Le courrier de Bruxelles

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22 februari 1914
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s.n. 1914, 22 Februari. Le courrier de Bruxelles. Geraadpleegd op 28 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/bk16m3499d/
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LE COURRIER DE BRUXELLES Dimanche 22 el lundi 25 lévrier 191 î, ABONNEMENTS i PltUK ÏHfflOII TROIS MCI» BELGIQUE. . fr 10.00 5 00 2.50 HOLLANDE. . ig 20 9-60 4.80 LUXEMBOURG CN10N POSTALE. 30.00 16 00 7.60 5 CENTIMES suoolémentB ne «ont gis «ni» téléphone sablon 176» 83* année. -rBï-SC BUREAUX | A 9Î1UXELLES i 52, rue de ta Montagne A PARIS i 30, rue Saint-Sutpice, 30 5 CENTIMES Lu auoo'éTtents ne sont oas mie en ventf téléphone sablon 1754 Pro aris et focis - L'athéisme "■ 11 apprécié par La Dantec. | O11 se souvient des déclarations bruyan- ® tes du citoyen Demblori à la Chambre, en v faveur de 1» morale indépendante. Il les f< renouvelle du reste à tout propos et hors le de propos. ^ Il n'est donc pas trop tard pour lui répondre; nous le ferons par la bouche de M. Le „ Dantec, peu suspect en cette matière, puis- à qu'il se déolara athée. Dans une étude pa- c rue dans la « Bibliothèque de Philosophie j. scientifique », Le Dantec, après avoir pro- J fessé une philosophie qui ne 'se distingue que par des nuances de l'ancien matéria- n lisme, se demande quelles en seraient les conséquences pratiques si les hommes y con- ® formaient leurs actes. Et voici sa réponse : | « Pour un athée vraiment logique, il n'y a n pas de principes, il n'y a oue des lois hu-maines... l'athée ne croit pas a sa person- j nalité... il n'a pas le sentiment de ses 0 droits... il ne «aurait être ni juge ni conducteur d'homme... l'idée de justice absolue n manque à l'athée... il ne croit qu'à des résidus d'erreurs ancestrales. Privé des idées de justice, de mérite, de responsabilité, qui f. sont les principaux mobiles des actions hu- p maines, l'athée logique ne peut pas vivre... il ne peut prendre aucun intérêt à la vie... il est sans armes contre la souffrance. » c Voilà l'individu. d Quant aux conséquences sociales, l'auteur les résume comme suit : « Une société, for-mée exclusivement d'athées, finirait natu- j Tellement par une épidémie de suicide ânes- n thésique. » l< M. Le Dantec se félicite de n'être pas un s athée logique; s'il est honnête homme il le n doit à ce qu'il appelle : les erreurs ances- ^ traies dont l'influence persiste malgré tout ; et fort heureusement lisez plutôt : « Je suis d fort aise pour ma part, dit-il, d'avoir à côté 11 de mon athéisme logique, une conscience morale résultant d'une quantité d'erreurs ^ ancestrales et qui me dicte ma conduite. » « F * * t Ce qu'il importe de retenir surtout, c'est * que l'Athéisme est la négation de la per- g sonne humaine., douée d'une volonté libre j et responsable, sujet du droit et du devoir, t Si l'homme n'est pas une créature de tDieu, il n'y a plus que deux manières de le concevoir : il est une combinaison d'élé- ^ ments matériels, où il est un aspect, un u mode, de la substance divine; or dans ces c deux hypothèses sa personnalité s'évanouit. £ Seul le spiritualisme traditionnel est compa- ^ tible avec nos attributs moreaux. Et c'est c ainsi que la religion et la morale s'associent q logiquement. J . • /» I L esprit sportif i a A une mère de famille. n Vous vous plaignez de 1*esprit sportif de Votre fils. Il ne parle plus que de Kramer, cl de Van Bever, de Van Houwaert, de S toi et de Lapize. Carpentier, le boxeur, le fait rê- h ver. La course de six jours l'a enthousiasmé. * Il trépigne lorsqu'on lui parle de la Coupe du Cardinal et vous ne comptez plus les ^ maillots et les culottes qu'il a anéantis dans e les cross-ciuntry et les matchs de foot-ball t auxquels il a participés. ^ ^ « ^rous appréhendez les déplorables conséquences de cet état d'esprit : négligence v dans ses études, mépris des choses intellectuelles, glorification de la force brutale, 1 etc., etc. Vous n'avez pas tort. Vos alarmes sont T justifiées. _ - . Mais pourquoi vous désoler, rêver de me- < sures répressives énergiques, au risque de i briser cet amour du sport. 1 Il y a mieux à faire. Et tout d'abord, pourquoi considérer com- J FEUILLETON DU 22 FÉVRIER 1914. 1? • i Suzanne la Doctoresse par Oliarles I>e Yitis • •— Fais-les entrer clans mon cabinet. — Ce ne sont pas des clientes, mais des visiteuses, Monsieur le marquis, objecta le serviteur, qui s'entêtait à donner jj, son ' maître le titre qu'il négligeait de porter. — Peu importe ! Le salon est à ma mère. Les deux visiteuses furent introduites, toutes rouges de leur course folle et les vêtements couverts de poussière. : — Bonjour, mon grand ami, s'écria Blanche.