La Métropole

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27 september 1914
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s.n. 1914, 27 September. La Métropole. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/183416ts9s/
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J ■ lu Éin LA METROPOLE 5 nies 21e Année No 270 rue des Peignes, 59 A¥¥1?D£! rue des Peignes, 59 ANVERS Dimanche 27 septembre 19! 4 LA GUERRE K'- * ^ 5^ ■•v ta- m m -«v. m—s? Les Allemands repoussés à Termorid ■ ■—^TT—T— irmatii-i lin Tanhe cartonné Le combat d'hier à ïermois Echec à l'ennemi (Do notre envoyé spécial.) Termonde, samedi 2G septembre. Dès huit heures ce matin, les Alleur Étaient signalés er. nombre important e Wetteren, Gysegem, DenderbeDe et Veke, au Sud de Termonde. Cela repre lait un front de combat d'environ 20 mètres. Des patrouilles allemandes se trouva ce matin encore dans les maisons en ru de Termonde, du côté de St-Gillea. ElLe ic-ut repoueséee aussitôt l'arrivée de nos t pes et dans leur hâte pour regagner 1 retranchements abandonnèrent deux de 1 batteries. Pendant tout la journée le combat se p suivit part et d'autre avec des al te tues d'avance et de recul. Nos pièces de 15 étaient échelonné* long de la voie ferrée et firent subir à ! nemi des pertes sérieuses. On avait cru bon de placer des obse «eu'rs sur le gazomètre de Termonde. îombre de quatre, ils furent atteints pa: ' projectiles onnemis et on supprima ce p jangereux pour nos hommes. II fut alors difficile pour notre artill d'ajuster rapidement son tir, étant donn errain. Mais on trouva de suite un m< le se renseigner sur l'efficacité du tir, e Allemands ne se réjouirent pas longte d'avoir atteint si habilement notre p d'observation. La bataille a duré toute la journée. Le non a grondé durant des heures et nos t pes avec l'entrain admirable qui ne lés qt pas ont combattu avec succès. Quand nous quittons ce qui reste de monde, à o h. 1/2. les Allemands reçu toujours et iront sans aucun doute passe quîV. dans les tranchées d'où ils étaient s* oê matin avant d'arriver à Termonde. f,a journée a été chaude. Nous avons q tpidit qui ont été évacués sur Àn ria St-Nicolas Attendons-nous à voir reprendre le con demain dès les premières heures. * * t On comprend que dans la pauvTe vtRi Termonde il n'v ait plus, âme qui vive. Les b*aves n'y manquent cependant M:» taré 'es r-rh*:apnels qui éclataient dessus de la gare un employé du téléors était resté bravement à son poste, hier tin, et avait essoré d'obtenir la commui tion avec Anvers. n nous raconta que, parlant parfaitei l'ailpmand, il avait réussi à sauver de la vastation tout un qurtier, fort_ popuîeu En imitant la signature du lientenani lemand il*avait encore sauvé plusieurs sons D'autres avaient fait comme lui, pinceurs maisons nous vîmes-les in«cr:pt* fort ganchea et non sans fautes: «Gufce te, schonen» ou bien «Gute Lente, r brennen». i.'ai:e droite al entends retirée sur ions Ostende, 26 septembre. — (Sous toutes lerves). — Le bruit court à G and que 1 droite allemande se serait retirée do la Fr: sur Mons. N. d. 1. II. — Ce bruit provient sans di lu fait que des journaux ont annoncé l'état-major iu généial von Kiudt était ét ï Mohs. OlisssMorf es état di défense (Sorviqp spécial do la Métropole) Maastricht, 26 septembre. — Les A i.tùs s'occupent en vie moment avec livreuse activité de mettre Diïsseltforl at de défense. ..D'innombrables arbres ont été abat ; tous les boulevards rasés. Plusieurs r j>nt transformées en tranchées etgari a mitrailleuses. Diïsseldorf regorge iessés allemands en telle quanti c ur nombre atteint celui de la popi on. C'esr effrayant l Ces renseignements nous sont don a. un Hollandais, habitant eete v f.'puis quinze ans et qui vient dorent Mâestrichfc. .a firil'ante msbilisatii française (Servico spéoial de la Métropole) Paris, 25 septembre. — Plus que nots, les chiffres prouvent