La tribune congolaise et La gazette west-africaine

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s.n. 1914, 07 Mei. La tribune congolaise et La gazette west-africaine. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/qv3bz62f2w/
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Jeadi 7 Mai 1914 le Numéro : 10 centimes (tiranger : 15 centimes) 13 me Année N* 11 LA TRIBUNE CONGOLAISE ET LA GAZETTE WEST-AFRICA1NE. Hletociom.aca.SLir© Directeur : JEAN PAUWELS VILLA S Y L V I A, Avenue des Cottages VI EUX-D1EU-lez-AN VERS Les manuscrits ou articles non publiés sont détruits. La plus grande discrétion est assurée à nos colaborateurs ou correspondants. Tous droits réservés. ÎTTW*? ^BO^XTKTEIVIEISrTS Belgique , « (r. 5.— Union postale ! PaVables en un mandat-poste international de . , fr. 7.50 PAYABLES PAR ANTICIPATION Nos Correspondances Lettre de Kinshasa L'assemblée générale fie la Chambre de Commerce du Stanley-Pool. —Les vœux émis. — Réélection du comité. (De notre correspondant particulier) Kinshasa, le 13 avril. La Chambre de Commerce du Stanley-Pool s'est réunie en assemblée générale, le 12 avril. Au cours de la réunion, deux vœux ont été émis, le premier relatif à la liste des transports, le second, qui présente en ce moment un grand intérêt, relatif au développement de l'agriculture. Voici le texte du premier vœu : La Chambre de Commerce du Stanley-Pool réunie en assemblée générale le 12 avril 1914 : Considérant que l'obligation des listes de transports crée de réels empêchements à la liberté des transactions ; « Que faute de ce document, qui s'égare ou se perd aisément dans les trahsports de longue distance par les voies les plus diverses, les produits sont fréquemment immobilisés, même saisis et confisqués ; Considérant que lès produits devraient pouvoir voyager librement au Congo belge, et faire sans formalités l'objet des transactions, ainsi qu'ils le peuvent, de façon absolument générale, dans toutes les autres colonies du bassin conventionnel du Congo; Considérant que le contrôle qui pouvait exister jadis par ce document ne se justifie plus, puisque les taxes et droits sur les produits sont payables au moment de l'exportation ; Qu'en effet les taxes domaniales sur le caoutchouc ont été supprimées et remplacées par un impôt unique frappant également le caoutchouc lécolté dans les forêts domaniales, et celui provenant des terres appartenant à des propriétaires ; Que les droits de sortie et la taxe de replantation sont les seules taxes, actuellement suspendues du reste, qui frappent le caoutchouc, et sont perçues à l'exportation-;Que l'ivoire ne paie plus présentement d'autre taxe, que les droits de sortie et celles fixées par l'ordonnance n. 145 2 du 10 octobre 1913, payables au moment de l'exportation ; Que le copal et les autres produits ne paient que les droits de sortie exigées lors de l'exportation ; Considérant qu'il est donc établi qu'il importe peu au contrôle des exportations de connaître le lieu d'origine des produits; Que l'obligation de la liste de transport subsistant d'un ancien régime ne se justifie plus dans cette colonie, où la Belgique apporte un régime de liberté et de protection commerciale ; Considérant que si la mention du lieu d'origine peut être utile à l'inspection du caoutchouc, elle peut être exigée sur les borderaux d'origine d'expédition de ce produit ; Emet le vœu De voir supprimer prochainement l'obligation de la liste de transport modèle C prescrite par l'article 14 du décret du 22 juillet 1897 et par l'ordonnance n. 56/3 du "14 février 1913. * * * Voici le texte du second vœu relatif au développement de L'agriculture : La Chambre de Commerce du Stanley-Pool réunie en assemblée générale le 12 avril 1914 ; Considérant que l'action gouvernementale et l'activité commerciale doivent créer, à bref délai, de nouvelles ressources d'exportation; Que les efforts dans cette voie doivent tendre vers le développement de l'agriculture, qui, par des conditions naturelles du sol, du climat, et un programme bien tracé, peut assurer, en peu d'années et sans aucun doute, raie prospérité considérable à, notre colonie ; Considérant que ce développement agricole doit être cherché autant dans les exploitations établies par