La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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06 september 1917
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s.n. 1917, 06 September. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 23 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/q52f767985/
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LA METROPOLE PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES ONE PENNY L,t . CIHQ CENTIMES ELASDE : VIJF CENT pSEST: DIX CENTIMES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.2 — Telephoac: Holborn 212. ABONimSlCE 1 moii^S ah. ; S^mokiJISah. | 24mb ANNEE JEUDI 6 SEPTEMBRE 1917 No. 249 (3-RA.KDXS aUEflHiE I Chute dg Riga, — et après ? Irise du san gabriele I Succès français en Champagne BSuivant un communiqué officieux, pu- ■ à rétrograde à propos de l'évacua-H0n et de l'abandon de Riga, la cata-■frophe n'était pas tout à fait inatten-Hie; des' mesures pour l'évacuation du Hto'ral du golfe avaient été prises avant ^■passage de la Dvina, par les Alle-Hands, à Uxkul. L'artillerie de gros ■Ibre' sur emplacements permanents Hit jetée hors de ses positions au cou-■„t de la semaine écoulée. Après que ■i Dvina eut été forcée l'ordre fut don-K de hâter l'évacuation de la place. Les Hpupes russes, en se retirant sur Riga, ^■rêtèrent la pression ennemie, et plu-Sieurs unités restées fidèles firent preu-■e d'une vaillance exceptionnelle, en ■|rticuli:er le premier " bataillon de la ■tort " qui par son héroïsme inspira les ^Btres bataillons, sous la direction -du Minéral Novitsky. ■Quant à l'attaque même du système ■éfensif de la ville le communiqué ajou-■'que les Allemands ayant concentré ^ftie quantité considérable d'artillerie, di-■gèrent leur feu contre les batteries rus-■s qui furent réduites au silence ou ■irtiellement suffoquées par les gaz as-^■yxiants. La première ligne de tran-^Bées fut détruite par l'artillerie enne-■ie et les régiments de cette division, ■irès avoir subi d'énormes pertes,durent ■e|retirer. C'est ainsi qu'il fut possible -■ux Allemands de jeter des pontons vers ■[rke droite de la Dvina presque sans HEn ce moment tous les efforts du ^■œmandement militaire supérieur ten-■ent vers la possibilité de tirer les trou-V russes du cul-de-sac qui a été formé Hans la région de Riga, dans la direction du nord-ouest, dans le but d'offrir ■« résistance aux Allemands sur la li-de Riga à la route de Wenden. ^Brès l'évacuation du secteur de Riga ■ lignes russes seront considérablement raccourcies et le front occuperi ■«bablement une ligne entre Friedrich-■ad- et le golfe de Riga, à mi-chemin ■itre Riga et Wenden, et basée par-■"ement sur le cours inférieur de la ri-■cre Aa, en Livonie. M. Savinkoff, fàd-■' Actions de ministre de la Guerre, ■»s unÇ interview qu'il a accordée à ■ représentants des journaux russes, a ■Maré qu'il n'y a pas de danger d'ur. ■paiement de l'armée. Les éléments se retirent en ordre parfait " er B"ormité avec un plan arrêté d'avan- ^■^'1 faut en croire des informations ■tenant d'une source militaire autorisé abandon de Riga ne serait pas dû trahison des troupes révolutionnai • Le commissaire en second auprès ,a™ées du Nord télégraphiant au ■""te des D.O.S. a déclaré que les ■PuPes russes sont sorties de la lutte ■ ' 'honneur sauf, et que la brèche e front est due à la supériorité ^Basante de l'artillerie allemande qui ■mi'ia tout le temps l'action des batte- ■ fusses, anéantit les tranchées rus-v or?a les troupes de la garde, p ■ ['11 "scimées, de battre en retraite. H|n e,lnerni put alors traverser le fleuve ■ rencontre1- beaucoup de résistance; ^Bss'r c'es. soldats, poursuit le com-■e aire> ^tait au-dessus de tout repro- ■ Partout ils firent vaillamment leur H, ,! vrant des contre-attaques en ■ t ,1ne mort certaine. Il n'y a pas eu H ' lson et en dépit de fortes pertes ■n p3 des troupes est toujours très H;, n est qu'à l'arrière des lignes K) " ,a eu des oas de paniique. ■ eront les Allemands maintenant ■ ^J°nt ^ Riga? A cette question, dit ■ hvnnru" "e Tp,eut réP°ndre que Par ■>' à &■ ,s- L ennemi peut être en- Hiirer !