l'énorme é ivec lequel s'est faite la mobilisation Prnibce. On avait estimé, avant laguei lue lo déchut aea réservistes mobilisai >n Frane-e serait de 15 à 16 % de inalac le noniimis, etc. Or, d'après les chiffres qu'on vi rétablir, ce. te proportion n'a été en r à té que de 2 1/2 % ce qui fait que, ei ajourant !a rentrée de la presque tota ïes déserteurs, l'armée française troi Locrue de plus de 400.000 hommes en iu contingent sur lequel on avait corap l a Tanbe an-dess Je d'Anvers Ï1 est bien accueil Les Anversois ont vécu hier après quelques minutes inoubliables! Vers quatre heures et demie de rel ir.ds ^ aperçut dans la direction de l'Ë: ntre aéroplane se dirigeant vers la ville. 1 pareil volait assez haut — huit eenfo £ilo^ tr€ô environ. Lorsqu'il fut assez près, on vit r ient. m-ent à la forme des ailes que l'on ; in es affaire à un Taube allemand, fu- L'aéroplane qui paraissait avoir su rou" les environs du champ de manœuvres eur^ sa exactement au-dessus du Parc, o Bur* promeneurs, craignant quelque bc our- s'empressèrent de déguerpir, rna- Crainte vaine d'ailleurs, car loin voyer des pruneaux, c'est vers le T s le que nous en lançâmes. 'en- L'aéroplane était en effet à peine venu à bonne distance qu'une défcon; 1 Aiï au loin. Aussitôt après on vit . |„3 lo ciel un minuscule éclair rouge, pu oste flocon de fumée qui prit rapideme forme d'un petit nuage flottant ai erie du vent; enfin, une seconde détona é le plus faible, se fit entendre: c'étaien >.ven vaillants artilleurs qu avaient pr 1 ,es Taube pour cible et tiraient hardi dessus à shrapnells! b On sait que ce tir est effectué aye ca_ canons qu'on peut pointer facile rou- selon des angles très élevés, tirant ibte shrapnells donnant une explosion f oulièrement visible. ^er; Une vingtaine do fois, à de courts i e1J ' val les, les shrapnells éclatèrent aii >rtis distance de l'aéroplane enn< Le pilote, sans doute assourdi p; uaï- bruit de son moteur, ne parut pas d a rers s'apercevoir qu'il était l'objet d'ui aussi régulier qu'un tir de polygone, tbat des balles sifflant à ses oreilles di sans doute l'avertir du danger qu'il ^ rait. On le vit faire aussitôt une sér pas. tTès curieuses manœuvres, arrêt, co: au- s ion, prise de' hauteur, qui donnèrer n>h° instant l'impression qu'il était touefc ma- Finalement, il s'éloigna vers le î> uca- F,st, puis vers le Nord, apparent sans avoir été touché. Le pilote allemand pourra aller ti K ter à ses chefs que ses congénère? al_ viendraient encore à Anvers seront ;na:- reçus! >t à ot»s. — ,011- — icht Un Taube à Malin (De notre envoyé spécial.) Malines, 26 septemb Un aéroplane allemand a été aper< Malines cette après-midi, venant du ; f et se dirigeant vers lo Nord. Il a j sur Heffen, où on l'a fort bien vu, c , ré- ne volait pas très haut à ce moment, aile il essuya peu après le feu de nos tre mee et s'empressa de prendre de la hau en changeant sa direction vers Lierr rate passa vers quatro heures au-d de Duifr1, où il lança des bombes, ci nous rapporte-t-on. L'une tomba dai Nethé, près du pont de la chaussé — Lierre à Malines, l'autre non luin d dans une prairie, endommageant gi . ment les arbres environnants. On ne g s'il a voulu atteindre le pont de ch< d fer, qui se trouve à une ccn-aint; tanc. do là, mais comme on tirait d de toutes parts, il ne tarda pas à d raître. A Malines, à part cet incident du be qui a provoqué une certaine émo tout est calme. On y perçoit seulemei lie- temps à autre, le bruit lointain du ca me mais comme on s'habitue à tout, les en linois ne s'en inquiètent plus guère ues Précisions lies de Anvers, 26 septembre (de source sûre Dans la matinée un oTaubet a survolé L Lja_ et a jeté deux bombes qui sont tombées l'eau et n'ont ainsi causé aucun dégât. , L'aéroplane a continué vers Contich ? est disparu vers le Sud. "1€ .CeLté après-midi un autre aTanbe» a ■rer volé la ville par l'LCst. Son arrivée