Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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15 oktober 1917
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s.n. 1917, 15 Oktober. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/154dn41c42/
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. va m Lundi 15 Octobre 1917 4®* Année - N ABOMiWSST PÛfàlkU ?0. B?unf!!« - PrërtrîîKfc - EiMiig«r 8 mais : Fr. 4.50. « Mk. IMfl L»a bureaux & pWW ets 8e!gf<^S «t à l'E&angfetf ir'atteptept que désabonnements TRIMESTRIELS : <»énz et prennent cour» le§ 1 J.ttn?. I Avili i .feu l"t f tfc*6». On peut s'atorittés toutefois pour 1«5 <leui derniers mois ôti rit ni 6 fbur ils dernier mois de ehïmrt trîmrttrfe Jtu yriï de : 3 Mo» I Me» rr, 3,00-Mk.2.40 Mfc.1.20 TIRAGE : IIO.OOO Le Bruxellois WMÊÊÊmÊÊ ^ssP^ mÊ&àm ■ftiiiT-iiTwnrwrBT-iiiAiMi-agartc^iitoKi '■ lin'UM-teMW«a ftÉ0ÀCf?feU^ÉN CîiÈF : I i Ifturaistl flltMifflMIftii fwsî-âttfliiftsïïtt Sâdactiorï, Âdsïfcfsfrafteti, Publicité, Vetr BRUXELLES, ANNONCES — fM îîgtlt fans dh-eiï et Echos. fe. Nécrologie, Annonces commerciales. , > liaetJdfaes. PETITES ANNONCES L» pe#ste Hgfle ...... ha- grande Ifgrre, . ..., rmACE;fm*Q0o par mu ss&Bm&SBssssmcamimeBiaœ&sssmM PAR JOUR « —— Les kiiraaux du « ÔftU'XËL UN DISCOURS DE M.ASQUITH I illlli il 1. îwplli! Amsterdam, 12 o6fc. — ÂsqrtftÈ a p&tié hto aoir à Livefpdol. Il y fai&M&a son defUiér dis cours à Lficds qu'il tfeiffli éi£ quelques points Il appela, la réV6!ft&of> pstcifkt& én &'-'/ehst«<; une fortnul'e h&î'tfkiffi é&Acfiiïitfttii Jé êcflô et 1s significaf-iffu de iaq&etflé feg différent parti' allemands s 'étaient disputés avec acharnerirent Ce désarroi dans les» pastis alie<na*<dft âttratl teeors îfugiiieaté pat te pteWtoeKiion de 14 tt-poiis- cfé l'Einpire à lu note pAptfl&Atl JltJicJifc tag il y mtwi des indice». d u fie oppasiuor froissante *usï métÎMles du ^oftvef ïseâletft. M»'; FAitgleterïe ne causait en tenir compte, jrts qu'à coati-ô-ordré 3ll<è n'a point à. .Voectiper d< Jopiftiod publique allefflftaado, ni du Pariemftfti AÎlerftaaid, mais du gouvernement- aflSjfifetKl qa est- resté l* faetetiï dominant. Si soft <Msu* dt paix fat siiicèrc, cd dérmief foufniî' de» rô-poûrses clairs» atis qù^sOions <Joncrèi'«a qifi in: sont, pôfeéfts. M^iâ 1» sEuJe' rép&Wà * c«fisi^té à toiit, bnchev&tïèr d» Sorte (tu W n« Aaiiratit êitt qu«sfc«jil ck> dù'kTgîHiofia prématurées Jtat-tioBe#. Oïl nous îai»e dans la pcfiooïbra ci m brouiJiiïd ôrâfoiïte tt an noue A.'ttaïide de dé-•poser ks aïilies sans a Utr« s^tïfaaciion ou g&iati. tàe, et que ncras dônntoua1 en m âme teteps l'ex-erjiple d<te tr«as t^rtiis: U loi, l'espérance et la charité. Asquith concéda <ju il Ht- j/ôtiVait s'agir pour" aucun des deux parti» de se ecumettrt SJéciproqttem&rft un ultimatum eans côndJttôns jusque dane 1-e® moindres détails bien au coa-teaîre il y a btjaucoup d« chosùe f>ui doiveni re&ter réservées pour uu stade ultérieur et poui deâ négtHàations ultérieures, mais jl imjsoite de s'exprime* &ana détour au sujet des i»e»ures les plus impérieuses. Éa ee qui concerne les rectifications à a'ppoï^er » l'ou-ô&t et à l'est de l'Europe, A$q,uith s'en référa à son diatours prononcé â Leeds, mâis passa anauite à la question d'Alsac»'-Lorraiùé en disant : « A ce sûj&t il faut qu- je réponde au re-masquable discours de M. von Xubimanu. Sa Beule coixtrifcution à la cause de la paix q,ue «embie tenir si fôrt à cœur le go-uvemement alî-ômatnd', — est un refus Catégorique. A la question : « L'Allenia-gn^ peut-elle faire une eoncjiBîon qfielceuque ptir rapport à l'Alsace-XfOiTainei » ii a répondu : « Non ! » et a parlé du gîeriéux bérifcag.e de e«s. tocêtres, bien que | œe terriloii'c