les Européens, que dans les cultures indigènes ; Considérant que le gouvernement a déjà attribué des avantages spéciaux à des concessions de terres pour de grandes entreprises ; Que de semblables avantages devraient faire l'objet d'un régime général accessible à tous, et encourageant les initiatives, sans qu'il soit besoin de les obtenir d'un décret spécial; Considérant que l'essor économique cherché ne peut pas provenir uniquement de l'établissement de quelques grandes installations agricoles, mais sera surtout assuré par le nombre et la multiplicité des petites exploitations ; Considérant que les colonies anglaises jouissent du régime des «Homesta>eds» qui comprend l'autorisation d'occuper un premier lot de terres, amenant : 1. la propriété gratuite, dès que la mise en valeur a été accomplie, et 2. l'autorisation d'occuper une nouvelle étendue dont la mise en valeur conduit à la propriété définitive moyennant une faible taxe; Considérant que les colonies françaises jouissent pour les exploitations agricoles d'un régime de concessions domaniales dont les caractéristiques se résument comme suit : Concessions n'excédant pas 200 hectares attribuées par les lieutenants gouverneurs; celles jusqu'à 10,000 hectares attribuées par le gouverneur général : accordées sur simple demande, après affichage de 2 mois, dans le délai d'un mois. Les frais de délimitation fr. 0.50 par hectare sont déposés avec la demande. Les taxes sont : 5 centimes par hectare pendant les Ire et 2e années; 10 centimes la 3e et 4e année; 20 centimes la 5e année ; 30 centimes la 6e année. Le titulaire est tenu à un commencement d'établissement dans les 6 mois de la concession provisoire ; Toute cession du droit de concession provisoire est soiimise à l'approbation du gouvernement; La mise sn valeur comporte la création de cultures ou plantations, régulièrement entretenues, du quart de la surface concédée. Elle doit être réalisée dans les 6 ans sous peine de déchéance. Son accomplissement constaté amène l'attribution de la pleine propriété, sans autre coût que celui du bornage et de l'immatriculation ; Après trois ans, le concessionnaire peut demander l'octroi en toute propriété d'une étendue égale à 4 fois celle mise en valeur, et celle-ci atteint la 8me de la superficie concédée. Des concessions rurales de 50 hectares au plus peuvent être octroyées, à seule charge de mise en valeur, aux indigènes à titre individuel ou collectif. La mise en valeur amène la pleine propriété aux conditions susdites. Toutefois les indigènes ne peuvent vendre qu'avec agrément du gouvernement, et sous réserve de 3 hectares inaliénables. Considérant qu'un régime semblable de concessions provisoires, transformables en propriétés définitives par la mise en valeur, constituerait, en ces temps propices, un stimulant certain aux entreprises agricoles et donnerait une réelle impulsion aux initiatives, tant de la part des colons que des indigènes ; Considérant qu'en dehors de quelques grandes concessions agricoles ou industrielles naissantes, dans l'état présent des choses d'immenses territoires restent en jachère, laissant inexploitées les ressources d'un sol riche, au lieu de les rendre accessibles aux produits nouveaux d'exportation qu'il faut créer pour assurer l'avenir; Considérant que c'est par le développement de la culture indigène que le but poursuivi sera le plus facilement atteint, parce que le coût élévé de la main-d'œuvre obligera les colons à recourir souvent à l'exploitation mécanique et parce que l'indigène ne doit pas compter de frais généraux ; Qu'un régime de semblables concessions fixera l'indigène au sol, développera en' lui la notion du travail, l'enrichira en même temps qu'il fera croître le mouvement du commerce intérieur et augmentera les exportations : Considérant qu'à côté de la création de ce régime de petites concessions agricoles ,il faut assurer l'éducation agricole de l'indigène, lui enseigner les méthodes rationnelles de culture, l'amener à créer un grand nombre de petites exploitations, lui faire comprendre le profit qu'il en pourra tirer; Considérant que ces résultats qui doivent être atteints rapidement, ne pourront s'amener que par l'union générale des efforts de tous les