La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

1309 0
12 februari 1915
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1915, 12 Februari. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/9z90864504/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

LA MÉTROPOLE D'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. 22ME ANNEE. VENDREDI 12 FEVRIER 1915. N°- 43. COMMUNIQUES OFFICIELS FRANÇAIS. SORTIES D'AVIATEURS. engagement a la fontenelle PARIS, 11 février.—Communiqué officiel de 15 heures:— Sur tout le front jusqu'à la Champagne, il y a eu des duels d'artillerie. Dans la partie nord, il y a eu plusieurs sorties d'aviation des deux côtés. Les projectiles lancés dans nos lignes par les aéroplanes ennemis n'ont pas eu d'effet. En Champagne, une attaoue allemande sur les bois dont nous nous sommes récemment rendus maîtres au nord de Mesnii-les-Hurlus, fut re-])oussée.En Argonne, la lutte autour des usines Marie-Thérèsë fut très violente. D'après .es dernières informations reçues, les forces allemandes comprenaient environ une brigade. Nous avons maintenu toutes nos positions. Les pertes de l'ennemi sont considérao*es, et les nôtres sérieuses.Dans les Vosges, épais brouillard et violente chute de neige. L'engagement d'infanterie signa.6 hier a La Fontenelle dans le Ban-de-Sapt a eu lieu pendant une nuit extrêmement noire. Les A.lemands en ligne comprenaient au moins deux bataillons. Après avoir gagné quelque terrain, nos troupes le regagnèrent presque complètement hier par une série de contre-attaques. VERSION ALLEMANDE. BERLIN. 11 février.—Communiqué officiel du grand état-major :— Dans le théâtre occidental de la guerre, une attaque dans l'Argonne s'est terminée par un .min de terrain pour nous, et six officiers, 307 hommes, deux mitrailleuses et six petits canons iu.ent pris à nos adversaires. Dans les Vosges du centre et du sud nous avons eu également quelques petits succès locaux. - « Sur la frontière de la Prusse orientale, des engagements se continuèrent hier avec des résultats entièrement satisfaisants pour nous, quoique la neige épaisse retardât les mouvements de nos troupes. Le résultat de ces engagements ne peut encore être aperçu. Dans le théâtre polonais de la guerre, sur la rive droite de ia Vistu e, une avance nous amena dans le district de Scierpes, a travers lequel nos adversaires furent repoussés partout où ils furent trouvés. Environ 3 00 prisonniers furent pris. Sur la rive gauche de la Vistule, aucun incident spécial ne s'est produit.—Wireless Press. succes anglais a festhubert. CAPTURE DE 500 PRISONNIERS. PARIS, 11 février.—Le "Matin" dit que les Anglais ont capturé deux tranchées allemandes du.,,s le voisinage de iesthubert. Cinq cents^ prisonniers, appartenant pour la plupart aux récentes levées de la réserve, ont été capturés à la su^te de ce succès. I.e " Matin " donne aussi les détails suivants • sur la capture par les Ang.ais de la briqueterie située près du chemin de fer à Violaines, près *de La Bassée:— Le combat commença par une canonnade très efficace de la part des Anglais. Elle démoralisa grandement l'ennemi qui, au moment de la charge à la bayonette, avait déjà perdu un millier de morts. Deux heures plus tard, les canons anglais recommencèrent de tonner, des murs entourant la briqueterie s'écroulèrent, et les défenseurs allemands restant jetèrent leurs armes et furent tous laits prisonniers. Les Anglais, dont les pertes furent insignifiantes, réalisèrent grâce à ce succès une avance <1 - 100 mètres, et furent ra^s à même de fortifier grandement cette position stratégique. Le dimanche, les Allemands tentèrent une centre-attaque que les Anglais repoussèrent, infligeant de grosses pertes à l'fennemi.—Central Aews. PRISE D'UVE IMPORTANTE POSITION. PARIS, 11 février.—On lit dans le " Matin " :— Le 8 février nos troupes ont pris la colline de iVotre-Dame de Lorette, où elles se sont fortement retranchées. Cette colline, qui domine toute la région, avait été disputée pendant plusieurs semaines.—-Reuter.UN SOUS-MARIN ALLFMAND COULE? PARIS, 10 février.—D'après des avis de Dun-torque, le capitaine du steamer français "Ville ce Lille," venant de Bordeaux, déclare que le 4 courant, à environ deux heures de relevee, il vit un navire sauter à six milles au nord-ouest de Dunkerque. A cause de l'endroit où l'explosion eut lieu, le capitaine est d'avis que le navire ne peut avoir ote qu un sous-marin allemand de Zeebrugge. Le sous-marin doit avoir heurté une mine.