formai depuis longtemps partie ihté^riint'J de las Fratnc«, fut français je sym-»atjiie et de sentiments, et ne lût arraché à la Fi,a*n<5tî qu'il y a Sô ans, sans tenir compte dee jgrotestations — au moins en ce qui concerne la XfOrraixre — des grands hommes d'État allemands, efc sans tjiiir compté des vœux des lia. "éitants. €îette spoiiatien à courte vae de la France a provoqué la rivalité de® armements'én Europe &t a abouti ma à la plus terrible * guerre de l'histoire. La diploma.tie allemande ne jouit pae d'une réputation de flair particulier, mais dana ses annales mêmes il sera difficile die trouver un© manoeuvre plus grossi à *e, plus transparente que cette tentative désespérée de semer la discorde entr# neu® et nos »llié» fraBça.e. Asquith atoorda «nsuite la gnesUrai de la Belgique. Î1 fit ressort.h- du ditscours de von Kiihtmann ta. remarque que la grande question servant d& pivot à la laite en.re le& fK-uple», Bi'était pas ia question belge, et qu'abstr«ctic»n faitet de l'Alssee-Lorrainé, il n'esisfe^ji pas d'otetacle ((absolu» à la par*, po, risuivit en ces termes : Considérons encore ttae foisi d'un peu plus . près la question belge placée à présent au second plan pas le ministre allemand. .Ce que PEntente exig eet non-seulement l'évacuation de la Belgique, mais la complète et durable restauration do son indépendance polit.que et •omrnerccale. Que rapporterait â la, raillante population souffrante de la Belgique une Bel- tique divisée en deux parties telle que l'a' rouie l'es-disneelier ? Qa.e sera pour elle urne Belgique Kée à la politique ailemande fieeaie-inent et autrement et en qwekfue sorte assujettie ? Plus d'une fo s j'ai posé la question de savoir, ai l'Allemagne' était prête ;î considérer la restauration de la Belgique^ comme une c»n. ditioii de paix réelle, mais je n'ai point reçu de Kuhlmann une réponse à cj sujet. Lui qui a &u prononcer le « non pessumus » absolu, si ter ri-Jlenaent esact et piéc-is quand il s'agiosait de f Alsace-Lorraine, garde en ee qui concerne l'avenir de la Belgique, un silence p^ràgtant, mais qui n'en ca poar eeia pas moins significatif. Au cours de la suite de «on discours, Asquith revint à parler d j revend «SCkSiis des tëeibas, des Slaves du sud et des Roumains, 6£us rien dire de nouveau. Apres quoi il posa, la question, ®i les modifications propcirées par lui, pour la carte géopgrapliiqu : de l'Europe.>eont d" nature à bleseer les intérêts et i< se.ù.Èiœen; national des Allemands et répé a qu'il n'avait jamais 'été dans le» mtewt ons politiques de» Alliés de détruire l'A UemagHe ou de l'amputer. La guei-re est menée contre le militarieme prussien et contre la polrt.qne d'omm-puissanc-e allemande, qui revendique pour elle ie patrimoine de ïa terre entière comme un droit intangible ramenant à la puissance matérielle la plu® forte. Le discours qu'Asquith tint à Liverpool i«-Têt également, dans le ten et- dans la forme plus de modération que ce ne fut le cas pour les dernières allocutions d'autre3 hommes d'Etats anglais,tels que Churchill et Smits. Ce qui est particulièrement remarquab.e c'est qu'Asquith atténue !a demande formulée par lui relative à la restitution, sajis conditions, d» FAlsacC-Lorraine à 'a France, e,n dtsant qu'on avait demandé à l'Allemagne si elle était prête à faire qu.lque concession dans cette question d'Alsace-Lorraine. Une atténuati n ciu aiêm® genre, se retrouve d'ailleurs également dans tine opinion formulée par î« « Manches-t&r Guardian » sur le disconrB <hi a-ecréUire d'Etat allemand, Ce journal dit ta effet : « Si i, a,,,.,,,, |m' If " " LOIS » && sfiUS DE IJ & {près de Sa piac© «îiô@ssens) îï. von KhIiIh; jeu v^uf favor.'s(*r îa oâtee dS 1, paix, fl faut qu'il propose t«n compromis e» c qui concerna t'Alssce-Lo«r^iBe> il s'arperoutra* probsblemeiit. alors q-ue ia France aussi est prê te à une transaction. » On V£Ht qu'âa Arigieter re aussi des- idée» se fo.fl.t peu à peu jour, q,u ne s'obstinent pas à se cramportaer aux formu les tout d'abord émises, mais qui les tourSefi et ouvrent la ports à de légères modifications i pour qu'elles puissent être pius facilement ac <vt'pt&eÊ par l'adversaire. Il faut voir ausci daa > o-ïte cSéeèaration que fa peîitiq.ue des Alliés' ni pour&uivïait pas l'anéantissemetit de t'Aliema gné ni sou amputation et que tel' n'avait ja mais été son dessein, une timide tenfati'w d< i se montrer un peu moJis irréconciliable. As ' qttibh sait fort bien qu'il y a à peme quelque: i Hioiâ dé cela, des praticiens Anglais et sur fou i des français posafen't nettement et ouverte ment ocaûme but de guerre, fe irtorcelleraeïi de l'Allemagne, il suffit de se rappeler te plai qui oOlffifi'stait dans Fi ftcorporarLoa à la Franc1 d'une partie du territoire allemand, jusqu'il deià des bords du Rhin, et pour la réalisatior duquel l'appui d^ la Bu'seie afait été promi; par traité. Si Asquifh renie maintenant ces gene-l», le^ AHefisa-nsda1 fie trouvent rien à- y re dire'. Ma» il fi® faut toutefois paa attribue] trôp de poKls à oeô déclarations d Asqurth,ta« que le premier aiinietr-#, Lk>yd George ais®u re, ceiîirftft il fit dans une aHoeut.oo d'hier que l'Afigl^terre soutiendrait éco àlliée h VtZrirC TSfiia'âii Kiiî où se» enfan-s. or>"orirwéi seraiefit délivrés du joug étranger. » LA GUERRE tMMnattM QeiMm ALi.&M£MBSi DiïRtlN, H octobre. (Ûfji&sïl de rnuh.J ïitéjiire de la guerre à l'Oasat. Groupe d'armée au îbkl-m?.ieehal géîîéîal pr^acs h&titiSï Muppitdit de i&av««ô : ifur t& champ de La taille en Flandre, de-s at laques n'ont pas suivi, hier matin, au feu roulant entre ta Lys et la IJeutc. Jo^ée la jour née, l'actwn dartdleric est re&ée v.ve à la eot{ et deputs la forêt d'Uouthulsi ju-equ à Gheiu veté, &i elle n'était aceen-'aée j/rtnetpaiement h «cft*. i) ijn.poTUm%s àéiachem' nt$ d-j rticonnats sorHë fratiça'g ei anglais ont attaqué nat H-ynes en quelques endroits; ils ont été repousses. En Artois, et uu nord de mt-tyuenttn, It ■jeu réciproque s'est rallumé passagèrement, ei relation uvee des engagement^ de reconnaissance.Cfreape d'armee da pruicô kajsâiîal ailsimsaci •, Dans la partie oecidewiate dit Chemin-des Dames, vigoureux duel à'artillerie par mo ment s à la route Laufi^Soissoits. Le» i? rançon i ont dèclanché hier cinq vigoureuse^ cfmtre.at-taquec contre les tranchées prises par nous at nojrd da moulin de Vaut 1ère, toutes ont éekoét mm résxdtcH et so-ns de» -pertes clevées. ïhéatre oa lai Mtteiie à l'jasû. A pris une préparation bien méditée, par ^ coopération excellente (te l'armée et de ta ma rme, une opéraIu,h eom-mum a commencé contre l'île russe d'Oesel, située detatot le golfe dt lliga, tt organisée puissamment comme pmn< d'appui. Après de vastes travaux de déblaiement de mines da/ts les eaux littorales, le 12 octobre, clans la matinée, les fortifications de le presqu'île de Stc&rèe près de Kiel Kond, de la haie de Tagyœ et du marait de 8otlo, ont éti soumises à nos feux. Après la défaite des batteries russes, dts troupes ont été débarquées. A cette occasion, ama y u-S par l'eseo-rte de Ici flUte de transport à travers le barrage des mi. ries russes, les forces navales participantes r»il buperbeiw'-nt at.esté l'alerte esprit d'entreprise et le sanoir faire de la flotte. Sans aucune périt lie nav res, c lté première partie des opérationt a complètement réussi. Les troupes dél)arqnée.t dans îa- baie de Taggat à la côte n&rd-oue$t de l'île, ont rapidement brisé la résistance des Russes -par un allègre élan, et se trouvent en pro-grcsxfon nouvelle ver# le suà-est. Zerel à la pomte mértdiontiie de la presqu'île de S-worbt e/, Arensburg, la ville principale de l'île d'Oe. sel, s >nt cri feu. Entre la mer Baltique ét la me-? Noire, la situation est ■inchangée. Fsoaè en MasécLome. Par smt<t de violentes averses, vive action d'artillerie pris de Moitastir et dans la bo>ucU de la Gzerna-, BERLIN, 13 octobre. — Offietel - En Flandre activité d'a-rùUei'ie d'intensité alternative. Pas de combais d'infanterie. Sur les autres fronts de terre, rien d'important. Par l'd'etion commune de certaines parties de l'armée et de la flotte nous avons pris pied sur l'île Oesel, dans le gol' fe de Riga. Sur Eïeî. BERLIN. 13 octobre : Nanneaux succès sous-marins dans la sone de barrage autour ae ï Angleterre : 21,000 tonnes de jauge brûle. Parmi tes navires cimlés se trouva tnt acux vapeurs fortement chargés de eharbon, en outre un schooner anglais chargé da kaolin à destirnitum du ï'répori et un voilier ayant à bord 3,000 fûts d'ninle de graissage pour machines. A l eniboucâiti e ouest de la Hanche, -nous avons en outre gravement endommagé le voilier français « Moi seau » en l'atteignant plusieurs fois par le feu de notre artillerie. AVT&î£3Hmïï< , TIEN A E, 13 octobre. — Officiel ;  l'est et en Albanie, il n'y a rien de nou-v u à signaler chez nos troupes.  l'Ise/ifo et au front tyrolien eceiviié animée de* canons, en de nombreux endroits. Att nord de la vallée de Pelegrim, nos trou peu ïvcctales d'assaut renforcées de garde voini i U ■ » wFlErt I " flTifl fl IW M M n >1W111'M IP1111* ' r » 11 iPgfc 'V » Il |i w i < ii i ' i|.'f. "l g d1appui ont ramené des pri&mmer# et da m iénel «Ce- guerre- d& la pomtum ettmmi*, ■iÙitC» » GQUffiAJÏttNOPm, n (vïcArrit. Offre* B'ïeat pst'saa ; i Là e'MnbfA a-vec les Russe* à la fr&ntièr» pi s ae>ne que mue «ton» mentionné déjà, t'est te & miné à notre avantage. Les Musses ont étè't ' i jetés. Dans la rtgujn, de Uevanduz les Rust , ont attaqué les position» a« n-os a-Mmt-pmU * i fis réussirez « g pénétrer mais en fw0n% the - | es s de nouveau, ctafis la nuit du 9 aïs tO ock'ln Vj â'rosu syrien. ; t £e 9 octobre un croiseur titsxUwire' et i ' (rtrp.Ileur sont apports* devant Alexandrett 4 tîn union qui s'était élCvê dun du ces navift * ' a été obligé d'à!- Crrif sous notre feu d-e d fense. L'Observateur et té! pilote sont tomb à l-a. ther. Les débris de l'avion ant été t ? eucittis sur noire territoire. Le il octobre t autre avion upparim au-dessus (TAl-e-xandre'i * qid fut également obligé d'atterrir sous mot ï feu partant de terre. Le fifote- grièvement t'observateur légèrement blessés, tomb ère i entre nos mains. L'avion est encore en ét 11 d'être utilisé. Pût, d événements jxxrticufie * sur les autres fronts. ' 1 m$ïM&ïWM s SOFIA, 12 octobre .' s £'ront en HacSêciGiSé : Canonnade plus aminée de temps à autre-feu roulant aa nord de Ihtolia e.1 au- sud t ' Uohropol'fi. Au sttd de G-ftèlttveld feu d'artiU ne animé. Lne compagnie ennemie qui s a va, ' çait contre nos positions- à l'ou-est du Vardar ® un fort déuichement de reeonrumsanve i» l'e 1 d-v Vardar furent repoussés par notre fey.. A tivité de patrouilles dans la vallée de la ùytro-ma. Dans la région de la Mogi-ena un avion c; neni, atteint par notre feu d artillerie s'abatt derrière nos lignes. L'aviateur1 et l'obséi vatei sont morts. é'iohî dâ îa îiobrouscha : Paibit activité d'artillerie prè&dc Ttdcai, <. peu plies animé à l'est de Galats. RAMPAIS PARIS, 13 octobre. (Officiel de 3 h.p.m.) Sur le front au nord du l'Aisne, l'ennemi i au cours de la nuit, lancé plusieurs attaqi* contre, nos position» au secteur ttwtébU'CiUlu vreux. Malgré la vtoltnce de so>n efjort, l'et nerni n'a pu prendre pied que nwmenkmemei , : dans un élément de not.rt kg ne avancée; ' l'ouest du monument d'Hurteb.se ainsi qu'a , ; sud de La Repère, nous avons dispersé des cl ' tache rntnt» ennentu qut tfrtttmtnt d'abord t : -no» lignes. Sur la rwe droite de la Meuse, a tivité de l'artiiieree dans la région du bo e Chaume. Rie-n à s gnsiler sur le reste a [, pont. , PARIS, 13 octobre. (Officiel de 11 h.p.m.) Activité des deux artilleries dans les région de Graor.ne et de Laffaux, en Ghanipagr, dans le secteur du Mont Sans-Nain et sur i rwe droite de la Meuse dans la région de Si . . rn'ognSux, côte 344, bois de Chaume. Aucune a, i tio-n d'i-uf -nterie. HiJkàE ' > PETRG'OR.AÎJ, 12 octobre. — Offwel • : J. -e .it,- & i ÛUC-i û' t Au sud de la route de Pskof, nous avons r luMi notre si tuât ton primitive par une contr i atiugue La canonnade ennemie a refoulé ni avant-postes au nord de cette route. L'enner. a occupé divers retranchements dans ie secfei, r i de Buezacz; nous les avons re [tri s par-âne coi tre-attaque. i'roiit du vauease : , i Les Russes ont rejeté les Turcs d'une liai 1 te-ur située au sud d'Urmis. , ITALIEN ROME, tZ octubie. — Offieirl: Maneais temps coût le long du front. Dans le secteur du col Bricon (vallée de Tri vignolo/, nous avons fait sauter une fougasi ; en temps opportun; l'explosion a endontmaç, , le% gab'ries que les Autrichiens creusaient ne, nos lignes. La canonnade a été asses violente dans ' secteur de la Zugna et au nord de Tolmvno, o des colonnes d'automobiles- ennemies ont éi dispersées. AMQLMS LONDRES, 12 octobre. — Officiel : Ce ma in, à S h. 25, nous avons pris l'offei me sur-un front d'environ 6 milles (2 kit. SC m.) au nord-est d'Y près. Les rapports signe lent que nos troupes ont fait des progrès se.li faisants. Cette nuit, la pluie est tombée en alondoac( ■ " ■ 'n«ragsS38^SS8^gZ38yrinrMwir — Dernières Dépêches Les combats aa front italien. Vienne, 13 oct. — Hier après-midi, l'activât comba.frtive s'est légèrement ravivée à la suit do e aditians plus favorables- d'observation au le haut-plateau d'Asiago et au froait de Carir, tinie. I>a-ng la région des Alpes Fassanes, de troupes spéciales d'assaut et des- gardes pû*u d'appui ont pris d'assaut au milieu te'une vie lente bourrasque de neige, ane position ite liejine au sud du Peiiegnno ('affluent de gsn ehs de l'Avisio); elles ont déblayé cell«-ci su une largeur de 60Ô mètres et ramené des pr: sennisrs efc un riche butin en matériel de guôi re. A l'Isoazo, le» Italiens- ont- entretenu tt feu de diversion animé qui a augmenté d'in tf usité par encli-oits. Au Mrzli ¥eh, il y a e également des feux de mines. Les lance-mine ennemis ont éiâ réduits au silence par notr artillerie, Las eomba&5 à. i-IEsi et au gud-E0&. Vienne, 13 00t. — En Buoovine, combats d patrouilles couronné» de succès. A part cela aucune opération de combat revêtant un car su tère important. Dans la région de la Moglena au nord de Vodena, un avion français a ét abattu. Le pilote et l'observateur ont été tués Ee* averse# s'abattent sur bout 1« frsnt. a- ta, sut^îïe^o» par l'AdtgJnfcsrre a» l'èshzrzgè d*Sï téJégtaaœaes soijaassscia^x aïw Hollaude. ■#. Aansït^rditi», H- oet. — On tMégWf0& èe La ïïaye à f Ageace Télégraphique Ué^iitBtdai^ : /_ Etena le emsmtmàqaé) officsel da HB.iB:»tèr« ^es r- Afiaijçe «trangèseis, jefotif à 1» sttrpfïîmca, du e- servise des téfégyaHiraes co«w- rciaAX àâ ®iv es : pffir fe w&muée par ks g&wextte*- ■4. , nteab facitenaiœie, il nak dit ; « Le go'weiae» 14. mmtk lîéSîisttàais «g; d'avis qtt'il ai peut, ga <, ««afomev m désir d'empêcher ie tsaa«it pa-a? 6CRS territois® de saÈde, oaillmvts» «t asatôviaax f» de xWRblai, Vëat*8>»fe. arAHeia«gît« es destinés à e. Ia- Beùgique, que si le #*iv«ïncffiftn.t ferit-anni-;g, que ù-écJ aro formellement que, en dépit ck& ê- assupinceis données- par fe» auberife allemande» és et, maigTé lea «œaafcatafcioB» faite» par les offL e- eders hoflasdais, les matériaus passés en tran-tn s't servent â, des travaux de guerre. Le minis-e, tre néerla.ndais à Londres a été chargé do rje~ re ' mander, h- «ae éshéan-fc, ait gpterc memeut brtr st tanniqufr, îa production des preuve» de ce qu'il vf pourrait aîïégxef à ce sujet. 'll Vu* mwtr&U» orgsassatim û'sëpisjms^ rs anglaise. Bexlm, 14 «<jb, — L» « Besliites Zerénag ami Mittag » publie' le» renieignemen.ti 2t«'vaîi.ta su . isujet de la découverte d'uns nouvelle oi-gaxiisa- -tien- d'espicnaiage anglaise : ï/a>f£aire d'espionnage n«u.veIIeTii'-nt d«c£>uv«rte e» Allemagne ^ avait été m 13© mï pied par les tarais prineipaux le pays de l'Entente. Le bureatu. eentïal de l'or--e- ganisation semble s" trouver à Londres., d'où ». l'Amirauté et. la Secffiou des Eenseignemeiïts. H du misiatère «ff la Guerre faisait; parvenir à st la Oirfrale de Copenhague ses fnstructionB. c- Cellé-ei avait à se coaiontLet arts pi-sseri'pfcroas^ t- des attachés Basiirtaire» et; de marine, dont la «- tâche esrî, âec^ndae- par les coKsnfe et riee-con-tt sal», rejmrqnabîe»e?ft aembreux au I>ane-ir starîr. _C*est ainsi que & oolorte!' Wade, attacÉé îsiliterre anglak à Copenhague est. seocndé par lee cûtr-irfatâ dOdense, Fredêrfcia, Asrhus et ■ft Ebsbjerg, q»i lui fournissent s s agente d'ete-pio.iiîiage'.Ij©3 espions nouvetîement enrôlés sont mis ?n relations avec Wade ou au consulat géné-% ral britannique de Otypeaàagu« au moyen d'une sinrpîe lettre de recommandation ou d'introdue-tien. Le consul Hc-œbhy ee contente de remettre jl . agents sa sinrjile carte de visite, qu'ils doà-vent groduire lors de leur visite de presenta-1 tîon. il envoya.11, les espions au domicile parti-u «;li_r du coïen-eï, rue de St&va.sger, 4. Si.après un interrogatoire- approfondi, le co?o»«l troa-\r vait l'agent approprié à 1a notrv.'tfe besogne qu'on hti devinait, il le chargeait ee- rem-^ dï'e en Allemagne av. c la nai.-swœ bien déter-• minée de ^recueillir de» renseignenaenits m tel ou tel sujet. Des infractions eompl®ne»tairfs et des avances d'argent lui étaient alors fourni f;s ultérieurement par ïe consul Hudaon, 26. is Toldbodvej. Mais l'agent ne touchait sa r&m-■e néra.tiaa réelle et effective qu'après son retour « et l'accomplissement, »vpe suacèa, de sa mis- > si on. Entretemps, on coaalfeâtait à Londres l€s ^ r&-nseignftm.ents rcietteillis en AlIarfuigiK-ï par l'agent d'espionnage, I«a rémunération était : toujours en proportion des services rendus. De cette façon, un voya.ge en Allemagne de 2 à 3 semaines pouvait ne rapporter que quelques i- couronnes on bian des siommes assez rondekttêg ail Mit jusqu'à 14,000 couronnes. rs Ââiea! ks ttaatàm de- lard} sî Bottereiâm, 12 oet. — L® premier cfSjetiner r du matia dont les Anglais se eont me re rés to*a-v- jours si fiers e©rieu«ement Hissua^é. Le» atoeks de jambon et de lard sont devenus tellement réduils et l'impcwtati©» eat defeame fcel-1- lem.iifc a'éatoire, que les lils d'Albion sont obligés de se restreindre daas une large mesure. Le « Tiiafis » s'«n montre vivement préoccupé. Voici en effet ee qu'on peut lire, à c® sujet, dans- le grand journal de la Cité : ; « Les tranches de lard de notre premier dé-~e jeûner semblent, pour quelque temps tout au ,, moins, Bfuppriméee. H.er, il fut impossible de trouver, dans nombre de magasins éfi Londre», 8 le moindre mai'Ceau de lard. La pénurie dea e stocks diepeniblft», que le ministère des rivr«s faisait prévoir oe& temps derniers comme iné-" vitable, se reflète dans las buHetine du marché de Smithfield qui accusaient, mercredi, l'arrivage de 12 tonnes de îard eontre 28 ton-neB le mercredi précédent et 76 tonnes le même jour l'année dernière. Cela tient à ce que des milliers d'exploitation» agricoles et d'élevage û de porcs, à la campagne, acwit actuellement ia- > actives, parce que les frais qu'occasionne ta nO'urritttre des pourceaux sont beatwscup trop élevés, de sorte que beaucoup d. eampa-gnareie qui élevaient leurs propres porc» sont devenue des acheteurs. Malgré lie» efforts- réalisés pour importer du porc et du la.rd d'Amérique, ij ta ut prévoir que ie lard se fera de plus «11 plus rare et qu'il deviendra de plus en plus cher. » A cela vient s'ajouter la pénurie du fromage. Les fromageries du Cheshire a»iMiicen-t,]pour le ^ mois d'octobre, la moitié s u le ment d s quantités de fromages qu'elles envoyaient d'habitU-r de à Londres.Le premier déjeuner traditionnel du Londonnien se trouve donc gravement coni-promis. » t : Lee Anglais acssjsoat aussi huas paia K. K. Nous lisons d 11 1' « Algffmeeaa Handels-blad » qu'en Angleterre le contrôleur des vivre» , a autorisé l'emploi de pommes de t„rre dam ï fa fabrication du pain, à condition que l'on ne mélange pas plus d'une livre ds pa-sunses de terre à 7 livres de farina, a La i&£iins ' .iïlveïifêils. Le « Hcs-llandscli Nieuws Btirsau » a-ppremd x de Londr\s que dans un artisle paru clans le .3 « National Fced Journal », Sir Arthur Yapp e écrit qu'une famine univeraell-e menace d'amener la décision dans La gnerr® ïn-Os.dial». iihst.i Iom Musulman d» €>aîseaee, e Stockholm, 1 3ocf.. — D'après t' « Outro-, Sœe- j », un mouvement ouïssant ee manifeste parmi les montagnards mueultnans du Oau-c®»® -, septentrional. Ceux-ci revendiquent k1 droit d# é participer aux Comités deniecratiqUe» et a.ux administrations locales, corafsrBiéaient au principe d,6 nationalités. PAR Jfi!» ISéat fe M, îë3«reta», Berne, SS oet. —- Ijë eoraeMter fée5érï ïeaiel SeWetea, qai depuis 43- aras- étoit-teur et récâetei'W es cfaoS â< fe» » Gatùt JUttsasMie »v est m&rb jeudi «»iat.,a à Lau? Le défaut faiWt partie du G&tmeii iédér piri» Î899, en qnsihté de repré&jijàsfc ou p" dfes î»r«tlS96S£J)6» «B^rKHSWK»; il f fait tiw cf-eixin. now essmm asi£ Snrits de rérolts à Killya. Stoclhoîm, £3 oct, — Ls « Djea » *cç TifTi»_cfes Booreffe#. filatmaate» su sujet-situation à I£hiva, eu. se Hrettireis.eisf turi s' et déclauché ansfitét aprèe l'a-srivée êf\ vel&g i-elatives a-ux événemeate 4u ïttr& L'audace d s attentats perpétrés jotïmele par des bandée aiméee., dépasse toutes Jet ncs; ces bandas deviemnc&i d<î pin» en nombietÊ-'S. A 1a téte de ta révolte se t îe shah Djonneit, connu par |r«- réwo.'it 1916. II a. appelé gong les. armes toute la-Istion maseufine de la pjtrtie uorct-otK Kkfva.. DÉPÊCHES fSsp; i-éint€t de l'édii ton prw-'-deifte, Le ïéêaîtat final des dix graaoeti attacdie» va FîaiKire Berlin, là octobre, — En dix graiwk tailles d'une violence inouïe et an jaix dépejB&e <te munitions- tel te qu ebe me s encore jamais, vue jusqu ici, i'AngLterre sayé d'amener la décision stratégique qu vait la mettre en possession de 13- laasfc t , vttail-iement de» sous-manns aDema-jade s côte c£e Flandre. .Le gain total réalisé au de ces dix batailles consiste en ceci, qi front de défense allemand fut refoulé stu largeur approximative de 30 à 35 kiion et sur une profondeur de 4 à 6 kiioni Pour obteni-r c% succès, l'Angleterre a dû tre en jeu l'élit# de ses troupes et sacrifie centaures, de victimes, sans compter te» j; subies- k? 4 et le 9 octobre. Ces perte» ci sent de1 beaucoup celles- smb.es pa.r folie sanglante du général Nivelle, Sur ie& h«etf les Angiaia k om pu prendre pied que aa légion méridionale, da-nS' ia direction de luiveit-Zonneeeike. Le ga. n total, obtenu aux dix attaques de grande envergure en . ; dre repîésf'nfce à peine ie Uers «lu gain d* rain consécutif à ia bataille de ia Sobib [ té'tl?. Quoique l'Angiet.