fauelra alors déblayer le terrain bouleversé par l'ennemi, protéger les communications de nos ' troupes eie marche, purger les campagnes des i derhieyes /bandes de pillards et assassins bocihes, sans distraire, pour cette œuvre latérale, un seul combattant de notre petite armée lancée'.sur, les ^talons des Barbares. Or,' voici que certains des nôtres, réfugiés ' en Angleterre, ont imaginé, pour la réalisation " de ce programme, une combinaison des plu-; ; heureuses. ' Avec l'approbation de l'autorité britannique ' qui lçnr prête des champs d'exercice, ils usent ' d'e cp . facteur efficace entre tous : l'initiative ' privée, -pour constituer des corps de volon-L taires qui se soumettent à un méthodique apprentissage militaire (maniement d'armes > compris) pour être en état, au pioment psycho- - logique, d'offrir, leurs services au pays sans > s'attirer cette réplique: "Vous n'êtes malheureusement bons à rien ! " 1 ' Une compagnie de volontaires belges de î l'espèce, qui a obtenu la collaboration d'ut 1 instructeur militaire anglais, s'est formée i " Nottingham ; une autre est en voie de. for 5 mation à Londres, avec l'assistance d'officierf * belges:- blessés .et licenciés, mais que leurs in-*•: famifés n'empêchent pas de dresser de futurî » auxiliaires d'armées; et ainsi s'élabore une " sorte de réserve qui so présentera, compétente J et disciplinée, pour la dernière phase de lé gûerre. > ..." Bien entendu, ces volontaires n'ont aucur 5 rapport avec 1a, garde-civique. Il s'agit de : faire du travail sérieux, soigné, très discipliné ' ,ç?miparable à celui de l'armée, et d'où lef wdouceurs" et les airs "bon enfant" son' ' 4sévèrement exclus. " A ce propos, notre excellent çonfrère,. M : Gérard Harry, écrit :— 1 II importerait d'en enexrarager au plus vite ' l'extension en France, où tant des réfugiés 5 exclus du service actif, souffrent de ne rier ; faire/pcvur leur patrie. Que notre ministère de l la» guerre encourage, l'idée, et l'on verra se forger,, .pendant, qu'il en est temps encore, ur L instrument nouveau qui concourra d'autan i " mieux à nos ultimes efforts, qu'il y aura con 5 couru de son plein gré—à l'instar de ces volon i -taires de temps dé paix qui, en Angleterre L sont prêts au jour des c.-onflits, à endosser l'uni forme et à œuvrer efficae?ement à côté ou er téserve des soldats de carrière ou des jeune; soldats aguerris. Qu'en pense-t-on au Havre? LES SUPREMES " APPELS " DE L'ALLEMAGNE. AMSTERDAM, 3 mai.—D'après le " Ber s liner Tageblatt," l'appel des hommes di i I>andsturm n'ayant pas encore servi com _ mencera de mai n. par la classe 1879, et se ter 5 min^eraJe 12 mai par la classe 1876. Un autre 'appel commencera le 1 juin avec la classe , 1875 et se terminera le 16 juin par la classe 1869-70. - LE^ PAPB ET LA RECONSTITUTION -D1: J LA BIBLIOTHEQUE DE LOUVAIN. ROME, 3 mai.—L* "Osaervatorc Romano b dit que le pape, pour répondre aux demande. v qu'il' a reçu es-:de. concourir à la reconstitutior de la." bibliothèque de Louvain, a prescrit de J méttre à la .disposition de l'université de Lou 3 jvain ifes publications et les œuvres disponible; de lë^-Bibïiothêque vatieane. Cette décision est indépendante des secourt dont le souverain pontife pourrait dispose] * ultérieurement. r _ 3 NOUVELLES FINANCIERES. Les Charbonnages de la Petite Bagnurc dis tribuent frs.20 pour 1913-1914 et réserve sui T les bénéfices l'exercice écoulé une somme suf 3 fisante pour distribuer le mémo dividende ' pour l'exercice en cours. ' Aux Charbonnages de la Grande Bagnure, le , bénéfice de 1913-1914 s'est élevé à frs.800,000 _ chiffre rond, dont frs.343,000 ont été appliqué; * aux amortissements. Le dividende a été fixe a frs.20, payable depuis le 6 avril. De plus frs.250,000 ont été retenus pour le dividende de 1914-1915 ce qui sauf imprévu donnerz frs.30. par action. Société anonyme " La No."