avai signalée et les officiers, dont la missio de protéger Anvers contre les aZeppelii — les aéroplanes ennemis ont pu donn* toute connaissance de cause, l'o-rdre aus teries spéciales dont nous disposons à «I» effet, de l'accueillir à coups de shrapn jfi} de le mettre en fuite. Dès l'ouverture du feu on a pu v< «Taube» prendre immédiatement une ha telle qu'il a disparu à biem des yeux, o d'autre part l'a mis dans l'impossibilit faire de l'observation utile. Ajoutons _ qu'une poursuite du «Tî par nos aviateurs avait été entrepris* que l'ennemi avait été signalé, mais que poursuite devint rapidement sa%; obje lan visiteur ayant prudemment pris la fuite k York à ses officiel ™.t •— éa- — a Je croyais avoir l'honneur de i y mander un corps d'armée prussien, i;é >1 me semble que je suis à la tête a iva troupe de bandits/» su («Vie du Feldmaréchal York» Dar r té ! ien. ) i ® En |.lrifpe «In Su Les Alleman. s passent i'Ors Londres, 25 septembre, — Un télég 1» me dU ping ton, daté du 24, annonce [ ;i00 Allemands ont traversé le 23 la gauche du fleuve Orange, à en vire midi milles à l'Ouest cle Scuit Drift, et marché dans la direction de Pella evée, l'intention probablo de faire line nou >t un attaque sur Raman's Drift, /ap- 1 me- ss Les âlleniands "ï à WaiM! il les mbc' Ils cap'urent un policemar rïcn" Capetown, 2o septembre. — Un< aube trouille allemande a fait un raid da: Walfishbay et captura un sous-off P.ar' de police. ition £ue egsaya de faire sauter la jen dans détruire un remorqueur, mais ne c '.h un pas de dégâts. 3fc la (Eenter*s Tel. gré tion, 2 Les journaux anglais reparais "I en Belgique ment Ostende, 16 septembre. — Les jour des anglais arrivent de nouveau. On dit que arti- mesure do défense d'hjer a été prise pa autorités anglaises pour 36 heures semler . Mais dorénavant, les journaux angla n . ; pourraient plus publier des cartes indiq 1S1. a !a situation des broàpfa alliées. >ECU. ir le liord L'emprunt roumain rie1 et la OisGonto Oesellsci iver- 1™ Pour l'avenir des intérêt: ment roumains On nous écrit: icon- qui Nous avons donné les explications fou bien par une Banque de la place au sujet di paiement par elle des coupons de i'em] roumain. Je n'insiste pas là-dessus, ma que je tiens ù faire observer, c'ett qi fait d'avoir été omis dedans» par son sier, ne libère personne de ses engager 3e) vis-à-vis de tiers, en l'occurrence vis-;i-vi porteurs. Comme nous nous trouvons devant un dont le crédit est hors conteste, La B. d'Anvers n'a pas pensé'-un instant qu rC- démêlés entre le gouvernement roumain «Disconfco^ Gesellschaft» pourraient êtr< u de v-oqués au détriment des porteurs et ell Sud certes disposée à accorder au gouverne: >assé roumain, terme et délai pour Pexécutic ar il >es engagements. Mais à Bucarest on mais bien savoir que ces dispositions bienve: upes tes s'évanouiraient du moment où l'on Leur ra^ Par ex61nplQ Que 1° Gouvernement ' main, pour ses arrangements ultérieurs, B" poserait à buter encore contre la même îssus r0< £)aus ce cas, et si la Roumanie n'env eux, pas Los fonds à Anvers suivant l'exemp îs la la Russie il est fatal que l'on songerait i 0 de compromissions. e là, *ave — si Peosées de ftare dis- _ , îssus —Les mers ne séparent pasy les mers ispa- nissent; les mers réunies deviendront < leur réunion une bénédiction pour Tau- peuples et une nouvelle chaîne pou bion paix. Toute la force bordée d'acier qu ît de qU repos dans le poit\ de Kiel. est un ; non !