Le messager de Bruxelles

1017 0
22 januari 1915
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1915, 22 Januari. Le messager de Bruxelles. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/vq2s46j051/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

LE MESSAGER DE BRUXELLES JOURNAL QUOTIDIEN, ÉCONOMIQUE & FINANCIER Abonnements : Pendant la durée de la guerre 3 francs par mois (Bruxelles et faubourgs) AVIS. — Adresser toute correspondance à la direction du MESSAGER DE BRUXELLES Aucune quittance ne sera valable al elle ne porte la signature du directeur du Journal. . Rédaction et Administration s 1, Quai dti «USiaiitïei*, 1, Bruxelles. - Téléph. A. 1610 Le Prince Carol de Roumanie Le récent avènement au trône du rai de Roumanie et les événements actuels ont attiré l'attention du monde sur le prince Carol que notre cliché Comme nous venons de le dire, c'est Je prince Carol que présente notre cliché. Le futur roi est extrêmement populaire en Roumanie. Il f.ar- ^ ■ ■ 'Y y- y* t •' ip————i————— -de ce jour .représente, enfant, devant poste de chasseurs faisant le. service d'honneur au château de Coitroceni. Nous rappellerons que le 22 novembre 1888, le prince Guillaume renonçait à ses droits de succession en faveur de son firère te pri'nce Ferdinand, né le 24 août 1865. Par un décret xoyal du 18 mars 1889, ce prince a été -créé prince de Roumanie. Il a épousé, le 10 janvier 1893, la princesse Marte, fille du duc de Saxe-Cobourg-Gotha ; de cette union sont issus: le prince Carol, né en jSj3; la princesse Elisabeth, née en 1804; la princesse Marie, née en 1900 et le prince Nicolas, né en 1903. le admirablement Je français et l'alte-I mand et rien de l'histoire des peuples ne lui. est étranger. On nous a dit que, enfant, Carol avait fait placer sur sa table de travail un portrait de Napoléon !", ce qui plaisait beaucoup à wn précepteur, te docteur Moerîing, de nationalité suisse. Le prince Carol, qui est Mijour-d'hui un épéiste de première for'-e et un cavalier accompli, f*ct giaxidemcnt respecté et fort aimé de: soldats et il n'est pas rare de voir l'héat'er prt-somptif du trône échanger quelques mots avec tes hommes de sa garde. E. FONCl ;S COMMUNIQUÉS Communiqué Officie! Allemand Sertin, 20 janvier : Sur Ee front occidental. . Dans le secteur entre la côte et la Lys, il n'y a eu que des combats d'artillerie. Près de Notre-Dame de Lorette, au nord-ouest d'Arras, nous avons pris à 9'ennemi une tranchée de deux cents mètres île longueur ainsi que deux mitrailleuses. Nous avons fait quelques prisonniers.Dans l'Argonne, nous avons également pris quelques tranchées, nous avons même gagné en cet endroit plus de cinq cents mètres de terrain depuis ces derniers jours. Dans la forêt située au nord de Senn-heim, notre attaque s'est poursuivie avec succès ; nous avons fait 2 officiers et 40 «chasseurs alpins prisonniers. Sur le front oriental. La situation n'a pas changé depuis hier. Communiqué Officiel Français : Paris, 19 janvier, 11 heures soir. — A la suite d'explosions de grenades qui ont mis îe feu à une partie du village de La Bois- j seïîs, nous avons dû évacuer ces positions, j SSier matin, à la suite d'une violente con-! tre-attaque, nous les avons réoccupées. L'ennemi a bombardé Saint-Paul-lez-Soissons.En Champagne, des aviateurs allemands ont survolé nos positions ; ils ont été écartés par ie tir de nos mitrailleuses. En Argonne, il n'y a à signaler qu'un violent combat d'artillerie. Entre l'Argonne et les Vosges, la neige et Sa tempête empêchant tout mouvement. Paris, 20 janvier. — Autour de Lom-bartzyde, on signale un violent combat d'artillerie. Sur la Lys et jusqu'à l'Oise, les intempéries empêchent toute opération. L'Aisne entre en décrue. En Champagne, l'ennemi a bombardé nos positions autour de Bar-le-Duc. Aucun changement sur le reste du front. Communiqué Officiel Autriehien Vienne, 21 janvier. — La situation n'a pas changé depuis hier. Sur le front en Pologne, seules quelques