Le globe illustré: journal de la famille

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s.n. 1914, 05 Juli. Le globe illustré: journal de la famille. Geraadpleegd op 20 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/7m03x84n96/
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\/f AT A I1" 30Uffrez d'ulcères, va- M./\ l_ji\ LJ.Ljij riqueux, plaies des jambes, •ozémas, maladies de la peau et du cuir chevelu, de maladies nerveuses : épilepsie, neurasthénie, de maladies de l'estomac, des poumons, de rhumatismes, ie troubles du retour d'âge, hémorroïdes, constipation, diabète, albumine, demandez les «Recettes 4a l'Abbé Lauret » qui vous seront adressée» gratuitement par M. l'abbé Lauret, curé d'Ervauville (Loiret) France. Affranchir à 0.25 et joindre timbre pour réponse. SAVON CRÈME POIJD mk entretiennent teint frais et l'aspect juvénil ^EN VENTE RHRTODT SOULAUMENT ^^sav^J I Franco : l'25 timbres, Pharmacie PELERIN» I 'm 20. Bue de l'Ecuver. BRUXELLES I ■ IDÉAL POUR LES DESSERTS 1 NOURISSANT ET DIGESTIBLE, ■ jj APPÉTISSANT COMME GOUT I gEt 'M ET COMME APPARENCE = Un petit livre de cuisine contenant de nombreuses recettes, sera euvoyé franco sur demande. Corn Products Company, soc. an.. Anvers. CHRONIQUE LES THÉÂTRES ANCIENS. — A l'origine, à Rome comme en Grèce, l'entrée des théâtres fut gratuite. Peu à peu des entrepreneurs eurent l'autorisation, de prélever un droit; maie il y eut toujours pour les pauvres des places gratuites. Quand les spectateurs étaient placés dans un ordre conforme à leur condition sociale, un homme masqué passait dans les gradins et demandait le paiement des places. Plus tard, on créa des billets d'entrée qui, faits en os, portaient l'indication de la place ' t le titre de la pièce. La foule était cinsidérable aux spectacles. Le théâtre de Pompéï, plus vaste que tous les théâtres de ce jour, comprenait 5,000 places. Le théâtre de Pompée, à Rome, en contenait quarante mille. Scaurus en fit élever un de quatre-vingt-mille.L'usage, pour les spectateurs, de manifester, fut tardif. A Rome, on n'applaudit et on ne siffla qi}e sous Auguste. Dans les derniers temps, les Grecs jetaient aux acteurs qu'ils trouvaient mauvais des figues, des pommes, des olives.Quelquefois on obligeait l'acteur à ôter son masque et à sortir de scène. Dans quelques villes de province, l'usage de la pomme cuite a survécu dans quelques circonstances où un chanteur est particulièrement mau vais, mais avec la cherté de la vie, ces sacrifices de fruits, fréquents dans la vieille Grèce, se font de plus en plus rares. Et les pauvres diables de cabotins,conspués et bombardés,n'ont plus la ressource de dire en ramassant les pommes : — Heureusement qu'on est nourri ! » — x — LES ORIGINES DES MODES. — D'où nous vient l'invention des fraises tuyautées? D'une princesse goitreuse qu'aimait Henri II. Des robes à traîne, sous Louis XIV ? De ce que certaines favorites royales avaient de longs pieds. Des robes à panier? Elles furent imaginées par Mme de Montespan pour dissimuler ses grossesses.De la perruque, dont la vogue fut excessive, ce même Louis XIV régnant? Hélas! le roi avait une loupe sur la tête. Pourquoi, sous Philippe II, les Espagnoles portèrent-elles des guimpes montantes? Parce que la reine avait un cou très long. Pourquoi, sous Louis XV, les hauts talons? Parce que Mme de Pompadour était petite. Pourquoi pour la poignée de main, aujourd'hui, lève-t-on le bras horizontalement pour ensuite le plonger vers la main tendue? Parce que la reine douairière d'Angleterre,alors qu'elle était la femme d'Edouard VII, avait un furoncle sous le bras... Et l'on pourrait continuer Longtemps ces citations.— x — PRÉSENCE D'ESPRIT. — L'écrivain s'est ménagé un après-midi de travail. — Je veux être tranquille, dit-il à sa femme. S'il te vient une visite, arrange-toi pour qu'elle ne dure pas longtemps, car tu sais que j'ai beau fermer ma porte, j'entends de mon cabinet de travail tout oe que l'on dit dans le salon... — Je n'attends que Mme Lapie. — Cette bavarde, cette mauvaise langue?... Tâche de l'expédier. — Sois tranquille... Tiens, on sonne. C'est elle. L'écrivain s'enferme. Pendant une heure, Mme Lapie jacasse, papote, déblatère, à la grande fureur de l'écrivain qui, dans la pièce voisine, ronge son frein en silence .Enfin il n'entend plus rien. La visiteuse a dû se retirer. L'écrivain entr'ouvre la porte du salon et demande à sa femme : — Eh bien, cette vieille peste est-elle enfin partie ? Tableau : Mme Lapie est encore là ! Mais l'épouse, avec un sang-froid remarquable, répand vivement : •— Oui, cette peste est partie depuis une heure. Voici maintenant cette excellente Madame Lapie. Appareil électrique à main pour tous massages. Spécifique contre : rhumatisme, goutte, migraine, neurasthénie, obésité. Véritable trésor des familles. Conservateur de la beauté et de la santé. Démonstration gratuite chez : H. Noelke, 199, rue Royale, Bruxelles. Téléphone A. 3638. GARDE-ROBE DE ROIS. -- Les souverains possèdent une garde-robe des plus compliquées. Ils ont une collection extraordinaire d'uniformes militaires qu'ils revêtent suivant les diverses cérémonies auxquelles ils assistent. Le roi d'Espagne ne fait pas exception à cette règle, car il est colonel en Angleterre, colonel dans vingt garnisons d'Espagne, etc. ; il peut porter plus de cinquante uniformes. Or, Alphonse XIII vient d'ajouter à sa collection un nouvel uniforme qui ne comporte ni aigrette ni broderies d'or : il est même d'une grande simplicité.Les boys scouts de Madrid ayant nommé le roi boy soout d'honneur, le souverain, pour passer en revue ces jeunes gens, en a endossé le costume, feutre mou, vareuse, culotte et molletières.Ce fait a rempli de joie les boys scouts, mais Guillaume II n'est pas content, paraît-il. L'empereur d'Allemagne n'avait pas songé à enrichir sa garde-robe, déjà si complète, de la martiale tenue des boys scouts ! — x — LE MAUVAIS GARDIEN. — De récentes tentatives d'évasions sont venues remettre en mémoire les prisonniers célèbres qui réussirent à s'enfuir malgré la vigilance et les obstacles presque insurmontables. Si quolques-uns de ces faits audacieux furent accomplis par des aventuriers plus ou moins recommandables, nombre d'hommes d'un beau caractère, victimes des révolutions ou de leur patriotisme, furent les héros de ces exploits dont certains paraissent invraisemblables.Sans remonter à l'antiquité, on peut rappeler l'évasion de Benvenuto Cellini. le célèbre artiste de la Renaissance. De caractère violent et querelleur, le grand sculpteur cher à François 1er, avait été emprisonné à Rome, au château Saint-Ange. Il réussit à s'échapper en découpant ses draps en bandes à l'aide desquelles il parvint à franchir trois murs et un fossé, et à gagner, quoiqu'ayant la jambe droite brisée en trois endroits, l'asile que lui offrait son ami. Non moins énergique fut le chevalier de Pontgibaud, qui, à l'âge de seize ans, s'évada de la forteresse où il était enfermé, sous les balles de la garnison. Mais que dire des aventures extraordinaires du baron de Trenk, qui resta dix-huit ans emprisonné après de multiples évasions. Il faudrait un volume pour les raconter. Casanova, s'éva-dant des plombs de Venise en compagnie du moine Balbi; le comte de Lavalette, quittant, sous les habits de sa femme, la Conciergerie où il avait été enfermé après les Cent jours pour sa participation au retour de Napoiléon 1er ; Louis Bonaparte, s'échappant, en 1S40, du château de Ham, et les multiples évasions militaires, telles que celles de Jean Bart et For-bin, s'enfuyant de Plymouth, en 1689, ou du général Ducrot, en 1870, donneraient matière à nombre de récits aussi palpitants que des romane d'aventures. Mais parmi les évadés célèbres, la place d'honneur revient sans contredit à La-tude, cet extraordinaire aventurier du XVIIIe siècle, qui, à la suite d'une tentative de chantage auprès de la marquise de Pompadour, fut, en 1749, emprisonné à la Bastille, puis transféré au donj'on de Vincennes. Evadé en 1750, puis repris, il s'évada de nouveau en 1756, puis en (1765. Jusqu'au jour où, libéré, il devint célèbre. Après avoir été l'homme de la Révolution et l'admirateur de Napoléon, Latude, devenu riche, mourut en 1805. Sous la Terreur, la foule des prisonniers dont regorgeait les prisons, rendit les tentatives d'évasions très fréquentes, ausi avait-on adjoint aux gardiens, des chiens, notamment à la Conciergerie. L'un d'eux était remarquable encre tous les autres par sa force, sa taille et son intelligence. On l'appelait « Ravage » et il était chargé, pendant la nuit, de la garde de la Tour du Préau. Des prisonniers avaient, pour s'échapper, fait un trou tel, que rien ne s'opposait plus à leur dessein, si ce m'est la vigilance de Ravage. Mais Ravage se laissa corrompre. Une nuit il se tut et, le lendemain, on s'aperçut qu'on lui avait attaché à la queue un assignat de cent sous avec un petit bi.Uet où étaient écrit ces mots : « On peut corrompre Ravage avec un assignat de cent sous et un paquet de pieds de mouton. » Ravage, promenant et publiant ainsi son infamie, fut un peu déconcerté par les attroupements qui se formèrent autour de lui et les éclats de rire qui partaient à ses côtés. Il en fut quitte pour cetet courte humilitiation et quelques heures de cachot. — x — LE COIN DES RIEURS. — Chez un marchand d'objets de jardins : Une grosse dame. —■ Croyez-vous que ce hamac soit assez résistant? Le marchand. — Oh ! madame, vous pouvez-vous y mettre sans crainte ; il supporterait un hippopotame ! Entre chauves : — J'suis plus fier que vous! Il m'en reste encore une mèche ! — Ah ! Et où ça ? — Dans le médaillon de ma femme I Nos domestiques.

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Dit item is een uitgave in de reeks Le globe illustré: journal de la famille behorende tot de categorie Brussel. Uitgegeven in Bruxelles van 1885 tot 1914.

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