La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

1103 0
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1917, 12 Mei. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 16 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/jq0sq8rg83/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

LA MÉTROPOLE one; penny CIHQ CENTIME* Si LAHDEI VIJF CENT Smmti dix centimei PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holbern 212, abonkkmbnt 1 mois 3 ah. ; 3 mois, S sfe. 24ME ANNEE SAMEDI 12 MAI 1917 c No. 132 LA GRANDE GUERRE I CALME DANS L'OUEST (OFFENSIVE DANS LES BALKANS Un discours de M. Rodzianko L'activité militaire sur le front ouest a subi un ralentissement au cours de la 'journée de jeudi et de vendredi; dans le | secteur britanique il y a eu des combats autour de Bullecourt où l'ennemi a fait de vains efforts pour saper les positions idenos alliés, Une légère avance fut faite à l'est de Gricourt et au sud de la Bouchez où l'ennemi perdit_ une partie Jde ses lignes d'appui, ainsi que quelques prisonniers. Des progrès furent en-jcore effectués sur la rive sud de la fScarpe; autour.de Fresnoy la situation est inchangée. ! Dans le secteur français, la bataille i d'artillerie continue au nord-est de Sois-fsons et sur le chemin des Dames;" quel-[ques opérations locales ont réussi au ;nord de Sancy, où un système de tranchées et trente prisonniers ont été capturés.Le canon vient enfin de rompre le long silence qui a régné sur le front des Balkans où les ■ Alliés cherchent probablement une diversion à la pression allemande qui s'est faite de plus en plus forte sur le front de l'ouest. Dans la nuit du 8 au 9 mai, après une préparation d'artillerie qui a duré plusieurs jours, les Alliés attaquèrent les tranchées ennemies d'un point au sud-ouest du lac Doiran sur un front d'environ six kilomètres et demi. Sur le flanc gauche les tranchées ennemies furent capturées sur un front de plus de trois kilomètres et une profondeur moyenne de 500 mètres. Au flanc gauche, les tranchées ennemies, sur une longueur d'un kilomètres et demi, entre le lac et la Petite Couronne, furent prises d'assaut. Des contre-attaques ennemies, faites à plusieurs reprises furent repoussées. Le communiqué officiel de l'armée d'Orient donne plus de détails. Les troupes britanniques prirent d'assaut les positions bulgares près de Krastali sur un front de trois kilomètres, tandis que dans la vallée supérieure de la Moglenit-za (région de Vetremtch) les Serbes capturèrent deux points d'appui ; les Russes opérèrent dans le coude de la Cerna. Sur tout le front serbe il y a eu de violents duels d'artillerie; des détachements avancèrent dans la direction de Tushin et capturèrent des tranchées de première ligne dans-la direction de Do-bropolje. Sur le Vardar l'armée nationale grecque a fait également une attaque dans le secteur qu'elle occupe. Soutenues par des contingents de Français, qu'on y avait mêlés, elles s'emparèrent des tranchées ennemies de première ligne; la profondeur de leur avance varie de 500 à 1.200 mètres. Parmi les points °ccupés près de la rive du Vardar il y en avait un qui favorisa grandement les opérations de l'armée britannique. : En Russie la situation est stationnai-re' On espère généralement que les déclarations de M. Kerensky et le manifeste du gouvernement provisoire auront k meilleur effet sur la population, et en • particulier sur la partie extrémiste qui ne cherche qu'à assouvir des intérêts personnels aux dépens de l'intérêt général du pays. Au cours de la séance extraordinaire A la Douma M. Rodzianko prononça "n discours dans lequel il déclara que la guerre avait été imposée à la Russie et Jue le pays n'en était pas responsable. -es sacrifices innombrables que le peuple russe a faits sur l'autel de la guerre figent que la paix corresponde à l'immensité de l'effort et que l'idéal pour le-9uel le peuple