— lteuter. LA DEFENSE D'ANVERS. PUTTE, 7 février.-—La semaine dernière, les ' Allemands—après' avoir terminé les travaux de 'ielense d'Anvers—-ont installé un observatoire *ur la tour de l'église de Staebroeck. Le sacris- j tain de l'église n'a p us accès sur la tour. . Les voies ferrées .entre les différents forts, dont Belges avaient commencé le placement, sont achevées par les envahisseurs. . La télephonie souterraine entre les forts est installée. Tout prouve qu'Anvers 3era défendu à outrance Par les Allemands. L'allemagne et les neutres. DEBORDEMENT DE HAINE. COPENHAGUE, 10 février.—Les journaux a"«mands emploient à l'égard des neutres un Engage sauvage. ■ :.Les "Hamburger Nachrichten," par exemple, "sent qu'à partir du 18 courant tout le monde 'l0|t assumer les conséquences de ses actes. Aucune menace ne retiendra la flotte allemande. I 'La haine et l'envie du monde entier ne nous i Préoccupent aucunement, dit le journal. Si les Autres ne veulent pas protéger leur pavillon contre l'Angleterre, ifs n'ont pas le droit d'être «nus en estime par l'Allemagne. Nous serons ûurs contre la dureté."—Exchange Spécial. ^ — Des prisonniers autrichiens-capturés parlés V'iaRes ont déclaré que de sérieuses émeutes ont t-'elaté en Transylvanie à cause de la disette. -Douze femmes allemandes combattant comme volontaires avec les Allemands en Po-'osae ont été capturées et emmenées à Kiefr. SUR LE LITTORAL. LES IMMEUBLES DETRUITS une liste officielle. (Correspondance de la " Metropole." BRUGES, 5 février (par courrier).—On vieil" d'effectuer le recensement officiel des dégât: effectués par suite de faits de guerre sur le lit toral belge, à Ostende, Heyst, Middelkerque; Westende et Westende-Bains. Je crois utile de vous communiquer ce docu ment. Le recensement a été fait par les ad ministrations communales à la date du 25 jan vier. Depuis lors, m'assure-t-on, d'autres dom mages ont été effectués, notamment à Middel kerque et à Wcâ'.tende. Ostende.—1. Hôtel de Lyon, rue des Capu cins, 31, propriétaire, Fischlin, Gustave, impri meur, à Bruxelles. 2. Hôtel Majestic, Digue Louise, prop., Gil-lissen, Hubert, à Ostende. 3. Hôtel Beau-Site, Digue, 41, prop., Van Cleempoet-Verhoest, Julién, veuve, à Bruxelles. 4. Maison privée, rue de Flandre, 80, prop.. Craen-Meis, François, Anvers. 5. Maisons n. 83 et 84 sur la chaussée vers Nieunort et Middelkerke, prop., Auguste Decan. de Raversyde. 6. Maisons n. 78 et 80 même chaussée, prop., Onvo, Eugène, de Raversyde. 7. Maison sans no. de la veuve Janssens, de Raversyde. 8. Maison n. .58, propriétaire inconnu. Heyst.—1. Eglise, propriétaire, Fabrique d'église. 2. Morgue, propriétaire, commune d'Heyst. 3. Villa Marie-Christine, prop., Mme Degraef de Meirelbeke lez-Gand. 4. Vida Henriette, prop., baron de Maere, d'Aertrycke. 5. Villa Les Hérons, prop., Wijnsberghe, à Bruxelles. Middelkerque.—1. Rue du Moulin, 17, prop., Charles Horren. 2. Avenue de la Reine, 13, prop., Minne. 3. Id. n. 9, prop., Mme Drabbe. 4. Id. n. 11, prop., Billiot. 5. Id. n. 15. Villa des Crevette's. t>. Id. n. 33, une remise de la brasserie De Wulf. 7. Aux numéros 28, 30, 32, 31 de l'Avenue de la Reine, toutes les vitres sont brisées. 8. Rue des Dunes, maison, toit et façade endommagés.9. Rue des Dunes, maison, façade endommagée, prop., Dierendonck. 10. Rue des Dunes, maisons n. 32-54, prop., Mad. De Mafez, endommagées. 11. Maison n. 1, prop., inconnu, endommagée. 12. Rue des Dunes, maison n. 56', prop., receveur communal, endommagée. 13. Villa des Dunes, propriétaire inconnu, endommagée.14. Rue des Dunes, Villa Elisabeth, prop., veuve Tionc, toit et mobilier endommagés. 15. Rue de l'Eglise, prop., François Merlier, toit et façade endommagés. 16. Rue de l'Eglise, 1, prop., Huygebaert, vitrine endommagée. 17. Maison Communale, écuries détruites. 18. Pharmacie Quinet, prop., Quinet, vitrine et cave endommagées. 19. Hôpital Maritime, murs latéraux gravement endommagés. 20. Chaussée d'Ostende, n. 84, toit endommagé.21. Chaussée d'Ostende, n. 79, prop., Guyo, toit et cuisine endommagés. 22. Chaussée d'Ostencle, n. 78, prop., veuve Vergaerde, toit, plafond et mobilier endommagés. 23. Route des Dunes, prop., Casimir Boyaen, maison détruite. 24. Boulevard Léopold, 73, prop., Proot-Hamilton, vitrine et intérieur de la boulangerie détruites, façade endommagée. 25. Boulevard Léopold, Û2, Villa Pierre, Café de l'union, prop., Alphonse De wulf, toit détruit, maison menace de s'écrouler. 