Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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27 september 1918
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s.n. 1918, 27 September. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/m03xs5m54m/
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Le Bruxellois Vendredi 27 Septembre 1918. - N° 1432 ABONNEMENT Bruxelles - Province - Etranger Les abonnements sont reçus exclusivement par tous le§ BUREAUX DE POSTES. Les réclamations concernant les abonnements doivent être a< 'casées exclusivement au bureau de poste qui « délivré l'abonnement. PRIX DES ABONNEMENTS : 3 mois : 2 mois • 1 mois : Fr. 9.00 Fr. 6.00 Fr. 3,00 TiRAGE : 12S.OM âmsr J O IT JE* NAIv QUOTIDIEN INDEPENDANT Vendredi 27 septemure 1918. » N° 1432 Annonces n":* Echo: : : ; •. : : ^ Annonces commerciales nJJJ Annonces financières .!!!!" 200 PETITES ANNONCES. . . La grande ligne. 2.00 Rédacteur en chef : René ARMAND Rédaction, Administration, Publicité, Vente : BRUXELLES, 33-35, rue de la Caserr TIRAGE : 125,000 par jour I Tî Lril Communiqués Oîïîciek allemands BERLIN, 26 tept. — Officiel: Théâtre ci a la guerre à l'Ouest Croupe d'armées du prince héritier Ruppr£ Combat d'avant-poste s dans les -plaines de Lys, au nord du canal de La Bassée et -près m oeuvres- Croupe d'armées du colonel-général von Bo Le "Jffilenl feu de l'ennemi ati sud-est d'Epi et près de Bellecourt ne fut suivi que d'attaq partielles, qui furent repoussées. Entre le ruisseau d'Omignon et la Somi l'ennemi a continué ses attaques. Le premier saut s'écroula sous le feu concentrique de ne artillerie et de notre infanterie. Le centre de g vite des attaques répétées fréquemment durant matinée, était dirigé vers la hauteur entre P truet et Gricourt, sur laquelle l'ennemi a pris p sagèremént pied. Nous l'avons reprise en cow attaque. L:a-irès-midi, les Français procédèr de nouveau à de fortes attaques entre Franci et la Somme, qui à part quelques petits endrt de pénétration, furent repoussées. Au cours deux derniers jours, nous avons fait plus de , prisonniers en cet endroit. Croups d'arméss du Kronprinz allemand Au cour? d'une entreprise locale d'attaque, nord d'Alternant (entre Ailette et Aisne), n. avons fait des prisonniers. Au nord de Vait nous avons repoussé des attaques partielles l'adversaire. Croupe d'arméss du duc Albrecht A l'est de la Moselle, nous avons repoussé t attaque partielle de l'ennemi. Les troupes de 31e brigade de la landwehr, combattant en endroit, ont fait, en contre-attaque, 50 pris• ni ers français et américains. Nous avons abattu 7 avions faisant partie t escadrilles ennemies qui ont attaqué Franeft. sur-le-Main et Kaiserslaùtern. BERLIN, 25 septembre. — Officiel: Entre le ruisseau d'Omignon et la Somr, nous avons repoussé de nouvelles attaques l'ennemi. autrichien VIENNE, 25 septembre. — Officiel: Sur le front au sud du Tyrol et entre la Bre\ et le Piave, l'ennemi a continué hier ses at ques partielles près de Canova. Les assailla — Italiens et Slovaques — ont été repoussés ■ toute la ligne, à un endroit par une contre-at ^ue de dragons de Pardubitz. bulgare SOFIA, 23 septembre. — Officiel: Front de Macédoine Nos troupes ont, dans la vallée de la Skun supérieure, envahi les tranchées ennemies et ont ramené des prisonniers français. Près de Mohra Planina et près de Cervena Stena, m avons dispersé plusieurs détachements d'asSi ennemis. Au nord de Bitolia après une viole> préparation d'artillerie, des bataillons ennen ont attaqué notre position; nous les avons repo sés avec de lourdes pertes. A l'e?nbouchure la Cserna, recrudescence de la canonnade, i. le reste du front, opérations peu actives. Au nord de Bitolia, les aviateurs ennemis < lancé des bombes sur des ambulances, malgré . signes distinctifs habi'uels. TURC C ON ST AN TIN O P LE, 23 sept. — Officiel. Front de Palestine : L'exécution de nos mouvements se pours, suivant nos plans. Les Allais nous suivent \ à pas. Pour le reste, rien à signaler. franc; aïs PARIS, officiel, 25 septembre, s h. p. m. Au cours de la nuit, activité d'artillerie dans région de Sainl-Queniin et entre l'Ailette et l'Aisi Une attaque ennemie dans la région de la (en Moisy a subi un complet échec. Sur le front de Vcslc, la lutte d'artillerie se maintient assez vh Nous avons repoussé des coups de main ennen en Champagne et en Lorraine et réussi dans cet dernière région une incursion dans les lignes t nemles. Nuit calme sur le reste du front. " l'A Ht S, officiel, 25 septembre, H h. p. m. Dans la région à l'ouest de Sainl-Qucnlin, l'i nemi a tenté au cours de l'après-midi de nous r jeter de l'Epine de Dation. Tous ses assauts c clé repoussés. Entre l'Ailette et l'Aisne, la journ a été marquée par de violentes réactions de l'e nemi sur le plalcau de la ferme Moisy et la régi au nord d'Alternant où des combats acharnés 'c eu heu toute la journée. En dépit de ses effoi répétés, l'ennemi