La tribune congolaise et La gazette west-africaine

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s.n. 1914, 05 Maart. La tribune congolaise et La gazette west-africaine. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/sq8qb9w98s/
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Jeudi 5 Mars 1914 le Isiuméro : i0 centimes (tiranger : 15 centimes) 13mt Année Nô 2 LA TRIBUNE CONGOLAISE ET LA GAZETTE WEST-AFRICAINE I3Z©Tod omad ai re Directeur : JEAN PAUWELS VILLA SYLVIA, Avenue des Cottages VI EUX-DI EU-lez-ANVERS ILes manuscrits ou articles non publiés sont détruits. La plus grande discrétion est assurée à nos colaborateurs ou correspondants. Tous droits réservés. ^BOTNTlSrEIS^IEIÎNrTS Belgique fr. 5.— Uni'on postale ! Payables en un mandat-poste international de .. . fr. 7.50 PAVA m ITQ DAD fl IMTI n DATION Nos Correspondances Lettre de Borna Mort du Frère Camiel Alfons Van Vaerenbergh. Les décès enregistrés à l'Etat->civil. (De notre correspondant, particulier) Borna, 10 février. Les frères des écoles chrétiennes, déjà si cruellement éprouvés, depuis quelque temps, viennent encore de faire, dimanche, 25 janvier, une perte douloureuse en la personne du frère Camiel Alfons Van Vae-renbergh.A peine la tombe s'est elle refermée sur la dépouille mortelle du frère Justyn Raus, que déjà un nouveau ,et pé iible devoir nous ramenait au champ de repos. Caractère sympathique et dévoué, cœur bon et sen-. sible,-apôtre dévoué, le frère Camille avait su se concilier l'amitié de beaucoup d'entre nous. Nature excellente, il cachait sous les dehors simples, un grand bon sens pratique et beaucoup de jugement.Enlevé à la fleur de l'âge, il n'a fait que passer ■dans notre colonie africaine, et nous n'avons point eu le bonheur de le voir concourir aussi longtemps que nous l'eussions désiré, à la prospérité de la communauté du sacré-cœur à Borna. Le Frère Camiel Alfons Van Vaerenbergh n'était âgé que de vingt sept ans et était déjà dans sa onzième année de religion. U"n long cortège de regrets l'a accompagné jusqu'à la tombe. Tous, nous nous souviendrons de lui durant bien des ans, car il emporte notre estime et notre affection.Voici les décés enregistrés au secrétariat général ((Etat-civil) du 18 au 25 janvier 1914 : M. Kerr (W.), prospecteur, décédé à Moto, le 19 décembre 1913. M. Beaufort, (R.), enfant, décédé à Stanleuville, le 16 janvier 1914. M. Takala (H. N.), mécanicien de Ire classe, décédé près de Sandy Beach (Bolobo), le 17 janvier 1914. M. Lescaudron (D. R.), chauffeur du vapeur «Afrique», décédé à Borna, le 18 janvier 1914. M. Cheval (R. L. J. V.), agent de la Comfina, décédé à Okongolo (Sankuru), le 18 janvier 1914. M. Malevez (C.), surveillant de travaux, décédé à Tumba, le 21 janvier 1914. M. Fonseca (C.), enfant, décédé à Matadi, le 23 janvier 1914. M. Van Vaerenbergh (C.), instituteur religieux, décédé à Boma, le 25 janvier 1914. Lettre de Léopoldville Une fête de bienfaisance. (De notre correspondant particulier) rM. Promontorio, bien connu de la plupart des Africains, vient de prouver une fois de plus sa générosité; profitant de la présence, chez lui, du cinéma Wexelsens, il organisait, le 2 février, une fête de bienfaisance au profit de l'œuvre de la Protection de l'Enfance noire. Mmes Moulaert et la comtesse Caggiula avaient bien voulu accepter la présidence d'honneur du comité formé pour mener à bien cette fête philantro-pique.Disons de suite que cette fête a brillamment réussi. La Compagnie du Chemin de fer, sollicitée mit en marche un train spécial Kin-Léo et retour afin de permettre au Kinshasois d'assister à cette soirée. Quelques affiches et programmes avaient été faits à la main par les géomètres, ce à quoi ils occupèrent leurs loisirs dominicaux. Ont prêté leur concours gracieux et effectif à cette fête : Mme De Brauwer, qui a détaillé avec art la romance bien connue «Pensées d'Automne». A la 2e partie elle a interprété, au piano, avec talent, le ballet de «Coppelia» ; le virtuose, capitaine Hoppe, qui a bien voulu se charger du rôle ingrat d'accompa-teur. II figurait également au programme comme «numéro., de choix. MM. De Thuin et Crispin, mono-loguistes; M. TJydens, qui nous a chanté