26. Bou'evard Léopold. 76, Villa la Mouette, prop., Bouzell, à Hobourdin (Nord), brûlée. 27. Rue de Londres, 8 et 10, prop., Morelet et Devis-Dutrache, deux maisons percées par les bombes. 29. Boulevard Léopold, Garage Edmond Clarisse, prop.. Depoorter, incendié. 30. Boulevard Léopold, Hôtel de la Digue, coin de la maison et intérieur endommagés. 31. Rue Max Singer, garage, prop., Auguste Decals, dégâts à la façade et aux murs latéraux. 32. Chemin des Crocodiles, prop., Louis Logiér, maison Louis Logier, complètement détruite.33. Chemin des Dunes, 18, prop., Ch. Blomme détruite. 34. Digue de Mer, 80, Villa Antonin, 1er étage détruit par le feu. 35. Digue de Mer, 75, Villa des Mésanges, étage endommagé; 36. Digue de Mer, 75, Villa Martiny, entrée et ascalier détruits. 37. Digue do Mer, 74, Villa la Tourelle, 2e 3t 3me étages incendiés. 38. D.gue de Mer, Villa Pierre, entrée détruite.39. Digue de Mer, 726 Villa Bellagio, entrée Jétruite. ■10. Digue de Mer, 67 Villa Les Joncs, entrée iétruite. 41. Digue de Mer, 66 Villa des Hirondelles, ter étage détruit. 42. Digue de Mer, 20 Villa Marguerite-Marie, di op. Lornan-Wattynes, murs et intérieur forte-nent endommagés. 43. Digue de Mer, Hôtel Belle Vue, propriét. Société Anonyme, toit et les murs endommagés. 44. Derrière la digue, Hôtel des Garages, )rop. Société Anonyme, toit et murs endommagés. 45. Digue de Mer, Vida Bagatelle, prop. Max ïalet, de Bruxelles, détruite. i G. Les Cérisiers, prop. Alex^pdre Hallet, dé-rnite.47. Les Erables, détruit. 48. Derrière la digue, le Cinéma, prop. Société Lnonyme Wéstend, mur percé. 49. Digue, Le Refuge Labry, endommagé. 50. Digue, Bel Horizon, prop. Desoer, de Bruxelles, toit et entrée endommagés. 51. D'gue. Endommagées les villas Futilité, filia Eella, Su'nshine, La PaimpOlaise, Les Né-éides, n. 39 à côté des Néréides, Les Chênes. 52. Digue. Incendiées: Les villas à côté de la i'ia des Embruns, Villa Portena, Argentine, ^érésila, Villa Berthe-Jeanne et la villa d'à côté sos Fillettes 53. Sont çncore endommagées: Les Villa 'rimerose, prop. G. Berlaere, de Bruxelles et la illa d'à côté Villa Coccinelles, prop. Hagemeyer, le Bruxelles, les villas Joy et d'à côté, prop. ïoui'.lers, Villa Les Lutins, prop. dfi Vil'ers, de Bruxelles et enfin les villas Les Terrasses et Clairette, prop. Lembrée. Westende.—1. Westend Hôtel, prop. Société j.i Westendaise, endommagé. 2. La Ruche, prop. Van Hecke, façade endom-nagée.Westende-Bains.—1. Digue, toutes les villas lu Westende Hôtel à l'avenue des Mouettes, au otal 12 villas, appartenant respectivement aux propriétaires Watenaer, Dielliens, Ferd., Société iVestendaise, détruites. 2. Boulevard des Mouettes, Les Charmettes, >rop. Dutry, de Gand, façafie et toit endom-nages.3. Boulevard des Mouettes, pâtisserie Engel->ert3 villa Jeanne, propriétaire Rayée, d'Ostende. COMMUNIQUES OFFICIELS RUSSES. COMBATS EN PRUSSE ORIENTALE. ' progres dans les carpathes PETROGRADE, 10 février.—Communiqué publié aujourd'hui par le • grand état-major général :— Les combats ont continué dans les régions de Lasdehnen, ROgupenen et Arsobiala, en Prusse orientale. Sur le reste du front, sur la rive droite de la Vistule, et tout le long du front de la rive gauche, il n'y a pas de changement important dans la situation. Dans les Carpathes, nos troupes pressent l'ennemi dans les régions de Dukline, Lupkow, et Usjok, et ont continué à progresser. Nous avons capturé ici 23 officiers, 1500 hommes, plusieurs mitrailleuses et un mortier de plus. la bataillejde la bzura. 45,000 MORTS! PARIS, ] 1 février.—L' " Echo de Paris " publie un télégramme particulier de Varsovie disant que l'offensive allemande sur le front de la Bzura-Rawka a été repoussée à la dixième attaque et que les Allemands ont laissé plus de 45,000 morts sur le terrain.—Reuter. INSTERBURG VA ETRE EVACUEE. AMSTERDAM, 11 février.—Un correspondant de Cologne apprend que la population d'Inster-burg, en Prusse orientale, a été avertie par les autorités militaires qu'elle aurait à évacuer la ville. Un nombre considérable de trains venant de la direction de Dusseldorf ont passé "par Cologne en route pour le front oriental, avec des hommes, des chevaux et des canons. Le pétrole devient très rare à Cologne. Huit cents Allemands blessés y sont arrivés.— Central News. LES RUSSES EN BUKOVINE. AMSTERDAM, 11 février.