— Comment, c'est vous ? Quelle bonne surprise ! Puis se tournant vers Suzanne : — Mademoiselle, dit-il av j un profond salut. _ Quoi- c'était tout! Il saluait la personne qui accompagnait Blanche, mais refusait de la traiter autrement. Cette indifférence exaspéra Mlle de Cernay; elle résolut de payer d'audace plutôt que de se laisser faire la loi par ce monsieur. Elle lui tendit, la main. — Quoi! vous ne reconnaissez pas votre successeur au laboratoire, votre émule, votre confrère presque? — Pardonnez moi, Mademoiselle; mais je connais trop ma petite Blanche pour n'avoir pas entendu parler bien souvent de son amie. Décidément, M. de Malindrey se refusait à traiter Suzanne en savante, il la replaçait toujours sur le terrain ordinaire. — C'est à moi que votre merveilleux travail sur les « Différents systèmes de vaisseaux chez les plantes » a été communiqué ; j'ai été chargée^ de^le finir, et Ii plan que vous aviez choisi a bien facilité ma tâche. — J'en suis heureux, Mademoiselle. e un crime impardonnable, la tendance lanifestée par votre fils? Il pourrait se passionner pour de bien plus auvaises choses que le sport-. Le sport, en à-même, n'est pas une tare. Au contraire; ygiéniquement pratiqué, sans folie, sans rétention au surhomme, il agit avec effica-té sur la santé humaine. La vie au grand r développe aussi bien l'intelligence que > corps et, tout compte fait, je préfère voir >tre fils se dépenser dans des combats de ►ot-ball ou des échappées de vélos, que de ; voir arborer des monocles prétentieux ou 5>s cravates aveuglantes dans des cafés, as théâtres ou des thé-tango. J'aime mieux un gas suant, boueux, ani-é, contusionné même, à marquer des goals, nager, à courir, à lutter, que des petits 'evés, étalant aux terrasses des cafés, aux ilcons des théâtres et sur les boulevards à i. mode, leur col cassé, leur chapeau ridi-ule et leur paletot sac. Ces petits crevés sentent la peste et la dé-Loralisation.Ne préférez-vous pas, que votre fils s'é-ratigne les jambes plutôt que de se cor-mipre le cœur et qu'il acclame Kramer et apize, plutôt que les pourvoyeurs gâtés de os scènes publiques 1 Bien que je réprouve la brutalité de la oxe, je préfère qu'on applaudissent un oe Jeannette qu'un Henry Bataille par s ample. Vous tremblez que votre fils ne déforme, e rapetisse l'idéal chrétien de la vie? Votre émoi est la justice même. Le sport '■est pas un idéal digne de la jeunesse con-împoraine ; d'accord. Mais il y a mieux à tire que chercher à briser net avec le tem-érament de votre fils. Redressez-le, tournez-le vers l'action, vers apostolat, vers la charité chrétienne. Votre fils a plein la bouche des champions yclistes, de leurs efforts et de la puissance e la tâche qu'ils abattent parfois. Prenez-le par la main. Allez-vous en dans >s champs, dans les usines, sur les chantiers e constructions, dans les carrières, dans is mines. Montrez-lui à l'œuvre, les mi-eurs, les tailleurs de pierres, les. verriers, >s forgerons, les cultivateurs, peinant, iant, souffrant, sans gloire, sans renom-lée, pour le bien de l'humanité et aocorn-lissant une tâche, infiniment plus pénible et lus haute que les coureurs ou les lutteurs. Etendez l'expérience : montrez-lui les in-ustriels, les savants, les artistes, les m oies, les prêtres, absorbés par l'étude, l'art t les affaires et constituant, dans le silence e leur cabinet ou de leurs cellule®, le patrimoine moral et l'aisance de l'humanité. Répétez ces expériences. ^ Votre fils com-rendra qu'il y a dans la vie d'autres beau-és que la force du muscle ou le volume du borax. ,11 ne .reniera peut-être pas ses anciennes m ours. Il ne les subira plus exclusivement. 1 comprendra que la vie est une.lutte do jus les instants et que les efforts les plus éroïques et les plus beaux ne s'enregis-rent pas sur les pistes des vélodromes ou Lir les arènes des cirques. De son ancienne assion, il gardera ce désir légitime d'avoir n corps sain. Il fera encore du sport, mais e ne sera plus pour s'incliner devant la srce brutale, mais pour se forger une cons-itution de fer, capable de servir les aspirions de son âme, toute brûlante du désir e faire énergiquement face aux devoirs ue lui imposent son baptême et ses ser-îents de première communion. lispsitif I Carême pi M. En vertu des facultés spéciales que nouf vons reçues du Saint-Siège, nous accor-ons, durant le Carême de la présenté an-ée, les dispenses suivantes : I. — Il est permis de faire usage de beurre et c* laitage, tous les jours du Carême. II. — Il est permis de manger des œufs tons » jours, excepté le Mercredi des Cendres et le ^mdredi-Sai.nt. Les personnes tenues au jeûne ne peuvent langer des œufs qu'une seule fois le jour, eu ah ors des dimanches, et cela au repas principal, t non ù la ooiLation ; elles doivent observer oet-î même prescription les autres jours de jeûne u cours do l'année. Il est permis de se servir d'œufs pour préparer d'autres mets tous les jours du Carême. III. — Nous permettons l'usage de la viande 3s dimanche, lundi, mardi, jeudi et samedi de haque semaine, excepté le samedi des Quatre-emps (7 mars) le Samedi-Saint. Les person-ics tenues au jeûne ne peuvent faire gras qu'une eu le t'ois le jour, en dehors des dimanches, et ela au repas principal et non à la collation ; le jouillon, le jus de viande sont interdits comme a viande elle-même. IV Les fidèles sont obligés de réciter trol-< rater » et trois « Ave », et une fois les Actes Cette leçon muette fit rougir Suzanne plus 3ue n aurait pu le faire une observation. —- Mais, ue je ne vous empêche pas de parler a votre petite amie, Monsieur; je l'accompagne .seulement. Et, sans plus s occuper de Blanche et de Jean, elle se mit a examiner la bibliothèque.Suzanne était vive, méchante parfois, orsqu'elle se croyait attaquée, étourdie toujours, mais son cœur ne connaissait pas a rancune. Elle était absorbée depuis dix minute* ians la lecture d'une petite brochure quanc îlle releva la, t-ête eu s'écriant familière nent « — Sapristi! voilà un ouvrage qui est bier !ait; vous me le prêterez, n'est-ce pas. Mou ueur ? — S'il peut vous être agréable... — Certainement; je n'ai jamais vu la phî osophie de la science traiteo avec une tell< :orce et une telle précision; mais, au fait ie qui est-il donc? L'auteur n'en est poin indiqué ; il mérite pourtant des éloges, ce iui-là ! Un frisson rosé courut sur le pâle visagi :1e Jean. —r Je ne sais, Mademoiselle, balbutia-t-il — C'est de vous ! Ah ! ne^ rougissez pas mais vraiment, je m'y connais; vous êtes ui homme de génie; allons, ne rougissez pas & Mademoiselle » ! Elle éclata d'un rire perlé qui gagna Blan ehe et Jean lui-même. La glace était rompue ; on se sépara bon amis. — Hâtez votre départ. Mesdemoiselles l'orage est proche, et puisque vous ne vou lez pas que ,'e vous fasse reconduire en voi Lure, pressez vous pour gagner un abri. — Quelqu gouttes de pluie ne nous fon pas peur ; nous prenez-vous donc pour de femmelettes? demanda Suzanne. Jean eut m mouvement de colère; cètto étourdie ne songeait donc pas à la frêle en Fant qui lui était confiée? Elle y songeait, certes, mais avouait-elh iamais ses Ions sentiments* . 1 , , "ja • • w v»»» si cle Foi, d'Espérance, de Charité et de Contrition, chaque jouir qu'ils font u-sage des permissions ou dispenses accordées ci-deswus. Ils pourront néanmoins se libérer de cette obligation, er versant dans le tronc diu carême une aumône que chacun évaluera selon sa dévotion. V. — Nous accordons aux militaires de toui grade, à leurs femmes, enfants et domestiques ainsi qu'aux" autres personnes attaohées de faii au service militaire, la permission de l'aire gra~ tous le« joTirs de l'annee, excepté le Vendredi-Saint. L'_\isage des œufs leur est permis tous les jours sans exception. Aux militaires nous assimilons les gendarmes, les douaniers et les agents de la police urbain* de service actif, les gardes forestiers, les employés en service 9ur les trains des chemins de 1er et sur les trams, les employés techniques d< l'administration des télégraphes et téléphones en service actif le long des lignes, les facteur* de lia poste, les employés des accises en activité les marins, les bateliers et les ouvriers du port Nous accordons la même dispense 1) à ceois qui logent et nourrissent la troupe durant le* manœuvres ou en d'autres occasions de ce genre ; — 2) aux ouvriers occupés aux hauts-four neaux et aux fours des verreries, dans les mines et dans les carrières. ^ I- — Nous accordons à tous les curés et confesseurs le pouvoir de dispense)- dans des csai particuliers, en tout ou en partie., du jeûne e1 de l'abstinence, ou de changer ces obligation en d'autres œuvres de piété, à condition que le demande se justifie par un motif raisonnable e1 ne provienne pas uniquement de la crainte qu'inspire la mortification chrétienne. Cette dispense ne peut s'étendre au-delà d'un an. Les malades et les personnes faibles de santt se régleront d'après les ordonnances d'un mé-decin consciencieux. VII. — Ceux qui, en vertu du présent mandement, usent de la permission de faire gras, oi qui, dans un cas particulier, obtiennent la dispense du maigre, ne peuvent pas manger de k viande et du poisson au même repas. Cette in terdiction s'étend à tous les jours du carême les dimanches compris, et aussi à tous les jouai de jeûne au cours de l'année. Ces jours de jeûne, outre le Carême, sont les mercredi, vendred et samedi des Quatre-temps, les Vigiles de h Noël, de la Pentecôte, de l'Assomption do Îï ote-Vierge et de la Toussaint. Vin. — Tous les vendredis de l'année il ,esi dérendiu de manger de la viande, sauf lorsqu< le vendredi coïncide avec la fête de Noël, de h Circoncision (1er janvier), de l'Assomption d< la Ste- V ierge ou de la Toussaint. IX. — En vertu des pouvoirs spéciaux qu< Notre Saiint Père le Pape nous a accordés, -«ou* permettons à tous nos diocésains de faire, cett« année, usage de viande, même plusieurs fois,le( jours de S. Marc et des Rogations. En vertu des mêmes pouvoirs, nous permet tons, jusqu'au Carême de l'année prochaine, î tous nos diocésains, de faire également usage d< viande, même plusieurs fois le jour, tous les sa médis qui tombent en dehors du Carême et n< sont pas des jours de jeûne. Nous conformant au désir du Souverain Pontife, nous engageons les fidèles, qui feront usa ge de ces dispenses, à multiipier les booanes œu vres, et surtout à observer exactement les préceptes du jeûne et de l'abstinence. X. — Nous permettons de faire usage A graifise fondue, au lieu de beurre, tous les Jour» de rannee. ÉTRENNES PONTIFICALES VINGT-TROISIEME LISTE, Report des listes précédentes : 60,205.4 M. J. Moxhet, Dions. 51 Mlles A. Ooonenberghs, Haseelt, 2 T. S. Père, bénissez-nous, Mons, 5( Communauté religieuse, 10 Un prêtre de Mafines 2. Eenige inwoners van Nieuwkerke 10i Omdat S. Francise us genootecliap... Rous- selaere, 41 Anonyme, Contich, 10 H. P., Bruxelles, o1 Chanoine B., Malines, % M. Jacques Plas, £ Dre van Maie de Ghorain, Beveren Waes, 10 Cte et Ctesse Pierre d'Oultremont, Gand, 10* De Priesters van het dekanaat Peer, 15 Anonyme, Boom, 10 Maison de Melle iq Cte et Ctesse t'Kint de Roodenbeke, Bru- xelles, 10 Supérieure Gén. des Dames de l'Institut Ohrét., Gand, 10 Chr et Mme de Ghellinek d'Elseghem Vaernewj ck, Swynaeixîe, 10 Anonyme, Gand, 10 Famille De Boc, Ophasselt, 0 Une veuve et son enfant, 2; G. L., Blauwpu 2 ; S.-C. de Jésus bénissez notre famille, Frai ture, 1 ; H. Vader min huisgezin zou zegene: Landen, 4; Een lezei*. Bottelaere, 2: VI. G. Malines, 5; 0. D. C., 1; Onbekend, Essen, 20 Eene arme weduwe id., 1; Naamloos, id. ; 5 Leve Dr..., 5; Ter eere van het H. Hert va Jes» Iseghem, 10; Remerciements à Sœur Théi de l'Enf. J. , 1 ; Karel^, Delahaye, Ruyeselede, 5 Pour obtenir une guerison, Poperinghe, 20; Ê C., Siute Kruis, 10 ; An. Dour, o ; M. Hinneken onderpastoor, Zillebeke, 5; Bertha, Hasselt, 2 M. Th. Gand, 10; J. H. S., idem. 5; M. J. I id. 5; Anonyme, id, ; 5; Jean et Marie, id., 5 M., de Malindrey aurait été touché au: larmes s'il avait pu voir, une demi-heur plus tard, sur la grande route, Suzanne met tre de force sen boléro de drap sur les épau les de Blanche,, tandis qu'elle s'exposait , l'averse, n'ayant pour la protéger qu'un chemisette de fine batiste. CHAPITRE III Il y ayait- ce soir-là grand dîner chez Mm ; de Linville, installée depuis le mois de ma dans sa villa. C'était la première fois que se réunissai la joyeuse société qui devait passer au Vé 1 sinet une longue villégiature. Elle avait tenu à ce que la fête eût beau coup d'éclat. Henriette, pénétrée à la foi de la gravité de son rôle et de la pauvret - de son imagination, avait consulté Mlle d > Cernay. , Suzanne n'était jamais à court ; elle ir i ventait au besoin, niais avec une assuranc - qui servait de guide aux timorés. — Faites un dîner fleuri, c'est de saisoi: î n'ayez que des fleurs des champs; transfoi mez la salle à manger en tonnelle et mette . des fruits aux branches qui nous abrit< ; ront. Une nappe de couleur,#des plats d'e 1 tain, des assiettes de faïence peinte, de , gobelets d'étain, l'eau dans des cruches d faïence bleue, le vin dans des cruches d - grès gris à fleurs vagues; des fleurs de champs partout; pour les hors-d'œuvre. de 3 petits baquets de bois, une pièce montee e forme de char de foin, l'entremets dans un ; écuelle, les bonbons dans un &abot. Sur 1 - table, des faucilles et des rateaux en m - niature ; dans tous les coins, des gerbes d blé ttkélangées de fleurs, etc. Inspirez-vou b de vos bons villageois. Ayez une joyeuse se 3 ciété, et que les jeunes filles se parent l'unisson