lutte soit assuré, notamment le triomphe de l'idéal de justice et "e liberté. Une lutte pour les principes contradictoires de l'Allemagne ne peu-Vent que se terminer que par la victoire de l'un au de l'autre camp. Le bonheur du monde ne dépendra Rue de la défaite complète du militarisme a'lemand. Une paix en ce moment ne Pourrait être qu'un armistice d'une du-!rw plus ou moins longue. Il ne faut pas l oublier que les classes ouvrières, en Allemagne, quelque socialiste qu'elles puissent être, désirent ardemment la victoire, car l'Allemagne ne peut réduire sa vaste industrie et sa défaite par les Alliés serait le coup de grâce pour les travailleurs allemands, qui appuyent les ! tendances impérialistes du gouvernement.C'est pour cela que le peuple russe doit faire tous les sacrifices pour terminer la guerre, de concert avec ses alliés, d'autant plus qu'une telle victoire consoliderait pour toujours les libertés nouvellement acquises. Le ton Voici, pour donner à nos lecteurs une simple idée sur la façon dont certains services officiels requièrent gratuitement l'insertion de communiqués d'intérêt général, le texte d'une lettre (?) qui nous est adressée : Note pour la " Métropole ", 43, Chancery Lane, Londres, W.C. J'ai l'honneur de vous prier de vouloir insérer, dans un des plus prochains numéros de votre journal, la note ci-jointe, relative à l'envoi de colis, contre paiement, à nos prisonniers de guerre en Allemagne. Veuillez agréer, Monsieur, l'assurance de ma parfaite considération. On le voit, pas un remerciement pour le service qu'on sollicite de nous. Evidemment, la pensée ne nous vient pas un instant de refuser l'insertion de communicatïons intéressant nos compatriotes ou notre pays à un titre quelconque. Mais nous le demandons à nos lecteurs ainsi que nous l'avons demandé par deux fois à M. de Broqueville : Est-il juste, est-il convenable de requérir les services gratuits de la presse, c'est-à-dire notre papier, notre place pour des communications officielles, alors que le personnel des organismes qui nous requièrent est très convenablement payé? Et puis, comme on l'a vu plus haut, il y a le ton... Ce ton, qui indique que certains fonctionnaires qui ne font rien gratis pour le pays croient que nous devons rendre service gratuitement, n'est que rarement employé. Voici un autre genre de requête qui reconnaît au moins l'utilité du service -rendu et s'excuse : "Je vous serais reconnaissant si vous vo.uliez bien faire insérer cet avis dans un des prochains numéros de votre estimable journal. "Je dois toutefois porter à votre connaissance que je ne dispose pas de fonds en vue de cette publication et je dois faire appel à votre obligeance pour que celle-ci puisse avoir lieu à titre gracieux."•—• Ils ne sont pas d'accord sur les buts de la guerre L'annonce d'une discussion au Reichstag sur les buts de guerre préoccupe vivement la Nouvelle Presse libre, de Vienne, qui redoute que des divergences de vues ne se manifestent sur cette grave question entre la monarchie dualiste et l'empire allemand. Le journal croit devoir rappeler qu'une série de nouvelles officielles, depuis le i décembre dernier, a prouvé que les deux Etats sont pleinement d'accord et ne veulent qu'une paix garantissant leurs frontières et les mettant à l'abri à l'avenir d'une pareille menace. La Nouvelle Presse Libre redoute que dans les prochains débats du Reichstag la monarchie ne soit mise en cause et que des paroles imprudentes ne soient prononcées. " Sans doute, dit-elle, ces débats n'ont qu'une importance relative ; ce sont les grands événements qui s'accomplissent dans le monde et non pas les discussions parlementaires qui déterminent la politique ; mais il ne faut cependant pas que la lutte des partis vienne compromettre ce qui est déjà acquis. Le Reichstag n'oubliera pas qu'il doit tenir compte de la psychologie des peuples." Un don générenx des Etats-Unis 7S0 millions de francs pour le ravitaillement de la Belgique et le nord de la France Nous lisons dans le Matin de Paris : Le gouvernement des Etats-Unis vient d'accomplir un acte de générosité admirable vis-à-vis de la Belgique et du nord de la France.