~>°lc de la paix, de la coopération de Ma- tes peuples civilisés d'Europe; et, de me que nous laissons errer nos reg sur ces mers, regardons aussi la mer peuples. Tous les cœurs des peuples len tla paix — ils en ont soif. — L a ; seule peut donner au commerce la for ). — ^a richesse. luffel GUILLAUME i dans '2' Le "brave petit t été -g pays beîgi r en __ x _ £ L'aide aux réfuqiés sll et J ir k Le prêt franco-anglais ^ Londres, 26 septembre. — Ou annonc , . ficieilemenit que six mille réfugiés belges c cessiteux ont été envrç^-es jusqu'ici aux i , qui Leur ont été offerts. Le nombre des 1 ^iés n'est pas aussi grand que l'on avait oo+t? L*d nouvelles mesures pour leui- réceptio . ,e aont donc pas nécessaires pour 1e moinec ' e M. X/loyd George, dans un discours à réunion de recrutement à Criccioth, t qu'il a reçu mercredi la visite du ministr rmancee belge avec qui il devait s'ente •»n M. Lloyd George a fait un éloge ch ■ ^ roux de l'épargne et de l'industrie en ^iquo mais comme maintenant elle n'a es fonds- pour acheter des munition com France et l'Angleterre ont avancé à la ma)> gique 10 millions de Livres sterling chacui , L'emprunt est fait sans intérêts. Lî une nistre belge l'a remercié. M. Lloyd George dit : a L'Angleterre r°y le la reoennais>anod au brave^ petit beJ^ge, » Les Allemands se préparent pour l'hivt L'«Algeaneen HandelsUlad» annonce que eKronprmz a télégraphié en Allemagne p( qu'on envoie des vêtements chauds à son xnée. L'Lm{>eratrice a ouvert une sooscript en faveur de vêtements d'hiver destinés s troupes, spécialement celles de Russie. Sf!©s*f: du Eydeu Amsterdam, 25 septembre. — On téiéj plue de Berlin au tTclegraaf» que, d'a| une dépêclie de Turin, le général Eydoux d réorganisateur bien oonnu de la caval française et colla boratuur du a M a tin» Paris; est mort pendant une attaque de valerio à la tête de sa division. l"?fUne protestation fÇ d'Anatole Fran n 2o j°nt Nous trouvons dans le3 journaux hol da^ns .^^3 ia traduction d'une protestation coi vol ! f a de«structk>n de la Ca-tluklialo do Rei Iressé par Anatolo France à la cGuerre • ialeù : _ « Les barbares, y écritr-il, ont anéanti cl les flammes, sous l'invocation du Dieu •hrétienSj un des plus beaux monuments la chrétiennoto. Ils se sent couverts a i'une impérissable honte, et lo nom d'^ mand en est devenu odieux à tout le klo ^ r || cuitivé. Qui donc douterait encore de i£ il qu'ils sont de barbares, et que nous énti * en campagne pour preloger l'humanité? Ce sera une guerre sans merci. En c I.., battants, levés pour la défense d'une ci juste, nous restorons -lignes do cette ca 1 pa- Nous resterons jusqu'à la fin puissants et is la néreux. Nous nous vengerons sans merci icier ces misérables, mais nous ne souillerons n< victoire d'aucun méfait; et quand nous ^ ej- rons écrasé sur leur territoire leur dern force armée, et que nous aurons pris dernière forteresse, nous annoncerons peuple que le peuple français s'honore 3*) considérer l'ennemi vaincu comme un ami senlLa bombe de Maastric' naux cette Elle arrivait d'Angleterre et loir ■ont- par hasard sur Maastricht s ne r uant Amsterdam, 26 septembre. — Les jo naux du matin mentionnent la nouv officielle suivante: Nouf- apprenons que l'ambassadeur glais a été chargé par son gouvernem do porter à la connaissance du gouvei ment hollandais que le 22 septembre avion anglais parti pour une reconn; ISlft l£LCo sur territoire allemand a perdu :mSs route une bombe, et que par suite brouillard qui régnait n'a pu se rec naître pendant plus d'une heure et dei 5 et n'a donc pu ^e rendre compte q volait au-dessus du territoire néerland; Mais cependant, comme il est probal à en juger des éclats, que la bombe t< bée le même jour à Maastricht, est d'e rn{P5i gine anglaise et a pu tomber de l'av non ang:laià, le gouvernement britannique irunt fait exprimer à notre gouveriie&icnt is ce sincères et vifs regrets au sujet du j: le le sag^ involontaire au-dessus du terri te ca:s- hollandais et l'incident qui s'est prodi îents 50 réjouissant de ce qu'aucune perte s vie humaine n'ait été à déplorer. Le g _ays vornement anglais a offert en même ter itirse l'indemnité néeessairo pour les dég a les causés. ÏB En HosSande n de doit ^ L'état de siège à la fronlièn orientale pîeyj; Amsterdam, 28 septembre. —Les jo e de rîaux annoncent que l'état de siège a é % jçs