—L'assemblée générale Ordinaire s'est tenue le 23 mars der nier. Le béneîfice net de l'exercice 1914 se chiffre par 1rs. 122,089.84. Il a été porte frs.29,256.20 sur amortissements. Frs.4552.2( : ont été affectés à la réserve légale et 1rs.1969.4-' s ont été reportés à nouveau. Le dividende e î été fixé à 5.35 par cinquième d'action de capi i tal et frs. 1.30 par part de fondateur. Charbonnages de Kessales.—Le bilan de 7 1914 fatt ressortir un bénéfice de frs.400,00C t environ. ' Toutefois et malgré que la société ait frs.l,300,000 d'argent liquide en banque ï il a été décidé de surseoir à la distributior - d'un dividende. Une assemblée extrâordi- - naire sera convoquée, le cas éeîhéant ultérieure-, nient pour en fixe*4 le montant. U résulte de. t déclarations faites à l'assemblée ordinaire ti..tenu récemment, que l'exploitation continua . ECHOS. Les-victimes belges de la guerre. Le comité officiel do secours aror •vkîiiiiea belges de la guerre nous apprend que pi^ds de £50,000 ont été réunies par son initiative -depuis le 17 septembre 1914 juseju'au 3i :mars 1915. Le Shilling pour les Cbagsacttc du Soldat,? ' Parmi tant d ""œuvres pour venir enSji^ide aux braves soldats il n'y en a pas dq £r1us . activés et de mieux menées que I XEuvreidè la Chaussette. Régulièrement elle fait d'importants envois de chaussures, de chaussette^ et d'autres objets d'habillements. -jV: Le comité s'ingénie à envoyer spccialeàjient» les objets que S.M. la Reine inelique comme étant ics plus urgents, et a reçu à divecràep;reprises les félicitations de Sa Majesté, quimeni. encore de donner un nouveau témoigna^ de sympathie en faisant aelresser à cette œuWç la lettre suivante, datée.du 20 avril:— "Je suis chargé par Sa Majesté de remercier vivement votre œuvre du nouvel et. gracieux envoi qu'elle a bien voulu faire àii^çtre Souveraine. "Il sera particulièrement agréable Sa. la Reine d'être votre intermédiaire auprès i de nos .braves soldats. >!î "Recevez, je vous prie, monsieur le secrétaire, l'assurance de ma considération dMin-guée. , ' • i u Le secrétaire. '> 5 " J. INGENBLEEK,^ Le comité fait, un nouvel appel à :es/*mi5 bienfaiteurs... les besoins de nos vaillants ■'défenseurs étant toujours très grands. ; j, Les dons en argent, peuvent être adrèf.iéer au trésorier M. V De Stryker, et, les dopV en nature au secrétaire H. van Ticheleii^!o'->, Russell -squar e. i ' La Reconstruction dea Viclis Belges. i Le cercle d'études de plans de.'reconâtrèt>ien en Belgique (Belgium To\vn Planning jj£bm-1 mittee) organise. au cours'du mois de'mai> 'une série ele conférences au sujet de la recoqp*îur-tion des villes belges. Le programme ^nje^t fixé comme suit:— * ,'ç Le 10 mai: "Town planning ancien cj? médiéval," présidence de M. Raymond Unvia. Le 11: " Town planning," présidence fle^M, 1 S. D. Adshead. Le 12: "Town planning moderne," ^csi-: dence de M. Raymond Unwin. ! Le 14: "Londres," présidence de M. W'.f : Dav'ldgc. v Le 17: "Paris," présidence de M. P.iAfeer-crombie. s'I Le 18: "Civie survey " (inspection gén|rile), présidence de M.".H. V. Lancliester. |Sf| Le 19: " La relation de ville, fauboijfi,? rt ' village," présidence de M. G. L. Pepler^' Le .20 (à 7 heures