—D'après la " Pester Llcyd " hongrois, des gens venant de Czernowitz, la capitale de la Bukovine, disent que le gouverneur russe, avec son état-major et toute la garnison, a quitté la ville mardi pour Novo Sie-litz. en Bessarabie. On dit que les Autrichiens s'avancent vers Czernowitz.—Central News. dans la mer noire. LES RUSSES COULENT CINQUANTE VOILIERS TURCS. PETROGRADE, 10 février.—On publie le communiqué officiel suivant:— Le 8 courant, nos contre-torpilleurs de la mer Noire ont bombardé trois batteries ennemies à Trébizonde, ont détruit deux ponts dans la région de Platana, et une troisième à l'ouest de lîize. Au cours de ces opérations, ils ont de nouveau coulé plus de cinquante voiliers de l'ennemi.— Reuter. la disette _en_ allemagne. SUPPRESSION D'UN JOURNAL SOCIALISTE. AMSTERDAM, 10 février.—Le journal socialiste " Gothaer Volksblatt" a été supprimé pour avoir, dit le général von Hangwitz, publié un article intitulé " Le rat des champs et l'hamster," dont l'effet devrait être de provoquer un conflit de classes, et attaquant même la personne de Sa Majesté impériale.—Reuter. Note.—On se rappelle que le " Gothaer Volksblatt M avait déjà» été suspendu précédemment. Pour comprendre le sel de l'article qui a entraîné la suppression, il faut savoir que l'hamster est un rongeur commun en Allemagne, brave, léroce, difficile à détruire, omnivore et destructeur de tous les animaux plus faibles que lui. qui rassemble dans son trou de grandes quantités de grains. 4. Boulevard des Mouettes, villa Flora, propriétaire Société Westendaise, détruite. 5. Epicerie Delhaize, prop. Van Hecke, Westende, détruite. 6. Boulevard des Chaudrons, maison Pou-paert, Tonton, prop. De Try, Ixeiles; Lizon, Mé-lanie, les Parfums, endommagé; Josée, les Parfums, détruit; administration de la Westendaise, endommagée. 7. Avenue de l'Occident, boucherie bruxelloise, boulangerie voisine, Les Cormorans, Mon Repos, Rose France, Rose Mousse, Les Bruyères, Bon Accueil, propriétaire Siaens, Bruxelles; T'Nestje, Rénélia, Ludovica et villa voisine Marie-Antoinette, le Talisman, gravement endommagées.S. Digue, Kursaal, façade détruite. 9. Digue. Les Heures Ciairés, prop. Guyon, de Bruxelles, en partie détruite. 10. Digue. Tout le coin jusqu'à la villa des' Glaïeuls, excepté, détruit. 11. Digue. Villa Yvonne, Les Hirondelles, Pension de Famille, La Westenda.se, à côté de la villa entre les Orchidées et Primevère, prop. I Dardenne, Lefize, endommagées. 12. Boulevard des Aig.es, Studio' et villa voisine de Studio, gravement*endommagées quasi détruites. 13. Boulevard du Parc, Villa Isba, villa Bleue, Villa Jeanne, prop. Franchez, gravement i endommagées; La Pergola, prop. Malin, de Bruxelles ; La Hensitoise, gravement endommagée.14. Digue. Villa Les Fermettes, propriétaire La Westendaise, détruit; Les Alouettes, coin détruit. 15. Boulevard du Hameau, Deutsche Villa (3 villas); Colonie, Villa Elisabeth; l'Aurore, détruits; Ciel d'Azur et Belle-Rive, prop, La Croix (Haeren), détruits. 16. Boulevard de la Digue, Lekker Bek, détruit.17. Près de la gare, Noble Rose, prop. Masse, endommagée. 18. Près de la gare, Eglise, prop. La Westendaise, détruit à l'intérieur. On voit que les dégâts effectués jusqu'à présent sur notre beau littoral sont énormes. Les Allemands auront de lourds comptes à nous rendre ! LES HUNS EN BELGIQUE. DIXIEME RAPPORT DE LA COMMISSION OFFICIELLE BELGE D'ENQUETE. une synthese. Nous commençons ci-dessous la publicatior du dixième rapport de la Commission (officiels belge) d'enquête sur la violation du droit de: gens, des lois et des coutumes de la guerre, qu résume en un tableau admirable de force et d< précision, le système d'horreur, de sang et d< larmes appliqué à la Belgique par "l'armée 1< plus ✓disciplinée du monde":— Lé Havre, le 6 janvier 1915. A Monsieur Carton de Wiart, Ministre de la Justice. Monsieur le Ministre,—La délégation de h Commission d'enquête, qui siège à Londres (1) nous adresse le rapport suivant:— Londres, le 29 décembre 3914. A Monsieur G. Cooreman, Ministre d'Etat. Président de la Commission d'enquête sur 1; violation des règles du droit des gens, deî lois et des coutumes de la guerre. Monsieur le Président,:—La délégation qu« vous nous avez confiée par votre lettre du 2( septembre nous a permis du réunir un certair nombre de dépositions orales et écrites parmi les réfugiés belges en Angleterre. Nous avons écart( à^ dessein tous les témoignages des personne* n'ayant pas assisté elles-mêmes aux faits sui lesquels elles ont déposé, ne prenant en considé