n'a pu réussir à nous enlev iios gains des jours précédents. L'ennemi a si de lourdes perles et laissé des prisonniers ent nos mains, llien à signaler sur le reste du front. italien ROME, 2!t sept. — Officiel: Sur le haut plateau d'Asiago, des délaci tnents de bersaglieri et des Ichèques-slovaqu ont donné un violent assaut aux puissants retre ckeménit de la Cima Ire Peszt (confluent l'Assa et de la Ghelpac) et y ont pénétré. Ils o infligé de lourdes pertes aux défenseurs, fait ■prisonniers, pris 2 mitrailleuses, puis sont re très dans leurs lignes sans être inquiétés. Au nord de la hauteur 703 du DoSso-Alto, no avons dispersé des détachements qui tentaie d'approcher de nos avant-postes. Dans la vall de l'Ornio». une de nos patrouilles a repoussé ' important détachement. Dans les secteurs de Posina et de l'Astico, ainsi que sur le Piaz entre Zengon et Mus'il'e, violente canonnade ré. ■frroque. t Un avion ennemi a été descendu en comb aérien. ANGLAIS LUNDttES, 2i septembre. — Officiel : La bataille a pris une tournure favorable pa noua dans le secteur à l'csl de Vcrmand; nous avo: tcqè.ainenl progressé: Nous ,avons efficacement i poussé une attaque locale exécutée hier par l'ennet au nord de la petite ferme de Priel et fait des p sonniers. Les Allemands ont attaqué, ta nuit, n nouvelles positions au sud-est de Gavrelle; celte c laque, appuyée par un violent feu d■ barrage, a é repoussce. Notre ligne est restée intacte. Nous avons amélioré nos positions immédiateme lu nord de Mœuvres et une petite opération local exécutée la nuit, nous a permis de reprendre u: partie de noire ancien front au sud-est de Vçorm icle. Nous avons dispersé, la nuit, des délachemcn l'assaut ennemis à l'ouest de Bcllenglisc et à l'e île Neurr-ChnpeUe. Les Allemand* ont exécuté i toup, de main contre un d* nnt iwslcs établi au si lie la Sccirpc. En liaison avec les troupes françaises, nous avo: exécuté ce matin une heureuse opération dans secteur de Sainl-Queniin. Nos troupes onl allaq; h l'aube, sur un front de plus de i milles, du rui teau d'Omignon vers le sud; elles ont rapideme avancé tout le long de ce front et (ail 800 prisonnie environ. 1.,'ennemi a énergiquement résisté sur i grand nombre de points, notamment dans les eni rons de Hulençy, où l'on se bat encore. Nous avons légèrement amélioré nos positions c cours des combats Idéaux qui se sont encore livr çe maltn au nord-ouest d'Epehy. LONPBES, 94 septembre. — Officiel de l'arm, (le Palestine : A l'est du Jourdain, l'ennemi se retire dans direction d Amman, sur le chemin de fer du lia laz, poursuivi par des troupes australiennes, né Irlandaises, hindoues et juives, qui on atlteint li PU» prisonnier# et pris de§ emons. l'U au nord, sans n'avoir à vaincre qu'une médiocr résistance, notre cavalerie a occupé lîaifa et Alclca Le nombre de nos prisonniers augmente et le chij fre déjà signalé de 25,000 sera largement dépassé. Les troupes arabes du roi Hussein ont oceup Alaan; elles harcèlent les détachements ennemis qi battent en retraite vers le nord dans la dircclio d'Amman, le long du chemin de fer du lledjaz. nt t Le dissoars t!a chancelier sur la situatio Une annexe Par suite d'une omission involontaire, u , assez loniK passade du Chancelier ne nou est point parvenu hier. Lorsque le Chai celier paria de la campagne de mensong-es (1 nos ennemis contre n-ous, il poursuivit en Tï î- «^nnei!,1. i f « Ce qui n'avait point su être atteint par 1 parcle écrite ou parlée devait l'être par l'imaRX a véritables produits d'une fantaisie diaboliqu l~ dont on se détourne _ avec horreur et mépris l~ Mais le but ne fut point atteint. Parmi les popi lations ennemies s'est levée une haine contre le 1 Puissances Centrales et en particulier contr ? l'Allemagne, qui dépasse tout bon sens. f. Vous avez tou% lu le dernier discours de Ck iq menceau qui a paru dépasser en haine fantast que eit en grossièreté d'expression tcut ce qui précédé. Mais comme le prouvent les manifeste qui parviennent jusqu'à nous, il a trouvé u u écho multiple en Amérique. L'ivresse belldqueus :s la plus sauvage bat son plein en ce moment au /, Etats-Unis. On se grise de l'idée que l'Ainér e que doit apporter aux peuples de l'Europe çer traie, réduits à l'état de vassaux, les bénédiction de la culture libertaire moderne et on se réjou on même temps des nombreux millions que le e armements de guerre ont fait affluer dans le a poches des brasseurs d'affaires. La théorie et 1 '' pratique sont des choses également différente l" et l'adage de la paille dans l'œil des autres t die la poutre dans son propre œil, se confirm s par las manigances de l'Entente. Les puissac !