lement été déclaré à la frontière orienta A ce sujet il est dit que l'extension de région dans laquelle l'état do siège a aré n'est due à aucune préoccupât militaire. Les tentatives pour échap; aux diverses inte-r diction s d'exportat: ainsi que la fraude d'articles dont 1' réu portation était défendue, prenaient lans telles proportions que le gouvernem les s'est vu obligé de prendre des mesu r la plus sévères que la simple surveilla: i est exercée par des fonctionnaires. ii/m tous me "rdt Cet acte est contrai: veu- i • j -t au droit des gens /t Nos troupes ont occupé le Luxembot et foulent peut-être le sol belge. (Mou ment et approbation.) Cet acte est c traire au droit des gens. LE CHANCELIER DE L'EMPL D'ALLEMAGNE a " (Compte rendu sténographique de J séance du Reichstag du 4 août 1914.) Deotscher Hof '£ Kaiser Wilhelm Hôtel n ne Hôtel ersten Ranges, lt. me Central Heizung, ïdroi Elektrische Beleuchtung, m! Private Zimmer fUr Deutsche Gâste. i!' 42, Rue des Béguines doit RNTWERPEN Pays «a. M | Pour la prise ir d'un drape; Report f» 2,20 ^'rr J. D. B. L. P. 1 l'our la réussite des projeta et couvre# ux futures de Ë. Buyck L*our que le directeur Et qu'à l'avenir tous les directeur» des cinémas s'abstiennent de noua donner des films teutons Obfcercîub (Anvers) société patriotiqueapoi [I PliiMLMfir i PiKNDIA 11 PIÈCE Ë SI )o( Report fra 5i Georges GiUiou, soldat au 10e de ligneF. Gossuin, lieutenant au corps dea transports de la 3e division ce Pout nettoyer les motocyclettes gantoises du général von Boehn I Un blessé qui attend impatiemment lire 1e moaneilt d'essayer ras, — ans Ligue du souveni] des de Nous faisons un pressant appel à tous insi rçm avec nous estiment qu'il faut grav Ce- jamais au cœur des générations futur nde souvenir dea atrocités des hordes bar ban te S. M. Attila IL, empereur de6 Huns, de ons ner leur adhésion à la Ligue du Souvea Les personnes qui le voudront sont p om- d'écrire à M. Jules CI<aes, 59t rue des Peij iU? Anvers, en indiquant aussi clairement jse. possible leurs noms, prénoms, professioi gé- adresse. de La Ligue no demande que des adhé >tre sans plus ; elle accepte dès maintenan au- dons qui lui sont adressés. our Reçu pour la dè " Ligue du Souvenir „ ",B il. Jeain W'aterkeyn 11 Mme Alphonse Ha'lsberghe M. Wijnen Café Central M. De Wilde I . Dons diveis, timbres, eto. ! rl t Paul, Robert et Suzanne ba 'eur l'épuration dMiivi ur- ="« Les employés allemands et ™ autrichiens peuvent être nen congédiés sans préi lis- en du On a soulevé d.ans les milieux intéress on question oe savoir si les patrons belges nie va-en't renoncer aux services de leurs einp ,-j al.émanas ou autrichiens ou naturalises ten^r compte du préavis prévu par le coi l|s- d'engagement ou ies coutumes de la place }l€i Ce point se trouve, croyons-nous, résoli >m- !a petite consui-tation juridique ci-dessoi • r i- «Tous les employés a Léman*, s ou autricJ ion ou naturalisés ont dû quitter le pays. L v a so présentent donc phis dans les bureai ses ^ans ^ conditions le patron peut p outre à une mise à pied pure et simple, . que le cas de force majeure puisse être ; Ve qué contre l'employeur, ce cas de force nt, jeure n'étant pas du fait de ce dernier, de [Ri- !ps . Ha neutralité bienveilla " apprécié par un Àlienié -)o(- J La soi-disant «neutralité bienveilla («woklwattende Neutralitâtu) dès qu dépasse l'appui purement diplomati est également contraire au concept a ur* neutralité et justif ie Vadversaire à tri ?a" Vami de Vennemi de la même façon l'ennemi lui-même. ' von LISZ ct'e («Das Volkerrecht», 7me édition, ] 10n par. 42.) Der 1 Abonnements afin 1 S' res 1C€ Les personnes qui voudraient s'abo jusque fin 1914 sont priées d« s'a<lresser .MAINTENANT au bureau de poste. recevrpnt ainsi sûrement leur journal à c du 1er octobre. j*a II est entendu que les abonnements l- C la ville sont reçus directement à nos guic] - " ■■ — —■ ©gtt—< ■ ■ i. . ■ ■ i.. ■ ,rjA la "Haine Saintt ve-jn~A la mémoire de François Copp6». Ilatne des lourds camons qui rôdent sur nos rc Uojues allant front bas. mais le rêve aux ôoe la llalne de patience et d'attente et d "airain Des gueules qui grognaient de reculer du R£ Haine des vieux ftisUs, peodUB dans nos < — [mi ■m Vers qui se sont levés les yeux en pleurs des va [laine de bronze, haine de fe*\ haine de feu. Des colonnes marchant en rangs silencieux. Haine des blés qui seront lourds du sang [n< naine des boulets noirs perdus dans les épeai Haine des envahis qui serrent sur leur cœur, La fourche, esi>odr dernier contre l'envahis Sols mienne, ô maie. 0 sainte et robuste colé Haine des poings serrés, muette ©t volootair Jusqu'à ce Jour où le dernier coup de canon. En leur crachant son feu.le grommeler» «n Et qu'un petit soldat, fermaat sa cartouchiôi L/ongera en sifflant notre vieille frontière Et rlrn d'écouter son claquement de fouet. Chasser outre le Rhin ces hordes de roquets Maurice Buta S CENTIME Is numéro m. « L'avant-guerre Contribution à l'histoire É l'invasion allemands en Bel&iooe ÎCE DOCUMENTS ANNEXES (Suite.) 5025 Encore l'école allemande LO. Nous avons feuiibeié plusieurs rapports iiuels de l'Ecole allemande où se trouvent 3-— .istes des protecleurs. Aucun de ces rapjx>ris ne fait montior 1-— cours eralUiits ni d'élèves néoessitoux. ( pour répondre â l'objection de charité X.— nous avait été faite. L'Ecole allemande \ vait être subsidiée par des ALleuiaivds évid ment, mais cju'on ne parle pa^ de charité Four donner une klée de l'éducation a 1 nationale que les enfants belges recevaied cette éco'e nous publions le programme ceux iêtos données lors de l'anniversaire de C er à iaume II. » Le FESTORDNUNQ !.s de I. — Viersiiinmi^er gemischter Chor ( don- Begleât'traïc dos Scliulerorclîestcrs) : Dout ir. .and (v. Holfmon von l?allers4ebein), VV. riées ôa/ussern. jnefi, II. — Vortrâge: que Bitte aji den Kaiser; is et Kaisers Gcburtstag; lm grossen deutschen Redch (v. L. U. sions Zu Kaisers Geburtstag; t> les Koni^ Willielm in Chariottonbur^ (v.H kiel) ; Schwàbische Kunde (v Uhland); Wenn Du noch elne Heimat hast (v. ger^ * Zvved Vctoranen von Mars-'a-Tour (v, vtwi Koppen ) : Mekiem Sohn (v. Th. von Rommel); j.' Germanen-Aufruf zur Romerschlacht 5* eineim Primaner). j- — Vierstimmi^er gemischtor Chor I Begleœtung des Schulerorcliesters) : G "j:* wahrend der Schlacht (y. Th. Korner), H. Himmcl ; Dem Kaiser Heil l (v. Macke-Ahrweiler), C. F. Boewing. ÏV. — Ansprache des Direktors. V. — GemeiinschaftBicher Gesang : ] 'I tJ Dir im Siegerkranz. Le ((Kaisers Geburtslagsfeier Les organisateurs Ci la liste des organisateurs ae ces f ainsi qu 'il résulte d'un programme du 4 • vier 1914 IVIS Président : Albert von Bary; Vice-présidents: II. Bocking et A. Freil von Ohlendorff; -.'m, • I Tommîn/l 90 ■ anamiMHM ^ Membres : Ed. Davidis. C. Eiffe, Dr B, Gaster, I. von Go Len, L. Gutfahr, A. Hall» wachs, Dr E. Hartwig, J. Ktwzky, D. Lut-.nann, W. von Mallinckrodt, W. Freiherr v«^j .Vlirbach Dr A. Pnevtorius G. Reiche, Rich, .vhodius, H. Rieth, G. Samuel, G. Sclû»4« helra. A. Schuchard, A. Zittuit. U y a là <leux naturalisés beiges! ( La préméditation Les mouvements do troupes ,ou allemandes de la mi-jultlet S1111" Anvers, le 26 septembre 1^14» Monsieur le Directeur du journal la ((Métropole», E/V. dev Comme preuve que l'Allemagne se prôp» -uil- ra" à la guerre déjà vers le muieu de juillet je puis vous rejn^igner que te 16 juitiefl |'ad envoyé un de mes employés à l haben poui mjt alfiui-e; il a alors constaté qu'il y avait d'énoo >ch- aes transports de troupes dans ces parage* von ^uain^ il en a fait Va remarque, on bi a ni pondu que cela étaii probablement en vui J une « Kaisersparade ». Ne trouvez-vous pas qui! est vraiment curieux d'envoyer des régiments entiers à k k. frontière pour un* para<le? ' Il me semble pUnôt que