de votre décor champêtre, ï Cela dit, Suzanne s'était envolée; ell - avait laissé à Henriette le soin de tonte cett installation si gracieuse à imaginer, ei diff; ? cile à réaliser matériellement. A force de persévérance cependant, Hei Anon., id., 5; Pour la guérison de mon père, id. ■ 5* J. Bienvenu, id., 2; Pour ma guérison complète, id., 2; Mario Madeleine, id., 2. — Ensemble, 152. — Total : fr. 62,'150.45. On peut adresser l^s souscriptions au bureau du jouirnaJ ou à M MaLlié, secrétaire, 7, rue de la Tête d'Or, Tournai. Eevue de la Presse nommage d'adversaire. — Le correspondant bruxellois de la « Meuse » écrit à pro-, pos du vote de la nouvelle loi scolaire : M. Poullet a fait preuve, au cours de ce quart d'année d'interminables et orageux débats d'une combativité qui vaut d'être offerte en exemple. Pendant oes quatre mois, il n'a point eu une minute de défaillance ; il a trouvé argument à tout : aux tumultes les plus violents, il a tenu tête avec un surprenant sang-froid : critiques, injures, menaces, rien ne l'a touché. U avait un but; il ne l'a jamais perdu de vue et il l'a atteint, rançon d'un effort indompté, le 18 février, à 6 1/2 heures du soir. Le ministre des sciences et des arts a donné à tous une leçqp. d'énergie.- Une loi de réparation. — Sous ce titre on lit dans le « Rappel » : Le projet de loi scolaire a été voté hier en seconde lecture. Cette date du 18 février* 1914 marquera une date historique dans nos annales. C'est une loi de justice et de liberté qui vient de triompher et'dont le pays ne tardera pas a éprouver les plus heureax effets. Au moment du vote, les deux gauches se sont retirées après avoir lu des déclarations qui sonnaient faux et ne 6e justifiaient nullement. M. Woeste, l'éminent rapporteur de la loi, a eu raison de dire : « Nous sommes seuls à voter la loi, ^îous nous en glorifions vis-à-vis de notre conscience, de l'opinion publique et du pays. » La Droite, unie et compacte, a applaudi ce langage, comme elle a manifesté, r.ir d'autres applaudissements, combien elle félicitait M. Poullet, ministre des sciences et des arts, à qui revient la meilleure part de la victoire éclatante remportée, mercredi, sur l'opposition La. loi scolair de 1879 fut une loi de guerre et de malheur: la loi de 1914, que viennent de voter les catholiques, s'inspire de principes contraires. C'est une loi de pacification qui contribuera puissamment au progrès social. Leur logique. — Le 29 janvier, à la Chambre, le citoyen C. Huysmans s'exprimait de » <$on ton le plus papelard : « On considère comme inadmissible le fait de . laisser de pauvres enfants dans la misère et . l'abandon. Très souvent les enfants ne peuvent . aller en classe parce qu'ils n'ont pas de vêtements . « Aujourd'hui il y a 100,000 élèves peut-être i qui vont à l'école lé ventre vide, le visage cinglé par le vent et la pluie glacée. Et ça ne vous trouble pas? » Huit jours après, à une séance du conseil communal d'Ougrée, le bourgmestre propose un crédit supplémentaire de 500 francs pour admettre aux distributions de vêtements les élèves des écoles libres. La proposition esit rejetée à l'unanimité j par des voix socialistes I • A Seraing les enfanta, des écoles libres ) sont privés du bénéfice des colonies. ) Quelle tartuferie !... ) ~ Le désarroi qui a régné pendant quelque ) temps sur nos chemins de fer (comme, du ) reste, sur les chemins de fer étrangers) se-} rait, — naturellement! — une conséquence l de la « clérioalisation à outrance de l'admi-^ nistration ». La presse de gauche a chanté j cette chanson. 5 II suffit, observe le « Bien Public 2 de ci-) ter quelques noms pour rétablir la vérité : Est-ce que, par hasard, les Ramaekers, les . Garnir, les De Rudder, qui ont durant de si longues années exercé la dictature dans le dé-. partement, étaient des « calotins a P Est-ce que M. Tondelier, l'administrateur-président actuel, doit ses hautes fonctions à l'appui de ^ quelque vicaire influent? Et les trois adminis-^ trateurs qui président aux Voies et Travaux, J à la Traction, à l'Exploitation, MM. Motte, t Degraux et Haurez, sont-ils les bénéficiaires de - la brigue cléricale?... 1 Si, des sommets du personnel, nous descen-? dons aux régions mitoyennes où trônent les sa-; trapes des trois directions, la tentation nous ; prend de oopier leurs noms dans l'« Annuaire » 1 du personnel, en notant à côté de chacun de . ces noms l'opinion politique du titulaire. Tra-; vail aisé, nomenclature qui serait édifiante, car i. l'énorme majorité des chefs de service spéciaux s des Voies et Travaux, dans les districts de la ; Traction, dans les groupes de l'Exploitation, — 1. l'énorme ma.jorité, disons-nous, — appartient à ■ l'anticléricalisme le plus accentué. a P—llwl1" =W—HBBBÎg—8—IIIIM ■ Il II !■ ; c rictte était parvenue à tout préparer pour 3 l'heure dite5> la salle et le festin; il avait . fallu faire bien des courses et des démar-. clies, écrire dans divers magasins, comman-i der et choisir. Elle y avait consacré tout son 3 temps et n'avait pu s'occuper de son costume.A la hâte, elle avait presque improvisé un costume de moissonneuse bien terne et peu seyant; elle n'avait pu le relever de quelques fleurs disséminées avec art; les invités 3 arrivaient quand elle y songea. i Suzanne entra comme un rayon de soleil; elle avait une longue robe couleur de « blés t coupés » à plis vagues, retenue à la taille - par une guirlande de bleuets; autour du cou, des bleuts plus pâles, faisant ressortir la - blancheur nacrée^ do son teint: sur sa tête, s une grande bergère à fond plat, dont les é bords immenses, cabossés de mille manières, ; e cachaient dans leurs replis de mignons bouquets de fleurs des champs. Ce^ chapeau, - placé très en arrière, comme un nimbe, con-e tenait à çeine les boucles dorées de ses cheveux, qui ôe mêlaient de tous côtés aux ; bleuets pâles et aux< coquelicots sanglants. — Que vous êtes jolie ! z — Merci ; dépêchons-nous, voyons la ta- - ble. Henriette redoutait cette inspection, et s elle restait muette pendant que son amie o examinait les moindres détails, critiquait, e déplaçait, surtout pour se donner de l'im-s portailoe. s On aurait dit une maîtresse de maison im-□ peocable gourmandant sa femme de charn-e bre. a Madeleine s'informait de la santé de Mme i- de Linville. e — Je suis beaucoup mieux, ma chère en-s fant; ce séjour prolongé à la campagne m'a »- fait grand bien. J'ai eu aussi le bonheur tde à trouver près d'ici un jeune docteur fort intelligent, et c'est à lui que j'attribue ma e guérison; il n'est pas faiseur, commei tous e les docteurs à la mode, et pourtant il est l- fort, je vous assure; vous le verrez ce soir : je l'ai prié d'être des nôtres, et je pense... i-j — Tiens! s'écria Blanche, qui» à l'école ■■ 1 1 1 11 ■ ■ » 1 Ro< ♦ yaj Petite Chronique îst Un fait divers très polonais. — Dans le creux d'un tilleul tricentenaire de la Polo- ver gne, des paysans trouvèrent l'autre jour... une couronne en or et un casque. Grand trouble des autorités, grande agi- L tation des compétences héraldiques de Cra- anc covie, où les objets furent portés avec res- 3ue pect. aur Un savant polonais, le docteur Radzikow- nies ski? a remarqué que cette couronne est une . L fidele reproduction de la couronne royale 3°u tchèque disparue. Il rappelle, textes en l>a>r main, que ce joyau fut confectionné, dans ro1} une cérémonie nuptiale, à Cracovie, en n01 1663. t reu Mais l'empereur se laissa détrousser au ^e retour én Allemagne. Toutes les recherches tée pour retrouver la couronne étant demeu- Pio] rées infructueuses, on en conclut que les ser' voleurs, ne sachant que faire de l'objet pré- L cieux, le cachèrent dans le creux du vieux griï tilleul, où le hasard l'a fait retrouver ces jours-ci. — Il y a de ces choses qui ne se passent sai£ qu'en Pologne! teci • ser; Une « cathédrale » automobile. — Lors-qu'il y a six ans fut créée la première cha- pelle roulante pour les missions catholiques Foi de l'ouest et du nord-ouest des Etats-Unis, 'es certaines gens critiquèrent cette innova- rau: tion. <lu Et voilà que les chapelles roulantes ne SU1* suffisent plus i Une femme généreuse a fait don à la « Catholic Extension Society » d'une église complète automobile. mal Dans cette « Motor-Chapel St-Peter t> les missionnaires pourront célébrer l'office di- p vin avec autant de solennité que dans une coir cathédrale. 1535 Les dimensions du car, quand il est ou- ^'h vertj sont de 21 pieds de long sur 13 de lar- g 4] ge. Ses vitres dépolies sont d'un effet plaisant à l'œil ; il est éclairé à l'électricite. Le sol est recouvert d'un tapis vert-foncé. La L voiture est munie d'un carillon tubulaire, tral d'un confessionnal et d'un orgue pliants, de i Son éeiuipement comporte une tente qui les peut abriter 200 personnes quand elle est mit dressée. jet. Deux desservants sont logés dans la voi- IV ture. Le' poids total est de six tonnes environ. Le prix de la chapelle automobile avec _ tous ses accessoires est de 85,000 francs au r^S€ moins. diSl «. mei LA VILLE Le Roi blessé. — Nous avons dit ^ue le rat Roi, dans sa chute, a reçu un coup de pied (;re ae sa monture à la cuisse gauche. 