La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 14 Maart. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 24 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/n58cf9k89j/
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LA MÉTROPOLE ■ ONE PENNY CINQ CBMTIMH ■il!!,, ÏIJF CEITT .■« DIX CEHTIH1 PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné: Holborn 212. ABONNEMENT 1 mois, 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. Etranger : 1 mois, 4 sh. ; 3 mois, 12 A. 124MB ANNEE MERCREDI 14 MARS 1917 No. 78 LA GRANDE GUERRE I LE COUP DE BAGDAD DES ILLUSIONS ALLEMANDES I Une crise politique en Suede ■^nms le télégramme par lequel le gé- ■ Maude a annoncé son entrée à Ead il n'y a Plus eu de nouveaux. dé~ Bau sujet des dernières opérations ■ ja " reine des cités Mais à Kiance de lundi au Parlement, M. Har Law a donné quelques précisions ■Pressantes. Au cours de la poursuite, lue mardi de la semaine dernière, 39 Bons turcs avaient été capturés le K; du Tigre. Il y a en ce moment de KL raisons de croire, ajoute M. Bo-KrLaw, que près des deux tiers de l'ar-■1.-: ennemie ont été ou capturés ou K> dans le Tigre. Le passage du fleu-Ktjui a été un facteur si décisif dans la Hure de Bagdad a été exécuté en Ksous de Ctésiphon, à environ qua-K kilomètres de Bagdad. Le contin-K; britannique se composait de cava-K et d'autres armes qui l'appuyaient. Ktre les tempêtes- de sable et un vent Kible, les troupes britanniques ont eu Butter contre une chaleur atroce; mal-K cela les troupes avancèrent avec un Kn et une détermination dignes de la K grande louange, jusqu'au moment Kelles arrivèrent en vue de la ville. Rjuant à la situation de l'armée de Kfsopotamie le général Maude annonce Kil peut satisfaire à tous les besoins ■ l'armée à Bagdad; la poursuite de Kitmi eut lieu sur une distance de en quinze jours (près de 12 kilo-Hlres par jour) dans un pays désert, Kivage et vide de tous approvisionnées; le soin des malades et des bles-B a été accompli par une organisa-Hon parfaite et systématique. ■La nouvelle de la chute de Bagdad a ■Uiit une excellente impression .dans ■monde entier. La presse mondiale est ■anime à reconnaître que la prise de ■tte ville est un coup mortel pour les ■Mions pangermanistés. Les jour-hollandais estiment que l'effet Kora' produit sur les Alliés est semblait à celui que l'Allemagne espérait pro-■ire sur ses populations par la captu-■fde Verdun; le fait est,ajoutent-ils,que ■ Alliés se sont emparés d'un gage ■(deux qui aura son importance lors Vs négociations de paix. Le Tijd re-Barque encore : "Ce succès est d'au-Pitplus important que Bagdad n'a pas f évacuée sans résistance par les 1res qui ont énergiquement lutté pour 'possession du 8 au 11 mars." Ce trnal s'attend à une prompte jonction 8 troupes russo-britanniques et décla-' Qu'un fait de la plus grande importe c'est que le chemin de fer de Bag-d est devenu une illusion. Handelsblad dit qu'il n'est pas Kevable que les Anglais évacueront Rendront jamais à la Turquie la ré-m située entre Bagdad et le golfe rsique. "'n journal italien, le Messagero, Près avoir décrit ia victoire britannique ®®e un magnifique exemple de téna-e' déclare que les conséquences de ce ICcÇs se feront sentir bientôt dans le în"it européen. Ce qui reste du presti-( du Sultan en Asie disparaîtra et le °nde de l'Islam se rendra compte de °ue des Jeunes-Turcs en confiant le rt leur pays aveuglément au pro-ctorat de l'empereur allemand. Les es verront dans la chute de Bag-jj. f iuSernent d'Allah contre la tyran-* des Turcs et l'express Berlin-Bag-est définitivement suspendu. Maurice Herbette, écrivant dans , de Paris, remarque que les évé -"lents montrent que par la commu-lf: de leurs efforts les Alliés s'aident uns 'es autres. L'armée de Saloni-flb \ contr'bué à la défense de la Se-lib'i Vailles de la Sereth ont con-llr' à la déplétion de la Mésopotamie e la Perse et ont facilité l'expédition '"aï quj ^ son tour aj(je je jjg Mecque. le u>Utes ces cofnbinaisons conti-' Herbette, ont réussi grâce à la solidité des principaux fronts. Néanmoins nous devons nous méfier de l'avenir, car, si l'Allemagne se résigne ainsi à l'évacuation de certaines positions et permet la capture de Bagdad, c'est parce qu'elle épargne ses ressources en vue de porter un coup plus vigoureux pour gagner la partie décisive. La menace contre l'Italie semble se confirmer et il est probable qu'elle se réalisera avant que la Russie ne puisse intervenir. Quant au front franco-britannique, la retraite allemande soigneusement pré parée permet aux Allemands de gagner un temps considérable sans perdre trop de matériel. Quoi qu'il en soit le grand quartier