ïre ait ac» en 1% i px-esque feotaii^i de ses, force® de ne-rre, sot - appuya-s por le.5 forées £r»»§»i®e», centre ; lement une fraetion de l'arasée aiismande ; n'a pas pu réB.-sir à limiter dan» la mer mesure l'initiative du commandement mand. Tandis qu'il n'a pas été permis qu'ici à- îa tactique de Ilaig d't'iiurepr<. des opérations de grande envergure, le sys de défense allemand, sur te front ouest, p< non fie-uieraent de tenir tête à toutse les ques anglo-françaiges, nu.s aussi de remp d'importante succès en Galice et dans le i vine, à R ga et à Jacobstadt. En oe qui cc ne la vanLardi*e des Anglais, affirmant < pouvaicMt, s'ils le voujaient^nitier tous lee ia guerre de mouvem.'n contre l'armée du ce royal lïupprecht, ktirs sérieux éohees d derniers jours ont amplement démontre qi* te gandiioquence là se 1 aumait égafeme bulles de savon. Ce qui est intéressa0; t"t> nouveaux compte rendus, c'est que 1 gleterre,do»t les communiqués correspond-jusqu'ici à peu près à ia vérité, se trouve gée, probablement, par crainte d'avoir à 1er la. sanglante vérité, da ranimer l'e guerrier de som peuple par dee mensonge ce genre. De plu», le& annonces de vie wivenfcéeg d'un bout à l'autre sont destin mettre en désarroi le jagement des nev Cette teniat.ve d'inductien en erreur ne dra pas debout devant ceux qui sont dé| de parti-pns. Lee dix grand o attaque; Flandre 11e constituent re ri autre qu'une ininterrompue d'échecs anglais des plu» séj «t de» plue sanglants. Les iouîî.ea eaeïiûces aaglaKi à I'oues Berlin, 13 oet. — Le» sacrifices en ma»; sang anglais au front ge Flandre co-n-tmi La pîwe persistante de o s derniers jou transformé le terrain ae combat ea i* i«i en une mer marécageuse. En dépit des 1 cuites inouïe» résultant de cette situation l'assaillant, les Anglais ont continué leur foies désespérés pour obtenir un succès si! en un endroit quelconque du front. F; réduction de 10 kiiomêtres en largeur de froait de cotnUst ils tentèrent par l'engage: eu niasse de leurs forces u'a-rtilierie eL d a ter;e entre les routes de Langemarck-I. hulst et Zomnebeke^Moor»iede, de frappe coup décTtït, q»i nc-. nn'foins vint sè briser tre l'héroïque résistance des combattante mand» en Flandre. La préparation d artii en vue dec<H asouiït dépasse bJaucoiap celle jours précédente. A diverses repiise» les ques réitérés de l'i.ifa.»ter e anglaise »'é< lèrent avec les pertes les p.us sanglante» notre feu de barrage et de défense, enti gare et le village de Poekapelie, par gagemen-t sans merci de forces sans eetai nouvelés, l'enn..nn réussii. finalement à 1 eer dan® les champs d'entonnoirs situés ei endroit, sur uns faible profondeur, L's bate acharné» ont duré jusqu'au soir-. Au t des combats n-ou» avons réufei à reconq »ne partie du terrain perdu au noîd de P pelle et de repousser de nouvelles attaque, nc-mie»dans fe- région de Poelcap Lie et ai de cette localité. La légère incurvation de notre front qu le seul gain réalisé par l'en-«^em",-i-t en n df's forces ennemies, fut paye pa.r l'ennen prix des plus lourds sa luiees sanglant*, dehors de la zone diminuée de jon fr..n eotnbat l'adversair» tenta également une que partielle le 12 oetobr* près de Gh&In qui s'écroufe- avec de» perlais coKstiiér. pour l'ennemi. Durant toute la nuit 1? feu ta très intenae sur le ehamp de bataille

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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