- ces de l'Entente ne tarissent point sur la lépre bation de notre invasion de la Belgique, mais il glissent calmement sur la violentation de la Grè ce, sur leur immixtion dans les affaires int<; rieures du pays, et sur l'abdication du rci, corn e me- si c'était tout naturel. Elles se posent e' champions des nations opprimées, mais les souf frances et les tracasseries séculaires de l'Irlan de ne trouvent écho nulle part, pas même dan l'Amérique septentrionale qui doit cependant sa a voir à quoi s'en tenir par les récits des nom breux immigrants irlandais et le giouverinemen s anglais qui a dans la bouche avec une prédi r lection particulière les mots de droit et de ]us tice, a trouivé récemment moyen d'accommodé ce principe en reconnaissant comme puissant belligérante un ramassis de bandes tchéco-slova ques. Quelle sera la conduite du peuple aile mand vis-à-vis de . tout ceci? Plein d'anigoisse implorera-t-il sa merci? Non ! Se souvenant d son grand passé et de sa mission plus grand' n encore, dans l'avenir, il restera debout et n< a rampera pas sous sa croix. La situation es s grave mais il n'y a aucun motif pour être plu , pessimiste. La muraille d'airain au front d' g l'Ouest ne sera point percée et la guerre sous marine accomplit lentement mais sûrement s: tâche, qui consiste à réduire le tonnage et à me ' naoer ainsi efficacement et à restreindre san ® cesse davantage tout le renfort en hommes e en. matériel qu'envoient les Etats-Unis. L'heur viendra, parce qu'elle doit venir, où nos enne ■l mis viendront à résipiscence et se déclareron s disposés à ^mettre .un terme à la guerre avan que la moitié,du monde rue. soi*-devenue-un mon ceau de ruines et que la fleur dé la force viril ne gise morte sur le sol. En attendant, il s'agTt de former avec sang froid et confiance, avec unité et fermeté, ui t noyau compact. Peur nous tous, il ne peut ■ s avoir qu'un seul but, un seul intérêt : la protec tion dé la patrie, de son indépendance et d< sa liberté d'action. Pas de dissensions entre 1 gouvemement et le peuple. Le gouvernement ni veut collaborer qu'avec le peuple et pour le peu i pie, et il ose espérer que celui-ci se trouve der rière lui. Certes, chez nous aussi, il v a des di » vergences de vues en matière ]>oiitique et !; i période qui suivra la guerre ncus mettra égale ci. x vi ^ v a.i.1 l uuuv^uua jjiuuicil Discours du vice=chaficelier von Pai Discours du Yice=chaficeher von Payer Berlin, 25 sept. — Au suiet des pays occupé: i. à l'Est, le vice-chancelier signale l'avantage qu'il : aurait à s'entendre avec ces nations sur les ar 1 rang-ements nécessaires pour régler de part e e d'autre les rapports de droit gouvernemental, no tamment en ce qui concerne les chemins de fer a postes, télégraphes, douanes, impôts, régime n o j nétaire, poids et mesures, etc., indépendaaunen „ d'une convention également nécessaire portan r suir' l'armée et la marine. Au sujet de la future forme de gouvrmerien e des provinces baltiques, il y a diverglence de vues. Les opinions favorables à un régime répu blicain viennent se heurter au fait que les cen seillers d'Etat ont opiné en faveur d'un zcoarc individuel avec la Prusse. Depuis le 1er août, le Baltikum et la Lithua s nie ont chacun leur administration ; en ce der nier pays, la «Taryba», assemblée de 20 n.em g bres, serait insuffisante; il n'est pas quesiior j de l'annexer non plus que le Baltikum, aussi le: q deux pays vont-ils retirer de grands avantage: t du protectorat allemand. Je saisis cette occasion, dit l'orateur, pour revenir sur les points traités par mon discours de Stuttgart, et pour répéter qu'à l'Est, nous -wons la paix, n'en déplaise à tout ce que vienneni prétendre nos ennemis de l'Ouest, et cela, en 12 vertu d'un traité approuvé par les régions inté- 2 ressées. Ncus avons la paix avec la Russie, avec > l'Oukraine et avec la Roumanie. Le traité de Brest-Litowsk a d'ailleurs été chèrement acquis ; l'altérer durant la guerre reviendrait à mettre la t patrie en danger. Les Etcfts frontières tenaient à se libérer de la Russie, et cette dernière ne les a pas retenus ; il faut bien qu'ils se ratta-- chent d'un côté ou de l'autre, étant trop petits pour prétendre à l'indépendance complète ; au-* eu ne grande puissance ne voudrait tolérer une s situation dans laquelle ces petites nations -pourraient se tourner tantôt vers l'un, tantôt vers i l'autre ; c'est à l'Allemagne qu'ils désirent être rattachés, tant mieux pour nous, mais d'aman f i. plus intense est alors la contre-partie de nos ennemis ; qu'en propose donc à l'Angleterre de ; se prêter à ce que, dans le traité de paix, le sort de l'Egvpte dépende du bon vouloir des Puis-l sances Centrales ! Encore a-t-elle acquis ce pays par la violence, et les Etats-frontières en ques-J tion se tournent d'eux-mêmes du côté allemand. Tout cela p;ut également s'appliquer à la Pologne. Etp les négociations de paix nue nous fe-j rons un jour avec ncs ennemis de l'Ouest don-I neront lieu à des perfectionnements des traités , conclus avec les Etats-frontières de l'Est. 11 ne , faut pas croire à la possibilité d'éviter toute immixtion des ennemis ; mais c'est précisément pourquoi il ne faut pas agir maintenant ds ma-< nière