^a rien qu'en vue d'y passer ^Bjes' ,eu de grelotter de l'autre cô- ■miei.ma/.ais' cornme au cours des deux Bire cl r®- D'autre part il peut ■ n Possible pour s'emparer de la Hue n? . ^eva' avant que la Bal- BwV0'* Pr'Se de 8'lace 51 Peut s avancer par la Livonie jus qu'à la ligne des lacs de Pskoff. Il faut également tenir compte de la possibilité d'un débarquement sur la côte sud du golfe de Finlande. Dans cette région tous progrès doivent être limités par les difficultés de transport et la saison, mais ils ne seront guère arrêtés par des_ trexupes dont la constance a été minée par des comités qui ne veulent ni obéir ni se battre et qui vont à des " classes politiques " pendant trois heures par jour. En dépit du mauvais temps qui a régné récemment sur le front italien, nos vaillants alliés ne se sont pas arrêtés et leurs efforts viennent d'être couronnés par un succès éclatant, la chute du Monte San Gabriele, accompagnée de la capture d'un millier de prisonniers. Le Monte San Gabriele, qui s'élève à une hauteur ~de 600 .mètres au nord-est de Gorizia est une position tactique de première importance pour la défense de Trieste. Comme l'Hermada, la forteresse du Sud, appuie le flanc gauche autrichien devant Trieste, ainsi le San Gabriele — qu'on pourrait comparer à Gibraltar — protégeait l'aile droite ennemie. La position avait été préparée à la défense avec un soin extraordinaire, aver des positions de mitrailleuses creusées dans le roc ou défendues par des murailles de béton armé- Les journaux autrichiens qui ont déjà été autorisés à escompter la chute du San Gabriele ont dit que la perte de cette position ne changerait en rien la situation à la lisière occidentale de la forêt de Fampova, et en favoriserait même la défense. Que la situation n'en soit pas changée, c'est dCuteux; mais qu'elle en devienne meilleure, cela passe la permission, en fait d'optimisme. On ne voit pas comment la chute d'un point d'appui de première •importance, même celle d'un point secondaire, peut être un événement favorable à la défense des lignes tenues dans son voisinage. D'ailleurs si l'avantage existait, les Autrichiens s'empresseraient de se l'assurer en abandonnant de suite le sommet si âprement disputé. Qui veut trop prouver ne prouve rien. On peut considérer comme plus commode pour la défense de se reporter en arrière d'ensemble, sur une autre ligne plus forte, non entamée, et il en , existe; mais non pas de perdre les points principaux de la ligne qu'on veut conserver. La chute du San Gabriele n'en produira pas moins une forte impression dans le camp autrichien; un député autrichien avait déclaré à l'Idea nazionale que ce serait là probablement la dernière grande bataille pour les Autrichiens et que s'ils la perdaient il ne leur resterait plus qu'à demander la paix. Cette victoire italienne est due en grande partie à la supériorité de l'artillerie de nos alliés qui ont sur ce front plus de 5.000 pièces. Jusqu'ici le nombre des prisonniers dépasse les 28.000. En Champagne les Français ont exécuté un coup audacieux des deux côtés de la route de Souain à Somme-Py; des détachements envoyés en reconnaissance pour capturer des prisonniers et détruire les installations de gaz pénétrèrent dans les tranchées ennemies sur un front de 800 mètres sur la profondeur entière de la position, détruisirent les cloches à gaz, firent sauter des abris et ramenèrent une quarantaine de prisonniers. o—o La valeur chimique de la betterave Jusqu'alors, la betterave n'était utilisée industriellement qu'au point de vue de 1 extraction du sucre. Dans les sucreries où on travaillait la betterave, on jetait l'écume, considérée comme sans valeur usinière. Or on vient de découvrir dernièrement que ce produit tant dédaigné précédemment contient une grande quantité de carbonate de chaux. 