et demie): " Townjîgïan-ning anglais et la loi du town planning,^présidence de M. F. Elgood.. j-îj* Les conférences auront lieu à l'école d'^rçhi-' tecture, University College, Gower-streçt; de , ' 5.30 à 7 heures, excepté celle du 20 mai|.Jqui aura lieu de 7.30 à 9 heures. Il] Des invitations pour toutes ces confétehce? : ont été envoyées à tous les architectes belges résidant à Londres et aux environs; les^per- • sonnes désirant assister aux causeries peuvent ■ ■ s'adresser à M. Ewart Culpin, secrétaire/honoraire du cercle d'études, 3, Gray's Inn-^lace, Londres, W.C. y... .- Une réunion patriotique a Manchester. Rappelons encore la réunion patriotique.:qui aura lieu samedi prochain à dix heures^du matin au Town Hall de Manchester so^Ls-:;les auspices de M. Galle, consul de Belgique*,£ M. Van de Velde, ministro d'Etat, leç^R.P. Callewaert, de l'ordre, des Dc>minicains,Vet le député Van de Walle y prendront la par$M Tous les Belges résidant à Manchester et dans les environs sont invités à cette dénfon-stration patriotique. ,;c- —— i > Dans les magasins bruxellois, veinto nulle. Seules, quelques hirondelles de nuit ?e font vêtir de neuf, aux frais de n'icsaicurs généreux, bien entendu, mais ce n'est pa& qela qui fait marclicr le commerce. 'y > t' Le grand monde, malgré lés arrêtés de^Ton Bissing, ne rentre, pas. Et l'on craint..; A Ëruxçlles—ce en quoi on a tort—que A > la * guerre doit durer trois ans. (encore une ex^g^ra tion), les chicardr ne retourneront jamais ; plus en Belgique. Il en sera de même, pense ' i-on, du gros demi-million d'ouvriers^qui : auront d'ici la signature de la paix trouvé,de l'occupation à F étranger. ; < ON DEMANDE DES OUVRIERS DANS LE ROYAUME-UNI.: Des ouvriers belges désirant travaillerions le Royaume-Uni sont informés que les " Bôard of Tra.de Labour Exchanges ^ (qui sonts^les seules autorisées par le gouvernement bpftin-nique de présenter des ouvriers belges au|^ patrons anglais), ont un grand nombre d'em-çk.is à conférer, surtout dans les industries f^ri-coles. et du génie civil. Des offres de service doivent être failli à la Bourse du Travail la plus proche du cile; pour l'adresse se renseigner au bureau des postes de la localité. ; r. Des Belges se trouvant dans les asile£ de réfugiés à Londres peuvent s'adresser fa|ix Bourses du Travail qui sont établies dansées asiles; d'autres Belges résidant, à Londijksj à la1 Bourse du Travail à Aldwych Skating^ink (hommes) ou à 60, Great Marlborough-strc'ct, W.C. (femmes). c » - t y ; ANNONCES. yjT 9 penoe 1a ligne.—Joindre lo montent aux ordrts, ».V.>1 PIERRE PEET/MANS No. 77. Ile régimerAKle ligne, a quitté Horton Hospita.1 ponr rripindjc,-on regimeut^—Adresser Icttrœ à difpét régiment aire : wi-kii;, Pa4 de CaJsia, 4e Dirision Armcc Belge. PTa.D«\ ( , » LA METROPOLE parait chaque matin, sà.ub le dimanche, dans le "Standard," rondu^ chez tqusj ]&j marchands do jotfrnaox au prix d'an penny. Nous Ions vivement à nœ amis do t.'abonner an pnr dn 3&h.^ I r*r mois Pour le Ttoyaume-Uni H 4sh. 4 poux l'éti^nger^ <',* nouri ad're^ter lo prix d« l'aboDnrmcrJ. en un mandat - f L« tarif de£. annonoc* ttt de Pd. la. ligne r>oui- ' " Annoncer,' nayabln d'^-vanc?, c'- pour tout publicité, le tî.rif du "Stindird." Nout avon.-- oure^ : ;'n burôdu d^-nt- l'immeuble du "'Standard, ' Flest^treet. f3è-«. HjC., • cu*3rt> défi C a 6 béant* En cas d# dîmeids i tadf d us ' ... ' •♦—». _ *- y%l IT"-'

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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