à Augmenter encore les difficultés. Si nous ■ précipitons les choses, nous finirons par sortir - les mains vides et gros-Jean comme devant, résultat visé par l'adversaire. Si celui-ci faisait ! preuve de maîtrise de soi-même et de désinté-! ressement au point qu'il nous serait possible i d'admettre son immixtion sans piéjudice de nos intérêts, il sera encore temps de conclure un arrangement : d'ici là, un gouvernement sérieux t sera préférable à tout régime basé sur un idéal , u topique de justice et de bon vouldir. Rappelons-nous le proverbe : «Tiens ce que tu as acquis ! » on présence d'ennemis dont les vues et ' les agissements ne s'embarrassent pas de semblables utopies ». (Appl.) i Pour clôturer la séance, le général von Wries-bergr a complété ses informations relatives à la situation militaire en exposant celle qui prévaut en Mésopotamie ainsi qu'en Perse, puis la séance suivante a été fixée; à toçrcrçdi matin,, - * Discours du capitaine voa Briiniaghau sur la guerre sous=fflarine I,e capitaine de marine Bruninghaus s'est e Ul primé en ces termes : m « La situation militaire navale se résume peu de mots : bonne pour nous. En parlant ai si, non seulement j'interprète l'opinion qui pi vaut au département de la marine, mais ce de tout le front et, chose sur laquelle je tie ijj à insister, celle du haut commandement de guerre navale. L'opinion de la marine sur situation actuelle de la guerre sous-marine e basée sur deux faits : d'une part, que le chiff de tonnage cculé par nos sous-marins dépas JS celui <l:s constructions nouvelles, tandis qu ?" chez l'adversaire, les besoins ne font que cri ai» -tre ; d'autre part, que, malgré toutes les m sures répressives de l'adversaire, notre sous-m rin est une arme de plus en plus efficace. C la sait, au département de la marine, que, ape e. remment, des_ influences_ ennemies ont fait i pandre, parmi notre nation, des bruits relata s. une perte colossale de notre effectif en sou u- jnarins, mais, en réalité, loin de s'accroître, c °s pertes ont diminué comparativement à celles a re térieures. Afin de couper court à des doutes ce sujet, soit chez l'ennemi, soit chez nous-m e- mes, quant au manque de fondement de ces r :i- mieurs, je déclare expressément ici que le no: a bre des sous-marins en activité est actuelleme îs plus grand qu'il n'a jamais été durant la guéri in Par suite des événements au front Ouest, il e se compréhensible que chez nous l'intérêt por ix aux événements sur meir se soit quelque p-c ■i- relâché. Mais en Angleterre, il n'en est pas ai n- si, malgré la marche des faits sur terre, on is suit assidûment les phases de la guerre scu ,it marine, avec une attention des plus soutenue ;s Je pense y voir la meilleure preuve que les rr ;s lieux compétents, en Grande-Bretagne, n'ajoute: la aucune foi aux rencontres prétendant qu'on ;s a eu raison du danger des sous-marins. Touti et ces allégations comme quoi les sous-marins ce (e sent de constituer un danger, voire même ui i- menace eu un ennui, que les politiciens enn 3- mis prodiguent dans le but d'influer, sur let ls public, n'ont pas bien pris sur ce dernier < s- présence des effets de plus en plus manifest< de la guerre sous-marine. Les impressions e: i- traites de la presse étrangère, en date du S n août, et dont j'ai le texte sous les yeux, soi f. ainsi libellées: On suit instamment et anxieusi 5 ment la guerre sous-marine. On rappelle, à 17 is mérique, en cette occurrence, qu'elle devrait pa ticiper bien plus activement à sa répression. I i- mécontentement s'exprime avec une violence pa it ticulière au sujet du soin, pris par les officie! j. pour cacher les pertes de navires, notamment d< 3- grosses unités, par suite de la guerre sous-m; :i rine. On est encore loin de pouvoir parler d'ur :e disette de tonnage, mais elle s'accroît nettemei j- par des pertes de transports américains de troi pes. Voilà, émanant de la presse anglaise, qi i, confirme purement et simplement ce que j'ava: le dit pour débuter, quant à la situation de la eue :e re sous-marine, quand j'ai affirmé que cela v e bien pour nous ». ;t L'orateur insiste ensuite sur l'importance c ls ces considérations au point de vue psycholog le que. Il ajoute : « On peut avoir sur la nécessité de la guer) a sous-marine l'opinion qu'on voudra ; dans le milieux de la marine, on est toujours couvait s eu que cette guerre est le seul moyen de metti ;t les Anglo-Saxcns à la raison. Du reste, apre e s'être décidé à employer contre nos adversaire les plus tenaces l'arme la plus efficace, il fau it pour être logique, mettre tout en œuvre pot it maintenir parmi notre peuple la foi en l'effic; i- cité de cette arme. La mSTfai'- à elle seule n'e: e pas à même de le faire ; elle a besoin d'êti secondée par les représentants autorisés du pei r_ pie qui peuvent agir sur l'opinion des masse "n beaucoup mieux que le gouvernement ». L'orateur fait appel au dévouement des oi vriers et de tous ceux qui peuvent avoir sur eu une influence. Il voit dans leur travail l'appt moral et effectif sur lequel doivent pouvoir cornj ter les équipages des sous-marins. . « D'après l'opinion qui domine dans la m: rine, ajoute-t-il, l'Angleterre s'est trouvée, il • " a un an environ, devant le problème vital de s: „ voir si, après les rudes coups qui atteignaie-r , son tonnage, elle conclurait la paix sur une bas ; raisonnable et_ mettrait fin au meurtre et à 1 ruine de la civilisation européenne, ou si, cor tinuant la guerre, elle se rangerait sous l'hég( monie de l'Amérique. Il ne m'appartient pas < il est d'ailleurs oiseux de rechercher pour que les raisons elle a pris le dernier parti. La m; s rine doit accepter le fait et mettre tous ses e: y forts à mener la guerre à bonne fin. La ferm :- volonté de vaincre, la confiance dans la puissar ;t ce de nos armes ont assuré à notre flotte, dan >- la^ bataille du Skngerrak, malgré l'écrasante st -, pénorité numérique de l'adversaire, un succè >- sur la flotte anglaise, jusqu'alors réputée ir it vincible. L'esprit du 31 mai 1916 est toujours v [t vant dans notre flotte et, nous en sommes cor vaincus, mènera la guerre sous-marine au bi t qu'elle poursuit. Dans beaucoup de milieux a e lemands, on s'est habitué à estimer l'efficacit L_ de cette guerre d'après les chiffres des perte _ journalières et mensuelles. Ce calcul est inexact j II faut considérer l'ensemble des résultats et n pas se lais-ser induire en erreur s'il arrive qu quelques jours ou même tout un mois offren des chiffres qui ne cadrent pas avec les précc dents. Lord Selborne, essayant récemment à 1 ■' Chambre anglaise de'mettre les lords en gard ™ contre la tendance à sous-évaluer le danger de ® sous-marins, comparait fort justement cette guei re à des vagues offrant des dépressions et de points culminants. Si l'armée de terre, avec tor - te la puissance dont elle dispose, reste inébrar e lable derrière le front de nos sous-marins, ils at s teindront leur but, à savoir une paix qui rou c assure les conditions d'existence et l'intégrité ci l DERNIERES DEPECHES j L'OFFENSIVE ANGLO-FRANÇAISE e Berlin, 25 sept. — Depuis le début de sep ^ tembre, la pression des Anglais contre la po g sinon Siegfried s'est sans cesse déplacée da vantage du Nord vers le Sud. Simultanément „ Foch a assailli avec des forces massées et ave I une opiniâtreté extraordinaire, le front alterna®* 3 de la région Cambrai-St-Ouentin, tantôt en con s tre-attaques serrées, tantôt par de fortes attaque partielles. Le 24 septembre, il engagea des for ces anglaises considérables contre la région ai 3 nord-ouest et à l'ouest de St-Quentin. ' Toute : les attaques s'adressaient en premier lieu à 1 ^ hauteur dite Tomm'y entre les ruines des villa . ges de Pontruet et de Gricourt. Selon leur ha ' bitude, les Anglais se lancèrent à l'assaut. D fortes masses d'infanterie, appuyées par de nom breux tanks et par des aviateurs de combat, s'a vancèrent sous un feu d'artillerie des plus in tenses. A la suite des premiers assauts, nou perdîmes les deux villages. Néanmoins, les An ' glais ne parvinrent point à tenir tête aux contre - attaques allemandes, engagées méthodiquement grâce à la protection d'une forte artillerie; Pont E ruet et Gricourt furent reconquis. Au cours d'un lutte opiniâtre, la hauteur Tommy, qui change; ; plusieurs fois de main, rentra en possession de r Allemands. Plus au sud, les Français avaient réus ; si à s'emparer de nouveau de Francilly-Selency 1 l'adversaire attaqua de nouveau après une brèv ■ préparation d'artillerie, sans réussir toutefois ; - gagner du terrain au-delà du village. 5 officier 1 et 50 soldats restèrent aux mains des Allemands 1 Entre Ailette et Aisne, de fortes patrouille; j françaises attaquèrent à plusieurs reprises dan 1 la nuit du 2.3 au 24 septembre. Le matin du 2 septembre, le violent feu engagé ne fut suiv que d'une attaque partielle au sud de Vauxail Ion, qui fuit repoussée au cours d'un combat d> grenades à main et en contre-attaque. Sur le autres fronts, vive activité des patrouilles. Ai cours d'entrea>rises effectuées par nos troupes nous avons ramené à diverses recrises des pri sonniers ; à l'occasion d'une de ces attagues ai nord-est d'Ypres, nous avons réussi à faire sau tex 14 abris ennemis et à ramener &2 prisonniers g La récolte des pommes de terre en Franc Paris, 26 sept. — La récolte des pommes terre sera très minime et il est nécessaire i les petits tubercules employés pour la noui x" ture du bétail servent dorénavant à l'alimer tion humaine. en n- Fin de la grève des cheminots .en Angieter é- Londres, 26 sept. — Le gouvernement av lie adressé aux cheminots en grève un appel d; ns lequel il fait ressortir la grande importance la la reprise de leur travail, une assemblée des c la minots, tenue à Cardiff, a décidé de repren< st le travail jeudi. rc * se Les Insoumis dans l'armée américains e, New-York, 26 