La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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08 september 1917
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s.n. 1917, 08 September. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 16 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/6688g8gd7g/
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LA MÉTROPOLE I ONE PENNY ■ .... cinq centimes ■ ;de ; vijf cent Rasent - dix centime* PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Une, W.C.2 — Téléphoné : Holbora 212. &B0NIX1ER 1 moia 3 ih. ; 3 mol«,_8^ifc. Vl mb ANNEE SAMEDI 8 SEPTEMBRE 1917 No. 251 LA GRANDE GUERRE I RALLIEMENT EN RUSSIE CALME DANS L'OUEST I L'anniversaire de la Marne La retraite des troupes russes rejette la région de Riga continue avec ai jur dans la direction du nord-est et d tit Dans la première direction elle jt traversé la rivière Melupe, qi , ;ette dans le golfe die Riga à un jiiizaine de kilomètres au nord d embouchure de l'Aa (Livonie), tandi i'à l'est l'infanterie bat en retrait ms la région de Segewold et de Liga „r la voie ferrée dte Riga à Wenden e Pétrograde, à une distance de 26 kilc iètres &au sud-ouest de Wenden- L me approximative que les Russes o< ipent actuellement va de Klanger erg par Moretzberg et Kastran fiedrichstadt. Les journaux de Pétrograde,quelle qu oit l'opinion qu'ils représentent, me mt toutes les autres questions de cô1 t ne commentent que le désastre c liga. Le sentiment qui Se manifesl artout c'est la nécessité absolue poi 1 nation de ne pas céder à la paniqi lais d'unir toutes les classes de la pc ulation en vue de sauver le pays. L resse socialiste publie des articles qu 1 des termes à peu près identiques, et agent les ouvriers à ne pas attendre îoment où le désastre de Riga sera di enu irréparable, mais de serrer ^ k logs immédiatement avec une discipl e de fer et de prendre des décisior romptes. Le prolétariat russe, dit jnbotchaia Gazeta, doit se rallier ai sur de ses organisations et par un v [oureux effort sauver le pays -et la r olution. Le Zemlia Volia, organe d< ocialistes révolutionnaires, remarque /histoire montrera sur qui repose «sponsabilité de la débâcle militai] nais entre temps la situation exige qt outes les querelles politiques intest les soient oubliées et qu'un effort éne [ique et unanime soit fait pour faii ace à l'ennemi- La presse bourgeoise n'est pas moir inanime sur ce sujet. La Novoie Vrem nationaliste) exprime l'espoir que toi es éléments en Russie, en particulii t gouvernement, les ouvriers, les pa; ians, les bourgeois et les socialisé Kttront toutes les ressources qu'i •ossèdent à la disposition de l'armt Ians le but de l'aider à écarter les coi iéquences fatales de la débâcle militair La Gazette de la Bourse exprirr 'opinion que le gouvernement proviso re qui est le seul pouvoir capable c friger et d'unir les efforts de la n; [°n devrait immédiatement faire app au peuple pour qu'il fasse un suprêrr facrifice pour le salut du pays menac Pe mort. Le journal dit qu'il est certai la voix du gouvernement, spé:iali Pent si elle est accompagnée d'une ai ®10n immédiate, trouvera des échos Jar putes les parties du pays. En France on ne cherche guère à ri pre la gravité de la situation à Rig: r3 note prédominante dans la près: cest le regret que les troupes russes s soient laissé influencep par la propaga: e socialiste germanophile jusqu'à s; jfrfier une position qu'ils ont tenue p< a force des armes pendant plus de deu |nS| ,Une position qui signifiait que 1 ussie était devenue une puissance ei [Opeenne. San« aucun doute on se rend compl BUe 1 avance qu'ont faite les Allemanc J P^cieuse en elle-même parce qu'e k, e à l'Allemagne une nowel B^e llayale et parce qu'elle peut entra er des conséquences beaucoup pli [ ves; En même temps les jouraiu ançais dégagent des récents évén< , nts 'a leçon que le maintien d sacrée doit être considéré pai in T Alliés comme d'une importanc Preme, car "c'est cette "brèche dan fcand'1 Sacr®e 1u' a Permis aux Aliî I s de faire leur avance en Russie |ar|,e cr'tique militaire du Journal, pai fc 1 'a situation générale, écrit : Le L ats acquis jusqu'ici par l'ennerr [ïle ^ons'cf^rables- La capture d'un E 'e 400.000 habitants, la base prir b uu n liiaiiuun. luoot IV- nord, serait en elle-même déjà un des e faits principaux de la guerre. Le ravi-s taillement de l'ennemi en sera considé-à rablement amélioré et elle entraîne avec e elle une position de beaucoup meilleure e pour l'aile gauche allemande qui, depuis s l'été de 1915 a été embourbée dans les e marais de l'Aa. Ces gains sont d'autant , plus appréciables qu'ils ont été faits t presque sans frais et qu'en outre une grande qualité de butin a été captvrée. a Le communiqué allemand parle de mil-;- liers de prisonniers (7.500) et de 150 i- canons. à Sur le front occidental l'activité reprend et le nombre des attaques pa>" sur-e prise augmente. A différents points, sur t- le front de l'Aisne l'ennemi a tenté û'ap-é procher, mais sans succès- En Cham-e pagne l'artillerie a fait avorter une ten-e tative d'attaque par les Allemands à la ir Main de Massiges et l'ennemi ne put e quitter ses tranchées. Au nord de R'ims )- les troupes françaises ont réussi à en-a trer dans la première ligne ennemie i, Sur le front de Verdun le bombarde-1- ment continue avec grande violence iè mais jusqu'à présent il n'a pas été suivi d'action d'infanterie. ;s Sur le front anglais on ne signale au-i- cun événement important. Des deux cols tés l'aviation continue à travailler avec a ardeur et à effectuer de nombreux br>m-j. bardements, mais les pilotes allemands i- calment leur furie sur les hôpitaux der-1- rière le front ou sur des villes ouvertes. ;s L'anniversaire dei la bataille de la ; Marne (du 6 au 9 septembre 1914) a été !a célébré en France en présence du prési--e dent de la République, M. Ribot, pré-ie sident du cabinet, le maréchal Joffre, le général Pershing, chef de l'expédition r. américaine, les généraux Foch et Pé--e tain, au cimetière de Norme, où reposent des victimes de 'a bataille. ls Dans un discours éloquent M. Ribot ■a fit ressortir que le monde entier s'était 1S levé pour la défense du droit, mais si ,r la France n'avait pu arrêter l'invasion la résistance eût été inutile. En passant >s M. Ribot rendit hommage à la vaillan-|s ce de l'armée belge qui a préféré se ,e sacrifier plutôt que de commettre une félonie. r» n ie Le problème de l'Escaut le Pression allemande sur las Pays-Bas ? Washington, 6 septembre. — On rapporte dans les milieux diplomatiques que l'Allemagne exerce en ce moment une pression sur la Hollande dans le but d'induire ce pays à permettre aux sous-marins allemands d'employer les eaux de l'Escaut, de sorte qu'ils puis-IS sent avoir accès à la mer par Anvers, , où on désire établir une base sous-marine. (Réd. — En vue de l'évacuation l" possible de la côte de Flandre?) La Hollande s'est montrée jalouse de ,e ses droits sur ces eaux et, en conséquen-1_ ce, Anvers n'a été d'aucune utilité aux l~ Allemands comme port militaire. Le gouvernement allemand s'est irri-x té de cette restriction, et on croit qu'il a promet maintenant des facilités com-1 merciales d'après-guerre à la Hollande en échange du privilège cherché. — e Daily News-\sJ o—o e Déportation de la garde civique Les Nouvelles de Maestricht (6 sep-s tembre) annon cent que le gouverneur al-v lmand de Bruxelles a décidé que tous les Belges appartenant à l'ancienne gar- I de civique seront déportés dans les environs du mois prochain. e o—o s L'ambassade russe à Paris offerte à M. Konovaloff La Gazette de la Bourse dit que M. Kerens-® ky fait des démarches auprès de 'M. Kono- II valoff, ancien ministre du Commerce et de e l'Industrie, pour lui faire accepter le poste d'ambassadeur à Paris. Payez les soldats! La paie du soldat anglais augmentée de moitié 4 fr. 20 par jour ! La Daily Chronicle reçoit d'un correspondant militaire la nouvelle que le gouvernement anglais a décidé d'augmenter sous peu de cinquante pour cent la paie des sous-officiers et soldats de l'armée britannique.Le soldat anglais touche actuellement, en moyenne, 2 shillings par jour ; sa paie serait donc portée à 3 shillings, ou environ 4 fr. 20, au cours actuel du change. Le gouvernement britannique estime que les hommes qui risquent leur vie pour défendre leur pays ne sauraient être trop bien payés. Certains gouvernements coloniaux se sont déjà montrés plus larges, sans doute parce que leurs soldats peuvent difficilement profiter des douceurs que vaut au troupier anglais la proximité de ses foyers. Il y a quelque temps, la Fédération générale des Trade-Unions britanniques avait insisté auprès du gouvernement pour que la paie du soldat fût portée à 3 shillings et le mois dernier, à l'invitation de cent cinquante trade-unions, soixante députés se réunirent.en une conférence à la Chambre des Communes pour examiner la question.- L'n comité mixte, composé de six membres des Communes et de six membres de la Chambre des Lords, fut constitué pour examiner les meilleurs moyens " d'assurer une augmentation immédiate et substantielle de la paie des marins et soldats ". Ses efforts viennent d'aboutir. L'augmentation prévue entraînera une augmentation de dépenses de trois milliards et demi de francs par an. o—o La Conférence de Stockholm Nouvelles tentatives anglaises Le Comité exécutif du Labour Party s'est réuni Jeudi à Blackpool et a exprimé son " profond regret " de l'échec de la conférence socialiste interalliée de Londres pour arriver à un accord au sujet des buts de guerre et des conditions d'une conférence internationale. L'Exécutif a décidé q.ue tant qu'un accord plus ou moins complet sur les buts de guerre ne serait pas atteint la conférence ajournée du Labour et la nomination de délégués resteront en suspens, mais qu'un nouveau projet de mémoire sur les buts de guerre sera envoyé aux organisations affiliées pour que leurs membres le discutent en préparation de sa discussion à une conférence subséquente. L'ne réunion de l'Exécutif avec le Comité parlementaire du Congrès des trade-unions a demandé que le nouveau comité parlementaire tienne une réunion à Londres avec l'Exécutif le 27 septembre pour préparer une action commune en vue de la convocation d'une conférence internationale socialiste et labouriste. Le Congrès de Blackpool approuvera sans doute cette demande. Il a décidé qu'une conférence à Stockholm ne peut pas réussir, mais qu'une conférence internationale labouriste et socialiste, dans des formes à déterminer, pourrait rendre de grands services. Cette décision est l'œuvre de M. Henderson; qui trouve que Stockholm " n'est pas mort", et que l'idée qu'il renferme " a trop de valeur pour mourir". Le Congrès de Blackpool s'est prononcé pour l'adoption du système métrique en Grande-Bretagne et pour le principe du libre-échange par 2 millions 339.000 votes contre 278.000 et a voté par acclama tion une motion de M. Havalock Wilson condamnant vigoureusement la barbarie maritime allemande. o—o Les offres de paix de l'Allemagne Plusieurs journaux allemands, dont le Vorwœrts, sont mécontents de la réponse officieuse de la Gazette de l'Allemagne du Nord aux déclarations de Kerensky, qui a affirmé au congrès de Moscou que l'Allemagne a offert la paix à une alliée de la Ru ie. Le General Anzeiger, de Dortmund, dit que cette alliée est la Roumanie. Le cardinal Mercier De M. F. Gaucherand, dans le Gaulois : Dans le passé de l'Eglise, si lourd cependant de vertus héroïques, il faut remonter jusqu'à saint Léon, saint Am-broise et saint Jean-Chrysostôme pour trouver un évêque, un homme, j'alla's dire un saint, de la taille morale du cardinal Mercier. Il faut aussi remonter, il est vrai, aux Barbares et aux ignominies du Bas-Empire pour retrouver à travers l'enfer de l'histoire des forfaits qui soient comparables à ceux dont l'Europe est souillée par l'Allemagne. L'archevêque de Malines est déjà l'égal des pontifes les plus grands. Je ne crois même pas que, s'il plaisait à quelque brutej' teutonne d'ajouter un peu de sang à sa pourpre, sa personne puisse être considérablement exaltée par la suprême consécration du martyre. Le cardinal belge est pour jamais le Défenseur, défenseur insigne de la patrie et du droit. Le Defensor civitatis est dépassé. o—o Contre la séparation Le patriotisme des fonctionnaires belges Amsterdam, 1er septembre. — Les fonctionnaires belges faisant partie du contrôle chargé de la séparation administrative en Belgique et qui avaient refusé de collaborer avec les autorités allemandes, vienneint d'être! déportés1. Les fonctionnaires flamands ont été envoyés à Héverlé, les fonctionnaires wallons à Laroche. — Radio. ■ o—o La propagande allemande Le journal allemand La Paix, paraissant en français à Berlin, contient dans son numéro du 16 août une Chronique suisse datée de Genève et qui décidément porte l'empreinte... Bien qu'il ne soit pas à nous, Neutres, d'intervenir et de faire des propositions forcément empreintes de sympathie ou d'antipathie, nous devons néanmoins, par nos relations diplomatiques et particulières, favoriser toute entente en vue d'une paix qui, ainsi que l'a d'ailleurs déclaré le nouveau chancelier, puisse servir de base à une réconciliation des peuples. C'est pourquoi nous désirons voir bientôt les ennemis d'aujourd'hui entrer en pourparlers et mettre une prompte fin aux hostilités qui épuisent ceux qui seraient les vainqueurs et les vaincus de demain. La plupart des journaux de Suisse alémanique et même de Suisse romande consacrent au nouveau chancelier des articles sinon chaleureux, du moins empreints d'une bonne sincérité quant à ses brillantes capacités, à sa puissance de travail et à l'énergie de sa volonté. L'élection de M. Michaelis constitue donc un succès pour ceux qui veulent faciliter la conclusion de la paix. o—o La paix immédiate Suivant la -Zeit, M. Tusar, vice-président du Reichsrat, dans une réunion des socialistes tchèques, tenue à Brunn, a déclaré qu'il était opposé à toute annexion et a réclamé la paix immédiate. " Il faut, a-t-il déclaré, adhérer sans retard à la note du Pape." 0—0 Le plébiscite en France L'Allemagne, aujourd'hui, s'accommoderait fort bien d'un plébiscite qui lui laisserait une chance — surtout s'il était fait sous sa domination — de conserver l'Alsace-Lorraine. Mais ce serait vraiment de la part de la France une complaisance coupable et absurde d'accepter qu'on appliquât contre elle le principe qu'elle a eu le grand honneur de proclamer et d'appliquer la première. Cette initiative glorieuse est bonne à rappeler. C'est la France, en effet, qui a affirmé le droit des populations à disposer d'elles-mêmes dès 1792. Lors de la cession de la petite île de Tabago à l'Angleterre, Dumouriez, ministre des Affaires étrangères, fit insérer dans le traité une clause stipulant que la population serait consultée.C'est elle qui a appliqué le principe dans des circonstances plus importantes que la cession de Tabago. En 1860, Napoléon III et Victor-Emmanuel convinrent que la Savoie et le comté de Nice seraient appelés à ratifier les accords intervenus entre les deux souverains. Le plébiscite eut lieu le 15 et le 22 avril : Nice donna 25,000 voix pour l'annexion contre 160, et la Savoie 128,000 contre 235. L'affaire du "Bonnet rouge" Bolo Paeha et le "Journal " Des dix personnes recherchées par la Sûreté de Paris à propos de l'affaire du Bonnet rouge, quatre seulement ont été arrêtées et l'une d'elles, Almereyda, est mort dans des conditions