résidents, fonctionnaires, missionnaires, colons, factoriens et agents commerciaux ; Que cette union d'efforts enseignera rapidement aux chefs indigènes ou à des sujets bien choisis, les indications et méthodes pratiques de culture, 'eur démontrera l'intérêt qu'ils y trouveront, et la richesse qui leur apportera la propriété individuelle qu'aura emenée leur travail ; Emet le vœu : De voir créer à bref délai au Congo belge ,un régime de petites concessions agricoles accessibles aux Européens comme aux indigènes accordées sous condition de mise en valeur, sous faibles redevances ou à titre gratuit ; la mise en valeur réalisée, amenant la propriété individuelle et définitive. Que dans chaque mission, dans chaque station de l'Etat, dans chaque factorerie de l'intérieur, des parcelles soient attribuées à titre gratuit et précaire, à l'éducation agricole de l'indigène pour la création de cultures variées, sous contrôle des agents de l'agriculture et des inspecteurs du Commerce et de l'industrie.Que la colonie fournisse gratuitement, pour ce but d'éducation agricole, les graines nécessaires et des notices enseignant les meilleures méthodes ; Que dans les centres d'éducation agricole les plus favorables parmi ceux ainsi crées, la colonie fournis-nisse l'usage d'animaux de trait éventuellement pris parmi ses troupeaux et des instruments agricoles. * * * L'assemblée a ensuite réélu ,pour un terme de 2 ans, son comité comme suit: Président: M. P. Hau-zeur; premier vice-précident• M. Guillaume; deuxième vice-président: M. Mena Viera; secrétaire: M. Van Hougaerden; trésorier: M. Denner; secrétaire adjoint: M. L. Vitta; trésorier adjoint: M. Nielsen ; premier commissaire: M. Oesta; second commissaire: M. Vianna. Lettre de Léopoldville A Pool-Attractions. (De notre correspondant particulier) Léopoldville, le 13 avril. Dans le but d'être agréable à ses membres, le comité de «Pool Attractions» les avait conviés à un souper organisé le 12 avril à l'occasion des fêtes de Pâques. Cette petite fête intime eut lieu à la Franco-Belge dont le bar avait été mis à la disposition du cercle par M. Carletti, le gérant de cette factorerie. Tous ceux qui sont passés à Léopoldville, savent combien ce local est agréable; c'est le plus beau et le plus confortable ici. Contrairement à l'usage séculaire, les tables n'avaient pas été dressées en fer à cheval ; elles étaient réunies en une vaste- circonférence dont le centre était garni de palmiers et des fleurs. Cette disposi tion originale, réunissant tous les convives à une même table, (La Table Ronde), présenta se grand avantage de ne plus isoler personne ; d'autre part la gaité de chacun se communique plus facilement à ses voisins, 1? rire étant enfermé dans un cercle est comme un courant électrique dans un. circuit. Indépendamment des palmiers et des fleurs répandus à profusion, de nombreux drapeaux de tous pays et des lanternes japonaises achevaient de donner à la table un aspect magnifique. Sur la table des fleurs encore... et des œufs de Pâques de toutes couleurs. Une partie de la verandah avait été isolée pour servir de fumoir. Après l'appéro, chacun fit honneur au souper dont le menu fut très apprécié. Le voici pour les ama-te jrs : . Potage tortue aux truffes Caviai- Foie gras, Pain grillé. Asperges de Malines aux œufs de Pâques Rôti de veau. Petits Pois. Pommes isolées Cannetons de Léo. Salade. Crème glacée à la Vanille, gateaux, Fondants Café Graves 1907, St.-Julien, Champagne. Au Champagne, le président y «alla» de son petit speech obligatoire, puis pendant qu'on sirotait le moka, sur la vérandah, des tables furent démontées, transportées et une petite sauterie fut organisée pour les amateurs, d'exercices chorégraphiques, valses, two steps, farandoles etc.... se succédèrent ainsi jusqu'à 2 heures du matin. Il y a lieu de féliciter le nouveau comité pour la réussite de cette petite fête, un nouveau succès à l'actif de Pool-Attractions et de remercier M. Carletti qui y a contribué pour une très large part. Mention spéciale à Mme De Brouvver qui est le' boute-en-train de toutes les fêtes ; très musicienne et douée d'une belle1 voix elle se dépense sans compter pour le plus grand agrément de ceux qui l'écoutent. Infatiguable et obligeante elle chante, accompagne, danse et fait danser Le nouveau comité auquel nous devons également le corso fleuri est ainsi composé : Président : M. Thibaut, administrateur territorial, qui est parmi nous depuis peu. Il vient de Borna où il faisait partie du Photo-Club. Dès son «avènement» à la Présidence, M Thibaut s'est occupé de réorganiser la section dramatique. Celle-ci donnera un concert en mai. Trésorier : Le sympathique M. Nielsen, négociant, ex-directeur de la Maison Anglaise — très gentlemen — n'a pas tardé à donner les meilleures preuves de son attachement à P. A. en se dévouant à la réalisation de son programme Secrétaire : M. Jacques, géomètre du cadastre. Commissaires: MM. Van den broeck, Marnier, Sabana. Lettre de Coquilhatville Fondation d'un cercle d'agrément à Coquilhatville. (De notre correspondant particulier) Coquilhatville, le 25 mars. Depuis longtemps déjà, la nécessité se faisait sentir à Coquilhatville, de procurer aux agents de l'Etat ainsi qu'à ceux des sociétés, l'occasion de se réunir régulièrement pour apprendre à se connaître et établir entre eux un courant de sympathie et de relations cordiales. Rien de plus pénible, en effet, dans une station d'une certaine importance, que d'assister au lamentable spectable de l'isolement, de l'individualisme poussé à l'excès ou, ce qui est pire, de menus groupements unis par un sentiment mesquin de dénigrement et de critique. Est-il besoin d'insister sur les désastreux effets de la nostalgie, que d'autres ont appelé le «cafard» ? Quoi de plus triste sur le sol d'Afrique, que cette manie de jeter à son prochain les flèches sournoises de la malveillance et de l'ironie. Comme l'expérience a démontré que la plupart du temps il ne s'agissait que de malentendus, qu'il n'existait entre les blancs d'une station aucune raison sérieuse de déblatérer systématiquement les uns contre les autres, que seuls l'isolement, le manque de distraction et parfois aussi l'étroitesse de vue, provoquaient cet état d'esprit, il a apparu aux yeux de la plupart qu'il fallait mettre un terme à cette vie sans idéal, qui fatalement devait couronner la misanthropie. Quelques esprits avisés ont, à cette fin, pris l'initiative de la fondation d'un cercle d'agrément où les défiances viendraient se dissiper par le contact des membres épris de concorde et d'union; la discussion des avantages du cercle, le délassement naturel pour l'esprit, la détermination d'un programme des fêtes, l'enthousiasme que ces dernières provoquent, n'est-ce pas là un aliment à l'intelligence enlisée dans la besogne journalière? Ces réunions, où chacun est assuré de trouver des amis prêts à partager ses joies comme à le consoler de ses infortunes, quoi de plus humain ? Aussi l'idée de la création d'un cercle rencontra-t-elle une adhésion quasi unanime; à cette œuvre s'attachèrent notamment le commandant Gamerra et M. Rouma-che, directeur de la Société Equatoriale, qui, grâce à de persévérants, efforts, réussirent rapidement dans l'installation d'un établissement magnifiquement situé au bord du fleuve. En attendant l'inauguration de ce dernier, les premières réunions se tinrent dans un local improvisé, mis gracieusement à la disposition du cercle par M. Roumache; plusieurs fêtes, réussies en tous points, Y.-3^YTr.l« ■ I M I ■ l II llimi—CII—LJ ont, par des morceaux de musique et des chansons, ouvert l'ère de l'union entre personnes qui ont appris à se connaître. Ce fut l'occasion de constater la bonne volonté qui se manifesta sous toutes ses formes : les uns s'ingénièrent à décorer le local avec une grâce et un imprévu tout à fait charmants; les autres n'hésitèrent pas à faire apprécier leur talent dans la romance ou la déclamation; il en est d'autres qui so révélèrent musiciens et qui réussirent à faire danser tout ce public naguère indifférent. Bref, la solidarité des intérêts, <. mme celle du but poursuivi éclata dans une apothéese de joie et de rires; chacun se retira satisfait, 1 ercé par l'espoir d'une réunion prochaine. Félicitons les promoteurs de cette heureuse initiative et en particulier MM. Gamerra et Roumache, d'avoir dissipé cette atmosphère, dans laquelle s'amoindrissaient et l'intelligence et le cœur. Il estinterdit de reproduire nos correspondances, à moins d'en indiquer la source. Nos Informations Les partants du 14 mai. — S'embarqueront égale-mont le 14 mai, à 6 heures du matin, à bord de la malle congolaise «Anversville» : Pour le ministère des Colonies: (2e liste): MM. Groven, receveur des impôts de 2e classe, (4e départ), du Monceau de Bergendal E. vérificateur des impôts de 2e classe, Grégoire L. J. commis le classe du service des Impôts (2e départ), MM. Tack, P. F., Degryse, J. H. E. P., Degroodt R. C., Manchel P. E. E. et Soulet E. E. J., commis de Ire classe du service des Impôts (1er départ), Herinckx J. Magistrat provisoire (1er départ), Gaspart magistrat provisoire (1er départ)^ Fostroy, agent d'administration de 3e classe, (3e départ), Gramme, 1er sous-officier armurier (4e départ), Lombaerts sous-officier (2e départ). Pour la Cie du Kasai : MM. De Mayer capitaine de •steamer (2e départ), De Vos, Georges, capitaine de steamer 2e départ),Duchesne Max, adjoint de 2e clas-classe (1er départ), Dufour Aimé, adjoint de 2e classe (1er départ), \ ansintjan Gustave, adjoint de 2e classe (2e départ). Pour le Katanga. -— S'embarqueront à Southamp-ton, le 9 mai: MM. Delaey J. F., géomètre du cadastre de 2e classe (2e départ) et Tombeur C. inspecteur d'Etat (4el départ). S'embarqueront à Boulogne s/Mer, le 13 mai, en destination du Katanga: MM. \ osselli A. E. C. vérificateur des impôts de Ire classe (3e départ), De Coen M. H. et Schaltin G. A., commis de le classe du service des impôts (1er départ). S'embarqueront à Anvers, via Capetown, le 31 mai : MM. Croisier F. C. sous commissaire de police (1er départ), qui sera accompagné de sa femme, M. Gen-nette C. agent d'administration de 2e classe (1er départ) . A bord de «l'Anversville». — Le jeudi 30 avril, des fêtes de bienfaisance ont été organisées à bord de la malle congolaise «Anversville» par les passagers. En voici le programme : 1. Grandes finales des concours de jeux et course du navire, de 8 à 12 heures. 2. Tirage de la grande tombola, à 3 heures au salon de première. 3. A 8 heures, soirée théâtrale: «La Petite Chocolatière», vaudeville en 4 actes, de Gavault, interprêté par une troupe française embarquée à Dakar et qui retournait en France. / Après le concert a eu lieu une sauterie, au salon de Ire classe. Le comité des fêtes était composé de MM. Tliélie, président; le et Angeli. vice-président ; Bisqueret, trésorier. Les membres organisateurs étaient MM. le commandant Kielland, Fouarge, Nicolaï, Van den Kerck-hove, Cottel, Michel, Dankelman, Lapage, Roda, Dr Villa, Confalonieri et De Vroye. La fête a rapporté la jolie somme de 1500 francs, qui a été partagée entre l'œuvre de la lutte contre la maladie du sommeil — œuvre patronnée par la Reine — et la Caisse des gens de mer.. A l'arrivée, des membres du comité nous ont encore remis 40 fr. en demandant de les faire parvenir— ce qui a été fait — à la Villa coloniale de Watermael, avec la mention : «avec les regrets d'avoir oublié la villa coloniale dans la répartition des fonds recueiL-lis pour la bienfaisance par les passagers de l'«An-iertsville».A I' U. C. B. — Rappelons que mercredi 13 courant à 8 heures du soir, seront officiellement inaugurées les nouvelles installations de l'Union Coloniale Belge, Fédération des Cercles coloniaux, rue de Stas-sart, 34, à Bruxelles. La séance inaugurale se donnera dans le superbe auditoire de l'Lnion Coloniale Belge; elle sera honorée de la présence de M. le Ministre des Colonies. Le corps de musique du Régiment des Grenadiers prêtera son concours à cette cérémonie. M. Cooreman, Ministre d'Etat, président et le général Thys l'un des vice-présidents de l'Union Coloniale Belge exposeront le but que poursuit cette association.Jusqu'à ce jour, l'Union Coloniale Belge, s'est surtout préoccupée de l'organisation de cours de préparation coloniale destinés aux candidats agents commerciaux et industriels; les deux sessions 1912-13 et 1913-14 ont été suivies par 50 élèves.

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Dit item is een uitgave in de reeks La tribune congolaise et La gazette west-africaine behorende tot de categorie Koloniale pers. Uitgegeven in Anvers van 1902 tot 1914.

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