général allemand sait que la décision finale viendra sur le front fran-co-britannique et il a été obligé de combiner ses plans en conséquence. L ' eye-witness officiel français, commentant les dernières opérations sur le front de l'Ouest,dit que les Français ont étendu et complété leurs succès du 8 dans le secteur de Maisons de Champagne.Jeudi dernier, prenant avantage d'une tempête de neige, les troupes françaises recapturèrent une grande partie du terrain perdu au saillant de la crête 185 au sud de Ripont. Le lendemain les Allemands firent*de grands efforts pour rétablir la position, car la défaite était d'autant plus sensible qu'ils s'étaient très vantés de l'opération du 15 février à l'occasion de laquelle l'empereur envoya aux troupes un télégramme de félicitations.Non contents de résister énergiquement, les soldats français ont repris l'offensive et réussirent à se rendre maîtres de la position si disputée par l'ennemi.La pente Sud et le sommet de la crête 185 sont de nouveau et complètement en notre possession. Les gains de terrain comprennent également, sur un front d'un kilomètre et demi, toute la ligne de tranchées à l'ouest de Maisons de Champagne, en face de la route qui conduit de ces positions jusqu'à la butte du Mesnil. Sur le reste du front les opérations se bornent à des actions mineures, des engagements de patrouilles ou des coups de main. Le département d'Etat de Washington a décidé que les navires de commerce, armés devant et derrière, pourront quitter les ports des Etats-Unis. On s'attend à voir généraliser ces mesures pour tous les navires européens visitant les ports américains. Une crise a éclaté au Parlement suédois où le différend prend de plus en plus le caractère d'une lutte entre le parti pro-allemand modéré et les partis libéral et socialiste qui ont la majorité et qui sont fortement anti-allemands. Le cabinet a dû démissionner à la suite d'un vote du Riksdag concernant le coût de la neutralité et en second lieu à la suite d'une proposition britannique pour une convention commerciale. On espère qu'il sera possible de trouver un moyen pour mettre d'accord tous les membres du gouvernement. L'opinion américaine contre les obstructionnistes L'irritation populaire contre les sénateurs qui ont organisé l'obstruction autour des lois de défensê nationale, loin de diminuer, augmente. Les assemblées législatives du Kentucky viennent de voter à l'unanimité une résolution accusant ces sénateurs de déloyauté patriotique. Celles du Missouri et 'de l'Arkansas vont les imiter. La presse se montre violente. Le World publie une caricature où l'on voit le Kaiser décorer de la croix de fer le sénateur Lafol-lette et ses collègues. Dans de nombreuses villes, des potences ont été dressées et les étudiants y suspendent des mannequins qui représentent les sénateurs obstructionnistes. Les colonies allemandes Pas de retour ! Le général Smuts, le vaillant et brillant organisateur de la campagne de l'Est Africain, est arrivé lundi à Londres, en excellente santé. Il a déclaré que la campagne était virtuellement terminée. Dès que la saison des pluies sera finie, c'est-à-dire en mai, les Allemands, déjà complètement entourés dans un territoire restreint, seront forcés, ou de se rendre, ou de fuir vers ■ le Sud, où lçs Portugais sont prêts à les recevoir. Après cela, les troupes noires deviendront disponibles pour d'autres tâches ; les Blancs s'engagent déjà en grand nombre pour se battre en Europe.Rien n'a fait plus plaisir que la déclaration de M. Long d'après laquelle aucune colonie allemande ne peut faire retour à l'Allemagne. La simple suggestion qu'aucune partie puisse en être rétrocédée est évidemment absurde. ]e frémis à la pensée de ce qui arriverait à la population indigène dans cette hypothèse. Ces' indigènes nous ont magnifiquement aidés, et notre prestige -en Afrique Orientale souffrirait fortement. Toute l'Afrique du Sud, l'Afrique Orientale, l'Afrique du Sud-Ouest et la Rhodésie seraient horrifiées par une telle idée. Le Kaiser sera certes enchanté de connaître le sentiment unanime des dominions britanniques sur ce point. Qui s'y frotte, s'y pique ! o—o L'affaire Huysmans Le XXme Siècle (n mars) se croit en mesure de pouvoir annoncer que le gouvernement français a refusé à M. Camille Huysmans, déjà pourvu de l'autorisation du gouvernement belge par M. le baron Beyens, les passeports nécessaires à l'arrivée à Paris du secrétaire du Bureau international socialiste. Certains chefs socialistes s'efforcent, paraît-il, de les lui faire obtenir, mais il est douteux qu'ils y réussissent en présence de la besogne accomplie en Hollande par le député de Bruxelles avec les encouragements des correspondants des journaux allemands. La nouvelle de l'ajournement du Congrès des socialistes alliés de Paris se confirme. o—0 La rive gauche du Rhin Nous lisons dans le Petit Journal du 6 mars : Les territoires de la rive gauche du Rhin ont été, du consentement joyeux de leur population, ratachés à la France en 1795. Le traité de Vienne, vingt ans plus tard, les a brutalement annexés à la Pruss qui en a fait un camp d'agression; nous devons les exiger comme compensations pour le présent et comme garanties pour l'avenir. 'Sel est le résumé de l'appel adressé à tous les Français et les Françaises par le Comité de la rive gauche du Rhin et signé par les membres du comité d'initiative : MM. J.-L. Bonnet, président; E. Babelin et E. Trefeu, vice-présidents; E. Driault, secrétaire général, et L. de Lalande, trésorier.Son but est de montrer que le grand fleuve doit être une barrière protégeant la France et la Belgique contre le constant envahisseur ; son programme est de rendre familières les questions économiques, militaires, politiques et autres soulevées par le statut futur des provinces rhénanes ; et ses moyens seront des conférences et la publication de livres, brochures, tracts, images, qui -éclaireront l'opinion par des faits et des Arguments précis. o—o Deux cents Suisses expulsés de Belgique Deux cents citoyens suisses, commerçants à Bruxelles, à Liège et à Anvers, viennent d'être expulsés par les autorités allemandes et rapatriés en Suisse. On annonce que le Conseil fédéral va adresser, au sujet de ces expulsions, une demande d'explications au gouvernement de Berlin. L'Honneur Politiaue de la Betèiaue * U 1 Déclaration faite par le baron Beyens, ministre des Affaires étrangères de Belgique \ (Suite). Le véritable objectif de l'Allemagne, lorsqu'elle s'efforce d'accréditer la fable d'une alliance secrète anglo-belge dirigée contre elle dans un but agressif, est de préparer l'opinion publique à la révélation de conditions de paix qui ne laisseraient à la Belgique qu'une indépendance illusoire : on voudrait faire passer les convoitises pangermanistes pour un simple programme de garanties nouvelles, dicté par les exigences de la sécurité de l'Empire. De quels arguments puérils se sert 1a propagande allemande pour parvenir à ce résultat ! Quelle absurdité de représenter la Belgique, petit Etat, d'un établissement militaire si faible et si insuffisant en 1906, qu'il aurait pu à peine se défendre lui-même pendant quelques jours contre une attaque jprusquée d'un de ses puissants voisins, de représenter ce petit Etat s'associant, sous prétexte de se protéger contre une agression éventuelle de l'Allemagne, à un vaste plan d'invasion de cette Puissance, qui disposait d'une armée et de ressources formidables ! Si inconsidéré que les pu-blicistes allemands dépeignent le gouvernement belge de cette époque, ils ne feront croire à aucun esprit réfléchi et connaissant les sentiments de prudence qui ont toujours inspiré le Cabinet de Bruxelles, qu'il aurait été capable de lancer son pays dans une si folle aventure.C'est, en réalité, de l'hypothèse inverse qu'il fut exclusivement question dans les ouvertures des attachés militaires anglais : celle d'une agression allemande.D'après la doctrine du Droit des gens, le gouvernement belge eût été parfaitement en droit de conclure un accord avec l'un ou l'autre de ses garants pour la défense de son indépendance et de sa neutralité, du moment qu'il les croyait menacées. Il n'a jamais voulu user de ce droit, soucieux qu'il était, jusqu'au scrupule, de garder la même traditionnelle attitude vis-à-vis de tous ses garants et de faire invariablement confiance à leur signature et à leur honneur. Que les entretiens Barnardiston-Du-. carne n'aient eu aucune conséquence pratique, la suite l'a bien prouvé, par l'absence de tr'oupes anglaises venant défendre en temps opportun la Belgique attaquée. Qu'ils n'aient point abouti à une convention militaire, l'Allemagne elle-même le montre à l'évidence, par une passage du rapport du baron Greindl du 23 décembre 1911, qu'elle publia naguère en le tronquant et que cite de nouveau par extrait la Norddeutsche Allgemeine Zei-tung du 20 février dernier. Dans ce passage, le ministre de Belgique à Berlin parle des " ouvertures du lieutenant-colonel Barnardiston ", en les qualifiant sévèrement de "perfides" et de "naïves". Or par qui le baron Greindl fut-il informé de ces " ouvertures "? Par le gouvernement belge lui-même. Peut-on supposer qu'un diplomate, si respectueux des égards dus à son gouvernement, se fût jamais permis, dans un rapport officiel, de blâmer ces " ouvertures avec une telle liberté de langage, s'il avait pu soupçonner qu'elles avaient amené la Belgique à conclure une convention avec l'Angleterre? Du reste, la Norddeutsche Allgemeine Zeitung, en s'attachant de nouveau à accréditer la légende d'une alliance an-' glo-belge secrète conclue en 1906, perd de vue ses propres publications antérieures qui contredisent sa thèse. C'est, en effet, en faisant appel au témoignage des diplomates belges, dont il n'a pas publié moins de 119 rapports en 1915 dans ses propres colonnes, que le journal officieux allemand a cherché à prouver aux neutres que, tandis que la Triple Entente préparait une guerre d'agression contre l'Allemagne, la diplomatie belge, de 1905 à 1914, représentait la France et l'Angleterre comme beaucoup plus à craindre que l'Allemagne au point de vue du maintien de la paix. Les Allemands avaient évidemment choisi dans les archives belges les rap ports qui leur convenaient pour les besoins de leur thèse. Mais, si incomplète qu'elle ait été, cette publication est venue confirmer, en tout cas, la non-existence d'un traité ou d'une convention liant la Belgique à l'Angleterre ou à la France. Cette conclusion s'imposait avec tant de force que la Norddeutsche Allgemeine Zeitung fut contrainte d'v adhérer en se défendant, dans son numéro 238, du 28 août 1915, d'avoir jamais affirmé l'existence d'une véritable convention anglo-belge ni même d'un complot anglo-belge ourdi contre l'Allemagne; à l'entendre, le gouvernement allemand n'avait jamais accusé la Belgique que d'une simple action parallèle avec l'Angleterre et d'une partialité en sa faveur, inconciliable avec l'égalité de traitement due à tous les garants. L'Allemagne est ainsi condamnée par la logique même des positions fausses qu'elle a prises, à retomber perpétuellement d'une contradiction dans une au- * * * En vain, fait-elle état de la crainte émise par le baron Greindl, d'une invasion française. Ce diplomate n'est pas le seul Belge qui ait eu, autrefois, trop bonne opinion de l'Allemagne, de sa loyauté et de sa culture. Mais cette inclination naturelle chez cet homme d'intentions droites ne l'a pas empêché, dans des passages de son rapport non publiés par l'Allemagne, d'appeler l'attention de son gouvernement sur le danger auquel la Belgique pouvait être également exposée sur chacune de ses frontières.En vérité, l'Allemagne devrait être la dernière à invoquer contre la Belgique le jugement trop favorable, porté par des Belges sur la politique allemande. Elle , peut être sûre, en tout cas, que, depuis le 2 août 1914, aucun Belge ne nourrit plus de pareilles illusions. Quel Belge oublierait jamais, en effet, l'attitude suggestive et probante adoptée à la veille des hostilités par les diverses Puissances qui s'étaient engagées à maintenir ou à respecter la neutralité belge? La Belgique, fidèle observatrice de ses devoirs, prend soin, quand la guerre paraît imminente, de notifier aux Puissances garantes sa résolution inébranlable de remplir les obligations internationales à elle imposées par les traités de 1830. La France déclare spontanément à Bruxelles qu'elle respectera la neutralité belge, à moins qu'elle ne soit obligée d'assurer sa propre défense, si une autre Puissance viole cette neutralité. L'Angleterre fait connaître, le même jour à Paris, à Berlin et à Bruxelles, son ferme désir de voir la neutralité belge inviolée. L'Angleterre fait connaître le même terrogée encore le 2 août par la Belgique, garde le plus inquiétant silence et se dérobe au* questions pressantes qui lui sont posées. Cette tactique dilatoire trahit sa préméditation. A ce moment déjà l'Allemagne était décidée à perpétrer " l'attentat aux lois du droit des gens " dont le Chancelier de l'Empire devait, le 4 août suivant, confesser solennellement, devant le Reichstag, F" injustice en promettant de la réparer après que le but militaire aurait été atteint. Aucune des calomnies politiques proférées dans la suite par M. de Beth-mann-Hollweg et par sa presse officieuse contre l'innocente Belgique, n'est parvenue à effacer la franchise de cet aveu. C'est sur ces faits indiscutables que l'Histoire établira son verdict. Les hommes qui eurent alors l'honneur de personnifier le gouvernement belge peuvent l'attendre avec une confiance assurée o—o Le Congrès socialiste de Paris On sait que le 15 mars devaient se réunir à Paris les socialistes appartenant aux pays alliés et l'on connaît les incidents auxquels a donné lieu l'organisation de ce congrès. Il paraît, d'après l'Echo de Paris, qu'il est maintenant question de l'ajourner.

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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