l'Allemagne savaj| >ien ce qu'elle voulait faire av>^r ses trompe^ et cela doit nous prouver que toutes les pro Gestations do paix étaient seniement f&itoi Frfc- P°lLr mdornur les autres paya. Agréez. Monsieur le I )trecfceur, mes sait» p ta lions empressées. A. J. VERSTRAETEN, Tliaben s. la Saar. Voici du reste pour mocvDrer jusqu'à qun mi poil ut les premiers Intéressés funenit dupes a :jue disait le «Journal» de Paris du 29 ias Fr 1Q14 50113 t^lre • " L'appel des résemsta £)r ^n Allemagne en iqt4»: (( Berlin (par fil spécial). — Ce Dre amtvàsi 416.960 réservistes serait Bip-pelés pour ao Ieil comP^ des périodes d'exercices ,soit ^7. to< Je plus que l'amnée dernière. Pour les ma nœuvres impériales, les bataillons d'infantcrii des 7e, 8e, 11e et 18e corps d'armée compreo iront 700 hommes. »> Après la libération de Isa classe iq 12, dam tous les c*wps d'armée, à l'exception du s,* Bte.<- corps (Posen), on form-^ra deux régiment jan- rinfamterie de réserve avec compagnie de mi trailleuses. L*un sera composé uniquemem de réservistes et fera une période de vingt-hus îerr jours, l'autre une période de quatorze jours Chaque corps d'armée sena pourvu d'un déta chôment d'artiililerie de ramnaPi» ré-wrvft. • 6s ia pOU- 1 n ikww»—1 EA propos du "Gneisenai 1 par Ce qu'il faut d'hommes liens pour le condi b ne 1 x et On nous écrit : Monsieur le Rédacheur cn chef d nvo. journal La Métropole, ma^ J'ai l'honneur de vous faire une ( * munication qui a son importance point de vue de l'affaire du vaj ((Gneisenau », sur laquelle le tribunal prises aura a délibérer prochainemein ISEo Lo compte-rendu de la première dience, paru dans La Métropole d inn jour, nous apprend que : 111U «A la question de savoir combien d'b )» mes il fallait au «Gneisenau» p » gagner un port proche comme Fies » gue ou Rotterdam, un des témoins s nte» „ pondu : 'elle „ — 25 hommes de pont, môme rer que, „ qué, sans être sous pression....» ^ ta Cette réponse aura certainement ■iter hausser les épaules à tout homme en que naissance de cause. En effet, le3 navires de la Red Star ne, qui valent en tonnage 12000 tonnes 911» que le «Gneisenau » 11e vaut pas) sont pables de prendre la mer, c'est-à-0 _ d'entreprendre le voyage d'Anvers à York, avec 52 hommes d'équipage qu 3 I répartissent comme suit : 2 officier I charpentier, 1 maître d équipage, 12 ■ fi telots, 4 ingénieurs-mécaniciens, 24 ch; feurs, 2 charbonniers, 2 maîtres-d'hc an or et 4 cuisiniers. DES Donc il paraît clairement que si ces Elles vires savent prendre la mer avec 16 h ater mes de pont, le «Gneisenau » n'avait besoin de 25 hommes pour gagner F ^t"r singue ou Rotterdam. :—•©&—< ,» Un journal berlinoi; glorifie ies exploits de la : datesque teutonne utes. Dans le c Barliner Tageblat-t »-du 14 u«es teonbrè (édition du soir) nous lisons ce suit: ln « Le 14 août, nous franchîmes (c'est hau soi-disant officier qui écrit cela. N. d. 1. ère», la frontière belge... Notre campement t âre* situé près d'un village luxembourgeois, huit heures du soir, un soldat allemand s'était éloigné quelque peu du campem de.1- fut tué par un coup de feu. Le coupable 'très, demment (sic) était un franc-tireur. î tres nous dirigeâmes alors vers le village, où lutte terrible (contre qui? N. d. 1. R.) s gagea et se continua pendant toute la r ro. Le matin nous comptons parmi les mor • Allemands et 38 Belges. Quarante au Belges avaient été faite prisonniers. Cet 00 c niers durent creuser des fos.se» pour 1-©, compatriotes, puis, NOUS LES OBLIG MES A CREUSER LEUR PROPRE T< BE. Après quoi les quarante furent fus ' debout. ( «Standrecbtlich erschossen» ). 