ration les récits de seconde main que pour autani qu'ils nous fournissent les noms de témoim directs et de victimes demeurées en Be'gique. Pour nous guider dans nos investigations, nom avions les rapports déjà parus, à cette date, dt votre Commission. Dans la mesure où les té moignages recueillis pas nous se rapportent aus constations formulées dans ces rapports, nous pouvons conclure que ceux-ci sont corroborés pai nos propres recherches. De l'ensemble des dé positions reçues par nous, nous pouvons dégage] et considérer comme acquises les certitudes sui vantes :— Il y a eu en Belgique, depuis le 4 août de cette année, beaucoup d'atrocités commises ii#l i viduellement par des soldats allemands sur des civils désarmés et inoffensifs:' meurtres, viols, mutilations. Ces faits seront établis avec plus d'exactitude quand il sera possible d'interrogei en Belgique les victimes, leurs parents, leurs confidents et les gens de leur entourage. Sans doute, ces atrocités ne peuvent pas toujours être imputées aux autorités militaires ennemies. Elles sont généralement le fait de soldats ivres et excités par l'œuvre de pillage et de destruc tion à laquelle ils se sont préalablement livrés. Néanmoins, il y a lieu de considérer qu'en permettant et qu'en encourageant même l'ivrognerie, le pillage et la destruction, les autorités ont acquis une complicité indirecte dans les exces commis par leurs hommes. Ma;s ce qui résulte de nombreux témoignages directs, précis ét concordants, c'est le système d'intimidation, de représailles et de destruction, employé par l'armée envahissante, sur le territoire belge, à l'égard des populations desarmées et iuoffensives, en dehors de toute action de stratégie militaire et dans des villes et villages évacués par la partie adverse. Ce système s'est manifesté par un triple ordre de faits contraires au droit des gens et aux lois de la guerre. _ Le premier est relatif au procédé barbare de faire marcher devant les troupes allemandes, afin de les protéger contre les coups des armées alliées, des groupes de civils de tout âge et de tout sexe. Le deuxième comprend l'emprisonnement, soit en qualité d'otages, soit à des titres variés, d'individus, de famiUes, de populations entières, pris au hasard et sans raison valable, enfermés sans air, sans décence et sans nourriture dans des églises, des hangars ou des étables, emmenés en Allemagne et y maintenus dans des conditions déplorables d'hygiène et de convenance. Le troisième enfin groupe tous les faits de meurtres collectifs de civils, d'incendies de maisons après pillage, sur lesquels la lumière se fait chaque jour plus vive. Il convient que nous revenions sur ce triple ordre de violations des lois de la guerre. Nous sommes à même de l'établir en nous référant au texte même de certaines de nos dépositions. Les raisons qui ont commandé à la Commission d'enquête de ne point dévoiler les noms et la qualité des témoins et d'écarter de ses rapports tout ce qui fournirait à l'ennemi un prétexte à des représailles sur le territoire occupe, nous .impose une semblable réserve. Nous certifions que tout cc que nous avançons pourra être vérifié dans les procès-vcrbaux de nos séances et dans le texte des dépositions orales, signées opar les témoins après lecture et sous nos yeux. Ces témoignages, nous avons cherché à les autnentifier par tous ies moyens d'investigation e-i notre pouvoir, lis pourront être contrôlés par une contre-enquête faite sur place. A cet effet, nous avons pris toutes les informations ae dates, de lieux et de personnes, que nous avons pu, afin de réunir ainsi les bases pour des informations suDsequentes. 1.—Dès le moment où ,l'armée allemande a pris contact avec l'armée beige devant Liege, elle a cherché à se protéger en poussant devant elle des groupes de civiis. L'n témoin nous a indiqué ia manière dont une batterie allemande, tirant sur le couvent aes Pères Carmes, à Chèvre-mont, s est garantie contre le tir du. fort, en piaçant tout autour de la batterie des habitants pris dans le voisinage et parmi lesquels plusieurs femmes et même oes enfants. Le même témoin affirme avoir vu un gros de troupes allemandes, passant par l'intervalle des forts de Chaudfon-taine et de Fléron, avec, devant lui, un groupe de civils ramassés le long du chemin; la plupart avaient les mains liees derrière le dos. Un autre groupe de civns était contraint de marcher au milieu de la troupe. Dans celui-ci il y avait un vieillard