sept. — L'«Evening News» é< )î- que malgré les efforts faits par les journaux p< er exciter l'ardeur belliqueuse des régiments p a- tant pour le front, et quoiqu'ils dépeignent )n vie de soldat sous ies couleurs les plus roses, a. nombre des insoumis s'accrcît tous les jou é Dans un seul régiment recruté pour la majei nt partie à Manhattan et à Brooklyn, 20 à 25 hc s- mes par compagnie manquaient à l'appel es moment de l'embarquement. Les journaux s' n- forcent de représenter ces faits comme le arés à tat du hasard et les expliquent en disant que ê- adieux à leurs proches les avaient mis en u- tard. L'autorité militaire prend cependant u a- attitude très énergique. Elle attire l'attention : nt le fait que tout homme qui incite ou aide e, soldats à déserter, se rend punissable, surt< st en temps de g-u-erre ; elle a décrété de plus < té mesures contre les officiers chez lesquels i ju, désertions sont fréquentes. a" Explosion à bord d'un vapeur américain r L'«Hollandsch Nieuwsbureau» apprend de Ne s York qu'une explosion d'acétylène s'est produ jl au port de Brooklyn, à bord du vapeur amé 3t cain «Hulton Wcod», dont la cargaison d'hu y a pris feu. L'explosion a blessé un grand no ' bre d'ouvriers du port Sept personnes ont < s_ tuées. 1e Le manque de combustible en Italie Lugano, 26 sept. — Le préfet de Milan a lan ir un appel émouvant à la population, l'invitant j11 recueillir les noyaux d'abricots et de dattes. 1 "s coques des amandes, des noix, etc., afin qu' c~ puisse en fabriquer un combustible spécial po <> les nécessités de l'armée. Démobilisation partielle en Hollande L- La Haye, 26 sept. — Le gouvernement h( r- landais aurait l'intention d'envoyer en congé e limité les trois plus anciennes classes de la ti r- ritoriale. Le nouveau bourgmestre de La Haye Amsterdam, 2G sept. — Le Dr Fatijn, bour e mestre de Leeuwarden, vient d'être nommé p lt arrêté royal aux mêmes fonctions à La Hay en remplacement du jonkh-eer van Karnebee jj devenu ministre des affaires étrangères. La situation en Chine L" Pékin, 26 sept. — Le chaos règne en Chin Les luttes entre Nord et Sud sont arrivées à i point mort et le pays est infesté par les b ■ gands. La presse chinoise annonce que l'ai bassadeur britannique à Pékin a offert au n nistère des affaires étrangères la médiation . ^ l'Angleterre et des Etats-Unis. i- Départ de Londres de Litvinoff e La Haye, 2>3 sept. — Litvinoff, représenta :fl des Soviets à Londres, s'est embarqué mercre s avec cinquante-quatre autres Russes à destin t. tien de la Russie. Mme Litvinoff est restée t Londres avec ses deux enfants. On sait que I gouvernement anglais avait consenti au dépa •t de Litvinoff, à condition ■ que le gouverneme e russe ne s'opposât pas au retour des représe tants britanniques en Russie, par le territoi :S des pays neutres. [. La guerre sous-marine x Skagen, 25 sept. (Ag. Ritzau). — La cano II nière suédoise «Gundeb a heurté une mine à, milles de Skagen. Sur 29 hommes d'équipag elle en a perdu 19 ainsi que le capitaine ; 1 i- dix autres ont pu être recueillis par des torp. y leurs et débarqués au port où l'uu d'eux est a i- rivé mort, un autre gravement blessé, trois a t très légèrement blessés. On pense qu'il s'ag e d'une mine faisant partie d'un champ minier a a solument nouveau. !" Berne, 25 sept. —- D'après les journaux am " ricains, il y aurait lieu d'ajouter ce qui suit ; I rapport d'avant-hier sur les opérations des sou marins à la côte américaine. Le «New-York Times» dit que depuis l'appai e tion du premier sous-marin dans les eaux am ricaines, il y aurait eu, dans la période du : s mai au 13 août, 31 navires coulés. La fréquem croissante des attaques à la mi-août a susci s une vive agitation et même, à en croire le jou nal cité, aurait donné lieu à une assemblée < [. cabinet. Le même jour, le schooner de pècl «Barl Lattie» ainsi que le vapeur norvégù j «Sommerstad» de 3,875 tonnes auraient été co _ lés ; ce serait le second vapeur norvégien cou g depuis la mi-mai. s L'eEvening Post» du 16 août annonçait la de truction non loin de Norfolk du bateau aut e moteur brésilien «Madrugaga» de 1,613 tonnes e Le «New-York Times» du 22 août annoni t que le vaisseau allemand «Triompha déjà ci - auiait causé des dégâts considérables au bai a de Terre-Neuve; une infSrmation reçue de Mon e réal annonce qu'il y aurait détruit la totalité < s la flottille de pêche, composée de neuf schoi '- «ers de la Maritime Fish Corporation. Le sou s marin accompagnant le «Triomph» aurait cou - le schooiier «De la Garde». Au Sénat des Etat Unis, Mac Cumber et Penrose auraient formu - des plaintes sérieuses à charge de l'administr; s tion de la marine qui, disent-ils. ne parvient p; e à maîtriser les sous-marins ; Lodge, présidai du comité de la marine, répondit que toutes li mesures répressives avaient été prises. L'info mation du 23 août de 1'«Associated Press» s gnale, en outre, la destruction du vapeur br , tannique «Diormed» (4,700 tonnes), après u * combat d'artillerie de courte durée. Le «Nev York Times» du 2 août annonçait le coulag1 . survenu peu auparavant, du vapeur pétrolier «I Blanca» et du vapeur britannique «Eric» (6( . tonnes) ainsi que de quatre schooners de pêcl - américains devant Miquel on Island. Ont été ei 1 core publiés, en fait de coulages de navires am. - ricains d^ns les eaux étrangères : le 21 aoû ; le «Montanan» (63D tonnes) ; le 23 août, le v; peur transport «Lake Aden», le vapeur ma , chand «West Bridge» (8,800 tonnes) et le «Ci 5 bera» (7,300 tonnes). : Liste dss Soldais belges îaiis prisonniers réeemmei 23e rég. de ligne: Somers, François, de Bra î schaet, flam., classe 16, né le 27-0-96; De Jon - ke, Rafaël, de Colskamp, flam., classe 14, né 14-11-94; Duniarey, Medard, de Ghistelle;s, flam classe 17, né le 10-1-97 ; Van der Steene, Rem de Nazareth, flam.. classe 14, né le 25-1-94 ; Declercq, Henri, de Nazareth, flam., classe 33, r i le 13-4-93; Delattre, Julien, de Cominos, flam s classe 13, né le 6-10-93 ; De Hcllander, Frai - çois, die Ieperen, flam., classe 07, né le 27-2-81 ; Mechtelinckx, François, Denclervvindeke, flam ; classe 14, né le 21-4-94 ; .Vandevyvere, Simoi j. d'Iscghem,^ flam., classe 12, né le 16-1-92; Ca 5 teeuve, Léon, de Handzame, flam., classe 1 né le 2-1-92 ; Maes, Edouard, de Roulers, flam ; classe 15, né le 18-30-91 ; Deckers, Michel, d'An î werpen, classe 12, né le 9-5-92 ; De Proost, Hei t ry, d'Aerendor.k, flam., classe 1<3, né le 21-6-9C i Elsen, .Jean, d'Aerendonk, flam., classe 1S, né - 31-10-95 ; Janssen, Alfons, d'Aerendonk, flam ; classe 15, né le 4-11-95; Bruyninckx, Henri, d'A s rendonk, flam., classe 12, né le 9-7-97; Va i Leent, Léon, de Ravels, flam., classe 10, né , B-8-90 ; Smolderen, Josef, de Vorsel, flam., cla se 16, né le 30-»3-9«3 ; Gryson, Oskar. d'Aertryck i flam., classe 17, né le 15-10-96; Bruers, Jeai - de Brussel, flam., classe 18, né le 29-6-96; Ba Tosef. de Mechelen. flam.. classe 18. né le T,-1 9S' ^MenYeQVArtRhur' de Me4Ie> classe 16. de ne J» 30-10-96, Berquart, Remi, de Beoelare me flam., classe 18, né le 5-11-95; Boni, Ewn dè T1" P wa^-. classe 16, né le 5-4-96- ;ta" JfSe{- drEectke■Jflam- classe 14, né l4 î^syn, Josef, de Brugge, flam das" re mier fkm rl»«10n8?i BI-V'i Francois- de'Ville-^ £Tuler* ilam., classe 05, ne le 25-11-89. lu S I —— £ ECHOS ET NOUVELLES T , PLACE FONTAINAS ^ nombreux commerçants établis aux abord, ti C-i imPortant carrefour, nous demandent d'in-:rit terceder pour eux, auprès des autorités pour que >ur 1 on veuille bien rétablir l'arrêt de tramw™ ar- se faisait place Fontainas et qui vient d'être su a P»™e si malencontreusement. C»e supprœsfon e d'un avantage qui existait au moment de fa s^ xrê ?outeUr«n*e 6UrS ,baux- ^ flm donnait, somme ire toute, une plus-value a leurs maisons de com- - merce leur cause sans aucun doute un certain lt P^iCre.et ?rt,out perte fort sensible ul- riiiW n Pf A habitants de ce quartier pôles Pileux sont fort marris de devoir, pour se rendre rl seeZSoTàdiefeT're Ie tramW soit à la Tourne ° a la. P^ce Anneesscns ; nous en avons mr f"™,* Xus, qui> au mépris de toute prudence, saules f am en Pteine marche, au risque de se .ut S " e crane- Rétablir le dit arrêt, serait scin- les du Midi îi fn Çfrties àJP°u Près égales, le trajet es 1* Etant donnée la densité de la population en cet endroit, il nous semble que la réclamation dont nous nous faisons l'écho se justifie parfaitement. ite r, , DANS LA POLICE DE LAItEN ri" -iS Sa "ermere séance, en comité secret- le ile conseil communal, sur la proposition du collège :n- aÇreele poste de commissaire-adjoint inspecteur' ité sous-chef de service; il a désigné pour remplir cette fonction, M. Deleu, actuellement officier-inspecteur-secrétaire., .. Pendant le même comité, M. l'officier de po-ce lice Dassaert de la section du Centre, a été désire sne pour la direction du commissariat-auxiliaire es du Heysel. (A.) :>n ur A LAKEN. LE (CONSEIL COMMUNAL s est réuni mardi sous la présidence de M le bourgmestre Emile Bockstael. MM. les échevins Cools et Brunfaut ainsi que la plupart des con. ■j seillers de la gauche, faisaient défaut. 'r ■ , f'n conseil adopte le rapport du collège au sujet du transfert de crédits, s'élevant à 3290 fr , du budgets de 1917, à celui de 1918, au profit de i enseignement primaire communal, g-. Le conseil statuant sur une demande de la com. ar mune de bt-Gilles, qui réclame à la commune de 20CLfr- Pour sa quote-part d'intervention dans les frais de 1 ecole Buls-Tempels. accorde la part g intervention demandée. Le conseil adopte ensuite toute une série de crédits supplémentaires au budget de 1918, s'éle-m ^i^t5,12'000 " ■ notamment pour le chauffage in de 1 hôtel communal et des autres locaux Se l'ad-mimstration et de ses dépendances, pour le ser-- vice de la ferme des boues, l'enseignement l'a- . u- chat dun immeuble pour l'installation de'nou-^e velles classes, etc. Pour éviter le retour de nouvelles protestations des habitants au sujet du paragraphe final du rè-at glement sur la bâtisse, le conseil décide de ffiodi-di fier ce règlement. a- ■ .1 échevin Cnockier donne connaissance au ^ conseil d'une lettre de M. le Gouverneur Civil le du ^rabant, invitant l'administration communale rt de Laken à lui faire savoir quelles sont les taxes nt et les centimes additionnels qu'elle se propose n_ de percevoir en 1919, en vertu de l'A. R du 10 rc janvier 1933. Le conseil adopte les budgets et comptes pour 1919, des écoles moyennes de l'Etat, qui se balancent par la somme de 95,000 fr. n- La séance publique est levée à 7 h. 20. Le cen-6 seil se constitue en comité secret. (A.) e, ÎS LE CONSEIL COMMUNAL D'ANDERLECHT ^ »'»est réunj hier après-midi sous la présidence de r M. L. Crickx, ff. de bourgmestre. l-I Le conseil se constitue en comité secret pour ^ examiner l'ordre du jour, purement administratif. A 6 h., la séance publique est ouverte. M. Bid-daer lit le procès-verbal de la dernière réunion. lU M. Crickx entame aussitôt l'ordre du jour, s d'ordre administratif, qui est bâclé en quelques minutes et adopté sans discussion ; il est vrai que ces objets sont discutés en comité secret, et ne g. concernent que la cuisine communale. La [g séance est levée à 6 h. 45. 't QUESTION DE NEZ _ Il faut ne pas avoir lu « Le Nez d'un notare » , pour ignorer quelle influence le nez a sur la des-tinée huma:ne. Appendice si l'on veut, mais qu'on ne le dédaigne pas en disant qu'on sait ce qu'en " vaut l'aune. lé C'est en lui que se trouve souvent concentrée toute la personnalité de l'homme, comme toute la valeur d'un testament se résumé parfois dans le codicille. 3_ Qu'est-ce que le corps tout ent er pour beaucoup'.' Un suniple ^piédestal sur lequel lie nez trône triom-' phalement avec des allures de dieu à qui reviennent ■ ; tous les honneurs. Le nombre de locutions qui lui sont consacrées témoigne hautement de l'estime dans laquelle il est tenu. Dire d'un homme qu'il r n'a pas de nez. c'est luit ouvrir toute grande la porte des insuccès. Un homme qui a du nez peut " !ou,t oser, et la-chance l'accompagne absolument ié comme s'il éta:t né coiffé. Le plus grandi outrage qu'on puisse faire à quoiqu'un, c'est de lui fermer la porte au nez. Ne pas voir plus loin que le bout t de son nez. c'est se_ monlrer de la dernere myopie intellectuelle. De môme on ne peut rire au nez de . M. Paul — ce nez fut-il d'un muge écarlate — sans >3 que M. Paul s'en trouve offensé. r- Et puis le nez a sesl'llustrations. Dans l'ant'quifcé ; romaine, Soipion Nasica, Ovide Nason, Cicéron sont j tro:s nez fameux dans le mondie des guerriers, des ,n poètes et des orateurs. Le nez grec est demeuré lé-gend-aire, dé même que celui de Cléopâtre. et le nez ;, des Bourbons prit à certaine époque les dumen-a s'oqs d'un drapeau! 10 Faut-il encore citer le nez de Napoléon III et celui e de Léopold II? y Oui, le nez a droit, à tous nos hommages e*t peiut-être n'avez-vous pas attendu cet écho du «Bruxel-t. lois» peur les lui décerner. \ Qui die vous n'a senti toute une diane sonner sous ■" sa mamelle gauche à l'étflrnuement d'un petit nez en trompette ou d'un, petit nez chiffonné d'une gente Bruxelloise? (G. M.) — MEH3URIALE DE BRUXELLES du 23 au 30 8sptsmbre 1913 | Prix pour producteurs : Choux-fleurs, 0.90 la 11 pièce; haricots verts, 1.25 le kilo; carottes avec verdure, 0.60 le kilo; carottes sans verdure, 0.60 le kilo; choux blancs et choux verts sans feuilles [e et sans racines, 0.25 le kilo; choux rouges sans ., feuilles et sans racines, 0.30 le kilo: féveroles, i, 3.50-3.75 le kilo ; pois secs, 4.50-475 le kilo ; haricots secs, 5.00-5.25 le kilo; sarrasin de Luxem. é bourg, 3.25-3.50 le kilo ; sarrasin de Campine, 4.00-4.25 le kilo; vesces, 2.75-3.00 lo kilo. i- Prix pour commerçants en gros : Choux-fleurs, : 1.15 la pièce; haricots verts, 1.40 le kilo; carottes • avec verdure, 0.65 le kilo; carottes srfns verdure. 0.85 le kilo; choux blancs et choux verts sans feuilles et sans racines, 0.28 le kilo ; choux rou-"■ ges sans feuilles et sans racines, 0.33 le kilo, j' Prix pour commerçants en détail : • Choux-j" fleurs, 1.40 la pièce; haricots verts, 1.70 le kilo; ;. carottes avec verdure, 0.80 le kilo ; carottes sans [è verdure, 1.00 le kilo; choux blancs et choux verts sans feuilles et sans racines, 0.40 le kilo, choux rouges sans feuilles et sans racines, 0.45 le kilo; n choux en saumure, 0.85 le kilo; féveroles, 5.25 le le kilo; pois secs, 6.25 le kilo; haricots secs,. 5. 6.75 le kilo ; sarrasin de Luxembourg, 5.00 le( kilo; sarrasin de Campine, ,5.75 le kilo. , i. Les prix pour les légumes secs, dans le com-1, merce de détail, sont valables également pour les marchandises nrnvfinant. dp la nniivellp rérnlte.

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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