escarmouches ont eu lieu entre patrouilles avancées, des combats d'artillerie ont aussi eu lieu. Sur la Dujanec, notre artillerie a bombardé avec succès les tranchées ennemies, ce qui amena la prise d'une ferme fortement fortifiée. Une de nos divisions poussa jusqu'au bord du fleuve et fit des pertes sensibles à l'ennemi et anéantit un pont construit par l'ennemi sur la Dujanec.Dans les Carpathes, rien de particulier. Communiqué Officiel Russe Pétrograd, 18 janvier. — Sur ie front occidental, les intempéries ont empêché les opérations ; on signaie des canonnades sur la Mlawa. Nous avons poussé notre avance, au Causase, jusqu'au delà de Karaourgan. Près de Jénikenl, nous avons eu à supporter une violente attaque, qui a duré deux jours ; nous avons battu des parties de la 32e division turque. L'ennemi a laissé deux mitrailleuses sur le terrain. Sur les autres fronts, rien n'est à signaler. LA GUERRE Les opérations en Haute-Alsace qui avaient été interrompues pendant quelques jours ont repris. Toute la journée d'avant-hier, te canon a tonné au pied des Vosges, aux environs de Cernay et de Sep-pois; l'artillerie a tiré dès 8 heures du matin; tes coups de canon se succé-j datent toutes les trois secondes du I côté de Waittvilter. j : Au nord d'Uffholz, les Allemands j ; ont attaqué tes lignes françaises. Dans toute la région de Moos, Bisel et Seppois, tes Allemands ont mon- j tré 'line grande activité ; dès le matin i et l'après-midi de dimanche, ils ont • pris l'offensive contre les positions j françaises, à l'est de Pfetterhausen, j dans tes environs des étangs de Saint- ! Antoine. Les Français ont pu repousser ces attaques. Certains journaux ont rapporté que tes troupes françaises avaient subi un gros échec à Hirzbach. Les villages de Carspach et d'Hirzbach sont toujours aux mains des Français. La nouvelle annonçant aussi la retraite ! sur Surbach n'est pas exacte; à part | iun léger recul à l'est de Burnhaupt-i le-Haut, la ligne de combat des j Français en Haute-Alsace n'a pas changé depuis une semaine. * * * Sur la Bzura, les attaques allemandes qui visaient Varsovie par 1e nord sont plus <.. dmes, tandis qu'à l'extrême sud, dans la .région des Carpathes et de la Galicie occidentale, les troupes autrichiennes consolident leurs positions. On ne discerne pas encore exaotement les suites de l'opé-j ration sut ce territoire. Certaines in-î formations partent bien de la plaine i hongroise menacée à travers la mon-1 tagne, mais ici l'hiver ne peut pas ne pas exeroer une influence retardatrice. Les cols sont élevés,, la voirie pour . ainsi dire nulle, 1e ravitaillement de ' colonnes importantes doit être impos-; sible. A l'autre extrémité de la ligne de bataille, du côté allemand, le gé-j néral von Hindenburg semble me-j nacer de nouveau la Bzura, S Fendant quelques jours, tes dépê-| ches de Berlin ont affirmé la progres-l sion de l'attaque, non plus à l'aile ex-| trême, mais plus au sud, sur la Raw-j ka et à l'est de cette rivière, c'est-à-: dire à l'ouest de Varsovie. Mais rnê-| me dlans ce secteur tes mouvements ' paraissent enrayés. C'est maintenant la guerre de tranchées comme en occident, et les adversaires doivent se retrouver, au point de vue des ravitaillements, dans la situation qui fut celle de la première quinzaine d'octobre.Dans cette région, l'hiver exerce son influence, l'influence contraire à celle qu'on attendait. Exceptionnellement doux et la gelée ne durcissant pas 1e sol, la boue entrave le mouvement des troupes. Habituellement, la Vis-tule de Varsovie gète dès le 20 décembre et reste gelée jusqu'au 10 | mars, date moyenne de débâcle. On 1 pouvait donc s'attendre à une phase 1 de manœuvres actives pendant cette s période. Les conditions exceptionnel- t les la retardent au contraire. Ainsi, autant qu'on en peut juger à distance, la bataille de Pollogne con- i serverta son caractère suspensif actuel ] jusqu'au changement des circonstan- 1 ces olimatériques. * " ~~ ————— * * ( La Reichspost publie des déclara- 1 tions faites par le . général autrichien 1 DanM à des journalistes. 