octogénaire, que deux compagnons étaient littéralement obligés de traîner. A l'autre bout de- la Be.gique, un témoin nous décrit comme suit la composition de la coionne allemande, traversant une commune du Borinage pour ailer attaquer les troupes françaises, se repliant sur la rive opposée de la Sambre: " 1. Des cyclistes, 2. des fantassins espacés, 3. un groupe d'une centaine d'otages, hommes, 4. des niasses d'infanterie, 5. des autos, dont plusieurs traînées par des chevaux, 6. des canons, 7. un groupe d'environ 300 otages entourés d'une corde." Bien que les Français occupassent les hauteurs commandant la vallée, .e combat tarda longtemps à s'engager. Le motif en était la présence des civils en tête et au centre de la colonne. Après que .e combat se fût engagé et que, frappés par les balles françaises, un grand nombre de soldats allemands furent tombés, les troupes occupant ie village mirent le feu à toutes es maisons longeant la rue où elles se trouvaient. Cela n'arrêta pas le défilé de l'armée envahissante. (A suivre.) (1) La délégation de la Commission d'enquête siégeant à Londres est composée comme suit:— Sir Mackenzie Chalmers, K.C.B., ancien Sous-Secrétaire d'Etat pour le Home department, ancien Membre du Conseil des Indes, Président; MM. de Cartier de Marchienne. Envoyé extraordinaire et Ministre plénipotentiaire de S. M. le Roi des Belges; Henri Lafontaine, Sénateur, membres; Henri Davignon, docteur en droit, sécrétaire. l'incident du pavillon neutre. « • LA NOTE DES ETATS-UNIS. WASIIJJSGTOX, 11 février.—Le gouvernement a envoyé sa note à la Grande-Bretagne, faisant d'amicales obseryations au sujet de l'usage du pavillon neutre, et a communiqué également avec l'Allemagne, demandant quelles mesures les officiers navals allaient prendre pour vérifier le i caractère des vâpeurs battant pavillon neutre . dans l'exécution de la proclamation du blocus de L l'Angleterre. Dans 1a note à la Grande-Bretagne l'Amérique ! fait ressortir que l'usage fréquent d'un pavillon - neutre, comme un stratagème pourrait jeter le doute sur le caractère et mettre en danger la sécurité des navires en droit de battre pavillon américain. Quant à la note à l'Allemagne, tandis qu'il est , reconnu que la régie des opérations par sous-, marins n est pas entièrement couverte par la législation internationale, il est entendu que le gouvernement a fait comprendre au gouvernement allemand que toute attaque contre un navire battant pavillon américain sans assurance | préliminaire que l'usage de ce pavillon est fictif sera considérée comme Grave et pourra donner , lieu à de sérieuses complications. | Le gouvernement ne s'est pas prononcé complètement au sujet de la proclamation allemande se limitant pour le moment à demander de plus amples informations, sur lesquelles on pourra ou non baser d'autres représentations.—Reuter. AU SENAT AMERICAIN. WASHINGTON, 10 février.—Après cinquante-quatre heures de discussion continue, le Sénat s'est ajourné à demain sans avoir voté la loi relative à l'achat des navires.—Reuter. un emprunt austro-allemand a la bulgarie. SOFIA, 2 février (retardé).—Le communiqué semi-officiel suivant est publié ici:— La Disconto-Gesellschaft a placé à la disposition de la Bulgarie une somme de 75 millions de francs contre bons du trésor comme second versement de l'impôt de 500 millions conclu à Berlin, l'an dernier, avec un groupe de banques allemandes, dont la Bulgarie a déjà reçu un versement de 120 millions. Un nouveau versement de 75 millions sera fait d'ici deux mois et demi au taux de dix millions par quinzaine. L'emprunt porte intérêt à 6 pour cent avec 1-jV pour cent, de commission; le produit de l'avance servira au payement de coupons et à couvrir les frais de diverses fournitures, tan-dis que 50 ' millions seront payés à la Banque Nationale de Bulgarie pour la dette flottante du gouvernement, en vue de régulariser le taux du change, qui est très élevé actuellement.— Reuter. LE PAYS RESTERA STRICTEMENT NEUTRE. SOFIA, 11 février.—A la réunion de la majorité par.ementaire d'aujourd'hui M. Radoslavoff, chef de cabinet, a déciaré que le gouvernement a décidé'de maintenir une stricte et loyale neutralité. La situation généra.e du pays, dit-il, était favorable, sa position financière et sa préparation militaire étant adéquates. Le gouvernement, croyait-il, réussirait à prendre avantage des sentiments d'amitié des puissances.