La pensée: organe hebdomadaire de la Fédération des sociétés belges de libre pensée

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s.n. 1914, 03 Mei. La pensée: organe hebdomadaire de la Fédération des sociétés belges de libre pensée. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/6d5p84519s/
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Dixième innée. N° 482 CINQ CENTIME» LE NUMERO Bruxelles, le 3 Mai 1914 La Pensée I Organe hebdomadaire delà Fédération des Sociétés belges de Libre Pensée ABONNEMENT ANNUEL : j * ; ' ; ^ on s'abonne a tous les bureaux de poste. RÉDACTION : 350, Chaussée de Boendael. Rédacteur en Chef : Eugène HINS ANNONCES i On traite à forfait. Pour 1» vente, abonnements, annonces, s'adresser à M. A. Alixandxx, Administrateur-délégaé ADMINISTRATION : 13, Rue du Oaiomètre. FÉDÉRATION NATIONALE DES SOCIÉTÉS DE LIBRE PENSÉE Le trésorier national informe les trésoriers des fédérations et groupes affiliés que, sauf avis contraire de leur part, il leur adressera quittance postale pour le montant des cotisations aux fédérations internationale et nationale vers le 15 mai prochain. Il espère que bon accueil y sera réservé. Il croit devoir rappeler que, suivant l'art. 5 des statuts, n'ont droit de vote au congrès que les groupes ayant acquitté leurs cotisations fédérales. Le règlement sera strictement appliqué. Pour le Conseil Général: Le trésorier, Le secrétaire, L. VAN BRUSSEL L. VERTONGEN rue du Canal, 70, Louvain. Conférences du Camarade Jean Robyn Bois-d'Haine. — Fête du 1er mai. — Vers le Bonheur par le Socialisme et la Libre Pensée. La Croyère. — Dimanche 3 mai. Trivières. — Dimanche 10 mai à 5 h. Bois—du-Liic. — Dimanche 30 mai à 3 heures. vw«w Pour l'airaiiÈseMt ie l'OrptoM Rationaliste 35e LISTE DE SOUSCRIPTION Total des 34 1res listes 29,989.88 Collecte faite par les dames du Cercle des X à la représentation de la Libre Pensée à Elouges 29.90 « L'Emancipation», Société de Libre Pensée de Vilvorde 10.00 Des employés de l'Administration communale de St-Gilles 25.00 De «La Gazette» 5.00 M. L. Callewaert, Anvers 20.00 Total 30,079.78 Les souscriptions peuvent être envoyées à Mme Emile Royer, trésorière de l'O. R.„ 131, rue du Tyrol, St-Gilles. POUR L'ORPHELINAL RATIONALISTE Un envoi de timbres-poste par Hélène P. /AVWW lia Manifestation Mary A CKARLEROI Nos lecteurs auront été étonnés que, dans notre dernier numéro, il n'ait pas été question de la manifestation du 19 avril; c'est que nous avions compté sur un camarade, dont nous avons vainement attendu la prose. Nous croyons utile ,malgré le retard, d'en . donner au moins un compte-rendu succinct.On sait que le soldat Mary ayant été puni de huit jours de prison pour avoir refusé, étant libre penseur, de présenter les armes au Saint-Sacrement, la Fédération rationaliste de Charleroi a décidé de frapper une médaille en commémoration de cet acte de courage civique eL d'en faire solennellement la remise à son auteur. Donc le 19 avril, à Charleroi, un imposant cortège se formait autour des squares de la gare. Lorsqu'il se mit en marche, on vit défiler, derrière le drapeau de la Fédération de Charleroi, les Libres Pensées, avec drapeaux aussi, de Charleroi-Nord, Charle-roi-Broucheterre; Gilly, avec sa Jeune-Garde, Charleroi-Nord (J.-G.), le Cercle Flamand de Charleroi-Nord, le Syndicat Flamand, Châtelet, Piéton, Jumet, Sart-les-Moines ,Marchiennes, Monceau, le Cercle dramatique et la Jeune Garde de Carnières, Marchienne - Docherie avec aussi la J. G., Ham- sur -S ambre, Dampremy (La Plébéienne et le Réveil), Anderlues, Courcel-les, Farciennes, Pironchamps, Couillet, Mar-cinelle, Jumet-Houbois, Jumet-Centre, Na-linnes, Jumet-Gohissart, Jeune Garde, Libre Pensée et Syndicat des mineurs Gosse-lies, Châtelineau (Libre Pensée et Jeune Garde), Montigny-Neuville, Wanfercée-Bau-let (l'Emancipation et La Lumière), Fleuras Souvret, Roux, et nous en omettons sans doute, Bruxelles 1854, la Fédération Bruxel- 1 loise, Mons, Jemappes, Quaregnon, LaLou-vière, etc. Le cortège se dirige vers la Bourse, dont la salle est bientôt envahie. A la tribune, prennent place autour de Ju-! les des Essarts, les citoyens Royer, Chapeau-ville. L. Vertongen, Lekime. Lambillotte, Fa-lony, Souplit, O. Gilbert', Masquélier, Cavrot, Caeluwaert etc., etc. Le citoyen Alfred Dubois s'était fait excuser. Le citoyen Mary est encadré des citoyens Emile Royer et Jules des Essarts. Et nous remarquons le sculpteur De Bremaecker, l'artiste qui grava la médaille que l'on va remettre à Mary et qui commémorera; non seulement pour lui, mais pour tous les souscripteurs, le souvenir de la manifestation d'aujourd'hui. Avant que la séance soit ouverte, et tandis que l'on continue à s'entasser dans la salle, soudain deux citoyennes montent sur la scène et viennent se placer auprès de Mary. Ce sont la mère et la sœur du héros de la journée. A ce moment, l'assemblée qui vibre d'impatience, du rez-de-chaussée aux galeries, également encombrées, part, tout à coup, en des vivats sans fin: Vive Mary! Et on applaudit. Des Essarts prend ensuite la parole. Il magnifie le geste du petit soldat qui n'a pas cru qu'on eût le droit de violer en sa personne, parce qu'il portait l'uniforme militaire, les droits du citoyen, la liberté de conscience et les garanties de la Constitution. Il annonce que des milliers de jeunes hommes, des futurs soldats, appuyés^ approuvés, stimulés par leurs pères, leurs mères, leurs sœurs, ont par avance manifesté et signé leur volonté de ne pas s'incli- ; ner devant la tyrannie cléricale. Emile Royer monte après lui à la tribune. De son discours, qui a été reproduit en entier, ainsi que les autres, dans le «Journal de Charleroi», nous tenons surtout à fixer ici le passage qui tombe en plein sur les «Religion affaire privée» : «D'aucuns s'efforcent de nous avertir par tous les cas et modes imaginés en Germanie, que les phénomènes "économiques ont seuls de l'importance ; ils veulent réaliser de plus en plus l'unité ouvrière par et pour la revendication de meilleures conditions de travail, et ils ne s'aperçoivent pas que cette unité ouvrière, fille de la solidarité, est «pensée» tout autant que matérialité historique; ils demeurent sans colère et sans mépris devant les affirmations qui retardent sur le savoir humain et dont la magie ne sert plus qu'à tromper les foules: ils se sont fait de la courtoisie une élégance dont la démocratie paie les frais: ils ont prostitué l'appellation de tolérance aux complaisances les plus lamentables et à l'indifférence la plus égoïste. » Mais toi. petit soldat Mary, tu nourris en ton cœur le feu sacré de l'idée libératrice; sous le harnais, tu prétends rester un homme; les besoins de ton cerveau ne sont pas moins impérieux que ceux de Lon estomac; tu ne peux vivre sans la joie fière de penser librement et de conformer tes actes à ta pensée; plutôt que d'infliger à ta volonté probe et droite le fléchissement de l'hypocrisie, tu te laisserais rompre les os: tu aurais, comme Guillaume Tell, refusé de saluer le chapeau de Gessler; tu ne pouvais davantage rendre les honneurs militaires à ce qui n'est pour toi que le symbole d'une tyrannie intellectuelle et morale où s'appuie l'exploitation dont souffre ta classe.» Notre ami et collaborateur Vertongen. délégué de la Fédération Nationale, a fait ensuite la critique de la loi militaire et de la cléricalisation de l'armée. Le docteur Chapeauville salue, dans le soldat Mary, une «co-victime». Pour s'être refusé à saluer le Saint-Sacrement, comme de se mettre aux ordres du doyen d'Arlon, il a été mis prématurément à la retraite. Il termine en "disant: «Que tous ceux qui ont le souci de leur dignité luttent pour le renversement du gouvernement qui veut mettre la main sur la pensée et la dignité des citoyens.» 'Alors, en un discours ému, Jules des Essarts fait remise de la médaille au héros de la fête au milieu des bravos unanimes.. Mary remercie, et la foule se retire aux cris de «Vive le suffrage universel!» Comme l'a dit Jules des Essarts, «le geste du soldat Mary est une semence jetée sur une terre fertile où elle germera et où mûrira la moisson de liberté dans un avenir prochain.» ' — MSVAV La Revanche .du Docteur Chapeauville Le docteur Chapeauville a tenu sa promesse: dans une série d'articles parus dans «Le Peuple», il a, en s'appuyant sur une série de documents irrécusables, démontré la mauvaise foi de ses adversaires; il a exposé en pleine lumière la campagne de délation honteuse, de mesquines chicanes qu'on a menée contre lui, ainsi que le manque de caractère d'un ministre qui, ou bien s'est laissé berner par ses subordonnés, ou bien se fait l'instrument des basses vengeances du clergé. Ne disposant pas de la place nécessaire pour rtyjroduire ces pages vengeresses, nous voulons au moins en donner la conclusion: « Après ce long exposé, indispensable pour mettre les choses au point, résumons: «Depuis très longtemps, sans qu'on ait jamais eu la franchise et l'honnêteté de me dire pourquoi, je n'ai pas eu l'heur de plaire A CERTAINS CHEFS du service de santé; ajoutez à cela que, sans imposer ma manière de voir à qui que ce soit, je n'ai jamais eu de raison pour cacher mes opinions sur les religions et sur les abus que commettent en leur nom les cléricaux sectaires de tous les cultes et de tous les gouvernements; j'étais devenu, pour ce motif. encombrant et peu apte, dans mes fonctions de médecin, chef de service, à distribuer les faveurs, congés ou certificats, que sollicitaient, pour des raisons extramédica-les, des politiciens en mal d'électoralisme » L'aumônier de la garnison d'Arlon critiqua sans compétence les régimes alimentaires, incita les soldats à faire envoyer par leurs parents à l'autorité militaire des lettres qu'il reconnut avoir dictées derrière mon dos; je me plaignis de ces procédés malpropres. » Cela vous donna l'occasion, Monsieur le Ministre^ d'affirmer à la Chambre, le 7 et le 20 août qu'une enquête était ordonnée, alors que ce n'était pas vrai, puisque cette enquête n'a été prescrite que le 23 août (Voir la lettre du général-major Vermeulen). ■» En cherchant à vous justifier devant la Chambre, vous avez parlé d'une punition et j'ai pu expliquer sa genèse. Elle n'est pas à l'honneur du régime que nous subissons ; »Vous avez eu recours à des notes remises sur mon compte par des chefs (Mallier et Winand). qui n'ont jamais eu le courage de m'en parler; » En citant Molitor. vous vous êtes faifr l'écho de calomnies ou, si vous aimez mieux, d'appréciations reconnues sans fondement et déclarées telles par le ministre de la guerre Hellebaut (Voir la lettre de ce dernier en date du 13 novembre 1909); » En écrivant votre lettre relative à l'excédent de charbon que l'intendant n'avait pas constaté avant sa visite du 4 octobre, excédent dont vous cherchiez à me rendre responsable, vous n'avez pas eu le beau rôle ; » En citant le rapport Mélis, vous n'avez pas tenu compte des appréciations flatteuses remises à mon sujet par les autorités militaires, et par un inspecteur COMPETENT;» L'incapacité professionnelle dont vous parlez et qui constitue pour moi un ouh trage n'existe donc pas, et il appert, Monsieur, que j'ai été frappé à cause de mes. convictions philosophiques;. Tout le reste n'est que vain prétexte et maladroite comédie.«Prenons ce que vous dites à la Chambre-, Je copie pages 1698 et 1699: «En présence » des conclusions émises par les chefs tech-» niques, j'aurais pu mettre Mi Chapeauville » à la retraite pour cause d'incapacité mo-» raie, d'après le 1° de l'art. 2 de la loi » du 24 mai 1830.» (C'est 1838 monsieur, et pas 1830.) »Je me suis borné à l'écarter de l'armée » en vertu du 3° de ce même article. Les » médecins militaires doivent inspirer la con-» fiance à ceux qu'ils sont chargés de soi-» gner. Ils ne doivent pas dire qu'un malade » est atteint de simples «bobos», alors qu'il » est atteint d'une affection grave et le pri-» ver de la moitié de la ration militaire. » Aussi je me demande quelle peut être la » mentalité de pareil médecin?» » Eh bien, je me pose à votre endroit la même question. Autant de mots, autant d'inexactitudes; et quand vous parlez du paragraphe de l'article de la loi que vous m'avez appliqué, pourquoi méconnaissez-vous encore la vérité? Ce n'estjias en vertu du 3o de l'article que vous m'avez écarté, votre affirmation de mansuétude est hors de saison. C'est en vertu du «primo» que vous m'avez frappé. Je copie dans votre lettre du 5 décembre 1913 1er bureau, n. 4; « Monsieur le Lieutenant général, » J'ai l'honneur de vous prier de bien » vouloir mander au médecin principal de » 2e classe Chapeauville, H. M. de l'hôpital » d'Arlon. qui ne réunissant plus l'ensemble » des conditions indispensables pour l'exer-» cice intégral des fonctions dont il est re-» vêtu, je le proposerai au roi pour être » admis à faire valoir ses droits à la pen-» sion de retraite à la date du 30 décembre » 1913 par application du lo de l'art. 2 de la » loi du 24 mai 1838. » Le Ministre de la guerre, » (s.) BROQUEVILLE.» L'art. 2 de cette loi dit: «Le roi a la faculté de mettre à la pension de retraite: » 1. Les militaires qui comptent trente années de service effectif, et qui sont reconnus hors d'état de continuer à servir; » 2. Ceux qui ont quarante années de service et qui en forment la demande; » 3. Ceux qui ont atteint l'âge de cinquante-cinq ans accomplis.» » Pourquoi vouliez-vous, à la Chambre, vous donner les airs d'un homme qui a usé de ménagements? » L'opinion publique nous jugera avec impartialité. J'ai quitté l'armée sans regret, grandi par les atteintes d'un sectarisme clérical ne faisant doute pour personne, et j'ai la satisfaction de marcher haut la tête, en disanjt à qui veut l'entendre que je n'ai pas ramassé mes galons et mes broderies dans les cours ou dans les sacristies. » Noté comme esprit frondeur et indiscipliné, je ne dois rien aux bassesses, aux démarches, à la flagornerie. » Je vous aurais dit tout cela si, avant de me frapper, vous aviez pensé à m'entendre et à me demander de m'expliquer. » Je termine en émettant l'espoir qu'à bref délai, une loi, devenue indispensable, institue un conseil d'Etat ou un tribunal quelconque, devant lequel les victimes puissent en appeler de l'attitude des ministres à leur égard. Dr H. CHAPEAUVILLE, Médecin principal.» —— • • • Aventures extraordinaires DE DEUX MORTS VIVANTS CHAPITRE VI. Comment Messire de Villeneuve rencontra Madame la Comtesse du Béril. qiui était en même temps sa maîtresse et celle du curé et comment ils virent Dieu. Ils flottaient toujours dans le vide. Messire de Villeneuve demanda au curé Pansu ce qu'il pensait du Paradis. Le curé lui dit; — Mon ami, pour vous dire la vérité, j'apprécie beaucoup le ciel, mais je l'aimerais davantage s'il y avait moyen d'y manger de temps en temps une bonne dinde arrosée des meilleurs crus de Bourgogne. — Mon cher curé, lui répondit Messire de Villeneuve, je constate que si je n'ai pas perdu mon habitude de raisonner, vous n'avez pas non plus abandonné votre défaut principal qui était la gourmandise. Or, sachez que, si les hommes meurent sur la terre, c'est parce qu'ils y mangent. Ici, l'on ne mange plus et c'est pourquoi, mon cher curé, sans vous nourrir, vous vivrez à présent la vie éternelle! Ici, plus de vins de Bourgogne, plus de faisans, plus de dindes, plus de poulet aux petits pois, plus de perdrix, plus de lièvre, plus de boudins, plus de tripes, plus de tartes délicieuses ni de moka parfumé. Le tabac... est inconnu. Ainsi, plus de fins havanes, plus même une bouffarde! Plus de jeux non plus, plus de quilles, plus de dominos, plus de tric-trac, plus de cartes! Plus de livres... plus rien!... Et voilà votre ciel ! — Le Seigneur a bien fait ce qu'il a fait, repartit le curé, mais quoique je n'aie pas la prétention d'être plus intelligent que Dieu, j'aurais créé le séjour des élus avec plus de choses attrayantes. J'en aurais fait un parc avec des fleurs de toutes sortes, de&.

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Dit item is een uitgave in de reeks La pensée: organe hebdomadaire de la Fédération des sociétés belges de libre pensée behorende tot de categorie Culturele bladen. Uitgegeven in Bruxelles van 1905 tot 1974.

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