Le matin

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02 oktober 1914
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s.n. 1914, 02 Oktober. Le matin. Geraadpleegd op 19 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/6m3319t44b/
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rvvendredi 2 Octobre 1914- - CIIVQ ClÂMTÏMiËS" 21me Année - N° 275 RÉDACTION /IEILLE BOURSE, 39 ANVERS Téléphone Rédaction : 917 jvPonn.emen.ts : l Un aïi h'. 1S OO rriRS Sizraois .... «KO / Trois mois ■ » . > -> -»« » li a aa . . < • . . Ï6.00 .itrerp. ?Sii mois , < . • . S.ïiO ' /Trois mois .... Lm.frsBce, AogteÇrre, Ailpmngne et Union tniif.ra. irinwstrp, fr. IKOO, — Hollande ec j (.'fticliè. par triihestre, Ir. 7.00. L-infroent se poursuit jusqu'à refus formel. LE MATIN JOURNAL QUOTIDIEN ADMINISTRATION 39,VIEILLE BOURSE, 39 A1VVÉR8 Téléphone Administration : S *5 R C. de CAUWER, Directeur Annonces : Annonces ia petite ligne, fr. O 30 Annonces financières ici » 1 < M» Kec-lames la licne, » 1 HO Faits divers corps M. > î* OO Chronique sportive i(U » ïî OO Faits divers fin il. » "i OO La Ville xl. > 5 00 Emissions Prix à convenir. Les annonces de la France, de l'Angleterre ei de l'Amérique sont exclumwieni re<:upn « Binx+ltM sitei MSl, J. Lrbkgle & 0". EDITION DU SOIR LA SITUATION GÉNÉRALE En leigiqtgg n dépit de leurs efforts désespérés les Aile mi» n'ont tait aucun progrès devant An I. I, de toutes parts, les bruits les plus ras mis se mettent à circuler. n combat est engagé, parait-il, dans la ré i de Dey me et de Sottegem, entre Aile ids d'une part et Français et Belges d'autri I, Des canons anglais, avec des servant: lais, sont arrivés. Enfin, nombre de Bruxcl et de Bruxelloises arrivés aujourd'hui ï [ers se sont présentés à nos bureaux e tarent être sortis plus facilement que ja s de la capitale stte nuit, les Allemands ont attaqué Ter me. Il y a eu un combat violent. Noui r,s fait sauter le pont, A 2 heures du ma les Allemands ont été repoussés défini meni. ans la nuit encore, les Allemands ont four me attaque contre les travaux avancés di de Koningshoyckt. Cette attaque a ét< lussée et ce matin une contre-attaque a ét< Eprise par nos troupes. >t A iyQtte'gi " i te dernier communiqué français est nn chef-d'œuvre de laconisme : Nous avons progressé. \ dit-il simplement, à l'aile gauche et à l'aile droite. - Que pourrions-nous espérer de plus? C'esi la yictoire qui se dessine, certaine. Et lisez d'autre part, avec attention, cette dépêche de * noire correspondanat de Paris qui annonce j l'abandon de plusieurs centaines d'autos pai ' les Allemands, qui commencent à souffrir de ' toutes las privations. A IPEst ' Nos dépêches particulières — que d'aucuns prétendaient optimistes — sonî entièrement . confirmées par le communiqué officiel russe ; d'aujourd'hui. Le général allemand von Hin-. derburg est en retraite devant les Russes et ■ Suwalki est évacué. Suwalki!... Vous vous souviendrez que les . Allemands y avaient déjà étabri une organi-i satien allemande, tant ils étaient certains de i leurs progrès de ce côté. ; Et le siège tf'Ossowefz qui vient d'être levé... Voilà qui est d'excellent augure pour Anvers ! Les hostilités en France situation jeudi, à II heures du soir iftlS, 1er octobre. — Communiqué de 23 v- - pe «oir rien de particulier à signaler, ['dans la région de Rayé, ou une violente [ïx lieurettsemenj été lavorable pour nous, p-'î'V"irr»tfîîî>. 