—Reuter. BELGES EN ANGLETERRE. Le Club Belge de Londres, fidèle à ses tradi- : tions d'ardent patriotisme et désireux de se ! rendre utile à ses nombreux compatriotes réfugiés en Angleterre, se propose de recevoir ces derniers en une réunion intime et fraternelle le samedi, 20 février, à 3 heures 30 dans ses locaux du De Keyser's Royal Hôtel, Victoria Em-bankinent, Londres. En organisant cette réception, qui comportera une partie musicale à laquelle prendront part des artistes belges de talent, le Club Belge a pour but de créer ou de faciliter les relations entre nos réfugiés et de donner un peu de réconfort à ceux que l'exile a frappés. Pour obtenir des cartes d'invitation, s'adresser par écrit à Monsieur le Secrétaire du Club Belge, y5, Gracechurch-street, Londres, E.C. Les Belges qui ne connaîtraient par personejle-ment un membre du club sont priés de se faire connaître en indiquant une référence avec leur demande et donnant leur adresse en Belgique. Les invitations s'appliqueront aussi aux daines et seront strictement personelles. Les enfants ne seront pas admis. * * . * Les Belges résidant à Oxford, sont invités à assister à la réunion oui se tiendra, lundi 15 février prochaine, à 3 heures, à 1' " University College Hall." High-street. A l'ordre du jour: La Taxe sur les Absents. Le congrès organisé par 1' "Association internationale des Cités-Jardins et des pians d'extension de ville " en vue de reconstruire la Belgique après la guerre s'est ouvert, hier, au Guildhall, sous la présidence d'honneur du Lord-Maire de Londres. M. Herbert Samuel, président du ministère de l'Intérieur, souhaita la bienvenue au nom du gouvernement anglais. Continuant en français, M. Samuel déclara que la Belgique avait été la victime d'une orgie de destruction dont on ne trouve guère d'exemple dans l'histoire. Des monuments médiévaux, qui avaient résisté au ravage des siècles sont maintenant en ruines, et ne pourront jamais être remplacés. Il s'était estimé heureux, ajouta-t-il, de rencontrer parmi les réfugiés belges de nombreux architectes et entrepreneurs auxquels il offrit sa collaboration et ses idées au sujet de la construction moderne des villes ; ses propositions furent accueillies avec faveur. Outre des délégués de France, de Russie, d'Espagne, de Hollande et des Etats-Unis assistait également M. Helleputte, ministre de l'Agriculture et des Travaux publics en Belgique, qui présidait le congrès. M. Helleputte déclara que sous ces halles de liberté de la cité de Londres, la ; Belgique préparerait des monuments encore plus beaux que ceux qui avaient été détruits. Au cours de la séance d'après-midi, M. Ewart G Culpin, secrétaire de l'Association, prononça un discours fort applaudi, dans lequel il exposa i les principes de là création des cités-jardins. Après d'autres discours de MM. Montagu Harris et Benoit Levy s'engagèrent des discussions fort intéressantes. Aujourd'hui les membres du congrès visiteront les quartiers ouvriers et industriels à Letchworth. — Le "Maasbode" dit apprendre de Munster que' le baron von Strachnitz, commandant du camp de prisonniers de cette ville, a été nommé ( commandant à Bruxelles. — La garnison de Knocke a été réduite de ' 1200 à 200 hommes. Le reste, des jeunes gens I de dix-neuf ans, ont été envoyés au front.. I A BRUXELLES. LES SECOURS AUX INDIGENTS budget communal. (Correspondance de la " Metropole.") BRUXELLES, 5 février (par nourrier).—Le Comité National de Secours et d'Alimentation :i distribué jusqu'ici pour 607,624 fr. de vête inents. De ce total, 35,310 fr. ont été répartis entre les familles des réfugiés; 45,000 francs ont été distribués par les soins de différentes œuvres : le restant a été partagé entre les communes de l'agglomération bruxelloise. D'autre part, le comité a payé jusqu'ici en salaires ure somme de 217,058 fr. Le foi?