- Suivant une communication parvenue au gouvernement belge, il met gracieusement à la disposition des Belges et des Français des régions occupées, pour le ravitaillement, la somme fabuleuse de 150 millions de dollars : 90 millions de dollars pour la Belgique; 60 millions de dollars pour la France; soit 750 millions de francs. A l'heure actuelle, lie ravitaillement de la Belgique et du nord de la France coûte aux gouvernements belge et français plus de 37 millions de francs par mois.. C'est donc un allégement considérable de leur lourde charge. Par ce don magnifique, les Etats-Unis se créent un nouveau titre à la reconnaissance des Belges : on sait, en effet, avec quel dévouement les nombreux membres bénévoles des comités américains se sont consacrés pendant plus de deux arfs à la tâche du ravitaillement de nos compatriotes en pays envahi. L'Amérique et le Relief belge Washington, 10 mai. — On apprend que l'emprunt de 75 millions de dollars que le gouvernement a fait à la Belgique, sera fait conjointement à la Belgique et à la France, le gouvernement par le fait reprenant la charge financière immédiate du Relief belge. Par cet arrangement, la Commission américaine de Relief portera tout le poids des vivres, déchargeant ainsi la Grande-Bretagne et la l'rance qui en ont assumé jusqu'ici les quatre-vingt-dix pour cent. L'administration , du Relief restera entre les mains des représentants espagnols et hollandais. — Reuter. o—o Nouveau blâme à M. Camille Huysmans Nous avons dit, à plusieurs reprises, que les Belges s'étonnaient de voir M. Camille Huysmans, après tous ses avatars, continuer à faire partie du Comité officiel belge en Hollande. II semble que le Comité officiel belge lui-même ne soit pas loin de partager cet éton-nement. Voici, en effet, le texte très significatif d'une déclaration lue en séance de ce comité le 14 avril 1917 par M. Albéric Ro-lin, président : Bien que tous nos collègues soient personnellement et individuellement d'accord pour déplorer que M. Camille Huysmans ait pris publiquement vis-à-vis d'hommes politiques allemands une attitude condamnée par la presque unanimité des Belges en vue d'une paix immédiate qui ne pourrait être,d'après eux, qu'une paix allemande; bien qu'ils regrettent profondément qu'il ait cru devoir se livrer parmi ies réfugiés et les internés belges en Hollande et à cette heure tragique à une propagande politique de nature à provoquer la désunion et à distraire l'attention de nos compatriotes de leur réel devoir actuel : la lutte pour la libération du territoire; je dois constater qu'il n'appartient pas au Comité officiel comme tel de le juger et de lui infliger un-blâme. o—o Un mois de guerre aérienne On lit dans le Times : 714 aéroplanes ont été abattus sur le front occidental pendant le mois d'avril. Jamais, depuis le commencement de la guerre, il n'y eut un ensemble de combats auss durs que ceuxjqùi ont eu lieu pendant le mois d'avril et jamais le chiffre des pertes n'atteignit un nombre aussi considérable. En juillet 1916, lorsque commença l'offensive desJjjAlliés sur la Somme, on compta 165 appareils anglais, français et allemands abattus. Le chiffre des pertes fut de 189 en août ; il atteignit 322 en septembre, époque où ces pertes constituèrent un record. Le chiffre de 714, constaté pour avril 1917, égale les deux tiers des pertes — qui furent de 1,067 — enregistrées pendant le semestre juin-novembre 1916. Des 366 aéroplanes perdus par les Allemands en avril 1917, 269 ont été abattus par les Anglais (soit dans des combats aériens, soit à la suite de cannonades), 95 par les Français et 2 