une romance... en flamand. Figuraient également au programme, les films très intéressants du cinéma Wexelsens pendant le défilé desquels il y eut naturellement concert. Faisaient partie du comité: MM. De Leersnyder, Jacquemin et Nielsen. Inutile d'ajouter que toutes les notabilités de Léo assistaient à cette fête ainsi que la majorité des dames.A minuit, M. Promotorio a offert gracieusement des sandwiches variées... auxquelles on fit honneur. Le bénéfice net versé à l'œuvre' s'est chiffré par 1200 fr. à laquelle somme il faut ajouter 300 fr., donnés par M. Promotorio, soit 1500 francs. Cette somme eut été dépassée si le comité eut eu le temps de faire de la réclame à Kinshasa. Sabana. Lettre des Bangala Fête du neuve! an au pays des Budja. (D'un de nos correspondants) Modjamboli, le 2 janvier. Le distingué maître-d'armes, R. Delhaise (Malu-Malu), dont la réputation n'est plus à faire, avait convié a l'occasion du renouvellement de l'année, les nombreux Européens de l'important territoire des Budja, à assister à la distribution des prix offerts aux gagnants des jeux athlétiques de l'année 1913. Le jury était composé de M. R. Delhaise, chef du territoire; M. Aerts,, adjoint au territoire; M. Volckaert, gérant de la factorerie de Dobo; Mad-jumba, grand chef des Budja. Après avoir assisté successivement à des assauts de sabre, fietiret, ■êpéc de combat, le personnel de la station a exécuté avec un ensemble parfait les plus difficiles mouvements de la gymnastique suédoise.Pour la première fois en Afrique, on a pu admirer le boy du maître, M. Mousqueton, se livrant à un assaut de sabre avec le grand chef Bindju de Yamikele. Après, les indigènes de l'importante tribu de Li-kingi, hommes, femmes et enfants, ont exécuté devant le jury leur sensationnelle danse de guerre. La fête s'est terminée vers 17 heures. Après eut lieu la distribution des prix consistant en chemises, vestons, casques, etc., etc. A 18 heures eut lieu un banquet auquel était convié tous les indigènes s'étant acquitté de l'impôt 1913. Le menu était composé comme suit: Chenilles grillées, malemba (plat national des Budja), Donge ou fourmis blanches avec pondu (épinards indigènes), Etabe (bananes) et vin de palme à discrétion. Le soir, le maître conviait les Européens de son territoire, à un dîner, dont la ferme Malu-Malu procura tous les éléments; rarement un dîner fut aussi réussi. Chaque convive avait comme, ration, trois litres de soupe, une pintade, un canard, 2 poulets et une formidable gazelle. Différents toasts ont été prononcés. M. Santiago au nom des résidants portugais a levé son verre à la prospérité de la Belgique; M. Aerts a bu au développements des maisons commerciales; M. Volckaert a rappelé en termes émus la brillante carrière de celui qu'on appelle le père des Budja. Il a rendu hommage à la grande activité déployée par l'éminent professeur, qui met toutes ses facultés en jeux pour l'obtention d'un seul et unique résultat : la prospérité de la colonie. Le maître était tellement ému d'un tel attachement qu'il n'a pas trouvé de mots pour exprimer la satisfaction qe lui causait toutes ses marques de sympathie. Il s'est contenté de serrer la main à ses convives. Inutile de dire que le lendemain à la première heure, le maître était en tournée de perception chez ses administrés. Il estinterdit de reproduire nos correspondances, à moins d'en indiquer la source. Nos Informations Les partants du 12 mars. — S'embarqueront également le 12 mars, à bord de l'«Anversville», outre les partants déjà annoncées : Pour le ministère des colonies (2e liste) : M. Son-dag, lieutenant de la force publique (3e départ) ; M. Verberckt, sous-officier de la force publique (1er départ) ; M. Acerbi, commissaire de district de Ire classe (4e départ); M. Servais, sous-officier de la force publique (1er départ); M. Duchateau, surveillant de travaux (4e départ) ; M. De Munter, chef d'atelier (3e départ) ; M. Differding, chef d'atelier (3e départ) ; M. Salin, mécanien de Ire classe (3e départ); M. Nystrom, mécanicien de Ire classe (3e départ) ; M. Palmans, commis de 2e classe (2e départ) ; M. Amrhyn, chef de culture de Ire -classe (4e départ); M. Dupont Ch., magistrat provisoire; (1er départ) ; M. Geelen, géomètre du cadastre de 2e classe (2e départ); M. Michiels F., commis de 2e classe du service des impôts (2e départ) ; M. Paul H., commis de 2e classe du service des impôts (1er départ). Pour la Compagnie du Chemin de fer: MM. le docteur Niccolo Attard (6e départ); le médecin Adolphe Van Caubergh et Henri Wasseige (3e départ), commis chef. Pour la Compagnie du Kasai : MM. Georges Geerts, Jules Potier, Augustin Van den Berghe et Marcel Scoyer, tous quatre adjoints de 2e classe. Pour la Comfina: MM. Verlecke, Patty et Krippo- le. Pour la Foreminière: MM. W. L. Brown, C. A. Smith, Nelson Waggoner, J. P. Van Buylaere (tous quatre 1er départ), Joseph Theeus (2e départ) et Théodore Paulus (4e départ). Pour la Citas, M. Léopold Vitta, agent principal (4e départ). Le voyage de l'«Elisabethville». — L'«Elisabeth-ville» a passé au large de Las Palmas, le 26 février à 4 heures de l'après-midi,a quitté Dakar le 1er mars, à 6 heures du soir et Konakry, le 3 mars, à 8 heures du matin, en route pour le Congo. Pour le Katanga. — S'embarquera sur le steamer «Edingburgh Castle», quittant Southampton, le 7 mars prochain, à destination de Capetown : M. Isidore Verblijdt, ajusteur-monteur, attaché au Service de l'Exploitation du Chemin de fer du Katanga (2e départ), agent de la Cie du Chemin de fer du Bas-Congo au Katanga. S'embarquera le 7 mars 1914 par Southampton via Le Cap à destination du Katanga : M. Van Thielen J. G. M., commis du service des impôts (2e départ). S'embarqueront le 14 mars 1914, par Southampton via le Cap, à destination du Katanga: M. le sous-lieutenant d'artillerie Bauwens, sous-lieutenant de la force publique (1er départ); M. Wilmet, ancien ad-judant-sous-officier du régiment des grenadiers, 1er sous-oficier de la force publique (1er départ); M. Ven, sous-officier de la force publique (1er départ). Retour à l'armés. — Nous apprenons que M. le sous-lieutenant-payeur Gillain, agent d'administration au service de la Colonie a été désigné sur sa demande, depuis le 1er mars courant pour reprendre du service actif dans l'Armée Métropolitaine et pour être atcaché au 13e régiment de ligne. M. le sous-heutenant Gillain a accompli un ter-Hte île servie©- de- d&ax »»s~a» district du Kasai où il a exercé les fonctions de contrôleur des services de la comptabilité. Mort de M. Karlstrom. — On nous fait part du décès de M. Karlstrom Karl, poseur des télégraphes à la Colonie, décédé à la mission de Kisantu (Léopoldville), le 5 février dernier. Au service de la Colonie depuis 1908, Karlstrom fut attaché pendant deux ans à la ligne télégraphique Léopold-ville-Equateur. Il fut ensuite attaché à la ligne télégraphique reliant Ponthierville à Uvira. 11 revint en Europe prendre quelques mois de congé et repartit pour le Congo en juin 1912 pour reprendre ses anciennes fonctions au district de l'Equateur.Karlstrom était un bon travailleur sérieux et actif qui était très estimé par ses chefs. Il était décoré de l'Etoile de service. Mort de M. Bona. — On nous prie d'annoncer la mort de M. Léon Bona, ancien mécanicien de 2e classe au service de la Colonie qui a succombé à la maladie à Houdeng-Goegnies, (Hainaut), le 23 février dernier. Les funérailles ont été célébrés. à Houdeng-Goe-enies, le mercredi, 25 février. Le défunt avait séjourné au Congo pendant un an environ et était rentré en Europe au mois de juillet 1912 pour motif de santé. Il avait été attaché au service de la Marine du Haut-Congo. Le «Tribune Congolaise» présente ses sincères condoléances, à la famille de feu M. Bona. Mort de M. Ernst Eiffe. — Brusquement, au milieu de la nuit de jeudi à vendredi, M. Ernst Eiffe est mort à Cannes, où il s'était rendu il y a quelques jours à peine pour s'y reposer de ses très lourdes fatigues. La nouvelle de cette mort si soudaine s'est répandue à Anvers comme une traînée de poudre, car, dans toute la ville, M. Ernst Eiffe ne comptait que des amis et ses hautes qualités de cœur plus encore que sa science très sûre des affaires lui valaient l'admiration de tous ceux qui avaient le privilège de l'approcher.Né à Hambourg en 1858, M. Eiffe avait obtenu dès 1897 la grande naturalisation. Il résidait à Anvers depuis 1873, date à laquelle il entra dans la maison Mogin-Straetman et Co, qui s'occupa du négoce du pétrole, de l'agence et surtout du courtage maritime. Nous n'avons pas à faire l'éloge de cette firme dont la prospérité exceptionnelle dit la très haute valeur de celui qui la créa. Nous présentons à ses fils nos sincères condoléances.L'avancement des fonctionnaires et agents du ministère des colonies. — Voici le texte d'une circulaire relative à l'avancement des fonctionnaires et agents qui doit se faire par service et non d'une manière uniforme dans les divers organismes de la colonie : De nombreuses requêtes continuent à m'être adressées par des fonctionnaires et agents qui sollicitent une amélioraion de situation, soit au point de vue du grade soit au point de vue du taux des appointements, en se basant sur le fait qu'ils auraient été «dépassés» par des collègues promus dans d'autres services.Cette manière d'envisager la question ne peut être admise, attendu que les services sont indépendants l'un de l'autre et qu'il n'est pas possible de régler l'avancement d'une manière uniforme dans les divers organismes de la colonie. Il faut tenir compte avant tout dans chaque service de l'état des cadres, les promotions étant faites suivant le nombre de places disponibles. Parfois, ce sont des circonstances inhérentes à une réorganisation administrative qui permettent d'accorder à un moment donné, à certains agents, rtn avancement plus rapide qu'à des agents appartenant à d'autres services. Il est évident que ces derniers agents ne peuvent se prévaloir de cette circonstance pour se réclamer, par analogie, d'un avancement identique. Ce serait détruire toutes les règles d'avancement établies jusqu'ici.Je laisserai donc, dorénavant sans suite, les requêtes de l'espèce envisagée. Boma, le 20 décembre 1913. Le gouverneur général, F. FTTCHS. Pour enrayer ies dettes. — Une circulaire de M. Fuchs, gouverneur général, en date du 22 décembre 1913, prescrit de sévir diciplinairement et rigoureusement contre les fonctionnaires ou agents endettés.Le gouverneur général s'exprime en ces termes : Malgré les instructions formelles et précises de mes circulaires des 28 juin et 18 septembre 1912 et du 31 juillet 1913, le ministre des colonies me signale que le nombre d'exploits d'huissiers signifiés au siège de l'administration centrale pour cessions de traitement et saisies-arrêts ne diminue aucunement. Pour enrayer ce mal, il est devenu absolument indispensable que l'action disciplinaire se manifeste, dorénavant, à l'égard de tous ceux qui donneront lieu à une réclamation pour dette et je considérerai comme telle toute saisie-arrêt et toute cession de traitement qui ne pourront se justifier raisonnablement. A l'avenir, il devra être tenu compte des réclama tions intervenues dans la rédaction des notes biographiques des intéressés, dans l'octroi des augmentations et de l'Etoile de service et pour leur avancement.J'ai l'honneur de prier les chefs territoriaux et les autorités administratives de s'inspirer de mes présentes intentions pour toutes les mesures qui sont de leur pessoi-t. Désignations et nominations — Par ordonnance du gouverneur général, M. Martens, R. C. M. G., commis de Ire classe du service administratif, est désigné pour être attaché provisoirement au service de l'industrie, commerce et immigration. M. Hennebert C. A. M. A. G., commis-chef de la justice et instruction publique cesse d'être attaché provisoirement au service administratif. Sont nommés géomètres du cadastre de 2e classe à la date du 1er juillet 1913: MM. Pollet R. J. F., Grégoire A. A., Hayen L. F., Delaey J. F., Gielen A. D. H., Goisse G. A. G., Lhomme J. D., Postyns C. M. Q. et Boonen R. J. A., géomètres du cadastre de 3e classe. Ecole coloniale. — On nous annonce que la prochaine session de l'Ecole coloniale s'ouvrira le 30 mars prochain pour les candidats officiers et sous-officiers de la force publique et le 14 avril prochain pour les candidats au service administratif et au service territorial. Les désignations de m. le vice-gouverneur général du Katanga. — En date du 26 décembre 1913, est mis à la disposition de M. le directeur des travaux publics, pour être attaché à la direction des travaux publics, M. Malfait J. A. E. A., chef de section de 2e classe. En date du 29 décembre 1913, est mis définitive^ ment à la disposition de M. le commissaire de dis-du Haut-Luapula, M. Kerkhofs, V. L., commis de Ire classe. En date du 31 décembre 1913, est commissionné en qualité de sous-commissaire de police, M. Stienon L. L. J., agent territorial de Ire classe, mis, à la disposition de M. le commissaire de district du Haut-Luapula.En date du 10 janvier 1914 :»Sont mis à la disposition de M. le commissaire de district du Tanganika-Moëro: MM. Wasseige A. J. A., commis de Ire classe du service administratif; De Ruyck, V. G., commis de Ire classe du service administratif ; Le-maire V., commis de 2e classe du service administratif.Est mis à la disposition de M. le commissaire de district de la Lulua : M. François J. A., agent d'administration de 3e classe. Extrait d'ordonnance de m. le vice-gouverneur général du Katanga. —. En date du 24 décembre 1913, M. Wauters C. J. A. P., administrateur territorial de 2e classe, est mis à la disposition de M. le commissaire de district du Lomami, après que ses services ne seront plus nécessaires à M. l'inspecteur d'Etat de Meulemeester se rendant dans cette région. Les colis postaux pour le Katanga. — Les taxes d'affranchissement des colis-postaux de Belgique pour le Katanga, à acheminer par la voie Ostende-Beira seront dorénavant fixées comme suit: fr. 6.10 pour les colis de 1 kgr. ; fr. 8.65 pour les colis de plus de 1 kgr. jusque 3 kgr.; fr. 11.40 pour les colis de plus de 3 kgr. jusque 5 kgr. Le poids du bétail de l'Angola. — Le vétérinaire de Rocha a publié dans le «Bulletin de l'Agriculture» le dénombrement et le rendement moyen du bétail abattu à Loanda. En 1910, les chiffres suivants furent relevés à l'abattoir de la ville : bêtes bovines 1592 donnant 271.082 kilos de viande; moutons 426 donnant 5,480 kilos de viande ; chèvres 371 donnant 3,927 kilos de viande ; porcs 906 donnant 37,935 kilos de viande ; soit 3,295 bêtes donnant 318,424 kilos de viande. Les poids moyens de viande par tête furent : Par bête bovine 170 kilos; par mouton 13 kilos; par chèvre 10.5 kilos; par porc 42 kilos. En 1910 le bétail abattu provenait presque exclusivement des plateaux de Quillengues, Caconda, Huilla, etc., et étaient importés par une firme de Benguella. Les animaux abattus en 1911 furent au nombre de 5,428, à savoir : bêtes bovines 1728 donnant 238,508 kilos ; veaux 39 donnant 1,279 kilos ; moutons 2,099 donnant 12,788 kilos ; chèvres 627 donnant 6,141 kilos j porcs 1,935 donnant 69,960 ; soit 5,428 animaux donnant 328,694 kilos de viande. Ils ont donné les rendements suivants (viande abattue) : par bête bovine 138 kilos; par veau 43 kilos; par mouton 11.6 kilos; par chèvre 10 kilos; par porc 36 kilos. La fourniture de viande de bœuf fut adjugée à trois firmes de Loanda. Les deux tiers du bétail abattu provenait de Benguella, le reste venant de Loanda et surtout des régions de Pungo Andougo, Ambaca et Duc de Bragance, embarqués à la station de Lu-calla, kilomètre 364 du chemin de fer d'Ambaca. Le petit bétail provenant des fermes situées sur le Rio Dande et le Rio Quanza. La Compagnie agricole de Cazengo pratique dans sa ferme du Quanza un grand élevage de porcs, de race Alemtejo, vendus 200 reis par kilo sur pied, pris à la ferme. En mars 1912, le bétail se vendait à Loanda aux prix suivants : Bœufs de Benguella, 220 reis par kilo ; bœufs de Lucalla 240 reis par kilo; moutons, 12 kilos, 3,400 à 3,600 reis par kilo; chèvres, 12 kilos 3,200 à 3,400 reis; porcs, 15 kilos, 3,000 reis par kilo. Au Club colonial belge. — Le Club colonial belge organise, cet après-midi, jeudi 5 mars, à 3 heures, une représentation du Grand Théâtre impérial des marionnettes liégeoises, qui se donnera .dans les locaux de l'Union Coloniale, 34, rue de Stassart, à Bruxelles.

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Dit item is een uitgave in de reeks La tribune congolaise et La gazette west-africaine behorende tot de categorie Koloniale pers. Uitgegeven in Anvers van 1902 tot 1914.

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