11 s'agis- ^j'é sait d'une simple ecchymose, qui n'inspira aucune inquiétude au premier moment. Depuis, le Souverain se ressentit de ce coup. ~ Jeudi soir, le Souverain ayant éprouvé de nal nouvelles et vives douleurs à l'endroit oon- Prc tusionné, les docteurs Depage et Lebœuf furent mandés au Palais, vers 10 heures du soir. Ils ont pansé la cuisse, et se sont re- 06 tirés une demi-heure après leur arrivée. seu — La nuit de jeudi à vendredi a été bon- co^ ne et l'état du Roi était excellent, ven- 1}. dredi matin. « Ce sera, nous déclare-t-on jù 11 au palais, un « incident » que bientôt on a aura complètement oublié. » r.6S On communique, vendredi matin, cette note officielle: Contrairement à ce que disent certains journaux, \e Souverain^ a repris ses occu- Q pations habituelles. Il signe le courrier, re- c çoit des audiences ; il se promène même dans les jardins autour du Palais. _ ~ — Le Roi a fait vendredi après-midi une rf?' sortie et s'est promené au Bois de la Cam-bre. ^ ^ der Le Souverain tenait le bras en écharpe. j0jn • teri En vue de la jonction. — En mars seront ^ démolies un certain nombre de maisons ae p la rue de la, Madeleine à Bruxelles. Voilà qui va modifier encore lé paysage de ces tioi régions. # . L'Association des candidats-notaires de tier l'arrondissement de Bruxelles, a tenu le 7 der février son assemblée générale annuelle l^6» Dans son rapport de fin d'année, M. Van de Vorst. président sortant, a constaté l'accroissement du nombre des membres et l'activité de la Société vri< Il a été procédé à l'élection de deux mera- d'êi bree du comité, en remplacement de MM resi Seguin et Winteroy, non rééligibles ; M car de sa grande amie, prenait l'habitude de ne^ parler haut et d'interrompre les personnes ^ âgées, je parie que c'est le mien ; Suzanne ! pie venez donc, une Vmne nouvelle, M. Jean va na3 venir. hor — M. de Malindrey? interrogea Suzanne, feignant de ne pas comprendre. bie — Oui, n'est-ce pas, Madame? qu' — Vous ne m'aviez pas laissé le temps de Que dire son nom, ma petite; c'est lui, en effet, rez — Tant mieux! Il est si charmant; n'est- poi ce pa-s, Suzanne ? I La jeune fille ne voulut pas répondre sans une doute, car elle Changea de conversation en ârrn demandant : pro — Qui avez-vous encore? que — Mon amie Marguerite Lecoq et son F fiancé Paul Lauray, que vous connaissez de tous deux. sali — Ah ça ! tout le monde se marie donc, tiei dit Suzanne d'un air gouailleur; à quand but votre tour, Henriette 1 par — Je n'en sais rien, répondit-elle rêveuse, me Puis, secouant la tête, elle ajouta : pei — Nous avons encore un autre de vos amis ce soir. _ _ en — A propos! Cet ami-là arrive bien vite rev après ma question, petite Henriette ; ne vous troublez pas; qui est-ce donc? — M. de Valorys. # adi — Louis? Après tout, pourquoi pas? Je peux faire l'affaire. _ sel' — Oh! Suzanne, je vous en prie... S M. de Valorys entrait; après un rapide col- reu loque échangé avec la maîtresse de maison, ton il s'avança vers Mlle de Cernay, sans remar- I quer la présence d'Henriette. s'é' — Suzanne ! quelle joie j'ai de vous revoir ! — Bonjour, mon petit cousin, saluez donc r\e-Mlle de Linville. < qui Tous les invités étaient arrivés. Dans cette réunion bigarrée, où les bleuets mourants et les nielles parasites jetaient une dai note étonnée, Suzanne restait droite et in- qU( différente. Il ne lui plaisait pas — on le voyait — de siu se fatiguer à trouver quelques unes de ces phrases banales et incolores qui attendent, dans leurs bâillements retenus» le tradïtion- J - H* ienbach, élu président, forme avec MM, 1 de Vorst et Bouvier, vice-président®, Van Bever, secrétaire et M. Soinne, sorier, le comité pour l'exercice 1914->.e lendemain eut lieu le banquet tradi-mel. La Société célébrait son 35e anni* aaire. es uniformes de l'armée. — Nous avone oncé déjà que ce sont les soldats au pî-t de garde, au Palais de la Nation, qui ont la primeur des nouveaux unilox- 'essai aura lieu dans une dizaine de :s. Déjà, 50 uniformes nouveaux sont venus au 9e de ligne. Les lignards au-b le pantalon gris, avec double bande •e (au lieu du passepoif rouge) ; la vase de drap bleu très foncé de même for-que la vareuse des officiers et agrémen-d'épaulières jaune-canari ;tous nos piou* îs seront désormais continuellement... îins. es casques seront recouverts de drap 1, identique à celui du pantalon. - A Ixelles. — Le conseil communal sera i prochainement des plans de l'archi-e et relatifs à la nouvelle église qui 1 construite place Georges Brugmann, s l'axe de l'avenue Lepoutre. Les auto-s ecclésiastiques d'Ixelles, d'Uœle et de est seront appelées à se prononcer sur plans, les trois paroisses de ces com-îes se trouvant placées sur le terrain occupe l'église qui est située elle-même le territoire d'Ixelles. os locomotives. — On a dit beaucoup d« de nos locomotives en ces dernier» p8. Voici des chiffres : in décembre 1912, nous avions 4,288 Io-otives dont 1,314 étaient antérieures à S et 1,972 antérieures à 1898. Aujour-ji nous avons 4,386 locomotives dont 4 ont été mises en service après 1898. 'emploi de la céruse. — La section cen-e de la Chambre, qui examine le projet oi interdisant l'emploi de la céruse dans travaux de peinture, a voté à l'unani-3, vendredi après-midi, le texte du pro- [. Mabille en a été nommé rapporteur.., - A la liste civile. — Les ouvriers, favo-s par un temps superbe,travaillent 6ans ;ontinuer à réédifier les anciens bâti-îts démolis de la liste civie à côté du pa- de Bruxelles. La façade du bâtiment icipal et les grosses murailles seront les conservées et on ne démolira que les ties du bâtiment qui sont en mauvais b. Les façades auront besoin d'une répa-ion sérieuse car elles sont légèreanent passées en plusieurs endroits et hors querre. - A Forest. — L'administration commua e va recevoir communication de l'avant-jet d'église qui sera élevée sur le pla-u qui se trouve au centre du quartier ut-Augustin et qui porte le nom de plaie l'Altitude 100. Un petit obélisque, le I que nous connaissons à Bruxelles, dé-e le milieu de la place. - La commune de Forest a l'intention îtensifier l'éclairage des carrefours d<e commune au moyen d'appareils luminai- d'.un type nouveau à trois becs ren-sés. Les carrefours de l'avenue Albert (à chaussée d'Alsenberg), la place Wiele-as Ceuppens, la place Communale, etc., Dnt dotés incessamment du nouvel éclaà-e.- La Jeune Garde catholique de Laeken a 1 jeudi son assemblée générale. Le comité a constitué comme suit: MM. Gryson, prési-t ; Tonnet et Osselaer, vice-présidents ; Van- Voort, secrétaire; Stiennon, sécrétaire-ad-t; Goossens, trésorier; Desmet, Draps, Poe-uans, Van Tychem et Verbrugge, commises.ne adresse de félicitations à M. le ministre llet et à la droite parlementaire, pour le vote la loi scolaire, a été adoptée par acclamais.- La fête au profit des ateliers chré-s (corsets sur mesure, lingerie, bro-e, confection, bLouses, dentelles de Bruxel-de Venise, tous les points à l'aiguille, rac-modage et lavage de dentelles) d'Etterbeek-lies, qui devait avoir lieu en la salle du Cer-Sainte-Elisabeth, rue Meroelis, au 27 décembre dernier, est remise au dimanche 22 fé-r, à 2 heures de l'après-midi. La fête promet ire dos plus intéressante, elle est l'unique ource de l'œuvre. On peut se procurer des >es rue Beckers, 28, à Etterbeek. appel du maître d'hôtel. [arguerite Lecoq, une gentille enfant ine de naturel, s'avança vers Mlle de Cer-pour lui présenter son fiancé, jeune ime imberbe, à la raie prétentieuse. - Toutes mes félicitations, à l'aveuglette 1 entendu; ce n'est pas maintenant elles ont grande valeur. Au bout de iques années d'accord, vous les mérite- mieux. Espérons que vous êtes faites r vous comprendre. 'ans l'expression de cet espoir, il y avait nuance de dédain pour la parité de deux îs médiocres qui cingla M. Lanray; il se mit de redresser l'opinion peu flatteuse la jeune savante semblait avoir de lui. endant le premier service, tout le mon-loua à l'envi l'élégante décoration de la e; c'était un aimable sujet pour l'entre-1 commun qu'on a soin d'établir au dé-du repas, réservant, les conversations ticulières et plus originales pour le mo-it où, l'estomac étant satisfait, l'esprit t se donner libre cours - Je n'ai aucun mérite, disait Henriette se défendant avec modestie; à Suzanne ient toute la gloire do l'invention. - Mille félicitations. Mademoiselle. - Cela no m'étonne pas, dit Louis avec aira-tion. - Vous êtes donc universelle, Mademoi-e? ajouta M. Lauray. uzanne riait à tous ses compliments, lieuse d'être mise en lumière et oubliant t ce qui n'était pas elle l"ne note lancée par Jean de Malindrey eva discordante - N'est-ce pas vous. Mademoiselle Hen-;te, qui avez réuni toUs'ces matériaux et les avez disposé- ' - Mais si, intorrOrm ouzanne. - Savez-vous qu- V; st beaucoup, cela; îs ce cas, l'exécution vaut bien l'idée, ; l'on peut d'ailleurs trouver-partout. - Vous n'êtes pas aimable pour ma cou-e. riposta Louis. LA suivre.)

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Dit item is een uitgave in de reeks Le courrier de Bruxelles behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1861 tot 1914.

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