1 ye' Le « B. T. » insère tout cela sans un de désapprobation. Voilà donc où nous en sommes venus S grand journal, qui a prétendu défendre théories humanitaires et émaucipatriees, seulement ne regrette pas les excès abom bla^ des brutes impériales, mais se vi publiquement de leurs actes de froid< gnoble cruauté! En ce qui concerne le coup de fusil bh franc-tireur, on sait os qu'il faut en pen i m L'armés allemande est com-. manie par des barbares ire On ne s étonne plus dea tnuombrivb|«i cruautés commises par ia solda u^que ail» mande, sur des populations inotfensive* «I * sans, défense, lorsqu'on connaît ta mentaJitd k/v- i© sauvages qua règne parmi ies officiers sup£ ,om rieurs allemands. Les dévastations et les ma* •.acres odieux, qui ont marqué le passage d4 es hordes, ne sont pao des excès isoles et im-)^U1 prévus. C'est un systeme, c'est un calcul.Noui d<*^ en trouvons une preuve do plus dans une pro ,. •la.ination qua a été adressée aux sokiat* <Ju au corps aiiomand, par le commandant en ch* ^ ce baron von Bissing, et dont voici les pass&gai principaux : om «Lorsque des civils se permettent de tirai ■>ur nous, les innocents doivent pâtir avec ie4 lOU1 coupables. Les autorités militaire® ont dit. I Sll»- lifférentes repnses. dans leur» oouimunies» , ré wons aux troupes, que l'on ae devait piu épargner des vies humaines dans la repies&ios lor- ces ^it». Sans -joute, il est regrettable qu* des maisons, des villages florissants, voire d«« fait v'^os enfc''©res soient détruits; mais cela m peut vous laisser entrai ner à des sentiments d< ÎOD v>i'tié déplacée. TOUT CELA NE \ AU! PAd LA V7IE D'UN SEUL SOLDAT ALLEMAND, Li Cela va de soi d'ailleurs et il est superflu d'j (ce -nsL^ter.» ca k'on ne s'étonne plus, quand on lit par«fl ire, lanëa^e» qu® des bourgeois eoient fuwlléi ew ' <anS aucuue form® de procès. A quoi bon un< i v euquête, puisqu'il faut que les innocwti ^ ^ soient punis comme les autres; puisqu'il faut 5» 1 des hécatombes pour chaque soldat allemand 1113 fut-os sous les balle* d'une sentâ* tuf lelle belge. Et comment s'étonner après cels »tel, 'lue quelque repris de justice de l'armée all«-mande, abruti par les excès alcooliques, avids na- '^0 P^aS®> tire des coups de fusil pour pro-om e??uor (Jes représailles, puisqu'il est sûa d'être cru sur parole et rester impuni dsq pires brigandages! les - Sympathies hollandaises ? —loi — Les gymnastes des Pays-Bas 'ûl" M. N. J. Cupérus, président ds la FédA ration belge de gymnastique, s depui» U début, de la guerre, reçu un grand nombre ds témoignages de sympathie dea gytnnastsi sep- hollandais. qui II vient de recevoir de la part do M. R. W. „ Wulfhorst, secrétaire du «Nederlandsch Gynvs un nastiek-Verbond» qui compte 25,000 mwa-R.; bres, la lettre qui suit: tait « Mon cher camarade, - ei> d J'éprouve de plus en plus le besoin ds qu. m'entretenir quelques instants avec vous, eni > Jour et nuit mes idées sont auprès d* Ls évi- malheureuse Belgique en général et auprèi iou de vous et des nombreux et braves camara-une des de la Fédération beige de gymnastique 'en- en particulier. Combien j'ai suivi avec inté-uit. rêt au début du mois d'août vos préparatifs Ls 2 à la guerre et le commencement aes hostiH-tre tés. Et plus tard combien de fois nous son»* de: nes-nous dit: qui sait quel grand nombrt 3ui de gymnastes belges sont déjà tombés pouf F,A leur noble et chère patrie. Que doit-d se paa-)A1 ser dans le cœur du président fédéral belgaf Lllés Nous posons les questions mais ne pouvons y répondre. mot ■ Dans le deuil et la misère qui pèsent mit votre pays et votre institution, ce vous sera ur peut-être uns consolation de savoir que ls de omité et les membre* de la Fédération néeiv. no: landaise, nous sommes en ces jours d'épreur# ina le tout cœur avec vous, et que nous espérons m te vivement voir la paix rendus à votre patn* ( et aimée. > Avec les salutations de no'j« tous, du » R W. WULFHORST* îer » Seorétairs ,N. Q. y, a ,

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Dit item is een uitgave in de reeks La Métropole behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in - van 1914 tot 1918.

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