par les Belges. La Conférence de Stockholm. M. Huysmans et l'Alsace-Lorraine Pétrograde, 7 mai. — Le correspondant de la Rousskaia Volia à Stockholm a interrogé le socialiste belge Huysmans, secrétaire du Bureau socialiste international, qui lui a déclaré que la participation des socialistes russes au congrès était certaine. Huysmans a dit, en outre, qu'il ne considérait pas la restitution de l'Alsace-Lorraine à la France et des territoires russes à la Russie comme des annexions, et qu'il admet l'internationalisation de Constantinople. Les russes n'iront pas Rétrograde, 9 mai. — Un aspect consolant de la situation présente est la résolution des extrémistes et des non-Léninites de ne pas prendre part au Congrès socialiste de Stockholm. Une conférence des extrémistes a reconnu, par une majorité de 140 voix contre 6, que l'émissaire socialiste danois Borgbjerg agit d'accord avec Schei-demann et autres socialistes allemands, soutiens du gouvernement allemand, et qu'il est donc, directement ou indirectement, un agent des impérialistes allemands.La conférence des extrémistes considère que le Congrès organisé par Borgbjerg sera utilisé pour couvrir des marchandages avec des diplomates dont 1e but sera l'échange d'annexions. — Daily Chronicle. L'insaisissable Copenhague, 10 mai. — M. Vander-velde, le socialiste belge bien connu, est attendu à Stockholm en route pour Pétrograde. Il nie prendra pas part à la " Conférence pacifiste " dont les comités ont commencé hier leurs négociations, mais les chefs socialistes Scandinaves espèrent obtenir une entrevue avec lui avant qu'il ne pénétre en Russie. — Exchange. Pas de passeport Londres, 10 mai. — Le gouvernement britannique a refusé de délivrer des passeports pour permettre à M. E. C. Fairchild de représenter le parti dit " British Socialists " à la conférence de Stockholm. — Daily Chronicle. Un communiqué Stockholm, 10 mai. — Les délégués des partis qui décidèrent d'organiser la Conférence de Stockholm se réunirent aujourd'hui sous la présidence de M. Hjalmar Branting. Le comité prit note de la motion de confiance des délégués Scandinaves et des nombreuses adhésions de partis appartenant à l'Internationale. Il salue également l'initiative du conseil des ouvriers et des soldats de Pétrograde qui, dans un ordre du jour adopté le 9 mai, exprimèrent le désir d'unir, pour une action commune,les partis qui hésitent encore. Il déclara que le Comité hollando-scandinave était fermement résolu à poursuivre son œuvre, qui n'était possible que dans un pays neutre, comme l'indiquait déjà l'ordre du jour de Pétrograde. Le comité, dit-il, serait heureux de discuter ces questions avec la délégation des ouvriers russes qui se rend à Stockholm. Le comité décida définitivement que les délibérations avec le parti socialiste allemand minoritaire aurait lieu du 15 au 17 mai et celles avec le parti social-démocrate.finlandais le 18 et 19. —: Reuter.«—« Belges incorporés dans l'armée allemande Le socialiste minoritaire Kunert a provoqué le 5 mai un vif incident au Reichstag en demandant au gouvernement s'il était exact que les Belges domiciliés à Cologne aient été incorporés dans l'armée allemande. Le commissaire du gouvernement ayant déclaré qu'il n'avait pas les renseignements nécessaires pour répondre, Kunert demanda si le chancelier savait que les Belges devaient être contraints, par des moyens qui condamne le code allemand, à violer leurs devoirs envers leur propre patrie. Kunert affirma, enfin, que la conduite des autorités militaires prussiennes constituait une atteinte brutale au droit des gens, ce qui provoqua un véritable tumulte dans l'assemblée. Le président retira la parole à l'orateur. Autriche, Bavière et Allemagne Autour d'un article Il se fait un fameux " chambard " en Allemagne autour d'un article que la Bayerische Staatszeitung (Gazette d'Etat de Bavière) a publié le 5 mai, en