'nous avons "l'ait qu-rtil'ue* iftinx progrès. rnpressioh générale reste satisfaisante. légramme de M. DeScassé • Delcassé, ministre des affaires étran-b, a adressé à M. Klcbukowski, ministre Itfcf» en Belgique, le télégramme suivant: Bordeaux, fer octobre, >19 h. 45. [30, pas de (nidification dans la situation semble, nous avons progressé teperidant >tre gauche au nord de fa Somme et à notre te, en Woevre méridionale, à Seicheprey ur les pentes du Rupt de Mad> Â Paris 'S 'l'vice spécial du Malin) 2 octobre. — De très nombreux p'iiv <uxit déjà revenus "de la campagne. R les hôtels ont, rouvert leurs portes et Ç <nnt entièrement remis à. aeut pendant tnode de chômage, ce qui produit le plus |"x effet, bnprinz pille la collection du baron Debaye BIS, 30 septembre. — Le Matin dé Paris F une lettre de la baronne Debaye dans elle affirme que le kronprinz a sé-j1" pendant deux jours dans son château j1'1' l'iifimpaubert, et. qu'il a pillé lui-Slême f*® I111 contenait, une très précieuse col-?" ai<iiéologique, fruit des recherches U*00 ^ebaye, pendant ses 28 années de l'1" et explorations au Caucase. baronne ajoute que le kronprinz a pris [finies. des joyaux, des médailles, des ^ les vases ainsi que les cadeaux du I 'l donna des ordres pour que Farneu-f11], 1pj peintures de valeur et les lapis-r fu®ent expédiés en Allemagne. Lui- «'li n uisit dans la chapelle les portraits. s|f et de la Tsarine. Comme ils se rendent Il faut croire que bon nombre de soldats d< la vaillante armée du Kaiser sanglant en ou jusque par-dessus la tête. Des soldats anglaii signalent, dans leurs lettres, que pas mal d'Al boches se rendent avec une facilité étonnante et même que certains d'entre eux saisissen asec. e:iv rcs-emi m .-l'occasion d'être laits pri soimiers. Ils sont dans un état pitoyable, écrit un bra ve « Tommy ». J'en ai vu un qui, étant blessé vint se rendre, afin d'être dirigé sur un hô puai français. L'autre jour, douze soldat: d'infanterie allemands, armés et équipés com plètemént, vinrent se rendre à. quatre de no-I hommes, qui. eux, étaient précisément désar j més quand celte rencontre se produisit. « Qu'en pensc,".-vous ? demande ingénumen Tommy... » Nous pensons que les soldats-bandits doiven avoir faim ou. qu'ayant, devant eux des hom mes résolus, ils ont perdu tout courage... Les héros I Un lieutenant du 31me d'infanterie a été grift i vernent blesse de trois balles. Arrivé a la station d Auberviiliers-La Courneuve, il exigf qu'on le descende le dernier. «Prenez d'aborci mes hommes, dit-il aux brancardiers; s'il reste un brancard vous viendrez rne checrcher!» L'Espagne hospitaliserait les blessés français T'ne dépêche de Madrid dit que la neutralité de l'Espagne entrerait dans une voie nouvelle, Par charité et par humanité, le gouvernement aurait offert d'hospitaliser 30,000 blessés, doiil 6,000 à Madrid. — Fournier. Celui qui survola Paris Du Temps. — Un do nos amis a reçu d'un soldat actuellement sur le front une lettre d« laquelle nous citons ce passage : « J'ai pleuré de rage quand j'ai appris qu'un avion allemand avait survolé Paris el jeté des bombes. L'aviateur, le lieutenant Hedes-sey, jo le .connais; c'est lin gosse, vingt-trois ans au plus, li s du gouverneur de Forbarh. Mais bien peu intéressant. Pendant mon séjour à Francfort — car c'est le premier élève de la maison où j'étais — il a été ramassé ivre-mon dans la rue par une patrouille, 11 a fallu l'intervention du frère de Guillaume pour qu'il ae soit pas cassé ; mais il a en deux mois d'arrêts de rigueur. Aux Etats-Unis s navires allemands dans le port de New-York (Sirvice spécial du Malin) pWŒSrï octobre. — Par dépêche de y '"ftesjondanti — T.e correspondant du Ifs'', ? à w'dSbington dit que les ten- t feire décharger les navires alle- Iîi, ,ete4s à New-York n'ont obtenu au-fucces. ' a1"-: ■' allemands ne quitteront pas lien. Mi? capitaines sont convaincus i »#nt que le transfert de leurs bateaux ; iwillon américain n'empêchera pas y 'V'tre capturés à leur sortie en mer. .>',P!'"