mystérieuses. Les trois autres sont Duval, un banquier qui faisait la navette entre Paris et la Suisse avec de fortes sommes d'argent ; Joucla, sur lequel on a trouvé des explosifs, et Marion, agent de publicité du Bonnet rouge. Un cinquième personnage impliqué indirectement est une figure originale. Bolo-Pacha, car tel est son nom, est le frère de Mgr Bolo,dont les sermons faisaient courir tout Paris. Comment il devient Pacha, personne ne le sait. C'était un ami intime de M. C.aillaux. Il commen a sa carrière à Marseille en montant une société de pêcherie d'écrevisses, mais l'entreprise échoua. Il partit alors en Amérique, s'établit comme coiffeur, épousa une veuve riche, perdit sa femme, et épousa une autre veuve riche. Quand la guerre éclata il était ruiné, mais il entra en relations avec Abbas Hilmi, ex-khédive d'Egypte, qu'il connaissait et qu'il avait rencontré en Suisse, quand l'ex-khédive s'enfuit d'Egypte. Ce dernier remit Bolo Pacha à flot, de façon si considérable qu'il put financer un journal de Paris 1 pour un montant de six millions de francs. C'est en rapport avec ce dernier incident que Bolo Pacha a été arrêté. Dans le numéro du 5 septembre, M. Charles Humbert, directeur' du Journal, proteste vigoureusement contre la suggestion que Bolo Pacha ait jamais eu l'occasion d'influencer la politique de ce journal. S'il a accepté de M. Paul Bolo un prêt de 5 millions 500.000 francs, écrit M. Humbert, c'est parce que M. Bolo se réclamait d'une personne hautement qualifiée à tout point de vue par la nature et l'importance de ses fonctions pour lui servir de répondant. " Mais qu'on m'entende bien, ajoute M. Humbert, si je suis-le débiteur de Bolo et si je le reste par loyauté jusqu'au jour où la justice me dira qu'il est coupable, je ne suis pas son garant. Je laisse ce .soin à la personnalité considérable dont je parlais tout à l'heure et qui affirme toujours, avec la même conviction et la même ténacité, que l'honneur et le patriotisme de son ami ne peuvent pas être suspectés." Comme je ne dispose pas de$ mêmes éléments de confiance et de certitude, je suis contraint de m'en remettre à la justice. " Je trouve seulement son action bien lente. On me permettra de dire qu'une information de cette gravité traîne. en longueur quand elle reste ouverte "depuis sept mois sans aboutir. Il y a au moins trois mois que Bolo devrait être ou absous ou fusilîé." M. Humbert dit encore qu'il prend toute la responsabilité pour un article publié il y a assez longremps à la louange de M. Hearst (propriétaire d'un nombre considérable de journaux américains .proallemands) et justifie son article par les éloges inattendus que M. Hearst a faits de la nation française. L'Œuvre ajoute que l'enquête au sujet de l'incident du payement-des six millions n'a donné aucun résultat pour ce qui regarde la Suisse, mais l'enquête se poursuivra énergiquement pour ce qui regarde les Etats-Unis. Le Petit Journal écrit que Joucla était en relations avec le chef de l'espionnage allemand en Espagne. * Il -avait aidé à fonder le journal germanophile,La Vérité, publié en français, et portait dans sa valise des épreuves du Bonnet rouge qui avaient été prohibées en-France et qui furent peu de temps après. publiées par la Vanguardia,- à Barcelone, et par la Vérité. 0-^0 L'encadrement dans l'armée allemande Les derniers combats ont montré que l'encadrement en officiers paraît faible aujourd'hui dans l'armée allemande. Alors qu'autrefois, jusqu'en 1916, les compagnies comprenaient généralement trois, même quatre officiers, elle ne comprennent plus actuellement que deux officiers en moyenne. Les - compagnies qui ont trois officiers sont l'exception. Les bataillons sont généralement commandés par des capitaines, les compagnies par des sous-lieutenants.

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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