70,000 tonnes d'écume ont produit 4,000 tonnes de carbonate. En y ajoutant 1.100 tonnes d'argile, on obtient un ciment d'excellente qualité. La Conférence de Stockholm Les Anglais n'iront pas Le Congrès des Trade-Unions de Black-pool, dans sa séance du 4 septembre, a décidé, par une majorité de 2.758.000 voix, de ne pas envoyer, dans les circonstances présentes, de délégués à la Conférence de Stockholm. Rien n'illustre mieux le revirement qui s'est produit sur ce point dans le Labour anglais (et, accessoirement, sa versatilité) que la comparaison de ses votes depuis trois semaines : 1917 Pour Contre Stockholm Stockholm Août 10 .. 1.846.000 550.000 21 .. 1.234.000 1.231.000 Septembre 4 < 91.000 2.849.000 La motion que le Congrès de Blackpool a votée est celle qui lui avait été présentée à l'unanimité par son comité parlementaire. Elle était concue comme suit : 1. Nous recommandons que le Comité parlementaire cherche par tous les moyens à assurer un accord général de buts parmi les classes ouvrières de toutes les nations alliées, car, dans notre opinion, c'est là une condition fondamentale d'une conférence internationale réussie. 2. Nous tenons fortement l'opinion qu'une conférence internationale labouriste et socialiste rendrait les plus grands services, et est le préliminaire nécessaire à la conclusion d'une paix durable et démocratique et nous recommandons que le Comité parlementaire du Congrès des Trade-Unions soit nanti des pouvoirs nécessaires pour aider à organiser une telle conférence et pour y prendre part. 3. Nous croyons bon que la participation du Congrès des Trade-Unions soit sujette aux conditions esquissées au paragraphe 1 et à la condition additionnelle que le vote se fasse par nationalités, les fractions sectionales™ de toute nationalité étant gouvernées par la majorité de cette nationalité, ou bien, comme alternative, que l'on donne à chaque section des pouvoirs de vote d'après le nombré de personnes représentées. 4. Nous recommandons que cette conférence élève une protestation emphatique contre l'action du gouvernement refusant des passeports et demande que dans le cas où une conférence internationale aurait lieu sur les bases recommandées, aucun obstacle ne soit placé dans le chemin des délégués d'aucun pays. Cette motion, assurée d'une majorité de 2 millions 758.000 voix, n'est pas seulement importante parce qu'elle rejette le principe de Stockholm sans accord préalable des syndicalistes alliés, mais aussi parce qu'elle institue, contrairement aux voeux de MM. Ramsay MacDonald et consorts, la R.P. dans la composition des délégations nationales. Il faut noter aussi que les marins restent fermes dans leur opposition à toute espèce de conférence internationale. La motion de leur chef, M. Havelock Wilson, s'opposant à la motion du Comité parlementaire, peut avoir été rejetée à une énorme majorité, les marins n'en maintiennent pas moins leur décision de ne pas transporter de délégués à Stockholm. Enfin, il est intéressant de remarquer que les quatre " délégués " du Soviet, Erlich, Goldenberg, Roussanoff et Smir-noff avaient envoyé au Congrès, avec leurs " salutations fraternelles ", une longue adresse concue en termes ampoulés, toute farcie de la ferblanterie " démocratique " et recommandant chaleureusement l'enfant suédois de M. Camille Huysmans. Cette adresse fut froidement reçue et n'exerça pas la moindre influence sur le Congrès. Les ouvriers anglais ont sans doute songé à Riga... o—o Comme en Belgique On a commencé à exporter de Serbie la moisson et divers produits agricoles. La Gazette de Francfort du 15 août communique le télégramme suivant de Vienne : '* Comme nous l'apprenons, la moisson de cette année est meilleure que-toutes les précédentes. Des transports considérables sont déjà dirigés sur Vienne." De son côté, le journal bulgare Mir du 3 août annonce que le chanvre des régions de la Morava est déclaré produit de première nécessité et qu'il va être réquisitionné par des commissions dans un très court délai. De cette manière, plus encore que l'année passée, l'ennemi prive la population serbe de vivres ainsi que des matières premières servant pour les vêtements. Le Pape et la paix allemande SUR LA LIBERTE POLITIQUE DES CATHOLIQUES Nous avons reçu, d'une personnalité catholique belge qui réside actuellement en France et qui porte un nom estimé dans la politique, la lettre suivante que nous croyons opportun de publier : Monsieur le Directeur, Certains catholiques aux cervelles étroites (leurs journaux en Italie, en Espagne et aux Pays-Bas m'apportent leurs doléances) s'étonnent de l'accueil très réservé que la presse belge fait à la Démarche papale du 15 août et ne sont pas loin de s'indigner des critiques auxquelles cette Démarche a donné lieu dans les milieux catholiques laïcs belges, à Paris, au Havre, à Londres, à Amsterdam et ailleurs. Ils paraissent admettre implicitement le point de vue que tout catholique, par le fait même qu'il fait profession de catholicisme, a pour devoir primordial de donner sans discussion son approbation pleine, entière, et pour tout dire, aveugle, aux Actes du chef respecté de l'Eglise, quels qu'ils puissent être. Cette erreur, car c'en est une, me paraît fort dangereuse. Et je crois qu'il est utile de revendiquer hautement en ce moment, dans l'intérêt même de la Cause catholique, l'indépendance politique des catholiques de tous les pays au regard des Actes politiques des Papes dans l'ordre international, indépendance qui découle logiquement de l'indépendance politique de la Papauté. Personnellement, avec toute la déférence et avec tout le respect filial que je dois au Saint-Père, je confesse, en tant que Belge indéfectiblement attaché à la cause de sa Patrie, que la Proposition du Vatican m'apparaît à la fois comme inopportune dans le principe et maladroite dans les termes, et je suis assuré d'être, sur ce sujet, en communion avec l'opinion éclairée et sincère des catholiques belges qui pensent. L'objet de cette lettre n'est pas de fournir la démonstration de semblable thèse. Notre gouvernement saura dire, sur ce thème, les paroles qui doivent être dites, et il n'aura certes pas déjà manqué, entre autres, de comparer la façon dont le problème belge, critère du Conflit mondial, et le problème polonais, relativement accessoire, sont traités dans la Note du 15 août. Ce sur quoi je veux insister ici, c'est sur le droit absolu au point de vue catholique, et le devoir évident, au point de vue patriotique, des Belges catholi- | ques, de publier de telles opinions sans qu'un tel acte puisse diminuer en rien leur respect pour le Pape et pour l'autorité des décisions doctrinales du Souverain Pontife. Il est utile, il est nécessaire, que l'opinion soit éclairée sur ce point et que des idées fausses ou des1 équivoques dangereuses ne s'établissent pas à ce sujet. De telles équivoques seraient profondément nuisibles, tant dans l'ordre national que dans l'ordre catholique universel; dans certaines circonstances même elles seraient de nature à peser lourdement sur l'avenir du catholicisme en Belgique. Pour décider de la question, il n'est point de guide plus sûr que l'histoire. Les conflits d'ordre purement temporel entre Rome et les peuples catholiques ont été nombreux, même et surtout à l'époque où l'autorité doctrinale des Papes était indiscutée; ils n'ont jamais, que je sache, compromis ou même diminué, ni l'autorité doctrinale du Successeur de Pierre, ni la liberté politique agissante des citoyens catholiques insurgés malgré eux contre le Souverain-Pape.Il est du reste, de pareils conflits, dans notre propre histoire nationale, un exemple fameux qui mérite d'être rappelé et qui devrait faire réfléchir les fanatiques.Lorsque, dans ce moyen-âge où la Belgique était le plus libre des peuples eurasiens, Philippe-le-Bel prétendit asservir la Flandre, il ne s'assura pas seulement le concours matériel des Chevaliers hollandais, mais aussi l'appui moral de Clément XV qui, abusant de son autorité doctrinale, crut devoir exclure de la Communion catholique les Flamands " rebelles " à " l'autorité " du roi de France et leurs alliés wallons. Cet acte extraordinaire et d'inspiration purement politique influença-t-il le moins du monde le peuple belge de Guy de Dampierre, comte de Flandre et marquis de Namur? Les milices gantoises et les bourgeois de Wallonie, avec leurs prêtres populaires, balancèrent-ils un seul instant entre leur amour de la liberté et le-respect qu'ils devaient au Pontife romain? On sait la réponse. Les goedendags commandés par Guillaume de Juliers et Jean de Namur marchèrent sans hésiter contre les chevaliers éperonnés d'or de Robert d'Artois et coururent défendre au prix de leur sang, fût-ce contre l'autorité politique du Souverain-Pape, les droits de la patrie menacée. Certes, nous n'en sommes pas là, et nous n'y viendrons pas. Mais, si les circonstances sont différentes, les principes n'ont pas changé, et il est plutôt piquant, avouons-le, à cette heure trouble où tant de puissances obscures se liguent pour sauver l'Austro-Allemagne, de devoir constater que quelques-uns de ces mêmes prêtres flamands qui marquent chaque année le 11 juillet d'une pierre blanche, oublient que la victoire de Groningue fut gagnée par un peuple excommunié, et que ce peuple était leur peuple, notre peuple. Rien ne prouve mieux que le catholicisme de la Belgique, dont nous sommes tous légitimement fiers, ne fut jamais conditionné par les actes politiques de la Papauté. En fait, si les opinions politiques du Vatican, qui- dépendent et ont toujours dépendu de mille circonstances de temps, de milieu et de personnes, essentiellement et continuellement. variables, avaient déterminé Ses Actes doctrinaux,visiblement inspirés, il y a longtemps que la catholicisme universel, en progrès constant, et toujours semblable à lui-même, serait mort sur les champs de bataille de l'Europe. Les catholiques ignorants, fanatiques ou maladroits, qui, abdiquant leur libre-arbitre et asservissant leur Foi à des contingences purement temporelles, font du Pape une espèce de fétiche et méconnaissent son caractère faillible et si noblement humain, alimentent fâcheusement la critique protestante, et diminuent la Religion. Veuillez croire, etc. UN BELGE CATHOLIQUE. 31 août 1917. o—o L'affaire du "Bonnet rouge" M. J. Caillaux, bailleur de fonds Paris, 3 septembre. — Une nouvelle arrestation a été faite en rapport avec l'affaire Almereyda : celle de M. Marion, co-directeur avec M. Duval du Bonnet rouge. On s'attend à une nouvelle arrestation sous peu. M. Gustave Hervé écrit aujourd'hui dans la Victoire : Il y a quelques jours je disais que je serais au regret de trouver M. Joseph Caillaux, que je savais être derrière le Pays, sur la liste des bailleurs dé fonds du Bonnet rouge, qu'Almereyda a laissée derrière lui et qui est aux mains du tribunal. Si l'on découvrait maintenant que Bolo Pacha était de la clientèle ou clique, quelles déductions ne pourrait-on pas faire? Pour ma part, je ne conclurais pas qu'il est vendu à l'Allemagne. La passion politique, la fierté, l'ambition déçue, la manie du grand rôle, l'irresponsabilité de caractère et la haine sont des motifs suffisamment forts pour faire commettre à un homme intelligent les actes les plus insensés et les plus imprévus sans qu'il soit nécessaire de l'accuser de trahison; mais l'opinion publique la plus indulgente ne serait-elle pas justifiée, en faisant une nouvelle découverte de ce genre, de conclure que M. Joseph Caillaux, a, au imoins, de curieux amis? — Morning Post. »—» L'ex-N^gus repris et tué Lidj-Yassou, l'eôipereur d'Ethiopie des-itué, qui s'était évadé de Madgala et s'était éfugié dans les montagnes, a été capturé et rué. t

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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