*» communal de secours ^ux chômeurs non syndiqués, qui a commencé à fonctionner le 25 octobre, a payé depuis cette date jusqu'au 16 janvier dernier la somme de 101,295' francs, soit une raovenne de "16,880 francs par quinzaine. La moyenne de l'allocation de chômage s'élève à 4 francs par quinzaine et par famille. En viron 6000 familles participent à ce fonds. Dans ce nombre ne sont pas compris les chômeurs. non syndiqués qui relèvent des comités où ils ont été secourus précédemment. Sur 63 syndicats agréés et qui ont leur siège ;> Bruxelles, 49 ont bénéficié des- avantages accordés.Le nombre réel des chômeurs syndiqués qui, à ce jour ont participé au fonds, s'élève à 2374. Pour une semaine l'allocation était de S57ti francs pour 1950 chômeurs. Le budget de la ville de Bruxelles pour l'année 1915 a été arrêté comme suit:— Dépenses ordinaires et extraordinaires frs.39,325,606..;-:: Divers 10,113,535.70 Total frs.49,439,142.53 Recettes: En caisse frs. 8,068.14 Recettes arriérées 764,287.50 Recettes du service ordinaire 39,353,568.96 Recettes du service extraordinaire 7,537,635.38 Prélèvement sur l'emprunt de 1905 1,S00,000.00 Total frs.49,463,559.96 . Excédent des recettes sur les dépenses 24,417.45 la journee du drapeau belge en france. ELLE PRODUIT 3 MILLIONS 309,000 FRANCS. Trois millions trois cent neuf mille francs, tel est le chiffre versé à la Banque de France chez MM. Lehideux,_ banquiers, par les soins des préfets de la Seine et des autres départements. Une somme totale de 1/214,709 francs a été distribuée par 1-e Comité central franco-belge dès le premier mois. Sur de judicieux avis qui lui sont parvenus, et. songeant au moment qu'il espère prochain du retour des réfugiés belges dans leur patrie ei aux besoins qui se produiraient alors, le Comité a mis , en réserve une autre somme de 1.000,000 qu'il a placée en bons de la Défense nationale. Le Comité central franco-belge continuera sa tâche et sera trop payé de son effort si, répondant au sentiment public, il a pu soulager un© partie des misères que subissent injustement les héroïques populations de la Belgique. LE CHANGE EN HOLLANDE. On nous signale que ceux de .nos compatriotes qui se rendent en Belgique via la Hollande s'exposent à de sérieuses difficultés s'ils sont porteurs de sommes en monnaies ou en billets anglais ou français. L'argent anglais et français est fréquemment confisqué purement et simplement par les Allemands à la frontière belge. De plus en Hollande le change s'opère très difficilement et ' s • > m<nes des pavs a liés, y font l'objet d'un . véritable commerce éminemment préjudiciable ô nos intérêts. I. est donc prudent ce se munir avant ie départ d'Angleterre de numéraire ayant cours dans la Belgique occupée, que l'on peut, obtenir à Londres et dans les principales villes du pays à un taux très favorable. NOS PROFESSEURS AU COLLEGE DE FRANCE. PARIS, 5 février.—L'assemblée générale des professeurs du Collège du France, a eu la très heureuse idée, le 31 janvier, de décider que, cette année, les conférences de la fondation Mi-chonis seraient faites exclusivement par des savants belges. C'est ainsi que d'ores et déjà ont été désignés M. de Lannoye, bibliothécaire et professeur à l'université de Louvain, et M. Doutrepont, maître de littérature française à la même université. Les conférences de M. Doutrepont, qui porteront sur un thème extrêmement vivant: " Les Lettres françaises en Belgique depuis 1880," commenceront le 23 février. " C'est une belle réponse aux dévastateurs allemands qui, en Belgique, ont pu accumulcr les ruines, mais qui n'y ont tué ni le cœur ni l'esprit," dit notre confrère " Excelsior." LE NOUVEAU GENERAL DES JESUITES. ROME, 11 février.—Le conclave des Jésuites, réuni pour l'élection d'un nouveau général, a désigné en cette qualité le père Ledochowsky, un polonais allemand.—Reuter. —-Le "Matin" de Paris dit que le Bureau socialiste international a décidé de convoquer à La Haye une conférence de délégués de diffé rents pays belligérants et neutres. LE LIVRE D'ADRESSES DES EXILÉS. 9 ponce a ligne.—Joindre lo montant aux ordres. o.T.t>. BRUXELLES, Courrier routmé, 12 voyages. Paiement à la réponse.—Eorire Bauwc, poste restante Nowbury. Y AN KERKHOVE, ELISE, recherché par Léon Wilhelmiaafitraat, 25, Flessiaguc. BELGES.—Avant d'envoyer des correspondances, paquets-. sommes d'argent, «te., araat .Je tous rendre ou de faire venir des personnes de Belgique demandez nos pris et références. bureau dç ALBERT SEIRSTil and Co., renseignements 0 à 8,' Little fit. Androw's-streofc, gratuite. - 6 hcurôs. London, W.C. OUTURE.—-Mme SUZANNE, 31, Baker-st y W., informe les dames belges et fxançaites qu'elle vicno d'engager dans ses salons MADAME IRMA, ex-vendeuse de la Maison Ilirsch et Cie., de Bruxelles, qui v tient à leur di6position tous les jour£ de 10 à 6 heures. Fiu très modestes, 'l'houo, Mayfair 1960. LIEGE.—Tout habitant de cotte ville empiovo dans L'INDUSTRIE DU CAOUTCHOUC est' instamment prié de s'adresser e.us bureaux d« VICTOR TYRE CO.. Lt<L. 16, Ort-erct-strcct, Westxninstei.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes