Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1915, 12 Juni. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/vd6nz82g59/
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LE BRUXELLOIS i an 19 • a f Journal Quotidien Indépendant annonces : ' " CS 1 ni ois"' 2 francs' m°1S' r£mCS REDACTION, ADMINISTRATION, PUBLICITE Faits-Divers, la ligne 2 francs. Nécrologie, la ligne, 1 franc ' -45, Rue Henri Alaua, 45, Bruxelles Petites annonces, la ligne 20 centimes La Justice et le Droit réel La justice est née du commerce de l'homme avec l'homme et du contact de J'homme avec les choses; elle est le produit de l'existence humaine, de la société, ou plutôt ©lie est la société même, car l'homme ne pout toucher à son frère, et modifier, maîtriser, posséder les choses, sans voir intervenir la justice qui règle ses actes envers ses semblables, et sa dictature sur l'univers. Considérée ainsi, la justice est l'obligation et la défense de l'homme; elle ne lui impose pas seulement le devoir de fair0 aux autres ce qu'il voudrait qu'on lui fît, éUe lui confère encore le droit de se défendre contre les débordements et les erreurs de son prochain, c'est-à-dire le droit, si ia justice ne peut le protéger, à l'insurrection contre les tyrannies intolérables. La loi ds Lynch est issue de cetto conception primitive. Dans le sens économique et politique, la justice est 3a représentation de l'atitorite do Tiiomuie ; elle a pour but do comparer les objets et lès choses, de distribuer les récompenses et les peines, enfin de rendre h chacun ce qui lui appartient, dans une just0 proportion. Aux débuts de 'la société, la justice était exercée sans aucun apparat par chaque përe de faJrtilîe sur sës femmes, ses enfe.nKs et shi- ses serviteurs. Lui seul avait sur fiiift le pouvoir de correction, et ce pouvoir allait jusqu'au droit de vie et de mort. Chaque famille formait ainsi, suivant le droit et son origine, jjn petit peuple dont le chef était ù la fois le père et le Juge. Mais bientôt les familles s'3 ta ut réunies^ oit életa une autorité pouveraing au-^û* ébîio des .pères, qui cessèrent alors d'être juges absolus, comme ils l'étaient auparavant, sur les personnes et sur les choses. Parmi Jes Hébreux, Moïse fut le premier qui ordonna 3a justice pafjni lès juifs. Aprfes lui vinrent les Juges ou chefs ilatic-n, élus par tous 'les citoyens, et jouissant de l'autorité souveraine, temporaire ou à vie, sans avoir toutefois le droit de percevoir l'impôt et de créer des lois nouvelles. La justice fut établie, en Egypte, par Menés; en Grèce, les premiers qui gouvernèrent furent les législateurs (So.lon, Lycurgue)5 enfin, à Rouie, ceux qui appliquaient ila justice étaient des rois et des sénateurs, qui déléguèrent,. dans là Êiiite, Jeitr autorité à, n^ocôiisUds, à des préteurs, à des préfets, à des ducs, des comtes, etc. imitation tantôtse Ronne tantôt était confiée a (les ie ^'Ftïat nui seul rond des jugements exécutoires, L attribution des otetade à J'inj» force commune organisée ^ ^ mais tt'esfc Bas \rlTqu'dle puisse avoir sur les personnes et ces personnes existaient avant que 1 . C oiiiénees, nos idées, nos volontés notre , truc tion, nos travaux, nos iouissa^ c est-dire^ ue qui nous est personnel, puisqu elle a pêcher qu'en aucune de ces matières;le ^ « t des 11'usunpe le droit des autres. La justice est faite P protéger, et non pour opprimer. Quels sont les peuples les plus h^reux ies ^pte raux, 1« plus paisibles? Ceux ou In moins dans l'activité personnelle; ou 1 auto lté tZZ sentir; où l'individu a le ."«g l'opinion publique le ptaB_ d'influe-ice, ■°»J» ™ ^mnqfretts£moiirerombrants, ta * tanéité de l'homme; rien par la force! Tel se.ait U£S£2Î2. — «r judiciaire dance 0r, on sait de reste co ^"formules d'interprétation des codes sont élast immuables et variables suivant les passions, le r:3Xla mentalité des époques. On peut d, ne ?,« Cicéron et Quintilien, que l'homme lument impartial est une impossibilité log.q, m O™ réflexions nous sont suggérées par lespecta i a assistons en matière de législation v dos propriétaires et d» locataires. V^-dé, Gouverneur allemand von Bissing, en date du 13 1915, a institué d« tribunal d'arbitrage en vec mant les onéreuses interventions des huissiers, du pa- elle pier timbré et jusqu'à l'intrusion des avocats et avoués, ou Evidemment et à priori, une législation aussi sim- -ou- pliste, aussi radicale, ramenant ce genre de litiges à la les conception élémentaire de la justice gratuite et expé- ;tes ditive devait dépilaire à tous ceux qui vivent du com- on- merce de la justice, car elle lésait trop leurs intérêts, de en les expulsant d'un territoire de chasse dont jusqu'ici de ils avaient seuls le moûopo.le d'exploitation légale, pftr- lui fois abusive et toujours trop lourdement ruineuse pour •or- les justiciables. *e Cette vérité foncière ne fut naturellement avouée par 1()n aucun des intéressés ni par aucun de ceux dont le ga-GSt gne-pain est solidaire des gèris qlii ViVôift de la procédure. Exiger un tel accès de franchise serait mécon-naître totalement la mentalité actuelle. La déforma->ur tion professionnelle des légistes aidant, il se trouva donc des jurisconsmites éminents et sincères pour critiquer :un d'après les règles du droit positif la validité, c'est-a-^ire la légalité effective d'un arrêté-décret que tous, d'au-lnS tre part, proclamaient une mesure de justice urgente 'm~ et une lcii d'intérêt sooiàl nécessitée iprir lès éirconstan-sui ces# Néanmoins, les représentants les plus qualifiés du us~ monde juridique tentèrent par tous les arguments cri-a1^ tiques tirés du texte de .la fameuse Convention de La ple Haye sur >l«a droits de l'occupant d'un territoire envahi a:n- et étayés d'une dialectique spécieuse — passionnément 'té inspirée par line fausse notion de patriotisme chauvin >nt et outrancier — d'énerver la valëur ittoralè, de contes-ra" ter l'opportunité et la légitimité de cette mesure pour, finalement, après les plaidoyers pro Domo des membres na du Barreau, le bâtonnier bruxellois, Mc Tliéodor, en ;es tête, déclarer par l'organe d'un jugement récent de la is- Cour d'&ppëi <3e Liège, ntilj totaîemeut nul, l'arrêtées déci*et allemand du 13 février 1915. Voilà où en ëst la ,f,r question. Notez que les « attendu » de la Cour d'appel ar pèchent tous par leur base; aussi la Cour de cassation nt aura à connaître de cette jurisprudence en dernier res-ux sort. Tous ces considérants reposent, en effet, sur cette ia- interprétation aussi fausse qu'étroite et exclusive de Ja àr Convention de La Haye, à savoir qUe « l'ofcctlpatlt d'un -s, territoire envahi n'aurait pa^J^L'^ti ^'édicter la moin- Tô\ ° , l'inanité pratique coin- mt succès des opérations de g ^ manger et d'ac- ,or. restent pas moins forcés^de des coJlocU. us. oomplir tous; te actes ^ Ja ïuœtiou du loge- -or- vîtes organisées. 1. , ettre logeurs et logés., blé ment, des obligations 6 . n(j t> pas plu6 que I Bo; entre \ vêtement, être abolie ou censée eux 1» besoin de1' ® -sence de l'occupant, l'être par 1 état de .guerre * . r la forme nou-Or, si Je code en vigueur ordre de litiges, ou "T velle que la guerre a oonferee a ordre de, _ ^ ^ ; si le législateur belge anteiieu ï = t ma" vue de cette éventualité ses toparfaite- erC1" pas appliquées ou le sont mal, ^ ^ ^ , ment, injustement ou ■de :Ea«™ j rôrdre social et naux nationaux restes ™ pubUques sont en partant la tranquillité et la se supérieurs •e péril. Alors au nom et en vertu des P l dQnt ]e n'us" et éternels de la Raison et du Dro^aMO ^ « ' droit positif P^,n'êt?,r'X êtrf a le devoir im-f® du moment, quelle qu elle P ' d,offic6 et dans 110868 prescriptible et immedaat de teemre 6 eût la forme la plus expédit.ve e la P - ^ ou s P"- cret, arrêté - ^7^2^ devenues en fait cadu onde compréhension des lois loc intien do l'ordre pu ■o ins; ques puisqu inoperantes. <5 Inoœ6nitonémont es » tout blic dans les territoires qu ' ateI d'ailleurs un devoir, une qu'il soit. S ÎS uns 1110iement possible pour tou i'ordre public soi ' PO" celui-ci en effet a l»'-me^rbXir dans1e domaine d respecté pour lu. permettre d agir dans ^ ^ us rno- la guerre, les habitants n°^°sur Vaatorité qu'il i> srvient plus fondes, en diolt, a c P trouble m se fait carne pour pouvoir continu les'aidor à atténue Wjt, et tile, de leur vie socia , P 6iémentaire," les pi rouages ainsi que l'exigé 1 humam a p cntraîne pour to ,ins ty- judices et la misère que la guerre entrai s moins 10 m0n<i », même pour les neu les. t()Ua les Boph ons, les Ainsi u® justifiait plein , l'intervi bravées; m6s et to arguties ^ tout po^ ^ ^ t on dans tion dtl décret du 1 LV' . public ce fondent tlS". ru^deSo^lede justice humaine, pour p *u <.ans cUZ, ?£££; t tiennent vé en il carioatuiant a P . hommes do loi voir oxé- faisant» , ^ laquelle le ^^'"^.^personnels lésâ formule s-oppof, - sans .parler des «^fB12^nnend. agistrat, que paJ Ito qu'elle a ete promu ^ combien lastiques, £,:t Tjgez en TR01S1ÈJV îme abso- iqne, nn ies derniers te o-rammes arrivés penda LA GUERRE AUTRICHIENS Théâtre de la guerre Nord-Est Vienne, 10 juin. — Hier. — Au sud du Dn ter les Russes ont de nouveau 'perdu du terra Avançant victorieusement dans des combats 'poursuite, les trouves coalisées ont atteint l la ligne KvAacz-Kowe-Korszow au nord de 1 lomea, atteignirent les hauteur s''d'Otty nia, i rent le soir Stariislctu et avancèrent plus le vers H allez. Cette journée nous amena 5,570 j sonniers. Sur le restant du front en Galicie et Pologne, rien d- essentiel. Théâtre de la guerre du Sud A la frontière serbe, il y a eu ci et là des esc ■mouches de tirailleurs, ainsi qu,e des cornb d'artillerie sans importance. Prè$ de Korite, ? bdnde monténégrine, vêtue d'uniformes aust hongrois a été disperséet Théâtre de la guerre Sud-Ouest La première grande attaque de-^Vennemi œ des troupes d'une force équivalente à une di sion d*infanterie, contre ta tète detyont de Goe a été revoussée hier, av-ec des partes considé blés pour les Italiens. Ils se retirèrent en h, sous notre feu d'artillerie <et durent abandoni plusieurs canons. Les tentatives d]attaques eh', miës près de Gradisca et Monfalàone eurent même sort. Les Combats à la frontière de la ( rinthie, à l'est du défilé de Plovh et le feu ré proque, dans le territoire de nos barrages fo fiés de la Carinthie et du Tyrol continuent. FRANÇAIS .es- Vj- Paris, 8 juin. — (15 heures.) — Dans la . e gion au nord d'Arras, quelques combats d lfr fanterie ont eu lieu le soir et pendant la nuit ^ ~ 7 au 8. Sur îles. pentes est du plateau de Lon . V ennemi a exécuté plusieurs contre-attaques, in.7 n'ont cependant pas changé les positions des )ll~ ver s aire s. Nous avons progressé au nord-est de la sut rie de Souciiez, ainsi qu'à Neuville-Saint-Vc et dans la région du Labyrinthe. Des contre a^s taques ennemies ont été repoussées au stid ,ne de Hébuterne. Vers le nord-est nous avons î deux lignes de tranchées ennemies sur un fr de 500 mètres jusqu'à la route de Hébutern Y erre ; nous avons fait 150 prisonniers. )ec Paris, 8 juin. — (23 heures.) — Dans la _ GW-Zk de Notre-Dame-de-Ijorette, la lutte d'aï vz lerie a été très vive aujourd'hui. A Neuville ra_ Vaast, noi^s avons enlevé la totalité de l'\ ouest du village ainsi que des nouvelles mais ier dans la rue principale (îlot Nord). ie- Dans le labyrinthe, nos troupes ont repov le une violente contre-attaque et légèrement acc 1a. tué leurs progrès. Au sud d'Hebuterne, n d- avons maintenu nos gains du 7 >et de la nuit & rti- vante, malgré une forte attaque, menée par deux bataillons allemands. L'ennemi a violemment bombardé les tranchées que nous lui avons enlevées hier au nord de VAisne, près de Moulin-r£_ sous-Touvent. Ce bombardement auquel notre ar-in- tillerie a vivement riposté n'a été suivi d'aucune contre-attaque. 'Me ANGLAIS qui Londres, 9 juin. — L'agence Reuter annonce ad- le communiqué suivant, publié var le général French : La situation n'a pas subi de changeur e- irvents. Le plus grand calme règne. Devant le ast bois de Ploegstaart, nous avons fait exploser ■at- une mine souterraine, posée au-dessous d'une ■est tranchée allemande, détruisant les retranche-rris ments sur une longueur de 30 yards. Deux avions ont allemands furent obligés d'atterrir, l'un en face e à de notre aile droite par le feu de l'artillerie, l autre après un combat aérien avec un de nos r£_ aviateurs. til- ITALIENS ~&t Rome, 10 juin. — (Officiel.) — Le matin du lot 10 juin, un de nos dirigeables survola Fiume et 97M laissa tomber plusieurs bombes sur des points de caractère militaire. Au retour, te dirigeable fut ssé obligé, »?ar une panne de moteur, à descendre sur en- la mer, dans le voisinage de l'île de Tyussin et a 7us été détruit. D'après un communiqué de l'enne-ui- mi, V équipage a été sauvé et fait prisonnier. —Maan—mc—bk DEPECHES j= le, LE BLOCUS Londres, 9 iuin. —Le Dailv ^Tcatiids donne | noms Ses vapeurs Glas- ^ Liverpool, le sehoonei g depeterliead b.° gow, le vapeur de peclie Ed. Kamay ae £ sll et Bardolph de Leitli.^ ^ ann0DCe de Londres Rotterdam, 9 T V>araue Superb, au Botterdamsche Couram6 ^ J3 q avec 2,200 la en route de Buenos-A^ a Queex . ^ 5Q îffi à rC'de après qne l^ipage ° "g JSÎÏÊSSS*» «T* 11 ' à Hartlepool, avec au jf^u-^WReur. Il tenta attaqué hier par un a mie l'éauipàge eut vainement d'échapper. Apres 1 eu un délai de dix mmutes l Lady Salis- Londres, 10 juin (Reutery - Le^^ ^ ^ , tr.TZSSZ à »*'TZ'tZ Amsterdam, 9 du ville, un vapeur de P ^ i'équi :a?^. Le [ rcuse anglaise. - U"e cri{^ = fondée t . „ • • liras un article â.'iitalé « Le Paris, 9 .iullV , r,c , Hervé proteste dans ■ i Droit à la façon doni le public t la Guerre Sociale t n regrr.'ste que la e est informe des evenemen £avor3bles aux e censure centrales et i- alliés et defavora ' ressiou des communiques notamment que } turc sont interdi- r. allemands, austro-hongroiB^t tvac^ ^ prze. ®" tes. On aurait ainsi ^ grand© çon- ût mysl produisit ^e ^Pque hausser &lss épaules sternation. On Be ^ s agences françaises i " gS.WiSSλ™. tes françaises. éealemeat ' 'édactioi Une grande f,aute ^ is il ae se pas e„- des communiques ofhctels H S défait- ne , se pasde i»« ^ , - des Allemands la captu ^ ennemies mers allemands, 1 ^ maislralemeni on 1. de maisons et de ™ {l.ançaisel. Peu a peu 1 trouve 1 aveu de p te françaises doivel « public apprend que les perte^tr,aV ^ ?^&"e -tte façon, m^rrivera^ài lé- 3s«rTarfianc; du "peuple frança Ht Sel'a - Mort héroïqui d'un .jénéral „ - * 7 1,,;,, — On annonce de Zurich a ;ns le général Rarbot, commandant de la 70" vision, a été blessé le 10 mai et est mort le ruê-b jour, llarbot a toujours porté le simple uni- i rnie de chasseur alpin et était un des généraux i i plus populaires en France. ITALIE La guerre aérienne Rome, 9 juin. — L'Agence Stefani annonce officMle-r—t. -a nn mon et „»- >urs blessés. _ Troubles en Abyssinie , Q - • 1 D'après une nouvelle privée de Mi- Zurich, 9 juin. D P on affirme que de n au Neue ZnrioUr ^ac {jontière abyssinienne, juveaux troubles ont ec a ^ abyssiniennes dans la „ oroit à une invasion de tnbM trop s r&'waw. ——• iers russes et des sou mines sur le trajet îtait narvenu, pai 1. P ,, (je SOus-marms fle l'ennemi et par d-^ager trois navires russes, a coulei ou .,,11)renons de source au- ennemis. A ce sujet no s ' vapeur char- torisée qu'un navire seulementaQUS_ bonnier, a été coule par naviguait à côté marin russe. Un ement endommagé par trs^Ssïéaup Pour le reste la nouvelle est inexacte. AUTRICHE. - La Prisef^esse de Pr.emysl chute de Pizem^s habitants envi La ville de Przemvsl (60,0W ^ Les forti r0n) est située des deux cotfe^^ & & ■ fications principales étendue to kilomètres de fortification taie d'environ 50 k lomètaqui S0I] si composent de petits gr_ retranch( reliés entre eux par desi • S0uterrains. Les fori ments ou d'autres S entourés de fossés pri sont des ouvrages de te^e entour^ ^ fonds, avec des sou en> larges obstacles « et .les casernes emmurees Do ^ , fil de fer barbelé, sur de^_,l(r(fs fortifiés.&n r tous côtés les accès aux ■ ' bavaroise renforc | serva à l'attaque de la divisio fortifi ; ! les trois forts qu^o/devait,» 1 c^une"graX^che dan^t e (,e 'la forteresse Cecr réussi ^ saut des forts 10a, Ha et r ■ J 2 juin la li{ A hitercallaires. Jnsqu a. so l j g de 8 lt ;e brisée s'était élargie si et 12 et la ci l"s S^Xs^^eJW 9a, g^dgi. Si^des M^atos^én^ ^ entre l'effet terrible de nos canons du plus gros calibre. Des blocs bétonnés d'une force -de 3 mètres sont fendus et détachés Dar éclats comme des constructions de sable détruites. Les entonnoirs creusés dans le sol par la chute des obus de 42 cm. mt une profondeur de 8 mètres, une largeur qui i?a jusqu'à 15 mètres. L'effet moral Gpnàve 9 lain. — Onliiuww ^ — • naux • Le gouverneur d'Angola a été charge de réoccu-ner la partie méridionale d'Angola et de tenter de reprendre los territoires conquis par les Allemands. Les troupes portugaises prépareraient une nouvelle act . EGYPTE. —- Pertes commerciales T ondres 10 juin. - La Société du Canal do Su», a subi, pédant Jes premiers cinq mois de la guerre, une perte de 6 1/2 millions de francs. ETRANGER la dissolution de la première Douma 1W^membres de la Douma ont adressé une sommation au G vernement. Tous ceux qui signerent la somma^ tion furent condamnés a des peines d em 4- x l'ovppntion des membres de la uounic* traduit devant, un tribunal, et condamne a deu mois de prison, malgré les diverses amnisties accordées. Le jugement a produit une gran e em tion et une profonde irritation. SERBIE — Les Serbes s'emparent de l Alba-• _ Sofia 8 iuin. — L'Agence bulgare ap- t fions afin de mettre les puissances devant un ta t accompli^ Des nouvelles officieuses continuent a 'S publier des combats contre 1<a Al^S'p®!™ )- l'entretemps les localités importantes de fogra ■. BïWU». r «"SS&fiSr 11 clans le temps sur la menace de 1 Autricne non le gric, ont, été occupées par des troupes serbes. Lei é- Grecs et. les Bulgares sont étonnés de cette nouée velle manœucre des Serbes dont on tolere tou és le» caprices, et surtout, de leur irreconciliabilite ■r- avec les Bulgares. On constate en même temp. de que l'armée ierbe ne montre aucune envie d en-us treorendre quoique ce soit contre 1 Autnche-ral Hongrie et qu'elle préfèrei occuper Aes Wmres ?,ne OREOE - La maladie du Bai Constantin. - :s 9 !n r — ir^mpératuro du soir était de 37-, le pouls 108 la respiration 18. f GRECE - La perte de l'Hellespont. - Athè- de ne™ juin. - Le Gouvernement allemand a ad- ÏTRTITTWM'lIt TWS1H _ Un R(i TIRAGE JUSTIFIÉ 58,000 EXEMPLAIRES GIF® SÂMBKI Ï0 MÏES1 Ï1 ■9

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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