-I?ntils la sécurité dans le port do |U11* u, la capture. Les précautions contre les ..Zeppelin" Certes les monstres aériens que,les Teutons ont déchaînés traîtreusement sur nos villes endormies fait plus de bruit que de mal. Seulement, quand, l'autorité militaire donne un ordre et que cet ordre a en vue l'intérêt de tous, il faut qu'il soit suivi. Or, la prescription d'éteindre les lumières à partir de S heures n'est- pas également Observée dans tous les quartiers de la ville. Qu'il y ait une tolérance de quelques instants, soit; il faut tenir compte des montres et des pendules qui retardent, de soins urgents à terminer.Mais nous pouvons affirmer qite notamment à Borgerhôut,, des gens dorment à l'étage ou dans leurs caves en conservant de la lumière pendant la plus grande partie de la nuit. Il peut y avoir dans le l'ait pl 'l'ignorance que de mauvais vouloir; mais encore serait-il bon île tenir la main à cë qu'aiiMWe dérogation ne soit permis? à u, mesuu àyant trait, 7-épé-ton.s-le, a la sé>u"rt<j généj d.'. Faute db benzine, les Allemands perdent lente mobilité (Sèrvice.spéciàl fnî Malin.) PARIS, 2 octobre. —- Par dépêche de notre correspondant. — Les Allemands ont perdu toute mobilité à cause du manque de pétrole qui se fait sentir sur toute leur ligne. Ils ont dû abandonner déjà plusieurs centaines de voitures automobiles dont le réservoir était vide. Partout, ils réquisitionnent la benzine avec plus d'âpreté que la nourriture et le vin. Note. — Cette dépêche confirme la dépêche particulière que nous avons reçue hier au sujet des puits de péfKi-le de-Calicie occupés par les Russes, La neutralité de la Grèce (Service spéi-iaî du Malin). LONDRES, 2 octobre. — Par dépêche de notre correspondant. — Lt bruit court depuis quelques jours que la Grèce entrerait bientôt dans la lutte. Le correspondant » Athènes du •< Morning Post» télégraphie que ie premier,ministre Ve-nizelos a déclaré que la Grèce ne renoncerait à sa neutralité qu'au cas où elle serait amenée à devoir remplir les engagements du trai-té li'alliance qui la lie à la Serbie.» En Roumanie Du tac au tac BUCAREST, 30 septembre. — En réponse aux tentatives faites à Bucarest par les ambassadeurs autrichien et allemand, l'impératrice Eugénie, femme de Napoléon III. a écrit au roi Carol pour lui rappeler les services que Napoléon lit a rendus au peuple romain pour la conquête de son indépendance. Le roi Carol a décide de tenir conseil aujourd'hui pour décider de l'attitude de la Roumanie au cours de cette guerre. En Bulgarie Une note nouvelle i ' SOFIA, :;o septembrej — La semi-oflicieuse Nà/foMi Prqva croit que nous sommes entrés dans la seconde phase de la guerre. «Notre attitude neutre, dit laf euille, nous vaut les bons sentiments des deux groupes de belligérants et notre territoire ne court aucun risque1. D'ailleurs, notre force militaire qui, par notre neutralité actuelle, demeure intacte, est très appréciable et nous assure un meilleur avenir.» Les Etats-Unis se préparent à développer leur marine marchande.(Service spécial du Matin) LONDRES, 2 octobre, — Par dépêche de notre correspondant. — Le correspondant du Mot-vinrj Post à Washington dit que l'on croit que la proposition de créer une marine marchande gouvernementale deviendra loi au cours de cette session législative. I BATAILLON DE MALTAIS (Service spécial du Matin) LONDRES, 2 octobre. — Par dépêche de notre correspondant. — Dans la' petite ile de Malte, le nombre de volontaires prêts a partir pour le '•ont s'élève actuellement à 750! Etant donné la. population réduite de l'île, c'est là un nombre fort important et qui prouve bien l'enthousiasme qui règne dans toutes les parties de l'empire britannique. Les Belges et l'Etranger Le "Daily Mail" proteste contre les atrocités allemandes LONDRES, 2 octobre. — Dans nn article de fond, intitulé, «I.e martyre de la Belgique», le Daily Mail proteste contre les cruautés allemandes et exhorte toutes les nations neutres de donner toute leur aide pos-:bie à nn peuple 'souffrant pour une grande cause. — Reuter, LA MARCHE DES RUSSES Communiqué officiel russe ■ ANVERS, 2 octobre. — Communiqué de l'attache militaire de Russie. — Le 29, les Russes après des combats acharnés qui ont duré quelques jours ont réussi à prendre les positions , allemandes dans la région d'Avgoustov. Le lendemain nous avons pris les défilés des lacs dans la région de Simno. L'ennemi est rejeté dans la région de Sou-valki et Marïampol, notre offensive énergique ! continue. L'artillerie de siège allemande a continué sans aucun succès la lutte avec les forts d'Os-sovetz.Dans la région de Schoutchine, près de Lyckj des rencontres insignifiantes. Sotr. — Le premier paragraphe de ce communiqué confirme la dépêche particulière de Rétrogradé que nous avons publiée jeudi après-midi. Lés deux paragraphes suivant sont également confirmés par nos dépêches personnelles. Par contre, notre correspondant annonce que Se siège d'Ossovetz est levé, ce que le" rapport officiel confirmera probablement demain.Les Allemands rejetés en Prusse orientale (Service spécial du Malin) PETROGRADE, 1 octobre. — Par dépêche de notre correspondant. — Un communiqué officiel russe dit que les /{llemands sent en pleine retraite à l'est de Suwalki et dans le gouvernement de Lomgha. La retraite continue sous la i.>°ession des Russes. Des CGmbats d'une violence particulière ont eu lieu dans la région ouest de Simuo. — Ex-! change. Note. — Suwalki, à- 20 kilomètres de la frontière de la Prusse orientale. — Simno, à 20 kilomètres au nord-est de Suwalki. Le siège d'Ossowetz est levé ! (Service spécial du Matin) PETROGRADE", 1 octobre. — Par dépêcha de notre correspondant. — Uu communiqué officiel russe dit que les rorces allemandes qui avaient entrépris le sUfèe d'Ossowetz sa sont précipitamment retires vers le Norsl. — Exchange. / Les forces russes en campagne LONDRES, 27 foptembre. Le Reynolds Xews Paper rapporté, une déclarai ion d'un diplomate russe, / d'apiès laquelle la Russie possède déjà sixmiliions* d'hommes en r .unpa-gne -et en mobilisé encore deux millions. "Guik" j C'est le cri des cosaques, au montent de la charge, le cri « terrifiant et fou » qui n'a jamais changé depuis qu'il y a de» cosaques .. et qui chargent. Qu'importe que sur le champ de bataille planent les avions, que les magasins de cartouches soient à la poudre sans fumée, les cosaques poussent le même cri en se lançant à J'attaque que poussait l'ataman Koukoubenlto, il y a quelques 200 ans, ti côté de Taras» Boubba. Le journaliste russe qui s'exprime ainsi, a causé avec un prisonnier autrichien qui lui a avoué l'épouvante répandue parmi les armées autrichiennes par la vue de cette cavaierie. «Le cœur cesse de battre, disait ingénue-ment ce prisonnier, quand on aperçoit leurs lances et qu'on entend leur cri... » On saura dans quelques semaines ce qu'en pensent les Rerlinois. Entre alBiès austro» allemands Le mépris des Allemands pour les Autrichiens LONDRES, 2 octobre. — Une dépêche de Rouie en date du 1er octobre à l'Agence Reuter dit que selon une nouvelle de \ tenne, letat-major allemand a pris le commandement suprême de la campagne contre la Russie.. — Reuter. A Terraonde Uneattaqueallemandeestrepoussée ( De notre envoyé spécial. ) VENDREDI. 11 heures du matin. — Cette nuit, un violent combat s'est livré a Ter-monde. Le pont a saute. A 2 heures du matin nous avons nettement re poussé les assaillants. — M. G. A prepes de l'attaque d'Anvers L'opinion du "Times"' Le' Times consacre un long "article à l'attaque des forts du secteur sud de la position d'Anvers. Il ne croit pas qu'il y ait lieu de penser que les Allemands aient commencé le siège d'Anvers, car il ne semble pas que les troupes allemandes actuellement en Belgique soient de taille à s'attaquer à l'armée de campagne belge qui fait preuve d'une si belle énergie. Même» si les plus gros canons de siège al-Iwu inds étaient mis en batterie et si les fprts étaient réduits en pièces, nous doutons que, par ce fait, les Allemands se trouveraient plus rapprochés de la ville.. « Anvers est plutôt une place forte qu'une forteresse et les retranchements de campagne doivent être à même de tenir pendant très longtemps. « La plus grande force armée dont, Osman pacha ait disposé à Pîevna se montait à 30.000 hommes. Et, malgré qu'il n'y ait aucune comparaison a établir entre les deux places fortes, il faut se souvenir qu'il a maintenu ie drapeau ottoman pendant des mois sur des ouvrages de défense improvisés. «Les Belges tiennent. Une des plus puissantes places fortes de l'Europe; ils dou ent avoir au moins 120,000 hommes d'excellentes troupes; ils disposent d'un port de mer accessible; on ne dirige contre eux que des troupes de seconde ligne; leurs travaux de défense sont formidables, et, de plus, ils savent, que les armées alliées sont en voie.d'obtenir la victoire décisive et. pourront d'ici un temps plus ou moins rapproché venir à leur secours. «Nous ne croyons pas qu'il y ait à éprou- i I ver la moindre crainte pour Anvers, malgré i que la gracieuse tour de la cathédrale et la 1 belle église Saint-Jacques doivent faire venir j l'eau à la bouche aux Huns d'Outre-Rhin, malgré que 1a. perspective de pouvoir détruire les trésors artistiques et Intellectuels assembles à Anvers doive fortement tenter les pionniers de la «culture» allemande.» Succès belge devant Lierre Les Allemands ont tenté cette nuit une attaque à la baïonnette contre les travaux avancés de Koningshoykt, yprès une heure de combat les soldats de Guillaume le Sanguinaire -ont dii -e replier eji désordre. Sur le front A Lierre — La situation ce matin ( De notre envoyé spécial ) A neuf heures moins le quart le bombardement de Lierre a repris, les obus allemands étant diriges comme hier dans la direction de l'hôpital et du Rivage. PeU après ils ont commencé de pleuvoir sur la fabrique d" margarine et les usines Yermeylen. A partir de ce moment le bombardement, s'est poursuivi de minute en inimité. Vers dix heures quelques projei tiles ont commencé de tomber dans la rue Droite, entre le pont et l'église. On ignore; naturellement encore l'étendue des dégâts matériels.Quant au fort de Lierre, il a tenu et continue de tenir de façon splendide. Les cinquante-six obus lourds et les centaines de shrap-nels et petits obus qu'il a reçus ne l'ont que très légèrement endommagé. De son côté il a infligé à l'infanterie ennemie des pertes à ce point considérables que c'est uniquement par esprit de représailles que les Allemands hom bardèrent la ville. La population civile est en sûreté, Â Waeihem "Vendredi, Waeihem tient toujours Voilà !a nouvelle que nous sommes à même d'affirmer de la façon la plus formelle. Les Allemands restent bien au large de la Nethe et, notre artiller i • fait des ravages enor- • mes dans les rangs de l'infanterie ennemie qui tentait de s'avancer en avant de Malines. Les pièces allemandes sont établies entre Blaesveidt et VYillebroeck. Une autre batterie ennemie se nouve à Breendoiick. Le tir de toutes ces pièces est cependant sans grand effet Le point la plus chaud semblait être, ce maVii. le village de Ruippst. Fait notable et bien fait poui tranquilliser tout le inonde . Nos hommes occupent toujours leurs tranchées devant Waeihem e; rien na chargé

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Dit item is een uitgave in de reeks Le matin behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Anvers van 1894 tot 1974.

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