1 Le général Dankl insiste sur l'énorme différence qu'il y a entre la guerre actuelle et les guerres des siècles passés. < « Aujourd'hui, diit-iil, après des ' combats qui ont duré des semaines, on se trouve toujours devant des fronts colossaux, exigeant de nou- ' veaux groupements de forces. » Le seul élément décisif, conclut le 1 général Dankl, faisant sienne une ] maxime très répandue, réside dans la force morale de l'armée, et c'est te peuple qu.i tiendra le plus longemps 1 qui remporte-ra la victoire finale. » 1 La question persiane s'est haussée 1 soudain au premier plan de l'actuali- ' té. Les Turcs viennent d'occuper la : capitale de l'Azerbedjan, la seconde j ville de la Perse, Tauris. La manoeuvre a une double face. Elle est à la fois militaire et politique. Un coup d'ee:! sur la. carte montre avec une clarté absolue la combinaison militaire. Entre la mer Noire et la Caspienne se dresse une double barrière. Au nord, c'est la grande chaîne du Caucase. Plus au sud l'An-ticaucase, qui s'enorgueillit encore des 5 >000 mètres de î' Ara rat, forme une barrière d'une moins abrupte continuité. yn trait est^plus frappant encore. Tandis qu'à l'ouest, sur la mer Noire, îles deux chaînes également sauvages se touchent presque, plus on avance vers la Caspienne, plus elles divergent, enserrant la riche plaine qu'arrosent le Kur et l'Araxe. De plus tes rameaux orientaux de l'Anticaucasç 1 sont beaucoup moins élevés; La première idée des Turcs a été de prendre île taureau par tes cornes. Ils ont attaqué J'Anticaucase dans sa partie l'a plus farouche, visant Tiflis, la capitale de la Transcaucasie russe. Cette tentative a échoué dans les défilés d'Ardahan et de Sarykamisch. Maintenant les Turcs ont changé de méthode. Ils vont tenter de tourner l'obstacle 'par l'Içst. La manœuvre peut sembler plus aisée. Et puis elle conduit non plus à Tiflis, mais à cette presqu'île d'Apcheron où Bakou cache ses inépuisables gisements de naphte. Voilà ce que signifie, au point de vue militaire, l'occupation de Tauris. Le communiqué russe du 15 a annoncé avec une absolue franchise qu'on s'y préparait. Attendons-nous donc à des événements importants dans cette région. Mme DELNA N'EST PAS MORTE » Si le quart des gens que la légende a fait mourir depuis le commencement de la guerre étaient réellement disparus, le huitième au moins du genre humain aurait passé de vie à trépas. On voudra bien se souvenir de ce que nous disions ici, voici quelques jours. Mme Delna n'est pas morte. Nous en avons aujourd'hui la confirmation officielle par ce communiqué du 16 janvier : Opéra-Comique. — Ce soir, à 7 h. 30, pour la Ire représentation ùe l'abonnement du samedi (série A), '< La Vivandière », avec Mmes Marie Delna, Vaultier, MM. Jean Périer, l'ail lard, AUard, Mlle Sonia Pavlowa, M.Quinault, Mlles Dugué, Luparia, etc. Mme Marie Delna chantera la « Marseillaise », accompagnée par les artistes et les chœurs. Le spectacle se terminera par le « Chant du Départ ». Les nombreux amis de la célèbre cantatrice et de notre camarade le chevalier Prier de Saône, son mari, peuvent donc être rassurés, une bonne fois pour toutes. LES MAUVAIS BOULANGERS A la suite d'enquêtes faites par la police de Bruxelles, plusieurs boulangers de la capitale qui avaient commis des infractions dans le commerce dj pain, viennent d'être sévèrement punis. Ils ont été privés de farine pendant un ou plusieurs jours. Dans toutes les communes, on est décidé ■ à agir avec la plus extrême rigueur à l'égard des « mauvais boulangers », et si des faits répréhensibles se produisent encore, entraînant des sanctions à l'égard des coupables, les noms de ceux-ci seront livrés à la publicité. Dernières Dépêches JL —o Rome, '18 janvier. — Le roi est retourné à Avezzano, où il a été reçu par le ministre Ciulfeli. Sa majesté a visité ensuite différenteis ajuitres localitéis sinistrées.Sydney, 18 janvier. — Les Allemands qui se sont rendus comme prisonniers à Herbertshôhe, dans l'archipel de Bismarck, sont partis pour San-Francisco. Sofia, 19 janvier. — Le président du Conseil bulgare, M. Radoslawoff, a en» voyé un télégramme au roi Ferdinand à l'occasion du nouvel an. Celui-ci lui a répondu en manifestant à son ministr» ses meilleurs sentiments. Trinton (New-Jersey), 20 janvier. — Un violent incendie a détruit toiuit Je quartier industriel d© la ville. On estime les dégâts à quelques millions de dollars. Flessingue, 20 janvier. — Une chaloupe à vapeur appartenant à la marine de guerre hollandaise, a touché une mine dans l'Escaut, près de Nieuwesluis ; l'embarcation a sauté et cinq hommes ont péri. : Pétrograd. — Un iukase impérial or-; donne, en même temps que la mobilisa^ tion de plusieurs corps de troupes de la circonscription militaire de Pétrograd, la convocation des réserves dans toute une série de districts, à savoir : 1 j Dans 20 districts des gouvernements de Saint-Péterstoourg, d'Esthonie, de Livo-nie, de Pleckan, de Novgorod, qui rentrent dans la circonscription militaire de Saint-Pétersbourg. D'autre part, dans 6 districts des gouvernements de Tver, Moscou et Toula, qui t rentrent dans la circonscription militaire : de Moscou. Pétrograd, 20 janvier. — Un ord-re du ; grand-duc Constantin, ministre de la m^ 5 rine, daté du 8 janvier, a fait connaître que cinq torpilleurs, actuellement en construction aux chantiers de la Neva, et cinq torpilleurs en construction aux chantiers de la Baltique, prendront place parmi les ' (navires de la flotte. Us porteront les S noms de : « Kassatka » (l'Hirondelle), e « Skat » (la Raie), « Malsret » (le Maque- - reau), « Sterliard » (le Sterlet), « Tozel » - (la Truite), « Ossetr » (l'Huître), « Los?., s sos » (le Saumon), « Biélouga » (l'Estur-e geo'n), « Som » (Ie Silure), « Stchouka » (le Brochet). é' Pn ignore si l'état d'avancement où se trouvent la construction et l'armement de a ces navires leur permettra de figurer dans l'escadre destinée à quitter prochainement la Baltique. Nish, 20 janvier. — A l'occasion de ^ l'inauguration du monument élevé aux héros de Kossovo à Krouchevatz, le roi r Pierre- a reçu du roi de Monténégro un télégramme cordial où le roi dit qu'il est e en pensée auprès du roi Pierre en cette e occasion, et qu'il ressent les mêmes sen- - timents de piété que le roi Pierre et tout e le peuple serbe. « Nos peuples, dit-il, doivent reprendre en siumisant ce que dés- e unis ils ont perdu à Kossovo. » 1. Le roi Pierre a répondu : « De l'ancienne résidence de Lazare, à proximité du n monument inauguré hier, et entouré de milliers de mes fidèles Serbes, j'envoie au souverain du Monténégro mes remercie-ments les plus cordiaux pour le salut fra-1 • ternel qiue moi et mon peuple nous avons reçu avec satisfaction. Vive le peuple serbe du courageux Monténégro. » ci _____ Le gouvernement chilien compte créer uin impôt boursier qui rapporterait an-c nuellement six millions de pesos. Rotterdam. —• La crue des eaux qui, I durant quelques jours, avait été station-naire, a repris. La navigation est gênée et en divers endroits le batilla.ge de l'eau a amené la corrosion des berges. e Anvers, 20 janvier. — Le prix du pain !t blanc est de 52 centimes, contre 30 centi-i_ mes précédemment. ■s Le pain brun est vendu 50 centimes, tandis qu'en 1914 on le payait 24 centi-é mes. à Les œufs valent quinze centimes la piè->i ce ; ici, il y a baisse de prix puisque cette 1- marchandise était montée jusqu'à 18 cen-d times. it Le pétrole coûte actoellemelnt. 60 centimes, contre 30 centimes il y a trois mois. Vendredi 22 Janvier Hfl (Edition t L fi. — 72) C. L,e Numéro lO Gmes 51me Aiioee - N° 22 ~

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks Le messager de Bruxelles behorende tot de categorie Financieel-economische pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1946.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Periodes