première page, et qui suggère que l'Allemagne devrait renoncer à réclamer une indemnité lors de la conclusion de la paix. Elle devrait se contenter d'autres * concessions, telles qu'un accord pour les livraisons, à bas prix, des matières premières, traités de commerce avantageux, restitution des colonies, des vaisseaux séquestrés, etc. La thèse est appuyée par le fait que les emprunts de guerre n'atteignent que 75 milliards de marks et ne représentent qu'une partie comparativement faible de la fortune nationale, qui est de 470 milliards et s'ac-croit de 1 milliard et quart par an, et sur le fait que le poids des impôts est comparativement faible. La Bayerische dit que l'article lui vient d'une " source éminente " qu'il n'est pas difficile de deviner si l'on songe que la Staatszeitung a toujours passé pour organe du comte von Hertling, premier ministre bavarois et successeur in Spe de von Bethmann. Mais ce qui corse les choses, c'est que l'article défend exactement la même thèse que celle mise en avant tout récemment par la Fremdenblatt de Vienne, or® gane du comte Czernin (voir la Métropole du 5 mai) et que von Hertling retient justement de la Ballplatz ! On de-'vlne la manœuvre : Vienne se sert de Munich pour faire sentir à Berlin qu'il serait sage d'abandonner enfin toute mégaloipanie et aussi, par un petit chantage assez ingénieux, pour lui montrer que la Wilhelmstrasse n'est plus toute-puissante et qu'éventuellement l'Autriche pourrait trouver des appuis dans l'Allemagne méridionale, contre la Prusse. La tempête qui accueillit en Prusse l'article du Fremdenblatt n'est rien auprès de celle que soulève la " démonstration " de la Bayerische. La Gazette populaire de Cologne exprime ainsi son indignation étonnée : On prend peur, dit-elle sans ambages, quand on lit dans un journal bavarois officiel ce que nous avons entendu à Breslau par Dernburg, à Berlin par le Tageblatt, par Scheidemann, par Ballin, par le direc-torat du groupe des banques depuis l'entrée de l'Amérique dans la guerre. Les meilleurs cercles de l'Allemagne avaient en effet mis leur espoir dans la Bavière, dans le roi de Bavière, dans la défense par la Bavière de ses propres intérêts... Mais la Volkszeitung ne s'en tient pas là, et se livrant à son tour à un petit chantage, elle dit à Vienne, par-dessus la tête de von Hertling : On sait, en Autriche-Hongrie, que cette guerre a été commencé par l'Autriche et à cause de l'Autriche. L'empereur Charles sait aussi bien que l'empereur François-Joseph combien le sort de l'Autriche-Hongrie dépend de cette guerre, et qu'une seconde guerre pourrait aisément décider du sort de ce pays. Une seconde guerre austro-allemande, si Charles II ne marche pas au doigt et à l'œil du Kaiser? Quand les complices se disputent et rejettent l'un sur l'autre les responsabilités de leurs méfaits, c'est que, décidément, cela va bien mal... Edison au travail contre les sous-marins Edison et les autres inventeurs américains concentrent leurs efforts pour trouver les moyens nécessaires permettant de neutraliser la campagne sous-marine. D'après le journal La Tribune, Edison aurait sous ses ordres soixante-quinze ingénieurs qui ne travaillent qu'à cela. Ils cherchent à découvrir un moyen de prodyire l'électricité à bord des navires de façon à faire dévier les torpilles lancées par les sous-marins ou de les faire exploser avant qu'elles atteignent leur but. M. Daniels a donné des instructions pour que toutes les inventions soumises soient étudiée.s et même essayées. Un grand nombre a déjà été examiné, 20% de celles-ci ont été reconnues comme ayant une certaine valeur, mais la solution complète du problème n'a pas encore été trouvée. On espère néanmoins découvrir sous peu le moyen de rendre les sous-marins inoffensifs 011 tout au moins de grandement limiter leur efficacité.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes